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Gestern — 16. Juli 2025Haupt-Feeds

Pour dominer le monde de l’IA, Zuckerberg investit massivement

16. Juli 2025 um 14:39

Meta Platforms Inc. mise sur l’avenir de l’intelligence artificielle en investissant massivement dans des supercalculateurs. Redéfinissant par conséquent ses objectifs technologiques face à ses concurrents. Dans ce cadre, Mark Zuckerberg, le patron de Meta, a révélé, lundi 14 juillet 2025, être en train de travailler à la mise en place de réseaux informatiques d’une capacité de plusieurs gigawatts dans l’optique de créer une « superintelligence« .

Meta Platforms Inc., l’entreprise technologique majeure qui se cache derrière Facebook, renforce ses initiatives dans le secteur de l’intelligence artificielle. Sous la direction de Mark Zuckerberg, la société a déclaré un investissement considérable dans le développement de superclusters spécialisés dans l’intelligence artificielle. Ces installations, dénommées “Prometheus“ et “Hyperion“, ont été élaborées pour gérer d’énormes volumes de travail lors de la formation des modèles d’intelligence artificielle.

L’intention est limpide : surpasser les concurrents tels qu’OpenAI et Google. Ces actions signalent un nouveau chapitre pour Meta, qui est résolue à se positionner en tête du secteur de l’intelligence artificielle.

Une IA capable d’effectuer des percées scientifiques

« Les laboratoires de superintelligence de Meta seront équipés des capacités de calcul les plus avancées du secteur et, de loin, posséderont la plus grande puissance numérique par chercheur ». C’est ce qu’a déclaré le patron du groupe Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) dans une communication sur ses réseaux personnels. Il a ajouté, avec enthousiasme, « avoir hâte de collaborer avec les meilleurs chercheurs pour étendre les limites ».

Ainsi, Mark Zuckerberg fait un clin d’œil aux nombreux recrutements effectués courant les dernières semaines par le géant américain, parmi lesquels l’ancien d’Anthropic Joel Pobar, ainsi que trois ex-chercheurs du bureau zurichois d’OpenAI (Lucas Beyer, Alexander Kolesnikov et Xiaohua Zhai), dont les primes à la signature atteindraient les 100 millions de dollars.

Il faut souligner que depuis l’introduction de ChatGPT par OpenAI, Meta est en retard dans le domaine de l’IA générative. Tous les dirigeants de l’industrie visent une IA qualifiée de « générale » ou de « superintelligence », dotée de capacités cognitives qui surpasseraient celles de l’homme, capables d’effectuer des percées scientifiques et d’inventer elles-mêmes des technologies.

A cet effet, Mark Zuckerberg a déclaré : « Le premier réseau, que nous désignons sous le nom de Prometheus, devrait être opérationnel en 2026. Nous développons également Hyperion, qui sera capable de produire jusqu’à 5 gigawatts au fil du temps ». Les 5 gigawatts sont l’équivalent de la consommation annuelle d’électricité de 1 à 4 millions de ménages américains.

Un investissement dans les talents aussi

Meta ne se limite pas à investir dans l’infrastructure, mais investit aussi dans les compétences. Elle a récemment signé un contrat de 14 milliards d’euros avec Scale AI, mettant en évidence sa détermination à investir et à recruter dans le domaine de l’IA. Meta a inauguré les Meta Superintelligence Labs en juin, une entité inédite rassemblant des chercheurs et des ingénieurs en IA parmi les plus talentueux sous un même toit.

Alexandr Wang, ancien PDG de Scale AI, ainsi que Nat Friedman, ex-PDG de GitHub, supervisent ce projet. Confronté à une réception mitigée des modèles de langage Llama 4 de Meta, Zuckerberg tente de réviser la stratégie de l’entreprise en termes de développement d’IA, dans l’objectif d’atteindre ou dépasser ses rivaux.

Dans cette optique, Meta a recruté des dirigeants de premier plan d’Apple, Anthropic et OpenAI afin de renforcer sa division Superintelligence Labs nouvellement créée.

Développements à suivre.

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Algérie : 4,5 % de croissance au premier trimestre 2025

16. Juli 2025 um 10:25

En comparaison avec la même période de 2024, l’économie algérienne a connu une meilleure performance au premier trimestre de 2025. D’après le dernier rapport sur les comptes nationaux publié par l’Office national des statistiques (ONS), l’économie algérienne a enregistré une croissance de 4,5 % au cours du premier trimestre de 2025, contre 4,2 % pour la même période de 2024. « Cette augmentation reflète une nette amélioration de la performance de l’économie algérienne », explique l’ONS.

En termes de valeur nominale, le PIB de l’Algérie a atteint 10 047,4 milliards de dinars au premier trimestre 2025. Soit une augmentation de 8,0 % par rapport aux 9 303,8 milliards de dinars réalisés lors du même trimestre en 2024. Cette évolution indique une hausse du niveau global des prix de 3,3 %. Ce qui est inférieur aux 4,3 % notés lors du premier trimestre de l’année précédente.

Les hydrocarbures en déclin

L’expansion a été stimulée par les domaines non liés aux hydrocarbures, à 5,7 %, comparé à 4,3 % lors du premier trimestre 2024. Le rapport précise que cette progression est le résultat de la « diversification graduelle de l’économie algérienne, au-delà du domaine des hydrocarbures ». Elle met l’accent sur la transformation radicale de l’économie algérienne qui s’éloigne progressivement de sa forte dépendance vis-à-vis des hydrocarbures.

En revanche, l’industrie des hydrocarbures a connu une régression de 2,8 %, suite à une modeste augmentation de 0,2 % au début du premier trimestre 2024.

Selon l’ONS, la valeur ajoutée provenant de l’extraction des hydrocarbures a connu une baisse de 1,5 %, poursuivant ainsi la tendance décroissante de 2024 (-1,1 %). Dans certaines activités comme le raffinage et la cokéfaction, la diminution était d’autant plus marquée (-5,5 % par rapport à une augmentation de 4,4 % l’année précédente).

En termes nominaux, la valeur du secteur des hydrocarbures en Algérie a atteint 1 429,7 milliards de DA durant cette période, marquant une baisse de 2,4 % par rapport au premier trimestre de l’année précédente où elle s’élevait à 1 465 milliards de DA.

Des résultats exceptionnels affichés par certains secteurs

Mis à part les hydrocarbures, le domaine agricole et certains secteurs de l’industrie ont affiché des résultats exceptionnels. En effet, la valeur ajoutée du secteur agricole a enregistré une augmentation de 6,1 % au premier trimestre 2025. Ce qui représente presque le double de sa progression durant la même période en 2024 (3,1 %). « Cette tendance favorable découle principalement d’une campagne céréalière réussie et du renforcement des secteurs agricoles à forte valeur ajoutée », indique le rapport.

Le secteur industriel algérien a également affiché une performance globale remarquable, avec une augmentation de 5,5 %, comparativement à un modeste 2,3 % au premier trimestre de l’année dernière.

Cette réalisation, qui reflète un « renforcement marqué du dynamisme industriel », a été stimulée par différentes catégories manufacturières, y compris l’industrie alimentaire et du tabac (+5,6 %), celle du cuir et des chaussures (+15,4 %), les produits minéraux non métalliques (+9,9 %), le textile et l’habillement (+5,9 %), ainsi que les autres industries manufacturières (+14,4 %).

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Maroc : une croissance économique de 4,6 % au deuxième trimestre 2025

11. Juli 2025 um 16:43

Selon le Haut-Commissariat au Plan (HCP), la croissance de l’économie a atteint 4,6 % au Maroc, pour le deuxième trimestre 2025, en comparaison annuelle.

D’après le HCP dans un bulletin d’information sur la situation économique du premier trimestre 2025 et les prévisions pour les deuxième et troisième trimestres de 2025, cette expansion est stimulée par l’excellente performance des activités non agricoles. Et en particulier les services qui connaissent une croissance bien supérieure à celle enregistrée entre 2010 et 2019, depuis 2022 au Maroc.

Persistance des tensions sur les prix mondiaux

Selon la même source, l’industrie extractive a profité d’une forte demande internationale en phosphate brut. Ce qui a conduit à une nette augmentation de ses exportations. Et ce, dans un climat marqué par la persistance des tensions sur les prix mondiaux des engrais.

De même, le secteur de la construction a enregistré une progression de 6,8 %, propulsée par l’accélération des grands projets d’infrastructures. Quant au secteur agricole, il a continué de croître à un rythme de 4,7 % au deuxième trimestre 2025, en comparaison annuelle. Apportant ainsi 0,5 point à l’expansion économique globale. Malgré une tendance générale à la hausse, les productions végétales ont cependant connu des fluctuations disparates. Lesquelles sont dues aux conditions météorologiques irrégulières qui ont dominé les saisons d’automne et de printemps 2024/2025.

A cet égard, les hautes températures, associées à un manque de pluie inégalement distribuée entre les régions, ont probablement eu un impact sur quelques cultures, en particulier les rosacées et les plantes oléagineuses. En revanche, il y a eu une amélioration des récoltes de céréales, de légumes de saison et de cultures sucrières, surtout dans les régions irriguées et celles moins sujettes au manque d’eau, en partie grâce à des mesures d’appui.

Reprise des activités agricoles

Quant à la production animale, qui connaît un recul temporaire depuis 2022, elle est demeurée sous son niveau de tendance au cours du deuxième trimestre 2025, en dépit d’une progression de l’activité avicole.

En somme, la croissance de la valeur ajoutée de tous les secteurs d’activité a été déterminée, au deuxième trimestre 2025, à un taux similaire à celui du premier trimestre (+4,5 %). En outre, le HCP souligne que l’économie nationale marocaine a connu une croissance de 4,6 % au premier trimestre 2025. Cette progression est attribuée à la reprise des activités agricoles et à l’élargissement de la valeur ajoutée des secteurs secondaires et tertiaires.

Lors du premier trimestre précédent, la demande interne au Maroc a contribué à hauteur de 8,5 points à l’augmentation du PIB, atteignant ainsi son sommet depuis la reprise post-Covid. Pendant ce temps, la demande externe a continué de s’affaiblir à une cadence plus soutenue, réduisant la progression économique du Royaume Chérifien de 3,8 points.

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Arabie saoudite : Richard Attias & Associated vers la Bourse

10. Juli 2025 um 13:53

Selon un rapport, Richard Attias et Associates, l’organisateur de la Future Investment Initiative Summit en Arabie saoudite, envisage une introduction en Bourse.

Richard Attias, le fondateur et président de RA&A, a indiqué à Bloomberg que sa société de conseil et d’organisation d’événements collaborait actuellement avec des banques, y compris Evercore Inc, en vue d’une possible entrée sur le marché boursier dès l’année prochaine.

Une destination commerciale mondiale

Le Forum d’Investissement International est généralement perçu comme un événement majeur au Royaume, attirant les dirigeants internationaux et les spécialistes du domaine pour échanger sur les chances et les enjeux actuels dans le contexte financier mondial.

Par ailleurs, Richard Attias a joué un rôle central en tant qu’intervenant lors des événements de la FII, où l’Arabie saoudite a dévoilé les aspirations de sa Vision 2030. Cette initiative vise à établir le pays comme une destination commerciale mondiale d’ici la fin des années 2020. Selon Bloomberg, en se référant à Attias, « après toute opération éventuelle, il demeurerait actionnaire et continuerait à être le président du conseil d’administration. Rien n’a été décidé de manière concluante ».

Actuellement, Sanabil, qui est l’entité d’investissement du Fonds d’investissement public du Royaume, détient approximativement 75 % de RA&A, tandis qu’Attias possède le reste. Il occupe actuellement le poste de président du conseil exécutif de l’institut FII, une organisation sans but lucratif administrée par le fonds souverain d’Arabie saoudite. En février, le sommet des priorités de l’institut FII s’est tenu à Miami, avec la participation du président américain Donald Trump qui a donné un discours lors de l’événement.

Un effet social sur le long terme

Le discours principal de Trump a mis en évidence l’importance d’investissements stratégiques qui produisent à la fois des bénéfices financiers et un effet social sur le long terme. « C’est un grand privilège aujourd’hui d’être le premier président américain à prendre la parole devant le Future Investment Initiative Institute », avait-il déclaré lors de cette rencontre. L’édition 2023 de l’IIF a attiré plus de 500 participants et organisé plus de 200 sessions. Parmi elles figuraient des séances plénières, des réunions en comité restreint et des conclaves traitant de sujets tels que la stabilité économique, les frictions géopolitiques et le développement équitable.

Depuis sa création en 2017, l’Institut FII tient chaque année des manifestations à Riyad. Au fil des années, ce programme est devenu une référence majeure dans le domaine de la finance.

Créé en 2008, RA&A a actuellement plus de 100 employés à travers le monde. Selon leur profil LinkedIn, ils offrent des idées, établissent des connexions et mettent en place des plateformes pour orienter leurs clients, qui se composent d’entreprises, de gouvernements, d’ONG et d’organisations sans but lucratif.

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Bank of Africa : Said Adren consacré « leader africain de l’année »

09. Juli 2025 um 08:40

Lors de la cérémonie des Business Chamber Awards, qui s’est tenue le 3 juillet 2025 à Londres, Bank of Africa a reçu deux distinctions. Rassemblant des ambassadeurs africains, des dirigeants britanniques ainsi que des personnalités du milieu culturel et économique, la manifestation a mis en lumière la contribution de la banque au développement économique de l’Afrique.

A l’occasion de cet événement, Bank of Africa a été nommée “Entreprise Africaine de l’Année“. Ce prix met en lumière son engagement stratégique dans le financement des économies africaines, sa quête d’excellence et son influence grandissante en dehors du continent.

Ainsi, l’établissement bancaire, qui opère dans une vingtaine de pays du continent, réaffirme sa position en tant qu’acteur majeur de la finance panafricaine.

Un autre moment fort de la soirée a été la remise du prix du “Leader Africain de l’Année“ à Said Adren, directeur général de Bank of Africa UK.

Choisi parmi une centaine de postulants, M. Adren a été récompensé pour son leadership éclairé, sa gestion révolutionnaire de la filiale britannique et son dévouement durable à promouvoir la finance africaine depuis le Royaume-Uni.

Une banque qui s’inscrit dans l’innovation

La Bank of Africa (BOA) a été la première institution au Maroc et dans la région MENA à adhérer à l’Alliance africaine pour le capital naturel (ANCA), une plateforme de référence dédiée à la promotion du progrès économique et du développement financier sur le continent. Un événement qui a eu lieu en avril dernier.

Selon un communiqué, cette adhésion sous la direction de son président Othman Benjelloun confirme l’engagement avant-gardiste de BOA en matière de finance durable, notamment en soutenant des économies africaines favorables à l’environnement et en renforçant la reconnaissance des risques et opportunités liés à la nature dans le secteur financier.

Depuis 2015, Bank of Africa a élaboré une série novatrice de produits financiers afin d’accompagner ses clients dans des secteurs essentiels comme l’efficacité énergétique, la gestion de l’eau et l’économie circulaire. Le Groupe a aussi inclus la gestion des risques environnementaux, sociaux et, plus récemment, climatiques dans l’administration de son portefeuille.

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Issam Sefi critique une démarche répressive du projet de loi portant sur l’e-commerce

08. Juli 2025 um 14:15

Issam Sefi, vice-président au sein du Syndicat des Editeurs de Vidéo à la Demande (Sevad), l’Organisation professionnelle représentant le secteur du e-commerce et de la vente à distance, est intervenu, ce mardi 8 juillet 2025 sur les ondes de radio Express FM, pour évoquer le projet de loi concernant l’e-commerce.

Il a d’abord reconnu une réaction favorable, à ses yeux, suite à la réunion organisée à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et où la Sevad a été conviée par les députés signataires de l’initiative. Par la suite, Issam Sefi a mis l’accent sur le fait que ce projet de loi sur l’e-commerce favorise une démarche répressive plutôt qu’incitative. Il a rappelé l’impact du Startup Act dans son domaine et sur l’écosystème des startups. « Pourquoi ne pas emprunter les bonnes pratiques pour les appliquer dans des secteurs analogues ? », déplore-t-il. Et de poursuivre en critiquant : « Ce n’est pas la méthode idéale, surtout que plus de 60 % des intervenants ont fait le saut vers l’économie informelle ».

Le vice-président de la Sevad a par la suite exprimé le souhait de son organisation de collaborer. Elle prévoit, d’ailleurs, de soumettre ses idées et recommandations à l’ARP.

Trois principales orientations

Dans la même veine, Issam Sefi a aussi fixé trois orientations en vue d’optimiser le secteur. A savoir : la simplification des démarches administratives; les bénéfices; et les encouragements fiscaux. Ils sont à ses yeux les éléments essentiels pour la régularisation et la métamorphose du secteur. Il précise que l’initiative de la Sevad est entièrement basée sur le Startup Act.

Au passage, il fait état d’obstacles auxquels sont confrontés les intervenants du secteur pour se procurer des devises, qu’il considère comme l’élément crucial de la bataille. Ce passage est essentiel, en particulier pour créer du trafic.

Par ailleurs, le vice-président de la Sevad estime anormal que les entreprises tunisiennes soient limitées à dix mille dinars en termes de devises. Etant donné que cette somme ne couvre même pas une dizaine de jours de publicité. Alors que les sociétés étrangères établies en Tunisie jouissent d’un accès sans restriction. « C’est de la concurrence déloyale » a-t-il dénonce.

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