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Heute — 03. Dezember 2025Haupt-Feeds

États-Unis: toutes les demandes d’immigration suspendues pour ces 19 pays

03. Dezember 2025 um 15:46

L’administration américaine a annoncé la suspension immédiate de toutes les demandes d’immigration provenant de 19 pays classés « à haut risque », y compris les demandes de cartes de résident permanent et de naturalisation. Cette décision, rendue publique le 2 décembre 2025 par le Department of Homeland Security, intervient quelques jours après une fusillade mortelle à Washington impliquant un ressortissant afghan .

La mesure touche les ressortissants des 12 pays déjà frappés depuis juin d’une interdiction totale d’entrée — dont l’Afghanistan, la Birmanie, le Tchad, la Libye, la Somalie et le Yémen — ainsi que sept autres pays ajoutés à la liste, notamment Cuba, le Burundi, le Laos, la Sierra-Leone et le Turkménistan . Toutes les procédures en cours, y compris celles déposées avant la suspension, sont désormais gelées, sans deadline de reprise.

Selon les documents internes de l’USCIS, la suspension concerne autant les demandes déposées depuis l’étranger que celles de personnes déjà présentes aux États-Unis, dont les dossiers pourront être ré-examinés ou faire l’objet d’entretiens supplémentaires pour des raisons de « sécurité nationale » .

Cette décision marque un durcissement notable de la politique migratoire de l’administration Trump, déjà axée sur la lutte contre l’immigration illégale. Elle intervient après qu’un ressortissant afghan a été accusé d’avoir tué une militaire de la Garde nationale lors d’une attaque à Washington le 26 novembre. Depuis cette date, toutes les décisions relatives à l’octroi de l’asile ont également été gelées, le gouvernement affirmant vouloir renforcer les contrôles pour éviter de nouveaux risques sécuritaires .

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Le ministère des Finances recrute…

03. Dezember 2025 um 14:40

Le ministère des Finances vient d’annoncer, à travers une décision publiée au JORT, l’ouverture d’un concours externe pour recruter 250 nouveaux agents de la douane. Ce concours, organisé par l’administration générale de la douane, est destiné aux candidats ayant terminé la deuxième année de la deuxième phase de l’enseignement secondaire (ou la 7e année complète du système ancien). Les titulaires d’un certificat de formation équivalent peuvent également postuler, toutes spécialités confondues.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 31 décembre 2025. Les épreuves débuteront le 16 février 2026 et se poursuivront les jours suivants.

Pour participer, chaque candidat doit obligatoirement :
• remplir le formulaire de candidature disponible sur le site officiel de la douane : https://tn.gov.douane.concours
• envoyer son dossier par courrier à l’adresse de la Direction générale de la Douane

La décision rappelle que ce concours est organisé conformément aux textes légaux encadrant le statut des agents de la douane, notamment le loi n°46 de 1995, la loi organique n°28 de 2013, et le décret n°2311 de 1996, modifiés par diverses dispositions ultérieures.

Il convient de noter que cette décision a été publiée au JORT et prend effet depuis sa signature le 28 novembre 2025.

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Le 3e plus grand supercalculateur d’Afrique bientôt opérationnel en Tunisie !

03. Dezember 2025 um 11:56

La Tunisie franchit une étape majeure dans le domaine de la recherche scientifique avec le lancement imminent de son supercalculateur, annoncé comme le 3e supercalculateur le plus performant d’Afrique. Ce nouvel outil, fruit d’un partenariat avec la Chine, sera bientôt opérationnel à la Cité des Sciences de Tunis et mis à disposition des chercheurs tunisiens.

Le supercalculateur permettra de traiter d’énormes volumes de données à grande vitesse, ouvrant la voie à des avancées dans l’intelligence artificielle, la modélisation scientifique et l’analyse de données massives. Selon le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, l’installation des équipements est presque achevée et le système sera pleinement fonctionnel dans les prochaines semaines.

Les autorités mettent l’accent sur la souveraineté numérique : toutes les données et travaux de recherche resteront hébergés en Tunisie, garantissant ainsi un contrôle local sur ces ressources stratégiques. Ce projet illustre la volonté du pays de renforcer ses capacités scientifiques et technologiques pour rivaliser à l’échelle régionale et africaine.

Avec cette initiative, la Tunisie se positionne comme un acteur clé dans l’innovation et la recherche avancée en Afrique, offrant à ses scientifiques un outil inédit pour explorer de nouvelles frontières du savoir et de la technologie.

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UBCI: un nouvel emprunt subordonné fait son entrée sur le marché obligataire

03. Dezember 2025 um 11:29

La Bourse de Tunis vient d’annoncer l’introduction au marché obligataire de l’emprunt «UBCI Subordonné 2025-1», dont la négociation débutera le 4 décembre 2025. Cette opération marque une nouvelle étape dans la stratégie de financement de l’UBCI et enrichit l’offre obligataire disponible sur la cote.

L’emprunt est décliné en deux tranches distinctes, toutes deux à taux fixe:

  • Catégorie A, portant un taux d’intérêt brut de 9,30%, pour une durée de 5 ans.
    Elle porte sur 228 000 obligations, d’une valeur nominale de 100 dinars chacune, pour un montant total souscrit de 22,8 millions de dinars.
  • Catégorie C, assortie d’un taux de 9,40% et d’une maturité de 7 ans, comprenant 2 années de franchise. Elle représente 372 000 obligations, également de 100 dinars l’unité, pour un montant global de 37,2 millions de dinars.

Les deux lignes sont émises par l’UBCI, avec Union Capital comme intermédiaire en charge de l’opération.

La date de jouissance de l’emprunt est fixée au 10 novembre 2025, la première échéance au 10 novembre 2026, et les dernières échéances aux 10 novembre 2030 pour la catégorie A et 10 novembre 2032 pour la catégorie C.

La Bourse rappelle que les modalités pratiques liées à la cotation et au calcul des coupons courus sont disponibles dans la rubrique dédiée aux avis et décisions sur son site officiel.

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À partir de 2026, les lunettes vont coûter moins cher

03. Dezember 2025 um 10:47

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a adopté le 2 décembre 2025, l’article additionnel 86 du projet de la loi de finances pour 2026, portant sur une réduction des droits de douane appliqués aux produits du secteur des lunettes. Le vote a donné 60 «oui», 11 abstentions et 30 «non».
Le problème ciblé est celui du coût élevé des équipements optiques (lunettes, montures, verres) pour les consommateurs tunisiens, ainsi que la compétitivité des entreprises locales ou importatrices opérant dans ce secteur. Le besoin spécifique est de rendre ces produits plus abordables pour les citoyens et d’alléger le fardeau douanier afin de stimuler le marché des lunettes et d’améliorer l’accès aux soins visuels.


L’article 86 répond à ce besoin en prévoyant une baisse des droits de douane sur les produits du secteur des lunettes. Cette mesure peut potentiellement réduire le prix d’achat pour les consommateurs et encourager l’importation. En outre, pour les entreprises impliquées dans l’importation ou la distribution de lunettes, cette mesure peut représenter un incitatif à développer davantage l’offre, réduire les marges de coût et peut-être stimuler la production locale ou le montage.

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Un investissement coréen de 50 Mtnd pour créer plus de 2000 emplois à Kairouan

03. Dezember 2025 um 09:36

La région de Kairouan s’apprête à accueillir l’un des investissements industriels les plus importants de ces dernières années, avec la pose de la première pierre de la cinquième unité du groupe coréen Yura Corporation, un projet estimé à 50 millions de dinars et capable de générer plus de 2000 emplois directs. L’annonce a été faite mardi 2 décembre lors d’une cérémonie supervisée par la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie, Fatma Thabet Chiboub, dans la zone industrielle Kairouan 2.

Selon le communiqué du ministère publié le 2 décembre 2025, cette nouvelle unité industrielle marque une étape majeure pour le secteur tunisien des composants automobiles, un secteur qui a réussi au cours des dernières années à attirer des investissements à haute valeur technologique. La ministre a souligné que ce projet ne représente pas seulement une extension industrielle, mais un levier significatif pour créer de l’emploi, stimuler les exportations et renforcer l’intégration de la Tunisie dans les chaînes de valeur mondiales de l’automobile.

Le choix de Yura Corporation d’investir à nouveau en Tunisie n’est pas anodin. Depuis son implantation en 2007, le groupe a déjà développé quatre unités industrielles dans le pays, profitant de la qualité des infrastructures, de la disponibilité de main-d’œuvre qualifiée et de la position stratégique de la Tunisie entre l’Europe et l’Afrique. La ministre a également confirmé qu’une sixième unité est prévue à Metbasta, toujours dans le gouvernorat de Kairouan, à l’horizon 2026, signalant ainsi une dynamique durable d’investissement dans la région.

De son côté, le président exécutif du groupe, Park Dongil, a qualifié la Tunisie de «centre stratégique» reliant l’Europe et l’Afrique du Nord, un atout qui, selon lui, place le pays parmi les destinations les plus attractives pour l’industrie automobile. Il a mis en avant la qualité exceptionnelle des compétences tunisiennes, capables de produire des câbles automobiles selon les standards internationaux les plus exigeants.

L’entreprise prévoit d’utiliser les technologies les plus avancées du secteur tout en s’appuyant sur les compétences nationales, un modèle qui consolide à la fois l’emploi local et le transfert de technologie. La nouvelle unité produira des câbles automobiles destinés aux marques mondiales les plus renommées, ce qui renforcera davantage la présence de la Tunisie sur les marchés internationaux.

Au-delà des 2000 emplois créés grâce à cette nouvelle unité, Yura Corporation prévoit de fournir environ 8500 emplois au total dans la région de Kairouan à travers l’ensemble de ses sites dans les prochaines années. Ce volume d’emplois, associé à une activité orientée à plus de 90% vers l’exportation, laisse entrevoir un impact économique majeur en termes de génération de devises, de dynamisation du tissu industriel local et de montée en gamme des compétences.

Fondée en 1995 en Corée du Sud, Yura Corporation est aujourd’hui active dans 15 pays et opère à travers 22 unités industrielles. Avec cette nouvelle étape à Kairouan, le groupe confirme son ancrage stratégique en Tunisie et contribue à positionner le pays comme un hub incontournable de l’industrie des composants automobiles.

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Tunisie: voici les priorités du plan de développement 2026-2030

03. Dezember 2025 um 09:18

Le gouvernement tunisien a placé la justice sociale, la réduction des inégalités régionales et la souveraineté énergétique et hydrique au centre du Plan de développement 2026-2030, présenté lors d’un conseil ministériel présidé par la cheffe du gouvernement, Sarra Zaâfrani Zenzri. Le communiqué publié par la présidence du gouvernement le 2 décembre 2025 affirme que ce plan marque un tournant important, puisqu’il repose pour la première fois sur une démarche ascendante, élaborée à partir des conseils locaux, régionaux et interrégionaux, dans l’esprit voulu par le président de la République, Kaïs Saïed.

En fait, le premier axe repose sur la volonté d’améliorer l’inclusion sociale et de soutenir les catégories vulnérables. Cela implique une amélioration de la qualité des services essentiels, notamment dans les secteurs de la santé, de l’éducation et du transport public. Le communiqué insiste également sur l’importance d’activer les programmes d’emploi, de soutenir les jeunes entrepreneurs, d’améliorer l’employabilité des diplômés et de consolider la protection sociale, afin de créer un véritable filet de sécurité pour les populations fragiles.

Le deuxième axe vise à réduire les inégalités régionales, un enjeu considéré comme central par la cheffe du gouvernement. Le texte met en avant la nécessité de relier les régions intérieures aux zones plus développées par des infrastructures adaptées et de créer une dynamique de développement capable de diminuer les écarts persistants entre les territoires.

Le plan s’appuie également sur une vision économique durable et inclusive. Les autorités ambitionnent de stimuler à la fois l’investissement public et privé, de moderniser le secteur agricole à travers les technologies et une meilleure maîtrise de l’eau, et de développer les chaînes de valeur industrielles et agricoles pour accroître la valeur ajoutée tout en respectant les normes environnementales. L’intégration du secteur informel, l’ouverture sur de nouveaux marchés à l’export et l’attraction d’investissements étrangers dans les secteurs porteurs figurent également parmi les orientations majeures.

La souveraineté hydrique constitue un autre pilier essentiel. Le gouvernement souhaite optimiser la gestion des ressources en eau traditionnelles, moderniser les réseaux de distribution et développer les ressources non conventionnelles. Le plan prévoit aussi la généralisation du traitement des eaux usées, le déploiement de l’agriculture intelligente et la digitalisation des systèmes de gestion de l’eau.

La souveraineté énergétique prend une place tout aussi stratégique. L’objectif est de réduire la dépendance du pays aux énergies fossiles, d’augmenter la part des énergies renouvelables, de valoriser les ressources nationales comme le solaire, l’éolien ou le biogaz, et d’encourager une consommation énergétique plus rationnelle chez les ménages et les entreprises. La réforme de la gouvernance du secteur et l’exploitation future du projet de liaison électrique ELMED sont également citées comme des leviers majeurs.

La transformation numérique constitue un autre volet structurant. Le gouvernement prévoit de généraliser la digitalisation des services administratifs, d’étendre le très haut débit, d’accompagner les entreprises dans leur mutation numérique et de mettre en place une stratégie nationale dédiée à l’intelligence artificielle.

Le communiqué met aussi en avant la volonté de moderniser le modèle industriel tunisien. Cette orientation repose sur l’économie de la connaissance, les technologies propres et l’innovation. Le gouvernement veut impulser une meilleure répartition géographique des activités industrielles, soutenir la compétitivité des PME, accélérer la création de zones industrielles intelligentes, renforcer la recherche et l’innovation, et optimiser le rôle des pôles technologiques. L’objectif est de permettre aux entreprises tunisiennes d’améliorer leur position dans les chaînes de valeur et d’augmenter leur capacité d’exportation.

Enfin, l’accès au financement apparaît comme un défi croissant. Le plan entend renforcer les équilibres financiers, améliorer l’épargne nationale, mobiliser des financements concessionnels et verts, définir une liste de projets adaptés aux partenariats public-privé et élargir l’inclusion financière pour les populations vulnérables.

La cheffe du gouvernement a rappelé que le Plan 2026-2030 ne représente pas seulement une feuille de route économique, mais une étape nationale structurante qui orientera les choix politiques des années à venir.

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Gestern — 02. Dezember 2025Haupt-Feeds

OneTech Holding annonce la séparation de ses pôles mécatronique et câbles

02. Dezember 2025 um 17:09

le Conseil d’Administration de OneTech Holding a pris une décision stratégique majeure : la séparation complète de ses deux pôles opérationnels, à savoir la mécatronique et les câbles. Cette scission vise à renforcer la compétitivité et la croissance de chaque pôle en leur permettant de se concentrer davantage sur leurs domaines spécifiques.

Pour mener à bien cette transformation, OneTech Holding a fait appel à trois institutions de renom : le cabinet d’audit et de conseil AMC Ernst & Young (EY), notamment via sa ligne de services EY Parthenon spécialisée en stratégie et transactions, ainsi que les intermédiaires en bourse MAC SA et Tunisie Valeurs. Ces experts ont pour mission d’accompagner le Groupe tout au long du processus de séparation, en étudiant et finalisant les aspects stratégiques, opérationnels, financiers, juridiques et sociaux de cette opération.

Cette scission vise à offrir à chaque pôle plus de flexibilité et de ressources pour accélérer leur développement. La spécialisation de chaque branche, tout en maximisant les synergies internes entre les filiales, permettra à OneTech Holding de renforcer sa compétitivité et de développer des partenariats plus ciblés. En parallèle, cette initiative s’inscrit dans le cadre du plan stratégique “Challenge 2028”, qui a pour ambition d’améliorer durablement la performance opérationnelle du Groupe et d’accélérer son expansion internationale.

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ARP: voici les articles adoptés, rejetés et les nouvelles mesures intégrées au budget 2026

02. Dezember 2025 um 15:35

L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) a publié un communiqué détaillant l’avancement de l’étude du projet de loi de finances pour 2026, menée par la Commission des finances ainsi que la Commission du Plan et du Budget entre le 17 et le 27 novembre 2025.
Les travaux ont porté sur l’examen article par article, en présence de représentants du ministère des Finances, afin d’évaluer les propositions gouvernementales et d’intégrer les amendements jugés nécessaires.

Les principaux articles amendés et adoptés                                       

Article 23 – Exonération des services de transport

L’article portant sur l’exonération de certains services de transport de la taxe sur les revenus a été adopté, avec un amendement important : Généralisation de l’exemption à toutes les institutions, et non uniquement aux institutions industrielles.

Article 30 – Soutien à l’huile d’olive

L’ARP a approuvé un amendement introduisant : un programme annuel d’évaluation, supervisé par le ministère de l’Industrie, pour accorder des avantages aux bénéficiaires selon un barème précis.

Article 37 – Véhicules adaptés pour personnes handicapées

Adoption de l’exonération douanière pour les véhicules spécialement aménagés.
Amendement ajouté : Intégration des associations d’accompagnement des enfants handicapés dans le dispositif d’aide.

Article 38 – Contribution sociale

L’article a été adopté avec un amendement visant à : inclure les associations sportives, culturelles et de jeunesse dans les structures pouvant bénéficier du soutien prévu.

Article 48 – Droits douaniers sur les équipements médicaux

Adoption de l’allégement des droits douaniers sur les équipements médicaux jugés essentiels.

Article 53 – Régularisation fiscale

Un amendement a fixé: Septembre 2026 comme dernier délai pour les demandes de régularisation, avec un mois supplémentaire pour achever les procédures.

Articles rejetés

Trois articles proposés ont été refusés lors des délibérations :

  • Article 20 : relatif à la contribution sociale de solidarité
  • Article 47 : révision des droits douaniers sur les équipements solaires
  • Article 50 : ajout de mesures pour renforcer l’égalité fiscale entre citoyens

Par ailleurs, les députés ont également introduit plusieurs propositions additionnelles afin de soutenir les catégories vulnérables et d’accompagner les secteurs en difficulté. Ces mesures comprennent un allègement progressif de l’impôt sur les pensions, qui atteindra 40 % en 2029 pour renforcer le pouvoir d’achat des retraités, ainsi qu’un nouveau programme de bourses destiné aux étudiants issus de familles modestes, leur garantissant un accès direct aux aides financières. Elles prévoient également un ensemble d’appuis pour les agriculteurs affectés par la sécheresse, incluant des aides pour l’aliment du bétail et l’eau d’irrigation.

En plus, un dispositif assoupli de régularisation a été adopté en faveur des entreprises exportatrices, avec une réduction des pénalités, tandis que le renforcement du transport ferroviaire des matières premières vise à réduire les coûts logistiques. Enfin, un rééchelonnement des dettes du secteur touristique a été approuvé afin d’offrir un soutien concret à un domaine fortement fragilisé ces dernières années.

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Le Parlement adopte une amnistie fiscale pour faciliter le paiement des dettes. Détails

02. Dezember 2025 um 14:45

Le Parlement tunisien a approuvé, aujourd’hui le 2 décembre, l’ajout d’un article supplémentaire dans le projet de Loi de finances 2026, instaurant une amnistie fiscale destinée à faciliter le règlement des dettes fiscales accumulées. Cette mesure vise à alléger la charge des contribuables et à encourager le paiement volontaire des dettes dues à l’État.

L’amnistie porte principalement sur l’annulation des pénalités liées aux retards, au contrôle fiscal et aux frais de poursuite. Elle s’applique aussi bien aux entreprises industrielles, commerciales ou professionnelles qu’aux établissements hôteliers et aux titulaires d’autorisations diverses, à condition de s’acquitter des montants dus selon des modalités précises.

Les contribuables peuvent choisir de payer leurs dettes en une seule fois ou d’adhérer à un calendrier de paiement étalé, à condition de verser le premier acompte dans les délais fixés.

Les principales dispositions de l’amnistie fiscale

1. Annulation totale des pénalités de retard et de contrôle

Les pénalités sont supprimées pour les dettes fiscales suivantes, sous réserve de paiement total ou de souscription à un échéancier et du versement du premier acompte avant le 30 décembre 2026 :

  • Dettes fiscales comptabilisées avant le 1er janvier 2024.

  • Dettes régularisées avant le 1er janvier 2026 dans le cadre d’un contrôle fiscal ayant fait l’objet d’un accord de règlement avant le 30 juin 2025, ou d’une décision de taxation d’office notifiée avant cette même date.

  • Dettes liées à des litiges fiscaux jugés avant le 30 juin 2025.

2. Réduction de 50 % des pénalités administratives

Une réduction de 50 % est accordée sur les pénalités administratives enregistrées avant le 30 juin 2025, si les montants dus sont réglés en une fois ou selon un échéancier dont le premier versement intervient avant le 31 octobre 2026.

3. Calendrier de paiement flexible mais strict

  • La durée maximale des échéanciers est fixée à cinq ans.

  • Le ministère des Finances déterminera, selon le profil du contribuable, le nombre de tranches trimestrielles et les délais.

  • En cas de demande motivée du contribuable, un prolongement exceptionnel peut être accordé sans dépasser la limite des cinq ans.

Le non-respect du paiement d’une échéance entraîne la reprise immédiate des poursuites légales, ainsi que l’application d’une pénalité de retard pour chaque mois ou fraction de mois non payé.

4. Perte du droit à l’amnistie

Le contribuable perd définitivement le bénéfice de l’amnistie s’il ne règle pas la totalité du dernier acompte dans les 120 jours suivant son échéance. Les dettes restantes redeviennent alors exigibles avec leurs pénalités initiales.

5. Annulation des pénalités liées à certaines déclarations fiscales

Les pénalités prévues par les articles 81, 82 et 85 du Code des droits et procédures fiscaux sont supprimées pour :

  • les déclarations fiscales, y compris les déclarations d’enregistrement, arrivées à échéance avant le 20 octobre 2025,

  • déposées entre le 1er janvier 2026 et le 31 octobre 2026,

  • dès lors que le principal de l’impôt est payé au moment du dépôt ou de l’enregistrement.

Ce dispositif couvre aussi les déclarations corrigées, les déclarations omises ainsi que celles déposées après intervention des services fiscaux ou après notification d’un contrôle.

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TLF introduit son emprunt obligataire “TLF Subordonné 2025”

02. Dezember 2025 um 14:08

Ce 3 décembre 2025, un nouvel emprunt s’apprête à rejoindre la cote, et il porte le nom de « TLF Subordonné 2025 ». Derrière cette appellation technique se trouve Tunisie Leasing & Factoring, un acteur bien installé dans le secteur du leasing, qui poursuit ici son histoire de développement et de financement.

L’annonce est tombée dans un communiqué officiel : dès cette date, les investisseurs pourront négocier ce nouvel emprunt obligataire, classé dans le groupe 21 du marché. Sur le papier, l’opération se veut structurée, solide et clairement définie.

L’emprunt se compose de 150 000 obligations, chacune d’une valeur de 100 dinars, formant un total de 15 millions de dinars. Avec un taux d’intérêt brut de 9,25 %, l’offre attire par son rendement, dans un contexte économique où chaque point de taux compte. La durée, elle, s’étend sur cinq années, un horizon raisonnable qui inscrit l’engagement dans la continuité.

Tout commence officiellement le 7 novembre 2025, date de jouissance de ces titres. La première échéance suivra un an plus tard, le 7 novembre 2026, pour finalement s’achever le 7 novembre 2030, lorsque la dernière obligation aura été totalement remboursée. L’amortissement se fera selon le mode AP, une mécanique financière qui rythme la restitution du capital.

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«L’IA a dépassé la phase d’expérimentation…»: le ministre des Technologies annonce Tunisie 2025. Détails

02. Dezember 2025 um 12:40

« Nous annonçons aujourd’hui la Tunisie 2025, fruit d’un large consensus international ».
C’est par cette annonce que Sofiene Hemissi, ministre des Technologies a marqué l’ouverture du Sommet de l’Intelligence Artificielle vers le Futur 2025. Dès les premières minutes, le ton est donné : la Tunisie entend jouer un rôle décisif dans la transition mondiale vers la société de l’intelligence.

D’abord, le ministre rappelle que cette déclaration intervient au moment où le monde célèbre les 20 ans du Sommet Mondial de la Société de l’Information (SMSI). « Nous passons désormais d’une société de l’information à une société de l’intelligence », affirme-t-il, soulignant que cette évolution est autant un tournant technologique qu’un changement civilisationnel.

En plus, il insiste sur le rôle singulier de la Tunisie dans ce processus. Grâce à ses compétences humaines, à ses universités reconnues, à son écosystème de startups dynamique et à ses opportunités d’innovation, le pays se positionne comme un carrefour stratégique entre l’Afrique, l’Europe et la Méditerranée. Selon lui, « la Tunisie possède les conditions réelles pour devenir un centre régional de l’innovation et de l’intelligence artificielle ».

Ensuite, le ministre revient sur l’héritage du SMSI, qu’il décrit comme « un tournant historique dans la construction d’une gouvernance numérique mondiale ». Ce sommet, rappelle-t-il, a permis d’ancrer des principes clés tels que l’accès équitable aux technologies et la coopération multilatérale entre gouvernements, organisations internationales et secteur privé.

Cependant, il souligne qu’un défi majeur persiste : la fracture numérique mondiale, qui maintient encore plus de deux milliards de personnes hors du réseau. Réduire cet écart devient une priorité fondamentale pour garantir une transformation numérique juste et inclusive.

L’intelligence artificielle : moteur de développement 

Ensuite, le ministre aborde l’intelligence artificielle comme un phénomène déterminant. Pour lui, « l’IA a dépassé le stade de l’expérimentation : elle est désormais une force motrice du développement économique et social ».
Ainsi, la Tunisie considère que l’avenir de cette technologie doit reposer sur des bases claires :
– l’humain au centre,
– la souveraineté numérique,
– la sécurité du cyberespace,
– la réduction des inégalités,
– et une gouvernance éthique et responsable.

En plus, il rappelle que la construction d’une véritable société de l’intelligence ne peut se faire sans un investissement massif dans le capital humain. Le pays s’engage donc dans une stratégie nationale ambitieuse visant à développer les infrastructures numériques, soutenir la recherche, encourager l’entrepreneuriat et améliorer les services publics grâce à l’IA.

Le ministre précise que cette stratégie s’inscrit dans une vision globale qui veut « faire de l’intelligence artificielle un levier de développement et un garant de la souveraineté numérique ».

La Tunisie comme hub régional de l’IA

D’abord grâce à sa position géographique, ensuite grâce à la qualité de ses ingénieurs et chercheurs, et en plus grâce à la vitalité de son écosystème d’innovation, la Tunisie dispose selon le ministre de toutes les cartes pour devenir un pôle régional majeur dans le domaine de l’IA.
« Notre ambition est claire : faire de la Tunisie un centre régional pour le développement de solutions d’intelligence artificielle », affirme-t-il.

Cependant, il rappelle que cette ambition doit rester indissociable d’une vision de justice digitale et d’inclusion, afin que personne ne soit laissé en marge de la transformation numérique.

L’annonce centrale de son intervention, la Déclaration de Tunis 2025, marque « une nouvelle étape dans le passage de la société de l’information à la société de l’intelligence ».

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8 ans d’AI for Good: Bilel Jamoussi décrypte la transition mondiale de la société de l’information vers la société de l’intelligence

02. Dezember 2025 um 12:00

«Nous sommes plus que la génération de l’IA : nous sommes la génération déterminée à façonner une intelligence au service du bien».

Par cette déclaration, Dr Bilel Jamoussi a ouvert sa keynote lors de l’AI Forward Summit 2025, devant un public composé de responsables politiques, diplomates et experts internationaux. Son intervention, à la fois historique et prospective, a retracé le long voyage qui nous mène aujourd’hui vers la société de l’intelligence.

D’abord, il a rappelé les débuts de la société de l’information, née avec l’arrivée d’Internet. « La Tunisie a été le premier pays africain connecté en 1991 », dit-il avec fierté. Ensuite est venue l’Afrique du Sud, puis progressivement les autres pays du continent, jusqu’à l’Érythrée en 2000. En plus de cette prouesse technique, Dr Jamoussi souligne que cette période marquait « le début du flux mondial de l’information : d’abord le texte, puis l’audio, et enfin la vidéo ».

Cependant, rappelle-t-il, l’accessibilité demeure un enjeu crucial : « Aujourd’hui encore, 2,2 milliards de personnes dans le monde restent non connectées. » Ce constat montre que la transition vers un monde numérique plus équitable reste inachevée.

Ensuite, il a évoqué la création du Sommet Mondial de la Société de l’Information, initié par la Tunisie en 1998, devenu plus tard un événement officiel des Nations Unies. Ce processus a permis de mesurer, année après année, les progrès en connectivité, cybersécurité et gouvernance numérique.

Puis, Dr Jamoussi a expliqué comment l’UIT est entrée dans l’ère de l’intelligence. Dès 2017, l’organisation voit émerger une multitude de propositions liées à l’IA dans ses groupes d’étude. « L’IA est devenue un sujet mondial, porté par les États, le secteur privé et la recherche », affirme-t-il. En réponse, l’UIT crée l’AI for Good Global Summit, devenu la plateforme onusienne centrale pour discuter des normes, de la gouvernance et du développement des compétences.

Cependant, cette révolution technologique n’est pas sans risques. Parmi eux, les deepfakes, désormais classés parmi les menaces les plus sérieuses. « C’est un défi majeur : les deepfakes peuvent éduquer, mais aussi manipuler et nuire », prévient-il. C’est pourquoi l’UIT, avec l’ISO et l’IEC, a produit des rapports de référence sur les outils de vérification et les politiques de protection des contenus.

Pour illustrer le potentiel positif de l’IA, Dr Jamoussi a raconté plusieurs histoires marquantes.
D’abord, celle de Louis, atteint du locked-in syndrome, qui a pu « retrouver sa voix grâce à un modèle vocal personnalisé couplé à une interface cerveau–machine ».
Ensuite, celle d’une sportive paralysée depuis seize ans qui a remarché pour la première fois grâce à un exosquelette piloté par IA.
En plus, il a montré des robots capables de défier la gravité, des usines entièrement automatisées produisant 800 voitures par jour, et l’arrivée d’agents IA capables « d’agir en notre nom et de réaliser des transactions de manière autonome ».

Ensuite, il a replacé ces exemples dans un cadre plus large : celui du mouvement AI for Good, qui rassemble plus de 50 agences de l’ONU. Ses livrables sont multiples :
– une coalition mondiale pour développer les compétences,
– des défis pour les jeunes et les universités,
– un compendium complet sur la gouvernance de l’IA,
– et une base de données réunissant 700 standards mondiaux, traduits dans les six langues des Nations Unies.

Enfin, pour conclure, Dr Jamoussi a partagé un message clair, inspiré du Secrétaire général de l’UIT :
« L’intelligence artificielle ne doit pas nous diviser ; elle doit nous rapprocher. »

Et il a lancé un appel : « Retrouvez-nous du 7 au 10 juillet 2026 à Genève pour construire ensemble une société de l’intelligence inclusive, éthique et durable. »

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La hausse des salaires ne sera pas inférieure à 7%: Hafedh Amouri explique !

02. Dezember 2025 um 08:49

La Tunisie s’oriente vers une augmentation des salaires et des pensions de retraite pour les années 2026, 2027 et 2028, selon l’article 15 du projet de loi de finances 2026. Cette mesure, confirmée par l’expert en droit du travail et sécurité sociale Hafedh Amouri sur les ondes de la radio nationale, concernera le secteur public, le secteur privé ainsi que les pensions des retraités.

Amouri rappelle que 1 278 000 retraités sont concernés, répartis entre 34,9 % dans le public et 65,1 % dans le privé. Il souligne que l’importance de cette réforme est double : son impact social pour les retraités, mais aussi son poids financier sur l’État et sur les caisses sociales, en particulier la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) pour le privé.

L’Assemblée des représentants du peuple a proposé que la hausse des pensions soit d’au moins 7 %, une augmentation qui devrait être alignée sur la revalorisation du salaire minimum (SMIG). Dans le privé, toute hausse du salaire minimum entraîne automatiquement une hausse équivalente des pensions. Amouri estime que cette augmentation pourrait être appliquée dès janvier 2026, avec une consultation des partenaires sociaux pour garantir une hausse acceptable pour les petites et grandes entreprises.

Sur le volet fiscal, l’expert rappelle que 25 % du montant de toute pension est déjà exonéré d’impôt. Le Parlement souhaite porter cette part à 40 %, puis jusqu’à 50 %, ce qui rendrait la moitié de la pension non imposable. Mais la ministre des Finances a averti que cette mesure coûterait à l’État près de 900 millions de dinars, un montant difficile à absorber dans un contexte budgétaire marqué par un déficit important et un recours accru à l’emprunt.

Hafedh Amouri ajoute que 56 % des retraités du secteur privé sont déjà totalement exonérés d’impôt, car leurs pensions ne dépassent pas 5 000 dinars par an, ce qui reflète la faiblesse des montants perçus. Il rappelle également que certaines pensions du secteur public restent très basses, notamment celles des personnes ayant travaillé de courtes durées.

Il estime néanmoins que la hausse des salaires ne sera pas inférieure à 7 %, même si elle pourrait être plus limitée dans le secteur public en raison des charges importantes inscrites dans le budget 2026, notamment les 52 000 recrutements et régularisations prévus, ainsi que la décision adoptée hier concernant la régularisation des agents de l’« ancienne modalité 16 ».

Enfin, Amouri insiste sur le fait que la hausse du salaire minimum ne concerne pas uniquement les retraites, mais toutes les catégories de pensions, y compris les pensions d’orphelins et les pensions liées aux accidents du travail. Il note par ailleurs que, malgré le ralentissement officiel de l’inflation, la réalité reste difficile pour les ménages, notamment à cause de la hausse continue des loyers.

Cette réforme, si elle est adoptée définitivement, représenterait un soutien direct au pouvoir d’achat des salariés et des retraités, tout en posant des défis majeurs pour la soutenabilité budgétaire. 

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Femmes Fest: bien-être, inspiration et networking – Une 6e édition incontournable

01. Dezember 2025 um 16:52

“Le plus grand secret du bonheur, c’est d’être bien avec soi-même.” – Bernard Fontenelle. C’est justement dans cet esprit que Femmes Fest a été pensé et organisé.

Le samedi 29 novembre 2025, Femmes Fest, l’événement tant attendu par les femmes entrepreneures, a pris place dans un cadre exceptionnel et propice à la détente et à la réflexion : la Hacienda Morneg. Nichée au cœur d’un environnement apaisant, cette maison d’hôtes a été le lieu idéal pour respirer un air de fraîcheur et s’offrir une véritable parenthèse de bien-être. Organisé par Managers Magazine, ce rendez-vous phare a réuni des entrepreneures passionnées pour une journée unique de formation, de réflexion et de networking, où le bien-être a été au cœur de chaque moment.

Dès l’accueil, l’atmosphère conviviale et détendue a marqué le ton de la journée. Les participantes ont été invitées à partager un petit-déjeuner convivial, un instant privilégié pour échanger et nouer des liens dans une ambiance chaleureuse et informelle. Ce moment de partage a permis à chacune de se sentir à l’aise et ouverte aux rencontres.

Après le mot d’ouverture, c’est Maroua Ben Ali, fondatrice d’Herbeos et experte en Aromathérapie, qui a lancé la journée avec une intervention enrichissante. Ayant elle-même traversé une période de burn-out, Maroua a partagé son parcours de guérison à travers l’aromathérapie, en mettant en lumière l’impact des odeurs sur notre bien-être et notre santé mentale. Sa passion pour ce domaine est née de son expérience personnelle, et elle a souligné l’importance de se reconnecter à soi-même à travers les senteurs qui apaisent et guérissent l’esprit.

L’atelier suivant, animé par Myriam Besbes, formatrice consultante et coach professionnelle, et Nour Akrout, praticienne en PNL et formatrice en communication, a permis aux participantes de se libérer de la charge mentale qui pèse souvent sur les femmes entrepreneures. Ce moment de travail collectif a offert des outils concrets pour gérer le stress, clarifier ses objectifs, et trouver un équilibre entre la vie professionnelle et personnelle. Une session appréciée de toutes, qui a renforcé la confiance en soi et l’alignement intérieur.

Un instant de méditation guidée dirigé par Haifa Haouami, biologiste, coach international et consultante en bien-être professionnel, a permis à chaque participante de se ressourcer, de se recentrer et de se reconnecter à ses émotions. Ce moment de pause a été l’occasion de lâcher prise, de respirer profondément et de se libérer des tensions accumulées, laissant les entrepreneures prêtes à aborder le reste de la journée avec une nouvelle énergie.

L’après-midi, Rahma Segni, fondatrice et CEO de Rama Wellness, a animé une session dynamique de Power Boost. Ce moment interactif a abordé la gestion du bien-être et des performances, offrant aux participantes des conseils précieux sur la manière d’allier efficacité professionnelle et épanouissement personnel. Rahma a partagé des stratégies concrètes pour maintenir un équilibre harmonieux entre travail et bien-être, permettant à chacune de repartir avec des outils adaptés à son quotidien.

La journée s’est clôturée par le pitch “Aligned Leader”, une séquence inspirante où les participantes ont répondu à trois questions fondamentales sur leur vision du leadership :

  1. “Je suis une leader alignée quand…”

  2. “Comment ces valeurs vivent dans mon projet?”

  3. “Ce que je veux créer comme énergie autour de moi?”

Les réponses étaient unanimes : un leadership basé sur le bien-être, la positivité, l’amour de ce que l’on fait, la bienveillance et la force de la communauté. Ces échanges ont non seulement permis à chaque participante de prendre conscience de ses propres valeurs, mais aussi d’affiner sa vision pour l’avenir de ses projets.

La 6e édition de Femmes Fest a été un véritable succès. Cette journée riche en partages, en découvertes et en inspiration a offert aux femmes entrepreneures un moment de ressourcement et de réflexion. Grâce à la beauté du cadre de Hacienda Morneg, soigneusement choisie pour son atmosphère apaisante, et à l’engagement des formatrices passionnées, l’événement a permis de nourrir l’esprit et le corps des participantes. Ces dernières ont quitté l’événement avec une énergie renouvelée, prêtes à entreprendre de nouveaux projets avec confiance et sérénité.

Femmes Fest 2025 a ainsi tenu sa promesse d’être un lieu de rencontre, de soutien et de développement, et ce n’est qu’une étape vers de nouveaux horizons d’inspiration et de bien-être pour les femmes entrepreneures de demain.

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L’Algérie augmente le salaire minimum pour améliorer le pouvoir d’achat

01. Dezember 2025 um 16:12

Le Conseil des ministres algérien, présidé par Abdelmadjid Tebboune, a annoncé dimanche une augmentation du salaire minimum national garanti (SNMG), qui passera de 20 000 à 24 000 dinars à partir de janvier 2026. Cette revalorisation, la première depuis 2020, vise à améliorer la capacité d’achat des citoyens dans un contexte économique difficile.

Le gouvernement a également décidé d’augmenter l’allocation chômage de 15 000 à 18 000 dinars par mois, pour plus de 2 millions de bénéficiaires. De plus, le renouvellement de cette aide sera désormais valable pour une année, renouvelable, offrant ainsi plus de stabilité aux demandeurs d’emploi.

Ces mesures interviennent alors que les recettes de l’Algérie en devises baissent, principalement en raison de la chute des prix du pétrole, la principale source de revenus du pays. Malgré cette conjoncture économique difficile, l’augmentation du SNMG et des allocations sociales reflète l’engagement du gouvernement à améliorer les conditions de vie des Algériens.

Reste à savoir si ces hausses seront suffisantes pour compenser la montée des prix et garantir un véritable pouvoir d’achat à long terme.

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Béchir Salem Belkhiria: l’homme qui a rêvé pour la Tunisie

01. Dezember 2025 um 15:44

Il y a des figures dont l’influence dépasse leur époque. Béchir Salem Belkhiria appartient à cette catégorie rare de bâtisseurs qui, par leur vision, leur audace et leur immense humanité, ont laissé une empreinte durable dans l’histoire économique et sociale de la Tunisie.
Sa disparition a été vécue comme un choc national. Des politiques, des syndicalistes, des entrepreneurs, des intellectuels et des jeunes ont afflué pour lui rendre hommage, car Béchir Salem Belkhiria n’était pas seulement un chef d’entreprise: il était une idée, un modèle, un esprit.

Un homme de valeurs avant tout

Pour ceux qui l’ont connu de près, comme Moez et Nacef Belkhiria, parler de Béchir Belkhiria, c’est d’abord évoquer un homme profondément humain.

Ils décrivent à l’occasion du 40ᵉ anniversaire du décès de Bechir Salem Belkhiria, tenue le vendredi 28 novembre, un personnage exceptionnel:                                
un homme modeste, patriote, entièrement dévoué à son pays, à sa famille et au progrès collectif. L’argent n’était jamais son moteur. Ses objectifs étaient ailleurs: les idées, la construction, le développement, l’impact.

Il croyait dans «l’utilité» de chacun et cherchait toujours à mettre son énergie au service de projets qui pouvaient faire avancer la Tunisie. Ceux qui l’ont côtoyé soulignent un trait constant: il pensait toujours à «ce qui peut être utile» plutôt qu’à «ce qui peut rapporter».

Un parcours exceptionnel aux quatre coins du monde

Peu savent à quel point le parcours académique de Béchir Belkhiria était singulier.
Il fait partie des premiers Maghrébins admis à l’École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC), où il obtient sa licence en 1958.
Son excellence lui vaut même un accueil officiel par le président de la République française.

Il poursuit ensuite son chemin à New York, où il décroche un MBA en 1960, puis travaille à la Bourse américaine. Mais alors que la plupart des diplômés se tournaient vers des carrières confortables dans le privé, lui choisit le chemin le plus difficile: retourner en Tunisie pour construire.

L’entrepreneur qui voyait loin

De retour au pays, il fonde ses premières entreprises dans le chauffage et l’eau chaude, puis se tourne vers la publicité à une époque où le secteur était encore inexistant. 

Dans les années 1960 et 1970, il diversifie ses activités:

  • industrie,
  • logistique,
  • agriculture,
  • technologie,
  • communication,
  • presse.

Il introduit en Tunisie des innovations qui n’existaient nulle part dans la région:

  • les premiers panneaux solaires,
  • des méthodes modernes d’emballage et de logistique,
  • des modèles d’intégration entre agriculture, transformation et distribution,
  • des partenariats industriels structurants.

En 1980, il lance même le projet «Dar Chams», précurseur de l’industrie solaire tunisienne, bien avant que le monde n’en réalise l’importance.

Le visionnaire fasciné par l’Asie

Sa première visite au Japon, en 1970, est un tournant. Il y découvre une économie fondée sur la qualité, la rigueur, la patience et le collectif. Ces valeurs deviennent son credo. Il établit alors des liens industriels majeurs, notamment avec Toyota. La première voiture Toyota importée en Tunisie le fut grâce à lui, avant qu’un accord officiel ne soit signé, après sa disparition.

Pour lui, la Tunisie pouvait suivre la voie de la Corée du Sud ou de Singapour. Il répétait souvent que notre pays avait tout pour devenir un modèle économique en Méditerranée, si la culture du travail, de l’innovation et de l’organisation devenait centrale.

L’homme de culture, de sport et de presse

Contrairement à l’image classique de l’homme d’affaires froid et distant, Béchir Salem Belkhiria était un passionné d’art, de culture et de sport. Il contribua à moderniser le cinéma tunisien, investit dans le théâtre et soutint les jeunes réalisateurs. Il joua aussi un rôle déterminant dans le développement du judo tunisien, aidant le pays à atteindre des succès internationaux, notamment la victoire sur l’Espagne en 1985. Il était convaincu que la culture et le sport construisent l’humain autant que l’économie. Dans la presse, il soutint Dar Assabah, qu’il voulait indépendante, sociale, et utile à la compréhension de la société tunisienne.

Un éducateur dans l’âme

Pour lui, le savoir était la véritable richesse des nations. Il rêvait d’une université libre en Tunisie, fondée sur l’excellence, l’ouverture internationale et la rigueur. Il encourageait les jeunes à innover, à entreprendre, à oser.
Il lança même un concours national pour les inventeurs tunisiens, convaincu que l’avenir du pays passerait par sa jeunesse créative.

Un dernier message…

Avant sa disparition, Béchir Salem Belkhiria avait laissé un message simple à ses proches:
protéger l’entreprise, protéger l’esprit, protéger la vision.

Son héritage n’est pas seulement économique.
Il est moral, culturel, intellectuel, et profondément humain.
Sa vie raconte l’histoire d’un homme qui croyait que la Tunisie pouvait être grande, moderne, ouverte, prospère — si chacun faisait sa part, avec honnêteté et passion.

Aujourd’hui encore, des jeunes, des entrepreneurs, des penseurs et des dirigeants se réclament de son esprit.
Parce que les idées de Béchir Salem Belkhiria ne sont pas que des souvenirs: ce sont des directions.
Elles montrent la voie d’un pays qui croit en sa capacité à se transformer.

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Décembre aux portes: 5 rendez-vous fiscaux incontournables avant la fin d’année

01. Dezember 2025 um 14:25

À la fin de l’année 2025, tandis que les rues se parent déjà des premières lumières des fêtes et que l’hiver s’installe doucement, un autre rendez-vous incontournable revient frapper à la porte des contribuables : les échéances fiscales de décembre.
Comme chaque année, la Direction Générale des Impôts dévoile son calendrier, rappelant à chacun ses obligations avant de tourner la page.

5 décembre : l’heure du bilan pour les salariés et les retraités

Le 5 décembre marque en effet la date limite pour déposer la déclaration annuelle des revenus réalisés par les salariés et les bénéficiaires de pensions, qu’elles soient tunisiennes ou étrangères. Premier jalon d’un mois dense.

15 décembre : les individus passent à la déclaration mensuelle

À peine le premier délai franchi que le 15 décembre s’impose déjà. Les personnes physiques soumises à la déclaration mensuelle doivent alors finaliser leurs dossiers, un rituel bien rodé pour nombre d’entre elles.

22 décembre : les entreprises connectées au système de télédéclaration

Les jours raccourcissent, et le rythme s’accélère pour les personnes morales adhérentes à la télédéclaration et au paiement à distance. Le 22 décembre leur est entièrement consacré : dernier rappel avant clôture électronique.

25 décembre : entre fête et obligations fiscales

Si la plupart préparent réveillons et retrouvailles, certains ont un autre impératif : le versement du troisième acompte provisionnel pour les personnes physiques. Une date qui tombe le jour même de Noël, donnant au mois un parfum particulier d’organisation minutieuse.

29 décembre : le dernier sprint des entreprises

Alors que l’année touche à sa fin, les personnes morales doivent encore franchir deux étapes :

  • le dépôt du troisième acompte provisionnel ;

  • et, pour celles non adhérentes à la télédéclaration, la déclaration mensuelle classique.

Un dernier effort avant que ne s’achèvent les obligations administratives de 2025.

Et si la date tombe un jour férié ?

La DGI, consciente des aléas du calendrier, rappelle qu’en cas de dimanche ou de jour férié, la déclaration peut être déposée le jour ouvrable suivant sans amende. Une souplesse bienvenue dans ce mois chargé.

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La Tunisie attire l’industriel chinois GRITSIL, spécialiste mondial des composants en silicone pour l’e-mobilité

01. Dezember 2025 um 12:20

La Tunisie renforce son attractivité dans le secteur de l’automobile électrique : la Tunisia Investment Authority (TIA) a annoncé avoir accueilli une délégation de GRITSIL, l’un des principaux fabricants chinois de composants en silicone destinés aux harnais filaires, aux applications d’e-mobilité et aux systèmes avancés de batteries. Cette visite marque une nouvelle étape dans les démarches d’exploration de l’entreprise qui envisage la Tunisie comme possible destination d’investissement.

Dans le cadre de sa stratégie de promotion d’investissements à forte intensité technologique, la TIA a réuni autour d’une même table la délégation de GRITSIL et les représentants de la Tunisian Automotive Association (TAA). L’objectif : présenter les atouts de l’écosystème industriel tunisien et ouvrir des perspectives de collaboration avec un acteur international reconnu pour son innovation.

Les échanges ont notamment mis en avant le potentiel solide du secteur automobile tunisien, qui s’appuie sur un réseau d’entreprises exportatrices, une main-d’œuvre hautement qualifiée et un positionnement stratégique entre l’Europe et l’Afrique. Autant d’arguments qui renforcent la crédibilité de la Tunisie en tant que plateforme manufacturière compétitive.

GRITSIL, un acteur global en quête de proximité avec ses clients

Fondée en Chine, GRITSIL s’est imposée comme un leader dans la fabrication de composants en silicone destinés aux technologies de mobilité durable. L’entreprise est reconnue pour :

  • ses solutions avancées pour batteries et connectiques,

  • ses procédés de silicone de haute performance,

  • et son engagement en faveur de l’e-mobilité.

Dans le cadre de son expansion internationale, GRITSIL accélère une stratégie de “proximity manufacturing”, visant à rapprocher ses unités de production de ses marchés clés afin de renforcer la résilience de sa chaîne logistique mondiale. La Tunisie fait désormais partie des options sérieuses examinées par le groupe.

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