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Gestern — 11. Dezember 2025Haupt-Feeds

Tout savoir sur la billetterie des JCC 2025

Von: Yusra NY
11. Dezember 2025 um 21:03

Les organisateurs des Journées cinématographiques de Carthage (JCC), ont dévoilé, ce jeudi 11 décembre 2025, le système de billetterie adopté pour la 36e édition de ce festival incontournable

L’achat en ligne est ouvert dès aujourd’hui, offrant la possibilité d’acquérir des tickets pour l’intégralité des films du festival.

L’achat direct aux guichets débutera le 13 décembre. Ce dernier est limité à l’acquisition des programmes du jour même et du jour suivant.

Dans les deux cas (en ligne et aux guichets), l’achat est limité à trois (03) billets par film et par personne.

Les guichets physiques :

  • La Cité de la Culture propose une vente continue de 9h00 à 21h30 du 14 au 20 décembre; exceptionnellement, la vente le 13 décembre sera de 9h00 à 14h00.
  • Les salles du Centre-Ville de Tunis assurent la vente uniquement le matin, de 9h00 à 14h00, du 13 au 20 décembre 2025.
  • Les salles de cinéma L’Agora, Cinémadart et Alhambra Zephyr assurent également une vente continue de 9h00 à 21h30, du 13 au 20 décembre.

Les tarifs ont été fixés à 6 dinars tunisiens pour le grand public et à 3 D.T. pour le tarif réduit destiné aux élèves et étudiants.

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Flamenco : Quand Marco Flores enchante la Cité de la culture

08. Dezember 2025 um 12:54

Le Théâtre des régions à la Cité de la culture a accueilli samedi 6 décembre, une soirée flamenco organisée par l’ambassade d’Espagne en Tunisie avec le concours de l’Institut Cervantes et la Coopération internationale espagnole. Cette soirée était organisée en partenariat avec le Théâtre de l’Opéra.

Devant une salle comble, le flamenco était à l’honneur pour un spectacle intitulé  » Vengo Jondo « , la dernière œuvre de Marco Flores présenté comme l’une des voix les plus originales du flamenco actuel.

Prix national de Flamenco, Marco Flores se distingue par une technique raffinée, un profond respect de la tradition et une vision contemporaine de cet art foncièrement espagnol.

La venue de Marco Flores en Tunisie était en soi un événement tant cet artiste incarne le flamenco contemporain et la longue tradition qui l’irrigue. Avec plus de vingt ans de carrière et des distinctions telles que El Ojo Crítico et le Prix Max 2020, Marco Flores a su développer un langage chorégraphique personnel, élégant et reconnu sur les scènes internationales les plus prestigieuses : Sadler’s Wells, Sydney Opera House, Teatros del Canal, entre autres.

De plus, le spectacle proposé incluait une plongée dans l’âme profonde du flamenco. Le titre du spectacle est en lui-même tout un programme. Car l’expression  » Vengo Jondo  » traduit le cœur profond de cet art et fait référence au  » Cante Jondo « , le chant profond, la sensibilité humaine du flamenco et sa sincérité.

Dès le titre, le spectacle de Marco Flores pose une pétition de principe, une authenticité artistique et une profondeur de l’émotion. Ce qui était sur scène venait du  » fond « , des entrailles, du cœur et de l’âme, là où se trouvent les sources et l’origine du flamenco.

Dès les premiers instants, le voyage musical promis a enchanté l’assistance. Quelques accords à la guitare, des pas de danse dans une ambiance obscure puis une voix qui monte des trefonds. Ils étaient trois en scène entre état de grâce et transe rituelle. Comme si la musique et les corps revisitaient les racines profondes du flamenco.

Une heure durant, avec humour et emphase, Marco Flores et ses compagnons ont produit un flamenco de très haut niveau qui dans sa démarche, évoque le travail du chorégraphe et danseur tunisien Rochdi Belgasmi qui lui aussi, tente brillamment de sortir notre danse traditionnelle des entraves folkloriques. Avec Marco Flores, c’est un flamenco de la plénitude qui était exprimé, un cri du cœur porté par un lumineux projet artistique.

Le public ne s’y est pas trompé et a réservé une ovation de plusieurs minutes aux artistes à bout de souffle après une formidable prestation où chaque souffle, chaque geste et chaque arpège tutoyaient les limbes.

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Tunis | F.A.S.L. , une deuxième représentation à la Cité de la Culture

Von: Yusra NY
29. November 2025 um 23:53

Afin de satisfaire les nombreux amateurs de danse, le Théâtre de l’Opéra de Tunis organise une représentation supplémentaire de la pièce chorégraphique Fasl et ce dimanche 30 novembre 2025 à 16h00 au Théâtre des Régions, Cité de la Culture Chedly Klibi.

F.A.S.L. est un projet artistique international imaginé entre le Théâtre de l’Opéra de Tunis et les chorégraphes Emio Greco et Pieter C. Scholten de ICK Dans Amsterdam pour le Ballet de l’Opéra de Tunis.

Après plusieurs semaines d’expérimentation, de transmission et de résidences à Tunis et à Amsterdam, il sera présenté pour la première fois aux Journées Théâtrales de Carthage avec dix danseurs internationaux de ICK Dans Amsterdam. La diversité de la rencontre à l’œuvre au sein de ce projet multiculturel entre la Tunisie et les Pays-Bas, agit comme un moteur de création.

Le mot arabe “F.A.S.L.” signifie pause, transition ou séparation. La pièce explore ce qui se joue entre deux mondes, entre deux mouvements, entre le silence et le son, entre l’individuel et le collectif.

F.A.S.L. est une chorégraphie de la rencontre et de la friction, un espace où le corps et la voix, la culture et la vibration, se touchent et se réinventent.

La création puise dans la complexité des relations entre l’Europe et le Maghreb et dans le désir de transformer les contrastes en un langage commun. Emio Greco et Pieter C. Scholten s’inspirent des rythmes de la Méditerranée, des voix du désert et des sons de la ville. Ces oppositions musicales et physiques deviennent la matière brute d’une partition chorégraphique.

Le spectacle se déploie en neuf mouvements, comme neuf respirations où les voix, les rythmes et les corps se croisent et se répondent. Les danseurs évoluent parmi des micros et des pieds de micro qui ne se contentent pas d’enregistrer, mais deviennent des corps à part entière – ombres et échos du mouvement. Sons, musique et danse forment un organisme vivant, à la fois fragile et intense.

F.A.S.L. est une danse des contrastes : de la ville au désert, de l’ombre à la lumière, du singulier au collectif. Un rituel de liens où la différence ne sépare pas, mais relie.

DISTRIBUTION
Concept et chorégraphie : Emio Greco | Pieter C. Scholten
Lumière et son : Pieter C Scholten, Nasser Karaani, Marco Broere
Costumes et scénographie : Kamel Dekhil & Clifford Portier
Répétiteurs assistants des chorégraphes : Oumeima Manai & Victor Swank
le ballet de l’Opéra de Tunis:
Kais Harbaoui
Cyrine Kalai
Ranim Kefi
Abdelmonaim Khemis
Hazem Chebbi
Oussema Khlifi
Yassine Kharrat
Fatma Balti
Ensemble ICK
Payton St. John, Hiroki Nunogaki, Ricardo Vasquez Allen
ICK-Next – Junior Company
Dante Gonzalez, Emma Shelly, Emma Tshitenge, Gabriella Larosa, William Philbert, Fiona Yau, Sunghyun Hong
Production du Théâtre de l’opéra de Tunis, en collaboration et avec le soutien de ICK Dans Amsterdam
Avec le soutien du Fonds Podiumkunsten, de la Ville d’Amsterdam, du Ministère des Affaires culturelles tunisien, de l’ambassade de Tunisie aux Pays-Bas, et de l’ambassade des Pays-Bas en Tunisie.

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« La Traviata – Version Tunisienne » de retour sur la scène de l’Opéra de Tunis

27. Oktober 2025 um 14:32

La Salle de l’Opéra de Tunis accueillera, le vendredi 31 octobre à 19h30, la reprise de « La Traviata – Version Tunisienne », une adaptation du chef-d’œuvre de Giuseppe Verdi revisitée par le Théâtre de l’Opéra de Tunis. Dirigée par Nicoletta Conti, cette production rassemblera 140 artistes, dont le baryton Haythem Hadhiri dans le rôle de Giorgio Germont et la soprano Lilia Ben Chikha dans celui de Violetta Valéry.

Une création lyrique aux couleurs tunisiennes

Présentée pour la première fois en mai dernier, cette version de La Traviata avait conquis le public par son intensité et sa réinterprétation culturelle. Le spectacle revient enrichi et peaufiné, promettant une expérience à la fois fidèle à l’esprit de Verdi et imprégnée d’une sensibilité tunisienne. Costumes, lumières et projections redessinent la scène, tandis que la direction artistique mise sur la fusion entre tradition lyrique et identité locale.

Dans la continuité de Carmen – Version Tunisienne, cette nouvelle création s’inscrit dans une démarche ambitieuse du Théâtre de l’Opéra de Tunis : réinventer les grands opéras universels en les ancrant dans la culture nationale et rayonner au-delà des frontières.

Un hommage à Verdi, entre tradition et modernité

Par son orchestration passionnée, ses décors inspirés et sa distribution d’exception, La Traviata – Version Tunisienne entend célébrer le génie de Verdi tout en rendant hommage à la vitalité du chant lyrique tunisien. Un rendez-vous incontournable pour les mélomanes, entre émotion, élégance et identité.

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