Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 13. August 2025Haupt-Feeds

Fête de la femme : le ministère de la Famille réaffirme son engagement en faveur des droits des Tunisiennes

13. August 2025 um 18:56

À l’occasion de la Journée nationale de la femme, célébrée chaque 13 août, le ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Personnes âgées a réitéré son engagement à promouvoir les droits des femmes et à consolider leurs acquis. Il a salué le rôle actif des Tunisiennes dans la société et leur contribution à l’ancrage des valeurs d’égalité et d’égalité des chances.

Dans un communiqué publié pour l’occasion, le ministère a souligné que cette journée permet de mettre en lumière les réalisations des femmes dans tous les domaines, et de réaffirmer la volonté de renforcer leur autonomisation et leur participation au développement national.

Le 13 août marque également l’anniversaire de la promulgation du Code du statut personnel en 1956, acte fondateur d’un cadre juridique novateur ayant aboli la polygamie, instauré l’égalité devant la loi et placé le divorce sous contrôle judiciaire. Ce code demeure une avancée majeure dans l’histoire des droits des femmes en Tunisie et dans le monde arabe.

L’article Fête de la femme : le ministère de la Famille réaffirme son engagement en faveur des droits des Tunisiennes est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

69ème anniversaire du CSP: L’hommage du CNRD aux femmes tunisiennes

13. August 2025 um 18:48

À l’occasion de la Journée nationale de la femme tunisienne, le Conseil national des régions et des districts (CNRD) a exprimé, mercredi 13 août 2025, son profond respect pour le rôle central joué par les femmes dans l’édification de l’État moderne. Le 69e anniversaire de la promulgation du Code du statut personnel (CSP) constitue, selon le Conseil, un jalon symbolique renouvelant l’engagement collectif à faire progresser les droits et les libertés, tout en consolidant les acquis.

Dans un communiqué publié pour marquer cette date, le CNRD souligne l’importance historique du CSP, considéré comme une avancée législative majeure qui a posé les bases de l’égalité entre les sexes. En instaurant un cadre juridique garantissant les droits et la dignité des femmes, ce code a positionné la Tunisie comme un précurseur dans la région en matière de promotion de la condition féminine.

Le Conseil salue par ailleurs la contribution active des femmes tunisiennes dans les différents domaines de la vie nationale : depuis leur engagement dans les luttes pour l’indépendance, jusqu’à leur rôle fondamental dans le développement de la démocratie, ainsi que leur participation significative à la vie politique, économique, sociale et culturelle du pays.

Rendant hommage à toutes les femmes tunisiennes, qu’elles soient ouvrières, agricultrices, chercheuses, artistes ou entrepreneures, le CNRD a salué leur patriotisme, leur courage et leur persévérance dans la défense des valeurs républicaines et la sauvegarde de la souveraineté nationale.

Tout en reconnaissant les avancées accomplies, le Conseil a rappelé que la quête de l’égalité réelle demeure inachevée. Il a ainsi appelé à une mobilisation collective pour éradiquer toutes les formes de discrimination, de violence et d’exploitation, en particulier à l’égard des femmes les plus vulnérables, notamment les travailleuses agricoles, les femmes sans soutien et les chômeuses. Il a réaffirmé l’importance de garantir la dignité et l’égalité intégrale pour toutes.

L’article 69ème anniversaire du CSP: L’hommage du CNRD aux femmes tunisiennes est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Ces Tunisiennes sans voix – Un quotidien loin de tout repos

13. August 2025 um 14:00

Elles sont ouvrières agricoles ou femmes de ménage. Elles gagnent peu, mais continuent à entretenir leur famille. Au four et au moulin, pour ainsi dire. Le travail, mais aussi les tâches ménagères et l’éducation des enfants font partie intégrante de leur quotidien. Autant dire que lorsque vient le soir, elles rompent un lourd agenda bien minuté et dorment d’un sommeil profond. Sauf, si les soucis du jour continuent à les habituer une partie de la nuit. Une pensée pour elles en cette fête de la femme. Comme un hommage appuyé.

Appelons-là Fatma. Elle a cinquante ans et de longues années de souffrances et de déceptions. Vivant dans une région centrale de la Tunisie, elle est ouvrière agricole. Elle est mariée et mère de trois enfants. Elle se réveille tôt et part travailler dans les champs des alentours, gagnant, bon an mal an, pas plus de 25 dinars ou 30 par jour.

Son mari a un handicap. Il est au chômage et travaille quelques jours par mois. Seul un de ses enfants, Mounir, mécanicien sur des engins agricoles, possède un emploi dans une ferme située à côté de leur foyer, avec un salaire qui ne dépasse pas 650 dinars par mois. Fatma et Mounir font vivre, avec ce qu’ils gagnent toute la famille ; soit cinq personnes.

Et à l’heure où l’on commémore le 69ème anniversaire de la promulgation du Code du Statut Personnel (CSP), il est bon de se rappeler l’existence de ces sans voix. Qui font partie de ces femmes lève-tôt qui souffrent le martyr. Parce que non seulement démunies, mais parce qu’elles continuent à marcher bravant les vicissitudes de la vie. Une femme qu’on a mariée souvent jeune et sans qu’elle ait vraiment eu d’autres choix que d’épouser, qui un cousin, qui un voisin.

 

Son mari a un handicap. Il est au chômage et travaille quelques jours par mois. Seul un de ses enfants, Mounir, mécanicien sur des engins agricoles, possède un emploi dans une ferme située à côté de leur foyer et son salaire ne dépasse pas 650 dinars par mois. Fatma et Mounir font vivre, avec ce qu’ils gagnent toute la famille.

 

Evidemment, il ne faut pas tomber dans le catastrophisme. En oubliant que le vécu des femmes, y compris celles qui vivent dans nos campagnes, n’est plus ce qu’il était un certain 13 août 1956 lorsque le Zaïm Habib Bourguiba, alors Premier ministre du dernier des beys, Mohamed Lamine Bey, décide de siffler la fin de la récréation d’une vie faite d’asservissement de la femme.

« 55 morts et 796 blessées »

Evidemment aussi grâce à des initiatives courageuses des dernières années, l’Etat tunisien s’est porté au secours des ouvrières agricoles. Avec la promesse d’un Fonds de sécurité sociale pour les ouvrières agricoles ; « Une protection sociale qui repose sur un système intégré qui vise à promouvoir la culture de l’entrepreneuriat à travers des incitations financières et des mécanismes garantissant la protection sociale contre la maladie, les accidents de travail et des pensions de retraite ».

 

 

Ou encore, la promulgation d’une loi (la Loi n° 2019-51 du 11 juin 2019, portant création d’une catégorie de « transport de travailleurs agricoles »). Un service défini dans un de ses articles comme « un service de transport public non régulier de personnes réservé aux travailleurs agricoles titulaires, saisonniers ou provisoires ». Les ouvrières agricoles sont sujettes à des accidents en raison de mauvaises conditions de transport. Des chiffres font état qu’entre 2015 et 2023, 55 femmes ont trouvé la mort et 796 ont été blessées ».

Mais, comme tout le monde le sait, nombre de vécus difficiles persistent. « Les ouvrières agricoles rencontrent des conditions de travail souvent précaires, marquées par l’exploitation et la marginalisation. Elles sont majoritairement des femmes, travaillant sans contrat, sans protection sociale, et souvent exposées à des produits chimiques dangereux sans équipement de protection », peut-on lire dans certains descriptifs les concernant.

Soumises aux mêmes obligations familiales

Beaucoup de femmes continuent, cela dit, à être au four et au moulin dans une Tunisie rurale marquée par la persistance d’une certaine mentalité. C’est que les tâches ménagères et l’éducation des enfants continuent pour l’essentiel le lot quotidien des ouvrières agricoles. Dont les estimations font apparaître leur importance dans la population : elles seraient au nombre de « 500 000 » et « représenteraient plus de 80 % de la main-d’œuvre dans le secteur agricole ». Autant dire que lorsque vient le soir, elles rompent un lourd agenda bien minuté et dorment d’un sommeil profond. Sauf, si les soucis du jour continuent à les habituer une partie de la nuit.

 

Il ne faut pas tomber dans le catastrophisme. En oubliant que le vécu des femmes y compris celles qui vivent dans nos campagnes n’est plus ce qu’il était un certain 13 août 1956 lorsque le Zaïm Habib Bourguiba alors Premier ministre du dernier des beys, Mohamed Lamine Bey, décide de siffler la fin de la récréation d’une vie faite d’asservissement de la femme.

Loin de nos campagnes, d’autres sans voix existent. Chacun peut les voir au quotidien dans nos administrations, entreprises et même dans certains foyers. Elles assurent, le plus souvent, des travaux de ménage. Et sont souvent, côté précarité, dans la même situation que les ouvrières agricoles. Et évidemment elles sont soumises quasiment aux mêmes obligations familiales.

Leur quotidien est réglé d’avance. Il est fait souvent d’une course matinale derrière des transports défaillants et quelque peu irréguliers. Il leur faudra prendre une voiture de louage et deux bus pour arriver à leur lieu de travail. Un transport sans le moindre confort : quelquefois une banquette leur sert de siège. Et au bout, une journée de travail au cours de laquelle elle se nourrit d’une bouteille de petit-lait et d’un peu de pain. Beaucoup transportent le matin dans une sacoche un menu repas fait d’un plat de couscous ou de pâte de la veille qu’elle réchauffe dans un four micro-onde sur son lieu de travail.

Heureusement pour beaucoup – ou certaines – d’entre elles, la loi sur la précarité de l’emploi – la loi n°16 de l’année 2025 relative à « l’organisation des contrats de travail et à l’interdiction de la sous-traitance », décidée en mai dernier par le premier magistrat du pays – est passée par là. Leur assurant une dignité et une meilleure sécurité quant à leur avenir et celui de leur famille. Soit la fin d’un calvaire.

L’article Ces Tunisiennes sans voix – Un quotidien loin de tout repos est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Code du Statut Personnel – Les principaux acteurs de cette réforme révolutionnaire

13. August 2025 um 11:30

Soixante-neuf ans après la promulgation du Code du Statut Personnel (CSP), il ne peut être qu’utile de rappeler les hommes qui ont permis de réformer le statut de la femme dans la société tunisienne. Le président Bourguiba, qui n’était alors que le Grand vizir du dernier bey, évidemment. Mais pas seulement.

Souvent pour illustrer un article relatif au Code du Statut Personnel (CSP), la presse recourt quasiment toujours à la même photographie que nous reproduisons ici. On y voit six personnalités dont quatre ont joué un rôle central dans la promulgation de ce texte qui est le décret du 13 août 1956. Le premier président de la République, Habib Bourguiba, qui était à cette époque le Grand vizir (assis au centre), le ministre de la Justice, Ahmed Mestiri (à sa droite), le théologien Mohamed Taher Ben Achour (à sa gauche). Et derrière lui, en djellaba blanche, debout au centre, un autre théologien, en l’occurrence Mohamed Abdelaziz Djaït.

Au centre de la photographie, donc, Habib Bourguiba a été le principal artisan de ce décret. Et ce qui est bien significatif, en la matière, c’est la date de la promulgation du CSP : le 13 août 1956. Soit juste cinq mois après l’indépendance et bien avant que le président Bourguiba ne prenne toutes les rênes du pouvoir en main avec la proclamation de la République, onze mois plus tard, en juillet 1957. Ou encore que ne soit promulguée la Constitution de 1959.

Lire aussi: Réforme du CSP en Tunisie : attention danger… pour les femmes !

Ce qui en dit long sur un certain empressement du Zaïm à décider d’un ensemble de mesures qui lui ont semblé être prioritaires dans le bâtit d’une Tunisie indépendante. D’où cette phrase d’un autre acteur du CSP, Ahmed Mestiri, qui a déclaré, dans un témoignage publié dans les colonnes de notre confrère Le Magreb, du 24 août 2012 : « Sans Bourguiba, point de CSP ». Il va sans dire que de par son observation du vécu de la société française pendant ses études à Paris, l’influence exercée sur lui à la fois par les idéaux de la philosophie de la Société des Lumières – connue également sous le nom de « Siècle des Lumières » – et des penseurs libéraux tunisiens, comme Tahar Haddad, et de par le vécu des femmes tunisiennes de l’époque, à commencer par celui de sa propre mère, ont poussé Bourguiba à engager une réforme sociale à l’endroit de la femme.

Implication de l’autorité religieuse

Ahmed Mestiri a été le principal coordinateur du CSP. Il a notamment chapeauté la quinzaine de juristes, pour l’essentiel arabophones, chargés de rédiger le CSP. Militant de la première heure, il est un libéral opposé à toute forme d’asservissement. Et un homme engagé – il l’a montré en s’opposant, plus tard, à ce qu’il a considéré être les dérives du Zaïm Bourguiba, en matière de démocratie et de droits de l’Homme.

 

Son observation du vécu de la société française pendant ses études à Paris, l’influence exercée sur lui à la fois par les idéaux de la philosophie de la Société des Lumières et des penseurs libéraux tunisiens, comme Tahar Haddad, et de par le vécu des femmes tunisiennes de l’époque, à commencer par celui de sa propre mère, ont poussé Bourguiba à engager une réforme sociale à l’endroit de la femme.

 

La présence de Mohamed Taher Ben Achour sur la photographie symbolise l’implication de l’autorité religieuse dans l’élaboration du texte du CSP. Théologien de renom, ayant enseigné à l’Université de la Zitouna, dont il deviendra le recteur, et auteur de nombreux ouvrages, Mohamed Taher Ben Achour, a donné beaucoup de crédit aux réformes introduites dans le Code. Il a notamment rejoint le groupe chargé de la rédaction de ce dernier pour « aplanir les différends » apparus entre les membres. Avec, dit-on, pour point d’achoppement la question de l’interdiction de la polygamie.

Autre théologien qui a été au centre de l’opération de l’élaboration du CSP : Mohamed Abdelaziz Djaït. Son statut de Cheikh El Islam malékite d’alors avait aussi offert un crédit certain aux réformes annoncées. D’ailleurs, le projet de La Majlalh, dont il est le principal auteur, « préfigure, assure-t-on, le Code du Statut Personnel ».

Noura Borsali, universitaire et écrivaine tunisienne de renom, a narré, dans un article publié dans les colonnes du quotidien La Presse du 13 août 2013, sous le titre « Et le Code du Statut Personnel fut promulgué », la genèse des réformes annoncées par le président Habib Bourguiba.

« Ni dans le fond ni dans la forme »

On y lit notamment, « et le 16 juillet 1949, un décret beylical institua une commission en vue de l’élaboration d’un code charaïque de la famille. Ajoutant qu’il ne s’agissait « guère d’une œuvre adaptée aux circonstances ni dans le fond ni dans la forme », mais était « un remarquable travail d’érudition, propre à intéresser des juristes spécialisés ou des historiens ».

Force est de constater, et malgré les quelques critiques auxquelles a donné lieu le CSP, les réformes introduites ont été acceptées par l’ensemble de la population. Les historiens notent à ce propos que « la polygamie était marginale » dans la société. Ainsi, et aussi loin qu’ils s’en souviennent, les Tunisiens se rendent vite compte que bien rares sont les ascendants à avoir épousé plus d’une femme.

 

Force est du reste de constater, et malgré les quelques critiques auxquelles a donné lieu le CSP, les réformes introduites ont été acceptées par l’ensemble de la population. Les historiens, notent, à ce propos, que la polygamie était marginale » dans la société. Ainsi, et aussi loin qu’ils s’en souviennent, les Tunisiens se rendent vite compte que bien rares sont les ascendants à avoir épousé plus d’une femme.

 

La Tunisie se distinguait dans le monde musulman par l’existence du « contrat de mariage kairouanais ». Connu sous le nom de « Sadaq al-Kairouani », c’est un contrat de mariage traditionnel de Kairouan, en Tunisie qui « se distingue par certaines clauses spécifiques, notamment celle où le mari s’engage à respecter l’obéissance de sa femme, avec l’interdiction pour le mari de se remarier ou d’avoir des concubines ».

L’article Code du Statut Personnel – Les principaux acteurs de cette réforme révolutionnaire est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Droits des femmes et libertés en péril en Tunisie : l’appel de la société civile et des partis politiques

13. August 2025 um 09:52

À l’occasion du 69e anniversaire du Code du Statut Personnel (CSP), l’Association tunisienne des femmes démocrates (ATFD), en collaboration avec le Front pour l’égalité et les droits des femmes, lance un appel solennel pour défendre les libertés et les droits des femmes en Tunisie, dans un contexte marqué par des atteintes croissantes aux libertés publiques, une montée des violences sexistes et une crise socio-économique profonde.

Depuis le 25 juillet 2021, lit-on dans le communiqué, le pays connaît un recul alarmant en matière de droits humains et de libertés fondamentales. L’ATFD alerte sur l’aggravation des discriminations et l’explosion des violences de genre, notamment à travers l’emprisonnement de femmes militantes pour leurs opinions, ainsi que la persistance des inégalités salariales et d’un chômage féminin structurellement élevé.

Un appel pour la libération des prisonnières d’opinion

Le communiqué, signé par de nombreuses associations, partis politiques et militants engagés, appelle à la libération immédiate des femmes détenues pour leurs idées ou leur engagement civique. Il exige également l’arrêt des poursuites arbitraires et la levée des restrictions imposées aux libertés individuelles et collectives, en conformité avec les lois nationales et les engagements internationaux de la Tunisie.

Les signataires dénoncent les campagnes de désinformation et les discours populistes qui entretiennent une violence symbolique à l’encontre des femmes. Ils réclament des politiques publiques efficaces, capables de garantir une véritable souveraineté populaire sur les ressources du pays et de lutter contre la pauvreté, le chômage, la précarité, la violence et les féminicides.

Appel à l’unité…

Le communiqué insiste sur la nécessité d’une mobilisation collective, au-delà des divisions actuelles, pour défendre un modèle sociétal fondé sur l’égalité, la dignité, la liberté et la justice sociale. Il appelle à tirer les leçons des dix années de transition démocratique, sans renier les acquis de la révolution, pour bâtir une Tunisie civile, libre, égalitaire et démocratique.

Les signataires du document réaffirment leur plein soutien à l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), aujourd’hui ciblée par des attaques répétées mettant en péril les acquis syndicaux, le droit de grève et la protection des droits des travailleurs et travailleuses.

Enfin, le Front pour l’égalité et les droits des femmes appelle à renforcer la mobilisation pour défendre les droits politiques, civils, économiques et sociaux des femmes et des citoyens tunisiens, en affirmant que ces droits sont non négociables, sans compromis ni recul.

L’article Droits des femmes et libertés en péril en Tunisie : l’appel de la société civile et des partis politiques est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

❌
❌