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Gestern — 14. Mai 2025Haupt-Feeds

Tunis | L’exposition « BRUT – Regards croisés » rend hommage au patrimoine vivant tunisien

Von: Yusra NY
14. Mai 2025 um 23:21

L’Institut français de Tunisie accueille, du 22 mai au 5 juin 2025, l’exposition « BRUT – Regards croisés » pour rendre hommage au patrimoine vivant tunisien.

« BRUT – Regards croisés » regroupe les 130 créations originale de 10 artisites : Samia Achour, Asma Ben Aissa, Mehdi Benedetto, Sellema Goucha Essayem, Skander Khelil, Irane Ouanes, Olivia Grasshoff Rassas, Reem Saad, Hada SaÏdani, Laurence Bauza Peyron et sera ouverte au public du lundi au samedi (sauf le dimanche) de 10h à 19h.

L’exposition célèbre la Terre, le Marbre, l’Argile, la Céramique, la Poterie, la Peinture, le Tissu et la Pierre, à travers un parcours atypique inspiré par la nature et le vivant.

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Kebili : découverte d’un pressoir à huile datant de l’époque romaine sur le site de Bechni

Von: La Presse
14. Mai 2025 um 11:54

Un pressoir à huile datant de l’époque romaine tardive a été récemment découvert sur le site de Bechni, au gouvernorat de Kebili, par des archéologues de l’Institut National du patrimoine (INP).

Mourad Chtioui, représentant de l’INP à Kebili, a déclaré, mardi, à l’agence TAP que les résultats des fouilles en cours dans cette petite communauté qui faisait partie de la délégation d’El Fouar, ont révélé l’existence d’un pressoir à huile datant de la fin de l’epoque romaine tardive ».

Le chercheur auteur de cette découverte a assuré que « le matériel archéologique trouvé lors des fouilles, notamment de la céramique antiques, confirme qu’il sagit bien d’un pressoir à huile datant de l’époque romaine tardive » qui s’étend du IIIème au VIIème siècle dans le bassin méditerranéen.

Les fouilles de sauvetage menées sur le site de Bechni, situé à 24 Km à l’ouest de la ville de Douz, sont dans leur deuxième tranche du 7 au 21 mai 2025, a fait savoir le représentant de l’INP.

En mai 2023, Mourad Chtioui avait annoncé la découverte de traces archéologiques tout près du mausolée de Sidi Ali Ben Slimane à Bechni lors des travaux de construction d’une chambre à proximité du mausolée. Les constats préliminaires avaient alors révélé l’existence d’un bassin ancien qui pourrait remonter à la période romaine ».

Chtioui a qualifié « une découverte archéologique importante issue de ces fouilles qui attestent l’existence d’un pressoir à huile dans une zone désertique qui n’est pas actuellement réputée par la production d’olives ».

« Cette nouvelle découverte est inédite car le site de Bechni n’est pas mentionné dans les cartes ou dans l’atlas géographique », a fait savoir l’archéologue. Le pressoir à huile témoigne de l’histoire d’une zone désertique qui probablement produisait les olives dans l’antiquité ».

Mourad Chtioui a présenté une découverte qui « confirme l’existence d’une colonie romaine aux frontières de l’Empire romain sur la ligne de Limes, qui représente la frontière sud de la frontière romaine ».

« Frontières de l’Empire romain : Limes du Sud tunisien » sont des éléments proposés par la Tunisie, depuis le 17 février 2012, pour inscription sur la Liste du patrimoine mondial.

« Les ouvrages du limes du sud tunisien ont préservé leur authenticité et les rares interventions de restauration ou de les quelques moments de réutilisation temporaire n’ont pas altéré leur intégrité », peut-on lire dans le dossier tunisien.

Selon le site de l’Unesco, le « limes romain » représente la ligne frontière de l’Empire romain à son apogée au IIe siècle après J.-C. Le limes s’étendait sur 5 000 km depuis la côte atlantique au nord de la Grande-Bretagne, traversant l’Europe jusqu’à la mer Noire et, de là, jusqu’à la mer Rouge et l’Afrique du Nord, pour revenir à la côte atlantique. Il s’agit de vestiges de murs bâtis, de fossés, de forts, de forteresses, de tours de guet et d’habitations civiles. Certains éléments de la ligne ont été découverts lors de fouilles, d’autres reconstruits et quelques-uns détruits.

En Tunisie, le limes romain s’apparente davantage à un système de surveillance du territoire et de contrôle des mouvements des personnes qu’à une ligne de défense s’opposant à une menace militaire effective. Au plus fort de la domination romaine, la zone du limes s’étendait sur pas moins de 80 000 km2 allant des monts de Gafsa au Nord jusqu’au Grand Erg au Sud.

crédit photo : © Radio Gafsa

 

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Nouveau site archéologique romain découvert à Kasserine

11. Mai 2025 um 13:19
Nouveau site archéologique romain découvert à Kasserine | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Patrimoine) –, a annoncé, hier vendredi à Kasserine, La découverte d’un nouveau site archéologique à « Henchir Dharraoui », situé dans la région de Djebel Saloum, dans le gouvernorat de Kasserine, vient d’être annoncée par l’Institut National du Patrimoine (INP).

La directrice de la division de l’inventaire général et des recherches à l’INP, Samira Sehili, a indiqué, en marge de sa participation au huitième colloque scientifique international sur « l’histoire des Steppes tunisiennes », organisé les 8, 9 et 10 mai à Sbeïtla, que ce site remonte à la période romaine, s’étendant du 3ème au 7ème siècle après J.-C. Il couvre une superficie d’environ cinq hectares, renferme notamment un pressoir à huile d’olive avec l’ensemble de ses composantes, une nécropole de l’époque antique, des thermes romains, un ancien village, ainsi que des installations hydrauliques et deux inscriptions.

La chercheuse a indiqué que le gouvernorat de Kasserine était l’une des régions les plus réputées durant cette période de l’histoire pour la production et l’exportation de l’huile d’olive. Elle a précisé que le site, qui figure désormais sur les cartes topographiques et archéologiques, est encore en phase d’exploration et qu’un programme de fouilles pourrait être envisagé dans une phase ultérieure.

Un patrimoine en déclin: le tissage de nattes traditionnelles… à revaloriser!!!

11. Mai 2025 um 13:00
Un patrimoine en déclin: le tissage de nattes traditionnelles... à revaloriser!!! | Univers News

Tunis, UNIVERSNEWS (Patrimoine) – La délégation régionale des affaires culturelles de Nabeul œuvre à faire connaître et à promouvoir la natte locale dont la notoriété a franchi les limites du territoire national. On ne peut parler de cette natte nabeulienne sans faire référence aux nattiers. Ces mains d’or comme on aime à les appeler, ont, pour la plupart, fréquenté cette cité des nattiers, le Rebat, dont ils contribuent à perpétuer la tradition de père en fils, comme en témoigne ces articles en jonc (smar) comme les sets de tables, les poufs, les nattes, les couffins et les cartables. Et la ville des potiers a, à juste titre d’ailleurs, acquis cette réputation d’être un immense atelier de tissage, aux couleurs tantôt unies, tantôt chatoyantes et bariolées. C’est dans ce cadre que la maison de la culture de Nabeul abrite du 9 au 11 mai les journées de l’artisanat des nattes

L’ouverture de ce festival vendredi a été une fête pour les habitants de Nabeul, une occasion de démontrer leur attachement à cette manifestation, la seule qui vient chaque été secouer la léthargie culturelle de cette ville balnéaire. Ce festival représente ainsi le patrimoine de Nabeul qui a concocté un programme alléchant et varié malgré les moyens très limités. Le festival a permis aux   hôtes de visiter des expositions. La première porte sur de pièces anciennes et la seconde a trait à la vente d’articles en fibres végétales de l’artisanat tunisien. Des ateliers d’expérimentation et d’initiation pour les jeunes ont été animés par de grands spécialistes, une manière de les initier aux nouveaux motifs. Ces journées ont permis à plusieurs artisans d’exposer leur fabrication et de faire connaître ce royaume des nattiers qui a réussi depuis plusieurs années à se faire un nom aussi bien en Tunisie qu’au-delà de nos frontières. D’où ces petits ateliers qui foisonnent un peu partout et donnent cachet à cette ville.

Des bottes de jonc jaune vert bleu signalent l’atelier de nattier souvent attenant à sa demeure où seuls les hommes tissent le jonc. Nous avons suivi un vieux nattier de Nabeul. Il s’agit de Mohamed Zouheir Chelli qui est très attaché à son métier. Un sentiment de légitime vérité, de vanité le pousse à vanter les qualités de sa production. Il a d’ailleurs le droit d’être fier. Telle natte tissée spécialement pour la mosquée, destinée à un hôte de marque ou à une exposition artisanale est parfois un véritable chef d’œuvre.

«Aujourd’hui, je travaille de façon artisanale et j’aime ça», souligne Mohamed Zouhir qui semble avoir trouvé la recette pour réconcilier savoir-faire ancestral et innovation technologique. Un concept voué à inspirer une nouvelle génération d’entrepreneurs pour explorer de nouvelles voies valorisant l’artisanat Made in Tunisia.  Ce métier si passionnant risque de disparaître d’une année à l’autre, les jeunes n’en veulent pas et n’en voudraient pas pour tout l’or du monde. Le langage des doigts est menacé. Alors pensons ensemble pour le relancer », nous affirme M. Chelli qui garde l’espoir de voir d’autres jeunes prendre la relève.  (M.S)

Un nouveau site romain découvert à Kasserine

10. Mai 2025 um 08:05

La directrice des recherches à l’Institut national du patrimoine (INP), Samira Shili, a annoncé, vendredi 9 mai, la découverte d’un nouveau site archéologique à Jebel Selloum, dans le gouvernorat de Kasserine. 

Le site en question remonte à la période romaine, entre le IIIe et le VIIe siècle. Il s’étend sur une superficie de cinq hectares et a été découvert au cours d’une mission scientifique sur le terrain, selon Mosaïque FM.

Ce site archéologique renferme de nombreux vestiges : un pressoir à huile d’olive conservé, une nécropole dotée de divers aménagements funéraires, des thermes romains, un ancien village, ainsi qu’un ensemble complexe d’infrastructures hydrauliques comprenant des canalisations et des systèmes d’évacuation.

Il a été officiellement référencé aux « relevés topographiques et archéologiques ».

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Sbeitla accueille le 8e colloque international sur l’histoire des steppes tunisiennes

09. Mai 2025 um 18:00

Les travaux du huitième colloque international sur l’histoire des steppes tunisiennes ont démarré hier, jeudi 8 mai 2025, à Sbeitla. Organisé dans le cadre de la 34ème édition du Mois du Patrimoine, l’événement se poursuit jusqu’au 10 mai, avec la participation de nombreux chercheurs et intervenants de Tunisie, ainsi que de plusieurs pays maghrébins et européens.

Le colloque est organisé par le ministère des affaires culturelles, l’Institut national du patrimoine (INP) et l’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (AMVPPC), en collaboration avec la délégation régionale des affaires culturelles dans le gouvernorat de Kasserine.

La séance d’ouverture qui a réuni de nombreux universitaires et de spécialistes dans les domaines de la recherche historique, anthropologique et sociale, s’est déroulée en présence notamment de Hatem Dalleli, délégué régional des affaires culturelles dans le gouvernorat de Kasserine et Hatem Riahi, délégué de Sbeitla, rapporte l’AMVPPC sur sa page officielle.

En guise d’introduction, le professeur Lotfi Naddari a souligné l’importance de cet événement scientifique pour promouvoir les échanges de savoirs et d’expériences, mettant l’accent sur la nécessité de développer la recherche sur l’histoire des steppes, afin de mieux comprendre leur histoire.

Prenant la parole (au nom du directeur général de l’INP), Mounir Fantar directeur de la coopération internationale, de la formation et de la publication à l’INP a souligné l’importance de ce colloque scientifique en tant que plateforme de dialogue académique et de réflexion collective autour de l’histoire des steppes. Il a appelé à soutenir les recherches pluridisciplinaires permettant de mieux comprendre les transformations économiques, sociales et culturelles qu’a connues la région.

Intervenant au nom de la directrice générale de l’AMVPPC, Daouda Sow, directeur des études, de la programmation et de la coopération internationale à l’AMVPPC a mis l’accent sur l’apport académique historique de ce colloque depuis sa première édition en 1998, mettant en exergue l’importance stratégique de la région des steppes tunisiennes, non seulement comme zone de passage historique, mais aussi comme territoire vital ayant largement contribué à la formation des spécificités de la civilisation tunisienne et méditerranéenne. Il a ainsi relevé que le patrimoine ne constitue pas seulement un élément de la mémoire collective, mais représente un levier de développement à valoriser face aux enjeux contemporains tels que les changements climatiques, l’identité et le déséquilibres en matière de développement.

Les travaux de cette rencontre scientifique se poursuivront les 9 et 10 mai, à travers une série de communications et de débats académiques, en vue de contribuer à une meilleure compréhension de l’histoire des steppes et à l’élaboration d’approches scientifiques novatrices en rapport avec le patrimoine et le développement.

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Tunisie | Accès gratuit aux sites, monuments et musées ce 1er Mai

Von: Yusra NY
30. April 2025 um 23:07

L’Agence de mise en valeur du patrimoine et de promotion culturelle (AMVPPC) rappelle que ce jeudi 1 mai 2025, l’accès aux sites, monuments et musées ouverts sera gratuit.

La même source ajoute que tous les Tunisiens ainsi que les personnes étrangères résidentes en Tunisie sur présentation de la carte d’identité nationale ou de la carte de séjour bénéficient de la gratuité d’entrée le premier dimanche de chaque mois, le 18 avril (Journée internationale des sites et monuments), le 18 mai (Journée internationale des musées) ainsi que les jours fériés.

Profitez de cette occasion pour découvrir la richesse patrimoniale de la Tunisie et visitez les musées, sites et monuments, lit-on dans le communiqué de l’Agence, qui a mis en place un lien dédié, présentant la liste des musées, des sites archéologiques et des monuments historiques ouverts, l’AMVPPC a mis en place un site spécifique.

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IFT | Conférence exceptionnelle sur l’histoire de Carthage

Von: Yusra NY
29. April 2025 um 22:19

Une conférence captivante intitulée « Le territoire de Carthage : de la constitution au démantèlement » se tiendra ce mercredi 30 avril 2025 à 16h30 à l’Institut français de Tunis.

Cet évènement pour les passionnés d’histoire antique et d’archéologie réunira trois figures éminentes qui promettent un éclairage pointu et passionnant sur l’évolution territoriale de la puissante cité punique :

  • Samir Aounallah, directeur des recherches archéologiques et historiques à l’Institut national du Patrimoine,
  • Alberto Dalla Rosa, Professeur d’histoire romaine à l’Université Bordeaux Montaigne & membre de l’Institut Ausonius
  • Frédéric Hurlet, Professeur d’histoire romaine à l’Université Paris Nanterre

L’événement est ouvert à tous et l’entrée est gratuite, dans la limite des places disponibles précise l’IFT en invitant à participer à cette opportunité enrichissante de plonger au cœur de l’histoire de Carthage et de comprendre les dynamiques qui ont marqué son territoire.

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Culture: la musique pour célébrer le patrimoine commun tuniso-turc

Le célèbre musicien turc de qanoun, Aytaç Doğan, a fait chanter son instrument pour célébrer le patrimoine commun et les liens historiques tuniso-turcs. 

Par le biais de qanoun et de ses mélodies captivantes et prodigieuses, l’ambassade de Türkiye en Tunisie en collaboration avec le Centre culturel turc de Tunis, Yunus Emre, ont célébré le 3 novembre, le patrimoine commun tuniso-turc.

Le concert assuré par le maître turc Aytaç Doğan accompagné de quatre de ses compatriotes musiciens, Şafak Cansu (violon), Sezgin Uçarlar (percussion), Ergün Şenlendirici (clarinette) et Kema Büyük (guitare basse) a fait vibrer près de deux heures le public présent.

Sous le charme des expressions musicales de son instrument et de ceux de sa troupe, il a su créer une sorte de pont invisible mais fort et solide entre les deux peuples tunisien et turc et a établi une nouvelle langue universelle capable de briser les barrières linguistiques entre Tunisiens et Turcs.

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Richesse musicale partagée

Au Théâtre des régions à la Cité de la Culture à Tunis, les cultures tunisienne et turque ont été mises à l’honneur à travers des musiciens tunisiens et turcs.

Outre donc le Quartet Aytaç Doğan, le professeur percussionniste tunisien Hatem Hamila, l’artiste de Oud, Nada Mahmoud et la chanteuse Rana Zarrouk ont pris part au spectacle offrant ainsi un moment d’harmonie et de rapprochement entre les deux peuples et un voyage interculturel inédit.

Avec leurs instruments et la voix majestueuse de la chanteuse tunisienne, les musiciens chapeauté par l’artiste Aytaç Doğan, ont démontré la richesse musicale turque et ont rendu hommage à cette richesse partagée.

Liens historiques entre la Tunisie et la Türkiye

Leurs mélodies émouvantes qui balançaient entre musique tunisienne, arabe et turque ont tissé une symphonie sublime pleine de douceur, de raffinement et de poésie.

Le public du Théâtre des régions qui a été emporté par ce mélange musical joyeux et féérique rappelant les liens historiques entre la Türkiye et la Tunisie, a chanté pour Feyrouz sur la musique virtuose des brillants artistes.

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Héritage commun

L’ambassadeur de Türkiye à Tunis, Ahmet Misbah Demircan, présent au spectacle pour célébrer avec le public cet événement inédit, a déclaré : « la musique rapproche les cœurs, les peuples et les émotions », en rappelant que : « la culture turque est étroitement liée à celle de la Tunisie. Nous partageons de nombreuses traditions. D’ailleurs, nous utilisons plusieurs mots communs malgré les différences entre les deux langues ».

Le musicien Aytaç Doğan a exprimé, de son côté, sa joie de rencontrer de nouveau le public tunisien et d’avoir partagé entre lui et des artistes tunisiens des moments précieux et inoubliables.


Lire dans nos archives : 

Les Tunisiens découvrent les richesses de la culture turque

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L’Institut national du patrimoine signe un accord-cadre avec le Colisée de Rome

Un accord-cadre a été signé entre l’Institut national du patrimoine (INP) et le Parc archéologique du Colisée de Rome visant à organiser, à Rome et en Tunisie, des expositions temporaires, autour de la capitale des rois numides.

L’Institut national du patrimoine a récemment signé avec le Parc archéologique du Colisée de Rome un accord-cadre. Celui-ci vient compléter un protocole d’accord d’un jumelage entre le Colisée de Rome et l’amphithéâtre d’El Jem, formulé le 27 avril 2024.

Cette nouvelle convention vise, notamment, à mener conjointement des interventions de restauration sur des objets archéologiques à Zama Regia (gouvernorat de Siliana), et à organiser, à Rome et en Tunisie, des expositions temporaires, autour de la capitale des rois numides.

Projets collaboratifs

 Cet accord devrait aussi donner lieu à d’autres projets collaboratifs dans les domaines de la recherche archéologique, de la sauvegarde et de la mise en valeur. À la suite de la signature de l’accord-cadre, un plan de mise en œuvre conjoint sera également établi et précisera les activités, les principes et les procédures à suivre par les deux partenaires.

Il s’agit de souligner, par ailleurs, que l’accord-cadre a été paraphé par Tarek Baccouche, directeur général de l’Institut national du patrimoine et Alfonsina Russo, directrice du Parc archéologique du Colisée de Rome en présence de l’ambassadeur d’Italie en Tunisie, Alessandro Prunas, de Anna Veronica Gianasso, Cheffe de la chancellerie consulaire, de Angelica Pujia et Roberta Alteri et Stefano Lanna, membres de la délégation accompagnant la directrice du Parc archéologique du Colisée de Rome, de Mounir Fantar, chargé de la Direction de la programmation, de la coopération, de la publication et de la formation ainsi que de Sondes Douggui-Roux, responsable scientifique du site de Zama.

Il est à rappeler également que le protocole d’accord signé au mois d’avril stipule notamment la valorisation du Colisée d’El Jem, et du Parc archéologique du Colisée à travers la promotion de ces deux sites archéologiques romains.

L’accord porte également sur l’organisation de fouilles, de recherches et de travaux de restauration pour une meilleure connaissance et une mise en valeur des sites. Il inclut aussi des activités de recherches conjointes impliquant l’échange de personnel, l’organisation des ateliers et des réunions de chercheurs et de conservateurs spécialisés et la conservation et la restauration des monuments d’El Jem.

 

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