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Heute — 31. März 2025Haupt-Feeds

Météo: jusqu’à 6°C dans certaines régions

Von: La Presse
31. März 2025 um 18:02

Le temps sera parfois très nuageux cette nuit, avec de faibles pluies éparses sur le nord-ouest, tandis que des passages nuageux concerneront le reste du pays.

Les températures nocturnes oscilleront entre 6 et 10 degrés dans les régions occidentales du nord et du centre, et entre 11 et 16 degrés ailleurs.

Le vent soufflera fortement du nord-ouest sur la région du Cap Bon et les hauteurs, tandis qu’il sera relativement fort à modéré sur le reste du pays. La mer sera très agitée, voire localement houleuse.

Commentaire : Tunisie-OIM – Migrants clandestins : L’étrange dialogue de sourds

31. März 2025 um 17:30

Soyons clairs, la Tunisie ne saurait faire face, seule, à la problématique de la migration clandestine. La question revêt, désormais, de vraies dimensions géopolitiques.

Rien qu’au niveau légal, l’Europe est aussi impliquée, en bloc et au cas par cas ; de nombreux pays africains subsahariens pourvoyeurs des vagues d’immigrants clandestins aussi ; sans parler des Etats maghrébins d’où sont exfiltrés les immigrants clandestins vers la Tunisie, sachant que des cinq pays maghrébins, seule la Tunisie n’a pas de frontières directes avec les Etats subsahariens ; ajoutons-y les organisations internationales supposées collaborer en bonne et due forme mais étrangement domiciliées aux abonnés absents. Au niveau extra-légal, il y a bien évidemment les réseaux du crime organisé transnational impliqué dans la traite des migrants et le trafic d’organes. Ceux-là mêmes dont les caïds et les pontes jouissent d’une étrange impunité dans maints pays et paradis fiscaux européens notamment.

C’est dire si la Tunisie, qui focalise toutes les attentions, et même les malintentions, n’a guère le beau rôle dans ce triste concert. Et c’est là qu’intervient la problématique du laxisme, de l’inefficience ou tout simplement de la déconfiture des organisations internationales, notamment celles liées à la migration, dont l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Recevant, le 26 mars M. Mohamed Ali Nafti, ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, le Président de la République, Kaïs Saïed, a évoqué la nécessité d’assurer le retour volontaire des migrants en situation irrégulière présents en Tunisie vers leurs pays d’origine. Il s’avère, en fait, que, depuis le début de l’année, seuls 1.544 migrants ont bénéficié de ce dispositif. Un chiffre dérisoire eu égard aux potentialités réelles. En fait, le retour volontaire des immigrés clandestins est la principale voie d’issue à ce phénomène aux dimensions aussi bien humanitaires que juridiques. La coopération entre les autorités tunisiennes et l’Organisation internationale pour les migrations pourrait être plus efficace en la matière.

On a cependant l’impression qu’il y a une espèce de dialogue de sourds entre la Tunisie et certaines organisations internationales liées à la migration, l’OIM en prime. Pourtant, l’OIM est bien une organisation liée aux Nations unies, c’est même l’« agence de la migration des Nations unies », aux dires de son ancien directeur-général, William Lacy Swing. Et, à bien y voir, les Etats demeurent la pierre angulaire du système juridique international. Rien ne sert dès lors, pour certaines organisations internationales, de minimiser le rôle des Etats ou d’endosser des rôles d’ONG qui, ce faisant, sont conséquentes avec leurs statut et vocations.

En outre, toute organisation internationale est par essence soumise aux règles de transparence, de contrôle et de redevabilité. Je parle ici du droit citoyen de base qui examine et s’interroge. D’où l’inévitable question qui s’impose : les budgets alloués à l’OIM, destinés initialement aux questions des retours volontaires des immigrés clandestins vers leurs pays d’origine, ne sont-ils pas plus importants que les actions entreprises sur le terrain ? 

On a beau chercher des chiffres, des données factuelles, circulez il n’y a rien à voir, nous dit-on. Mystère et boule de gomme. Pourquoi diable ce mutisme en présence de questions qui polarisent les passions de l’opinion dans tous les sens ? 

En fait, à bien y voir, dans cette problématique, lancinante et à bien des égards, douloureuse, il y a beaucoup de non-dits :

• Ceux des pays européens prétendument démocratiques qui s’assument carrément en forteresse cadenassée. Pis : ils veulent confiner la Tunisie dans l’infame rôle de gendarme de leurs frontières ou de vaste camp de concentration et de détention des immigrés clandestins en provenance d’Afrique subsaharienne. Autant de propositions indécentes que la Tunisie récuse, il va de soi. 

• Il y a les non-dits aussi de certaines organisations internationales plus promptes à lâcher et fustiger les Etats qu’à dénoncer et combattre les réseaux du crime organisé transnational. 

• Il y a également les non-dits des interférences entre les desseins scabreux des réseaux crapuleux et néo-esclavagistes, d’un côté, et certains acteurs de la sphère humanitaire ou déguisée en instances humanitaires, de l’autre.

• Sans oublier les non-dits des incommensurables souffrances des éternels laissés-pour-compte. Il s’agit en l’occurrence autant des immigrés clandestins soumis au parcours du combattant dès le départ, extorqués, volés, opprimés dans leurs droits les plus élémentaires, violés, vendus, noyés, estropiés ou tués sans être, au préalable, détroussés de quelques organes vitaux ; de l’autre, les Tunisiens souffrant des méfaits d’une immigration clandestine à leurs dépens aux risques et périls de leurs biens, de leur sécurité, de leur vie.

L’amer constat s’impose là aussi. Refouler une question vitale, éluder les souffrances et les douleurs des hommes, cela équivaut à cacher sous le boisseau des bombes à retardement dont les effets pervers et ravageurs se feront un jour ou l’autre lourdement ressentir. Au détriment de tous.

Tunisair : Entre souveraineté et compétitivité, l’art de l’équilibre

31. März 2025 um 17:20

Le défi qui attend la compagnie nationale est immense, mais il n’est pas insurmontable. Il ne suffit plus de colmater les brèches ou de repousser l’inévitable. L’entreprise doit s’engager dans une véritable métamorphose, portée par une vision claire et des décisions courageuses.

Le Président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, mardi 25 mars, au Palais de Carthage, le ministre du Transport, Rachid Amri, et la chargée de la Direction générale de la compagnie aérienne Tunisair, Halima Khouaja. Au cœur des discussions, la situation critique de la compagnie et la mise en place d’un «plan de sauvetage» pour redonner à la Gazelle son éclat d’antan.

Le Chef de l’État a pointé du doigt la dégradation des conditions de voyage à bord des appareils de Tunisair, dénonçant des retards récurrents et une qualité de service jugée inacceptable. Il a également mis en avant la réduction drastique de la flotte, passée de 24 à seulement 10 avions, ce qui limite la capacité d’exploitation et accentue les difficultés financières de la compagnie.

Des pertes colossales et une maintenance défaillante

L’un des problèmes majeurs relevés concerne la maintenance des appareils, qui prend en moyenne 123 jours en Tunisie contre seulement 10 jours chez certains constructeurs internationaux. Cette lenteur entraîne des pertes énormes, estimées à des dizaines de milliards de dinars, qui auraient pu être investies dans l’acquisition de nouveaux avions.

Le Président Saïed a également fustigé les recrutements excessifs et souvent fictifs, résultant d’un système de favoritisme qui pèse lourdement sur les finances de la compagnie. Par ailleurs, des dossiers de corruption impliquant certains responsables et chefs syndicaux sont actuellement devant la justice.

Quelle solution pour un redressement durable ?

Si le Chef de l’État réaffirme son opposition à une privatisation de Tunisair et de l’aéroport Tunis-Carthage, il insiste, en revanche, sur la nécessité d’une restructuration en profondeur. 

A cet effet, une option envisageable serait l’ouverture du capital à des investisseurs privés, afin d’injecter les fonds indispensables au redressement de la compagnie. Plusieurs compagnies aériennes dans le monde ont, en effet, réussi à retrouver leur compétitivité grâce à ce modèle hybride, où l’État conserve une participation majoritaire tout en impliquant des investisseurs privés. Air France-KLM, par exemple, a pu stabiliser sa situation en accueillant des capitaux privés tout en gardant l’État français comme actionnaire influent. TAP Air Portugal a également suivi une stratégie similaire, permettant un redressement sans perdre son identité nationale. Quant à Lufthansa, l’Allemagne a injecté des fonds publics temporaires avant de céder progressivement ses parts, illustrant un modèle de soutien étatique temporaire pour un retour à la rentabilité. Ce type d’approche permettrait à Tunisair de préserver son statut d’entreprise nationale tout en bénéficiant de l’expertise et des ressources financières du secteur privé.

Ambition et impératif de survie

Le défi qui attend la compagnie nationale est immense, mais il n’est pas insurmontable. Sauf que à ce stade, il ne suffit plus de colmater les brèches ou de repousser l’inévitable. L’entreprise doit s’engager dans une véritable métamorphose, portée par une vision claire et des décisions courageuses. Pour renaître, Tunisair doit repenser son modèle économique et opérationnel en profondeur. Cela implique une réduction drastique des charges inutiles, une réorganisation de ses effectifs basée sur la compétence et non sur l’affiliation, ainsi qu’une optimisation des services offerts aux voyageurs.

Mais au-delà des chiffres et des plans d’assainissement financier, le transporteur national doit renouer avec sa mission première : faire voler les Tunisiens avec fierté et sécurité. Redonner confiance aux passagers, améliorer l’expérience client, investir dans une flotte moderne et fiable, et, surtout, restaurer la place de la compagnie sur l’échiquier aérien international. C’est un combat qui nécessite du courage politique, une gestion rigoureuse et une adhésion sans faille des employés. 

L’histoire de Tunisair ne doit pas être celle d’un déclin, mais d’une renaissance. Le vent du changement souffle, et avec lui, l’opportunité de transformer cette épreuve en un nouvel élan. Reste à savoir si la Tunisie saura donner à sa Gazelle la force de reprendre son envol.

Prix Comar d’Or 2025 : prolongation des délais de participation

31. März 2025 um 17:05

La Compagnie Méditerranéenne d’Assurances et de Réassurances (Comar) a prolongé les délais de participation à ses prix annuels du roman tunisien en arabe et en français pour la 29ᵉ édition de 2025. La date limite de dépôt des candidatures est désormais fixée au 4 avril 2025.
Selon un communiqué publié sur son site officiel, Comar annonce que la 29ᵉ édition des Prix littéraires Comar d’Or se tiendra le 17 mai 2025.
Ces prix concernent tous les romans écrits par des auteurs de nationalité tunisienne, publiés en Tunisie ou à l’étranger entre le 1ᵉʳ avril 2024 et le 31 mars 2025. Les écrivains et éditeurs souhaitant participer sont invités à contacter Comar Assurances (Département Marketing) afin de remplir la fiche d’inscription et de déposer sept exemplaires de leurs ouvrages.
Les Prix Comar d’Or récompensent des romans tunisiens, en arabe et en français, qui se distinguent par la qualité de leur écriture, l’originalité de leur thème et/ou leur dimension créative.

Jury et dotations
Les romans primés sont sélectionnés par deux jurys, l’un pour les ouvrages en langue arabe et l’autre pour ceux en langue française. Chaque jury est composé de cinq membres :
• Jury du prix du roman en français : Ridha Kefi, Mokhtar Sahnoun, Azza Filali, Amina Chenik et Mohamed Harmel.
• Jury du prix du roman en arabe : Mohamed El Khadi, Neziha Khelifi, Saadia Ben Salem, Ahmed Gasmi et Hafedh Mahfoudh.

Les prix attribués sont les suivants :
• Prix Comar d’Or : 10 000 DT pour le meilleur roman en arabe et 10 000 DT pour le meilleur roman en français.
• Un auteur ayant déjà remporté ce prix peut concourir à nouveau avec un nouveau roman après un délai de cinq ans.
• Prix Spécial du Jury : 5 000 DT pour chaque langue.
• Ces distinctions récompensent des romans dont l’originalité est particulièrement remarquée par les jurys.
• Les lauréats de ce prix peuvent ensuite concourir pour le Prix Comar d’Or. Toutefois, ils ne peuvent être récompensés à nouveau par le Prix Spécial du Jury qu’après cinq ans.
• Prix Découverte : 2 500 DT pour chaque langue.
• Ce prix distingue des romans qui révèlent un talent prometteur.
• Il ne peut être attribué qu’une seule fois à un même auteur.

Les Prix Comar d’Or continuent ainsi de mettre en lumière la richesse et la diversité de la littérature tunisienne, tout en offrant une reconnaissance aux talents émergents et confirmés.
La Presse avec Tap

Foot-LCA (quarts de finale – aller): le programme des rencontres

31. März 2025 um 17:02

Programme des quarts de finale (aller) de la Ligue des Champions d’Afrique de football, prévus mardi, dont celui opposant l’Espérance de Tunis aux sud-africains de Mamelodi sundowns, programmé au stade Loftus Versfeld à Johannesburg à partir de 14h00 (heure locales).

Mardi 1er avril :
14h00 : Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud) – Espérance Sportive de Tunis
(Tunisie)
20h00 : MC Alger (Algérie) – Orlando Pirates (Afrique du Sud)
20h00 : Al Ahly SC (Egypte) – Al Hilal SC (Soudan)
20h00 : Pyramids FC (Egypte) – AS FAR (Maroc)
NB: les quarts de finale retour sont programmés les 8 et 9 avril

Amira Ghenim, lauréate du Prix Fragonard

31. März 2025 um 18:20

Le Prix Fragonard de littérature étrangère a récompensé la Tunisienne Amira Ghenim et sa traductrice Souad Labbize pour « Le Désastre de la maison des notables » (éd. Philippe Rey), distingué parmi dix finalistes.  L’information a été révélée par le site spécialisé actualitte.com

Doté de 5 000 € pour l’autrice et 2 000 € pour la traductrice, ce prix récompense une œuvre écrite par une femme, traduite et publiée en français entre août 2024 et février 2025.

Un jury prestigieux

Le jury, présidé par des personnalités comme Clara Dupont-Monod, Liya Kebede et Jakuta Alikavazovic, a salué cette fresque historique tunisienne. Le roman plonge dans les années 1930, où un scandale oppose deux familles – les Naifer (conservateurs) et les Rassaa (progressistes) – après qu’une jeune épouse est accusée d’adultère avec Tahar Haddad, militant pour les droits des femmes.

Une saga familiale et politique

À travers des récits entrelacés, Ghenim dévoile les répercussions de ce drame sur cinquante ans d’histoire tunisienne, de la colonisation à la révolution de 2011, en explorant les luttes pour l’émancipation féminine.

Parcours d’une autrice militante

Née en 1978 à Sousse, Amira Ghenim, agrégée d’arabe et linguiste, signe ici son deuxième roman, déjà primé par l’Arab Booker Prize et le Comar d’Or en 2021. C’est sa première traduction en français.
La lauréate gagne aussi un séjour de huit jours à Arles, offert par le festival littéraire « Les Suds ».

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Fête de l’Aïd – Choses vues à El Menzah VI

31. März 2025 um 18:07

Une bonne journée bien calme en ce jour de l’Aïd. Avec un moment fort, la prière de l’Aïd. Et une course pour acheter le pain. La vie reprend son cours avec les premières heures de l’après-midi. Même si avec le froid, il y a ceux qui refusent de mettre le nez dehors.

Reportage

Lundi 31 mars 2025. Il est 6h30 et une foule compacte commence à remplir la mosquée d’El Menzah VI. La foule est tellement nombreuse que même les travées utilisées pour faciliter la circulation et mettre les chaussures des prieurs sont prises d’assaut. Une ambiance largement festive règne dans les lieux.

Et lorsque le prêche se termine, beaucoup s’attardent à l’intérieur de la salle de prière et sur le perron, ou encore dans les rues des alentours, sous le sol radieux malgré un froid de canard, pour se souhaiter une bonne fête de l’Aïd. Des alentours qui sont remplis de voitures, quelquefois du reste, mal garées. Ce qui provoque quelques mécontentements.

Une bonne partie de la foule se dirige alors vers les deux boulangeries qui ont décidé d’ouvrir leurs portes pour servir du pain bien chaud. Et ici et là, la queue est de rigueur. Du pain, mais aussi des croissants et des pains au chocolat. Qui manquent vite à l’appel.

« Il faut bien que les employés aillent dormir »

« Les premiers venus sont les premiers servis », sourit Abdelaziz, jogging gris et casquette rouge, qui habite un des immeubles du quartier. « Je ne suis pas gourmand », entend-il rappeler. « Je prends un seul pain au chocolat, les trois autres sont pour mon épouse et mes deux enfants », tient-t-il à préciser.

Et c’est avec un pas pressé qu’il compte se frayer un chemin dans une queue qui ne cesse de s’allonger. « Et il faudra faire vite », indique Amor, qui habite à El Menzah IX, un peu plus loin et qui est un habitué, pour ainsi, de la mosquée.

Le commerce « est ouvert de 4h30 à 9h00 »

Le pain, il lui en faut. « Car, mon épouse a confectionné, comme à son habitude, une « mouloukhia » (plat constitué entièrement de feuilles de corète potagère de la famille des Malvacées). « Un plat qui exige beaucoup de pain », fait-il remarquer. Il oriente son doigt vers une pancarte exposée aux yeux des clients et annonçant que le commerce « est ouvert de 4h30 à 9h00 et qu’il ne rouvrira ses portes que mercredi ». « Il faut bien que les employés aillent dormir », opine Abdelaziz.

Autant dire que des clients comme Mansour, soixante-dix ans, achète de quoi le nourrir lundi et mardi. De plus « avec l’état de mes jambes, dit-il, je n’ai pas le courage de sortir beaucoup de chez moi », préférant rester au chaud chez lui ». Il ajoute : « le froid et le vent ne m’encouragent pas, par ailleurs, de mettre le nez dehors ».

Une clientèle constituée d’habitués

Dehors, les rues d’El Menzah VI sont bien désertes. Quelques clients viennent acheter, cependant, des cigarettes et des cartes téléphoniques chez le seul « marchand de glibettes », comme on appelle communément ces boutiques, qui vendent, entre autres, des fruits secs, des cigarettes, des cartes téléphoniques et autres bonbons et tablettes de chocolat.

Le quartier reprendra vie avec les premières heures de l’après-midi. Lorsque les quelques cafés commenceront à ouvrir leurs portes. Et à utiliser les terrasses qui font face à leur commerce pour servir thé et café. A une clientèle constituée d’habitués qui se rassemble pour se souhaiter bonne fête.

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Mohamed Ali Nafti en visite de travail de deux jours à Stockholm

31. März 2025 um 15:47

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, effectue, les 1er et 2 avril 2025, une visite de travail à Stockholm (en Suède) à l’invitation de son homologue Suédoise, Maria Malmer Stenergard, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères publié lundi 31 mars 2025.

Cette visite a pour objectif de renforcer les relations d’amitié et de coopération entre la Tunisie et la Suède compte tenu des expériences réussies dans les deux pays au cours des dernières décennies, et de promouvoir le partenariat économique à travers l’exploitation des opportunités dans plusieurs secteurs prometteurs, explication le communiqué.

Cette visite favorisera également les concertations autour de plusieurs dossiers, à l’ordre du jour à l’échelle régionale et internationale.

A cette occasion, le chef de la diplomatie tunisienne présidera les travaux du Forum économique tuniso-suédois, qui sera organisé avec la participation d’une délégation de 13 hommes d’affaires tunisiens, membres de la Confédération des entreprises citoyennes de Tunisie (CONECT) qui l’accompagne durant cette visite.

Avec TAP

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La Kharja de l’Aïd, une tradition retrouvée dans les rues de la Tunisie

Von: La Presse
31. März 2025 um 14:43

Des centaines de Tunisiens ont célébré l’Aïd el-Fitr en perpétuant la tradition de la Kharja, une procession festive et religieuse marquant l’aube du premier jour de l’Aïd. Dès les premières heures du matin, vêtus de leurs habits traditionnels, les participants se sont dirigés vers plusieurs mosquées pour raviver cette coutume ancrée dans le patrimoine national.

Environ une demi-heure avant la prière de l’Aïd, les fidèles réunis ont levé les mains en prière et en louanges (takbir et tahlil), exprimant leur joie et leur ferveur.

À Tunis, des dizaines de citoyens ont convergé vers la mosquée Zitouna dans une ambiance empreinte de spiritualité, répondant à l’appel de l’association Tourathouna (Notre patrimoine), organisatrice de l’événement. D’autres quartiers de la capitale ont également vu se former des cortèges similaires, notamment à Bab el-Khadra et Bab Souika, où les fidèles ont cheminé en direction de la mosquée Saheb Ettabaa à Halfaouine pour la prière de l’Aïd.

La Kharja a également été célébrée dans plusieurs autres villes du pays, dont Teboursouk, Testour et Dar Chaâbane El Fehri, témoignant d’un regain d’intérêt pour ce rituel ancestral.

Tout au long du parcours, hommes, femmes et enfants ont scandé des louanges et des invocations, accompagnés des passants et habitants des quartiers qui se joignaient spontanément à la procession, ponctuant l’événement de youyous et d’échanges de photos souvenirs.

Cette tradition rassemble les habitants de la médina et des quartiers environnants dans un cortège structuré : en tête, les notables et anciens du quartier, tandis que les enfants ferment la marche.

Selon des sources historiques, la Kharja de l’Aïd remonte à l’époque des Hafsides et s’est enracinée dans les célébrations des deux grandes fêtes musulmanes dès la fondation de leur État. Elle était traditionnellement pratiquée avant la prière de l’Aïd.

Suspendue en 2021 en raison de la pandémie de Covid-19, cette coutume a repris depuis, retrouvant sa place parmi les traditions qui rythment les festivités de l’Aïd en Tunisie.

 

 

Béja : sept blessés dans une collision entre un louage et une camionnette

Von: La Presse
31. März 2025 um 14:32

Un accident de la route s’est produit ce lundi 31 mars 2025 à la mi-journée à l’entrée de la ville d’Amdoun, dans le gouvernorat de Béja, plus précisément dans la région d’Al-Adailia. Selon un premier bilan, sept personnes ont été blessées.

D’après une source de la protection civile à Béja, l’accident a impliqué un véhicule de transport en commun (louage) et une camionnette. Les blessés ont été évacués vers l’hôpital local d’Amdoun pour y recevoir les soins nécessaires, rapporte Mosaïque Fm.

Collision «violente» entre une voiture et un camion à Amdoun: 7 blessés

31. März 2025 um 14:56
Collision «violente» entre une voiture et un camion à Amdoun: 7 blessés | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Divers) – Un grave accident de la circulation s’est produit entre à El Adailia à Amdoun (gouvernorat de Béja) ce lundi 31 mars 2025. Le choc a été très violent, entre une voiture de louage et un petit camion. Au final, des dégâts et 7 blessés dont deux ont été évacués à l’hôpital d’Amdoun, selon la protection civile de Béja. (M.S)

Mohamed Ali Nafti en visite en Suède pour renforcer la coopération tuniso-suédoise

Von: La Presse
31. März 2025 um 13:38

Mohamed Ali Nafti, ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, effectuera une visite de travail à Stockholm les 1er et 2 avril 2025, à l’invitation de son homologue suédoise, Maria Malmer Stenergard.

Cette visite vise à renforcer les relations d’amitié et de coopération entre la Tunisie et la Suède, en s’appuyant sur les expériences réussies accumulées ces dernières décennies. Elle ambitionne également de dynamiser le partenariat économique en exploitant les opportunités existantes dans plusieurs secteurs prometteurs. Par ailleurs, les discussions porteront sur plusieurs dossiers régionaux et internationaux d’actualité.

À cette occasion, le ministre présidera les travaux du Forum économique tuniso-suédois, en présence d’une délégation d’entrepreneurs tunisiens membres de la Confédération des entreprises citoyennes de Tunisie (CONECT), qui l’accompagnera durant son déplacement.

Le cirque tunisien “Paparouni” présente son spectacle “Le Livre de la Jungle” jusqu’au 6 avril

Von: La Presse
31. März 2025 um 12:27

Le cirque tunisien Paparouni poursuit la présentation de son nouveau spectacle Le Livre de la Jungle durant la semaine de l’Aïd El-Fitr et jusqu’au 6 avril prochain. Le spectacle est donné sur la place Miami, à El Mourouj 1, dans le gouvernorat de Ben Arous.

Lancé le 22 mars, ce show immersif mêle légendes, danse et acrobaties, le tout porté par une mise en scène rythmée par une musique envoûtante. Pas moins de 25 artistes, accompagnés d’une équipe technique, participent à ce spectacle de 90 minutes qui plonge les spectateurs dans un univers où l’imaginaire se confond avec la réalité.

Adapté du célèbre récit de l’écrivain britannique Rudyard Kipling (1865-1936), Le Livre de la Jungle revisite cette œuvre intemporelle avec une vision créative inspirée des légendes anciennes et une narration imprégnée d’authenticité tunisienne.

Le spectacle se distingue par ses innovations artistiques et techniques, offrant des tableaux spectaculaires à couper le souffle. Parmi les performances phares, des numéros aériens sur trapèze où les artistes défient les lois de la gravité avec grâce et virtuosité. D’autres séquences mettent en scène des voiles suspendus, transportant les spectateurs dans un monde onirique où les acrobates évoluent dans un ballet aérien fascinant.

Un numéro de « mât chinois » ajoute une touche de suspense et d’agilité, les artistes reproduisant avec fluidité les mouvements des créatures sauvages à travers des acrobaties dynamiques défiant la pesanteur.

Le décor, conçu comme une forêt mythique avec des arbres gigantesques, est sublimé par des projections interactives et des effets visuels immersifs. Le spectacle inclut également des performances de magie, où des illusions mêlant eau et flammes captivent le public.

Le spectacle se déroule sous un chapiteau conçu et fabriqué entièrement en Tunisie par Paparouni Arts du Cirque. Cette structure de 12 mètres de hauteur et 30 mètres de diamètre peut accueillir jusqu’à 600 spectateurs et est équipée des dernières technologies en matière d’éclairage et de sonorisation, garantissant une expérience sensorielle inédite.

Les dons de la Zakat al-Fitr aux villages d’enfants SOS dépassent 1,1 million de dinars

Von: La Presse
31. März 2025 um 12:21

es dons collectés au profit des villages d’enfants SOS ont franchi le cap de 1,5 million de dinars, a annoncé Mohamed Mokdich, président de l’Association des villages d’enfants SOS.

Selon lui, les contributions issues de la Zakat al-Fitr versées via le site web de l’association ont atteint 1,12 million de dinars, tandis que les dons effectués par SMS s’élèvent à 400 000 dinars jusqu’au dimanche 30 mars.

La communauté tunisienne à l’étranger joue un rôle clé dans cette mobilisation. Les Tunisiens de France arrivent en tête des donateurs, suivis de ceux établis au Canada et en Allemagne. Au total, des ressortissants tunisiens issus de 25 pays.

Mandat de dépôt pour le Juif tunisien arrêté à Djerba

31. März 2025 um 12:12
Mandat de dépôt pour le Juif tunisien arrêté à Djerba | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Justice) – Le procureur près le tribunal de première instance de Médenine a émis, lundi matin, une de dépôt à l’encontre le juif tunisien arrêté hier soir, dimanche, à Djerba.

La décision de délivrer un mandat de dépôt contre le juif tunisien est intervenue en exécution d’un jugement par contumace prononcé contre le condamnant à sept ans de prison pour atteinte aux biens d’autrui en incendiant une voiture et en attaquant la maison d’un habitant de la ville de Bizerte.

Fin de règne sur l’extrême-droite française… pour la famille Le Pen??!!!

31. März 2025 um 11:28
Fin de règne sur l’extrême-droite française… pour la famille Le Pen??!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – Serait-ce la fin de la famille Le Pen dans le paysage politique de l’extrême droite en France ? Le cas semble plausible et la condamnation de Marine le Pen à l’inéligibilité à la présidentielle, en est le signe précurseur, surtout que la loi vient de rabattre le caquet à toute l’extrême droite française qui ne cesse de fanfaronner, depuis un certain temps.

Le tribunal de Paris a décidé de condamner l’ancienne candidate à la présidentielle à une peine d’inéligibilité avec application immédiate ce lundi 31 mars. Reste à connaître la durée.

Un verdict particulièrement attendu. La présidente des députés RN a été condamnée ce lundi une peine d’inéligibilité avec application immédiate dans le cadre du procès des assistants parlementaires des députés européens.

L’ex-patronne du parti à la flamme a été reconnue coupable de détournement de fonds publics. Le tribunal a estimé que le préjudice total était de 2,9 millions d’euros, en faisant « prendre en charge par le Parlement européen des personnes qui travaillaient en réalité pour le parti » d’extrême droite.

Elle était « au centre » d’un « système organisé », ont encore avancé les juges ce lundi. L’accusation avait requis des peines particulièrement sévères à l’encontre de Marine Le Pen le 27 novembre.

Le parquet avait demandé une peine de cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire, s’appliquant donc immédiatement, même en cas d’appel, en plus de cinq ans de prison dont deux ferme (une peine aménageable), ainsi que 300.000 euros d’amende.

Combats pour éradiquer ces hôtes indésirables de l’Aïd… les criquets pèlerins!!!

31. März 2025 um 10:51
Combats pour éradiquer ces hôtes indésirables de l’Aïd… les criquets pèlerins!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (NAT) – Des superficies de 930 hectares ont été traitées dans le cadre des opérations de surveillance et d’intervention contre les populations de criquets pèlerins dans le sud tunisien, a indiqué le ministère de l’Agriculture, dimanche.

Il s’agit d’un traitement terrestre sur une superficie de 635 hectares, dont 30 hectares ont fait l’objet de traitement biologique en raison de leur emplacement dans des zones écologiquement sensibles (réserve de Sidi Toui, dans le gouvernorat de Médenine), précise le département de l’Agriculture, dans un communiqué.

Un traitement aérien a aussi eu lieu sur une superficie de 295 hectares à Tataouine, moyennant un hélicoptère de la Société Nationale de la Protection des Végétaux (SONAPROV), une société de service spécialisée dans le traitement des plantes.

Selon la même source, les équipes de traitement sur terrain des Commissariats régionaux au développement agricole (CRDA) ont appuyé les actions d’équipes pluridisciplinaires de différentes structures régionales et locales.

En parallèle, des équipes de repérage et de suivi sur le terrain suivront activement les mouvements de ce ravageur transfrontalier dans le but d’assurer des interventions à temps et limiter sa reproduction et sa propagation.

L’Espérance Sportive de Tunis en quête de victoire face à Mamelodi Sundowns en quart de finale de la Ligue des Champions

Von: La Presse
31. März 2025 um 10:17

Demain, mardi, l’Espérance Sportive de Tunis affrontera les Sud-Africains de Mamelodi Sundowns en quarts de finale aller de la Ligue des Champions africaine de football. L’objectif pour les Tunisiens est de décrocher un bon résultat afin d’aborder le match retour dans les meilleures conditions.

Se présentant comme un géant africain en quête de gloire, l’Espérance, unique représentant tunisien encore en lice, dispute son 18e quart de finale dans la plus prestigieuse des compétitions africaines, un record, dont 9 consécutifs, témoignant de sa régularité au plus haut niveau.

En phase de groupes, les coéquipiers de Mohamed Amine Ben Hmida ont dominé le groupe D avec 13 points (4 victoires, 1 nul, 1 défaite), devançant Pyramids FC (Égypte), Sagrada Esperança (Angola) et Djoliba AC (Mali). En face, Sundowns a terminé 2e du groupe B avec 9 points, derrière l’équipe marocaine de l’AS FAR.

Ce match marquera également la première sortie officielle en Ligue des champions de Maher Kanzari, depuis son retour au club après 12 ans d’absence, succédant au Roumain Laurentiu Reghecampf. Un défi de taille pour le technicien, d’autant plus qu’il affronte l’ex-head coach de la formation de Bab Souika, le Portugais Miguel Cardoso.

Ironie du sort, l’an dernier, Cardoso a mené l’EST jusqu’en finale, éliminant au passage Sundowns, son actuel employeur (1-0 à l’aller et au retour). Une revanche enflammée se profile.

Côté tactique, en défense, Ben Saïd devrait garder les cages, avec Ben Hamida et Hamza Jelassi en charnière centrale. Aymen Ben Mohamed et Raed Bouchniba pourraient assurer les couloirs.

Au milieu, malgré l’absence de Roger Aholou, le secteur est bien pourvu avec Abderrahmane Konaté, Teka, Guennichi, Azouni, et Ogbelu.

En attaque, Belaili, Mokwana et Jebali seront les fers de lance, avec Diakité en pointe après son triplé amical face au CA Bizertin.

De leur côté, les Sud-Africains comptent sur leur public (entrée gratuite au Loftus Versfeld) et leur star namibienne, Peter Shalulile, pour faire la différence.

Pour rappel, le match retour aura lieu le 8 avril à 20h, au stade Hamadi Agrebi de Radès. Le vainqueur affrontera en demi-finale Al Ahly (Égypte) ou Al Hilal (Soudan).

Barrages en Tunisie : 8,4 millions de m³ collectés en 24 heures

Von: La Presse
31. März 2025 um 10:16

L’Observatoire tunisien de la météo et du climat a publié ce lundi matin, 31 mars 2025, les derniers chiffres concernant les réserves d’eau dans les barrages du pays. Selon le rapport, les précipitations des dernières 24 heures ont permis de collecter 8,4 millions de m³ d’eau, portant le stock total à 847 millions de m³. Le taux de remplissage actuel des barrages est de 35,8%.

La situation est plus favorable dans le nord du pays, où les barrages affichent un taux de remplissage de 40,1%. En dépit de ces progrès, les oueds continuent de couler, ce qui indique que des quantités supplémentaires d’eau pourraient encore être absorbées par les barrages dans les jours à venir.

Pour rappel, la situation climatique en Tunisie, en cette période de l’Aïd El-Fitr, se distingue par des conditions météorologiques particulièrement perturbées. En effet, le pays fait face à des pluies fortes, des vents violents et même des chutes de grêle. De plus, les températures ont connu une nette baisse, accentuant les défis liés à cette période de fêtes et aux activités en extérieur. Les autorités météorologiques appellent à la vigilance et recommandent aux citoyens de prendre les précautions nécessaires face à ces conditions climatiques extrêmes.

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