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Fraude fiscale : Carlo Ancelotti jugé à Madrid, près de 5 ans de prison requis

Von: hechmi
29. März 2025 um 10:39

L’entraîneur du Real Madrid Carlo Ancelotti sera jugé mercredi et jeudi prochains à Madrid dans une affaire de fraude fiscale, selon le tribunal supérieur de justice de Madrid, devant lequel il doit comparaître.

L’Italien, contre qui le parquet a requis quatre ans et neuf mois de prison, est accusé d’avoir fraudé le Trésor public espagnol de plus d’un million d’euros sur les années 2014 et 2015, en omettant de déclarer ses prison, est accusé d’avoir fraudé le Trésor public espagnol de plus d’un million d’euros sur les années 2014 et 2015, en omettant de déclarer ses revenus provenant de ses droits à l’image.

Selon un porte-parole du tribunal madrilène, l’entraîneur italien a l’obligation d’être présent lors de son procès.

Ce tribunal avait annoncé à l’été 2023 le renvoi en correctionnelle de Carlo Ancelotti, 65 ans, sans donner de date pour son procès.

“Ce que je peux dire, c’est qu’il s’agit d’une vieille histoire qui, je l’espère, sera bientôt résolue”, avait alors réagi le célèbre entraîneur.

Selon l’administration fiscale espagnole, Carlo Ancelotti aurait déclaré au fisc ses revenus en tant qu’entraîneur du Real en 2014 et 2015, mais pas ceux provenant des droits à l’image ni d’autres sources de revenus, notamment immobiliers.

Le ministère public avait précisé voilà un an dans son communiqué que les revenus que l’entraîneur italien avait tirés de la cession de ses droits à l’image s’étaient élevés à 1,24 million d’euros en 2014 et à 2,96 millions d’euros en 2015.

D’après un document judiciaire datant de 2023, Ancelotti a reconnu les faits durant l’enquête.

L’Italien a entraîné le Real Madrid entre 2013 et 2015 avant de revenir sur le banc madrilène en 2021.

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Tunisie | Bolt réagit et conteste les accusations la visant

Von: Yusra NY
25. März 2025 um 19:56

Soupçonné de blanchiment d’argent et de fraude fiscale en Tunisie, multinationale Bolt a publié un communiqué dans la soirée de ce mardi 25 mars 2025.

Bolt a fermement rejeté les accusations portées à son encontre, les qualifiant d’« infondées », tout en pointant du doigt les procédures suivies, citant notamment l’absence d’implication d’un juge d’instruction dans cette affaire : « Nous n’avons pas eu la possibilité de contester les allégations des autorités, ce qui nous a empêchés de défendre nos droits. », lit-on dans le communiqué.

La société a tenu à rappeler son engagement à respecter les réglementations locales dans tous les pays où elle opère et a annoncé son intention de contester ces décisions par les voies juridiques appropriées.

Par ailleurs, Bolt a souligné son investissement de plus de 10 millions d’euros dans l’économie tunisienne au cours des trois dernières années, contribuant à l’infrastructure locale, à la mobilité urbaine et aux opportunités de revenus pour les conducteurs, indique encore la même source dans son communiqué.

Rappelons que la Direction générale de la garde nationale (DGGN) a annoncé lundi l’ouverture d’une enquête pour blanchiment d’argent et fraude fiscale à l’encontre d’applications de taxi, dont les activités ont été officiellement suspendues.

La DGGN avait affirmé qu’en coordination avec le Parquet du Pôle judiciaire économique et financier, les unités de la GN ont saisi près de 12 millions de dinars sur les comptes bancaires des sociétés concernées.

Y. N.

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Fraude et blanchiment d’argent : la face cachée des applications de transport

25. März 2025 um 10:16

Près de 12 millions de dinars ont été saisis sur des comptes bancaires d’entreprises gérant des applications de transport via des taxis individuels, dans le cadre d’une enquête pour blanchiment d’argent et évasion fiscale. Ces sociétés, opérant sans licences légales, utilisaient de faux permis et transféraient d’importantes sommes à l’étranger via des comptes non autorisés, selon l’administration de la Garde nationale.

Faouzi Khbouchi, secrétaire général du Syndicat tunisien des taxis individuels, a révélé que ces sociétés bénéficiaient de la « protection de mains invisibles et de personnes influentes ». Il a déclaré sur « Sabah El Ward » (Jawhara FM) avoir déposé une plainte dès 2022. Tout en soulignant au passage que les fonds saisis ne représentent qu’une infime partie des sommes en jeu, une majorité ayant été transférée à l’étranger.

Deux entreprises étrangères toujours actives

Khbouchi a précisé que seulement deux entreprises étrangères opèrent désormais dans ce secteur, contre quatre auparavant, et appelle à soutenir les applications tunisiennes locales.

Enquête et mesures judiciaires

Pour rappel, sous la supervision du Pôle judiciaire économique, la Garde nationale a identifié ces fraudes, fermé les sièges sociaux des entreprises concernées et les a radiées du registre national. Les recherches se poursuivent pour identifier d’autres sociétés similaires, a confirmé le porte-parole de la Garde nationale, Houssem Eddine Jebabli.

Alors quelles têtes vont tomber? Etant donné que des personnes haut placées étaient au courant de cette arnaque depuis deux ans.

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