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Tunisie – Banque mondiale : Cap sur les réformes et les investissements pour l’emploi

La Tunisie renforce son partenariat stratégique avec la Banque mondiale et l’IFC, dans le cadre de son prochain Plan national de développement. Au cœur des discussions : gouvernance, justice sociale et projets créateurs d’emplois, notamment dans les énergies renouvelables et l’agroalimentaire.

Le Secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ben Ayed, a reçu ce lundi 30 juin 2025 le Représentant résident de la Banque mondiale en Tunisie, Alexandre Arobbio, ainsi que Sarah Morsi, Représentante résidente de la Société financière internationale (IFC). Une rencontre qui s’inscrit dans une dynamique de consolidation des relations avec les institutions financières internationales, à l’heure où la Tunisie prépare son Plan national de développement 2026-2030.

À cette occasion, le Secrétaire d’État a salué la solidité d’un partenariat vieux de plus de soixante ans entre la Tunisie et la Banque mondiale. Il a appelé à l’intensification de l’appui international dans la mise en œuvre d’un programme de réformes « ambitieux », fondé sur une amélioration de la gouvernance, la réduction des disparités régionales et la promotion d’une justice sociale équitable.

Ce programme est directement lié aux grandes orientations du futur Plan national de développement, actuellement en cours d’élaboration selon une approche participative et inclusive. L’enjeu est de traduire ces priorités en actions concrètes et en investissements structurants, avec l’appui des partenaires internationaux.

Des projets à fort impact dans des secteurs stratégiques

Pour leur part, les représentants de la Banque mondiale et de l’IFC ont réaffirmé leur engagement à soutenir la Tunisie, tant sur le plan technique que financier. Ils ont insisté sur l’importance de la coordination et de l’efficience dans la mise en œuvre des projets en cours, notamment ceux réalisés dans le cadre de partenariats public-privé (PPP).

Sarah Morsi, de l’IFC, a particulièrement mis en avant les investissements dans des secteurs porteurs comme les énergies renouvelables et les industries agroalimentaires, reconnus pour leur potentiel en matière de création d’emplois durables. Elle a également exprimé la volonté de l’IFC de renforcer son soutien aux projets alignés sur les priorités nationales, dans un esprit de co-construction avec les autorités tunisiennes.

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Tunisie-Banque mondiale : vers un renforcement du partenariat pour soutenir les réformes 2026-2030

Von: walid
01. Juli 2025 um 11:34

Le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ben Ayed, s’est entretenu, lundi, au siège du ministère, avec le représentant résident de la Banque mondiale pour la Tunisie, Alexandre Arrobbio, ainsi que la représentante résidente de la Société financière internationale (IFC), Sarah Morsy.

L’entretien a porté sur les relations de coopération et le partenariat entre la Tunisie et la Banque mondiale qui couvrent une série de projets dont l’objectif est de promouvoir le développement économique et social, indique un communiqué du département des Affaires étrangères.

A cette occasion, le secrétaire d’État a salué le niveau de coopération entre la Tunisie et la Banque mondiale, qui se poursuit depuis six décennies, appelant à renforcer les projets soutenant le programme de réformes structurelles profondes engagé par la Tunisie.

Il a notamment souligné l’importance de ces projets en vue de renforcer la bonne gouvernance, de réduire les disparités régionales et de réaliser la justice sociale, conformément aux orientations du Plan national de développement 2026-2030, actuellement en cours d’élaboration selon une approche participative et inclusive.

De leur côté, Alexandre Arrobbio et Sarah Morsy ont réaffirmé l’importance accordée par la Banque mondiale aux programmes de coopération en cours avec la Tunisie, notamment à travers le financement de grands projets dans le cadre de partenariats public-privé.

Dans ce contexte, la représentante de l’IFC, Sarah Morsy, a indiqué que l’institution finance actuellement des projets à fort potentiel d’emploi, notamment dans les secteurs des énergies renouvelables et de l’agro-industrie, faisant part de la volonté de l’organisation financière mondiale de renforcer davantage ses programmes d’appui, en adéquation avec les priorités de développement nationales.

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Développement économique et social : la Tunisie peut compter sur l’appui de la BM

01. Juli 2025 um 07:47

Le secrétaire d’État auprès du ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ben Ayed, s’est entretenu, lundi 30 juin à Tunis, avec le représentant résident de la Banque mondiale (BM) pour la Tunisie, Alexandre Arrobbio, et la représentante résidente de la Société financière internationale (IFC), Sarah Morsy.

L’entretien a porté sur les relations de coopération et le partenariat entre la Tunisie et la BM qui couvrent une série de projets dont l’objectif est de promouvoir le développement économique et social, indique un communiqué du département des Affaires étrangères.

A cette occasion, le secrétaire d’État a salué le niveau de coopération entre la Tunisie et la Banque mondiale, qui se poursuit depuis six décennies, appelant à renforcer les projets soutenant le programme de réformes structurelles profondes engagé par la Tunisie.

Il a notamment souligné l’importance de ces projets, en vue de renforcer la bonne gouvernance, de réduire les disparités régionales et de réaliser la justice sociale. Et ce, conformément aux orientations du Plan national de développement 2026-2030, actuellement en cours d’élaboration selon une approche participative et inclusive.

De leur côté, Alexandre Arrobbio et Sarah Morsy ont réaffirmé l’importance accordée par la BM aux programmes de coopération en cours avec la Tunisie, notamment à travers le financement de grands projets dans le cadre de partenariats public-privé.

Pour sa part, la représentante de l’IFC, Sarah Morsy, a rappelé que l’institution finance actuellement des projets à fort potentiel d’emploi, notamment dans les secteurs des énergies renouvelables et de l’agro-industrie. Tout en faisant part de la volonté de l’organisation financière mondiale de renforcer davantage ses programmes d’appui, en adéquation avec les priorités de développement nationales.

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L’économie mondiale devrait enregistrer sa plus faible croissance depuis 2008

11. Juni 2025 um 14:32

Selon le dernier rapport publié par la Banque mondiale, l’intensification des tensions commerciales et l’incertitude entourant les politiques publiques devraient faire chuter la croissance mondiale cette année à son rythme le plus faible depuis 2008 (à l’exception des récessions caractérisées). Les turbulences récentes ont entraîné une révision à la baisse des prévisions de croissance pour près de 70 % des économies du monde, toutes régions et catégories de revenu confondues.

Les Perspectives économiques mondiales prévoient que la croissance ralentira à 2,3 % en 2025, soit une performance inférieure de près d’un demi-point de pourcentage à celle qui avait été projetée au début de l’année. Elles n’anticipent pas de récession mondiale. Néanmoins, si les prévisions pour les deux prochaines années se matérialisent, la croissance mondiale moyenne au cours des sept premières années des années 2020 sera la plus lente de toutes les décennies depuis les années 1960.

« En dehors de l’Asie, le monde en développement entre de plus en plus dans une ère de stagnation, alerte Indermit Gill, économiste en chef et premier vice-président du Groupe de la Banque mondiale pour l’Économie du développement. Cette menace plane depuis plus d’une décennie maintenant. La croissance dans les économies en développement a progressivement marqué le pas depuis trente ans, pour passer de 6 % par an dans les années 2000 à 5 % dans les années 2010, avant de tomber à moins de 4 % dans les années 2020. Cette évolution suit la trajectoire de la croissance du commerce mondial, qui a baissé de 5 % en moyenne dans les années 2000 à environ 4,5 % dans les années 2010, puis chuté à moins de 3 % dans les années 2020. La croissance des investissements s’est également tassée, tandis que la dette a atteint des niveaux records. »

La croissance devrait ralentir dans près de 60 % des économies en développement cette année, pour s’établir en moyenne à 3,8 % en 2025 avant de remonter légèrement à 3,9 % en moyenne en 2026 et 2027. Des taux inférieurs de plus d’un point de pourcentage à la moyenne enregistrée dans les années 2010. Les pays à faible revenu devraient afficher une croissance de 5,3 % cette année, soit 0,4 point de pourcentage de moins que le taux projeté au début de 2025. Le relèvement des droits de douane et le resserrement des marchés du travail engendrent également des pressions inflationnistes : selon les projections, l’inflation mondiale se situera à 2,9 % en moyenne en 2025, soit un taux qui reste supérieur aux niveaux d’avant la pandémie.

Le ralentissement de la croissance va entraver la capacité des pays en développement à stimuler la création d’emplois, réduire l’extrême pauvreté et combler le fossé qui les sépare des niveaux de revenu par habitant des économies avancées. La croissance du revenu par habitant dans les économies en développement devrait s’établir à 2,9 % en 2025, soit 1,1 point de pourcentage de moins que la moyenne enregistrée entre 2000 et 2019. En supposant que les économies en développement (hors Chine) soient en mesure de maintenir une croissance du PIB de 4 % (ce qui correspond aux projections pour 2027), il leur faudrait environ deux décennies pour retrouver leur trajectoire d’avant la pandémie.

La croissance mondiale pourrait rebondir plus rapidement que prévu si les grandes économies parviennent à atténuer les tensions commerciales, ce qui réduirait l’incertitude politique générale et la volatilité financière. Selon le rapport, si les différends commerciaux actuels étaient résolus par des accords qui réduisent de moitié les droits de douane par rapport à leur niveau de la fin du mois de mai, la croissance mondiale gagnerait 0,2 point de pourcentage de plus en moyenne sur la période 2025-2026.

« Les économies de marché émergentes et en développement ont récolté par le passé les fruits de l’intégration commerciale, mais elles se retrouvent aujourd’hui en première ligne d’un conflit commercial mondial, souligne M. Ayhan Kose, économiste en chef adjoint et directeur de la cellule Perspectives de la Banque mondiale.

La meilleure parade consiste à redoubler les efforts d’intégration avec de nouveaux partenaires, à faire avancer les réformes de soutien à la croissance et à renforcer la résilience budgétaire pour surmonter la tempête. Face à la hausse des barrières commerciales et à la montée de l’incertitude, une reprise du dialogue et de la coopération à l’échelle mondiale peut ouvrir la voie à un avenir plus stable et plus prospère. »

Alors qu’elles sont confrontées à une multiplication des obstacles aux échanges, les économies en développement devraient privilégier une plus grande libéralisation en nouant des partenariats commerciaux et d’investissement stratégiques avec d’autres économies et en diversifiant leurs échanges, notamment dans le cadre d’accords régionaux. Compte tenu des ressources publiques limitées et des besoins croissants de développement, les décideurs devraient s’attacher à mobiliser les recettes intérieures, donner la priorité aux dépenses en faveur des ménages les plus vulnérables et renforcer les cadres budgétaires.

Enfin, pour accélérer la croissance économique, les pays devront améliorer le climat des affaires et promouvoir l’emploi productif en dotant les travailleurs des compétences nécessaires et en créant les conditions d’une rencontre efficace entre travailleurs et entreprises sur le marché du travail. Une collaboration mondiale sera cruciale pour soutenir les économies en développement les plus vulnérables, notamment sous la forme d’interventions multilatérales, de financements concessionnels et, pour les pays en proie à des conflits, d’une aide et d’un soutien d’urgence.

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