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L’Inde et la Chine discutent de la reprise des vols directs
Les ministres des Affaires étrangères de l’Inde et de la Chine, respectivement S. Jaishankar et Wang Yi, ont discuté mercredi 20 novembre 2024 de la reprise des vols directs entre les deux pays. Une mesure qui devrait renforcer le commerce, le tourisme et les échanges culturels.
Cette évolution intervient plusieurs semaines après que New Delhi et Pékin ont convenu de résoudre un conflit frontalier qui dure depuis quatre ans.
Lors de leur réunion en marge du sommet du G20 au Brésil, les ministres ont noté que le désengagement le long de la Ligne de contrôle effectif (LAC), la zone frontalière himalayenne où les troupes s’étaient affrontées en 2020, conduisant à une impasse diplomatique et militaire de longue date, « avait contribué au maintien de la paix et de la tranquillité ».
Les discussions ont porté sur les prochaines étapes des relations entre l’Inde et la Chine, a indiqué le ministère indien des Affaires étrangères dans un communiqué. Parmi les mesures évoquées figurent la reprise du pèlerinage au lac Mansarovar et au mont Kailash au Tibet, considérés comme des lieux sacrés dans les religions hindoue, jaïne et bouddhiste. Mais aussi le partage de données sur les rivières transfrontalières, les échanges de médias et la reprise des vols directs entre l’Inde et la Chine.
Les vols directs entre l’Inde et la Chine, ainsi que le pèlerinage, ont été suspendus en raison de la pandémie de Covid-19 en 2020 et n’ont pas repris depuis, malgré la levée des restrictions il y a plusieurs années.
M. Wang a noté que les pourparlers fructueux entre le président chinois Xi Jinping et le Premier ministre indien Narendra Modi lors du sommet des BRICS dans la ville russe de Kazan le mois dernier et le « redémarrage » des relations bilatérales sont conformes aux « intérêts fondamentaux des deux peuples, aux attentes des pays du Sud global et à la bonne direction de l’histoire », selon l’agence de presse Xinhua.
Il a affirmé que la Chine et l’Inde, en tant que voisins et principales économies en développement, ont plus d’intérêts communs que de différences. Et qu’elles devraient donc considérer le développement de l’autre comme une opportunité et travailler ensemble pour parvenir à un développement commun.
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New York reste la ville la plus prisée des milliardaires au monde
New York a conservé sa position de ville comptant le plus grand nombre de milliardaires,(144) surpassant Londres (78), qui arrive en deuxième position, tandis que Moscou (77) se classe au cinquième rang.
Selon le cabinet d’études Altrata, le nombre de milliardaires et leur richesse ont encore augmenté en 2023, après une baisse en 2022. L’entreprise estime que le nombre de milliardaires a augmenté de 4 %, tandis que leur richesse collective a augmenté de 9 %. Il convient de noter que le nombre de milliardaires russes a augmenté de 5,4 % au cours de l’année, atteignant 118 individus, et Moscou est entrée dans le top cinq des villes mondiales pour les milliardaires.
En revanche, trois villes chinoises, dont Hong Kong(107), ont vu leur nombre de milliardaires diminuer en raison de difficultés économiques et d’un marché immobilier en difficulté. Parallèlement, l’Inde (40) a connu la plus forte croissance de sa population de milliardaires, avec une augmentation impressionnante de 15,9 % sur un an.
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- La Tunisie dément des allégations italiennes l’accusant d’avoir coulé un bateau de clandestins
La Tunisie dément des allégations italiennes l’accusant d’avoir coulé un bateau de clandestins
TUNIS – UNIVERSNEWS (NAT) – Le ministère de l’Intérieur a démenti les informations rapportées par les médias italiens selon lesquelles la garde navale tunisienne serait accusée d’avoir coulé un bateau de migrants irréguliers en Méditerranée.
Dans une déclaration à France 24, le porte-parole officiel de la Garde nationale, Houssam Eddine Jebabli, a expliqué que les données colportées par la presse italienne sont incorrectes, car aucune collision n’a été enregistrée entre une patrouille des garde-côtes et un bateau de migrants dans la nuit du 7 et 8 novembre. Il a ajouté que les garde-côtes tunisiens reçoivent régulièrement des appels de détresse des bateaux de migrants et interviennent pour les sauver du naufrage.
Un rapport italien avait prétendu que les garde-côtes tunisiens sont entrés en collision avec un bateau de migrants transportant 80 personnes, provoquant la noyade de 52 d’entre eux, dont la plupart étaient soudanais, tandis que d’autres ont été secourus par des pêcheurs.
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- Abdessalem El Oued réélu à la tête du Conseil oléicole international pour 2025-2026
Abdessalem El Oued réélu à la tête du Conseil oléicole international pour 2025-2026
Abdessalem El Oued, membre du bureau exécutif de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA), a été réélu, hier mardi, au poste de président du comité consultatif du Conseil oléicole international (COI), lors de sa 63e session, tenue à Madrid en Espagne, en présence de représentants de 23 pays producteurs de l’huile d’olive.
L’un des principaux sujets à l’ordre du jour de cette réunion consacrée à la discussion du présent et de l’avenir de l’oléiculture, était le développement durable et la résilience climatique.
A cette occasion, El Oued, réélu pour le mandat 2025-2026, a souligné l’importance de préserver un niveau de prix qui garantit des revenus respectables aux agriculteurs et leur permet de développer leurs productions et investissements.
Il a aussi mis l’accent sur l’importance d’encourager la consommation de l’huile d’olive à l’échelle mondiale étant donné qu’elle ne représente aujourd’hui que 2% des huiles alimentaires consommées de par le monde. Il a suggéré à cet égard, de créer un comité de suivi au sein du COI pour suivre la réalisation de ces objectifs.
El Oued a, par ailleurs, plaidé pour la mise en place de mécanismes efficaces pour protéger les producteurs, préserver leurs droits fondamentaux et garantir la durabilité de la filière oléicole, ajoutant que garantir des revenus dignes aux agriculteurs est une condition essentielle pour une oléiculture durable.
Il a appelé à supprimer les taxes douanières sur l’huile d’olive entre tous les pays du monde, quel que soit le pays d’origine, en admettant la qualité comme étant la seule condition d’accès aux marchés mondiaux, et a suggéré d’organiser une grande campagne de promotion pour encourager la consommation d’huile d’olive, ce qui contribuerait à équilibrer l’offre et la demande, en particulier avec l’augmentation attendue du volume de production.
De son côté, le directeur exécutif du COI, Jaime Lillo, a mis l’accent sur l’importance de la sensibilisation à la valeur sanitaire de l’huile d’olive, en particulier de l’huile d’olive extra vierge.
Pour sa part, Joseph Profaci, représentant de l’Association de l’Amérique du Nord de l’Huile d’Olive (NAOOA), s’est dit préoccupé par le fait que l’administration américaine nouvellement élue pourrait imposer des droits de douane sur les importations d’huile d’olive, ce qui pourrait limiter les quantités exportées vers le marché américain.
Le secteur oléicole étant confronté aux pressions croissantes du changement climatique, les participants ont discuté, généralement, des stratégies possibles d’adaptation pour assurer le développement de l’oléiculture, améliorer la production et les techniques de gestion de l’eau et des sols, et renforcer la biodiversité.
La production mondiale de l’huile d’olive est estimée à 3,3 millions de tonnes, avec des hausses de production prévues en Tunisie, en Espagne et en Turquie.
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- Ecomondo 2024 : un tremplin pour les entreprises tunisiennes vers l’économie verte ?
Ecomondo 2024 : un tremplin pour les entreprises tunisiennes vers l’économie verte ?
Le nombre de visiteurs internationaux représente un indicateur important de fréquentation dans les salons professionnels. Pour le groupe MIDA mandaté par “Italian Exhibition Group” la tâche consiste à fournir l’assistance aux entreprises et aux institutions africaines intéressées par la participation aux grands Salons professionnels organisés en Italie.
Le point sur la présence tunisienne à Ecomondo, le plus grand Salon européen dédié à l’économie verte avec Amira Moussa, Chef de projet au groupe MIDA :
En tant qu’organisateur de la participation d’acteurs économiques africains à Ecomondo, comment évaluez vous vos réalisations ?
Pour l’édition Ecomondo 2024, nous avons organisé la participation d’une délégation qui se compose de Tunisiens principalement, Marocains, Sénégalais, Ivoiriens et Congolais. Un Camerounais de haut niveau y participe aussi. Soit plus d’une centaine de participants.
Combien y a-t-il de Tunisiens représentant le secteur privé ?
17 entreprises dont Warda, Sicam, le “Passage” qui fait partie du groupe Poulina, la Connect est aussi bien représentée à Ecomondo.
Que proposez vous aux entreprises intéressées par le Salon ?
Nous leur offrons, comme il est de tradition dans nombre de salons internationaux, une prise en charge de trois nuitées avec des transferts assurés et bien sûr l’accès à une plateforme sur laquelle nous les inscrivons et à travers laquelle, ils peuvent entrer en contact avec leurs vis-à-vis étrangers pour des B to B. Nous mettons également à disposition un interprète.
Que peut offrir un Salon tel qu’Ecomondo à ces industriels ?
Ils peuvent bien évidemment réaliser des projets de partenariat en Tunisie. Le Salon leur offre comme attendu, l’opportunité de découvrir les dernières technologies environnementales.
Vous savez que le traitement des déchets et l’économie verte sont devenues des priorités dans notre pays et beaucoup d’opérateurs privés veulent se positionner dans ces secteurs, principalement ceux évoluant dans les secteurs des textiles et de l’agroalimentaire.
Le recyclage des eaux usées est indispensable à l’industrie des textiles dans les conditions climatiques présentes. Ecomondo offre aux textiliens mais aussi aux autres industriels l’occasion de s’informer sur les dernières innovations et d’en équiper leurs usines. Il offre au même titre à nos industriels, un espace de rencontre et d’échange.
C’est un événement international majeur en Europe et dans le bassin méditerranéen où on fait montre de toutes les technologies, services et solutions industrielles liés à l’économie verte et circulaire. Ils peuvent y trouver des solutions et des technologies environnementales, couvrant des domaines tels que la gestion de l’eau, l’élimination des déchets, les textiles, la bioénergie, la gestion et la protection des sols, les transports, l’agriculture etc.
Pour les délégations africaines, outre la gratuité de la prise en charge, nous offrons également des stands gratuits, cela entre dans le cadre du renforcement de la présence africaine à Ecomondo. Des représentants du CITET du CETTEX, d’ECOPARC, ont cette année participé à Ecomondo, ils ont été accompagnés par des chercheurs.
Qui finance les opérations de promotion d’Ecomondo ?
MIDA est un groupe qui existe en Tunisie depuis 1996, nous sommes le “Regional advisor d’Italian Exhibition Group” (IEG) qui organise Ecomondo depuis 26 ans. A ce titre, sommes mandatés pour organiser les participations de délégations africaines représentant les secteurs public et privé.
Combien de Salons organise IEG par an ?
Il y a Ecomondo organisé au mois de novembre et Key Energie au mois de mars. Pour précision, jusqu’en 2022, ils étaient organisés ensemble mais Ecomondo, qui comme vous le savez est dédié aux technologies environnementales et à l’économie verte sous toutes ses coutures, est d’une telle importance que l’on ne pouvait plus l’associer à un autre et IEG a décidé de les organiser séparément.
Il y a aussi le Salon SIGEP sur lequel nous travaillons aussi. C’est un salon dédié aux pâtisseries, boulangeries et principalement les glaces. Pour cette édition, il y aura une délégation de 15 entreprises tunisiennes, dont Omar Hchicha et SEH (Société d’Équipement hôtelier).
Nous avons également signé une convention avec la Fédération de l’Agroalimentaire à l’UTICA qui sera présente lors de la prochaine édition du SIGEP.
Entretien conduit par A.B.A
- Univers News
- 91 dossiers soumis à la justice pour corruption dans la formation et le recrutement à l’étranger
91 dossiers soumis à la justice pour corruption dans la formation et le recrutement à l’étranger
TUNIS – UNIVERSNEWS (NAT) – Le ministère de l’emploi et de la formation professionnelle a transmis à la justice 31 dossiers se rapportant à des abus commis par des établissements privés de formation professionnelle et 60 autres dossiers relatifs à des violations commises par des bureaux illégaux de recrutement à l’étranger, annonce le ministre de l’Emploi Riadh Chaoud.
S’exprimant mercredi lors d’une séance plénière conjointe entre l’assemblée des représentants du peuple (ARP) et le conseil national des régions et des districts, le ministre a réaffirmé l’engagement de son département à poursuivre la lutte contre la corruption dans ce secteur afin de protéger les droits des demandeurs d’emploi.
Selon le ministre, le nombre des entreprises communautaires inscrites au Registre national des entreprises (RNE) s’élève aujourd’hui à 120.
« Un conseil ministériel sera convoqué prochainement afin de réviser la loi sur les terres domaniales afin de conférer à ces entreprises la priorité dans l’exploitation de ces terres », a-t-il dit.
Volet formation professionnelle, le ministre a reconnu que le système a perdu beaucoup de son attrait, annonçant la révision imminente des conditions d’accès aux centres.
Il a annoncé que d’ici février prochain, le certificat de compétences sera en vigueur, ce qui ne manquera pas de permettre aux candidats pressentis à la formation et qui sont sortis à des niveaux de formation inférieurs à la 9e année de base, d’intégrer les centres.
Cette mesure concernera également les titulaires d’un master, d’une licence et même d’un doctorat, qui à leur tour, auront droit à bénéficier d’une formation complémentaire de six mois.
Le ministre a annoncé que son département va réviser la nomenclature des formations et apporter des changements substantiels afin de s’aligner davantage sur les exigences du marché du travail.