Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

La bureaucratie, un frein à l’économie circulaire et à l’industrie du recyclage du plastique

Von: La Presse
16. Dezember 2024 um 09:37

La Stratégie nationale de gestion circulaire globale et sectorielle des déchets 2035-2050 en Tunisie a été présentée à des journalistes maghrébins, tunisiens, algériens et marocains, lors d’un atelier régional organisé, début décembre 2024, à Tunis, par le Réseau « Afrique 21 », en partenariat avec le ministère de l’Environnement et du développement durable, le Programme d’appui aux médias tunisiens (PAMT2) avec l’appui financier de l’UE, l’Ambassade de Suisse à Tunis et l’agence allemande de coopération internationale GIZ.

Présentée par l’éco conseillère, juriste et membre du Forum National de l’Adaptation aux Changements Climatiques en Tunisie (FNACC), Sondes Fnaiech, dans le cadre d’une intervention sur le « Paysage tunisien de l’économie circulaire », cette stratégie qui repose sur l’économie circulaire, comme passage indispensable pour faire face au changement climatique, comporte trois volets sectoriels: la gestion des plastiques, le compostage à partir des déchets ménagers et assimilés et le recyclage des gravats et des déchets de démolition.

Pour le plastique, trois objectifs principaux ont été définis. Il s’agit de limiter la consommation et la production d’objets en plastique, de permettre une économie circulaire de la production plastique en vue de protéger l’environnement et la santé humaine et d’assurer une gestion et un recyclage écologiquement rationnels des déchets en plastique.

En effet, les plastiques non biodégradables sont une grande source de pollution de l’environnement ayant des impacts à moyen et long terme sur la santé humaine, le sol et le milieu marin. En Tunisie, 4.2 milliards de sacs en plastiques sont utilisés par an.

Selon un rapport de la Banque mondiale (BM), le pays génère 2.8 millions de tonnes de déchets ménagers par an, dont 9.4 % sont des déchets plastiques.

La filière de la plasturgie en Tunisie est composée d’au moins 283 entreprises, dont 79 d’entre elles sont totalement exportatrices. La quantité annuelle des déchets plastiques mal gérée est estimée à 55,5 milles tonnes par an, selon le même rapport de la BM. Toujours d’après la BM, la pollution plastique est une menace importante pour l’économie bleue de la Tunisie.

En dépit des initiatives règlementaires (décret du 16 janvier 2020) et gouvernementales, dont le projet Eco-Lef, premier système de gestion des déchets d’emballages mis en place par un pays africain visant à réduire la pollution et malgré la présence d’entreprises qui traitent des milliers de tonnes de déchets par an, le secteur du recyclage en Tunisie souffre encore d’un manque d’organisation et de l’absence d’un cadre réglementaire clair, selon les intervenants au débat dans le cadre de l’atelier régional sur « l’économie circulaire et les changements climatiques au Maghreb ».

La plupart des initiatives se heurtent à des obstacles tels que la concurrence déloyale de l’informel et le manque d’incitations pour les entreprises respectant les normes. Résultat: la majorité des déchets plastiques finissent dans des décharges ou dans le milieu naturel, aggravant la crise environnementale.

Selon l’éco-conseillère Sondes Fnaiech, généralement, le système public national de gestion des déchets a pour ambition de réduire la mise en décharge et de limiter l’impact environnemental des déchets sans pour autant se doter d’une stratégie de sensibilisation efficace du large public, mettant en garde contre les sérieux risques de voir les initiatives ne pas atteindre leur plein potentiel.

« L’éducation et la sensibilisation sont ainsi essentielles pour promouvoir un comportement de consommation responsable et éclairé », estime la responsable, qui reconnaît que les barrières réglementaires ainsi que la bureaucratie constituent un frein qui fait obstacle au vrai décollage de l’économie circulaire en Tunisie.

Intervenant à distance sur le l’Objectif de développement durable n°12 et les négociations sur le plastique, Chantal Line Carpentier, Chef du service Commerce, environnement, changement climatique et développement durable, Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED), a rappelé que cet objectif vise à garantir des modes de consommation et de production durables, ce qui est essentiel pour préserver les moyens de subsistance pour les générations actuelles et futures.

Selon la CNUCED, si la population mondiale atteint 9,8 milliards d’habitants en 2050, l’équivalent de près de trois planètes sera nécessaire pour fournir les ressources naturelles essentielles au maintien des modes de vie actuels.

D’où la nécessité, selon l’experte onusienne, de réduire la production à la source des produits en plastique. Une tâche ardue à entreprendre pour une industrie rémunératrice. En 2021, 369 millions de tonnes de plastiques ont été échangées pour une valeur de 1,2 trillions, soit en hausse de 30% depuis 2020.

Elle a souligné, à cet effet, que la CNUCED plaide en faveur de l’identification d’une série d’alternatives ou de substituts biodégradables (à base de plantes, fibres, coton, algues…) au plastique (matières et produits) ou encore pour la circularité et le recyclage, car le plastique se déplace via le commerce mais les déchets restent par manque de capacité de recyclage.

A l’échelle mondiale, si la tendance actuelle de la production mondiale de plastique se poursuit, les émissions de GES dues à la production de plastique entre 2015 et 2050 s’élèveront à plus de 56 milliards de tonnes, ce qui équivaut à 10 à 13 % des émissions mondiales.

Cependant, une transition vers un modèle d’économie circulaire du plastique considérant des approches comme l’éco-conception, la réduction, la réutilisation, le recyclage tout le long du cycle de vie du produit, peut largement contribuer à la réduction des émissions de GES dans l’environnement, améliorer la gestion des ressources, et stimuler également l’innovation et la création de nouveaux emplois directs et indirects.

L’article La bureaucratie, un frein à l’économie circulaire et à l’industrie du recyclage du plastique est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Économie circulaire: la gestion durable des plastiques, un objectif d’une stratégie nationale qui peine à s’imposer

16. Dezember 2024 um 08:48

La Stratégie nationale de gestion circulaire globale et sectorielle des déchets 2035-2050 en Tunisie a été présentée à des journalistes maghrébins, tunisiens, algériens et marocains, lors d’un atelier régional organisé, début décembre 2024, à Tunis, par le Réseau “Afrique 21”, en partenariat avec le ministère de l’Environnement et du Développement durable, le Programme d’appui aux médias tunisiens (PAMT2) avec l’appui financier de l’UE, l’ambassade de Suisse à Tunis et la GIZ.

Présentée par l’éco conseillère, juriste et membre du Forum national de l’adaptation aux changements climatiques en Tunisie (Fnacc), Sondes Fnaiech, dans le cadre d’une intervention sur le “Paysage tunisien de l’économie circulaire”, cette stratégie qui repose sur l’économie circulaire, comme passage indispensable pour faire face au changement climatique, comporte trois volets sectoriels: la gestion des plastiques, le compostage à partir des déchets ménagers et assimilés et le recyclage des gravats et des déchets de démolition.

Pour le plastique, trois objectifs principaux ont été définis. Il s’agit de limiter la consommation et la production d’objets en plastique, de permettre une économie circulaire de la production plastique en vue de protéger l’environnement et la santé humaine et d’assurer une gestion et un recyclage écologiquement rationnels des déchets en plastique.

En effet, les plastiques non biodégradables sont une grande source de pollution de l’environnement ayant des impacts à moyen et long terme sur la santé humaine, le sol et le milieu marin. En Tunisie, 4.2 milliards de sacs en plastique sont utilisés par an.

Selon un rapport de la Banque mondiale (BM), le pays génère 2.8 millions de tonnes de déchets ménagers par an, dont 9.4% sont des déchets plastiques.

La filière de la plasturgie en Tunisie est composée d’au moins 283 entreprises, dont 79 sont totalement exportatrices. La quantité annuelle des déchets plastiques mal gérée est estimée à 55,5 mille tonnes par an, selon le même rapport de la BM. Toujours d’après la BM, la pollution plastique est une menace importante pour l’économie bleue de la Tunisie. L’économie tunisienne subit une perte liée à la pollution par le plastique estimée entre 170 et 561 millions de dollars par an, selon le rapport sur “la stratégie littoral sans plastique et plan d’action opérationnel Tunisie 2035”.

En dépit des initiatives règlementaires (décret du 16 janvier 2020) et gouvernementales, dont le projet Eco-Lef, premier système de gestion des déchets d’emballages mis en place par un pays africain visant à réduire la pollution et malgré la présence d’entreprises qui traitent des milliers de tonnes de déchets par an, le secteur du recyclage en Tunisie souffre encore d’un manque d’organisation et de l’absence d’un cadre réglementaire clair, selon les intervenants au débat dans le cadre de l’atelier régional sur “l’économie circulaire et les changements climatiques au Maghreb”.

La plupart des initiatives se heurtent à des obstacles tels que la concurrence déloyale de l’informel et le manque d’incitations pour les entreprises respectant les normes. Résultat: la majorité des déchets plastiques finissent dans des décharges ou dans le milieu naturel, aggravant la crise environnementale.

Selon l’éco-conseillère Sondes Fnaiech, généralement, le système public national de gestion des déchets a pour ambition de réduire la mise en décharge et de limiter l’impact environnemental des déchets sans pour autant se doter d’une stratégie de sensibilisation efficace du large public, mettant en garde contre les sérieux risques de voir les initiatives ne pas atteindre leur plein potentiel.

“L’éducation et la sensibilisation sont ainsi essentielles pour promouvoir un comportement de consommation responsable et éclairé”, estime la responsable, qui reconnaît que les barrières réglementaires ainsi que la bureaucratie constituent un frein au vrai décollage de l’économie circulaire en Tunisie.

Intervenant à distance sur le l’Objectif de développement durable n°12 et les négociations sur le plastique, Chantal Line Carpentier, chef du service Commerce, environnement, changement climatique et développement durable, Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced), a rappelé que cet objectif vise à garantir des modes de consommation et de production durables, ce qui est essentiel pour préserver les moyens de subsistance pour les générations actuelles et futures.

Selon la Cnuced, si la population mondiale atteint 9,8 milliards d’habitants en 2050, l’équivalent de près de trois planètes sera nécessaire pour fournir les ressources naturelles essentielles au maintien des modes de vie actuels.

D’où la nécessité, selon l’experte onusienne, de réduire la production à la source des produits en plastique. Une tâche ardue à entreprendre pour une industrie rémunératrice. En 2021, 369 millions de tonnes de plastiques ont été échangées pour une valeur de 1,2 trillion, soit une hausse de 30% depuis 2020.

Elle a souligné, à cet effet, que la Cnuced plaide en faveur de l’identification d’une série d’alternatives ou de substituts biodégradables (à base de plantes, fibres, coton, algues…) au plastique (matières et produits) ou encore pour la circularité et le recyclage, car le plastique se déplace via le commerce mais les déchets restent par manque de capacité de recyclage.

À l’échelle mondiale, si la tendance actuelle de la production mondiale de plastique se poursuit, les émissions de GES dues à la production de plastique entre 2015 et 2050 s’élèveront à plus de 56 milliards de tonnes, ce qui équivaut à 10-13% des émissions mondiales.

Cependant, une transition vers un modèle d’économie circulaire du plastique considérant des approches comme l’éco-conception, la réduction, la réutilisation, le recyclage tout au long du cycle de vie du produit, peut largement contribuer à la réduction des émissions de GES dans l’environnement, améliorer la gestion des ressources, et stimuler également l’innovation et la création de nouveaux emplois directs et indirects.

L’article Économie circulaire: la gestion durable des plastiques, un objectif d’une stratégie nationale qui peine à s’imposer est apparu en premier sur Managers.

Cité des Sciences de Tunis: séminaire de l’Issbat sur le changement climatique

06. Dezember 2024 um 07:10

Les étudiants du master en génie de l’environnement de l’Institut supérieur des sciences biologiques appliquées de Tunis (Issbat) organisent, le 14 décembre 2024, à la Cité des Sciences, un événement consacré aux enjeux du changement climatique.

Cet événement, organisé dans le cadre du programme PAQ/DGSE-Green, démontre l’engagement des étudiants de l’Issbat envers la responsabilité sociétale(RS) et les objectifs de développement durable (ODD), et notamment l’ODD 13 relatif au climat.

Depuis sa création en 2003, l’Issbat s’est engagé dans une démarche de mise en place d’un processus d’amélioration de la formation, de la recherche et de l’amélioration de la vie estudiantine ainsi que dans une démarche de RS et de partenariat avec le milieu socio-économique, en promouvant un apprentissage de qualité qui permet aux apprenants de se transformer, d’agir sur leur environnement et d’acquérir de solides compétences professionnelles aux prises avec les enjeux sociaux.

A cause du changement climatique, la Tunisie perd une partie de ses réserves en eau douce et des milliers d’hectares de terres agricoles. Conscient de ce problème, les étudiants de l’Issbat ont lancé, à partir de 2017, l’initiative «Reverdir la Tunisie» pour faire face à l’impact du changement climatique et développer un modèle agricole durable susceptible de garantir la sécurité alimentaire du pays.

Depuis, l’Issbat n’a cessé de mener avec la société civile et ses partenaires socio-économiques une réflexion alternative concrète autour de la question environnementale et écologique.

La journée du 14 décembre, qui sera riche en conférences, ateliers interactifs, tables rondes et échanges, vise à mobiliser les jeunes et le grand public envers le climat et à encourager l’action collective pour faire face au changement climatique.

Des experts examineront les politiques nationales de lutte contre ce phénomène, le rôle que doivent jouer les communautés locales et le levier de durabilité que représente l’économie circulaire.

Une table ronde rassemblera jeunes, experts, représentants de la société civile et du monde socio-économique pour aborder les défis et opportunités du changement climatique et co-construire des initiatives novatrices.

 Des publications affichées informeront les participants sur l’impact des changements climatiques sur les communautés, les interactions guerres/climat, les défis des pays du sud et l’apport de la climate tech et green tech.

Des activités immersives permettront aux participants de simuler des négociations carbone de la COP29, de travailler sur des solutions pratiques pour la transition écologique et d’enrichir leur réflexion critique.

Inscription sur ce lien.

L’article Cité des Sciences de Tunis: séminaire de l’Issbat sur le changement climatique est apparu en premier sur Kapitalis.

Atelier à Tunis pour sensibiliser les journalistes maghrébins à l’économie circulaire

04. Dezember 2024 um 09:30

L’économie circulaire et les défis du changement climatique auxquels la région du Maghreb est confrontée sont le thème d’un atelier régional qui se tient du 2 au 5 décembre 2024 à Tunis.

L’événement rassemble 20 journalistes de Tunisie, du Maroc et d’Algérie, ainsi que des experts et des représentants des organisations concernées.

Organisé à l’initiative du réseau de journalistes africains spécialisés dans le développement durable et le changement climatique, Africa 21, le séminaire aborde notamment la question de l’adaptation des économies régionales, des systèmes de production et des sociétés de consommation aux effets du changement climatique, de la désertification et l’impact de l’aridification des terres.

Des journalistes de différents médias seront initiés aux grands concepts de l’économie circulaire, vecteur de transition écologique et de réduction de la pression sur les ressources naturelles, notamment dans la région du Maghreb, l’une des plus vulnérables au monde face à la menace du changement climatique.

Le Maghreb n’est pas la seule région qui bénéficierait du développement d’une niche d’économie circulaire, car une grande partie du système économique mondial existant repose sur une utilisation excessivement linéaire des matières premières.

Selon les organisateurs de l’atelier, ce modèle n’est plus viable à long terme, compte tenu des défis environnementaux et climatiques d’une planète aux ressources limitées.

L’économie circulaire est considérée comme une alternative qui contribue à préserver les ressources et l’environnement, ainsi que la santé. Elle contribue également au développement économique et industriel des territoires et à la réduction des pertes et gaspillages dans un contexte de plus en plus compliqué lié aux effets du changement climatique.

Les organisateurs de l’atelier sont le Réseau Africa 21, le ministère de l’Environnement, l’Union Européenne (Programme d’appui aux médias en Tunisie/Pamt2), Giz (Projet d’appui à la gouvernance environnementale et climatique pour la transition écologique en Tunisie), le Forum National d’Adaptation au changement climatique (Fnac), et l’ambassade de Suisse à Tunis). Pour eux, initier les médias aux concepts d’économie circulaire peut contribuer à sensibiliser et à éduquer le public sur la nécessité de rationaliser la consommation et d’évoluer vers des pratiques plus écologiques.

A l’ouverture de l’atelier, le secrétaire général de l’association Africa21, Julien Chambolle, a déclaré : «Notre programme, qui regroupe désormais plus de 850 journalistes de 43 pays d’Afrique, vise à aider les journalistes à développer une compétence de base sur les questions de développement durable, leur fournir un accès à des sources primaires d’information de qualité, à des experts internationaux et à des organisations impliquées dans la mise en œuvre des objectifs de développement durable, en particulier des organisations internationales. Il s’agit aussi de leur offrir des opportunités, comme organiser des délégations pour couvrir de grands événements internationaux, comme cela s’est produit l’année dernière lors de la COP28, avec le soutien de la Banque africaine de développement.»

Outre les interventions d’experts, cette formation comprend des visites de projets d’économie circulaire en Tunisie.

L’article Atelier à Tunis pour sensibiliser les journalistes maghrébins à l’économie circulaire est apparu en premier sur Kapitalis.

Tunisie : les interventions du Fodep étendues aux économies verte, bleue et circulaire

03. Dezember 2024 um 10:44

Les interventions du Fonds de dépollution (Fodep) sont désormais étendues à l’économie verte, bleue et circulaire, en vertu d’un amendement de l’article 58 du projet de Loi de finances 2025 (PLF 2025).

Cet article a été adopté, jeudi 28 novembre 2024, par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), avec 89 voix pour, 5 abstentions et 24 voix contre, et ce dans le cadre des plénières réservées à l’examen du PLF 2025.

L’article amendé prévoit la mise en place d’une ligne de financement pour accorder des prêts à moyen et long terme à des conditions favorables aux jeunes entrepreneurs et aux entreprises, pour financer, créer et développer des projets dans le domaine de l’économie verte, bleue et circulaire.

Une dotation de 20 millions de dinars sur les ressources du Fodep sera allouée à cette ligne, dont la gestion sera confiée aux banques dans le cadre de conventions conclues avec le ministère des Finances et le ministère de l’Environnement. Le Fodep est un fonds spécial du trésor créé en vertu de la loi n° 92/122 du 29 décembre 1992, portant sur la Loi des finances pour la gestion 1993.

Le Fodep a pour principales missions d’encourager les entreprises à réaliser des projets visant à protéger l’environnement contre la pollution occasionnée par leurs activités, ou les inciter à mettre en place des projets de réhabilitation et d’amélioration du rendement épuratoire des installations de dépollution déjà existantes.

L’article Tunisie : les interventions du Fodep étendues aux économies verte, bleue et circulaire est apparu en premier sur Kapitalis.

❌
❌