Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Hôpitaux sous tension : Un médecin agressé à Sfax relance la colère des jeunes praticiens

18. August 2025 um 11:07

Un médecin résident de l’hôpital Habib Bourguiba à Sfax a été agressé samedi soir par un citoyen durant sa garde. Blessé à la tête, il a dû être placé sous surveillance médicale. En réaction, l’Organisation tunisienne des jeunes médecins a appelé à un sit-in de protestation ce lundi 18 août 2025 au sein de l’hôpital.

Selon la déclaration publiée par l’Organisation tunisienne des jeunes médecins, l’agression a eu lieu dans l’enceinte de l’hôpital Habib Bourguiba. Le médecin résident, victime de violences physiques, souffre de blessures à la tête. L’incident a suscité une profonde indignation dans le corps médical, qui dénonce la répétition de telles attaques dans les structures de santé.

Démarches judiciaires

L’organisation annonce qu’elle entamera des démarches judiciaires et recourra à toutes les formes de protestation légale pour défendre la dignité et la sécurité des médecins.

Les jeunes médecins dénoncent par ailleurs le “silence” des responsables et exhortent la direction de l’hôpital à assumer ses responsabilités en mettant en place une présence permanente d’agents de sécurité, ainsi qu’un véritable accompagnement juridique pour les internes et résidents.

Le ministère de la Santé, pour sa part, avait déjà condamné fermement les violences contre les soignants après une agression similaire survenue le 29 juin à l’hôpital régional de Kasserine. Il avait promis un renforcement de la sécurité, notamment dans les services d’urgence.

Les agressions se multiplient

Les agressions contre les soignants dans les hôpitaux tunisiens se multiplient depuis plusieurs années, mettant en lumière les défaillances en matière de sécurité hospitalière. Face à ces incidents, les syndicats et associations médicales réclament depuis longtemps des mesures fermes pour protéger le personnel de santé.

Cette nouvelle agression qui relance le débat sur la sécurité du personnel médical dans les hôpitaux tunisiens.

Lire aussi :

L’article Hôpitaux sous tension : Un médecin agressé à Sfax relance la colère des jeunes praticiens est apparu en premier sur webdo.

Vient de paraître : Une anthologie des discours de Bourguiba

16. Juli 2025 um 08:24

Paru chez AC Éditions, un ouvrage de Hichem Abdessamad revient sur les grands discours du premier président de la République tunisienne.

Préfacé par Sophie Bessis, le nouveau livre de l’essayiste Hichem Abdessamad se penche sur plusieurs discours de Bourguiba proposant leur relecture au regard de l’histoire et des enjeux présents.

Intitulé « La Gloire et la Puissance », cet ouvrage de plus de 500 pages a un double intérêt. D’une part, il permet de relire quasiment in extenso des discours importants de Bourguiba et d’autre part, il offre l’analyse et les commentaires d’Hichem Abdessamad.

Un livre qui mérite de figurer dans toutes les bibliothèques.

L’article Vient de paraître : Une anthologie des discours de Bourguiba est apparu en premier sur webdo.

Sfax : sit-in des jeunes médecins après l’agression d’un résident à l’hôpital Habib Bourguiba

Von: Raja
18. August 2025 um 10:38
Sfax : sit-in des jeunes médecins après l’agression d’un résident à l’hôpital Habib Bourguiba

Suite à l’agression, samedi, d’un médecin résident à l’hôpital Habib Bourguiba à Sfax, par un citoyen, l’Organisation tunisienne des jeunes médecins a publié une déclaration dans laquelle elle exprime sa profonde indignation et appelle l’ensemble du personnel de la santé dans la région à participer à un sit-in de protestation ce lundi à 10h à […]

The post Sfax : sit-in des jeunes médecins après l’agression d’un résident à l’hôpital Habib Bourguiba first appeared on Directinfo.

Un médecin agressé à Sfax : les jeunes praticiens dénoncent un climat d’insécurité dans les hôpitaux

Von: La Presse
18. August 2025 um 09:54

L’Organisation tunisienne des jeunes médecins a vivement condamné l’agression d’un médecin résident, survenue samedi soir à l’hôpital Habib Bourguiba de Sfax, lors de son service de garde. L’attaque, perpétrée par un individu au sein de l’établissement hospitalier, a causé des blessures à la tête, nécessitant une surveillance médicale du praticien.

Dans un communiqué publié ce dimanche 17 août 2025, l’organisation a annoncé le dépôt d’une plainte et affirmé qu’elle n’hésitera pas à recourir à toutes les formes de protestation légale pour garantir la sécurité et la dignité du corps médical.

Les jeunes médecins appellent la direction de l’hôpital à assumer l’entière responsabilité de la protection physique de ses agents, notamment par le renforcement permanent de la sécurité intérieure et la mise en place d’un encadrement juridique effectif au profit des résidents et internes.

L’organisation a également dénoncé le “silence inacceptable” des autorités hospitalières, soulignant que l’incident n’a pas été officiellement consigné et que les médecins ont été contraints de reprendre le travail dans des conditions jugées “ humiliantes et dangereuses”. Elle qualifie ce manquement de “mépris envers la sécurité du personnel médical”.

L’agression de Sfax s’ajoute à une série d’incidents similaires dans les établissements publics tunisiens, dénoncés depuis des mois par les syndicats médicaux. L’organisation prévient que la répétition de telles attaques pourrait conduire à des mouvements de protestation d’ampleur, réclamant des mesures urgentes pour sécuriser les structures de santé.

Le ministère de la Santé, qui avait déjà condamné, fin juin, une autre agression contre du personnel médical à l’hôpital régional de Kasserine, réaffirme son opposition à toute forme de violence dans les institutions sanitaires. Il assure travailler au renforcement de la sécurité dans les services d’urgence et soutient les professionnels de santé dans l’exercice de leurs fonctions malgré les contraintes.

Rassemblement à Paris pour les droits des femmes en Tunisie

14. August 2025 um 13:24

Au nom des résidents et résidentes tunisiens et tunisiennes à l’étranger, un collectif citoyen appelle à un rassemblement ce samedi 16 août 2025, à partir de 15h, sur l’esplanade Habib Bourguiba, dans le 7ᵉ arrondissement de Paris.

L’initiative, indépendante de toute formation politique, veut porter un message clair : dénoncer les atteintes aux droits des femmes, réclamer leur libération partout où elles sont opprimées, et défendre les droits humains pour toutes et tous.

«Ni la chaleur, ni les vacances, ni la fatigue ne doivent justifier le silence», affirment les organisateurs, qui rappellent que la lutte pour l’égalité et la dignité est universelle et ne connaît pas de frontières.

Les participants sont invités à venir exprimer leur colère, à affirmer leur solidarité avec les femmes privées de liberté et à rappeler que la justice et les droits fondamentaux concernent l’ensemble de la société.

Ce rassemblement se veut unitaire, pacifique et ouvert à toutes les personnes qui souhaitent soutenir cette cause. Un moment pour faire front ensemble, au-delà des clivages, et montrer que même loin de leur pays, les Tunisiens et Tunisiennes restent mobilisés pour les libertés et l’égalité.

D. G.  

L’article Rassemblement à Paris pour les droits des femmes en Tunisie est apparu en premier sur Kapitalis.

Fête de la femme | Kaïs Saïed chez les potières de Sejnane  

14. August 2025 um 08:18

Le président Kaïs Saïed, qui affectionne les symboles, a célébré la fête nationale de la femme à sa manière, en boudant les militantes féministes de la capitale et en allant à la rencontre des artisanes dans les milieux ruraux, qui représentent davantage à ses yeux «le peuple qui veut» dont il se considère comme le porte-parole exclusif. Vidéo.

Lors d’une visite surprise, mercredi 13 août 2025, à la délégation de Sejnane, en présence du gouverneur de Bizerte, le président de la République a rendu visite à l’artisane Sabiha Ayari, l’une des plus réputées spécialistes de la poterie en Tunisie et à l’étranger, dans son espace d’exposition situé dans la région d’El Mrifeg.

Lors de sa visite dans la région, Saïed a également inspecté une série de stands installés le long de la route régionale 51 pour présenter et promouvoir la poterie de Sejnane.

Cette poterie constitue l’un des symboles distinctifs de la délégation, de la région et de la Tunisie dans son ensemble, et est inscrite sur la liste du patrimoine immatériel mondial de l’Unesco.

Le chef de l’État, qui a échangé avec les habitants, a pris connaissance leurs demandes et préoccupations, principalement liées aux questions sociales et de développement régional.

Le Président de la République a réaffirmé son engagement en faveur de l’édification nationale, ainsi que sa volonté de tout mettre en œuvre pour rompre avec l’ancien modèle de développement et promouvoir toutes les régions du pays sans exception.

Bien en tendu, il n’a pas été question, lors de cette «célébration décalée», ni du Code du statut personnel, ni de Habib Bourguiba, ci-devant émancipateur de la femme, ni des droits acquis par la Tunisienne au cours des soixante dernières années, ni des retards qu’accuse encore aujourd’hui le principe d’égalité entre les sexes, lequel ne semble plus une priorité pour le régime actuel, plus soucieux d’égalité économique et social.

I. B.

Vidéo.

L’article Fête de la femme | Kaïs Saïed chez les potières de Sejnane   est apparu en premier sur Kapitalis.

Le 13-Août | Une révolution sociale au profit des Tunisiennes

09. August 2025 um 09:49

Dans quelques jours, la Tunisie fêtera l’anniversaire de la promulgation du Code du statut personnel, le 13 août 1956. Ce texte de loi voulu et promulgué par Habib Bourguiba, fondateur de la Tunisie moderne, a inauguré une révolution qui a transformé radicalement le statut de la femme dans notre pays. Peu de monde pariait alors sur sa réussite, la femme ayant été depuis des siècles réduite à l’infériorité, la soumission, la tutelle de l’homme. (Ph. Bourguiba soulevant le voile d’une femme venue l’applaudir au centre-ville de Tunis).

Raouf Chatty *

Écrasée sous le poids de l’analphabétisme et des traditions rétrogrades, vivant dans une situation de quasi-esclavage, écrasée par des traditions archaïques inspirées par une lecture erronée de l’islam, la Tunisienne, à l’instar des autres musulmanes à travers le monde, vivait cloîtrée dans une prison physique et psychique. 

Dans les villages reculés, les femmes ne sortaient jamais le jour. Elles étaient cloitrées dans les maisons. Leur mission consistait à s’occuper du mari, à faire des enfants et à veiller à leur éducation. Elles étaient corvéables à merci,  travaillaient douze heures par jour et allaient au bain maure la nuit. Dans la région du Sahel, foncièrement conservatrice, elles portaient des wazra, habit en laine pesant au moins quinze kilos qui les couvrait entièrement, à telle enseigne que personne ne pouvait les reconnaître ou les approcher. Elles vivaient tout simplement dans des prisons. Elles étaient des prisonnières et leurs époux, des geôliers. Il ne venait jamais à leur esprit de mettre en cause ce statut, encore moins de se révolter de peur de perdre le gîte et le couvert, d’être répudiées illico presto par leur mari et de se voir condamnée à davantage de misère matérielle, morale et psychique dans les foyers de leurs parents.

Bourguiba, un visionnaire lucide

C’est à l’aune de cette situation indigne et inhumaine héritée de la nuit des temps où la femme n’avait aucune existence propre, que la société doit mesurer aujourd’hui cette révolution extraordinaire engagée de manière visionnaire et lucide par le leader Habib Bourguiba au lendemain de l’indépendance et les mesures importantes qu’il a décidées au profit de la femme. 

En quelques décennies, le statut de la femme a beaucoup évolué en Tunisie. Celle-ci est aujourd’hui mieux éduquée, plus libre, relativement autonome financièrement et responsable socialement. 

Maîtresse de sa vie, elle participe au même pied d’égalité que l’homme à l’essor de la société. Et c’est grâce à la présence effective de la femme dans la société et à son combat appuyé par l’État et la société civile que la Tunisie a réussi à triompher du fanatisme, incarné un moment par l’islam politique, qui a cherché par tous les moyens à la soumettre. En vain…

Des acquis qui commencent à dater

En ce 13-Août, un vif hommage doit être rendu à la femme dans notre pays. Son statut légal et sa place dans la société n’a pas égal dans le monde arabe et islamique. Et ce n’est pas une raison pour l’enfermer dans ces acquis qui commencent à dater. Aussi doit-elle être encouragée à aller de l’avant pour renforcer ses droits et, partant, les assises d’un État laïque et civil, un État respectueux des droits humains et des libertés fondamentales. 

C’est la seule façon de mettre la religion à l’abri des divisions et dissensions politiques et de permettre à la société de vivre et de travailler dans un État régie par le droit et dédié au développement global, durable et équilibré. Sans une femme libre, la société sera condamnée à l’obscurantisme, à la déliquescence et à la disparition. 

* Ancien ambassadeur. 

L’article Le 13-Août | Une révolution sociale au profit des Tunisiennes est apparu en premier sur Kapitalis.

Tunis : L’avenue Bourguiba sans voiture ce week-end

L’avenue Habib Bourguiba se transforme en zone piétonne le temps d’un week-end. Les samedi 28 et dimanche 29 juin 2025, la circulation automobile y sera interdite dans le cadre d’un événement urbain festif et familial.

Le gouvernorat de Tunis a annoncé hier que l’interdiction de circulation s’étendra de la place du 14-Janvier jusqu’aux rues d’Algérie et des Pays-Bas. Elle sera en vigueur le samedi de 14h à 20h, puis le dimanche de 7h à 20h.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche de sensibilisation à l’importance des espaces urbains sans voitures, tout en offrant aux citoyens un lieu sécurisé et convivial pour se détendre.

De nombreuses activités culturelles, sportives et ludiques seront proposées tout au long du week-end, dans une ambiance festive au cœur de la capitale.

L’article Tunis : L’avenue Bourguiba sans voiture ce week-end est apparu en premier sur webdo.

❌
❌