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Gestern — 16. Mai 2025Haupt-Feeds

Manouba : une journée d’étude sur l’investissement dans l’élevage et l’agriculture intelligente face au changement climatique

16. Mai 2025 um 16:36

Une journée d’étude placée sur le thème « Investir dans l’élevage et l’agriculture intelligente face au climat » a été organisée, vendredi, à Manouba par la direction régionale de l’Office de l’Elevage et des Pâturages (OEP).

A cette occasion, la directrice régionale de l’OEP, Mouna Romdhani a indiqué à l’Agence TAP que cette journée est axée sur la question de mise en œuvre d’un nouveau plan directeur d’investissement en élevage permettant de consacrer une agriculture durable et une autonomie fourragère en dépit des enjeux climatiques.

L’accent a été mis, également, sur les mesures prises par la direction régionale de l’OEP pour assurer un développement des ressources fourragères et la protection de la santé animale, outre l’incitation à l’investissement dans les élevages.

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Atelier international à Tunis │ Pour une gestion durable des terres et de l’eau

15. Mai 2025 um 07:45

Des représentants de dix pays d’Afrique et d’Asie se réunissent du 12 au 16 mai 2025 à Hammamet, en Tunisie, pour un échange d’expériences sur une gestion durable des terres et de l’eau.

Il s’agit d’un atelier sur les «solutions fondées sur la nature» pour une gestion durable des terres et des forêts initié par l’Organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) et co-organisé dans le cadre du réseau Khibra par le Bureau régional de la FAO pour le Proche-Orient, avec la participation de responsables et experts venus d’Algérie, du Botswana, d’Irak, de Jordanie, du Liban, du Malawi, de Tanzanie, de Tunisie, du Yémen et du Zimbabwe.

Dans son discours d’ouverture, le secrétaire d’État auprès du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Hamadi Habaieb, a souligné l’urgence de ces enjeux: «Dans nos régions arides et semi-arides, l’eau a toujours été précieuse. Aujourd’hui, face au changement climatique, à l’urbanisation croissante et à l’évolution des besoins agricoles, l’offre et la demande de l’eau constituent un défi majeur, mais aussi une formidable opportunité de transformation des systèmes alimentaires.»

Mohamed Amrani, chargé de bureau de la FAO pour l’Afrique du Nord, a déclaré qu’«environ 25% des terres de la planète sont dégradées, affectant le bien-être de plus de 3,2 milliards de personnes au niveau global.» «Parallèlement, les forêts continuent de disparaître à un rythme alarmant, avec une perte nette de 4,7 millions d’hectares par an à l’échelle mondiale entre 2015 et 2020», a-t-il ajouté, soulignant ainsi la pertinence de cet atelier.

«L’interconnexion entre les systèmes de l’eau, de l’énergie, de l’alimentation et des écosystèmes est de plus en plus reconnue comme essentielle pour atteindre le développement durable et la résilience climatique», a encore déclaré M. Amrani.

Cet événement permettra un apprentissage mutuel entre pays confrontés à des pressions climatiques similaires. Les participants exploreront des solutions intégrant le nexus Eau-Énergie-Alimentation-Écosystèmes et la promotion des «solutions fondées sur la nature» dans les contextes des zones et climats arides. Des outils développés dans le cadre de l’Initiative régionale de la FAO sur la rareté de l’eau au Proche-Orient et en Afrique du Nord seront partagés à savoir une plateforme ainsi que la méthodologie d’évaluation intégrée des paysages (Ilam), et le Cadre de production durable des paysages (SLPF), qui vise à atteindre la neutralité en matière de dégradation des terres.

Communiqué.

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Appui à la l’agriculture biologique en Tunisie

09. Mai 2025 um 06:58

Le potentiel de l’agriculture biologique en Tunisie a été au cœur d’une formation conduite par la FAO dans le cadre du projet «Appui au développement d’une agriculture biologique durable et résiliente dans un contexte de changement climatique en Tunisie (Bioforest)» financé par la coopération Suisse.

L’agriculture biologique est une des solutions efficaces pour l’amélioration de l’adaptation et de la résilience du secteur agricole et des moyens de subsistance des populations vulnérables.

Le projet Bioforest vise à développer et valoriser le secteur de l’agriculture selon une approche territoriale et cible les régions les plus propices pour se convertir à un système de production biologique intégré.

Actuellement, le secteur de l’agriculture biologique englobe près de 9000 opérateurs (agriculteurs, transformateurs, commerçants, etc.) dont la majorité sont des producteurs et productrices, qui demeurent demandeurs d’accompagnement et d’appui pour une meilleure compétitivité et conformité aux exigences du marché, dans un environnement international de réglementation biologique dynamique et en évolution permanente. 

C’est pour répondre à cette forte demande en appui technique qu’une formation sur la production végétale selon le mode biologique a été organisée par la FAOdu 5 au 8 mai 2025, à Tunis, dans le cadre d’une collaboration avec l’Institut suisse de recherche en agriculture biologique (FIBL).

La formation a rassemblé en plus des opérateurs biologiques leaders et d’agriculteurs à haut potentiel de conversion au mode biologique, des représentants des différents départements techniques en charge de l’agriculture bio au sein du ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche (DGAB, CTAB, CTD, GIL, BNG).

Le maintien de la qualité des sols étaient au centre des enseignements assurés par Nicolas Lefevre expert Suisse en approfondissant les connaissances des participants pour maitriser la réduction du travail du sol en bio dans le contexte tunisien tout en passant en revue ses potentiels et à travers des exercices pratiques et des échanges et diagnostics interactifs des cultures visitées sur des champs comme activités pédagogiques de terrain a permis une intégration des principes agroécologiques des cultures bio pérennes.

La gestion des cultures en plein champ, l’agroforesterie, la biodiversité fonctionnelle, le et la diversification des cultures (arboriculture, cultures maraichères, plantes a aromatiques et médicinales…) étaient au centre d’intérêt de cette formation qui a fait intervenir aussi des experts du FIBL France et de l’association les amis de Capte en mettant en avant l’agroforesterie et son importance pour la durabilité des agroécosystèmes.

La dynamique de cette formation a mis en avant les pratiques durables qui ont pu être observées chez un agriculteur de la région de M’saken en analysant le profil du sol, les techniques de production et surtout de résilience au changement climatique en appliquant les fondements de l’agriculture biologique et des variétés de production de blés qui perdurent et qui sont au cœur des potentialités du secteur Bio en Tunisie.

Dans la continuité de ces activités de renforcement de capacité menée par la FAO, il est question d’accompagner le développement d’une agriculture biologique durable, inclusive et résiliente au changement climatique et ce, selon une approche territoriale en ligne avec la stratégie nationale du développement de l’agriculture biologique.

 Communiqué.

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Lancement de l’initiative environnementale GreenTech en faveur des startups tunisiennes

05. Mai 2025 um 08:07

Linitiative environnementale GreenTech, financé par lUnion européenne (UE) vient dêtre lancée en Tunisie. Elle vise à soutenir les startups et les PME innovantes opérant dans les secteurs de la transition écologique et de l’économie circulaire.

Mise en œuvre par la CDC en collaboration avec Smart Capital, l’initiative, lancée officiellement mors d’une cérémonie le 30 avril 2025, au siège de la Caisse de Dépôt et consignations (CDC), à Tunis, vise à soutenir le développement de solutions de pointe dans le domaine de la transition écologique, en facilitant l’accès au financement des startups et PME tunisiennes opérant dans des secteurs stratégiques tels que les énergies renouvelables, la mobilité durable, la construction durable, le recyclage, la gestion de l’eau et l’agriculture durable.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une stratégie nationale plus large de transformation écologique, conçue pour faire évoluer la Tunisie vers une économie verte et résiliente au changement climatique. Selon un communiqué de la CDC, l’initiative comprend deux outils de financement innovants : Vair (Venture Acceleration for Impact and Resilience), un mécanisme de financement hybride (70 % non remboursable / 30 % avance remboursable) conçu pour les startups en phase de démarrage, pour les accompagner dans le développement d’une preuve de concept (PoC); et Mair (Market Access for Impact and Resilience), une avance remboursable conçue pour soutenir l’entrée sur le marché de solutions développées par des startups en phase de produit minimum viable (MVP).

Intervenant lors de l’événement, la directrice du CDC, Nejia Gharbi, a souligné «la nécessité de structurer un écosystème de financement adapté aux besoins spécifiques des startups GreenTech, levier clé pour un développement durable et résilient qui complète les programmes de soutien plus larges aux startups et PME innovantes».

Tarak Triki, PDG de Smart Capital, a déclaré : «Notre mission est d’accélérer la croissance de ces startups et de faciliter leur parcours de l’idéation au marché, tout en maximisant leur impact environnemental.»

La directrice du Centre international pour les technologies de l’environnement de Tunis (Citet), Kmaira Ben Jannet, a souligné que «l’initiative GreenTech constitue un mécanisme innovant et prometteur pour accompagner les startups et PME engagées dans la transition écologique, démontrant une ambition collective pour une Tunisie plus verte, plus résiliente et plus inclusive».

Stéphan Orivel, directeur Pays Tunisie/Libye chez Expertise France, a souligné que «l’initiative Greentech incarne une nouvelle étape dans l’engagement collectif pour une économie plus verte, plus inclusive et plus innovante en Tunisie». À ses côtés, Roxana Toran, attachée coopération Délégation de l’UE, a déclaré : «L’UE est fière de soutenir cette initiative, qui incarne notre double engagement : accompagner la transition verte de la Tunisie tout en favorisant une croissance économique durable, inclusive et portée par l’innovation.»

Les résultats attendus de l’initiative comprennent 32 startups en phase d’idéation, l’accompagnement de 10 startups et PME en phase de lancement sur le marché et la création et le maintien d’environ 300 emplois directs dans le secteur Greentech.

L’initiative intègre également de solides composantes d’équité entre les sexes et d’équité régionale, avec au moins 30% des projets financés dirigés ou codirigés par des femmes et 30% opérant au niveau régional.

GreenTech Tunisie fait partie du projet Greenov’i, financé par l’UE à travers le volet entrepreneuriat vert de son programme «Tunisie Verte & Durable». L’initiative soutient l’action environnementale en Tunisie et est mise en œuvre par Expertise France en partenariat avec le Citet, le ministère de l’Environnement et celui de l’Economie et de la Planification.

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