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Les Journées Musicales de Carthage enflamment l’avenue Habib Bourguiba

23. Januar 2025 um 17:42

L’avenue Habib Bourguiba, en plein centre ville de Tunis s’est transformée à l’occasion de la 10ème édition des Journées Musicales de Carthage (JMC, 18-24 janvier 2025) en une scène vibrante à ciel grâce à divers concerts où artistes et public ont partagé des moments musicaux uniques.

Quatre groupes et musiciens, venus de Tunisie et de l’étranger, ont animé les après-midis des JMC, en plein air, avec des registres musicaux variés.

Ars Nova Napoli : Une fusion instrumentale italienne avec le groupe italien Ars Nova Napoli, mené par Marcello Squillante, a enflammé l’avenue lors de son concert en plein air, après leur performance remarquable à la cérémonie d’ouverture des JMC, à la salle de l’Opéra de la Cité de la Culture.

“Aita mon Amour” : Une ode au patrimoine maghrébin avec la performance “Aita mon Amour”, co-réalisé par le tunisien Khalil EPI et la chanteuse marocaine Wided Mjama. Acclamés lors de leur passage à la 48ème édition du festival international de Dougga en 2024, les deux artistes sont revenus avec ce spectacle captivant mêlant récits poignants, rythmes entraînants et un patrimoine maghrébin revisité.

FBK : Une voix montante du rap tunisien a été au menu avec la rappeuse tunisienne Faten Ben Khaled, alias FBK. S’adressant à une génération de jeunes mélomanes avec des textes percutants et un rap engagé, teinté de poésie, sa performance, a été l’un des moments forts des JMC Street.

“Stambali Fusion” : Une ambiance tunisienne revisitée a été assurée avec “Stambali Fusion” de Belhassen Mihoub à la clôture des concerts de rue. Cette performance immersive d’une quarantaine de minutes, a été un mélange de sonorités du Stambali, de blues et de jazz.

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Autostrad au Théâtre de l’Opéra de Tunis : Entre mélodies intemporelles et engagement artistique

Von: walid
23. Januar 2025 um 15:00

Il a fallu plusieurs années pour que les fans d’« Autostrad » à Tunis puissent assister à un spectacle du célèbre groupe indie jordanien et ses mélodies intemporelles en dialecte jordanien autour de thématiques sur les questions de notre époque.

Autostrad dont le style musical prend son influences de différents genres tels que le reggae, le funk, le latin et le rock, s’est produit, mardi soir, au Théâtre de l’Opéra de Tunis qui accueille les spectacles des 9èmes Journée musicales de Carthage (JMC) organisées du 18 au 24 janvier 2025.

Pour sa première prestation à Tunis, le groupe créé en 2007, a donné un spectacle exceptionnel devant un public assez nombreux qui connaissait ses chansons par cœur. L’ambiance était agréable avec le sextuor composé de Yazan al Rousan, Avo Demerjian, Bashar Hamdan, Burhan Al Ali, Mohannad Shwayat et Abderrahim Attari.

Yazan Al Rousan, un ancien de l’ISM-Tunis

Après cette prestation remarquable, l’agence TAP a eu, mercredi, une interview avec le leader et chanteur du Groupe Yazan Al Rousan axée sur le fonctionnement d’Autostrad et sa conception d’une musique qui transcende les barrières de la langue, de la culture et de la géographie.

Yazan Al Rousan est d’abord revenu sur son séjour il y a près de 20 ans en Tunisie, en tant qu’étudiant à l’Institut supérieur de musique de Tunis (ISMT), situé sur la même avenue, où s’est déroulée l’interview. Il a qualifié une expérience enrichissante ce qui lui a permis d’évoluer sur le plan artistique.

Yazan Al Rousan, s’exprimant parfois en dialecte tunisien, garde le souvenir d’ »une expérience assez formidable ».

A l’invitation des JMC, Autostrad s’est finalement produit à la Capitale et renoué avec ses fans. Le leader du groupe rappelle que ce spectacle est le deuxième en Tunisie puisque Autostrad s’est déjà produit, il y a près de six ans, au festival Sicca Jazz, au Nord-Ouest.

Le groupe est composé de six musiciens, -dont certains au chant-, qui jouent à la guitare base, la guitare électrique, au saxophone, au clavier et aux percussions. Il est connu pour son style musical puissant dans divers genres musicaux, aux influences orientales, rock et reggae.

En plus de la musique, le groupe dont la tranche d’âge se situe entre 36 et 50 ans est réuni par une amitié datant de plus de 25 ans. Après avoir commencé à jouer dans des groupes différents, ses membres ont décidé de se réunir autour d’un seul groupe baptisé « Autostrad » (Autoroute) une appellation qui renvoie au genre musical assez varié que le groupe joue, sans pour autant se limiter à un genre bien précis.

Depuis sa création, Autostrad qui se présente comme étant un groupe indépendant a choisi d’autoproduire ses albums et chansons et à en faire la promotion. Malgré les offres reçues de la part de sociétés de production artistique, Autostrad a préféré éviter tout risque de monopole.

Background artistique d’Autostrad

Côté artistique, la majeure partie des chansons d’Autostrad sont écrites et composées par Yazan Al Rousan, Avo Demerjian et Mohannad Shwayat. Le groupe collabore parfois avec d’autres compositeurs et poètes tels que l’écrivain jordanien Yasser Gbilate.

Le background artistique de ses membres est assez large puisque certains, comme Yazan Al Rousan et Bashar Hamdan, ont fait des études supérieures en musique, d’autres viennent de spécialistés autres que la musique.

Les thématiques des chansons, à l’instar de Nasini, Istanna shwai, rahet ya khal, Dawwar, beghyebak, s’inscrivent dans un registre local à portée universelle. Selon Yazan Al Rousan, « en tant que groupe jordanien et arabe, on reflète dans nos chansons les questions locales propre et celles centrales qui touchent le public arabe élargi ». Cette orientation se traduit dans la plupart de ses tubes et albums Fe Autostrad (2009), Autostrad 2011) et Nitrogen (2013).

A l’ère des réseaux sociaux, le groupe s’est orienté vers la production de singles. Les membres d’Auostrad y traduisent leurs soucis et préoccupations, aussi bien personnelles que collectives de la société à laquelle ils appartiennent.

Par la suite, un quatrième album de 14 tracklists a vu le jour. Il est le fruit d’une tournée au cours de laquelle le sextuor a regroupé une sélection du patrimoine des différentes provinces jordaniennes.

L’album intitulé « Turathy », disponible en accès libre sur internet, a été enregistré avec une qualité HD, sans aucune modifications ni fusion sonore”, affirme Yazan Al Rousan . Le but étant d’archiver la mémoire sonore et musicale nationale.

Autostrad et la scène alternative en Jordanie

S’agissant du paysage musical en Jordanie, Yazan Al Rousan affirme que son pays se caractérise par « l’abondance de la production artistique et musicale, notamment le genre dans lequel évolue Autostrad ». Il fait noter que les groupes de musique indie en Jordanie ont réussi à franchir les frontières pour se positionner sur la carte musicale arabe dans des concerts en région arabe et en Europe.

S’agissant de la place qu’occupe le genre de musique des groupes comme Autostrad, le leader du groupe estime avoir gagné « l’acceptation auprès du public avec une large diffusion ».

Pour ce genre de musique souvent désigné par l’appellation « musique alternative », Yazan Al Rousan opte pour une définition d’une musique miroir de sa société et qui constitue la façon de chaque génération de s’exprimer.

Dans un monde en pleine mutation, le groupe essaye de suivre la vague des évolutions. Ce qui se manifeste réellement dans ses compositions et arrangements, largement évoluées avec le temps. “Notre façon de composer, d’arranger les partitions et même de jouer diffère de celle qu’on avait au début de la création du groupe”, estime l’artiste selon lequel « le groupe se situe dans le prolongement du patrimoine musical jordanien qu’il reflète à travers sa propre vision artistique. »

La chanson « Palestine » interprété au Théâtre de l’Opéra, a été écrite et composée par Shadi Zaqtan qui est un pionnier du blues palestinien, mêlant des tons arabes à des influences musicales américaines. Shadi Zaqtan est un guitariste, compositeur, chanteur et auteur-compositeur palestinien né en exil et grandi à Damas, Beyrouth, Amman et Tunis.

Cette chanson a été écrite, au lendemain des évènements du 7 octobre 2023, « à une époque où le fait de prononcer le mot Palestine était interdit- dans les grandes capitales du monde-, d’être prononcé, dessiné ou écrit ou même en parler », souligne Yazan Al Rousan. Malgré la sensibilité de la question, du point de vue de Shadi Zaqtan et Autostrad, « il était important que l’on continue à parler de la Palestine à travers tous les genres d’art et par tous les moyens ».

Le groupe se produit régulièrement dans des pays comme les Emirats arabes unis, l’Arabe Saoudite, la Syrie et le Liban et l’Egypte. Après le spectacle à Tunis, le leader du groupe affirme que le but était « de gagner l’amour du public tunisien, estimant que c’est bien le cas ».

Autostrad a eu des offres pour se produire l’été prochain dans le cadre de festivals en Tunisie. Avec le soutien la société de production Magam Productions, l’ambition du groupe est de mieux se positionner sur la carte des festivals en Afrique du Nord.

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TARABBAND AUX JMC : Raconter la résilience en musique

21. Januar 2025 um 21:45

Devant une salle archicomble, le ton de la soirée était donné dès les premières notes qui ont révélé la voix douce de Nadin Al Khaldi et l’émotion poétique et musicale qu’elle peut transmettre.

La Presse — Le Théâtre de l’Opéra à la Cité de la culture de Tunis a accueilli le célèbre groupe musical Tarabband dans le cadre de la deuxième soirée des Journées musicales de Carthage. La troupe de six membres a été fondée en Suède en 2008 par l’Egypto-Irakienne Nadin Al Khaldi et le Suédois Gabriel Hermansson. Parmi les autres musiciens, trois Suédois et un Français. Le nom Tarabband, un jeu de mots sur Tarab and Band, annonce déjà l’identité musicale du sextuor qui porte un mélange culturel riche. De plus, Tarab fait partie de ces mots qu’il est pratiquement impossible de traduire avec précision dans une autre langue.

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 22-01-2025

 

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Ouverture des JMC : Sous le signe de la fête et de la découverte

20. Januar 2025 um 18:15

Le coup d’envoi a été donné samedi soir au Théâtre de l’opéra. Et désormais, durant une semaine, Tunis vibrera chaque jour, à partir de 16h00, au son des musiques néo-traditionnelles et alternatives, avec des artistes tunisiens mais aussi des groupes venus d’ailleurs.

La Presse— La 10e édition des Journées musicales de Carthage a démarré officiellement lors d’une cérémonie d’ouverture le samedi 18 janvier. L’Hymne national tunisien a été interprété par Dali Chebil, accompagné au piano  par son compagnon de route Jihed Khmiri. En maître de la cérémonie, Mehdi Chamem, leader du groupe Erkez Hip Hop, a introduit l’événement avec un slam bien trampé,rimé et rythmé captant l’attention du public par sa verve et son charisme. Un habitué de la scène, qui avait de la prestance et de l’élégance à offrir à une cérémonie sobre et sans fioritures. L’artiste Dorsaf Hamdani, directrice artistique et présidente du comité d’organisation, a prononcé par la suite un discours de bienvenue, en présence de Mme la Ministre des Affaires culturelles, Amina Srarfi, et de nombreux ambassadeurs et diplomates.

«Feeling the beat», tel est le slogan de cet événement qui se tient fidèle à sa vocation, réunissant des musiciens de 15 pays arabes, africains et européens pour un total de 29 prestations. Le festival a également prévu une scène à l’Avenue Habib Bourguiba de Tunis pour quatre spectacles gratuits.

Lors de la cérémonie d’ouverture, le rendez-vous pour le spectacle du groupe italien Ars Nova Napoli était donné à la Place des Théâtres, mais, en raison de la météo, la prestation musicale a été déplacée en intérieur pour protéger le public, les artistes et les instruments des intempéries. Alors, c’est au Théâtre de l’Opéra que le voyage musical a démarré avec un sextuor d’exception.

Formé à l’automne 2009 à Naples, Ars Nova Napoli regroupe autour de la musique traditionnelle du Sud de l’Italie six musiciens passionnés. Actuellement, le groupe interprète un répertoire varié, ouvert aux nombreux sons du sud et au-delà. Ils croient fermement à l’importance du street art comme moyen de partage de la culture populaire et d’expression artistique libre. D’ailleurs, leur show à la cérémonie d’ouverture n’est qu’un aperçu du grand spectacle donné, dimanche après-midi, à l’Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Ars Nova Napoli mêle la musique traditionnelle italienne, principalement la tarantella, des influences plus modernes, dans une palette sonore éclectique et énergique. Sur scène, violon, accordéon, contrebasse, charango, percussion, guitare et voix ont fait le grand bonheur des spectateurs. La virtuosité et la vitalité du sextuor ont emporté le public dans une expérience inédite qui s’écoute autant qu’elle se danse. «Vous pouvez danser sur vos sièges !», a lancé l’un des musiciens, s’exprimant en anglais, pour inviter le public à bouger au rythme de leurs instruments.

Par la suite, c’était au tour de Dali Chebil et Jihed Khmiri de remonter pour une chanson folklorique tunisienne. Comptant parmi les meilleurs chanteurs tunisiens actuels, Dali Chebil a su de démarquer par sa voix puissante capable de transmettre des émotions fortes.

La musique espagnole a été à l’honneur pour le reste de la soirée avec La Jose. Depuis son passage à The Voice où elle a laissé le public sans voix,  la chanteuse de flamenco ne cesse de recevoir des éloges de la part de grands noms du domaine musical. Elle a collaboré, entre autres, avec Luis Fonsi. En robe rouge et châle noir, La Jose nous a proposé un voyage polyphonique et polyrythmique, alliant chant et danse. Une prestation «dédiée à la liberté de toutes les femmes», comme elle l’a indiqué. Dans ce qu’elle véhicule et évoque, sa musique exprime une palette d’émotions qui s’inspirent de ses racines gitanes dont elle a parlé au public, exprimant sa fierté de ses origines.

Comme la musique espagnole est d’une grande richesse et ne saurait se limiter au seul flamenco, ni même à la seule guitare, instrument espagnol par excellence, le spectacle de La Jose a été marqué par deux invités d’honneur tunisiens. Elle a accueilli d’abord, sous les applaudissements, Hsine Ben Miloud, le grand spécialiste du Ney qui s’est illustré en Tunisie et à l’étranger. Le flamenco s’est alors fusionné aux notes traditionnelles tunisiennes pour un dialogue audacieux et surprenant. La jeune chanteuse Rania les a rejoints sur scène. Son duo avec La Jose a mêlé deux voix féminines puissantes, mais aussi deux langues, deux cultures et deux univers musicaux totalement différents. Ce pari gagné est la preuve de la vocation des JMC en pont de partage et d’échange qui propulse surtout les talents en herbe en leur offrant la visibilité devant un large public d’artistes, journalistes et autres acteurs du domaine culturel.

Les JMC se poursuivent jusqu’au 24 janvier. Les mélomanes ont rendez-vous avec au moins quatre spectacles par jour. D’autres volets de l’événement sont organisés à la Cité de la culture de Tunis: ateliers, masterclass, marchés et d’autres surprises à découvrir sur place.

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Ars Nova Napoli et La Jose en ouverture des JMC 2025

19. Januar 2025 um 12:46

Le Théâtre de l’Opéra de Tunis a abrité, hier soir, samedi 18 janvier 2025, la cérémonie d’ouverture des Journées musicales de Carthage (JMC) dont la 9e édition se tient jusqu’au 24 janvier sous le slogan «Feeling the beat» (Sentir le rythme). Vidéo1. Vidéo2

Les JMC offrent une plateforme d’échange et de découverte autour de la création musicale contemporaine en Tunisie et au-delà des frontières.

Le hall de la Cité de la Culture accueille une exposition, JMC Expo, où sont visibles des portraits d’artistes et de groupes participant à cette édition, ainsi que le JMC Market dédié aux exposants travaillant dans les métiers du secteur musical.

Ce rendez-vous annuel des professionnels des musiques arabes et africaines est de retour après une absence d’une année. En solidarité avec la Palestine, le ministère des Affaires Culturelles avait décidé en 2024 le report de la 9e édition à 2025.

Jihed Khemiri

Au début de la cérémonie, l’hymne national a été interprété par l’artiste tunisien Mohamed Ali Chebil et un extrait de son nouveau projet musical, ‘‘Mina Nawa’’, avec l’artiste Jihed Khemiri.

Né en 1988 à Menzel Bourguiba (Bizerte) Mohamed Ali Chebil ou Dali Chebil multiplie les apparitions en solo et dans différents projets musicaux où il côtoie les ténors de la scène musicale nationale et arabe.

La directrice artistique des JMC, la chanteuse Dorsaf Hamdani, a déclaré ouverte cette 9e édition avec un spectacle du groupe italien Ars Nova Napoli.

Initialement programmé à 18h à la place des Théâtres en face du Théâtre de l’Opéra, le spectacle a finalement été donné à la salle abritant le spectacle d’ouverture interprété par la chanteuse espagnole La Jose entourée par trois musiciens au piano, à la guitare et à la contrebasse. Les deux formations musicales, italienne et espagnole, se produisent pour la première fois en Tunisie.

Nova Napolu

Ars Nova Napoli est composé de Marcello Squillante, leader du groupe, Gianluca Fusco, Michelangelo Nusco, Vincenzo Ricioppi, Antonino Anastasia et Bruno Belardi. Ce groupe assez connu et apprécié sur la scène Nu Folk napolitaine a fait ses débuts en 2009 dans les ruelles du centre historique de Naples. Il joue des instruments comme l’accordéon, le violon, la trompette, la mandoline, la cornemuse «gaita», la contrebasse et divers tambours. Les musiciens et chanteurs ont interprété des chansons traditionnelles du sud de l’Italie à travers lesquelles ils revisitent l’héritage sonore de leur région natale ainsi que des mélodies méditerranéennes.

Le public des JMC aura un nouveau rendez-vous avec Ars Nova Napoli qui se produira, ce dimanche 19 janvier, à l’Avenue Bourguiba.

La Jose

La Jose, autrice-compositrice-interprète, a donné une prestation de 90 mn aux sonorités métissées, mêlant flamenco, folk, soul-funk et influences latino-américaines. Elle a offert un spectacle exceptionnel ponctué par la danse du ventre, la samba et même des youyous à la tunisienne (de cris de joie assez répandus dans les fêtes en région arabe et qui diffèrent d’un pays à l’autre).

Les thématiques à vocation humaniste ont été au cœur de la prestation de La Jose à travers des chansons pour les femmes et les grands-mères. Elle a également interprété des chansons en duo avec deux artistes tunisiens.

Au programme de cette édition, 6 concerts phares, mettant en vedette le groupe Tarabband (Irak, Egypte, Suède), Si Lemhaf (Tunisie), le groupe jordanien Autostrad, Elida Almeida (Cap-Vert), le rappeur, chanteur, compositeur d’origine palestinienne Big Sam et le groupe Chakam (Palestine, Iran, France).

D’après Tap.

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Tunisie : Ars Nova Napoli ouvre les JMC 2025

12. Januar 2025 um 08:43

La compagnie italienne Ars Nova Napoli ouvrira les 10e Journées musicales de Carthage (JMC) à Tunis le 18 janvier 2025.

Ars Nova Napoli, née en 2009 dans les ruelles du centre historique de Naples, amène les musiques populaires du sud de l’Italie et de la Méditerranée à Tunis.

Cette participation est soutenue par le ministère italien de la culture et l’Institut culturel italien de Tunis et comprend un autre concert le 19 janvier sur l’avenue Bourguiba au centre de la capitale et une masterclass organisée par Marcello Squillante, le 20, au Studio de l’Opéra de Tunis.

Les JMC, selon les organisateurs, visent à mettre en valeur la créativité sous ses diverses formes et directions musicales. Ils verront se produire des artistes venus d’Algérie, de Belgique, de Bulgarie, du Cameroun, du Cap-Vert, d’Egypte, de France, d’Irak, d’Iran, d’Italie, de Jordanie, du Liban, du Maroc, de France, de Palestine, du Portugal, d’Espagne, de Suède, de Syrie et de Tunisie, avec 7 spectacles majeurs d’artistes confirmés, 18 de jeunes talents et 4 spectacles de rue. Une programmation riche, du 18 au 24 janvier, qui se déroulera entre le Théâtre de l’Opéra de Tunis, à la Cité de la Culture et à l’avenue Habib Bourguiba.

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