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Mobilité urbaine à l’Ariana : Un calvaire quotidien !

11. November 2024 um 13:30

Se résoudra-t-on, enfin, à opter pour les parkings à étages pour décongestionner la circulation ? Reste évidement le volet financier du projet qui ne doit, en aucun cas, constituer une pierre d’achoppement.

Dans un article paru, il y a plus de trois ans sur ces mêmes colonnes, La Presse a appuyé sur la gâchette pour sortir ce missile : jusqu’à quand le très épineux problème de la circulation restera-t-il entièrement posé dans la ville de l’Ariana ?

Paradoxalement, ce missile, au lieu de provoquer des dégâts, s’est avéré un pétard mouillé, d’autant plus que rien, absolument rien, n’a été, depuis, entrepris pour démystifier cette énigme. Et ce qui devait arriver arriva, la détérioration de la situation allant, depuis, crescendo.

Les travaux d’Hercule

Le constat, pour en avoir le cœur net, est aujourd’hui des plus frappants. En effet, outre les éternels goulots d’étranglement, devenus un décor de tous les jours dans les artères principales de la ville, à cause des problèmes de stationnement et de fonctionnement des feux de signalisation, accéder à la Cité administrative relève désormais de l’exploit. Dans cette cité très sollicitée, parce qu’abritant de nombreux édifices publics étatiques et privés (siège du gouvernorat, tribunal, directions régionales relevant de plusieurs ministères, district de la sécurité, Steg, Sonede, Télécom, Arru..), le visiteur le plus chanceux doit mettre une heure, parfois même plus, pour trouver où garer sa voiture, avec la garantie de subir le même calvaire au sortir du site.

Y a-t-il au moins un parking dans les lieux ? Eh bien, il y en a deux, mais hélas exigus et saturés. « A partir de 8h30, ils commencent à refuser du monde pour avoir déjà affiché complet », rouspète un employé de la Steg qui assure être dans l’obligation de rallier chaque jour la cité administrative à pied, laissant sa voiture au repos forcé at home. « Comme ça, j’en profite pour faire de la marche et, par conséquent, éviter une corvée insupportable au volant de mon véhicule », ironise-t-il.

Se garer n’importe comment !

Inévitablement, ce problème de « surbooking » que connaissent ces deux parkings a rendu la circulation encore plus étouffante dans les quatre coins de la cité. Pour la simple raison que la plupart des conducteurs n’hésitent pas à garer leurs automobiles n’importe où et n’importe comment, pourvu qu’ils aillent régler leurs courses. En face, les sabots de la mairie n’ont plus, hélas, leur effet dissuasif. D’abord, parce que leur nombre s’est, bizarrement, considérablement réduit, ces derniers temps. Ceci étant, « pour des raisons techniques »,  se contente-t-on de réagir à la municipalité. Ensuite, parce que la fameuse grue (chenguel) qu’on redoutait comme la peste n’y a plus droit de cité, depuis la résiliation du contrat conclu avec une société privée. Pour les automobilistes, il n’y a donc plus d’empêcheur de danser en rond !

L’exemple de la municipalité de Tunis

Des lors, il ne faut forcément pas avoir le cerveau d’Einstein pour comprendre que cette situation demeure tout à fait démystifiable, et cela à travers la construction d’un parking à étages, condition sine qua non de la fin de ce feuilleton. En effet, juridiquement, l’opération est jugée réalisable en remplacement des deux parkings actuels dont l’emplacement relève des biens fonciers de l’Etat.

Reste évidement le volet financier du projet qui ne doit, en aucun cas, constituer une pierre d’achoppement, dans la mesure où l’Hôtel de ville pourrait, via un prêt, s’en charger, avec la contribution d’autres intervenants tant étatiques que privés. La municipalité de Tunis, on s’en souvient, a été, dans les années 90, la première mairie du pays à y penser, puis à y parvenir, ce qui a considérablement réduit l’acuité du phénomène de la circulation à l’intérieur de la capitale. Non, on ne perdrait rien à s’en inspirer.

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Ariana : une maison transformée en atelier de bateaux clandestins

11. November 2024 um 11:22

Des médias révèlent que les services de l’ordre ont découvert un atelier de fabrication de bateaux en métal par des ressortissants d’Afrique subsaharienne dans la région de Raoued (gouvernorat de l’Ariana).

C’est un signalement qui a été effectué indiquant la présence d’un bateau dissimulé dans une maison située dans la région. Lequel serait destiné à être utilisé pour une traversée illégale vers l’Italie.

Pendant la perquisition effectuée par les forces de l’ordre (police et police judiciaire de l’Ariana nord), il a été constaté que la maison ne dissimulait pas uniquement un navire; mais qu’elle était transformée également en un atelier de fabrication de navires en métal.

Selon une source sécuritaire, six personnes originaires d’Afrique subsaharienne ont été arrêtées. Un moteur de voiture modifié pour être monté sur le navire a été saisi, ainsi qu’une quantité de carburant. Les recherches continuent pour déterminer s’il y a d’autres personnes complices dans cette affaire.

Farouk Ben Lakhal

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Raoued : découverte d’un atelier clandestin de fabrication de bateaux en métal   

11. November 2024 um 11:18

Un groupe d’étrangers originaires d’Afrique subsaharienne a transformé une maison dans la région de Raoued, gouvernorat de l’Ariana, en un atelier de fabrication de bateaux en métal.

Des informations sont parvenues aux autorités sécuritaires signalant la présence d’un bateau dans une maison de la zone, destiné à être utilisé pour une traversée illégale vers l’Italie.

Lors d’une perquisition menée par les agents de la brigade de police judiciaire d’Ariana Nord, il a été découvert que la maison ne cachait pas seulement un bateau, mais qu’elle avait été convertie en un atelier de fabrication de bateaux en métal.

D’après une source sécuritaire, six subsahariens ont été arrêtés, un moteur de voiture modifié pour être installé sur le bateau a été saisi, ainsi qu’une quantité de carburant. Les investigations sont toujours en cours pour identifier d’autres suspects impliqués dans cette affaire.

 

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Ariana : démantèlement d’un réseau de trafic de drogue et saisie de 919 plaques de cannabis !

09. November 2024 um 17:47
Ariana : démantèlement d’un réseau de trafic de drogue et saisie de 919 plaques de cannabis !

Les unités relevant de la direction de la lutte antidrogue de la police judiciaire ont réussi, vendredi 8 novembre 2024, à démanteler un réseau spécialisé dans le trafic de drogue à Ariana, arrêtant deux de ses membres. En coordination avec le parquet, les forces de l’ordre ont perquisitionné un local commercial à Mnihla, où elles […]

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Etude : Changement climatique, marginalisation et exode en Tunisie (vidéo)

30. Oktober 2024 um 11:51

Une étude menée par le Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES) dans deux régions tunisiennes économiquement défavorisées a montré que le changement climatique frappe plus durement les familles pauvres, et en particulier les femmes, dont la situation socio-économique s’est encore aggravée. (Vidéo)

L’étude, intitulée «Changement climatique, impacts et effets inattendus : causes et conséquences, El-Alaa à Kairouan et Kalaat Andalous en Ariana, à titre d’exemples» a été conçue pour sensibiliser aux défis liés au changement climatique, une réalité actuelle qui nécessite une adaptation. des politiques qui prennent en compte la capacité des communautés locales à être résilientes face au climat, a déclaré la coordinatrice du Département de la justice environnementale et climatique du FTDES, Inès Labiadh, lors d’une conférence de presse, mardi 29 octobre 2024, la la salle Le Rio à Tunis, soulignant que les régions d’El-Alaa, dans le gouvernorat de Kairouan et Kalaat Andalous, dans le gouvernorat de l’Ariana, ont été choisies pour l’étude précisément parce que, malgré leurs positions géographiques différentes, elles ont de nombreux problèmes en commun, principalement liés à la pénurie d’eau, à la sécheresse, à l’impact sur les sources de revenus , un chômage élevé, la pauvreté et la détérioration des infrastructures.

L’auteur de l’étude, Iman Kochbati, professeur de sociologie et de démographie, a déclaré que le document met en évidence les manifestations et l’impact du changement climatique dans les deux régions les plus pauvres de Tunisie, sur la base des données fournies par la carte de la pauvreté de l’Institut national de la statistique en Tunisie pour 2020.

Il vise également à mettre en évidence la relation entre le changement climatique et la marginalisation dans ces deux régions, avec pour conséquence la migration.

Selon l’étude qui adopte une approche méthodologique mixte combinant des données quantitatives et qualitatives et basée sur une analyse de genre, le changement climatique a profondément aggravé la situation sociale des habitants d’El-Alaa et de Kalaat Andalous, car il a réduit la production et revenus agricoles. De même, le pouvoir d’achat a diminué et le chômage a augmenté, ainsi que l’éclatement des familles, l’exode vers la capitale et un état de malaise général.

I. B. (avec Ansamed)

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