Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 19. Dezember 2025Haupt-Feeds

Leila Ben Hassen, Founder & CEO de Blue Jay Communication Ltd: “Pour réussir la transition bleue, il faut des lois, des données et une vision”

Von: Managers
19. Dezember 2025 um 15:41

De l’ONTT, où elle “vendait la destination Tunisie” aux Britanniques, à la défense des océans: le parcours de Leila Ben Hassen dessine une même ligne d’horizon. Originaire de l’archipel de Kerkennah, elle a fait de la mer son moteur et sa cause. Founder& CEO de Blue Jay Communication Ltd, elle milite pour une économie bleue régulée, numérique et équitable, qui garantisse aux générations futures un droit réel à un développement durable. Avec une vision lucide et opérationnelle, elle appelle États africains et secteur privé à passer du discours à l’architecture concrète d’un modèle inclusif.

Pouvez-vous revenir sur vos débuts et sur le contexte dans lequel s’inscrit votre contribution au «Livre bleu»?

J’ai eu l’honneur d’être l’une des coauteures du «Livre bleu» intitulé «L’avenir de la main-d’œuvre dans une économie océanique durable». Ce document a été commandé par le World Resources Institute, qui assure le secrétariat du Panel de haut niveau pour une économie océanique durable (Ocean Panel), un groupe de réflexion rassemblant dix-huit chefs d’État décidés à anticiper les enjeux du changement climatique, de l’acidification des océans et de la durabilité des ressources marines. Chaque année, ce panel publie deux rapports thématiques et fait appel à des experts pour élaborer des recommandations concrètes. C’est dans ce cadre que nous avons été sollicités pour réfléchir à l’avenir de la «main-d’œuvre bleue».

Quelle était la finalité de ce rapport et en quoi sa portée dépasse-t-elle le simple diagnostic?

L’économie bleue est à un véritable tournant. Avec près de 90% du commerce mondial passant par la mer, la durabilité de sa main-d’œuvre devient un enjeu planétaire. Repenser la formation, intégrer la technologie et garantir une transition équitable et inclusive: telles sont les conditions d’une économie océanique prospère et durable. L’objectif était de dresser une cartographie mondiale des emplois liés aux secteurs océaniques, afin d’identifier les compétences nécessaires à l’horizon 2030 et 2050. L’économie bleue englobe aussi bien les secteurs traditionnels: pêche, aquaculture, transport maritime, tourisme, que des domaines émergents comme la R&D, l’intelligence artificielle, la communication ou la gouvernance environnementale. Même dans des filières historiques, comme le transport maritime, les mutations sont profondes: digitalisation, innovations écoresponsables, nouveaux matériaux… Chaque avancée technologique engendre de nouveaux métiers et impose une adaptation continue des compétences à l’échelle mondiale.

Comment avez-vous structuré votre travail et quelles ont été les grandes étapes de la recherche?

Nous étions trois coauteurs, deux Américains et moi-même en tant qu’experte africaine, et avons structuré le rapport en trois volets. D’abord, une évaluation mondiale de la main-d’œuvre bleue; ensuite, une analyse prospective menée avec des experts internationaux pour anticiper les besoins et mutations à venir; enfin, une vision stratégique à l’horizon 2030 et 2050, assortie de recommandations concrètes pour une transition durable et inclusive. En effet, la neutralité carbone ne pourra être atteinte qu’avec des travailleurs formés, stables et en bonne santé: la durabilité commence par l’humain. Le principal obstacle reste l’absence de données fiables. Sans base de référence solide, il est impossible de planifier. Peu de pays disposent d’«OceanAccounts» intégrant les dimensions économiques, sociales et environnementales des océans. Entre réticence à partager l’information, manque d’accès numérique et déficit de volonté politique, la transparence demeure un défi majeur, pourtant essentiel pour anticiper les compétences de demain.

Peut-on déjà affirmer qu’avec la transition vers une économie bleue durable, certains métiers vont disparaître tandis que d’autres émergeront? Et dans ce contexte, quel rôle les entreprises peuvent-elles jouer en matière de reconversion professionnelle?

Le secteur privé a une responsabilité essentielle dans la transformation de la main-d’œuvre bleue. Ce sont les grandes entreprises qui impulsent le changement, car elles constituent le moteur de l’économie mondiale. Leur rôle ne se limite pas à créer de l’emploi: elles doivent incarner la durabilité, être transparentes dans leur politique ESG (Environnement, Social, Gouvernance) et partager les données relatives à leur impact. La durabilité commence à l’intérieur même de l’entreprise. La transformation doit se faire à tous les niveaux. Face à l’innovation, à l’intelligence artificielle et aux défis climatiques, les entreprises doivent adapter en permanence les compétences de leurs équipes par la formation, le perfectionnement et la reconversion. L’IA n’est pas une menace, mais un levier d’efficacité qui libère du temps pour des activités à plus forte valeur ajoutée. Investir dans le capital humain n’est pas un coût, c’est une stratégie d’avenir. Aujourd’hui, l’économie océanique formelle emploie 133 millions de personnes dans le monde.

Mais d’ici 2050, nous faisons face à un véritable tournant:

* Dans un scénario d’océan durable, l’emploi pourrait augmenter de 51 millions, pour atteindre 184 millions de postes.

* Dans un scénario de transition bloquée, si les progrès ralentissent ou s’interrompent, nous pourrions perdre 40 millions d’emplois, ramenant le total à seulement 91 millions.

Les choix que nous faisons aujourd’hui détermineront si l’économie océanique de 2050 sera durable, équitable et réellement au service de tous.

Au-delà des entreprises et des gouvernements, quels autres acteurs peuvent contribuer à cette transition?

Les organisations intergouvernementales, comme l’Organisation internationale du travail (OIT), ont un rôle clé à jouer. Elles contribuent à façonner l’avenir de la main-d’œuvre mondiale et à harmoniser les politiques d’emploi durable.

Les ONG et la société civile, quant à elles, sont des partenaires indispensables: elles sont sur le terrain, au contact direct des communautés côtières, et peuvent remonter des informations précieuses aux décideurs. Leur expérience concrète doit nourrir les politiques publiques et les stratégies privées. Les institutions financières jouent également un rôle déterminant: elles orientent les flux de capitaux et peuvent accélérer ou freiner la transition bleue. En conditionnant les investissements à des critères de durabilité, elles ont le pouvoir d’imposer des normes, de réduire les risques et de financer des projets réellement transformateurs.

Et le monde académique dans tout cela?

Le rôle du monde académique est essentiel. Notre rapport révèle un écart profond entre la formation et les besoins réels et futurs du marché. Les programmes doivent être repensés et la collaboration renforcée entre gouvernements, entreprises, institutions et société civile pour bâtir une main-d’œuvre bleue résiliente, qualifiée et capable de répondre aux défis de 2030 et 2050. En Afrique, plusieurs universités maritimes notamment en Afrique du Sud, au Ghana, au Kenya ou encore en Tunisie collaborent de plus en plus avec les ministères, les acteurs industriels, les autorités portuaires et les ONG. Elles développent des programmes sur la sécurité maritime, l’économie bleue, la gestion des pêches, l’observation des océans et la logistique portuaire.

Une telle coopération ne peut pas naître spontanément, elle doit être impulsée. Selon vous, qui doit prendre le leadership dans cette collaboration nécessaire à la réussite de la transition bleue?

Pour moi, tout commence par les règles et cadres réglementaires. Gouvernements, secteur privé, organisations internationales et société civile doivent agir. Sans loi, la bonne volonté seule ne suffit pas. Lorsque les règles existent et sont appliquées, tout se structure naturellement. Les gouvernements et institutions internationales jouent donc un rôle central. Les Nations unies, par exemple, ont fixé 17 Objectifs de développement durable. Mais les atteindre suppose de créer des espaces de collaboration et de réunir tous les acteurs autour d’une même table. Des initiatives existent, mais elles restent fragmentées. Il faut désormais une coordination institutionnelle forte pour donner une direction claire et fédérer les énergies. L’océan est un espace partagé par une multitude d’acteurs: transport maritime, pêche, tourisme, exploitation offshore du pétrole et du gaz, sans oublier l’essor rapide des énergies marines renouvelables comme l’éolien en mer. Sans règles claires, outils de gouvernance et cadres réglementaires solides, ces activités risquent d’entrer en concurrence, de se chevaucher et de dégrader les écosystèmes dont elles dépendent. Protéger la biodiversité marine devient alors impossible sans une gestion durable et structurée des ressources océaniques. La bonne nouvelle, c’est que les outils existent déjà: la planification de l’espace maritime (MSP), les aires marines protégées (AMP) et les plans océaniques durables (SOP). L’enjeu aujourd’hui n’est pas d’en créer de nouveaux, mais de s’assurer qu’ils sont effectivement appliqués, respectés et régulièrement suivis. Ce n’est qu’à cette condition que nous pourrons garantir une économie bleue équilibrée, productive et réellement durable.

Vous défendez une «transition bleue» réellement inclusive. Comment la rendre concrète, notamment pour les femmes?

La durabilité exige l’inclusion; pourtant, les femmes représentent moins de 2% des emplois maritimes. L’économie bleue n’est pas qu’une affaire de technologies ou d’échanges, elle est d’abord humaine. Il faut agir sur plusieurs leviers: encourager les candidatures féminines, lever les freins pratiques et culturels, mobiliser les institutions pour sensibiliser et valoriser celles qui sont déjà dans la filière. Des avancées existent, mais elles restent insuffisantes. Donnons aux femmes toute leur place dans cette économie d’avenir. Investir dans les compétences et le bien-être, c’est investir dans le futur. Aux gouvernements d’installer un cadre incitatif; aux entreprises d’ancrer la performance dans l’ESG. Le rapport rappelle aussi les «femmes invisibles» de la pêche et de l’aquaculture, souvent sans statut ni protection. Les reconnaître, c’est les intégrer à l’économie formelle et renforcer la résilience du secteur. Aucune transition durable ne peut s’écrire en excluant la moitié de l’humanité. Selon la FAO, formaliser les femmes de la pêche et de l’aquaculture pourrait augmenter la productivité des filières de 20 à 30%. L’inclusion n’est pas un slogan: c’est un levier économique.

Si vous deviez aujourd’hui recommander trois priorités stratégiques aux gouvernements et aux entreprises africaines pour accélérer le développement de l’économie bleue, quelles seraient-elles?

D’abord, digitaliser les infrastructures pour que les communautés locales accèdent équitablement à l’information et aux opportunités de l’économie bleue. Ensuite, assurer une transition réellement inclusive en replaçant la durabilité, souvent perçue comme une contrainte, dans son rôle de nécessité économique et sociale. Pour piloter l’action, des politiques fondées sur des données fiables et transparentes sont indispensables, avec la mobilisation d’OceanAccounts pour bâtir des stratégies robustes. À court terme, l’investissement prioritaire va à l’éducation et à la formation; à plus long terme, la finance bleue doit devenir le levier central de projets durables et inclusifs. La transition doit garantir que personne ne soit laissé de côté. Il ne s’agit pas seulement d’emplois, mais de personnes, de prospérité et de planète.

 

Propos recueillis par

Sahar Mechri & Sana Ouji Brahem

L’article Leila Ben Hassen, Founder & CEO de Blue Jay Communication Ltd: “Pour réussir la transition bleue, il faut des lois, des données et une vision” est apparu en premier sur Managers.

Amadeus Tunisie : les agences de voyage au cœur de la transformation digitale

En Tunisie, Amadeus se positionne en acteur central de la mutation du voyage, dévoilant lors d’un événement à Tunis sa stratégie axée sur les technologies numériques pour accompagner l’écosystème local dans l’ère digitale.

La transformation digitale n’est plus une simple tendance, mais une réalité profonde qui bouleverse l’industrie du voyage. Au cœur de cette métamorphose, Amadeus se positionne comme un acteur stratégique, non seulement en tant que fournisseur de technologie, mais également en tant que partenaire essentiel de l’écosystème.

Un événement majeur a été organisé le 9 décembre à Tunis pour débattre autour du thème «L’écosystème du voyage au cœur de la transformation digitale». Il s’est tenu en présence des premiers responsables d’Amadeus IT Group dont Jamel Chandoul (vice-président – Travel Sellers META & EMEA Partner Markets) et Fakher Ben Saïd, chargé de la direction générale d’Amadeus Tunisie, ainsi que des partenaires locaux comme le président de la FTAV, Ahmed Bettaieb.

amadeus_tunisie_conference

Cet événement a permis de décortiquer la stratégie ambitieuse d’Amadeus. L’objectif était de révéler comment l’entreprise et ses partenaires se préparent à un avenir dominé par la personnalisation, l’IA et l’expérience « sans friction » pour le voyageur. Fakher Ben Saïd a clairement exposé la stratégie de l’entreprise, qui s’articule autour de trois pôles principaux : produits, formation et offre commerciale.

fakher-ben-said

Fakher Ben Said, chargé de la direction générale d’Amadeus tunisie

L’innovation au centre des priorités

L’innovation produit est au centre des priorités d’Amadeus. L’objectif est l’accélération du standard NDC-X (New Distribution Capability), devenu « crucial, car il permet de Splitter l’offre (siège, bagage, lounge, etc.), transformant les compagnies en Retailers (détaillants) », comme l’a souligné Jamel Chandoul.

chandoul-jamel

Jamel Chandoul, vice-président Amadeus

En parallèle, Amadeus promeut activement les solutions robotiques (Amadeus Robotics) permettant l’automatisation 24/7 de tâches comme l’Auto-Ticketing, et l’offre en ligne via Amadeus Web  Services et Quick Connect. Myriam Soukouna, Products & Solutions Manager – Amadeus IT Group, a, de son côté, synthétisé les trois axes de digitalisation : l’expérience client, la digitalisation des processus et la connectivité. Elle a notamment présenté Amadeus Hey, une plateforme intelligente tout-en-un qui interagit avec les voyageurs en proposant des services personnalisés basés sur le contexte du voyage.

Créer un réservoir de compétences certifiées Amadeus

La formation est un pilier majeur pour garantir l’adoption et la maîtrise de ces nouvelles technologies. La stratégie d’Amadeus prévoit « l’intégration du module Amadeus dans le cursus universitaire et la création d’un centre de compétence End-to-End dans le but de développer un réservoir national de compétences certifiées Amadeus et créer de l’emploi qualifié. »

Les agences de voyages participantes à la conférence.

Nouveauté commerciale

Sur le plan commercial, un changement majeur a été annoncé. Il s’agit du passage à une tarification par package, en abandonnant la facturation par transaction. De plus, la ristourne sera révisée et calculée par palier basé sur les objectifs atteints, et non plus sur le nombre de « Bookings ». Ce modèle vise à encourager une performance globale plutôt que le simple volume de transactions.

L’IA entre opportunité et menace

La pandémie de la Covid-19 a été un puissant accélérateur, forçant la transformation du secteur et des comportements. « La Covid-19 a accéléré la transformation du secteur et des comportements des voyageurs », a confirmé Jamel Chandoul. Le voyageur d’aujourd’hui exige une expérience « sans friction », autrement dit sans barrières stressantes, notamment à l’aéroport, ainsi que la personnalisation et la transparence des offres.

L’intelligence artificielle, nouvelle révolution et « un investissement majeur d’Amadeus. »

Les intervenants ont été unanimes à admettre que l’IA constitue « une opportunité qui force les acteurs à s’adapter et permettra de gérer la fragmentation croissante du marché. Elle augmentera également la performance des équipes », comme l’a constaté Khaled Drira, directeur général d’Active Travel lors d’un échange d’expériences inter-agences.

Fabrice Pelissier, Director Innovation and Knowledge Management Chez Amadeus IT Group, a souligné pour sa part que l’IA « accélère le cycle d’innovation en permettant la création rapide de prototypes fonctionnels.»

pelissier-fabrice-amadeus-tunisie

Fabrice Pelissier

L’IA est aussi « une menace pour les agences si elles ne s’adaptent pas, car des agents d’automatisation peuvent faire des réservations hors circuit », a cependant averti Haythem El Mir, spécialiste en cybersécurité. Khaled Drira a reconnu que le secteur « est confronté à une menace réelle car l’IA peut potentiellement remplacer l’expertise et le conseil traditionnels. »

L’écosystème en quête de partenariats et de confiance

La transformation ne peut en fait se faire en vase clos. Elle requiert une collaboration étroite entre tous les acteurs. Ahmed Bettaieb, président de la FTAV, a souligné l’objectif d’établir « un vrai partenariat apportant une valeur ajoutée au secteur du voyage ». Il a d’ailleurs confirmé que « les techniciens de la FTAV sont pleinement engagés dans cette démarche ». Marwen Razgallah, directeur général de Spring Travel Services, a estimé pour sa part que « l’absence d’un écosystème de soutien (réglementation, banques) force les agences à se débrouiller seules » pour finaliser la digitalisation du parcours client en Tunisie.

drira-khaled-active-travel

Marwen Razgallah (à dr.) et Khaled Drira, agents de voyages venus partager leur expérience de la digitalisation de leurs activités.

Confiance numérique et cybersécurité

Avec la digitalisation, l’enjeu clé est d’instaurer une confiance numérique totale, remplaçant la confiance basée sur le contact humain. Les agences doivent impérativement « démontrer leur engagement pour la protection des données personnelles et la conformité réglementaire. » L’IA est d’ailleurs une arme à double tranchant en cybersécurité, « utilisée à la fois pour la détection de fraudes (défense) et pour lancer des cyberattaques (offensive) », a prévenu Haythem El Mir.

Le voyage responsable

Une autre tendance émergente a été parmi les sujets débattus lors de l’événement. Il s’agit du voyage « responsable ». Fabrice Pelissier a insisté sur l’importance de cette notion, qui se manifeste par « l’affichage de l’empreinte carbone et le développement de voyages éthiques. »

La stratégie d’Amadeus, combinant innovation technologique, développement des compétences et révision de l’offre commerciale, vise à équiper un écosystème en pleine mutation. Le succès de cette transformation digitale repose sur l’adaptabilité des agences de voyage et de tout l’écosystème en s’appuyant sur une collaboration renforcée entre le secteur privé et public.

Lire aussi à propos d’Amadeus Tunisie:

Amadeus Tunisie annonce le déploiement de nouveaux contenus NDC-X

Amadeus Tunisie poursuit la transformation de son activité de billetterie aérienne

Pour son 25e anniversaire, Amadeus Tunisie récompense ses partenaires agences de voyage

L’article Amadeus Tunisie : les agences de voyage au cœur de la transformation digitale est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Les exportations tunisiennes progressent de 1,5% à fin novembre

19. Dezember 2025 um 15:43
Les exportations tunisiennes ont enregistré, à la fin du mois de novembre 2025, une croissance de 1,5% par rapport à l’année dernière, pour atteindre 57,9 milliards de dinars, marquant un retour à la tendance haussière, grâce aux résultats enregistrés au cours des trois derniers mois, ont souligné les Chefs de bureaux du Centre de promotion […]

Les projets d’assainissement auront la part plus que belle dans les crédits alloués à l’Environnement

19. Dezember 2025 um 15:20
Le budget du ministère de l’Environnement pour la période 2026-2027 sera alloué, à hauteur d’environ 90 %, aux projets liés à l’assainissement, a annoncé le ministre, Habib Abid, lors d’une journée d’information consacrée à l’état d’avancement du projet de réhabilitation de la station d’épuration du projet « Sud Meliane ». Il a assuré que l’élaboration du plan […]

La Maltaise « HandsOn Systems Ltd » fera centrale solaire à Gafsa

19. Dezember 2025 um 15:13
Une rencontre a été tenue, jeudi, 18 décembre 2025, à Tunis, entre l’ingénieur général à FIPA-Tunisie, Ibrahim Medini et les représentants de la société malaise « HandsOn Systems Ltd ». La société maltaise, spécialisée dans les solutions de suivi GPS et de gestion de flotte, la gestion d’actifs RFID, les solutions énergétiques intelligentes et les plateformes IoT,  compte […]

La BFPME se dote d’un nouveau système d’information

19. Dezember 2025 um 15:12
La Banque de Financement des Petites et Moyennes Entreprises (BFPME) lancera un nouveau système d’information dédié aux PME, visant à contribuer à l’amélioration de la qualité des services d’accompagnement et de financement qui leur sont proposés.Représentant environ 90 % du tissu économique et fournissant près de 80 % des emplois, les PME qui jouent un […]

Un expert marketing parle de la crise de l’huile d’olive

19. Dezember 2025 um 14:56
L’impasse dans laquelle se trouve l’huile d’olive tunisienne ces derniers jours, bien qu’alarmante à différents titres , serait une occasion en or pour nous interpeller par rapport à une réalité constante, voire génétique:  » le marketing , comme levier de commercialisation, a du mal à s’installer convenablement dans les pratiques des institutions tunisiennes d’appui. Qu’il […]

Tozeur : Un taux de réservations de 100% pour les vacances d’hiver

19. Dezember 2025 um 14:52
La promotion du tourisme intérieur constitue une composante importante de la stratégie du ministère de tutelle, d’autant plus que le tourisme intérieur demeure un des piliers de préservation du secteur qui a fait ses preuves durant les périodes de crise. Les préparatifs en cours portent sur l’inspection des différents services touristiques dans les hôtels, les […]

Trump suspend la loterie des cartes vertes

19. Dezember 2025 um 13:38
Le président américain Donald Trump a décidé dans la nuit de jeudi à vendredi de geler le programme de loterie des cartes vertes (Green Card), après qu’il a été révélé que Claudio Manuel Neves Valente, suspect de la fusillade à l’université Brown et du meurtre d’un physicien du MIT, était entré aux États-Unis par ce […]

TSI reprend, mais sous mandat judiciaire et 4 mandataires 

19. Dezember 2025 um 12:49
Par décision du Tribunal de Première Instance de Tunis en date du 16 juin 2025, La TSI a été placée sous mandat judiciaire. Madame Nour El Houda ABASSI, Monsieur Faouzi BEN SALEM et Monsieur Mohamed HAOUIDHEK ont été désignés en qualité de mandataires de justice, sous la supervision de Madame le juge contrôleur Dorra BOUGHARKA. […]

La Sotuver est désormais à 41,28 % portugaise 

19. Dezember 2025 um 12:46
La société Tunisienne de Verrerie (Sotuver) du groupe familial Bayahi annonce la signature, le mardi dernier 16 décembre, de la  cession de 41,28 % de son capital à B.A Glass BV, société néerlandaise du groupe portugais BA Glass, l’un des plus importants acteurs de l’industrie mondiale de l’emballage en verre. Il est à noter que la […]

Ouverture d’une Maison des services numériques à Ouled Haffouz

19. Dezember 2025 um 12:02
La Maison des services numériques à la municipalité d’Ouled Haffouz (gouvernorat de Sidi Bouzid), a été inaugurée, hier jeudi,  dans le  cadre du soutien à la transition numérique, du rapprochement des services administratifs du citoyen et de l’amélioration de la qualité des prestations publiques.À cette occasion, le député à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Khaled […]

Du matériel médical essentiel remis à la Direction Régionale de la Santé de Sfax

19. Dezember 2025 um 10:39
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en coordination avec le ministère de la santé, a livré récemment du matériel médical essentiel à la Direction Régionale de la Santé de Sfax. Selon un communiqué publié ce vendredi sur la page officielle de l’OIM Tunisie, cette donation, qui comprend une table d’accouchement, un coussin chauffant, un marchepied […]

Transport: Des mesures exceptionnelles à l’occasion des vacances

19. Dezember 2025 um 09:51
À l’occasion des vacances d’hiver, le ministère des Transports a annoncé, ce jeudi, une série de mesures destinées à assurer la mobilité des citoyens dans les meilleures conditions possibles. Ces mesures entreront en vigueur les 19, 20 et 21 décembre 2025, ainsi que les 3, 4 et 5 janvier 2026, selon mosaique fm. Il a […]

Affaire de Tabib : la chambre criminelle accède à la requête de la défense

19. Dezember 2025 um 09:19
La chambre criminelle spécialisée dans les affaires de corruption financière du tribunal de première instance de Tunis a accepté, ce jeudi 18 décembre 2025, la requête de la défense de l’ancien bâtonnier des avocats et ex-président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption (INLUCC), selon Express fm. En effet, la défense de Chawki Tabib a […]

CAN-2025 – Préparation: La Tunisie bat le Botswana 2-1

19. Dezember 2025 um 08:26
La Tunisie a battu le Botswana 2 buts à 1 en match amical disputé vendredi, à Tabarka, dans le cadre de la préparation des deux sélections pour la Coupe d’Afrique des Nations de football CAN-2025 qui aura lieu du 21 décembre au 18 janvier au Maroc.Les Botswanais ont ouvert le score par le biais de Tumisang […]

JCC 2025 : Les projets primés de Carthage Pro dévoilés

19. Dezember 2025 um 08:24
La 36ᵉ édition des Journées cinématographiques de Carthage (JCC) a dévoilé, jeudi soir à Tunis, le palmarès de Carthage Pro, la plateforme professionnelle dédiée à l’accompagnement des projets de films arabes et africains, organisée dans le cadre du festival.Réunis du 15 au 18 décembre, les ateliers Chabaka (développement) et Takmil (postproduction) ont distingué dix-sept projets, […]

Foot – Coupe arabe: Le Maroc sacré champion aux dépens de la Jordanie (3-2)

19. Dezember 2025 um 08:22
La sélection marocaine de football a remporté la Coupe arabe  FIFA Qatar-2025, en s’imposant face à la Jordanie 3-2 après prolongations, jeudi, au Stade Lusail à Doha.Les Lions de l’Atlas ont ouvert le score à la 4e minute par le biais de Oussama Tannane. A la 48e minute, Ali Olwan a égalisé pour la Jordanie et doublé la mise à […]

« Le peuple a donné une leçon à Tous », dit Kais Saïed du 17 décembre :

19. Dezember 2025 um 06:43
Le président de la République, Kais Saïed, a reçu, jeudi, après-midi, au palais de Carthage, la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri.Selon un communiqué, le chef de l’Etat est revenu sur la « leçon historique » donnée, hier, 17 décembre, par le peuple tunisien, saluant la conscience élevée et la maturité dont celui-ci a fait preuve à l’occasion […]

❌
❌