Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

Grands chantiers : Port en eaux profondes d’Enfidha, un méga-projet toujours en suspens

09. September 2024 um 11:54

 

Le port d’Enfidha est un projet stratégique pour la Tunisie. Grâce à des connexions ferroviaires et routières modernisées, il pourrait jouer un rôle majeur dans l’intégration des régions du centre, du sahel et des gouvernorats avoisinants, en facilitant, entre autres, l’accès aux marchés internationaux des produits agricoles et industriels locaux. Pourvoyeur de plus de 50 mille postes d’emploi, source d’espoir et de frustrations aussi, où en est aujourd’hui le projet de ce port ?

Le port en eaux profondes d’Enfidha est l’un des projets d’infrastructure les plus ambitieux et les plus attendus non seulement en Tunisie, mais par tout le continent africain. Conçu pour devenir un hub logistique majeur en Méditerranée, ce port vise à répondre à la demande croissante en infrastructures portuaires capables d’accueillir des navires de grand tonnage, tout en renforçant la position de la Tunisie dans le commerce régional. Cependant, malgré les promesses de développement économique et les retombées potentielles sur la région, ce projet reste en suspens depuis plus d’une décennie, suscitant à la fois espoir et frustrations.

Situé à environ 100 km au sud de Tunis, le projet de port en eaux profondes d’Enfidha est l’un des plus grands chantiers programmés depuis des années. Malgré son potentiel économique prometteur, ce mégaprojet peine à se concrétiser, alors où en sommes-nous ?

Avec une profondeur prévue d’une vingtaine de mètres, il pourrait accueillir de grands porte-conteneurs du monde entier, positionnant ainsi la Tunisie comme un acteur clé dans le commerce maritime régional et même international.

Cependant, malgré son importance stratégique, le projet rencontre plusieurs obstacles. Les défis financiers, les questions de gouvernance et les préoccupations environnementales ont retardé la mise en œuvre du port. Le manque de financement, en particulier, a été un obstacle majeur, avec des investisseurs potentiels hésitant à s’engager, en raison des incertitudes économiques et politiques qui ont marqué la Tunisie au cours de la dernière décennie. Actuellement, les choses commencent à évoluer dans la mesure où nous entrons dans une phase cruciale dans la concrétisation du projet. C’est en tout cas ce que nous apprenons du ministère de l’Equipement et de l’Habitat. En effet, des sources fiables au sein de ce département nous expliquent que tous les efforts sont concentrés actuellement sur la quête d’un investisseur international, au rang de partenaire stratégique pour relancer le projet en stand-by. « Dans une nouvelle approche de développement et d’incitation à l’investissement, l’État se penche actuellement sur les grands projets, le port d’Enfidha en premier lieu. Nous sommes en train d’identifier des solutions pour avancer en cherchant un partenaire stratégique », a-t-on déclaré.

La Chine, éventuel partenaire ?

On nous explique également que le choix de ce partenaire doit se faire sur la base des intérêts économiques du pays et de sa souveraineté. Autrement dit, hormis les aspects financiers et économiques, le partenaire stratégique en vue ne sera pas impliqué pour interférer dans certains choix stratégiques et souverains. On nous explique dans ce sens que la société Port d’Enfidha a reçu, auparavant, trois offres de financement, mais la Haute instance de la commande publique ne les a pas acceptées à cause de certaines clauses jugées non satisfaisantes.

Dans ce contexte, la Chine semble s’intéresser de plus en plus aux investissements en Tunisie. Après le pont fixe de Bizerte, les installations sportives, la Cité médicale de Kairouan pourrait être le prochain projet qui bénéficiera d’un financement chinois. Alors que ce pays s’intéresse réellement à l’investissement dans les infrastructures des pays africains, la Chine pourrait-elle être ce partenaire stratégique ?

Wissem Lassoued, expert en logistique, affirme dans ce sens que la Chine s’intéresse vraiment au développement des infrastructures en Tunisie, comme notamment le port en eaux profondes d’Enfidha. « 25% du volume des échanges commerciaux maritimes passent au large de la Tunisie, la Chine veut en bénéficier. La mise en place de ce hub peut renforcer la coopération entre les deux pays dans un rapport gagnant-gagnant », explique-t-il à La Presse.

Et d’ajouter que ce port, différent des ports ordinaires dans sa capacité d’accueillir les plus gros navires de transport maritime, peut jouer un rôle crucial dans la diplomatie économique et sera en mesure de séduire les plus grands investisseurs du monde, vu son emplacement de  choix reliant deux continents.

Sauf que l’un des risques majeurs est l’endettement. Plusieurs pays en Afrique ayant bénéficié d’investissements chinois dans le cadre des Nouvelles Routes de la Soie se sont retrouvés avec des niveaux élevés de dette vis-à-vis de la Chine. Si les projets ne génèrent pas suffisamment de retours économiques, la Tunisie pourrait se retrouver en difficulté financière.

Retour sur les aspects techniques

Il faut savoir que ce projet a connu plusieurs étapes clés au cours des dernières années, notamment la création de la société Port d’Enfidha en 2018 et l’obtention de la garantie de l’État pour entrer en partenariat avec le secteur privé

En réalité, il s’agit d’un double projet, puisque nous évoquons également la construction d’une grande zone logistique s’étendant sur 2000 hectares au profit des gouvernorats situés à 150 km du projet et qui contribuera à la création de près de 52 mille emplois.

Le port en eaux profondes, dont le coût s’élève à plus d’un milliard de dinars, sera érigé sur une superficie de 3000 hectares et englobe le port (1000 hectares) et la zone logistique (2000 hectares). Un projet  de cette taille sera en mesure de créer des opportunités économiques immenses au profit des régions du centre, du sahel et des gouvernorats avoisinants. La première phase porte sur la construction d’un quai de 1 200 mètres extensible de 800 mètres dans une seconde phase. Ladite zone logistique permettra la création de nouvelles zones industrielles et des zones franches favorisant l’emploi des diplômés universitaires et les ouvriers qualifiés.

En effet, le port d’Enfidha est surtout stratégique compte tenu de son impact réel sur le développement des régions intérieures de la Tunisie. Grâce à des connexions ferroviaires et routières modernisées, il pourrait jouer un rôle crucial dans l’amélioration de l’intégration des régions moins développées du pays, en facilitant l’accès aux marchés internationaux pour les produits agricoles et industriels locaux.

S’agissant des aspects fonciers, le projet est appelé à surmonter de nombreuses difficultés, compte tenu de la vocation des terrains sur lesquels s’implanteront les différentes composantes du projet. D’ores et déjà, l’Etat s’était engagé à payer des compensations et des dédommagements financiers aux propriétaires fonciers concernés pour accélérer la mise en œuvre du projet. Les autorités devront également régler le dossier de l’expropriation d’environ 945 hectares, dont quatre lotissements appartenant au domaine public maritime.

Enjeux environnementaux et sociétaux

Cependant, le projet n’est pas sans défis environnementaux. La construction d’un port en eaux profondes nécessite des travaux massifs d’infrastructure, qui pourraient perturber les écosystèmes marins et côtiers. Les défenseurs de l’environnement soulignent la nécessité de prendre des mesures en vue d’atténuer l’impact écologique du projet.

Sur le plan sociétal, le développement du port pourrait entraîner des transformations majeures dans la région d’Enfidha, avec des implications sur les communautés locales. La réallocation des terres, les migrations internes et les changements dans les modes de vie traditionnels sont autant de questions qui devront être gérées avec soin pour éviter d’éventuelles tensions sociales.

Force est de constater que le port en eaux profondes d’Enfidha a vraiment accusé un retard énorme. Le projet vise pourtant à créer une dynamique de développement au niveau des régions intérieures du pays sur deux phases, dont la première partie devait être achevée en 2022, et la deuxième partie devait être finalisée fin 2024. Nous en sommes très loin ! Aujourd’hui, nous sommes toujours à la recherche d’un investisseur qui devra couvrir  une partie du financement, le parachèvement de ce mégaprojet prendra donc plusieurs années encore.

Bien que le projet du port d’Enfidha soit encore en attente, son potentiel reste immense. Il représente une opportunité pour la Tunisie pour renforcer sa position sur la scène économique mondiale et pour dynamiser son économie intérieure. Cependant, pour que ce potentiel soit pleinement réalisé, il est crucial que les obstacles actuels soient surmontés. Une gouvernance transparente, un cadre financier solide et une attention particulière aux aspects environnementaux et sociétaux seront essentiels pour assurer le succès du projet et pour que le port d’Enfidha voie enfin le jour.

L’article Grands chantiers : Port en eaux profondes d’Enfidha, un méga-projet toujours en suspens est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Neue Busverbindungen von und zum Flughafen Enfidha-Hammamet

Von: Redaktion
12. Juli 2024 um 16:21

Die Einweihungszeremonie der neuen Busverbindungen der Socièté de Transport du Sahel (STS), die den Flughafen mit den wichtigsten Touristenstädten an der Küste verbinden, wurde am Mehr

Der Beitrag Neue Busverbindungen von und zum Flughafen Enfidha-Hammamet erschien zuerst auf Tunesienexplorer.de.

L’aéroport d’Enfidha obtient le niveau 4 dans sa gestion du Co2

L’aéroport international Endidha Hammamet exploité par TAV Tunisie a obtenu cette année 2024 le niveau 4 « Transformation » du Carbon accréditation de l’aéroport (ACA) en reconnaissance de ses efforts dans la gestion de ses émissions de CO2.

Cette accréditation fournie par le conseil international des Aéroports (ACI) de l’Afrique, association internationale des aéroports africains démontre que l’aéroport d’Enfidha a respecté les normes dans la protection de son environnement par l’utilisation efficace de l’énergie pour réduire les émissions de CO2 et ainsi réduire l’impact environnemental et parvenir à une vie meilleure et plus propre, ce qui lui en fait « l’aéroport durable de demain ».

Après avoir adhéré à l’Aéroport Council international (ACI) Afrique en 2012, TAV Tunisie continue de mettre en avant son expertise et son savoir-faire à l’échelle du continent africain et d’ouvrir la voie à ses aéroports vers de meilleures réalisations en termes d’efficacité des opérations au regard des mesures internationales de protection de l’environnement. Tout a commencé en 2013, lorsque l’aéroport d’Enfidha-Hammamet s’est distingué comme le premier aéroport du continent africain à recevoir le niveau (1) « Cartographie » de l’accréditation carbone. Puis, en 2014 il a consolidé sa position d’aéroport leader en matière d’environnement aux niveaux local et continental en obtenant le niveau (2) « Réduction ». Par ailleurs, il a continué à grimper jusqu’au niveau (3) « Optimisation » en 2021 et au niveau 3+ « Neutralité » en 2023.

Evaluation de l’empreinte carbone

En fait, l’aéroport international Enfidha Hammamet a obtenu ces accréditations grâce à un ensemble d’initiatives mises en œuvre efficacement, notamment la réalisation d’une évaluation approfondie de l’empreinte carbone, l’établissement d’objectifs ambitieux mais réalistes de réduction des émissions de carbone, la mise en œuvre de mesures d’économie d’énergie à travers sa centrale électrique de tri-génération économe en énergie, l’encouragement de l’utilisation d’options de transport à faibles émissions, l’encouragement des employés et des parties prenantes sur  les objectifs de réduction des émissions de carbone, l’encouragement des comportements durables sur le lieu de travail, l’investissement dans les projets de compensation carbone pour compenser les émissions inévitables, la mise en œuvre de systèmes robustes de surveillance et des rapports pour suivre le progrès vers les objectifs de réduction de carbone, et enfin rechercher une certification auprès des associations internationales d’accréditation carbone reconnues.

La relation de TAV Tunisie avec son environnement est réciproquement interactive et le niveau d’importance et d’attention qu’elle accorde à sa réussite commerciale et à ses bénéfices est, sans aucun doute, égale à son engagement envers l’environnement, y compris la minimisation de l’impact environnemental, la conservation des ressources naturelles, la protection de l’environnement, du sol, de l’eau et du climat, nécessaires au maintien de la vie sur terre.

Lire aussi sur le même thème:

Entretien avec Mélanie Lefebvre, directrice générale de TAV Tunisie

 

L’article L’aéroport d’Enfidha obtient le niveau 4 dans sa gestion du Co2 est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

TAV Tunisie en quête de nouvelles connexions pour promouvoir l’aéroport d’Enfidha

Lors d’une manifestation intitulée la Journée du tourisme arabe, l’opérateur aéroportuaire TAV Tunisie a souhaité impliquer les acteurs du tourisme et du transport aérien afin de générer plus de trafic sur l’aéroport international d’Enfidha-Hammamet.

TAV Tunisie a célébré le 23 février à l’aéroport international d’Enfidha-Hammamet la Journée du tourisme arabe (JAT) en organisant une manifestation promotionnelle sous le thème « Vers un écosystème durable ». L’exploitant de l’aéroport, en partenariat avec l’Organisation arabe du tourisme, a voulu faire connaître davantage la région du Sahel et ses différentes composantes touristiques dont l’aéroport d’Enfidha par le biais de pavillons d’exposition spéciaux mis en place pour les artisans et les industries traditionnelles ainsi qu’à travers des rencontres B2B entre les représentants de la TAV Tunisie et les agents de voyage, les tour-opérateurs et les compagnies aériennes.

exposition-aeroport

Le but était de les inciter à améliorer et à développer le trafic aérien entre la Tunisie et les pays arabes et à œuvrer ensemble pour lever les freins entravant le flux des touristes en provenance de ces pays, sachant que l’aéroport international d’Enfidha-Hammamet, le plus moderne de Tunisie, possède la plus grande capacité d’accueil parmi tous les aéroports tunisiens.

Faire connaître la région

Mélanie Lefebvre, directrice générale de TAV Tunisie, a exprimé, à l’occasion de cet événement, son souhait de travailler main dans la main avec les différents acteurs pour que l’aéroport et le tourisme atteignent le niveau qu’ils méritent.

«L’aéroport sans tourisme ne peut pas s’épanouir et le tourisme sans l’aéroport ne peut pas décoller. Nous voulons travailler la main dans la main en profitant de l’expérience de chacun pour faire connaître cette merveilleuse région et ce merveilleux pays auprès du plus grand nombres de personnes », a-t-elle indiqué.

Elle a, par ailleurs, rassuré les compagnies aériennes, les agences de voyage et les tour-opérateurs présents en leur promettant un bon accueil des opérateurs touristiques et de leurs passagers.

Il est à noter que l’Organisation arabe du tourisme avait choisi la région du Sahel pour accueillir cette manifestation en raison de la multitude d’attractions touristiques historiques, culturelles et naturelles avec un produit touristique distinct et intégré, d’autant plus qu’elle abrite l’aéroport d’Enfidha-Hammamet, lequel occupe un emplacement stratégique étant donné sa proximité des grandes villes touristiques du pays.

Briser l’isolement de l’aéroport

TAV Tunisie a annoncé par la même occasion qu’un nouveau bus appartenant à la nouvelle flotte de la Société de transport du Sahel va assurer le transport régulier des passagers vers et depuis l’aéroport visant à briser l’isolement de l’aéroport en le reliant aux grandes villes côtières de la Tunisie et à ses principales stations balnéaires touristiques.

K.C

 

L’article TAV Tunisie en quête de nouvelles connexions pour promouvoir l’aéroport d’Enfidha est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

Aéroports en Tunisie : combien de passagers et d’avions en 2023

Les 8 aéroports tunisiens ont connu des fortunes diverses au cours de l’exercice 2023. Si Tunis-Carthage a réalisé des chiffres en nette progression, celui d’Enfidha n’a pas égalé ses réalisations de 2019, dernière année de référence dans le secteur.

L’aéroport Tunis-Carthage, principale porte d’entrée aérienne dans le pays, a enregistré, au cours de l’année 2023, plus de 6 millions de passagers entrants et sortants, soit une hausse de 19,7% par rapport à l’exercice 2022. De manière générale, les 6 aéroports gérés par l’opérateur public OACA ont tous connu des augmentations de trafic, à l’exception de ceux de Tabarka et de Gabès qui ont baissé.

Celui de Sfax a également connu une évolution notable grâce notamment aux lignes régulières opérées par les compagnies Tunisair Express (Tunis et Tripoli), Transavia (sur Paris Orly) et Nouvelair (vers Paris CDG et Istanbul).

aéroport-sfax-entreé

Grâce à Tunisair Express, Nouvelair et Transavia, l’aéroport de Sfax a enregistré plus de 173 mille passagers.

Du côté des deux aéroports gérés par l’opérateur privé TAV, les chiffres restent encore en net recul par rapport aux années antérieures au Covid. L’activité de l’aéroport d’Enfidha étant exclusivement charter, il y a lieu de s’interroger sur le principe des vols purement touristiques actuellement. Celui de Monastir accueillant à la fois du trafic charter et régulier a également enregistré une croissance d’activité, mais qui reste encore en deçà de celle de 2019.

enfidha-aeroport-tunisie

L’aéroport d’Enfidha-Hammamet avait totalisé près de 1,5 million de passagers en 2019 avant de plonger à tout juste 50.000 voyageurs lors de la première année Covid.

Aéroports OACA et TAV

Le total des passagers (au départ et à l’arrivée) dans les 6 aéroports gérés par l’OACA a été de 8.813.040 en 2023, en hausse de 21,9% par rapport à l’année précédente (2022). Le nombre total de mouvements d’avions s’est élevé quant à lui à 75.372, en progression de 15,68% en un an.

Dans les 2 aéroports exploités par la TAV, le total des passagers a été de 2.267.846, en progression de 53%. Le mouvement d’avions s’est élevé à 15.899.

En définitive, les aéroports tunisiens auront cumulé 11.080.886 passagers en 2023 et 91.271 mouvements d’avions.

La part de marché des aéroports gérés par l’OACA a été de l’ordre de 74,25% contre 25,75% pour la TAV.

vol-tunis-carthage-aeroport

L’aéroport Tunis-Carthage reste le premier aéroport en Tunisie avec 40% du trafic passagers global.

Détails par aéroport en 2023 par rapport à 2022

(vols domestiques et internationaux, y compris Haj, Omra et vols spéciaux)

Tunis-Carthage: 6.649.912 passagers (+19,7%)

Djerba Zarzis: 1.964.347 passagers (+28,4%)

Monastir-HB: 1.457.973 passagers (+44%)

Enfidha-Hammamet: 809.873 passagers (+74%)

Sfax-Thyna: 173.984 passagers (+46,1%)

Tozeur-Nefta : 18.454 passagers (+8,4%)

Gabès-Matmata: 3232 passagers (-10,1%)

Tabarka-Aïn Draham: 2591 passagers (-16,1%)

tozeur-vol-avion

L’ouverture d’une première ligne régulière internationale sur l’aéroport Tozeur-Nefta a permis d’enregistrer une légère hausse du nombre de passagers en 2023.

Mouvements d’avions en 2023 par rapport à 2022

(vols domestiques et internationaux, y compris Haj, Omra et vols spéciaux)

Tunis-Carthage: 55.961 (+17,4%)

Djerba Zarzis: 14.939 (+15,5%)

Monastir-HB: 10.530 (+37 %)

Enfidha-Hammamet: 5369 (+72%)

Sfax-Thyna: 3810 (+2%)

Tozeur-Nefta : 339 (-4,5%)

Tabarka-Aïn Draham: 176 (-35,3%)

Gabès-Matmata: 144 (-10,1%)

Il est à noter par ailleurs que le nombre d’avions étrangers ayant survolé la Tunisie (sans y atterrir ) au cours de l’année 2023 a été de 53.718.

©Destination Tunisie

L’article Aéroports en Tunisie : combien de passagers et d’avions en 2023 est apparu en premier sur Tourisme, hôtels, voyages en Tunisie et ailleurs.

❌
❌