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Tunisie | Entrée gratuite aux sites et musées ce dimanche

Von: Yusra NY
05. Dezember 2025 um 23:13

L’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (AMVPPC) rappelle que ce dimanche le 7 décembre 2025, l’accès aux sites, monuments et musées sera gratuit.

Bénéficient de la gratuité d’entrée tous les Tunisiens ainsi que les personnes étrangères résidentes en Tunisie sur présentation de la carte d’identité nationale ou de la carte de séjour durant les jours suivants :

  • Le premier dimanche de chaque mois,
  • Le 18 avril : Journée internationale des sites et monuments,
  • Le 18 mai : Journée internationale des musées
  • Les jours fériés.

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DIASPORA : Renforcer l’appartenance identitaire par la culture et l’histoire

04. Dezember 2025 um 07:06

Diaspora PopulationMaintenir le lien culturel entre les Tunisiens de l’étranger et leur pays d’origine est l’une des missions importantes de l’Office des Tunisiens à l’Étranger (OTE). Entre transmission linguistique, découverte du patrimoine et activités socioculturelles, l’OTE œuvre discrètement mais résolument pour renforcer ce sentiment d’appartenance.

La culture est un pilier fondamental du travail de l’Office des Tunisiens à l’Étranger. Si sa mission première est d’accompagner les Tunisiens vivant hors des frontières, l’OTE joue également un rôle actif dans la diffusion et la valorisation de la culture tunisienne à l’international, notamment auprès des jeunes générations nées ou élevées en dehors du pays.

«Dans les pays où résident de grandes communautés tunisiennes, notamment en Europe, nous avons constaté que les enfants issus de la deuxième, voire de la troisième génération, connaissent leurs origines, mais très souvent de manière floue, sans véritable ancrage culturel», souligne Helmi Tlili, directeur général par intérim de l’OTE. « C’est là que notre rôle prend tout son sens : transmettre, expliquer, faire vivre une culture parfois oubliée. »

« Notre rôle est de transmettre, expliquer et faire vivre une culture parfois oubliée, surtout chez les jeunes générations qui connaissent leurs origines de manière floue. »

Des centres socioculturels au cœur du dispositif

L’OTE dispose actuellement de 12 centres socioculturels à travers les principaux pays européens accueillant une forte diaspora tunisienne : France, Italie, Allemagne, Autriche, Belgique. Ces centres ont pour vocation de proposer des cours de langue arabe et d’initiation à la civilisation tunisienne. Mais, insiste Tlili, « il ne s’agit pas d’un simple enseignement linguistique : nous parlons ici de transmettre une histoire, un héritage, un imaginaire collectif. » Les programmes sont ainsi conçus pour aller au-delà de la salle de classe.

L’OTE organise des sorties pédagogiques vers des sites archéologiques et historiques, des visites de musées, et des activités culturelles permettant aux jeunes Tunisiens de la diaspora de découvrir les richesses de leur pays d’origine.

« Notre objectif est que ces jeunes, même sans maîtriser parfaitement l’arabe, puissent se reconnaître dans l’histoire et la culture tunisienne. »

 

Un exemple phare : la visite régulière du musée du Bardo pour les enfants qui viennent en Tunisie pendant les vacances d’été. Ces expériences visent à ancrer une mémoire culturelle et à stimuler la curiosité des jeunes pour leur patrimoine.

Une priorité : maintenir le lien avec la Tunisie Pour l’OTE, le défi n’est pas de s’ouvrir pleinement aux sociétés d’accueil, mais plutôt de préserver le lien identitaire avec la Tunisie. « Notre objectif est que ces jeunes, même s’ils ne parlent pas parfaitement l’arabe ou ne maîtrisent pas tous les codes culturels, puissent se reconnaître dans l’histoire et la culture tunisienne », explique Tlili. Ce travail de transmission culturelle est soutenu par des activités adaptées aux attentes des nouvelles générations.

Bientôt des promenades virtuelles dans les sites historiques et archéologiques en Tunisie

L’OTE a adopté une approche volontairement inclusive et moderne : bientôt, le site internet de l’Office intégrera une section entièrement dédiée à la culture, avec des contenus accessibles d’un simple clic, permettant aux Tunisiens de l’étranger de « se promener dans la civilisation tunisienne » à travers des vidéos, articles, expositions virtuelles et visites guidées.

Une présence forte en France, reflet du poids démographique Avec près de 54 % des Tunisiens de l’étranger résidant en France, ce pays représente un axe prioritaire dans l’action culturelle de l’Office.

« Ces expériences visent à ancrer une mémoire culturelle et à stimuler la curiosité des jeunes pour leur patrimoine. »

 

Sur les 12 centres socioculturels, 6 y sont implantés. Ce réseau permet de proposer des programmes diversifiés, régulièrement renouvelés, en partenariat avec des associations locales. « Nous portons cette mission culturelle avec conviction », conclut Helmi Tlili. « Il ne s’agit pas seulement de transmettre des connaissances, mais de ravir un lien affectif, une fierté d’appartenance, qui dépasse les générations et les frontières. »

“La culture n’est pas seulement l’ensemble des caractères de civilisation qui préexiste à l’apparition des identités, elle est également le socle proprement personnel de l’identité”

A.B.A

EN BREF

  • L’OTE place la culture au cœur de son action auprès de la diaspora tunisienne.
  • Ses 12 centres en Europe proposent langue, patrimoine et activités pédagogiques.
  • Les programmes incluent visites, sorties culturelles et découvertes historiques.
  • Une nouvelle plateforme numérique offrira bientôt des contenus culturels à distance.
  • Avec 54 % des expatriés en France, ce pays reste le premier terrain d’action.

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Fesguias de Djerba : Le Savoir-Faire Ancestral des Citernes Souterraines Contre la Rareté Hydrique

Von: walid
03. Dezember 2025 um 11:24

Sur l’île de Djerba, les citernes souterraines, ou fesguias, témoignent d’un savoir-faire ancestral en matière de gestion de l’eau. Inscrites dans un territoire désormais reconnu par l’UNESCO, elles font l’objet de projets de valorisation et de restauration visant à renforcer la résilience climatique et à préserver ce patrimoine hydraulique unique.

Les citernes, ces structures souterraines élaborées pour capter et stocker les eaux de pluie, révèlent l’ingéniosité d’une communauté qui a appris très tôt à composer avec la rareté hydrique. Héritées d’un savoir-faire ancien, elles continuent de jouer un rôle essentiel dans la vie religieuse, domestique et artisanale de l’île, offrant encore aujourd’hui une solution naturelle face aux changements climatiques.

À la différence des bassins à ciel ouvert du modèle tunisien classique, tels que ceux des Aghlabides à Kairouan, Djerba a développé un système entièrement souterrain : de vastes réservoirs alimentés par des canaux en terre cuite installés sous des toitures inclinées pour optimiser l’écoulement. Selon la chercheuse en patrimoine Rawdha Hamzi, ces structures remontent à l’époque romaine et ont perduré durant la période islamique, nourries par la tradition ibadite qui confère à l’eau une dimension sacrée, en écho au verset coranique : « Et Nous avons fait de l’eau toute chose vivante ».

Les mosquées de l’île témoignent de cette centralité de l’eau dans l’architecture religieuse. Dans les mosquées côtières, appelées « mosquées de la plage », une seule citerne était généralement construite afin de priver d’eau un éventuel ennemi venant de la mer, explique la chercheuse. À l’inverse, les mosquées-refuges situées à l’intérieur de l’île disposent de plusieurs citernes – jusqu’à six par site, comme à la mosquée Fadhloun ou à la mosquée Medrajen. Les mosquées-écoles, telles que celles de Sidi Sofien ou Abou Massour, peuvent en compter plus d’une douzaine afin d’assurer l’approvisionnement en eau pour les élèves, les fidèles et les voyageurs.

Dans l’architecture domestique et économique, les citernes (fesguias) demeurent un élément essentiel : on les retrouve dans les ateliers de tissage, les huileries, les fours traditionnels, les poteries, ainsi que dans les maisons où leur emplacement est minutieusement étudié pour conserver la fraîcheur de l’eau. Une citerne de quartier, appelée fessguiat essabil, est aussi construite comme acte de charité pour les passants.

« À Djerba, l’eau est sacrée, identitaire et patrimoniale », souligne Rawdha Hamzi. Elle rappelle que les ustensiles de conservation, les modes de transport et l’usage ritualisé de l’eau témoignent d’une véritable philosophie, intégrée dans l’architecture et la gestion des ressources.

L’île de Djerba est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2023, pour son urbanisme insulaire, ses villages, ses mosquées et son patrimoine culturel. Même si les citernes (fesguias) ne sont pas nommément listées, elles s’inscrivent pleinement dans la logique de gestion durable de l’eau et d’adaptation au territoire.

Face aux pressions climatiques, ces citernes anciennes font l’objet d’un nouvel intérêt. Plusieurs initiatives locales visent à les protéger et à les valoriser, dont le projet « 3R CC » (Recharge, Rétention et Réutilisation des Citernes d’eau à Djerba), piloté par l’Association pour la sauvegarde de l’île de Djerba (ASSIDJE). Le programme vise à renforcer la gestion durable des citernes, préserver ce patrimoine hydraulique ancestral et assurer un avenir plus résilient pour la population. L’association a recensé 121 fesguias publiques, en a restauré plusieurs et a installé de nouvelles citernes dans certaines écoles.

Parallèlement, le projet « Fesguietna » (Notre fesguia), piloté par l’Association Jlij pour l’Environnement Marin, en partenariat avec le Commissariat régional au Développement agricole et avec le soutien du Fonds mondial pour la nature (World Wide Fund for Nature – WWF) en Afrique du Nord, identifie et valorise les citernes publiques tout en sensibilisant la population locale et en l’impliquant dans la lutte contre la vulnérabilité de l’île face aux changements climatiques. Les interventions portent notamment sur le nettoyage, le retrait des sédiments, la consolidation des parois, l’amélioration des systèmes de collecte des eaux et l’aménagement des abords pour un accès sécurisé.

À Djerba, ces ouvrages hydrauliques ancestraux apparaissent désormais comme une ressource stratégique pour renforcer la résilience de l’île et préserver un patrimoine qui a façonné, pendant des siècles, les rapports entre l’homme, l’eau et le territoire.

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Valorisation du patrimoine archéologique : Sousse organise un débat exceptionnel

02. Dezember 2025 um 17:03

A l’occasion du 37ème anniversaire de l’inscription de la médina de Sousse sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO (9 décembre 1988), l’Association de Sauvegarde de la Médina de Sousse (ASMS), organise le mardi 9 décembre 2025 à 18h00 à l’auditorium de l’Institut Français de Sousse une conférence-débat intitulée “Réflexions autour du patrimoine archéologique en Tunisie” avec Nabil Kallala, professeur émérite d’histoire et d’archéologie antiques à l’Université de Tunis, directeur de l’Ecole tunisienne d’histoire et d’anthropologie, ancien directeur général de l’INP et ancien représentant de la Tunisie auprès du Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Cette rencontre vise à mettre en lumière la valeur universelle exceptionnelle de la médina de Sousse et à sensibilisera à sa préservation. Dans ce contexte, Nabil Kallala, présentera son dernier ouvrage “Du patrimoine partagé. Pour un éveil culturel”. Publié en 2025 aux éditions Nirvana, avec en couverture des photos des ports puniques de Carthage, entre hier et aujourd’hui, le livre, préfacé par Mohamed Hassine Fantar , avec une postface de Habib Ben Salha, pose un nouveau regard sur le patrimoine.

L’ouvrage propose une nouvelle perception du patrimoine, en le sortant de son état d’héritage figé, de « pierre morte », que l’on préserve uniquement comme simple vestige du passé. Une perception réduite qui risque de plonger le patrimoine dans une léthargie. Il faut au contraire le transcender pour mieux le valoriser, en révélant les différentes valeurs qu’il véhicule depuis son édification et tout au long de son existence : historiques, architecturales, culturelles, anthropologiques et expressives.

Bref, lui insuffler la vie en l’intégrant pleinement dans la dynamique culturelle et socio-économique. Ce n’est qu’en prenant conscience de ces valeurs et de sa plus-value que citoyens et autorités sauront le reconnaître à sa juste valeur et en tirer pleinement profit, aussi bien sur le plan culturel, social qu’économique. “Et c’est en (se) le partageant que nous pourrons le réinventer. C’est la clé de sa valorisation et de sa pérennisation”  tel est, en résumé, le propos du livre “Du patrimoine partagé. Pour un éveil culturel”.

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Ciné-Sud Patrimoine lance Ciné-Musée 2025 : un festival gratuit dédié au cinéma et à la restauration des films

Von: walid
02. Dezember 2025 um 12:00

L’association Ciné-Sud Patrimoine organise du 5 au 10 décembre à Sousse et les 13 et 14 décembre à Tozeur la 8e édition de sa manifestation annuelle “Ciné-Musée”, consacrée à la valorisation du patrimoine cinématographique tunisien et international.

L’événement prévoit la projection de films tunisiens récemment restaurés, des séances hommages à de grandes figures de la culture tunisienne, des ateliers et des rencontres-débats sur les métiers du cinéma, ainsi que des expositions photographiques présentant des affiches de films, du matériel audiovisuel et des documents rares.

Toutes les activités sont gratuites et ouvertes au public dans la limite des places disponibles, indique un communiqué de l’association.

Le programme de Sousse débutera le 5 décembre à l’Institut Supérieur de Musique avec un hommage vibrant à Ahmed Bennys et la projection d’ “El Mhammedia”, accompagnée d’un ciné-concert mêlant films muets de Sousse et de Naples. Les jours suivants, la Maison de la Culture Ali Douagi rendra hommage à Nouri Bouzid avec la projection restaurée de “L’Homme de Cendres”, tandis que le 7 décembre sera consacré à une rencontre-débat sur la préservation de la mémoire et l’accès aux archives, ainsi qu’à l’avant-première de « H’mida ».

Les 8 et 9 décembre seront consacrés aux Leçons de Cinéma autour de “Caméra d’Afrique” de Férid Boughedir et à un hommage au Collectif Nouveau Théâtre, suivi de la projection de “La Noce”. Le 10 décembre clôturera cette étape avec un hommage à Fadhel Jaziri et la projection de “Traversées” de Mahmoud Ben Mahmoud.

À Tozeur, les 13 et 14 décembre, les festivaliers découvriront “Les Baliseurs du Désert” de Nacer Khemir et le premier épisode de “La Guerre des Étoiles”, tourné à Tozeur et Nefta, accompagnés d’un concert panafricain rassemblant des musiciens du Mali, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Cameroun et de Tunisie.

Deux ateliers de formation sont également proposés, dont l’un sur l’écriture et l’improvisation musicale pour films muets, dirigé par Guido Sodo, et l’autre sur la restauration numérique image par image avec le logiciel Diamond Film Restauration, encadré par Francesca Chelu Deiana avec une intervention à distance de Walter Plaschzug, inventeur du logiciel.

Cette étape sera marquée par deux expositions inédites sur ‘Le Djerid dans la Mémoire de l’Image’ et ‘Les affiches du Cinéma tunisien’.

L’édition 2025 est organisée en partenariat avec le Centre national du cinéma et de l’image (CNCI), la Cinémathèque tunisienne, le Musée Dar Cheraït, l’Institut Culturel Italien, la Cinémathèque de Bologne ainsi que plusieurs institutions universitaires et culturelles locales.

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Patrimoine : La beauté renaissante du Palazzo Disegni

27. September 2025 um 08:45

À sa manière, cette photographie de l’artiste visuel Emin Bousofara souligne et la splendeur du Palazzo Disegni et la grande qualité de la restauration qui vient d’y être entreprise par la Banque internationale arabe de Tunisie ( BIAT ).

La restauration de l’immeuble Disegni est d’autant plus à saluer qu’elle a été réalisée dans les règles de l’art et avec un soin remarquable.

C’est à la rue Radhia Haddad, derrière le Palmarium et le Théâtre municipal que se trouve le splendide « palazzo » Disegni.

Réalisé par l’architecte Auguste Peters, cet immeuble date de 1908 et se caractérise par son style éclectique et la décoration de ses façades.

Pourvu d’une galerie à colonnes à l’étage supérieur et d’arcades vénitiennes sur les autres niveaux, cet édifice, avec ses baies et balcons, dégage délicatesse et majesté sans qu’on puisse clairement le relier à une tendance architecturale.

Ce caractère unique des façades conjugué avec les céramiques et le fer forgé de la cage d’escalier donne à cet édifice sa touche admirable et son équilibre subtil. Joyau architectural au charme vénitien, ce « palazzo » du début du vingtième siècle demeure unique en son genre.

Pour l’anecdote, c’est le terme italien « palazzo » (il signifie « immeuble ») qui a donné notre terme dialectal « balass » qui désigne toute sorte d’immeubles.

Lire aussi: Le nouveau bijou du centre-ville de Tunis

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La grenade fait son show à Testour

29. August 2025 um 12:37
La grenade fait son show à Testour | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (NAT) – Pour valoriser la culture des grenades, l’Association de la sauvegarde de la ville de Testour (ASVT) en collaboration avec le bureau local de l’Union tunisienne de l’agriculture et la pêche (UTAP) et le Commissariat régional du développement agricole de Béja (CRDA) organise, du 29 octobre au 2 novembre 2025, la 9ème édition du festival de la grenade dans les locaux de la maison de la Culture ex-demeure de la célèbre chanteuse juive tunisienne, Habiba Msika.

Ce festival est un moment fort pour les habitants de Testour et l’occasion rêvée de faire la fête, avec des événements culturels, des expositions de grenades, de l’animation  de rue, de la danse et des feux d’artifice dans un programme complet de 4 jours. 

Ce festival des grenades vise à consolider l’identité de la région à travers la valorisation de cette culture, faire connaître le paysage agricole de Testour et les différentes variétés des grenades, caractéristique de la région, et sensibiliser les citoyens et surtout les jeunes à la préservation du patrimoine matériel (architectural et paysager) et immatériel lié à cette culture. A l’initiative des fellahs et des restaurateurs, une multitude d’animations sont mises en place à cette occasion, qui ont trait aux grenades, et qui peuvent s’étendre à d’autres thèmes : musique, gastronomie, arts… (M.S)

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