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Crash aérien en Inde : un seul survivant retrouvé

12. Juni 2025 um 18:33

Un Boeing 787-8 Dreamliner de la compagnie Air India, assurant la liaison entre Ahmedabad (nord-ouest de l’Inde) et Londres, s’est écrasé peu après son décollage le jeudi 12 juin 2025, provoquant la mort de la quasi-totalité des 242 personnes à bord. L’accident a également causé de lourdes pertes humaines au sol, portant le bilan total à plus de 290 morts, selon les autorités locales. Un seul passager a survécu.

Le drame s’est produit quelques minutes après le départ de l’aéroport international Sardar Vallabhbhai Patel, l’un des plus fréquentés du pays. L’avion, qui avait décollé à 13h39 heure locale, a perdu de l’altitude brutalement et s’est écrasé dans un quartier résidentiel à proximité des pistes. Les secours ont rapidement été déployés, épaulés par du personnel militaire. Les opérations de recherche ont permis de retrouver 204 corps et de prendre en charge 41 blessés sur les lieux, victimes pour la plupart de l’effondrement des bâtiments touchés par l’impact.

Seul survivant : un Britannique d’origine indienne

Parmi les 242 personnes à bord – 169 Indiens, 53 Britanniques, 7 Portugais, un Canadien, ainsi que les 12 membres d’équipage – un seul passager a survécu : Vishwash Kumar Ramesh, un homme de 40 ans, ressortissant britannique, qui occupait le siège 11A. Hospitalisé à Ahmedabad, il souffre de blessures au thorax, aux yeux et aux pieds.

Dans un témoignage relayé par la presse indienne, il décrit une scène d’horreur : « Trente secondes après le décollage, un grand bruit a retenti, puis l’avion s’est écrasé. Tout s’est passé si vite. » Il affirme avoir retrouvé ses esprits au milieu des débris et des corps, avant d’être secouru et emmené à l’hôpital. Il était en Inde pour rendre visite à sa famille et devait rentrer chez lui à Londres. Son frère, également présent sur le vol, est toujours porté disparu.

Circonstances floues et enquête internationale

À ce stade, les causes exactes de l’accident ne sont pas connues. Le régulateur indien de l’aviation civile a indiqué que l’appareil a décroché peu après son envol, sans perte de contrôle visible ni signe apparent de défaillance technique (fumée ou explosion). L’équipage avait toutefois lancé un appel de détresse avant que le contact ne soit définitivement perdu.

Il s’agit du premier crash impliquant ce modèle de Boeing 787-8 Dreamliner depuis sa mise en service en 2011. Boeing a déclaré « travailler à la collecte d’informations » et a adressé ses condoléances aux familles des victimes. L’annonce de l’accident a provoqué une chute de plus de 4 % de l’action du constructeur américain à l’ouverture de Wall Street.

Des équipes d’enquêteurs britanniques et américains ont été dépêchées sur place pour assister leurs homologues indiens dans les investigations, conformément aux protocoles de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI).

Soutien aux familles des victimes

Le groupe Tata, principal actionnaire d’Air India, a annoncé qu’il prendra en charge les frais médicaux des blessés et versera une indemnisation de 10 millions de roupies (environ 100 900 euros) à chaque famille endeuillée. « C’est avec une profonde tristesse que je confirme l’implication du vol AI 171 dans ce tragique accident », a déclaré le PDG de la compagnie, Natarajan Chandrasekaran, sur les réseaux sociaux.

En attendant les conclusions officielles de l’enquête, les autorités ont suspendu le trafic à l’aéroport d’Ahmedabad. Le pays est en état de choc face à cette catastrophe qui figure parmi les plus meurtrières de l’histoire de l’aviation civile indienne.

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Un Boeing 787 d’Air India s’écrase après son décollage avec 244 personnes à bord

Un avion de la compagnie Air India, un Boeing 787-8 Dreamliner assurant le vol AI 171 entre Ahmedabad et Londres–Gatwick, s’est écrasé aujourd’hui peu après son décollage. À son bord se trouvaient 244 personnes (232 passagers et 12 membres d’équipage).

Le Dreamliner a passé seulement 625 pieds d’altitude avant que le contact ne soit perdu, moins d’une minute après le décollage à 13 h 38. Il s’est écrasé dans le quartier résidentiel de Meghani Nagar, à proximité du périmètre de l’aéroport, provoquant une explosion et un épais nuage de fumée noire, visible depuis plusieurs kilomètres.

Immédiatement après l’impact, les services de secours – équipes de pompiers, ambulances, police et unités de l’armée – ont été dépêchés sur place. Le Premier ministre Narendra Modi a ordonné que toutes les ressources nécessaires soient mobilisées « sur un pied de guerre » pour prendre en charge les victimes, selon India Today

Les autorités ont confirmé la présence de 169 citoyens indiens, 53 Britanniques, 7 Portugais et 1 Canadien à bord. Parmi les passagers se trouvait également l’ancien Chief Minister du Gujarat, Vijay Rupani.

Cet accident constitue la première catastrophe grave impliquant un Boeing 787 Dreamliner depuis sa mise en service en 2009. Les actions Boeing ont chuté de près de 7% à l’annonce de l’accident.

Une enquête a été lancée par la DGCA (Autorité indienne de l’aviation civile), avec le support de Boeing et de l’Aircraft Accident Investigation Bureau, pour déterminer les causes précises de l’accident.

Aucune information officielle n’a encore été publiée concernant le nombre de victimes ou de survivants. Le gouvernement et la compagnie Air India ont mis en place un centre d’urgence pour les familles.

✈🇮🇳 ALERTE – Un avion d'Air India à destination de Londres avec 242 PASSAGERS à son bord s'est écrasé peu après son décollage, près d'Ahmedabad, en Inde. (ANI) pic.twitter.com/db8FYtKUnE

— Mediavenir (@Mediavenir) June 12, 2025

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Moscou et New Delhi tournent le dos au dollar

21. August 2025 um 12:53

Le premier vice-Premier ministre russe, Denis Manturov, affirme que la part des règlements entre la Russie et l’Inde en monnaies nationales a dépassé les 90%. C’était lors d’une réunion de la commission intergouvernementale russo-indienne.

« Il est important de garantir des règlements mutuels ininterrompus, surtout dans les circonstances actuelles. Nous avons déjà réussi à convertir plus de 90% des paiements entre la Russie et l’Inde en monnaies nationales », a déclaré Manturov.

Les deux pays continueront à renforcer la coopération dans le secteur bancaire, ajoute-t-il, soulignant la « nécessité de renforcer l’interaction entre les banques dans le secteur des assurances ».

L’ambassadeur de Russie en Inde, Denis Alipov, affirme que les deux pays avaient enregistré des « succès significatifs » en surmontant les obstacles liés aux règlements mutuels en devises fortes et étaient engagés dans un dialogue actif sur l’intégration des systèmes de paiement.

Par ailleurs et dans le cadre des échanges commerciaux, il est souligné que New Delhi importerait à peu près la même quantité de pétrole russe malgré les récents développements… « L’Inde se rend compte qu’il n’y a aucune chance de changer ses approvisionnements et que les profits sont trop élevés pour elle », a-t-il poursuivi, selon Reuters.

Le secrétaire américain au Trésor, Scott Bessent, a déclaré mardi 19 août que l’Inde ferait partie des pays soumis à des droits de douane supplémentaires parce que l’achat de pétrole russe par l’Inde était inacceptable.

Il a ajouté que l’Inde tire profit de ses achats de pétrole russe, l’achetant à bas prix puis le revendant à un prix plus élevé. « L’Inde a réalisé d’énormes profits en vendant du pétrole russe pendant la guerre en Ukraine ».

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Sommet USA-Russie : la Chine, l’autre gagnante en coulisses

17. August 2025 um 12:00

La Russie a entraîné, dans sa nouvelle “victoire“ face aux Etats-Unis, un autre allié, la Chine.

On vous explique comment. Poutine et Trump se rencontrés, vendredi 15 août en Alaska dont l’objectif était de trouver une issue à la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Sur ce point, c’est le fiasco total pour Trump qui, rappelons-le, avait clamé lors de la campagne des élections présidentielles américaines de novembre, s’il est élu, allait régler le conflit russo-ukrainien en 24 heures. Or plus de sept mois après son installation à la Maison Blanche, c’est l’impasse, pardon c’est pire pour les Ukrainiens, étant donné qu’entre temps, Trump a réduit l’aide militaire américaine, ce qui a permis aux Russes de renforcer leurs positions sur le terrain.

Revenons maintenant sur les résultats du sommet de l’Alaska du vendredi 15 août 2025. Pas de cessez-le-feu, pas d’accord sur la fin de la guerre, et par-dessus tout pas de sanctions américaines contre Poutine et son armée. Il s’y ajoute un autre cadeau qui risque de faire mal à l’Ukraine : Trump donne quitus à la Chine d’acheter à volonté le pétrole et l’énergie russes. Il est même possible que l’Inde – qui s’est vu imposée d’importantes taxes douanières (50 %) à cause de la Russie – en profite.

Selon plusieurs médias, Donald Trump dit avoir renoncé à surtaxer la Chine « en raison de ses achats de pétrole russe », et ce suite aux « progrès qu’il déclare avoir réalisés avec Vladimir Poutine afin de mettre fin à la guerre en Ukraine ».

Connu pour ses pirouettes, le président américain a pour le moment déclaré qu’il s’abstiendrait de faire de taxer la Chine comme il l’a fait avec l’Inde. « J’y réfléchirai peut-être dans deux ou trois semaines, mais nous n’avons pas à y penser maintenant ». Ajoutant que « la rencontre avec Poutine s’est bien passée ».

Rappelons également qu’au début du mois d’août, le président américain avait menacé de « droits de douane supplémentaires les pays qui achetaient du pétrole et du gaz russes ». On aura compris qu’il s’agissait d’un moyen de mettre la pression sur Poutine afin qu’il participe à des négociations sur l’Ukraine.

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Asim Munir, le nouvel homme fort du Pakistan, se rapproche de Donald Trump

08. August 2025 um 09:30

Au Pakistan, l’armée a toujours été puissante cependant des dynasties politiques ont souvent occupé le devant de la scène à l’instar des Bhutto et des Sharif ou bien des personnalités comme l’ancienne gloire du cricket Imran Khan mais aujourd’hui, l’homme dont tout le monde parle n’est ni le président Asif Ali Zardari (veuf de Benazir Bhutto) ni le Premier ministre Shahbaz Sharif qui a été reçu à déjeuner par le président américain mais le chef de l’armée le maréchal Asim Munir. Des signes positifs apparaissent notamment dans le domaine militaire après des années de tumulte entre Washington et Islamabad. En même temps, l’Inde semble tomber en disgrâce aux yeux du président américain.

Imed Bahri

Dans une enquête consacrée au nouvel homme fort du Pakistan, The Economist rapporte que le chef de l’armée pakistanaise, vivement critiqué pour son ingérence politique, ne souhaite rien d’autre que des relations privilégiées avec les États-Unis et les éloigner de l’Inde. 

Le magazine britannique indique que le déjeuner en privé entre le maréchal et Donald Trump après la brève guerre entre le Pakistan et l’Inde reflète un changement de la politique américaine concernant l’Inde, la Chine et le Moyen-Orient.

Le Pakistan, accablé par la dette et la violence des insurgés, avait été marginalisé de la scène géopolitique pendant une longue période, durant laquelle les États-Unis et d’autres pays riches courtisaient l’Inde, grande rivale d’Islamabad.

Après la détérioration des relations étroites entre les États-Unis et le Pakistan suite à l’assassinat du chef d’Al-Qaïda, Oussama ben Laden au Pakistan en 2011, Trump avait salué un nouvel accord commercial avec le Pakistan, qualifié l’Inde d’économie morte et lui a imposé des droits de douane de 25%.

Le Pakistan à un tournant

The Economist estime que les États-Unis et le Pakistan reconstruisent actuellement leurs relations en mettant l’accent sur le commerce, la lutte contre le terrorisme et les consultations sur la politique au Moyen-Orient. Les États-Unis pourraient à nouveau vendre des armes au Pakistan, qui reçoit actuellement environ les quatre cinquièmes de ses armes de Chine. Cela signifie que la politique pakistanaise est également à un tournant. 

Bien que l’ex-chef de gouvernement destitué et ancien joueur de cricket aujourd’hui emprisonné Imran Khan bénéficie toujours d’un large soutien populaire, la popularité du maréchal Munir a explosé depuis la guerre avec l’Inde et des rumeurs circulent selon lesquelles il pourrait également devenir président, inaugurant ainsi un quatrième mandat de régime militaire pour le Pakistan depuis son indépendance en 1947.

Le magazine britannique a averti que l’avenir du deuxième plus grand pays musulman du monde et ses relations avec l’Amérique, l’Inde et la Chine dépendent de plus en plus des souhaits précis du maréchal Munir. Le porte-parole de l’armée pakistanaise, le général Ahmad Sharif Chaudhry, a déclaré que les rumeurs d’une accession du maréchal à la présidence étaient «absurdes».

Un homme pieux et pragmatique

Contrairement à la plupart des commandants militaires, le maréchal est le fils d’un imam a été éduqué dans une école religieuse et connaît le Coran par cœur. Il est le premier chef d’état-major pakistanais à ne pas avoir reçu de formation aux États-Unis ou en Grande-Bretagne. Cependant, Chaudhry affirme qu’il connaît parfaitement l’Occident et s’oppose fermement aux groupes djihadistes opérant sur le sol pakistanais.

Certains de ceux qui ont rencontré le chef d’état-major le décrivent comme un homme pieux et pragmatique, s’intéressant vivement à l’économie et admirant les efforts de modernisation menés par le prince héritier Mohammed ben Salmane en Arabie saoudite. Ils le décrivent également comme vindicatif, colérique et doté d’un plus grand goût du risque que son prédécesseur qui privilégiait une diplomatie discrète, finalement vaine avec l’Inde.

Dans un discours prononcé par le maréchal Bhutto avant la récente guerre avec l’Inde, certains ont suggéré qu’il improvisait lorsqu’il évoquait l’impossibilité d’une coexistence hindoue-musulmane au sein d’un seul État, décrivant le Cachemire comme la «veine de l’Inde». Chaudhry a déclaré que le maréchal a exprimé ce qu’il représente et ce pour quoi il est prêt à mourir, en partie en réponse à la montée du nationalisme hindou en Inde, porté par le Premier ministre Narendra Modi.

Si les ambitions politiques d’Asim Munir sont incertaines, certains spéculent sur sa possible accession prochaine à la présidence, capitalisant sur sa popularité nationale et le penchant de Trump pour les hommes forts. Cela consoliderait son pouvoir et atténuerait le risque qu’un gouvernement civil moins obéissant le remplace à la tête de l’armée à l’expiration de son mandat actuel en 2027.

Le journal s’attend à ce que le maréchal bénéficie du soutien américain, après avoir récemment été salué pour avoir tué et capturé des dirigeants d’une branche locale de l’État islamique.

A mi-chemin entre les Etats-Unis et la Chine

Le Pakistan est également présenté comme pouvant promouvoir les intérêts américains auprès de l’Iran et ses efforts pour persuader davantage de pays musulmans d’établir des relations diplomatiques avec Israël.

Les États-Unis ont en effet assoupli leurs critiques à l’égard du programme pakistanais de missiles balistiques à longue portée, que les responsables de l’administration de l’ancien président Joe Biden considéraient comme une menace pour l’Amérique. Ils ont également repris certains programmes d’aide et envisagent de vendre des armes, notamment des véhicules blindés et des lunettes de vision nocturne, pour aider le Pakistan à combattre les insurgés locaux.

The Economist conclut que le maréchal souhaite construire une relation plus durable et multiforme avec les États-Unis, malgré le climat d’investissement défavorable au Pakistan et la méfiance mutuelle entourant la lutte antiterroriste. Cela intervient à un moment où le Pakistan s’efforce de garantir que sa relation avec les États-Unis ne se fasse pas au détriment de la Chine.

Quant à son ennemi, l’Inde, le maréchal Munir Asim souhaite l’amener à la table des négociations, même si son Premier ministre, Narendra Modi, est déterminé à résister et s’est engagé à répondre à toute nouvelle «attaque terroriste» par une nouvelle action militaire.

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