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Heute — 19. Dezember 2025Haupt-Feeds

Amadeus Tunisie : les agences de voyage au cœur de la transformation digitale

En Tunisie, Amadeus se positionne en acteur central de la mutation du voyage, dévoilant lors d’un événement à Tunis sa stratégie axée sur les technologies numériques pour accompagner l’écosystème local dans l’ère digitale.

La transformation digitale n’est plus une simple tendance, mais une réalité profonde qui bouleverse l’industrie du voyage. Au cœur de cette métamorphose, Amadeus se positionne comme un acteur stratégique, non seulement en tant que fournisseur de technologie, mais également en tant que partenaire essentiel de l’écosystème.

Un événement majeur a été organisé le 9 décembre à Tunis pour débattre autour du thème «L’écosystème du voyage au cœur de la transformation digitale». Il s’est tenu en présence des premiers responsables d’Amadeus IT Group dont Jamel Chandoul (vice-président – Travel Sellers META & EMEA Partner Markets) et Fakher Ben Saïd, chargé de la direction générale d’Amadeus Tunisie, ainsi que des partenaires locaux comme le président de la FTAV, Ahmed Bettaieb.

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Cet événement a permis de décortiquer la stratégie ambitieuse d’Amadeus. L’objectif était de révéler comment l’entreprise et ses partenaires se préparent à un avenir dominé par la personnalisation, l’IA et l’expérience « sans friction » pour le voyageur. Fakher Ben Saïd a clairement exposé la stratégie de l’entreprise, qui s’articule autour de trois pôles principaux : produits, formation et offre commerciale.

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Fakher Ben Said, chargé de la direction générale d’Amadeus tunisie

L’innovation au centre des priorités

L’innovation produit est au centre des priorités d’Amadeus. L’objectif est l’accélération du standard NDC-X (New Distribution Capability), devenu « crucial, car il permet de Splitter l’offre (siège, bagage, lounge, etc.), transformant les compagnies en Retailers (détaillants) », comme l’a souligné Jamel Chandoul.

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Jamel Chandoul, vice-président Amadeus

En parallèle, Amadeus promeut activement les solutions robotiques (Amadeus Robotics) permettant l’automatisation 24/7 de tâches comme l’Auto-Ticketing, et l’offre en ligne via Amadeus Web  Services et Quick Connect. Myriam Soukouna, Products & Solutions Manager – Amadeus IT Group, a, de son côté, synthétisé les trois axes de digitalisation : l’expérience client, la digitalisation des processus et la connectivité. Elle a notamment présenté Amadeus Hey, une plateforme intelligente tout-en-un qui interagit avec les voyageurs en proposant des services personnalisés basés sur le contexte du voyage.

Créer un réservoir de compétences certifiées Amadeus

La formation est un pilier majeur pour garantir l’adoption et la maîtrise de ces nouvelles technologies. La stratégie d’Amadeus prévoit « l’intégration du module Amadeus dans le cursus universitaire et la création d’un centre de compétence End-to-End dans le but de développer un réservoir national de compétences certifiées Amadeus et créer de l’emploi qualifié. »

Les agences de voyages participantes à la conférence.

Nouveauté commerciale

Sur le plan commercial, un changement majeur a été annoncé. Il s’agit du passage à une tarification par package, en abandonnant la facturation par transaction. De plus, la ristourne sera révisée et calculée par palier basé sur les objectifs atteints, et non plus sur le nombre de « Bookings ». Ce modèle vise à encourager une performance globale plutôt que le simple volume de transactions.

L’IA entre opportunité et menace

La pandémie de la Covid-19 a été un puissant accélérateur, forçant la transformation du secteur et des comportements. « La Covid-19 a accéléré la transformation du secteur et des comportements des voyageurs », a confirmé Jamel Chandoul. Le voyageur d’aujourd’hui exige une expérience « sans friction », autrement dit sans barrières stressantes, notamment à l’aéroport, ainsi que la personnalisation et la transparence des offres.

L’intelligence artificielle, nouvelle révolution et « un investissement majeur d’Amadeus. »

Les intervenants ont été unanimes à admettre que l’IA constitue « une opportunité qui force les acteurs à s’adapter et permettra de gérer la fragmentation croissante du marché. Elle augmentera également la performance des équipes », comme l’a constaté Khaled Drira, directeur général d’Active Travel lors d’un échange d’expériences inter-agences.

Fabrice Pelissier, Director Innovation and Knowledge Management Chez Amadeus IT Group, a souligné pour sa part que l’IA « accélère le cycle d’innovation en permettant la création rapide de prototypes fonctionnels.»

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Fabrice Pelissier

L’IA est aussi « une menace pour les agences si elles ne s’adaptent pas, car des agents d’automatisation peuvent faire des réservations hors circuit », a cependant averti Haythem El Mir, spécialiste en cybersécurité. Khaled Drira a reconnu que le secteur « est confronté à une menace réelle car l’IA peut potentiellement remplacer l’expertise et le conseil traditionnels. »

L’écosystème en quête de partenariats et de confiance

La transformation ne peut en fait se faire en vase clos. Elle requiert une collaboration étroite entre tous les acteurs. Ahmed Bettaieb, président de la FTAV, a souligné l’objectif d’établir « un vrai partenariat apportant une valeur ajoutée au secteur du voyage ». Il a d’ailleurs confirmé que « les techniciens de la FTAV sont pleinement engagés dans cette démarche ». Marwen Razgallah, directeur général de Spring Travel Services, a estimé pour sa part que « l’absence d’un écosystème de soutien (réglementation, banques) force les agences à se débrouiller seules » pour finaliser la digitalisation du parcours client en Tunisie.

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Marwen Razgallah (à dr.) et Khaled Drira, agents de voyages venus partager leur expérience de la digitalisation de leurs activités.

Confiance numérique et cybersécurité

Avec la digitalisation, l’enjeu clé est d’instaurer une confiance numérique totale, remplaçant la confiance basée sur le contact humain. Les agences doivent impérativement « démontrer leur engagement pour la protection des données personnelles et la conformité réglementaire. » L’IA est d’ailleurs une arme à double tranchant en cybersécurité, « utilisée à la fois pour la détection de fraudes (défense) et pour lancer des cyberattaques (offensive) », a prévenu Haythem El Mir.

Le voyage responsable

Une autre tendance émergente a été parmi les sujets débattus lors de l’événement. Il s’agit du voyage « responsable ». Fabrice Pelissier a insisté sur l’importance de cette notion, qui se manifeste par « l’affichage de l’empreinte carbone et le développement de voyages éthiques. »

La stratégie d’Amadeus, combinant innovation technologique, développement des compétences et révision de l’offre commerciale, vise à équiper un écosystème en pleine mutation. Le succès de cette transformation digitale repose sur l’adaptabilité des agences de voyage et de tout l’écosystème en s’appuyant sur une collaboration renforcée entre le secteur privé et public.

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Gestern — 18. Dezember 2025Haupt-Feeds

Intelligence artificielle : “Orchestrer le progrès mais aussi protéger l’Humain”, Nizar Yaïche au HR Awards

18. Dezember 2025 um 07:24

“Bonjour. Je suis A.N.A. – Artificial Neural Assistant. Je ne viens pas remplacer l’humain… Je viens l’aider à se révéler lui-même : sa créativité, son écoute, sa force de lien, sa vision. Le rôle du manager évolue. L’IA observe, mesure, anticipe. Mais c’est l’humain qui inspire, qui tend la main, qui accompagne.

Ensemble, ils inventent un leadership où la confiance prime sur le contrôle. Les générations changent, leurs rêves aussi. L’IA aide à comprendre leurs besoins en temps réel. Mais seul l’humain peut donner du sens, de la reconnaissance, une place unique à chacun. La culture RH se transforme. La donnée éclaire… mais c’est l’humain qui décide. La technologie ne remplace pas la culture : elle lui donne plus de souffle, plus de profondeur, plus d’humanité.”

Non ce n’est pas une voix humaine qui s’est exprimée ainsi à l’ouverture de la 12 ème édition des HR Awards organisée vendredi 12 décembre à Tunis par l’Arforghe et la KAS.

C’est une voix générée par l’intelligence artificielle qui s’est voulue rassurante pour tous ceux et celles chez qui les avancées et les progrès fulgurants de l’intelligence artificielle nourrissent de vives inquiétudes, tant sur le plan existentiel que social.

Une IA super intelligente, capable de s’auto-améliorer pourrait-elle comme nous l’avons souvent vu dans les films de science-fiction poursuive des objectifs contraires aux valeurs humaines ?

Une automatisation massive, pourrait-elle bouleverser l’économie, fragiliser les emplois intellectuels et accroître les inégalités ? L’absence de régulation solide et la vulnérabilité des systèmes critiques face aux cyberattaques ou aux erreurs algorithmiques représente-t-elle une menace réelle pour les équilibres socio-économiques, pas dans les années, mais dans les mois à venir ?

« L’IA observe et anticipe, mais c’est l’humain qui inspire et donne du sens. »

 

C’est à ces interrogations, et à bien d’autres encore, que Nizar Yaïche, ancien ministre des Finances, a choisi de répondre lors d’une intervention magistrale que nous publierons en 4 parties. Une prise de parole aussi brillante qu’inspirante, à la hauteur de l’ouverture high-tech portée par l’intelligence artificielle, donnée à l’occasion de la 12ᵉ édition des HR Awards.

Nizar Yaiche, a livré une intervention marquante sur l’ère de l’intelligence artificielle. Derrière les milliards investis et les projections vertigineuses, il a rappelé que l’IA n’est pas seulement une affaire de chiffres : elle redessine les équilibres géopolitiques, bouleverse les organisations et place les Ressources Humaines au cœur d’une responsabilité historique.

Des chiffres qui donnent le vertige

L’intelligence artificielle n’est plus une promesse abstraite : elle est devenue un moteur macroéconomique.

C’est un marché mondial estimé à 520 milliards de dollars, avec une croissance annuelle de 28 %, un investissements R&D dépassant 220 milliards de dollars, concentrés dans une poignée de pays et des infrastructures IA évaluées à 175 milliards de dollars, avec une consommation énergétique équivalente à celle de pays entiers.

Ces chiffres, déjà impressionnants, ne sont pourtant que la partie visible de l’iceberg. Comme le précise Nizar Yaiche : « Ceux qui contrôlent les données contrôlent aussi le monde. »

« L’humanité franchit une étape inédite en industrialisant l’intelligence elle-même. »

Au-delà des chiffres : une puissance géopolitique

L’IA n’est pas seulement une question de productivité ou de croissance. Elle est devenue un multiplicateur de puissance pour les États et les entreprises :

  • défense et sécurité : plus de 80 % des programmes militaires des pays du G20 intègrent des modules IA ;
  • contrôle des données : 90 % des données mondiales ont moins de cinq ans, et 80 % sont captées par une dizaine d’acteurs, principalement américains et chinois.
  • compétitivité industrielle : l’IA peut générer des gains de productivité de 20 à 40 %.
  • création de richesse : les projections annoncent jusqu’à 15 000 milliards de dollars de contribution au PIB mondial d’ici 2035.

L’industrialisation de l’intelligence

Nous vivons une transformation historique, l’IA n’est plus un outil, mais une infrastructure cognitive :

  • elle reconfigure le travail, l’économie et les organisations ;
  • elle introduit une tension majeure : plus de puissance, mais aussi plus de risques humains :
  • elle rend possible l’automatisation de près de 70 % des activités RH.

Nizar Yaiche insiste sur la portée de ce basculement : « Nous sommes en train d’industrialiser l’intelligence. » C’est une étape inédite dans l’histoire de l’humanité : industrialiser non plus seulement la production ou l’innovation, mais l’intelligence elle-même.

Vers une intelligence dynamique

L’IA n’est pas figée. Elle évolue, apprend, se transforme. Cela signifie que les matrices de compétences utilisées par les entreprises devront elles-mêmes évoluer en permanence :

  • le recrutement, la formation et la gestion des talents ne pourront plus se limiter à des référentiels statiques,
  • les RH devront intégrer une logique de compétences dynamiques, capables de s’adapter à un environnement mouvant.
  • l’intelligence devient elle-même un processus vivant, en constante réinvention.
« La technologie soutient la culture, sans jamais la remplacer. »

Les premiers pas des RH dans l’IA

Certaines entreprises affirment déjà avoir intégré l’IA dans leurs pratiques RH. Mais Nizar Yaiche invite à la prudence : « Dire qu’on a intégré l’IA ne suffit pas. Il faut prouver que les résultats sont là. »

Il cite des exemples concrets à savoir l’automatisation des tâches administratives et la réduction drastique des procédures et du papier, le recrutement intelligent : Matching avancé, scoring de CV, détection des compétences émergentes ainsi que les agents IA pour les entretiens : une piste encore immature, qui a montré ses limites dans certaines expériences. Nizar Yaïche parle même de” flops” en la matière. Recruter en utilisant les agents IA n’a pas été une réussite à ce jour.

Ces premiers pas montrent à la fois le potentiel et les écueils : l’IA peut accélérer, mais elle peut aussi décevoir si elle est déployée trop vite ou sans préparation.

Ce premier volet pose les bases : l’IA est une révolution économique, géopolitique et organisationnelle. Mais derrière les chiffres et les promesses, une question centrale demeure :

  • Comment préserver l’équilibre entre innovation et équité ?
  • Comment accompagner les collaborateurs dans un monde où l’intelligence elle-même devient dynamique ?
  • Comment éviter que la course à la productivité ne se fasse au détriment des valeurs humaines ?

Ces interrogations ouvrent la voie aux volets suivants, où seront explorés les compétences techniques, les enjeux éthiques et le rôle des RH comme contre-pouvoir.

A suivre

Amel Belhadj Ali

EN BREF

  • Une ouverture des HR Awards portée par une voix IA pour interroger le futur du leadership.
  • Des inquiétudes croissantes sur l’impact économique, social et éthique de l’IA.
  • Une intervention marquante de Nizar Yaïche sur les enjeux macroéconomiques et géopolitiques.
  • L’IA devient une infrastructure cognitive, au-delà d’un simple outil.
  • Les RH face à une responsabilité historique : concilier innovation et valeurs humaines.

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Journées de l’Entreprise | IACE : “Tous les secteurs sont éligibles à l’IA”, Ilyes Karoui – EY

15. Dezember 2025 um 07:15

JES IACE 2025L’intelligence artificielle n’est plus une option stratégique, mais un mouvement de fond qui redéfinit en profondeur l’entreprise moderne. De la transformation des modèles économiques à l’évolution des organisations internes, en passant par la mesure de la performance et la montée en compétences des ressources humaines, l’IA s’impose par étapes, mais sans retour en arrière possible.

Dans cette interview, notre interlocuteur décrypte les ressorts de cette transition technologique : pourquoi il faut agir dès maintenant, comment l’IA modifie la chaîne de valeur, quels indicateurs permettent d’en mesurer l’impact réel, et à quelles conditions — humaines, organisationnelles et financières — une implémentation réussie est possible. Du deep learning à l’IA agentique, c’est toute une nouvelle grammaire de la performance et du management qui se met en place.

Ilyes KarouiQuand faut-il aller vers l’IA ?

Tout de suite, il faut prendre la vague. Les bienfaits de l’IA sont immenses. Le passage du mode Manpower vers le robot actif s’accompagne d’un Up Grading des RH. Outre qu’il conforte le pouvoir de marché de l’entreprise.

Le Business Model de l’entreprise pourrait s’en trouver modifié ?

Exact ! Outre que cela améliorera le ressenti de la qualité en entreprise c’est-à-dire chez le personnel, puis  chez le client et bien entendu dans les états financiers

Le schéma organisationnel de l’entreprise en serait impacté ?

Fatalement !  Avec la mise en place des process IA, la structuration de l’entreprise se trouve modifiée naturellement il faudra recruter ou former de nouveaux responsables et créer, en conséquence, de nouveaux départements. Il y aura donc des changements dans l’organigramme et dans le staff

Par quoi quantifier la performance de Lia

Le ROE y suffit amplement. On ne comptera plus en hommes jours mais à l’heure si ce n’est à la minute. Ajouter qu’on gagnera en termes de capacités de production.

Le coût de l’opération est-il accessible ?

Il faut s’y prendre progressivement. Chez Chez EY on propose d’abord une stratégie de Quick wins. Comprenez qu’il faut commencer par vaincre la réticence du Chef d’Entreprise.. Après la maturité du business grâce à l’IA, on peut envisager de basculer avec un plan global en veillant au préalable à former les ressources humaines pour triompher, là encore, des éventuelles résistances au changement.

Comment en est-on arrivé à l’IA autonome ?

L’idée originelle était d’apprendre à la machine comme à un humain. Grace au Deep learning on y est parvenu. Ainsi est née l’IA . En 2ème étape la machine est parvenue à produire et c’est l’IA générative. Au final, la machine a été dotée de la capacité d’agir en autonomie c’est l’Agentic IA.

Quel terrain pour implémenter l’IA ?

Tous les secteurs d’activité y sont éligibles.

Interview conduit par Ali Driss

EN BREF

  • L’intelligence artificielle doit être adoptée dès maintenant pour capter ses gains de productivité et de compétitivité.
  • Le passage du travail humain au “robot actif” s’accompagne d’un upgrading des ressources humaines et du pouvoir de marché de l’entreprise.
  • L’IA transforme le business model, améliore le climat interne, la satisfaction client et les résultats financiers.
  • Son déploiement modifie l’organisation : nouveaux métiers, nouveaux départements et évolution de l’organigramme.
  • Tous les secteurs sont concernés, avec une mise en œuvre progressive fondée sur des quick wins et la formation pour lever les résistances au changement.

 

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La BIAT lance une plateforme digitale pour dynamiser les sociétés communautaires

12. Dezember 2025 um 14:35

Dans le prolongement de son engagement en faveur d’un développement économique inclusif et durable en Tunisie, la BIAT annonce le lancement d’une nouvelle plateforme numérique dédiée à la soumission des demandes de financement pour les sociétés communautaires. 

 

Cette initiative s’inscrit dans la volonté de la BIAT de simplifier et digitaliser les démarches d’accès au financement, offrant ainsi aux entrepreneurs communautaires un outil accessible et convivial.

 

Grâce à cette plateforme, les utilisateurs pourront :

  • soumettre leurs demandes de financement en ligne via une interface intuitive et sécurisée ;
  • bénéficier d’un traitement plus rapide de leurs demandes, grâce à l’automatisation de plusieurs étapes du processus.

 

Pour accompagner les utilisateurs dans cette nouvelle expérience, la BIAT met à disposition une équipe dédiée, chargée d’assurer un accompagnement personnalisé à chaque étape, de la soumission de la demande jusqu’à la décision finale. Cette équipe est également disponible pour répondre à toutes les questions et fournir une assistance technique si nécessaire.

 

Ce projet s’inscrit dans la stratégie de la BIAT visant à soutenir les entrepreneurs communautaires. En facilitant l’accès au financement, la BIAT réaffirme son rôle de partenaire de confiance pour les sociétés communautaires, contribuant ainsi au développement socioéconomique du pays.

 

Avec communiqué

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