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Heute — 28. November 2024Haupt-Feeds

Terrorisme : Adel Ghandri condamné à des peines de prison cumulables

28. November 2024 um 13:57

La Chambre criminelle du Tribunal de première instance de Tunis, spécialisée dans les affaires terroristes, a condamné Adel Ghandri à une peine de douze ans de prison pour « appartenance à un groupe terroriste ».

Il a été reconnu coupable d’être impliqué dans l’organisation d’un trafic d’armes en provenance de Libye. Le terroriste a, en outre, agressé le président du tribunal militaire permanent de Tunis, un crime qui lui a valu une peine de prison à perpétuité.

Il a également été condamné à vingt ans de prison pour avoir fourni des armes à une organisation terroriste.

Adel Ghandri a, de surcroit, été impliqué dans l’attaque terroriste contre Ben Guerdane qui a eu lieu le 7 mars 2016.

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Gestern — 27. November 2024Haupt-Feeds

Les enseignants contractuels sollicitent l’intervention du président Kaïs Saïed

27. November 2024 um 17:04

Lors de son intervention dans Midi Show, mercredi 27 novembre 2024, le coordinateur national des enseignants contractuels, Malek Ayari, a déclaré que le problème des enseignants contractuels dure depuis 17 ans, sans qu’aucune solution durable n’ait encore été apportée.

Malek Ayari a affirmé que bien que le président de la République, Kaïs Saïed, soit en faveur de la fin de l’emploi précaire et de l’élimination de l’intérim, le ministère de l’Éducation a établi un contrat pour les enseignants contractuels. Pour lui, cela s’apparente à un contrat de sous-traitance.

Il a appelé Kaïs Saïed à appliquer ses instructions afin de mettre fin à l’emploi précaire et à garantir un cadre légal pour les enseignants.

Malek Ayari a, en outre, souligné que le contrat en question est un contrat de devoirs sans droits. Pour lui, les contrats de travail sont temporaires ; autrement dit, des contrats d’intérim.

 

 

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Algérie : Boualem Sansal placé sous mandat de dépôt

27. November 2024 um 11:36

Selon l’AFP, l’avocat de Boualem Sansal, François Zimeray, a déclaré que son client a été entendu, le mardi 26 novembre, par le parquet antiterroriste d’Alger et placé en détention.

Il a précisé que l’écrivain franco-algérien s’était rendu à Alger en toute confiance. Cependant, il a été placé en détention en vertu de l’article 87 bis du code pénal algérien, qui réprime toute atteinte à la sûreté de l’État.

« La privation de liberté d’un écrivain de 80 ans en raison de ses écrits est un acte grave », a-t-il déclaré. « Quelles que soient les blessures invoquées et les sensibilités heurtées, elles sont indissociables de l’idée même de liberté, chèrement conquise en Algérie. Il y a là une disproportion manifeste dont les auteurs n’ont vraisemblablement pas mesuré la portée », a-t-il ajouté.

« S’il doit y avoir enquête, celle-ci ne justifie nullement que la détention de Boualem Sansal soit prolongée », a affirmé Me François Zimeray. Boualem Sansal, qui a systématiquement critiqué les dirigeants algériens, a été arrêté à la mi-novembre alors qu’il revenait en Algérie depuis la France. Son arrestation a eu lieu le 16 novembre.

Cependant, l’agence gouvernementale algérienne APS a évoqué, le vendredi 22 novembre, l’arrestation de l’auteur de 2084 : La fin du monde à l’aéroport d’Alger, sans donner d’informations sur la date ni les raisons. La ministre déléguée chargée des Français de l’étranger, Sophie Prima, a été interrogée à l’Assemblée nationale le mardi 26 novembre, sur la possibilité de sanctionner des dirigeants algériens dans cette affaire. Sa réponse a été un appel à faire preuve de discrétion.

Commentant cette affaire, le président français Emmanuel Macron s’est dit « très préoccupé  » par la disparition de l’écrivain.

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Le président de l’l’Union Populaire Républicaine (UPR), Lotfi Mraihi, condamné à six mois de prison ferme

27. November 2024 um 11:31

Le président de l’Union Populaire Républicaine (UPR), Lotfi Mraihi, a été condamné à six mois de prison ferme par la 14ème Chambre correctionnelle près la Cour d’appel de Tunis. Et ce, pour « usage des moyens de télécommunication en vue de diffuser de fausses informations ». Cette condamnation fait suite à des vidéos qu’il a publiées sur son compte Facebook.

La Chambre correctionnelle du Tribunal de première instance de Tunis l’avait, en outre, condamné à six mois de prison avec sursis. Toutefois, le Parquet a fait appel de cette décision.

Il convient de rappeler que Lotfi Mraihi avait été arrêté à Nabeul et condamné à huit mois de prison ferme, ainsi qu’à une interdiction à vie de se présenter à des élections, pour avoir distribué des cadeaux en espèces aux électeurs. La peine a été allégée à six mois.

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40 000 ingénieurs ont quitté la Tunisie durant ces cinq dernières années

25. November 2024 um 11:41

Le député Fakhreddine Fadhloun est intervenu sur les ondes de Diwan FM pour commenter un sujet d’actualité brûlant : l’initiative parlementaire visant à lutter contre la fuite des cerveaux, une migration des compétences.

Selon Fakhreddine Fadhloun, cette initiative repose sur plusieurs raisons, notamment le coût élevé pour l’État de la formation des médecins, des ingénieurs et des professeurs universitaires. Le président de la commission parlementaire de l’éducation, de la formation, de la recherche scientifique, de la jeunesse et du sport a précisé que 100 000 dinars sont dépensés chaque année pour la formation universitaire des professionnels dans ces domaines. Peut-on passer outre cette fuite des cerveaux avance Fadhloun.

Fakhreddine Fadhloun a souligné qu’il comprend que les enseignants universitaires, les médecins et les ingénieurs cherchent à améliorer leurs conditions de vie. Cependant, il estime que l’État ne peut pas continuer à financer la formation de compétences qui finissent par migrer.

Le député a profité de cette intervention pour mentionner que 4 000 médecins ont quitté la Tunisie au cours des trois dernières années, contre 40 000 ingénieurs en cinq ans. Selon lui, cette vague migratoire aurait débuté en 2011.

La Tunisie a signé un accord pour la venue de médecins chinois l’année dernière. Ce qui, selon lui, ne semble pas logique, étant donné que 900 médecins sont diplômés chaque année en Tunisie.

Fakhreddine Fadhloun a ajouté que les ingénieurs et médecins tunisiens n’auront pas à rembourser l’État avant de partir. En revanche, les pays vers lesquels migrent ces compétences devront collaborer avec la Tunisie pour gérer cette situation.

Toujours selon la même source, la fuite des cerveaux concernent principalement ces pays européens : la France, l’Italie et l’Allemagne; ainsi que  certains du Golfe : l’Arabie saoudite et le Qatar.

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Lutte contre la violence : installation de caméras de surveillance autour des écoles

24. November 2024 um 11:17

 

Le colonel Imed Memacha, porte-parole de la police nationale, a annoncé des mesures concrètes pour renforcer la lutte contre la violence faite aux femmes et aux enfants. C’était lors d’une conférence de presse.

Pour ce faire, le ministère de l’Intérieur a investi dans de nouveaux équipements et véhicules afin de mener à bien cette mission, affirme M. Memacha.

Il a toutefois souligné l’importance d’une coordination interministérielle pour garantir l’efficacité des efforts déployés.

Il a également précisé que le ministère concentre ses actions sur la détection précoce de comportements violents ou suspects, avec une intervention rapide en cas de besoin.

Une des mesures annoncées consiste en l’installation de caméras de surveillance près des établissements scolaires, notamment aux principaux carrefours.

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Ouverture des 25èmes Journées Théâtrales de Carthage avec pour slogan « le théâtre de toutes les résistances… l’art de la vie »

24. November 2024 um 09:12

La 25ème édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC) a été ouverte, samedi 23 novembre, au cours d’une cérémonie officielle organisée, au Théâtre municipal de Tunis, précédée par une prestation au piano, devant le théâtre, sur l’avenue Bourguiba au cœur de la Capitale.

A l’issue de la cérémonie officielle, la Cité de la culture a abrité le spectacle d’ouverture, « Star Returning » de Lemi Ponifasio, présenté à la grande salle du Théâtre de l’opéra de Tunis.

La soirée inaugurale a été marquée par la présence de la ministre des Affaires Culturelles Amina Srarfi et d’un certain nombre de diplomates et d’invités dont des artistes arabes, africains et d’ailleurs.

Organisé sous l’égide du ministère des Affaires culturelles, le festival des JTC est un rendez-vous annuel d’envergure arabe et africaine, ouvert sur le théâtre dans le reste du monde.

L’actrice Saoussen Maalej était la maîtresse de la cérémonie d’ouverture démarrée par l’interprétation de l’hymne national tunisien.

Le metteur en scène Ghazi Zoghbani est le concepteur de la scénographie du spectacle inaugural, riche en couleurs et porteuse d’un message d’espoir et de paix dans le monde.

Le directeur des JTC, l’homme de théâtre Mohamed Mounir Argui, a déclaré ouverte cette édition 2024 tout en soulignant la ferme position du festival en faveur des causes justes. Il a notamment évoqué une édition spéciale pour ce rendez-vous théâtral arabe et africain ouvert sur le théâtre dans le monde entier.

Il a également exprimé sa solidarité avec les délégations étrangères qui n’ont pas pu participer au festival en raison de difficultés en lien avec le visa tout en rappelant la vocation des JTC qui offrent une occasion unique pour célébrer l’art et la culture.

Les questions humanitaires sont au cœur de cette édition ayant pour slogan « Le théâtre de toutes les résistances… l’art de la vie ». La guerre dans les Territoires palestiniens occupés et notamment dans la Bande gaza ainsi qu’au Liban sud sont au cœur de la programmation. Dans ce contexte, la soirée a été marquée par une prestation de l’artiste guitariste et compositeur palestinien Shadi Zaqtan.

Une chorégraphie a été interprétée par des enfants appartenant au cirque Paparouni en hommage aux « enfants du monde » notamment ceux vivant dans des conditions de guerre.

Certaines figures du théâtre et de la télévision en Tunisie étaient à l’honneur dont Amel Baccouche, Wajiha Jendoubi, Mokdad Salhi, Yahya Al Faydi, Fatma Bahri, et Mounir Ben Youssef.

Un hommage posthume a été également rendu à Abdelmajid Jemâa, Mourad Karrout, Saadi Zidani, Abdelhak Khamir, Abdel Aziz BelGaied Hassine, Mahjouba Ben Saad et Mohamed Mourali ainsi que l’artiste engagé Yasser Al-Jaradi, récemment décédé, pour lequel a chanté l’artiste Raoudha Abdallah.

La soirée s’est poursuivie avec le spectacle d’ouverture, « Star Returning » du metteur en scène Lemi Ponifasio. Cette œuvre profonde et visionnaire de l’artiste de théâtre polynésien Lemi Ponifasio, a été créée en collaboration avec le peuple Yi de la région de Daliangshan en Chine.

De longues files d’attentes étaient visibles depuis le hall central de la Cité de la culture jusqu’à l’entrée principale du Théâtre de l’Opéra de Tunis. Prévu à 20h, le spectacle a finalement commencé vers 21h devant un public assez nombreux. Après son avant-première chinoise le 8 novembre courant, dans la ville de Xichang (Province de Sichuan), ce spectacle a fait sa première mondiale aux JTC.

Organisé du 23 au 30 novembre 2024, à Tunis, le festival des JTC présente une sélection de 125 spectacles issus de 32 pays arabes, africains et d’ailleurs. 12 spectacles sont dans la compétition officielle, exclusivement destinée aux structures théâtrales professionnelles, arabes et africaines.

Le théâtre tunisien est dans la course aux Tanits à travers « Danse Céleste » de Taher Aissa Ben Arbi et « Toxic paradise » de Sadok Trabelsi.

Le jury de la compétition officielle, présidé par l’auteur, poète et critique tunisien Mohamed El Ouni, réunit le griot, dramaturge et comédien burkinabé Hassan Kassi Kouyaté, le dramaturge et académicien irakien Khazaal Al Mejidi, la comédienne et autrice palestinienne Raeda Taha, la comédienne syrienne Hala Omrane et un universitaire tunisien, Yacine Ouni, en tant que rapporteur.

Le festival présente des spectacles hors compétition avec notamment des expressions théâtrales de la diaspora et des spectacles issus de divers pays dans la section Théâtre du monde. La Tunisie présente divers spectacles pour adultes et pour enfants et autres dédiés au théâtre d’intégration sociale et au théâtre de la liberté.

Le théâtre syrien, la cause palestinienne et la guerre contre la Bande de Gaza et le Liban sont au cœur de la programmation des JTC 2024 pour une semaine riche en spectacles et autres rendez-vous autour du théâtre arabe et africain.

Avec TAP

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