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Cyberviolence et addiction numérique : le cauchemar des jeunes

25. November 2025 um 14:45

En 2025, les enfants et adolescents européens sont plus connectés que jamais, affichant un temps d’écran quotidien en forte hausse. Les jeunes de 13 à 18 ans passent en moyenne autour de 7 heures et 22 minutes par jour devant leurs écrans, bien au-delà des recommandations sanitaires. C’est ce qu’a révélé Armelle Schaad – psychologue et ergonome cognitive (ULB), membre de Théracommuni ASBL -, lors de la conférence débat « Les lois et la justice face à la cyberviolence » organisée par le Comité de Vigilance pour la Démocratie en Tunisie, ONG belgo-tunisienne dotée du statut consultatif spécial auprès de l’ECOSOC (ONU), en collaboration avec l’Association des Démocrates Tunisiens du Benelux. 

Comment expliquer ce fléau qui ne cesse de s’étendre ? Dans une déclaration exclusive à leconomistemaghrebin.com, Armelle Schaad souligne que cette exposition accrue commence dès le plus jeune âge. Les chiffres précis sur le temps d’écran des adolescents montrent une moyenne de 7 heures 22 minutes par jour chez les 13-18 ans, avec une tendance à l’augmentation et un impact majeur sur le sommeil et la santé mentale. Et même des possibilités accrues de cyberviolence.

Aujourd’hui, il est d’autant plus important de comprendre les mécanismes cognitifs. Dans ce cadre d’études universitaires, Armelle Schaad a beaucoup étudié l’influence du sommeil, du manque de sommeil. Elle s’est aussi intéressée aux zones du cerveau activées lors des différentes phases d’évolution des jeunes et des adultes, ainsi que les phénomènes de pression sociale et de santé mentale.

Elle précise dans ce contexte : « La cyberviolence, particulièrement le cyberharcèlement, touche de plus en plus de jeunes adolescents, souvent entre 13 et 18 ans, et perturbe gravement leur santé mentale et leur sommeil. »

 

 

D’ailleurs, elle estime que ce phénomène social entraîne une montée constante du temps passé sur les écrans, au détriment du repos nocturne. Lequel est essentiel au bon fonctionnement cognitif, émotionnel et relationnel des jeunes. La gestion de ce temps d’écran et la prévention des effets délétères sur la santé mentale sont des enjeux cruciaux à redresser, notamment pour limiter agressivité, dépression et risques extrêmes tels que le suicide.

Sur la question du temps d’écran chez les adolescents, elle rappelle qu’il est difficile de donner une moyenne précise tant les études varient. Cependant, on observe une augmentation constante du temps passé sur les téléphones, avec une diminution de l’âge d’exposition.

Elle ajoute que les recommandations officielles limitent ce temps de 30 minutes à une heure par jour en primaire. Mais les jeunes atteignent souvent deux à trois heures, voire plus. En secondaire, deux heures maximum sont conseillées. Pourtant, certains adolescents peuvent atteindre 14 à 15 heures durant les week-ends. Ce qui nuit fortement à leur sommeil.

Et de poursuivre : « Cette consommation nocturne perturbe profondément les cycles de sommeil, car les jeunes scrollent souvent la nuit. Ce qui entraîne épuisement, troubles cognitifs, agressivité accrue et dépression. Les stratégies d’intervention doivent viser à restaurer un rythme de sommeil normal, réduire le temps d’écran nocturne, et renforcer l’autonomie affective et la résilience mentale des jeunes. »

En somme, Armelle Schaad préconise d’encourager les activités physiques et extra-scolaires pour compenser la dépendance à la dopamine liée aux écrans. »

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Tozeur : un nouveau programme scolaire pour renforcer la santé mentale des élèves

19. November 2025 um 19:15
Tozeur : un nouveau programme scolaire pour renforcer la santé mentale des élèves

La délégation régionale de l’Éducation de Tozeur, en collaboration avec la direction régionale de la Santé, a tenu mardi une réunion consacrée à la mise en place d’un programme scolaire régional de prévention axé sur la santé mentale des élèves et la lutte contre les comportements addictifs. Cette initiative, élaborée avec la participation de psychologues […]

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SANTE : Impact du déficit en vitamines sur la santé mentale

Von: hechmi
19. November 2025 um 12:12

SANTE PsychologieLa nutritionniste Nésrine Chouk y a rappelé l’existence d’un lien direct entre l’apport en vitamines, la stabilité émotionnelle et l’équilibre psychologique, lors d’une émission sur ExpressFM. Elle a décrit les effets possibles d’un déficit en vitamines et les moyens d’agir en prévention.

Un lien nutrition–psychologie à mieux comprendre

Nésrine Chouk souligne que l’organisme a besoin d’un apport vitaminique suffisant pour maintenir ses fonctions physiologiques. Un manque peut fragiliser la santé mentale. Elle rappelle que cette relation ne relève pas d’une approche alternative de la santé, mais d’un constat observé dans la pratique clinique : le corps et l’esprit réagissent à la qualité de l’alimentation.

Fatigue, baisse de moral et difficultés de concentration

Selon l’intervention, un déficit vitaminique peut entraîner différents troubles. La fatigue apparaît souvent comme l’un des premiers signaux. Le moral peut fluctuer et la capacité de concentration peut diminuer. La vulnérabilité au stress peut aussi augmenter.

Ces manifestations varient d’une personne à l’autre, mais elles s’inscrivent dans une même dynamique : lorsque l’organisme manque de nutriments essentiels, l’équilibre psychologique peut se fragiliser. Chouk insiste sur la nécessité d’observer l’apparition de ces signes et d’en discuter avec un professionnel si les symptômes persistent.

L’alimentation comme outil de prévention

La nutritionniste rappelle que la prévention constitue un levier central. Une alimentation équilibrée et diversifiée aide le corps à fonctionner de manière optimale. Elle indique que le maintien d’un apport vitaminique adapté contribue à soutenir le bien-être émotionnel. Cette approche ne vise pas à remplacer d’autres dimensions du suivi psychologique, mais à les compléter.

Un message sociétal plus large

L’intervention met en avant une idée transversale : la santé mentale ne dépend pas uniquement de facteurs psychologiques ou sociaux. La qualité de l’alimentation joue aussi un rôle. Cette perspective ouvre la voie à une réflexion plus globale sur les politiques de santé. Elle invite à mieux intégrer la nutrition dans les stratégies de prévention, de sensibilisation et de prise en charge.

Des enjeux de communication multiples

La capsule rappelle la nécessité de vulgariser le rôle des vitamines dans l’équilibre psychologique pour un large public. Les institutions de santé peuvent aussi s’appuyer sur ce type de message pour inclure la dimension nutritionnelle dans leurs programmes.

En bref

  • Le déficit en vitamines peut fragiliser l’équilibre psychologique.
  • Fatigue, baisse de moral, troubles de concentration et stress figurent parmi les manifestations possibles.
  • Une alimentation équilibrée soutient le bien-être émotionnel.
  • La nutritionniste Nésrine Chouk rappelle que l’alimentation influe sur la santé mentale.
  • La spécialiste souligne l’importance d’intégrer la nutrition dans les actions de sensibilisation et de prévention.
  • Le message invite à considérer la nutrition comme une composante de l’approche globale de la santé mentale.

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