Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Gestern — 29. Januar 2025La Presse de Tunisie

Tunisie – Baraket Sahel étouffe sous la congestion : Un projet d’échangeur pour désengorger la région

Von: La Presse
29. Januar 2025 um 22:15

La congestion routière à Baraket Sahel, située dans la municipalité de Hammamet, gouvernorat de Nabeul, est devenue un véritable fardeau pour ses habitants, en particulier au niveau du carrefour principal qui relie l’autoroute, la station touristique Yasmine Hammamet, le centre-ville de Hammamet, ainsi que Wadi Battan et Bir Bouregba. Cette situation, de plus en plus complexe jour après jour, est devenue le quotidien des résidents qui, par l’intermédiaire d’Abdessatar Nafzaoui, membre du conseil local de développement de la municipalité de Hammamet, ont exprimé leurs préoccupations.

Nafzaoui a expliqué, dans une déclaration à l’Agence TAP, que Baraket Sahel, qui compte plus de 15 000 habitants, est une zone de passage pour des milliers de véhicules, y compris des camions de transport de marchandises, des bus publics, des bus touristiques, ainsi que des taxis, des « louages » (taxis collectifs), des transports ruraux et collectifs. Cela entraîne des embouteillages quotidiens et une congestion importante, notamment au niveau du carrefour principal. Il a souligné que cette situation se complique davantage, surtout pendant la saison estivale, avec l’afflux de visiteurs et de touristes vers la station balnéaire de Hammamet.

La cause principale de cette congestion est attribuée à la présence de nombreuses stations de transport illégales (taxis, « louages », transport collectif, transport rural) installées le long des bords du carrefour, ce qui ne crée pas seulement une saturation des voies de circulation, mais aussi un encombrement causé par des véhicules stationnés, rendant la fluidité du trafic quasiment impossible pour tous les usagers de la route.

« Nous avons proposé la construction d’un échangeur à Korsaa et la création d’une station de transport intégrée… et nous espérons que nos propositions seront approuvées », a ajouté Nafzaoui.

Il a précisé que la congestion à Baraket Sahel et les problèmes de circulation sont bien suivis par les autorités locales et régionales. Des réunions ont été organisées au niveau de la municipalité de Hammamet pour discuter de ce problème, et elles ont abouti à la proposition, par la direction régionale des équipements, de construire un tunnel au niveau du carrefour de Baraket Sahel.

« Nous avons réagi positivement à l’idée de trouver une solution à ce problème de congestion, tout en soutenant les efforts des autorités régionales et centrales pour des solutions durables. Cependant, nous avons proposé une alternative que nous jugeons moins coûteuse pour l’État et qui n’affecterait pas les habitants de la région, tout en préservant son dynamisme économique et commercial. Il s’agit de la construction d’un échangeur à Qorsaa via la création d’une ouverture ou un accès depuis l’autoroute du côté sud de Hammamet », a-t-il ajouté.

Il a estimé que cette solution serait bien moins coûteuse que le projet du tunnel et ne prendrait pas autant de temps à réaliser, surtout avec la saison estivale qui approche. Le projet de tunnel, lui, pourrait prendre des années, avec des perturbations qui affecteraient la circulation et l’économie locale.

Cependant, cette proposition a été rejetée, la Société Tunisie Autoroutes ayant opposé un refus. Selon Nafzaoui, la résolution de ce problème reste toutefois possible, à condition que les autorités et les institutions de l’État s’accordent sur la solution et prêtent une attention sérieuse aux besoins de la région.

Il a également souligné que la construction de l’échangeur à Qorsaa, qui ne nécessiterait qu’une simple ouverture depuis l’autoroute, contribuerait à alléger la pression sur le carrefour principal de Baraket Sahel. De plus, les habitants de la région estiment qu’une solution pérenne passe par la création d’une station de transport intégrée, dotée de toutes les infrastructures nécessaires et permettant de regrouper tous les types de taxis. Cette station réduirait les embouteillages de plus de 40 % et générerait des revenus pour la municipalité de Hammamet.

Enfin, Nafzaoui a souligné l’importance de la création de cette station de transport intégrée, qui est une demande urgente des habitants et des visiteurs de la région. Le projet est réalisable grâce à la présence de terrains publics ou privés non loin du carrefour, qui pourraient être utilisés pour ce projet essentiel, capable de transformer le visage de Baraket Sahel, aujourd’hui considéré comme la principale destination touristique de toute la ville de Hammamet.

L’article Tunisie – Baraket Sahel étouffe sous la congestion : Un projet d’échangeur pour désengorger la région est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie – FT Athlétisme: Démission de trois membres

29. Januar 2025 um 21:54

Trois membres fédéraux ont envoyé au président de la Fédération tunisienne d’athlétisme leur démission. Ils invoquent l’absence de dialogue et de bonne entente en ce qui concerne la bonne marche de la fédération et dénoncent le manque de compréhension, la mauvaise gouvernance du président de la FTA en ce qui concerne les intérêts de l’athlétisme tunisien.

C’est une affaire à suivre en raison de l’importance de cette discipline qui possède des sportifs de valeur, candidats potentiels aux podiums olympiques ou mondiaux

Kamel GHATTAS

L’article Tunisie – FT Athlétisme: Démission de trois membres est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

VISITE DE LA DÉLÉGATION OFFICIELLE DE L’ISESCO EN TUNISIE: Pour une coopération renforcée

29. Januar 2025 um 21:47

Les bases d’une coopération future dynamique et fructueuse avec des projets ambitieux, comme le Centre international des arts calligraphiques «Iqraa». La 45e session du Conseil exécutif de l’Isesco, prévue en février 2025 à Tunis, marquera, sans doute, un autre tournant dans cette coopération renforcée.

La Presse — Du 26 au 28 janvier 2025, la Tunisie a accueilli une délégation de haut niveau de l’Organisation du monde islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (Isesco), dirigée par son directeur général, Salem Ben Mohammed Al-Malik. Cette visite de travail, axée sur la coopération bilatérale entre la Tunisie et l’Isesco, a mis en lumière la volonté de renforcer les liens dans les domaines de la culture, de l’éducation et des sciences, avec un focus particulier sur le secteur culturel.

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 30-01-2025

L’article VISITE DE LA DÉLÉGATION OFFICIELLE DE L’ISESCO EN TUNISIE: Pour une coopération renforcée est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Promotion immobilière: En pleine zone de turbulences

29. Januar 2025 um 21:43

Le secteur de la promotion immobilière semble, depuis quelques années, à bout de souffle. On assiste régulièrement à une érosion préoccupante du volume d’affaires et à un déséquilibre de plus en plus profond entre offre et demande. Une situation critique qui impose des solutions urgentes et palpables.

Les différents indicateurs de ces dernières années laissent croire que la promotion immobilière est en pleine zone de turbulence. Une situation délicate qui fonde les craintes de certains analystes d’un crash immobilier imminent, surtout avec la chute spectaculaire des ventes et l’importance du stock non commercialisé.

D’ailleurs, les statistiques de 2024, ne sont pas pour autant plus rassurantes. Pour le premier trimestre de l’année écoulée, le marché a enregistré une forte régression par rapport à la même période de l’année 2023. La vente des terrains a encaissé une baisse de 13, 6 %, celle des villas de 6,9 % alors que les ventes des appartements ont chuté de. 23,3 %.

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 30-91-2024

L’article Promotion immobilière: En pleine zone de turbulences est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie : Un conseil ministériel restreint pour la réforme de la Cité de la culture

Von: La Presse
29. Januar 2025 um 20:19

Dans le cadre de la vision du président de la République visant à améliorer la gestion et les performances des institutions publiques, le chef du gouvernement, Kamel Madouri, a présidé ce mercredi 29 janvier 2025, au Palais du gouvernement à La Kasbah, un conseil ministériel restreint consacré à la restructuration de la Cité de la culture. L’objectif est d’optimiser son fonctionnement, d’assurer une gestion efficace de ses ressources et de renforcer son rôle dans le développement culturel et créatif du pays.

En ouvrant la séance, Kamel Madouri a souligné que la culture constitue un droit constitutionnel et un secteur stratégique. Il a rappelé que la construction d’une culture nationale s’inscrit dans un processus global de souveraineté, conformément à la vision du président Kaïs Saïed. La restructuration de la Cité de la culture s’inscrit ainsi dans un plan de réforme nationale qui vise à rationaliser l’utilisation des ressources de l’État et à améliorer l’efficacité des institutions culturelles. Cette refonte devra reposer sur une vision innovante et un projet culturel global et durable.

Le chef du gouvernement a également insisté sur l’importance d’une réforme législative en matière de patrimoine culturel, considérant ce dernier comme un élément clé de la souveraineté culturelle. Il a appelé à adapter les textes encadrant le patrimoine culturel, naturel, géologique et immatériel aux normes de l’UNESCO et à réviser les lois encourageant la créativité et l’innovation dans divers domaines artistiques.

Située en plein cœur de la capitale, la Cité de la culture, qui s’étend sur 9 hectares, est un espace stratégique pour la promotion des arts et de la culture. Kamel Madouri a insisté sur la nécessité d’en optimiser la gestion et d’en faire un véritable centre culturel dynamique. Cette restructuration devra garantir une meilleure synergie entre les institutions culturelles nationales, en assurant une gestion efficace des espaces, des ressources financières et humaines ainsi que des productions artistiques et culturelles.

La ministre des Affaires culturelles a présenté un état des lieux de la Cité de la culture, mettant en avant son rôle dans le développement des industries culturelles et créatives, son impact sur l’attractivité touristique et culturelle de la Tunisie, les obstacles ayant freiné certains projets, la situation financière de la Cité de la culture et les différents scénarios possibles pour une restructuration institutionnelle et juridique

À l’issue des discussions, le conseil ministériel a validé plusieurs décisions stratégiques :

• Restructuration complète de la Cité de la culture selon une vision intégrée et durable, en mettant fin à la multiplication des structures et aux chevauchements de compétences. Une commission technique réunissant les ministères concernés sera chargée de superviser cette transformation selon un plan d’action détaillé et un calendrier précis.

• Révision des cadres législatifs encadrant l’activité culturelle et créative pour l’adapter aux évolutions nationales et internationales, en faisant de la culture un levier d’investissement et d’innovation.

• Diversification de la production culturelle et amélioration des contenus afin d’élargir les sources de financement et d’accroître l’autonomie de la Cité de la culture.

• Optimisation de l’exploitation des espaces culturels, pour une utilisation plus efficace et rentable.

• Coordination avec le ministère de l’Équipement et de l’Habitat pour définir les meilleures options d’utilisation de la Tour de la Cité de la culture.

• Finalisation de la réception officielle du projet et transfert des dossiers techniques aux instances compétentes, garantissant les garanties financières et juridiques nécessaires à une gestion optimale.

• Mise en place d’une stratégie de communication pour promouvoir la Cité de la culture conformément à la politique culturelle nationale.

• Révision des lois relatives à la protection du patrimoine et présentation d’un dossier spécifique devant un prochain conseil ministériel restreint.

À travers ces mesures, Kamel Madouri entend faire de la Cité de la culture un modèle de gouvernance moderne et efficace, garantissant une gestion optimale de ses ressources et un rôle central dans le rayonnement culturel du pays. Cette réforme vise à renforcer la place de la culture en tant que moteur du développement durable, en valorisant la création artistique, en préservant le patrimoine national, et en faisant de la culture un vecteur de cohésion sociale et de souveraineté nationale.

L’article Tunisie : Un conseil ministériel restreint pour la réforme de la Cité de la culture est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Un célèbre rappeur arrêté dans une affaire de trafic de drogue à Tunis

Von: La Presse
29. Januar 2025 um 19:48

Les unités de la Garde nationale de l’Aouina ont démantelé un réseau spécialisé dans le trafic et la consommation de stupéfiants à la cité Ibn Khaldoun à Tunis.

Selon un communiqué publié mercredi, l’opération a conduit à l’arrestation d’un membre clé du réseau, qui s’est avéré être un célèbre rappeur, ainsi qu’à la saisie d’une importante quantité de cannabis et de deux véhicules.

La Direction générale de la Garde nationale a précisé que l’identification du principal suspect a été le fruit d’investigations approfondies, d’un suivi minutieux et d’une surveillance accrue de ses déplacements.

Lors de l’opération, les forces de l’ordre ont également saisi des voitures de luxe, de grosses motos et d’importantes sommes d’argent en monnaie tunisienne, selon la même source.

Le rappeur et l’un de ses proches ont été interpellés et placés en garde à vue. Le principal suspect a été déféré devant le juge d’instruction du tribunal de première instance de Tunis 1, qui a émis à son encontre un mandat de dépôt.

L’article Un célèbre rappeur arrêté dans une affaire de trafic de drogue à Tunis est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie – Distribution des dividendes : la BCT encadre les conditions pour l’exercice 2024

Von: La Presse
29. Januar 2025 um 19:46

La Banque Centrale de Tunisie (BCT) a publié, ce mercredi, la circulaire n°2025-02, définissant les conditions de distribution des dividendes par les banques et les établissements financiers au titre de l’exercice 2024.

Conformément à cette circulaire, la distribution des dividendes pour l’exercice 2024 est soumise aux conditions suivantes :

Dans la limite de 35 % du bénéfice de l’exercice 2024 : applicable aux banques et établissements financiers dont les ratios de solvabilité et Tier 1, arrêtés à fin 2024 (après déduction des dividendes à verser), dépassent d’au moins 2,5 % les niveaux réglementaires minimums.

Sans limite, sous réserve d’un accord préalable de la BCT : applicable aux banques et établissements financiers dont les ratios de solvabilité et Tier 1 (après déduction des dividendes à verser) excèdent respectivement de 2,5 % et 3,5 % les seuils réglementaires.

Toute banque ou établissement financier ne respectant pas, à fin 2024, les normes prudentielles d’adéquation des fonds propres prévues par les articles 50, 51 et 52 de la circulaire n°2018-06 du 5 juin 2018, ou dont les états financiers au 31 décembre 2024 comportent des réserves et/ou des observations émises par les commissaires aux comptes, devra obtenir l’accord préalable de la BCT avant toute distribution de dividendes.

La circulaire entre en vigueur immédiatement, à compter du 29 janvier 2025. Elle ne s’applique pas aux établissements de paiement.

 

L’article Tunisie – Distribution des dividendes : la BCT encadre les conditions pour l’exercice 2024 est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie : La BCT publie deux nouvelles circulaires pour une meilleure gestion des risques

Von: La Presse
29. Januar 2025 um 19:41

Centrale de Tunisie (BCT) a publié deux nouvelles circulaires visant à renforcer la gestion des risques et à consolider la solidité financière du secteur bancaire, dans le cadre de sa démarche proactive initiée depuis 2020.

La première circulaire porte sur la division, la couverture des risques et le suivi des engagements. Elle actualise les paramètres de calcul des provisions collectives, permettant ainsi une meilleure couverture des risques latents et une anticipation plus efficace des potentielles dégradations de la qualité des actifs bancaires.

La deuxième circulaire encadre la distribution des dividendes au titre de l’exercice 2024. Son objectif est de renforcer les fonds propres des banques et de préserver la stabilité financière, dans un contexte marqué par des défis persistants.

Ces mesures interviennent alors que le secteur bancaire fait face à des enjeux majeurs, notamment un ralentissement de l’octroi de crédits au cours des deux dernières années et une hausse des créances non performantes, souligne la BCT dans un communiqué.

Elles traduisent également la volonté de la Banque Centrale de Tunisie de renforcer la résilience du système bancaire face aux chocs économiques et de garantir sa capacité à soutenir durablement l’économie nationale.

Par ailleurs, ces initiatives s’inscrivent dans une stratégie plus large de modernisation du secteur bancaire et de convergence vers les standards internationaux. Elles préparent ainsi le terrain à un nouveau cycle de réformes structurelles, visant à améliorer la compétitivité et la robustesse du système financier tunisien.

La Banque Centrale de Tunisie a réaffirmé son engagement à poursuivre ses efforts de supervision et de réglementation prudentielle, afin d’assurer une stabilité durable du système bancaire.

L’article Tunisie : La BCT publie deux nouvelles circulaires pour une meilleure gestion des risques est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie : En vidéo, la BCT explique tous les détails sur la plateforme TUNICHEQUE

29. Januar 2025 um 19:16

Dans le cadre de la mise en service de la plateforme électronique unique des transactions par chèque, TUNICHEQUE, prévue pour le 3 février 2025, la Banque Centrale de Tunisie (BCT) a publié ce mercredi une capsule didactique détaillant le fonctionnement de cette plateforme électronique. Développée en collaboration avec la société Sibtel, cette innovation marque une étape clé dans la modernisation et la sécurisation des paiements par chèque en Tunisie.

En effet, en conformité avec la nouvelle loi sur les chèques, qui entrera en vigueur à partir du 2 février 2025, TUNICHEQUE vise à restaurer la confiance dans l’utilisation des chèques en instaurant des mécanismes de transparence et de sécurité renforcés. Cette plateforme permet aux particuliers et aux entreprises de réaliser leurs transactions avec plus de simplicité et de sûreté.

Avec l’introduction de TUNICHEQUE, les chèques tunisiens évoluent et intègrent désormais :

  • Un QR code unique garantissant une traçabilité optimale.
  • Une date de validité limitant les risques d’utilisation frauduleuse.
  • Un montant maximal défini pour encadrer les transactions.
  • Un processus digitalisé et simplifié

La capsule didactique ajoute que l’accès à TUNICHEQUE se fait via une application mobile gratuite, disponible sur iOS et Android. Son fonctionnement repose sur les étapes suivantes :

L’émetteur scanne le QR code du chèque via l’application TUNICHEQUE et saisit le montant souhaité.

La plateforme vérifie automatiquement la validité du chèque : contrôle du QR code, de la date de validité et du respect du montant maximal autorisé.

Une fois ces vérifications effectuées, le bénéficiaire poursuit la transaction. Pour assurer l’authenticité du chèque, un code secret est envoyé par SMS à l’émetteur. Puis le bénéficiaire doit saisir le code reçu par l’émetteur du chèque afin de valider l’opération.

À ce niveau-là, la plateforme effectue des contrôles supplémentaires : absence d’interdiction de chéquier, absence d’opposition sur le chèque, vérification du compte actif et de la disponibilité du solde…

En l’absence d’anomalie, le montant est réservé et la transaction est validée. Le bénéficiaire est immédiatement informé du succès de l’opération.

Pour plus d’informations, la BCT a mis en place le numéro 31380671, accessible 24h/24 et 7j/7.

L’article Tunisie : En vidéo, la BCT explique tous les détails sur la plateforme TUNICHEQUE est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie : Des cultures d’artichauts irriguées illégalement détruites à Bizerte

Von: La Presse
29. Januar 2025 um 18:35

La commission de contrôle régionale contre l’irrigation avec des eaux usées a procédé, ce mercredi, à la destruction de cultures d’artichauts et de trèfle plantées sur une superficie de 6 hectares dans la région de Zgab, relevant de la délégation de Bizerte, après avoir constaté que leurs propriétaires avaient délibérément utilisé des eaux non traitées pour l’irrigation. Cette action fait suite à plusieurs décisions prises par le gouverneur de la région, selon une source locale responsable.

La même source a précisé à l’agence TAP que la décision a été mise en œuvre sans incident par la commission, qui regroupe les services de la délégation, du ministère de l’Agriculture, de la Santé, de l’Office de l’Assainissement, de l’Agence nationale de sécurité des produits alimentaires et de la Garde nationale.

Elle a également souligné l’engagement de la commission à appliquer les mesures nécessaires pour poursuivre les responsables et garantir la continuité de son travail de surveillance afin de lutter contre toute violation de la législation en vigueur dans ce domaine.

Il convient de rappeler que cette commission, chargée de lutter contre l’irrigation avec des eaux non traitées, a déjà effectué une campagne de contrôle sur le terrain début janvier dans les zones de Bizerte et de Nouvelle-Bizerte, au cours de laquelle elle a détruit environ 10 hectares de cultures irriguées illégalement et saisi des équipements utilisés pour ce procédé interdit.

L’article Tunisie : Des cultures d’artichauts irriguées illégalement détruites à Bizerte est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie – Des villages montagnards à inscrire au patrimoine mondial : l’urgence d’agir à Gabès

Von: La Presse
29. Januar 2025 um 18:10

Abdel Salam Dahmani, membre de l’Assemblée des représentants du peuple pour la région de Gabès, a souligné aujourd’hui qu’il est urgent d’intervenir dans les villages montagneux, en collaboration avec les services compétents du ministère des Affaires culturelles, afin de préserver et restaurer ces villages. Il a également insisté sur la nécessité d’inclure certains éléments de leur patrimoine matériel dans le patrimoine mondial.

Dans une déclaration à l’agence TAP, Dahmani a expliqué que plusieurs villages montagneux ont perdu une grande partie de leur patrimoine en raison de l’usure du temps et du manque d’entretien pendant des années. C’est notamment le cas pour le village de Tamezret, situé à Matmata, un site touristique exceptionnel dans la chaîne montagneuse de Matmata.

Il a également déploré que le processus de restauration des villages montagneux ait pris un retard considérable. Il a rappelé qu’une décision avait été prise lors du Conseil ministériel sur le développement de la région de Gabès, tenu le 25 juin 2015, mais qu’aucune mesure concrète n’avait été prise jusqu’à ce jour par le ministère des Affaires culturelles pour mettre en œuvre cette décision.

Par ailleurs, Dahmani a appelé le ministère des Affaires culturelles à soutenir les habitants de Toujan et à adopter leur initiative visant à inscrire ce village, qui a acquis une renommée internationale, dans le patrimoine mondial.

Il est important de noter que la région montagneuse de Gabès abrite, en plus de la ville de Matmata, célèbre pour ses habitations troglodytes, plusieurs autres villages montagneux tels que Toujan, Tamezret, Taoujout et l’ancienne Zraoua.

Le tourisme alternatif dans ces régions connaît un essor remarquable, comme en témoignent l’ouverture de nombreuses maisons d’hôtes et espaces d’accueil, offrant ainsi une expérience touristique unique.

L’article Tunisie – Des villages montagnards à inscrire au patrimoine mondial : l’urgence d’agir à Gabès est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Nouvelle loi sur les chèques : Qui aura le dernier mot ?

29. Januar 2025 um 18:05

À quelques jours de son entrée en vigueur, l’appel au report de l’application de certains articles de la nouvelle loi sur les chèques pour que les banques et les utilisateurs de chèques trouvent une alternative appropriée à la nouvelle situation se fait de plus en plus audible. Au même moment, des parlementaires sont montés au créneau pour soutenir l’application dans le délai spécifié de la nouvelle loi.

La Presse — Une initiative législative déposée par le député Mohamed Boussetta le 20 janvier dernier stipulant la suspension de l’application de la nouvelle loi N°41-2024 relative aux chèques est venue enfler le débat autour de cette loi et, notamment, concernant son impact sur le secteur commercial dans le pays. La nouvelle loi entrera en vigueur le 2 février prochain et les banques ont, d’ores et déjà, pris les mesures nécessaires et ont annoncé la suspension des carnets de chèques dans leur ancienne version, mettant ainsi un terme à toute tentative d’un retour en arrière. Pourquoi alors ces bruits de couloir tendant à donner raison aux dépositaires de l’initiative du moment que les dés sont jetés ?

Quel impact pour la nouvelle initiative parlementaire 

Bien évidemment, il est du rôle des parlementaires de jouer pleinement le rôle de « caisse de résonance » de la société et en particulier des chefs de petites et moyennes entreprises qui ont manifesté leur crainte à l’égard de l’entrée en vigueur de la nouvelle loi en raison du grand nombre de chèques toujours en circulation et pour bien d’autres raisons se rapportant aux transactions financières sur le marché.

À ce propos, l’expert en économie et professeur Ridha Chkoundali a mis en valeur la grande importance de l’initiative en question. Dans une déclaration à La Presse, il a tenu à féliciter la récente démarche de certains députés d’autant que la formule du chèque domine les transactions financières.

Dans ce même contexte, il évoque ce qu’il qualifie d’objectifs contradictoires de la Banque centrale de Tunisie (BCT). D’une part, la BCT veut réduire les prêts pour la consommation à travers la nouvelle loi, mais d’autre part, elle évoque la possibilité de la mise en circulation de cartes bancaires permettant le paiement par facilité comme alternative fiable au chèque. «Il y a comme un manque d’harmonie en matière de politique économique menée par l’État», fait remarquer Ridha Chkoundali. Il indique que la fixation préalable d’un plafond pour les chèques selon la situation financière du client, imposée dans la nouvelle loi, est «peu pratique». Elle risque de compliquer ainsi les opérations des commerçants et de leur clientèle.

De son côté, le député Maher Ktari, signataire lui aussi de l’initiative, a tenté dans une récente déclaration à une radio privée de développer l’esprit de leur proposition. Il s’agit d’un report de l’entrée en vigueur de la nouvelle loi pour que les banques et les utilisateurs de chèques trouvent une alternative appropriée à cette nouvelle situation. En revanche, cette sortie médiatique du député en question visant à insister davantage sur la nécessité de suspendre, pour une durée bien déterminée, l’application de certains articles de la nouvelle loi sur les chèques et les rumeurs qui ont accompagné le dépôt de cette initiative ont été suivies de vives réactions émanant d’autres députés refusant catégoriquement son report.

Des rumeurs visant à perturber le processus de réforme législative ?

Dans cette optique, la vice-présidente de la Commission du règlement intérieur, des lois électorales, des lois parlementaires et de la fonction électorale, Sonia Ben Mabrouk, a été catégorique et s’est opposée à toute tentative à un retour en arrière.

Dans un post publié sur sa page officielle sur les réseaux sociaux, elle explique que «Les nouvelles qui circulent sur le report de la mise en œuvre de la loi sur les chèques sans provision sont sans fondement».

Et d’ajouter que «La loi sera appliquée dans le délai spécifié, comme annoncé officiellement».

La députée Sonia Ben Mabrouk a indiqué que «Les institutions de l’État sont engagées à mettre en œuvre cette réforme qui est dans l’intérêt de tous, d’autant que la plateforme électronique dédiée à sa mise en œuvre est prête à fonctionner efficacement.  Le Parlement soutient cette démarche dans le cadre de l’intérêt national suprême, ce qui confirme l’engagement en faveur de réformes structurelles sans recul».

Les rumeurs qui circulent concernant le report de la mise en œuvre de la loi a tendance à perturber le processus de réforme législative, alors que la loi vise, principalement, le renforcement de la confiance sur le plan des transactions financières, à réguler le marché et à garantir les droits des opérateurs économiques. «L’État est déterminé à avancer sur cette voie pour assurer la stabilité du système économique et protéger l’intérêt public».

Il est à rappeler que le Gouverneur de la BCT, Fethi Zouhaier Nouri, a tenu une réunion de travail le 24 janvier avec les hauts responsables des banques, de l’Office national des postes, et de la Société Tunisie clearing (Dépositaire central des titres et gestionnaire du système de règlement/livraison des titres). En point de mire, le suivi de la mise en œuvre des dispositions de la nouvelle loi relative aux chèques, notamment les préparatifs du secteur bancaire pour le 2 février 2025, date prévue du lancement de la plateforme électronique des chèques et de l’entrée en vigueur des nouvelles formules du chèque. À cette occasion, il a exhorté les banques et l’office national des postes à prendre toutes les mesures nécessaires et les précautions requises pour fournir aux clients les nouvelles formules de chèques dans les délais, tout en proposant des solutions de paiement alternatives pour répondre à leurs attentes. 

L’article Nouvelle loi sur les chèques : Qui aura le dernier mot ? est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie – Météo : ciel nuageux et mer agitée

Von: La Presse
29. Januar 2025 um 18:01

Cette nuit, le ciel sera partiellement couvert de nuages passagers, qui seront localement plus denses. Les vents souffleront modérément, avec des rafales assez fortes près des côtes, tandis qu’ils resteront faibles à modérés à l’intérieur du pays.

La mer sera très agitée, avec de fortes vagues. Les températures nocturnes varieront généralement entre 09 et 13 degrés sur les zones côtières et dans le sud-ouest, et seront autour de 06 degrés dans les autres régions.

L’article Tunisie – Météo : ciel nuageux et mer agitée est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tunisie-Icesco : Éducation et modernité, relever le défi du développement dans le monde musulman

29. Januar 2025 um 18:00

L’éducation ne se réduit pas à un simple vecteur de savoir, mais elle devient un levier de transformation sociale, un rempart contre l’obscurantisme et une boussole pour orienter les peuples.

La Presse —Le Président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, lundi 27 janvier, au Palais de Carthage, Salem Ben Mohammed Al-Malek, directeur général de l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (Icesco). Cette rencontre a mis en lumière l’importance stratégique des secteurs de l’éducation, des sciences et de la culture pour le progrès de la Tunisie et des nations musulmanes en général. Lors de cette rencontre, le Chef de l’État a souligné que l’éducation, les sciences et la culture représentent des domaines stratégiques permettant de mesurer l’évolution des peuples. Ces secteurs nécessitent, selon lui, un travail constant pour suivre les avancées rapides du monde, notamment en matière de modernisation des programmes éducatifs et des concepts scientifiques. Kaïs Saïed a rappelé l’engagement historique de la Tunisie en faveur de ces secteurs, citant la Constitution de 2022 qui prévoit la création du Conseil supérieur de l’éducation et de l’enseignement, un mécanisme institutionnel garantissant la priorité donnée à l’éducation.

Un rempart contre l’extrémisme

Le Président de la République a également insisté sur le rôle clé de l’Icesco dans la lutte contre l’extrémisme, l’obscurantisme et le terrorisme, en plaçant l’éducation, la culture et les sciences comme première ligne de défense. Il a encouragé une action conjointe entre les États membres pour relever les défis liés aux évolutions technologiques et intellectuelles tout en renforçant les valeurs humaines.

Kaïs Saïed a affirmé, à cet égard, que l’avenir des sociétés repose sur la modernisation des systèmes éducatifs dans toutes les disciplines scientifiques. Cela garantirait un avenir prometteur pour l’humanité, a-t-il soutenu, tout en insistant sur le développement des capacités humaines et intellectuelles des peuples membres de l’Icesco.

L’Icesco renforce sa coopération avec la Tunisie

Lors de sa visite de travail, le Dr Salem Ben Mohammed Al-Malik, à la tête d’une délégation de haut niveau, a déclaré que des partenariats seraient établis avec plusieurs ministères tunisiens, notamment ceux des Affaires culturelles, de l’Éducation, et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

Enfin, il est à noter que Tunis accueillera la 45e session du Conseil exécutif de l’Icesco les 24 et 25 février prochains. Cet événement marquera une nouvelle étape dans le renforcement des liens entre la Tunisie et l’Organisation islamique.

Le défi des pays musulmans

Le développement des nations repose inévitablement sur une refonte profonde de leurs systèmes éducatifs et sur la promotion d’un apprentissage éclairé, capable de transcender les défis du présent pour bâtir un avenir durable. Cela est particulièrement vrai pour les pays musulmans, qui sont confrontés à des formes multiples d’extrémisme. Ces derniers, tels des freins insidieux, les retiennent dans le passé, alimentent les rivalités et divisions internes, sapent leur cohésion sociale et entravent leur progression vers un avenir de prospérité et de modernité.

Dans ce contexte, l’éducation ne se réduit pas à un simple vecteur de savoir ; elle devient un levier de transformation sociale, un rempart contre l’obscurantisme et une boussole pour orienter les peuples et leurs nouvelles générations. La restructuration du système éducatif ne doit donc pas se limiter à des réformes superficielles, mais s’inscrire dans une vision ambitieuse et inclusive. Une vision qui réconcilie tradition et innovation, identité et ouverture sur le monde, tout en donnant aux individus les outils nécessaires pour s’épanouir dans un monde globalisé.

L’apprentissage éclairé ne doit pas se contenter de transmettre des connaissances théoriques ; il doit préparer les individus à affronter les défis du monde réel. Il est essentiel de cultiver un esprit critique, de promouvoir la tolérance et de favoriser le respect mutuel. Ces valeurs ne doivent pas être de simples idéaux abstraits, mais des compétences concrètes et applicables au quotidien. Ce changement exige une révision des méthodes pédagogiques, une réadaptation des programmes scolaires et une sensibilisation continue aux enjeux sociaux et politiques du moment. Car seule une éducation axée sur ces principes peut réellement lutter contre les extrémismes et instaurer une dynamique de progrès durable. En formant des citoyens capables de penser par eux-mêmes, de respecter les différences et de s’engager activement dans la vie de leur communauté, on jette les bases d’une société résiliente et prête à relever les défis de demain. Pour les pays musulmans, cette approche n’est pas simplement une option, mais une nécessité impérieuse.  En puisant dans leur riche patrimoine intellectuel et culturel, tout en s’ouvrant aux outils et perspectives du monde contemporain, ces nations peuvent réinventer leur trajectoire, surmonter leurs défis internes et s’affirmer comme des modèles de développement. Dans un monde en constante mutation, cette démarche est non seulement un moyen de se réinventer, mais aussi une chance d’apporter une contribution significative au progrès mondial.

L’article Tunisie-Icesco : Éducation et modernité, relever le défi du développement dans le monde musulman est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Kairouan : D’importants travaux de réaménagement dans les écoles

29. Januar 2025 um 17:55

Il existe dans tout  le gouvernorat de Kairouan 313 écoles (71.000 écoliers) dont 48 ne sont pas raccordées aux réseaux d’eau potable, 121 sont desservies par les groupements d’intérêt collectif ayant souvent des difficultés financière, d’où les fréquentes coupures d’eau, faute de paiement des factures, et 144 écoles sont desservies par la Sonede.

Il va sans dire que cela affecte le bon déroulement de l’année scolaire, le rendement des élèves, leur santé mentale et physique et leur droit à une vie décente. D’ailleurs, on enregistre chaque année un nombre important de maladies respiratoires et d’affections dermiques chez des écoliers. C’est pourquoi il serait souhaitable de doter toutes les écoles de blocs sanitaires, d’eau potable afin de créer un environnement sécurisé pour les élèves dans des établissements propices à l’apprentissage  et au bien-être.

Par ailleurs, beaucoup d’établissements éducatifs dans le gouvernorat de Kairouan sont construits dans les années 50-60 et présentent des  fissures aux plafonds, des murs écaillés, des canalisations bouchées et rouillées, et des vitres brisées. Cela peut paraître normal malgré le danger que pose cette vétusté due au nombre de décennies, à l’humidité et au manque de rénovation. Mais quand on apprend que des écoles et des lycées récemment construits ont vécu de fâcheux incidents qui auraient pu porter atteinte à l’intégrité physique des élèves et des enseignants, on reste perplexe.

On citerait à titre d’exemple, le lycée Kairouan-Sud construit en 2006 pour une enveloppe de 2 milliards, qui souffre de vétusté et représente un vrai danger pour le corps administratif, éducatif et pour les élèves. D’ailleurs, il y a trois ans, de gros morceaux de briques sont tombés dans une salle de classe, heureusement, en dehors des heures de cours. Deux mois plus tard, le même incident s’est produit dans trois autres salles. De ce fait sur les 17 salles, 10 sont fermées et les autres classes ont été surchargées avec la présence de 40 élèves par classe.

A côté de cela, on a constaté beaucoup de fissures et d’imperfections dans les couloirs et les escaliers, des fuites d’eau dans les canalisations des blocs sanitaires…

Plus loin, on  apprend que des parties du plafond sont tombées à l’école El Aouda et  au collège 2-Mars. Heureusement, c’était pendant les vacances d’hiver.

Nous apprenons dans ce contexte que d’importants travaux d’aménagement de différents établissements scolaires sont en cours. Il s’agit notamment des travaux de rénovation du lycée «Kairouan-Sud» avec un budget de 1,1MD, outre le parachèvement du collège Ibn-Charaf pour une enveloppe de 1,6MD.

Par ailleurs, on vient d’achever les  travaux de construction de deux nouvelles salles à l’école primaire Aouled  Farhane, moyennant 240  mille dinars de fonds.

En outre, dans la délégation de Bouhajla, des travaux de rénovation vont bientôt se terminer au collège Imam-Sahnoun pour une enveloppe de 900 mille dinars.

Et dans la  délégation de Oueslatia, une  enveloppe de 420.000D a permis de rénover le foyer avec une capacité d’accueil de 290 lits.

Bientôt, réalisation d’un complexe culturel  et sportif

Afin d’offrir un environnement propice aux écoliers, aux collégiens et aux lycéens du gouvernorat de Kairouan et leur permettre de développer leur potentiel créatif tout en les protégeant des comportements à risque, un important chantier de construction d’un complexe culturel et sportif à la Cité El Mansourah (Kairouan-Sud) vient d’être mis en place.

Pour un coût global de 15,7 millions de dinars, la réalisation de cet important projet durera 360 jours pour l’aménagement de terrains de football, de basket-ball et de handball ainsi que pour la construction d’une salle de réunion, d’un foyer et d’un restaurant.

L’article Kairouan : D’importants travaux de réaménagement dans les écoles est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Wael Chouchane : La Tunisie se positionne comme pionnière de l’innovation énergétique en Afrique avec Terna Innovation Zone

29. Januar 2025 um 17:55

La Terna Innovation Zone, premier pôle d’innovation en Afrique géré par le groupe italien Terna, a été inaugurée aujourd’hui à Tunis en présence de Wael Chouchane, Secrétaire d’État chargé de la Transition énergétique, ainsi que de nombreux représentants des deux pays. Ce nouveau centre marque un tournant dans la coopération énergétique entre la Tunisie et l’Italie, en ouvrant des perspectives inédites pour l’innovation technologique et le développement durable.

Lors de la cérémonie d’inauguration, Wael Chouchane a souligné l’importance de ce projet dans le cadre de la stratégie de transition énergétique de la Tunisie, qui vise à intégrer davantage d’énergies renouvelables dans le mix énergétique national d’ici 2030.

“Ce projet illustre parfaitement la solidité de notre partenariat avec l’Italie. La Terna Innovation Zone ne représente pas seulement un pôle d’innovation, mais un véritable catalyseur pour la coopération entre nos deux pays dans un secteur stratégique”, a déclaré Wael Chouchane.

Il a ajouté que ce projet, né de la volonté commune des autorités tunisiennes et italiennes, vise à stimuler l’innovation technologique en Afrique, en soutenant les start-up et les entreprises tunisiennes œuvrant dans le domaine de l’énergie et de la transition énergétique. En outre, il favorisera le développement des compétences locales et le partage de savoir-faire entre les deux pays, tout en renforçant la sécurité énergétique régionale à travers des initiatives concrètes telles que le projet ELMED, qui prévoit la mise en place d’un câble sous-marin de haute tension reliant les systèmes électriques de la Tunisie et de l’Italie.

Chouchane a, également, précisé que le projet Terna Innovation Zone s’inscrit dans le cadre plus large du Plan Mattei pour l’Afrique, qui vise à renforcer les partenariats avec les pays africains dans les secteurs de l’énergie, de l’infrastructure et de l’innovation. “Ce projet de coopération stratégique permettra ainsi de promouvoir la transition énergétique et la durabilité tout en contribuant à la création d’emplois et à la formation de nouvelles générations de professionnels”, a-t-il souligné.

Il a ajouté que la Terna Innovation Zone est également un lieu de convergence pour les acteurs clés du secteur, des institutions gouvernementales aux entreprises privées et universités, afin de favoriser des synergies et des projets collaboratifs. Ce projet constitue ainsi un modèle d’innovation partagée et de développement durable pour l’ensemble de la région méditerranéenne et au-delà.

L’article Wael Chouchane : La Tunisie se positionne comme pionnière de l’innovation énergétique en Afrique avec Terna Innovation Zone est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Tourisme : Tozeur, une destination de plus en plus séduisante

29. Januar 2025 um 17:50

L’année écoulée a été marquée par une performance touristique exceptionnelle pour le site de Tozeur. Cette oasis du Sud tunisien a confirmé son statut de destination phare, enregistrant une croissance significative des fréquentations. Les indicateurs clés de la performance touristique témoignent d’une dynamique sans précédent.

La Presse —Les flux touristiques vers Tozeur ont connu une hausse remarquable, avec un nombre de visiteurs estimé à 155 246 personnes. Ce chiffre témoigne d’une attractivité toujours intacte de la destination et d’une solide reprise du secteur.

Les deux dernières semaines de l’année 2024 ont été particulièrement fastes, avec une augmentation de 10,7 % des arrivées, consolidant ainsi la tendance positive observée tout au long de l’exercice. Tozeur continue de séduire aussi bien les visiteurs locaux que les touristes internationaux. Le nombre de nuitées a enregistré 215 200 unités avec une augmentation de 6,1%.

De multiples leviers de croissance.

Plusieurs facteurs ont concouru à ce succès. Tout d’abord, l’amélioration de la desserte aérienne, avec notamment l’ouverture de nouvelles liaisons et le renforcement des fréquences sur les lignes existantes, a considérablement facilité l’accès à la destination. La ligne Tozeur-Paris, en particulier, a joué un rôle moteur dans l’attrait de la clientèle européenne. D’autres part, la ligne interne Tunis-Tozeur, facilitant l’accès des Tunisiens désireux de profiter des charmes du sud du pays, à la recherche du dépaysement dans la ville aux deux printemps.

Des hôtels pleins à craquer

Le dynamisme du tourisme à Tozeur s’est aussi reflété dans le taux de remplissage des unités hôtelières et les maisons d’hôtes, lequel taux atteint les 100% durant les fêtes de fin d’année. Si la majorité des visiteurs étaient des étrangers, les tunisiens n’ont pas été en reste, représentant 48% des réservations globales. Ce chiffre témoigne de l’attrait croissant pour les touristes locaux, qui redécouvrent les richesses de leur pays.

Des défis à relever

Cependant, malgré ces résultats prometteurs, un bémol subsiste au niveau des infrastructures. Le parc de voitures touristiques destinées aux randonneurs et aux visiteurs est jugé insuffisant pour répondre à la demande sans cesse croissante. Actuellement, , seulement 120 véhicules sont disponibles , contre 680 unités en 2010 .Cette diminution drastique limite les possibilités d’exploration pour les touristes souhaitant découvrir les sites reculés et les trésors cachés de la région.

Des initiatives pour soutenir la destination.

Consciente de ce défi, la Fédération tunisienne des agences de voyages (Ftav), en collaboration avec le ministère du Tourisme, travaille sur des solutions pour améliorer l’offre touristique à Tozeur. Parmi les mesures envisagées, un rabattement des prix de séjours pourrait être accordé aux Tunisiens, afin de rendre la destination encore plus accessible aux familles locales et renforcer le tourisme interne.

Tozeur s’impose comme une destination incontournable pour les amateurs de nature et de culture. La valse heureuse des chiffres témoigne de la vitalité du secteur touristique local et de la capacité de la destination à s’adapter aux évolutions du marché.

L’article Tourisme : Tozeur, une destination de plus en plus séduisante est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Vie associative : Le défi des bénévoles de Sallakta

29. Januar 2025 um 17:45

Entendue il y a une dizaine de jours dans la rubrique «Vie associative» d’une radio privée, l’interview d’une responsable de l’association dite Sallakta nature qui se présente comme une «association avec une équipe de bénévoles travaillant sur la pollution plastique des plages et dans la nature dont l’objectif est de changer les mentalités et d’impliquer les citoyens».

Cette organisation a pour siège la localité côtière de Sallakta, dans le gouvernorat de Mahdia. Interrogée par notre jeune consœur sur les débuts de son action au sein de cette organisation, l’invitée a expliqué dans quelles circonstances son initiative avait démarré. Cela avait commencé par une action qu’elle avait entreprise en compagnie d’un autre acteur et qui consistait, chaque dimanche, à se rendre sur la plage de leur ville, l’une des plus belles de Tunisie mais qui, hélas, et à l’instar de la plupart des plages du pays, se transformait petit à petit en décharge pour toutes sortes de déchets. Armés de gants et de grands sacs, ils se mettaient, une heure durant, à ramasser tout ce qui leur tombait sous la main, en particulier du plastique sous toutes ses formes.

Usant même de la provocation, ils ne reculent pas à apostropher leurs concitoyens pour dénoncer leur passivité

Leur persévérance a fini par accrocher l’attention de quelques familiers de cette plage qui, après avoir fait meilleure connaissance avec ces dévoués du dimanche, ont décidé de se joindre au couple. Et sont devenus assidus à ce rendez-vous hebdomadaire. Pressentant un intérêt plus étendu au sein de la population, les initiateurs ont décidé de recourir aux réseaux sociaux pour porter à la connaissance du public le plus large la nature de leur action. Ils ont entrepris d’agir sur deux axes: la sensibilisation et l’incitation à l’action. Ils se sont mis à diffuser des photos et des vidéos sur les souillures dont les riverains et les vacanciers affligeaient à une côte à faire pâlir de jalousie des sites naturels bien plus réputés. Usant même de la provocation, ils ne reculent pas à apostropher les usagers pour dénoncer leur passivité en leur lançant par exemple : «Venez découvrir notre belle région de Sallakta, son charme et ses vacanciers qui, en ce jour de vote et de fête de la Mer, sont fiers de vivre dans ses poubelles» et de montrer des estivants étendus sur le sable autour d’un conteneur débordant de déchets !

Parallèlement, l’association a ouvert grand la porte à la participation des citoyens à cette action qui n’a cessé de prendre de l’ampleur en annonçant à l’avance les rendez-vous hebdomadaires en en désignant l’heure et le point de ralliement. Inutile d’épiloguer sur le succès de la formule qui est devenue pour ainsi dire le sport local favori au point que la plage de Sallakta est redevenue la plus belle de la région. Bien plus : l’initiative a été reprise par les localités du voisinage, même celles qui ne sont pas dotées de plage ! Et on ne voit aucune raison pour qu’elle ne s’étende pas, de proche en proche, à tout le pays. Et prouver l’efficacité de l’engagement citoyen face à l’inanité bureaucratique.

L’article Vie associative : Le défi des bénévoles de Sallakta est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Pourquoi – Bonne initiative… éphémère

29. Januar 2025 um 17:40

A la rentrée scolaire 2024/25, nous avons constaté  du moins devant les écoles qui étaient sur notre chemin — la présence de 2 agents de police qui montaient la garde. Bien que discrète, cette présence avait l’avantage de calmer les ardeurs des élèves et surtout d’éloigner les délinquants qui pullulent dans les parages.

Mais voilà que, depuis quelque temps, ces sécuritaires ont disparu de la circulation et, profitant de cette situation, les délinquants ont fait leur grand retour au grand dam des parents.

L’article Pourquoi – Bonne initiative… éphémère est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

❌
❌