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Heute — 14. Juni 2025Haupt-Feeds

Trump et la crise Iran-Israël : une mise en scène pour l’entrée en guerre des États-Unis ?

À quelques heures des frappes israéliennes contre l’Iran, Donald Trump affichait publiquement une position prudente, mettant en garde contre une escalade qui risquait de faire « exploser » les négociations nucléaires en cours entre Washington et Téhéran. Pourtant, peu après le début des bombardements, Trump a brusquement changé de ton, qualifiant ces attaques « d’excellentes ». Une volte-face spectaculaire qui soulève des questions sur le rôle joué par Trump dans cette montée des tensions, et la possible instrumentalisation de sa communication dans la perspective d’une implication plus directe des États-Unis.

Un revirement en quelques heures

Avant les frappes, Trump s’était montré inquiet, expliquant qu’il ne voulait pas que « Israël y aille » car cela compromettrait les discussions sur le nucléaire iranien. Mais une fois les bombardements lancés, il s’est empressé de saluer ces actions militaires comme une réussite stratégique, rejetant la responsabilité sur l’Iran qu’il accuse de refuser un accord proposé par Washington pour arrêter l’enrichissement d’uranium.

Sur sa plateforme Truth Social, Trump a même annoncé que d’autres frappes, « encore plus brutales », pourraient suivre. Il a posé ces futurs bombardements comme une pression destinée à forcer l’Iran à revenir à la table des négociations. Ce discours montre clairement un équilibre instable entre deux tendances contradictoires : d’un côté, une posture diplomatique promettant la paix, de l’autre, une inclinaison guerrière favorisant l’usage de la force.

Entre diplomatie et bellicisme : le dilemme républicain

Ce double jeu reflète aussi les divisions internes au sein du Parti républicain. Une partie espère que Trump incarnera ce président pacificateur qu’il avait promis lors de son investiture en 2017, mettant fin aux guerres américaines à l’étranger. L’autre, emmenée par les « faucons de guerre », plaide pour une implication plus agressive, notamment des frappes directes contre l’Iran, menace perçue par beaucoup comme imminente.

Trump semble naviguer entre ces influences selon ce qui lui paraît le plus avantageux à court terme. Ce positionnement fluctuant alimente la confusion sur la stratégie américaine au Moyen-Orient et questionne la sincérité de ses prétentions pacifistes.

Israël mise sur l’implication américaine

Plus inquiétant encore, Israël compte visiblement sur la dynamique que ce conflit pourrait créer pour entraîner les États-Unis dans une confrontation plus large. Tel-Aviv sait que Washington a une obligation historique et stratégique de garantir sa sécurité, et par conséquent, une attaque israélienne sur l’Iran pourrait devenir un catalyseur pour une entrée officielle de l’armée américaine dans le conflit.

L’enjeu est majeur : si les hostilités se prolongent, le risque d’une guerre régionale étendue augmente considérablement, avec un effet domino impliquant d’autres pays et acteurs non étatiques. Pour Israël, la tension prolongée avec l’Iran n’est pas seulement une question de défense, mais aussi un moyen de pousser Washington à intervenir pleinement.

Le passé récent : une leçon d’échecs

Il faut rappeler le contexte historique pour mieux comprendre les enjeux actuels. Lors de sa prestation de serment pour un second mandat en janvier, Trump s’était engagé à « arrêter toutes les guerres » et à laisser derrière lui un héritage de « pacificateur et d’unificateur ». Pourtant, moins d’un an plus tard, des missiles volent à nouveau au-dessus du Moyen-Orient, menaçant de replonger la région dans un conflit ouvert susceptible d’entraîner des troupes américaines.

Les précédentes interventions militaires américaines en Irak et en Afghanistan sont encore très présentes dans les mémoires. Ces conflits ont causé la mort de milliers de soldats américains, laissé des centaines de milliers de blessés, et généré des traumatismes durables. En outre, ces guerres ont souvent été jugées contre-productives, favorisant l’émergence d’entités hostiles, comme l’État islamique, et renforçant l’influence régionale de l’Iran.

En Irak, l’effort de « nation building » a conduit à l’installation d’un gouvernement pro-iranien et à la montée de groupes armés déstabilisateurs. En Afghanistan, l’échec militaire américain est patent : après vingt ans de présence, le retrait a conduit au retour au pouvoir des talibans en 2021, marquant un échec cuisant.

Trump capitalise sur le rejet des guerres

Lors de sa campagne pour la présidentielle 2024, Trump a largement exploité le mécontentement suscité par ces interventions militaires. Il a régulièrement affirmé qu’avec lui à la Maison Blanche, la chute du gouvernement afghan n’aurait jamais eu lieu, qualifiant ce retrait d’« humiliant » pour les États-Unis.

Il n’a pas manqué d’attaquer ses adversaires démocrates, en particulier Kamala Harris, qu’il accuse de s’allier avec les « faucons de guerre » comme Liz Cheney, qu’il décrit comme une partisane de l’intervention militaire au Moyen-Orient. Pour Trump, le passé de Cheney dans l’administration Bush symbolise tout ce qu’il rejette : des guerres interminables qui n’ont, selon lui, fait que « tuer des millions de personnes ».

Un risque de piège américain dans un nouveau conflit

Cependant, la position ambivalente de Trump face aux frappes israéliennes sur l’Iran soulève une inquiétude majeure : celle que les États-Unis soient une fois de plus « entraînés » dans une guerre dont ils ne maîtrisent ni les origines ni l’issue.

La relation étroite entre Washington et Tel-Aviv, combinée à la pression des cercles républicains favorables à un durcissement avec l’Iran, notamment le sénateur Lindsey Graham, rend cette perspective d’autant plus probable. Plusieurs experts avertissent qu’il existe un « risque énorme » que l’Amérique soit embarquée dans un conflit qui pourrait s’étendre à l’ensemble du Moyen-Orient.

Au final, le comportement de Donald Trump dans cette crise semble osciller entre un rôle de stratège politique jouant un scénario pré-écrit, et celui d’un homme d’État pris dans les pressions contradictoires de son camp. Sa communication fluctuante pourrait ainsi faire partie d’une mise en scène destinée à préparer l’opinion publique américaine à une éventuelle entrée en guerre.

Cette situation pose une question cruciale pour l’avenir : les États-Unis pourront-ils, cette fois, éviter le piège d’un engagement militaire coûteux et sans fin, ou seront-ils à nouveau les acteurs d’un drame régional aux conséquences lourdes pour la paix mondiale ?

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Israël frappe en premier, Téhéran réplique : 24 heures de guerre ouverte

Plus de 200 sites iraniens visés par Israël

Dans la nuit de jeudi à vendredi, Israël a lancé une opération aérienne d’ampleur inédite contre l’Iran, visant à neutraliser ses infrastructures militaires et nucléaires. Plus de 200 sites à travers le pays ont été bombardés, notamment les bases de Tabriz, Hamadan, Ispahan ainsi que des installations nucléaires comme Natanz et Fordo. L’objectif officiel de Tel-Aviv est de frapper le cœur du programme militaire iranien et de détruire la chaîne de commandement des Gardiens de la Révolution.

Bilan humain iranien : 78 morts et plus de 320 blessés

Les autorités iraniennes font état de 78 morts, dont plusieurs responsables militaires, et plus de 320 blessés, en grande majorité des civils. Les frappes ont provoqué des incendies et d’importants dégâts matériels, en particulier à proximité de l’aéroport Mehrabad de Téhéran, où des colonnes de fumée ont été observées.

Riposte iranienne : plusieurs vagues de missiles sur Israël

En représailles, l’Iran a lancé plusieurs salves de missiles balistiques dans la nuit de vendredi à samedi, touchant diverses régions israéliennes, notamment Tel-Aviv, Al Qods occupé, Rishon LeZion et Ramat Gan. Les alertes aériennes ont retenti pendant plusieurs heures, et la population a été invitée à se mettre à l’abri dans les abris anti-aériens.

Bilan israélien : 3 morts et une quarantaine de blessés

Le bilan côté israélien fait état de trois morts, dont deux dans un quartier résidentiel de Rishon LeZion frappé par un missile. Environ 40 à 46 personnes ont été blessées. Des bâtiments ont été endommagés, et des secours sont intervenus pour dégager des personnes piégées sous les décombres.

Défense antimissile partiellement efficace

L’armée israélienne affirme avoir intercepté plusieurs missiles grâce à son système de défense antimissile « Dôme de fer ». Toutefois, certains projectiles ont échappé à l’interception, causant des dégâts et des victimes, témoignant des limites du dispositif face à l’intensité des tirs iraniens.

Cibles israéliennes touchées, mais dommages limités en Iran

Israël revendique avoir détruit la base militaire de Tabriz, un centre stratégique pour les opérations de missiles, ainsi que des infrastructures à Hamadan et Ispahan. L’Iran minimise l’ampleur des dégâts et affirme que ses installations nucléaires restent opérationnelles malgré les attaques.

Discours belliqueux des dirigeants

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a averti que ces frappes ne sont que le début et que l’Iran paiera un prix très lourd. Le ministre de la Défense a dénoncé le fait qu’Iran vise des zones civiles, ce qu’il qualifie de « franchissement d’une ligne rouge ». Du côté iranien, les responsables promettent de poursuivre leurs frappes contre Israël aussi longtemps que Tel-Aviv ne cessera pas ses attaques.

Risques d’escalade régionale

La situation reste extrêmement tendue, et la crainte d’un embrasement régional est palpable. Les chancelleries internationales appellent à la retenue et multiplient les efforts diplomatiques pour éviter une guerre plus large. L’ONU devrait convoquer une réunion d’urgence du Conseil de sécurité dans les prochaines heures.

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Ellouhoum : De la corruption au « terrorisme alimentaire »

Après les révélations sur les dysfonctionnements structurels de la société publique Ellouhoum, une nouvelle alerte vient assombrir davantage le tableau. Ce mercredi 11 juin 2025, la députée Syrine Mrabet a jeté un pavé dans la mare en publiant une série de vidéos accablantes sur l’état sanitaire des produits distribués par l’entreprise.

Quelques jours plus tôt, une délégation parlementaire avait mené une visite d’inspection sur le site, révélant de graves irrégularités financières, une gestion anarchique et des installations délabrées. Le parquet de Tunis avait alors ordonné l’ouverture d’une enquête, comme l’a rapporté Webdo dans un article publié la semaine dernière.

Mais la nouvelle salve de révélations donne une autre dimension au scandale : celle d’un danger immédiat pour la santé publique. Dans ses déclarations relayées par Mosaïque FM, Syrine Mrabet parle de « terrorisme alimentaire », évoquant une situation où de la viande avariée aurait été commercialisée. Dans les vidéos qu’elle a partagées, on voit notamment des morceaux de viande altérée, parfois recouverts de sodas, dans ce qui semble être une tentative désespérée de masquer leur pourrissement.

« Ce n’est plus simplement une affaire de mauvaise gestion ou de corruption. Nous sommes face à un danger direct pour la population », a-t-elle déclaré.

Cette prise de parole renforce la gravité des accusations déjà portées contre la société Ellouhoum, qui semble s’enliser dans une crise systémique mêlant négligence administrative, faillite opérationnelle et désormais, menace sanitaire.

Le ministère du Commerce, tutelle de la société, reste pour l’heure silencieux, tandis que les consommateurs commencent à exprimer leur indignation sur les réseaux sociaux. Une réaction officielle est désormais attendue au plus haut niveau de l’État, alors que la confiance dans les établissements publics alimentaires s’effrite dangereusement.

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En route vers Gaza, la caravane Soumoud attend toujours le feu vert du Caire

Partie de Tunis le 9 juin, la caravane maghrébine baptisée Soumoud (résistance) poursuit son périple vers Gaza avec une détermination intacte, mais l’incertitude grandit à l’approche de la frontière égyptienne. Aucun visa n’a encore été accordé, et Le Caire reste muet.

Composée d’un peu plus de 1500 personnes issues de cinq pays du Maghreb – Tunisie, Algérie, Maroc, Mauritanie, Libye – cette initiative citoyenne entend briser le silence arabe autour de la guerre à Gaza. Universitaires, artistes, médecins, jeunes étudiants, militants des droits humains et figures associatives se sont rassemblés autour d’un objectif : porter physiquement un message de solidarité avec la population de Gaza, assiégée et dévastée depuis 20 mois par une campagne militaire israélienne sans précédent.

Une marche contre l’effacement

À bord d’une vingtaine de de bus et 350 voitures décorés de drapeaux palestiniens et de slogans de soutien, la caravane a quitté Tunis dans une ferveur populaire rare. Les messages sont clairs : “Non au génocide, non au silence”, “Les peuples avec Gaza, malgré les frontières”. En toile de fond, le lourd bilan de la guerre : près de 55 000 morts palestiniens, selon les autorités sanitaires de Gaza, dont une majorité de femmes et d’enfants.

Face à ce qu’ils qualifient de crime contre l’humanité, les États maghrébins sont restés en retrait, se contentant de communiqués diplomatiques. C’est ce vide que la caravane tente de combler : « Quand les États se taisent, les peuples doivent parler », dit Karim, jeune médecin algérien rencontré à la frontière libyenne.

Accueil chaleureux en Libye, blocage potentiel en Égypte

Le convoi a franchi sans difficulté le poste de Ras Jedir, entre la Tunisie et la Libye, puis traversé les villes côtières jusqu’aux abords de l’Est libyen. Là, les communautés locales leur ont offert vivres, carburant et hébergement, souvent improvisés dans des écoles ou des mosquées. La solidarité populaire fonctionne, mais l’ombre du verrou égyptien plane déjà.

En effet, l’Égypte n’a à ce jour donné aucun accord de passage. Le quotidien Asharq al-Awsat affirme que les autorités n’ont pris « aucune décision claire » quant au transit de la caravane. Selon plusieurs sources sécuritaires égyptiennes, citées anonymement, la diversité des nationalités et le caractère non institutionnel de la mission poseraient problème.

Le point d’achoppement : les visas. Le gouvernement égyptien exige des visas préalables pour toute entrée par voie terrestre. Or, aucun membre de la caravane n’a encore reçu de visa à ce jour, comme l’a confirmé Wael Nawar, porte-parole du groupe :

« Nous avons soumis les dossiers nécessaires, mais aucune réponse ne nous est parvenue de la part des autorités consulaires égyptiennes. »

Rafah : la dernière brèche, sous contrôle

Le poste frontalier de Rafah, reliant l’Égypte à la bande de Gaza, est devenu un symbole stratégique. Fermé, rouvert, puis restreint au compte-goutte depuis le début de la guerre, il est le seul point d’accès non israélien vers Gaza. Mais l’Égypte, prise entre ses alliances sécuritaires, sa diplomatie régionale et sa peur d’une mobilisation incontrôlable, gère ce point comme un sas étanche.

La caravane, bien qu’humanitaire, ne rentre dans aucun schéma officiel. Ni ONG accréditée, ni mission diplomatique, elle incarne une contestation morale qui dérange. Et c’est bien ce caractère spontané, transnational et populaire qui semble inquiéter Le Caire.

Une mobilisation symbolique, même sans franchissement

Les organisateurs sont lucides. Ils ne s’attendent pas nécessairement à entrer à Gaza. « L’essentiel est de rappeler que Gaza n’est pas oubliée », dit Mouna, une étudiante tunisienne, drapée d’un keffieh. « Si on nous bloque, ce sera une preuve de plus que le monde arabe est paralysé. »

Le convoi devrait atteindre la zone frontalière orientale libyenne dans les prochaines 48 heures, à proximité du désert du Sinaï. Des discussions informelles seraient en cours avec des intermédiaires civils et religieux pour tenter de débloquer la situation.

Mais les obstacles demeurent : conditions climatiques extrêmes, logistique fragile, sécurité instable, et surtout absence de statut légal face aux autorités égyptiennes.

La caravane Soumoud incarne une tentative rare d’action directe arabe, en dehors des appareils étatiques. Elle interpelle, gêne, inspire. Qu’elle franchisse ou non Rafah, elle aura imposé un autre récit, celui d’un peuple qui refuse de détourner le regard.

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