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Arts plastiques : La Tunisie de Stanislav Malakhov

08. Dezember 2025 um 14:48

Né le 8 décembre 1935, Stanislav Malakhov aurait eu 90 ans aujourd’hui. Celui qui fut un amoureux des paysages tunisiens laisse une œuvre impressionnante.

Artiste russe, Stanislav Malakhov a souvent séjourné en Tunisie. Jusqu’à sa disparition en février 2019, il a continué à réaliser des oeuvres dont l’épicentre se trouve dans les paysages tunisiens. Une exposition rétrospective a rendu hommage à sa mémoire en février 2020 au palais Khereddine à Tunis.

A sa manière, Stanislav Malakhov a réédité un pan de l’aventure d’Alexandre Roubtzoff au début du vingtième siècle. En effet, comme ce dernier, il a sillonné la Tunisie, cherchant son inspiration dans les paysages et aussi dans les scènes de vie. De Gafsa où il résidait, il aura rayonné sur toute la Tunisie, laissant une somme impressionnante d’oeuvres.

Paysagiste dans l’âme, Malakhov aimait par-dessus tout les paysages montagneux qu’il parvenait à restituer admirablement. De Orbata à Zaghouan, il peignait hauteurs tourmentées et pics effilés et affectionnait la couleur ocre plutôt sombre, si représentative de nos paysages. Rendant le relief dans ses circonvolutions, notre artiste a réalisé de nombreux tableaux dans les gorges de Midés ou bien autour de Thelja. Chaque fois, il parvenait à recréer une nature tourmentée qu’on dirait déchiquetée et le faisait dans un respect des harmonies qui mêlent le ciel et la terre dans un même élan.

Les paysages de Malakhov sont pluriels. Il aimait errer au gré de l’inspiration pour capturer l’atmosphère des villes nimbées de lumières ou celle de ruelles dans les médinas du pays. Ses tableaux nocturnes sont un régal en soi: sous la pleine lune, il y restitue des pans de médina obscures et recouvre le réel d’un halo bleuté. Cette série de Nocturnes urbains vaut à elle seule le détour et, rarement, artiste aura travaillé et excellé dans cette direction précise. Vivant dans le sud, Malakhov avait aussi une nette prédilection pour les oasis et leurs miracles jaillissant sous la forme de cascade ou d’échappées vertes dans une nature âpre.

Qu’ils soient cavaliers ou bédouins, les gens du sud sont aussi très présent dans l’oeuvre de Malakov. On y retrouve les caravaniers et leurs chameaux, les cavaliers tout à leurs joutes équestres et aussi les femmes dans leurs costumes rutilant de lumière. Il se dégage de ces oeuvres une impression de sud profond et aussi une simplicité qui emprunte autant au rustique qu’au bucolique. A regarder ces oeuvres, on imagine aisément l’artiste et son attirail planté en pleine nature ou bien esquissant rapidement un drapé, une silhouette ou un geste ample. Ces scènes de vie capturées entre Sned, Tamerza, Chenini ou Nefta sont des témoignages éloquents d’une passion pour le sud.

Autre passion de l’artiste, les sites archéologiques sont également très présents dans ses collection de tableaux. On y retrouve surtout Dougga et Sbeitla, peints sous plusieurs facettes et gorgés de lumière. On y retrouve aussi El Djem et son amphithéâtre ou les aqueducs romains et les rivages de Carthage. Très précis dans son travail, Malakhov restitue la patine des monuments et aussi leur puissance. Il semble nous inviter à méditer sur la fuite du temps et la permanence de la pierre. Ou encore sur la dialectique incessante entre la mer et la terre, le fluide et le solide. Ces jeux auxquels se livre l’artiste sont présents dans chacune de ses oeuvres, quelqu’en soit la technique.

Car s’il affectionne la peinture à l’huile en premier, Stanislav Malakhov n’hésite pas à se servir de pastels ou bien se mettre à l’aquarelle. Pour cette dernière technique, une surprenante série prend pour motif Sidi Bou Said sous divers aspects. En une dizaine d’aquarelles, l’artiste résume tout, de la quintessence de la lumière à l’atmosphère mystique qui inonde les lieux. Avec un fort pouvoir de séduction, cette série souligne combien la colline des soufis se prête à la peinture, combien la plastique de ce village est exceptionnelle. Mais au-delà de cette incursion, Malakhov reste surtout un oasien qui sait traquer la beauté du sud dans ses replis les plus subreptices. Rarement peintre aura accumulé autant d’oeuvres et d’esquisses ayant pour thème Gafsa et ses environs.

Ce long apprentissage du sud lui a appris à maîtriser toutes les fluctuations de la lumière qu’on retrouve parfois sur des tableaux reproduisant ( plutôt recréant) le même paysage. Hors des sentiers battus et sans référence ancrée dans une école précise, Malakhov restitue un sud tunisien inédit, baignant dans la lumière et comme préservé dans une aura virginale. De fait, Malakhov sublime ce sud, le transfigure tout en le peignant tel quel. C’est là que réside le tour de main de ce grand artiste, dans la lignée d’Alexandre Roubtzoff ou Natacha Markoff.

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La Marsa : Chants de Noël polonais à El Ksar

08. Dezember 2025 um 14:03

L’Ambassade de la République de Pologne à Tunis et El Ksar Palais Ahmed Bey ont offert au public une première lueur des fêtes de Noël avec une soirée chaleureuse qui s’est tenue ce samedi 6 décembre.

Pour ce concert des Chants de Noël polonais, la musique traditionnelle montagnarde de Podhale (sud de la Pologne) était à l’honneur avec un groupe d’artistes venus de Pologne.

Un public nombreux et bigarré était présent. Les uns reprenaient en chœur les chants de Noël et d’autres admiraient les costumes et les instruments de musique.

Conviviale, festive et riche en découvertes, cette soirée artistique a ouvert le cycle des concerts et marchés de Noël avec une attachante touche polonaise et des moments de grâce avec la performance d’une formation folklorique polonaise dans une magnifique demeure du dix-neuvième siècle tunisien.

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Flamenco : Quand Marco Flores enchante la Cité de la culture

08. Dezember 2025 um 12:54

Le Théâtre des régions à la Cité de la culture a accueilli samedi 6 décembre, une soirée flamenco organisée par l’ambassade d’Espagne en Tunisie avec le concours de l’Institut Cervantes et la Coopération internationale espagnole. Cette soirée était organisée en partenariat avec le Théâtre de l’Opéra.

Devant une salle comble, le flamenco était à l’honneur pour un spectacle intitulé  » Vengo Jondo « , la dernière œuvre de Marco Flores présenté comme l’une des voix les plus originales du flamenco actuel.

Prix national de Flamenco, Marco Flores se distingue par une technique raffinée, un profond respect de la tradition et une vision contemporaine de cet art foncièrement espagnol.

La venue de Marco Flores en Tunisie était en soi un événement tant cet artiste incarne le flamenco contemporain et la longue tradition qui l’irrigue. Avec plus de vingt ans de carrière et des distinctions telles que El Ojo Crítico et le Prix Max 2020, Marco Flores a su développer un langage chorégraphique personnel, élégant et reconnu sur les scènes internationales les plus prestigieuses : Sadler’s Wells, Sydney Opera House, Teatros del Canal, entre autres.

De plus, le spectacle proposé incluait une plongée dans l’âme profonde du flamenco. Le titre du spectacle est en lui-même tout un programme. Car l’expression  » Vengo Jondo  » traduit le cœur profond de cet art et fait référence au  » Cante Jondo « , le chant profond, la sensibilité humaine du flamenco et sa sincérité.

Dès le titre, le spectacle de Marco Flores pose une pétition de principe, une authenticité artistique et une profondeur de l’émotion. Ce qui était sur scène venait du  » fond « , des entrailles, du cœur et de l’âme, là où se trouvent les sources et l’origine du flamenco.

Dès les premiers instants, le voyage musical promis a enchanté l’assistance. Quelques accords à la guitare, des pas de danse dans une ambiance obscure puis une voix qui monte des trefonds. Ils étaient trois en scène entre état de grâce et transe rituelle. Comme si la musique et les corps revisitaient les racines profondes du flamenco.

Une heure durant, avec humour et emphase, Marco Flores et ses compagnons ont produit un flamenco de très haut niveau qui dans sa démarche, évoque le travail du chorégraphe et danseur tunisien Rochdi Belgasmi qui lui aussi, tente brillamment de sortir notre danse traditionnelle des entraves folkloriques. Avec Marco Flores, c’est un flamenco de la plénitude qui était exprimé, un cri du cœur porté par un lumineux projet artistique.

Le public ne s’y est pas trompé et a réservé une ovation de plusieurs minutes aux artistes à bout de souffle après une formidable prestation où chaque souffle, chaque geste et chaque arpège tutoyaient les limbes.

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Derby EST-CA (Juniors) : Que s’est-il passé hier au Parc B ?

08. Dezember 2025 um 10:20

Le derby Espérance – Club Africain accueilli hier par le Parc B a été émaillé par des agressions inacceptables subies par les Clubistes.

Cette violence reflète l’ambiance délétère dans laquelle se déroulent parfois les rencontres sportives des jeunes et les dangers encourus par ces derniers à cause de publics fanatisés.

Cette violence devenue ordinaire ne doit pas être passée sous silence par les équipes concernées, la Ligue et la Fédération.

Hier, le match EST-CA dans la catégorie juniors a été arrêté avant terme, à deux minutes de la fin, alors que le Club Africain menait par 2 à 1. Un envahissement brutal a entraîné l’arrêt du match et causé plusieurs blessés dans le camp clubiste.

Triste réalité et stupides agissements de supporteurs qui sont la honte de notre sport.

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Gestern — 07. Dezember 2025Haupt-Feeds

Vacances d’hiver dans le désert : Trois campements sahariens à Tembaïne

07. Dezember 2025 um 12:48

À Tembaïne dans le sud profond, les campements nomades viennent de s’enrichir avec l’ouverture d’une nouvelle unité.

Désormais, les passionnés du désert auront l’embarras du choix, avec le Mars Camp, le Camp Abdelmoula et le plus récent Tiniri Camp.

Une bonne nouvelle pour le tourisme saharien dont le potentiel est énorme dans la région qui va de Sabria à El Faouar et Matrouha en passant par Tembaïne.

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Everyday Tunisians : La grâce incomparable d’Hélène Catzaras

07. Dezember 2025 um 12:11

Comédienne réputée, Hélène Catzaras a été révélée au grand public grâce au film « Soleil des hyènes » de Ridha Behi. Cette œuvre forte et iconoclaste est restée un classique du cinéma tunisien.

Ce film fera d’ailleurs le tour du monde, suscitant aussi un lien insécable entre Hélène et Ahmed Senoussi, son premier partenaire à l’écran et l’homme de sa vie.

Hélène poursuivra sa carrière au cinéma et aussi à la télévision, interprétant plusieurs rôles qui lui vaudront l’estime et la reconnaissance du public.

Tunisienne d’origine grecque, elle affirme qu’elle a deux pays qu’elle aime et qui l’aiment. Et c’est tout dire de son lien lumineux et charnel aussi bien à la Grèce de ses ancêtres qu’à la terre qui l’a vue naître.

Aujourd’hui, outre ses responsabilités professionnelles, Hélène anime le chœur des chants grecs de Tunis et participe à des lectures à haute voix. Elle maintient ainsi son engagement culturel et apporte son savoir-faire à plusieurs initiatives.

Toujours engagée pour l’art, elle dégage une énergie rayonnante, celle-là même qui faisait dire au cinéaste Ridha Behi que la beauté d’Hélène Catzaras avait donné à son premier film, une humanité et une force inouïes.

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Snapshot : La Villa Yvonne murée après un incendie

07. Dezember 2025 um 11:03

Sur l’avenue de Paris, dans la rue du Luxembourg, la Villa Yvonne garde de beaux restes et ne ressemble à aucun autre édifice tunisois.
Ayant changé de mains à plusieurs reprises depuis sa construction au début du vingtième siècle, cette demeure a longtemps été délaissée voire abandonnée.

Récemment, la Villa Yvonne a été rachetée sans qu’une restauration ne soit envisagée. Peu après, un incendie a davantage altéré une aile de l’édifice déjà en ruines.

Depuis quelques jours, un mur de briques a fermé l’accès à cette partie de la demeure incendiée dans l’attente de toujours hypothétiques travaux de restauration ou de reconstruction.

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Patrimoine : Lella Chérifa et les compagnons de Sidi Bou Said

06. Dezember 2025 um 11:29

Près de la tombe de Sidi Bou Said se trouve celle de Lella Chérifa qui n’est autre que la fille du saint personnage. Mystérieux, toujours fermé, le sanctuaire de Lella Chérifa nous rappelle que Sidi Bou Said, selon sa légende, aurait eu deux filles Chérifa et Salha dont la tombe se trouve au mausolée qui porte son nom à Carthage

Cela nous rappelle également que sur la colline mystique de la banlieue nord, plusieurs femmes avaient à l’instar de Ommi Messaouda, Lella Meimoura et Lella Chérifa, elles aussi leur auréole de sainteté. Regards dans notre billet sur une tradition populaire au cœur de notre patrimoine immatériel.

La zaouia de Sidi Bou Said domine la colline qu’ont dit mystique et inspirée. Surnommé Rais el Bhar (Le Maitre des Mers), le saint personnage vécut de 1156 à 1231.

De son vrai nom, Abou Said Ibn Khalef Ibn Yahia Ettamimi Al Béji est le saint-patron du village qui s’est formé autour de son mausolée, cible d’une lâche attaque salafiste ces récentes années.

Si la mosquée et la tombe de Sidi Bou Said sont connues de tous, ce n’est pas le cas des sépultures de plusieurs autres saints personnages qui ont vécu en ces lieux.

Les plus connus sont incontestablement Sidi Dhrif, de l’autre côté du promontoire, et Sidi Chabaane dont un café porte le nom. Construit à flanc de colline, face à la mer, ce café a été construit autour de la tombe du saint personnage. C’est le fameux Café des Délices chanté par Patrick Bruel.

Les marabouts honorés par la mémoire populaire sont nombreux dans ces parages mystiques. Citons Par exemple Sidi Boufarès dont un hôtel porte le nom ou encore Sidi Ghebrini qui a donné son nom à une rue qui abrite une fort réputée galerie d’art.

Citons parmi ces marabouts Sidi Hassine ou Sidi Jebali ou encore Sidi Bou Teraa qui ont tous marqué l’histoire du village.

Non loin du Café des Nattes se trouve la petite zaouia de Sidi Azizi. Ce saint personnage a vécu jusqu’en 1928 et Ahmed Karoui rapporte qu’on le nommait « Babana » (Notre père) et qu’il était aussi auréolé de sainteté.

C’est aussi le cas de Ommi Messaouda qui, selon le même témoin, a vécu jusqu’en 1942 avec une réputation de sainteté émanant de ses actes pieux et généreux.

On cite également deux autres noms de femmes saintes : Lella Cherifa et Lella Meimoura.

Enfin, Sidi Faouah el Mesk au nom si poétique (celui qui répand les effluves du musc) complète ces douze « saints », compagnons géographiques de Sidi Bou Said.

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Everyday Tunisians : Rita Bannino au bon cœur de tous les bienveillants

06. Dezember 2025 um 10:16

Depuis de nombreuses années, Rita Mangogna Bannino est la dévouée présidente bénévole du foyer familial Delarue-Langlois à Rades.

Avec les membres du comité directeur, elle veille à la pérennité de cette institution née en 1944 et qu’elle aime décrire comme la Maison du cœur, celle où le seul drapeau est le cœur.

Installé à La Terrasse, une villa centenaire sur les hauteurs de Rades, ce foyer familial rassemble une quarantaine de pensionnaires français, italiens et tunisiens qui y passent leur retraite et dont certains ont vécu centenaires.

Rita met toute son énergie au service de ce foyer avec une devise remarquable qui a pour ambition de rajouter de la vie aux années. À la Terrasse, on célèbre toutes les fêtes sur le mode œcuménique et on partage toutes les traditions culinaires tunisiennes : couscous de Ras El Am, pâtes aux sardines pour la Saint-Joseph ou dinde de Noël.

Née à Tunis dans une famille sicilienne, Rita Mangogna Bannino est issue du lycée Carnot où elle a croisé toutes les communautés tunisiennes. Forte de ses convictions, engagée avec ardeur, son combat a valeur de modèle et ses journées souvent interminables mais si inspirantes.

Car Rita le sait : c’est avec le cœur que l’on peut remuer les montagnes. Avec un souffle profond et un enthousiasme intact, elle poursuit sa mission et ses efforts dans la communion des bienfaisants.

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Méditerranée : Une coalition de parlementaires contre la pollution plastique

06. Dezember 2025 um 10:08

La COP24Med de la Convention de Barcelone s’est tenue du 2 au 5 décembre au Caire, à quelques kilomètres d’une Méditerranée chaque jour davantage impactée par la pollution plastique.

Les députés rassemblés ont décidé (en tant que parlementaires membres de la Coalition interparlementaire pour mettre fin à la pollution plastique) de cosigner avec plus de cinquante organisations de la société civile une lettre ouverte aux ministres de l’Environnement des pays méditerranéens.

Voici les principaux extraits de cette lettre ouverte :

« Alors que les négociations du traité mondial contre la pollution plastique sont à l’arrêt, nous appelons à un sursaut collectif et à un plan d’action régional ambitieux qui :

  • reconnaisse officiellement l’ urgence environnementale face à cette pollution ;
  • soutienne le traité mondial avec engageant à le signer et à le ratifier ;
  • s’engage à réduire la production de plastiques vierges et à tenir compte des risques sanitaires et de l’exposition aux substances chimiques préoccupantes ;
  • comptabilise de manière transparente les flux de plastiques déversés en Méditerranée ;
  • crée un fonds méditerranéen pour les pays vulnérables pour le renforcement de la recherche et le traitement des déchets ;
  • intègre la lutte contre la pollution dans toutes les politiques publiques sectorielles ».
    Notons que la Tunisie était représentée à ces assises par le parlementaire Riadh Jaidane, député des Tunisiens à l’étranger.

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Tourisme saharien : Un salon international pour booster la destination Tunisie

06. Dezember 2025 um 09:56

Le Salon international du tourisme saharien et oasien aura lieu du 30 janvier au 2 février 2026. Initialement programmée en décembre, cette importante manifestation de promotion de la destination Tunisie est ainsi reportée de quelques semaines.

Ce salon international est destiné à soutenir le tourisme dans les gouvernorats du sud et dynamiser les flux vers les régions sahariennes et oasiennes.

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UGTT : Une symbolique des dates qui mérite d’être relevée

06. Dezember 2025 um 09:46

L’Union générale tunisienne du travail ( UGTT ) a annoncé hier, vendredi 5 décembre, la décision de sa Commission administrative d’organiser une grève générale le 21 janvier 2026.

Ces deux dates retiennent l’attention car elles semblent répondre à une symbolique liée à l’histoire de la Centrale syndicale.

En effet, si le 5 décembre coïncide avec la date de l’assassinat de Farhat Hached, principal fondateur de L’UGTT, la date du 21 janvier suggère un autre symbole.

La fondation de l’Union générale du travail de Tunisie a eu lieu le 20 janvier 1946 et le syndicat historique célèbrera son quatre-vingtième anniversaire à cette date. Ainsi, si elle aura effectivement lieu, cette grève générale interviendra le lendemain de cette commémoration.

Une symbolique des dates qui a son importance et mérite d’être relevée.

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Snapshot : Au Colisée, la Rotonde se prépare pour les JCC ?

05. Dezember 2025 um 11:30

Les Journées cinématographiques de Carthage démarrent le samedi 13 décembre et se poursuivront jusqu’au 20 décembre.

La longue tradition du festival a fait que la Rotonde, café de référence au Colisée de Tunis, se transforme en espace dédié au festival.

Est-ce que ce sera le cas cette nouvelle édition ? Attendons voir mais pour le moment, à la Rotonde, c’est le grand ménage du vendredi ( jour de fermeture hebdomadaire).

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Everyday Tunisians : Malika, reine du mlaoui

05. Dezember 2025 um 11:23

Dans le vestibule de sa maison de la médina de Tunis, Malika profite du courant d’air. Plongée dans la préparation de la pâte qui servira à confectionner des pains mlaoui, elle ne voit pas les heures passer.

Malika vend des sandwichs qu’elle prépare avec des œufs, du fromage fondu et de l’harissa. Ses recettes lui permettent d’apporter un précieux appoint à sa famille.

Comme beaucoup de femmes de la médina, Malika parvient à engager une activité génératrice de revenus. Avec peu de moyens et beaucoup de courage, elle partage le pain et la bonne humeur à partir de la skifa de sa demeure.

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Tennis : Champion, né en Tunisie, Nicola Pietrangeli n’est plus

04. Dezember 2025 um 09:36

Né en Tunisie, champion international de tennis, Nicola Pietrangeli est décédé le 1er décembre 2025 à l’âge de 92 ans.

Il avait fait ses débuts dans son pays natal et jouera au tennis jusqu’en 1977.

Né dans la Tunisie des années trente, et devenu un champion de premier plan, Nicola Pietrangeli s’est en particulier distingué au cours du tournoi de Roland Garros. Sous les couleurs de l’Italie, il a remporté à deux reprises ce tournoi. C’était en 1959 puis en 1960.

Né à Tunis en septembre 1933, Pietrangeli est une grosse pointure du tennis mondial qui a joué sur les courts de Roland-Garros mais aussi à Wimbledon, à l’Open d’Australie ou encore à l’US Open.

Avec son style élégant et ses tenues blanches immaculées, Nicola Pietrangeli a fait partie du gotha du tennis et poursuivi sa carrière jusqu’en 1977.

De mère russe, la légende voudrait que son père, italien, qui l’avait initié au tennis, s’était rendu fameux en donnant des cours sur des courts improvisés aux prisonniers, dont il faisait partie, d’un camp de redressement à Gabès, pendant la Deuxième guerre mondiale.

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Everyday Tunisians : Antar de Testour

04. Dezember 2025 um 09:16

A Testour, tous connaissent Alaeddine et son atelier sur la grand-rue de la ville. Installé devant son métier, taillant et modelant des manches pour les outils agricoles, Alaeddine met tout son cœur à l’ouvrage et, au quotidien, honore la mémoire de son père.

Ce dernier, prénommé Antar, est demeuré dans toutes les mémoires. Sa présence est tellement ancrée que son fils est désigné par le prénom paternel. Qu’à cela ne tienne ! Alaeddine sait que le plus important réside dans la qualité du travail accompli.

Travaillant le bois, égalisant les volumes, le fils d’Antar ne jure que par la qualité. Et à Testour, on vient de plusieurs lieues à la ronde pour les objets qui, conçus par ses mains, sortent de son atelier intemporel.

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Snapshot : Des nouvelles de l’Hôtel du Lac

04. Dezember 2025 um 09:08

La fièvre est désormais retombée et l’opinion semble plutôt se désintéresser de l’avenir de l’hôtel du lac. Après le tollé des mois antérieurs, les regards se sont détournés de cet édifice singulier.

Pour le moment, les travaux se poursuivent et la structure du bâtiment continue à être désossée. Nos photos prises ce jour même permettent de constater que le chantier n’a pas beaucoup avancé alors que le grignotage de la pyramide se poursuit.

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Au Credif : Grand hommage à Tahar Haddad

04. Dezember 2025 um 08:59

Le Centre de recherches, etudes, documentation et information sur la Femme ( CREDIF ) rend hommage à Tahar Haddad, 90 ans après sa mort en 1935.

Pour commémorer cette date et saluer la mémoire de l’auteur de l’ouvrage « Notre Femme », une journée d’étude aura lieu vendredi 5 décembre à partir de 8h30 au siège du CREDIF.

Une initiative louable qui permet de vivifier le souvenir de Tahar Haddad, l’un des premiers féministes en Tunisie.

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Everyday Tunisians : Béchir et la grande mosquée de Sousse

03. Dezember 2025 um 09:22

Originaire de Msaken, Béchir est le curateur de la Grande Mosquée de Sousse. Il y accueille les visiteurs et, parfois, les initie aux secrets qui se nichent entre les colonnes du sanctuaire.

Depuis plus de trente-cinq ans, Béchir travaille ici et maîtrise tous les arcanes de cette mosquée fondée en 851 et comptant, avec le Ribat et l’oratoire Bouftata, parmi les trois plus anciens monuments historiques et religieux de la Perle du Sahel.

Désignant les inscriptions épigraphiques, dévoilant le complexe des citernes celées sous l’impluvium de la cour, Béchir relève chaque détail et même les strates aghlabides et ottomanes des restaurations connues par la mosquée.

Au dessus du porche central, une inscription en caractères coufiques mentionne les travaux initiés en 1965 par Bourguiba. Tout autour, les citations coraniques sont calligraphiées depuis les premiers temps de la mosquée, havre de sérénité, au seuil de la médina de Sousse.

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