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L’aquaculture tunisienne à la croisée des chemins

22. November 2024 um 12:10

La Tunisie, l’un des pays pionniers en matière d’aquaculture en Méditerranée, s’engage à développer davantage ce secteur et à assurer la durabilité des systèmes de production, notamment en mettant l’accent sur la recherche scientifique, les infrastructures et le renforcement des capacités des producteurs et des différents acteurs de ce secteur.

C’est ce qu’a déclaré le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh, à l’ouverture de la 3e Conférence sur l’aquaculture en Afrique (Afraq 24), qui s’est ouverte à Hammamet le mardi 19 novembre 2024 et sera clôturé aujourd’hui.

La Tunisie entend également encourager les investissements privés et promouvoir les relations régionales, internationales et académiques, afin d’accélérer la transition vers des systèmes de production plus durables et innovants, respectueux des écosystèmes aux différentes étapes de production.

Intervenant à la conférence, qui rassemble plus de 1 100 experts et représentants d’agences africaines et d’organisations internationales telles que la Banque mondiale et la FAO, le ministre a souligné que l’aquaculture est l’un des secteurs les plus dynamiques à l’échelle internationale et a enregistré une croissance considérable dans les pays africains ces dernières années, estimant qu’il s’agit d’une solution pour surmonter les défis de la sécurité alimentaire et de la pénurie d’eau sur le continent.

La coordinatrice de la conférence et professeur à l’Institut national des sciences et technologies de la mer (Instm), Nadia Cherif, a déclaré que la réunion est une opportunité importante pour nouer des partenariats et partager des expériences et des expertises dans le domaine de l’aquaculture. Elle a, par ailleurs, souligné qu’une exposition consacrée aux dernières techniques aquacoles se tient en marge de cette conférence, regroupant plus de 70 exposants internationaux.

Le chef du laboratoire d’aquaculture marine et continentale de l’Instm, Mohamed Salah Azaza, a indiqué pour sa part que la production aquacole en Tunisie varie entre 21 000 et 22 000 tonnes, soit 13% de la production piscicole totale du pays.

L’essentiel des produits aquacoles sont destinés à la consommation intérieure. Seulement 10 à 15 % de ces produits sont exportés vers les pays arabes et européens ainsi que vers le Canada, a-t-il ajouté. Le secteur, qui compte désormais une trentaine d’entreprises, est confronté à de nombreux défis comme les autres secteurs agricoles, notamment la hausse des coûts de production, a-t-il indiqué.

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Quels sont les enjeux de la pêche durable pour les pays méditerranéens ?

21. November 2024 um 10:01

PoissonsUne vingtaine de pays méditerranéen dont la Tunisie ont adopté 17 importantes décisions, dont une douzaine de recommandations contraignantes pour améliorer la durabilité des pêches et de l’aquaculture en Méditerranée et en Mer Adriatique.

Rapportées, par l’observatoire national de l’agriculture (ONAGRI), ces décisions ont été prises, au cours de la 47ème session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), qui s’est tenue à Rome (Italie) du 4 au 8 novembre 2025.

Parmi les décisions adoptées figure « le renforcement des mesures relatives à la gestion de nombreuses espèces prioritaires de la CGPM, notamment l’anguille d’Europe, le corail rouge, la dorade rose, le merlu européen, la langoustine, le sprat, le turbot, le rapina veiné, l’aiguillat commun et l’esturgeon ».

Concernant l’aquaculture, les participants ont salué le progrès accomplis « en faveur du développement durable de ce secteur et ont décidé « de créer un réseau chargé de surveiller les maladies aquatiques et de réduire autant que possible les risques induits par le commerce ».

Par ailleurs, la déclaration de la 47ème session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a mis en relief les progrès sur le plan de la conformité et de l’application des règles pour lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée. La Tunisie, qui compte 1300 kms de littoral, est particulièrement concernée.

A ce propose la réunion précitée a pris acte des avancées majeures qui ont été réalisées ces dernières années, faisant remarquer que la CGPM a joué un rôle déterminant dans les progrès réalisés par de nombreux pays dans la révision de leur législation nationale pour cibler spécifiquement la pêche illicite, non déclarée et non règlementée.

ABS

 

Tunisie : Dynamiser l’aquaculture par l’investissement et la coopération internationale

Von: hechmi
21. November 2024 um 09:11

La Tunisie, l’un des pays pionniers dans l’aquaculture en Méditerranée, œuvre à développer davantage ce secteur et à assurer la durabilité des systèmes de production, et ce, en misant notamment, sur la recherche scientifique, l’infrastructure et sur le renforcement des capacités des producteurs et des différents acteurs de cette filière, a assuré le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh, lors de l’ouverture des travaux de la 3e Conférence internationale annuelle de la section africaine de la Société mondiale d’aquaculture (Afraq24) qui se tient du 19 au 22 novembre courant à Hammamet.

Et d’ajouter que le pays entend, aussi, encourager l’investissement privé et renforcer les relations régionales, internationales et académiques, afin d’accélérer la transition vers des systèmes de production plus durables et innovants qui soient respectueux des écosystèmes dans les différentes phases de production.

Lors de cette conférence qui rassemble plus de 1100 experts et représentants d’agences africaines et d’organisations internationales comme la Banque mondiale et la FAO, le ministre a souligné que l’aquaculture figure parmi les secteurs les plus dynamiques à l’échelle internationale et connaît, ces dernières années, une croissance considérable dans les pays africains, faisant observer qu’elle constitue une solution permettant de surmonter les défis de la sécurité alimentaire et de la rareté des ressources hydrauliques dans le continent.

De son côté, Nadia Cherif, coordinatrice de la conférence et professeure à l’Institut National des Sciences et Technologies de la Mer (INSTM) a indiqué que cette rencontre revêt un caractère important dans le renforcement des partenariats et dans l’échange des expériences et expertises dans le domaine aquacole.

Elle a, par ailleurs, fait remarquer qu’une exposition dédiée aux dernières techniques de l’aquaculture se tient parallèlement à cette conférence, ajoutant qu’elle compte plus de 70 exposants internationaux.

Selon le responsable du Laboratoire d’Aquaculture Marine et Continentale de l’INSTM, Mohamed Salah Azaza, la production aquacole varie entre 21 et 22 mille tonnes en Tunisie, soit 13% de la production halieutique totale du pays.

La plupart des produits aquacoles sont destinés à la consommation nationale. Seulement 10% à 15% de ces produits sont exportés vers les pays arabes, européens et vers le Canada, a-t-il renseigné.

Il a, dans ce contexte, fait savoir que ce secteur compte aujourd’hui une trentaine d’entreprises en Tunisie, ajoutant qu’il fait face à de nombreux défis à l’instar des autres secteurs de l’agriculture, parmi lesquels la hausse du coût de la production.

 

La Tunisie œuvre au développement de l’aquaculture (Ministre de l’Agriculture)

20. November 2024 um 18:55

La Tunisie, l’un des pays pionniers dans l’aquaculture en Méditerranée, œuvre à développer davantage ce secteur et à assurer la durabilité des systèmes de production, et ce, en misant notamment, sur la recherche scientifique, l’infrastructure et sur le renforcement des capacités des producteurs et des différents acteurs de cette filière, a assuré le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, Ezzedine Ben Cheikh, lors de l’ouverture des travaux de la 3e Conférence internationale annuelle de la section africaine de la Société mondiale d’aquaculture (Afraq24) qui se tient du 19 au 22 novembre courant à Hammamet.

Et d’ajouter que le pays entend, aussi, encourager l’investissement privé et renforcer les relations régionales, internationales et académiques, afin d’accélérer la transition vers des systèmes de production plus durables et innovants qui soient respectueux des écosystèmes dans les différentes phases de production.

Lors de cette conférence qui rassemble plus de 1100 experts et représentants d’agences africaines et d’organisations internationales comme la Banque mondiale et la FAO, le ministre a souligné que l’aquaculture figure parmi les secteurs les plus dynamiques à l’échelle internationale et connaît, ces dernières années, une croissance considérable dans les pays africains, faisant observer qu’elle constitue une solution permettant de surmonter les défis de la sécurité alimentaire et de la rareté des ressources hydrauliques dans le continent.

De son côté, Nadia Cherif, coordinatrice de la conférence et professeure à l’Institut National des Sciences et Technologies de la Mer (INSTM) a indiqué que cette rencontre revêt un caractère important dans le renforcement des partenariats et dans l’échange des expériences et expertises dans le domaine aquacole.

Elle a, par ailleurs, fait remarquer qu’une exposition dédiée aux dernières techniques de l’aquaculture se tient parallèlement à cette conférence, ajoutant qu’elle compte plus de 70 exposants internationaux.

Selon le responsable du Laboratoire d’Aquaculture Marine et Continentale de l’INSTM, Mohamed Salah Azaza, la production aquacole varie entre 21 et 22 mille tonnes en Tunisie, soit 13% de la production halieutique totale du pays.

La plupart des produits aquacoles sont destinés à la consommation nationale. Seulement 10% à 15% de ces produits sont exportés vers les pays arabes, européens et vers le Canada, a-t-il renseigné.

Il a, dans ce contexte, fait savoir que ce secteur compte aujourd’hui une trentaine d’entreprises en Tunisie, ajoutant qu’il fait face à de nombreux défis à l’instar des autres secteurs de l’agriculture, parmi lesquels la hausse du coût de la production.

Avec TAP

 

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Pêche durable : La Tunisie participe à des décisions historiques sur la gestion des stocks marins en Méditerrané

Von: walid
18. November 2024 um 11:22

Vingt pays dont la Tunisie et l’Union européenne ont adopté 17 décisions cruciales, dont 12 recommandations contraignantes pour améliorer la durabilité des pêches et de l’aquaculture en Méditerranée et en Mer Adriatique, au cours 47ème session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), qui s’est tenue à Rome (Italie) du 4 au 8 novembre 2025.

Selon le FAO, parmi les décisions adoptées figure “le renforcement des mesures relatives à la gestion de nombreuses espèces prioritaires de la CGPM, notamment l’anguille d’Europe, le corail rouge, la dorade rose, le merlu européen, la langoustine, le sprat, le turbot, le rapana veiné, l’aiguillat commun et l’esturgeon”.

Concernant la mer Adriatique, une recommandation historique a été renforcée lors de cette session. Elle vise “à établir des règles de contrôle des captures par espèce et des limites de captures annuelles pour la sardine et l’anchois, une décision qui s’écarte des limites de captures conjointes appliquées jusqu’ici et qui favorise la durabilité écologique et la stabilité économique”.

Dans le même temps, en mer Noire, “une légère augmentation des limites de capture a été adoptée pour le turbot, une espèce cruciale dont la mortalité par pêche a été divisée par trois et la biomasse a été multipliée par trois, et qui s’approche désormais de la durabilité grâce à la mise en place d’un plan de gestion pluriannuel en 2017”. Cette décision a pour but, selon la FAO, d’encourager les pêcheurs et de dissuader la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (pêche INDNR), tout en améliorant la collecte de données sur l’effort de pêche et sur les rejets et en définissant de nouvelles mesures techniques pour réduire les captures des prises accessoires.

Les pays présents lors de cette réunion se sont également, mis d’accord pour créer une zone de pêche réglementée dans le canal d’Otrante, en mer Adriatique, où les opérations de chalutage de fond sont interdites.

Concernant l’aquaculture, les participants ont salué le progrès accomplis “en faveur du développement durable de ce secteur et ont décidé “de créer un réseau chargé de surveiller les maladies aquatiques et de réduire autant que possible les risques induits par le commerce”.

Par ailleurs, la déclaration de la 47ème session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a mis en relief les progrès sur le plan de la conformité et de l’application des règles pour lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée

A cet égard, des avancées majeures ont été réalisées ces dernières années et la CGPM a joué un rôle déterminant dans les progrès réalisés par de nombreux pays dans la révision de leur législation nationale pour cibler spécifiquement la pêche illicite, non déclarée et non reglementée. A cet égard, l’Albanie, l’Algérie, l’Égypte, le Maroc, le Monténégro, la Türkiye et l’Union européenne et ses États membres ont été récompensés lors de la session annuelle pour avoir intégré les décisions de la CGPM dans leur cadre juridique et communiqué des données rigoureuses sur cette question .

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