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Bac 2025 : 74 pupilles de l’État réussissent la session principale, soit un taux de 24,82 %

Von: hechmi
23. Juni 2025 um 15:17

Sur les 298 candidats, pupilles de l’Etat, 74 ont réussi la session principale du Baccalauréat 2025 parmi les 298 candidats inscrits dans les différents gouvernorats soit un taux de réussite de 24,82% , selon le ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées.

Dans un communiqué publié dimanche, le ministère de la Famille a fait savoir que 121 élèves ont été ajournés à la session de contrôle.

Le ministère de la Famille en collaboration avec l’Association tunisienne pour la qualité de l’enseignement (ATUQUE) ont assuré des cours de soutien à travers la plateforme “www.nejihoun.com” au profit des enfants des centres intégrés , des complexes d’enfance et des villages d’enfants SOS. Ces cours se poursuivent pour les élèves ajournés à la session de contrôle, selon le même communiqué.

 

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Tunisie – Bac 2025 : 647 cas de fraude recensés

23. Juni 2025 um 09:25

Le ministère de l’Éducation a annoncé ce dimanche 22 juin 2025 l’enregistrement de 647 cas de fraude et de comportements inappropriés lors de la session principale du baccalauréat. Ces cas se répartissent comme suit : 433 dans les lycées publics, 143 dans les établissements privés et 71 parmi les candidats libres.

Malgré ces incidents, les résultats globaux de cette session principale ont été dévoilés. Le taux de réussite national s’élève à 37,08%, tandis que 31,95% des candidats sont ajournés et 30,52% ont été recalés.

Les délégations régionales de l’éducation de Sfax 1 et Sfax 2 se hissent, une fois de plus, en tête du classement national en termes de taux de réussite, confirmant leur réputation d’excellence académique.

Par ailleurs, une performance exceptionnelle a été enregistrée dans la section mathématiques. Mohamed Nasraoui, élève au lycée pilote Mohamed Farj Chadli à l’Ariana, a obtenu la meilleure moyenne nationale avec 19,95 sur 20, un score quasiment parfait.

Rappelons qu’en 2024, lors de la session principale du baccalauréat en Tunisie, 821 cas de fraude ont été recensés, selon le ministère de l’Éducation.

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Bac 2025 : Sfax en tête du classement régional des réussites

Von: hechmi
23. Juni 2025 um 08:39

BACLe gouvernorat de Sfax se distingue nettement cette année en obtenant les taux de réussite les plus élevés à la session principale du baccalauréat 2025, selon les statistiques officielles publiées dimanche par le ministère de l’Éducation.

En effet, les délégations régionales de l’éducation de Sfax 1 et Sfax 2 occupent respectivement la première et la deuxième place nationale, avec des taux de réussite remarquables atteignant 55,75 % et 54,89 %. Médenine complète ce podium en se plaçant troisième avec 50,75 % de réussite.

La délégation régionale de l’Ariana se hisse à la quatrième place avec un taux de 47,95 %, suivie de près par Mahdia (47,12 %), Tunis 1 (46,85 %), et Sousse en septième position avec 46,68 %.

À l’autre extrémité du classement, les régions ayant enregistré les plus faibles taux de réussite sont notamment Kairouan (31,54 %), Zaghouan (31,19 %), Jendouba (28,26 %), Gafsa (28,02 %) et enfin Kasserine, qui ferme le classement national avec seulement 24,53 % d’élèves admis.

Autre donnée significative : cette année encore, les filles se démarquent largement, représentant plus de 63 % des élèves admis sur l’ensemble des 53 721 candidats reçus.

Pour mémoire, le taux global de réussite à la session principale du baccalauréat 2025 a atteint 37,08 % à l’échelle nationale.

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Edito: Epreuve

22. Juni 2025 um 03:58

Combien de divisions ? La question d’allure martiale est moins anodine qu’elle n’y paraît. La réalité est que très peu de postulants au baccalauréat viennent d’horizons ou de filières scientifiques. Le phénomène est encore plus accentué au terme du cursus universitaire. La place et le poids des écoles d’ingénieurs, des facultés de sciences pures et des instituts technologiques font davantage référence au passé lointain qu’ils n’expriment les préoccupations du moment, et moins encore qu’ils n’anticipent les exigences du futur.

151.808 élèves sont sur la ligne de départ pour l’épreuve du baccalauréat. Moins de 10.000 portent le brassard scientifique, ultime marqueur des temps modernes. Peu d’appelés pour, au final, très peu d’élus, en comparaison avec les dragons asiatiques qui doivent leur fulgurante ascension à la nature et à l’efficacité de l’architecture de leur système d’enseignement. Au total, moins de 10.000 entre ingénieurs et scientifiques sur près de 70.000 diplômés de l’enseignement supérieur. Sans l’apport du secteur privé qui monte en puissance, le tableau serait encore plus troublant.

 

Nul ne peut ni ne doit, au nom précisé ment de la liberté, s’opposer à l’exode de cerveaux et de compétences, même quand le phénomène prend de l’ampleur et menace de déstabiliser les fondements mêmes des structures productives.

 

Un grand nombre, si ce n’est la totalité des lauréats scientifiques, vont poursuivre leurs études à l’étranger, souvent sans grand espoir de retour. Ils y seront accueillis à bras ouverts. Ils seront détournés, en toute légalité, de leur pays d’origine, qui s’est saigné aux quatre veines pour les hisser au sommet de la connaissance et de la créativité. Au pillage et à la confiscation des richesses et des ressources naturelles, s’ajoute, dans la stratégie des anciens empires coloniaux, la captation du capital humain à leur seul bénéfice. La voie est libre et pavée de sollicitations pour les ingénieurs, les scientifiques, les chercheurs, les médecins, les universitaires, au nom du sacro-saint principe de liberté, mais qu’on récuse et renie quand il s’agit d’immigration indésirable et non voulue. A charge pour notre diplomatie de faire valoir nos droits auprès des pays d’accueil. La morale et les valeurs qu’ils défendent valent bien dédommagement et indemnisation pour service rendu ! Nul ne peut ni ne doit, au nom précisé ment de la liberté, s’opposer à l’exode de cerveaux et de compétences, même quand le phénomène prend de l’ampleur et menace de déstabiliser les fondements mêmes des structures productives. L’ennui, c’est qu’on ne sait même pas s’il faut se plaindre ou se réjouir du montant des transferts de revenus des TRE. Le problème n’est pas d’ordre moral.

La question qui se pose est de s’interroger sur les motivations qui poussent nos compétences à quitter le pays. Les conditions financières, même si elles sont bien réelles, ne sont pas l’unique raison. Il y a aussi la promesse d’un plan de carrière valorisant, de meilleures conditions de travail et de vie. Et les raisons politiques ne sont pas tout à fait absentes aussi. Certains se résignent à voter avec leurs pieds, déçus, frustrés et découragés qu’ils sont par l’absence de visibilité politique et de réelles perspectives d’avenir. Le mal est en nous-mêmes. Si une large frange de l’élite – mais pas elle seule – s’en va, c’est pour fuir le malaise et la déprime qui s’incrustent pour on ne sait combien de temps.

 

Nos facultés et écoles d’ingénieurs sauront s’y prendre; elles disposent d’un énorme potentiel de développement, pour peu qu’elles aient les coudées franches. C’est l’honneur de l’enseignement tunisien qu’elles auront à défendre.

 

Que faire pour éviter que le pays ne se vide de sa substance ? Que faire dans l’immédiat et à terme pour lutter contre les déserts scientifique, technologique, médical et industriel et les prévenir ? On est en droit de nous alarmer au vu du nombre effrayant des départs et du vide qu’ils laissent derrière eux. Que doit-on faire pour stopper l’hémorragie et pourquoi ne pas inverser cette tendance ? Que faire pour ne pas subir la tyrannie du vide, qui impacte lourdement la machine économique ? Pour toute réponse : agir vite, fort, tout en déployant une vision lointaine. Faire ce que nous savons faire, là où nous avons excellé depuis plusieurs générations : former des scientifiques encore et toujours, tout en améliorant et en diversifiant l’offre des diplômes. Nos facultés et écoles d’ingénieurs sauront s’y prendre; elles disposent d’un énorme potentiel de développement, pour peu qu’elles aient les coudées franches. C’est l’honneur de l’enseignement tunisien qu’elles auront à défendre. Le ventre qui a enfanté ces graines de génie qui brillent de mille feux, ailleurs plus qu’ici, est encore fécond. Encore faut-il qu’on en prenne soin. Former en nombre et en qualité, c’est notre principal défi dans un contexte mondial marqué par d’inquiétants bouleversements géopolitiques.

Face à la montée des périls liés aux incertitudes du nouvel ordre économique mondial et à l’irruption de l’IA, principal levier stratégique d’innovation, de modernisation et d’émergence des économies, nous n’avons d’autre choix que de relever le défi de l’enseignement, de la recherche et de la formation. Il s’agit là rien de moins que de la mère de toutes les batailles.

 

Ils ont d’énormes marges de progression et un très grand nombre de places à conquérir pour prétendre figurer dans l’échiquier mondial.

 

Pour compter, nos universités, nos grandes écoles et nos centres de recherche doivent y être. Ils partent aujourd’hui de très bas pour avoir subi pendant près de deux décennies l’usure du temps, l’indifférence des pouvoirs publics et les effets pervers d’une contestation sociale dévastatrice. Ils ont d’énormes marges de progression et un très grand nombre de places à conquérir pour prétendre figurer dans l’échiquier mondial.

Il n’y a pas mieux que le couple université-entreprise pour concevoir, écrire, dessiner et construire le futur. C’est l’épicentre, le point focal de toute politique de développement souveraine. Il ne peut y avoir de réelles avancées sans ce réacteur à propulsion humaine. Le problème est qu’en la matière, il y a loin de la coupe aux lèvres. L’université est aujourd’hui coupée de son environnement et du socle productif à un point tel que cela suscite d’énormes craintes. Il ne peut y avoir de croissance souveraine sans un fort maillage et une puissante intégration entre les universités et les entreprises, de quelque taille qu’elles soient.

D’où l’impérieuse nécessité de maîtriser toute la chaîne de valeur : enseignement-recherche-innovation pour nous affranchir des aléas du présent et des incertitudes du futur. On n’accédera pas autrement à de nouveaux paliers de développement. N’ayons pas peur des mots : paradoxalement, c’est plus facile d’entreprendre aujourd’hui ce qui ne pouvait l’être par le passé. Car à l’heure de l’IA, la recherche n’est plus l’apanage des grands groupes ou des grandes puissances industrielles.

Mission difficile, certes, mais pas impossible pour un pays riche de son capital humain – pourtant dévasté par l’émigration – et de la résilience de son tissu industriel et économique. A condition de porter à son plus haut niveau le curseur des bacheliers et des diplômés en mathématiques, en sciences et en technologies émergentes. A nous de choisir entre les architectes du futur et les ingénieurs du chaos. 

Cet édito est disponible dans le Mag de l’Economiste Maghrébin n°922 du 18 au 2 juillet 2025.

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Bac 2025 : Mohamed Nasraoui du lycée pilote d’Ariana en tête avec 19,95/20

21. Juni 2025 um 18:56
Bac 2025 : Mohamed Nasraoui du lycée pilote d’Ariana en tête avec 19,95/20

Les résultats du baccalauréat 2025 en Tunisie ont été dévoilés aujourd’hui, marquant un moment tant attendu par des milliers de candidats et leurs familles. Cette session a été particulièrement remarquable grâce à la performance exceptionnelle de Mohamed Nasraoui, élève du lycée pilote d’Ariana, qui s’est distingué en obtenant la meilleure moyenne nationale avec un impressionnant […]

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Bac 2025 Tunisie : 37,08 % de réussite à la session principale, tous les chiffres par section

21. Juni 2025 um 17:48
Bac 2025 Tunisie : 37,08 % de réussite à la session principale, tous les chiffres par section

Les résultats de la session principale du baccalauréat 2025 en Tunisie ont été officiellement annoncés par le ministère de l’Éducation. Sur un total de 151 779 candidats inscrits à cet examen national, 53 721 ont réussi, ce qui correspond à un taux de réussite de 37,08 %. Par ailleurs, 46 282 candidats, soit 37,95 %, […]

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