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Snapshot – Tozeur : Ces fours de potiers surgis de l’Antiquité

09. Oktober 2025 um 09:16

A Tozeur, le quartier des potiers est animé par une douzaine de familles qui y produisent les emblématiques briques pleines qui donnent son caractère à la capitale du Djerid.

Délogés du centre-ville il y a trente ans, les potiers ont été installés en périphérie de Tozeur et continuent à utiliser des fours dont l’origine antique est confirmée par des structures similaires visibles dans les vestiges de la Carthage punique.

Rustiques et techniquement efficaces, ces fours sont ainsi un héritage de l’Antiquité tunisienne. Chaque mois, on y produit des milliers de briques et de pavés qui sortent des mains expertes d’artisans qui possèdent un savoir-faire immémorial.

Lire aussi : Snapshot – Sud Tunisie : Depuis juin, on se baigne à Tamerza

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Snapshot – Sud Tunisie : Depuis juin, on se baigne à Tamerza

08. Oktober 2025 um 08:57

Les cascades de Tamerza sont l’un des lieux les plus visités dans le sud-ouest de la Tunisie. Elles se trouvent dans l’une des trois oasis de montagne que sont Tamerza, Chebika et Mides.

Depuis le mois de juin, une piscine a été installé au pied des cascades. Elle prend la forme d’un vaste bassin et offre la possibilité d’un bain aux nombreux visiteurs du site.

Au milieu de falaises et encaissé sous les cascades, cette piscine est devenue la nouvelle attraction de Tamerza.

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Degla fi aranjinha : Ça promet pour la saison des dattes !

07. Oktober 2025 um 14:23

Dans l’oasis de Douz, les régimes de dattes sont proches de la maturité alors que la saison de la cueillette bat son plein.

Partout, protégés par des films ou à l’air libre, les fruits attendent d’être cueillis et rejoindre les marchés.

La saison des dattes s’annonce prometteuse aussi bien en termes de qualité que de prix. De bon augure !

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Snapshot – Tozeur : Le musée de la médina ouvre bientôt

07. Oktober 2025 um 14:12

Bonne nouvelle pour la Perle du Djerid ! L’ancienne maison de la famille Ben Azzouz va être transformée en musée de l’histoire de Tozeur à l’initiative du ministère des Affaires culturelles.

Actuellement en cours de restauration, cette ancienne demeure de la médina de Tozeur est également connue comme Dar El Gaied. Elle a dans un passé proche accueilli des initiatives associatives.

Ce musée à venir ne manquera pas de renforcer davantage l’animation touristique à Tozeur.

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Djerba : La beauté mystique de la mosquée Sidi Yati

06. Oktober 2025 um 09:01

Lorsqu’ils le peuvent, les visiteurs de l’île de Djerba ne manquent pas de visiter la mosquée côtière de Sidi Yati, un sanctuaire édifié au dixième siècle, non loin de Guellala, au sud de l’île.

Aujourd’hui désaffectée, cette mosquée qui surplombe la mer, surprend par l’aura mystique qui s’en dégage ainsi que son architecture dépouillée et la chaux blanche qui recouvre ses murs.

Dédiée au cheikh Yati El Mistawi, cette mosquée ibadite a comme plusieurs autres servi de tour de guet et s’insère dans un réseau défensif côtier qui évoque les ribats.

Construit au-dessus d’un promontoire, ouvert sur la mer, ce monument reçoit beaucoup de visiteurs autant attirés par le magnétisme du lieu que par la découverte d’un édifice historique témoignant de la tradition ibadite.

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A Beit El Hikma : Nouveaux horizons pour la publication scientifique

06. Oktober 2025 um 08:54

L’Académie tunisienne Beit El Hikma accueille mardi 7 octobre à 9h une importante rencontre organisée par Justech, la plateforme Al-Fikr et son partenaire Cairn.info. Cette rencontre portera sur les nouveaux horizons de la publication scientifique en Tunisie et plus largement à la publication numérique tunisienne.

La journée d’échanges commencera par la présentation des structures organisatrices, à savoir Justech et Al-Fikr. Le projet de ces opérateurs sur les bibliothèques numériques, leur partenariat avec Beit El Hikma et leurs coopérations éditoriales seront au cœur de ce rendez-vous.

En outre, le partenariat stratégique entre Cairn.info et Al-Fikr sera également mis en exergue.

Pour leur part, les représentants de Cairn.info présenteront cette plateforme très prisée par le public universitaire tout en évoquant les enjeux, perspectives et apports des plateformes numériques dans l’écosystème éditorial et académique.

La journée se terminera par la remise du prix Cairn.info et Al-Fikr de la recherche tunisienne.

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Entre Carthage et le Kram : L’espace culturel Vérand’Art vient de naître

04. Oktober 2025 um 12:24

En bord de mer, face au Bou Kornine, un nouvel espace culturel multidisciplinaire vient de voir le jour. Joliment nommée Vérand’Art, cette initiative devrait prochainement ouvrir ses portes et accueillir expositions, rencontres et spectacles de poche.

C’est entre Carthage Salammbô et le Kram que se trouve ce nouvel espace dédié à la culture. Nous y reviendrons.

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Nostalgies : Personne n’a oublié le Capt’ain Swing !

04. Oktober 2025 um 10:28

Comme il était aussi trappeur, Capt’ain Swing est vite devenu aussi populaire que Blek le Roc. Ses aventures ont commencé à paraître en juillet 1966 et avaient vite fait de cartonner.

Accompagné de ses acolytes Hibou Lugubre et Mister Bluff, Swing était le chef des Loups de l’Ontario qui se battaient pour l’indépendance.

Cette deuxième similitude avec le Grand Blek avait contribué à la popularité du Capt’ain Swing.

Par ailleurs, les lecteurs de ce magazine illustré appréciaient beaucoup les aventures de Puma Noir, le catcheur séminole aux mille bottes secrètes. Cette série captivante paraissait en deuxième partie de la publication.

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Anniversaire : Les 105 ans du Club Africain

04. Oktober 2025 um 10:12

Fondé le 4 octobre 1920, le Club Africain célèbre aujourd’hui son anniversaire et 105 ans au service du sport et de la culture.

Nous l’avons presque oublié mais à ses débuts, l’association sportive née à Bab Djedid animait une troupe de théâtre et avait fortement participé à la fondation de la Rachidia, l’Institut de musique tunisienne.

Le Club Africain peut aujourd’hui se prévaloir d’un bilan sportif éloquent et de sa vocation de pépinière de talents dans plusieurs disciplines.

Équipe enthousiaste, soutenue par un public présent dans toutes les régions de Tunisie et aussi dans plusieurs pays étrangers, le Club Africain poursuit son aventure sportive, finit toujours par dépasser les écueils et milite inlassablement pour le sport.

Bon anniversaire à la grande famille clubiste et tous nos vœux de succès.

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Une page d’histoire : Qui était Richard Wood, consul britannique en Tunisie ?

03. Oktober 2025 um 10:43

M’étant retrouvé devant un portrait de Sir Richard Wood – une peinture à l’huile réalisée en 1877 par un artiste dont seules les initiales L.M sont connues -, je me suis souvenu que cet homme qui fut un consul général britannique à Tunis, était aussi le premier à avoir habité l’actuelle résidence des ambassadeurs du Royaume-Uni en Tunisie.

Ce tableau a longtemps accompagné Richard Wood. Réalisé deux ans avant son départ de Tunis, il le suivit à Nice puis à Livourne où il a vécu après sa retraite. À sa mort en 1900 à Bagni di Lucca en Toscane, ses héritiers se transmirent ce portrait et finirent en 1957, par l’offrir aux ambassadeurs britanniques à Tunis pour que le tableau retrouve son berceau et peut-être son emplacement original dans la salle à manger du palais Ben Ayed à la Marsa.

Aujourd’hui, près d’un siècle et demi après, l’œuvre est toujours sur les murs ornés de céramiques de la résidence. Mystérieux et profond, le regard de Richard Wood est toujours bien présent, nimbé d’un halo de lumière et semblant réfléchir au temps imperturbable et rêver aux nombreux étés à La Goulette qu’il passa en famille après sa retraite.

[Né en 1806, décédé en 1900, Richard Wood était un diplomate britannique qui après des missions à Istanbul et Damas fut consul à Tunis de 1855 à 1879.

La carrière de Wood s’étendit sur plus de quarante ans alors que l’ Empire ottoman était en déclin et que les Britanniques gagnaient en puissance au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

Parlant couramment le turc, le français, le grec et l’italien, Wood quitta la Syrie où il se trouvait en mission, pour occuper le poste de consul britannique à Tunis . Il resta consul général dans la Régence de Tunis jusqu’en 1879.

Peu après son arrivée, Wood persuada le bey de lui accorder comme résidence une maison inachevée à La Marsa , près de Carthage, abandonnée par le trésorier Mahmoud Ben Ayed en fuite, et de financer son achèvement selon ses plans. Connue sous le nom de Bordj Ben Ayed, cette demeure se dresse sur un terrain d’environ six hectares et constitue toujours la résidence des ambassadeurs britanniques en Tunisie].

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Commerce : Des progrès importants avec le Royaume-Uni

02. Oktober 2025 um 10:15

Les importations du Royaume-Uni en provenance de Tunisie ont atteint selon des chiffres actualisés en mai 2025, le montant de 489 millions de livres sterling (environ 1,9 milliard de dinars). Quant aux exportations britanniques vers la Tunisie, elles sont de 264 millions de livres sterling (environ 1 milliard de dinars).

Ces chiffres qui gagnent en volume soulignent les progrès des échanges bilatéraux entre les deux pays. Ces échanges sont encadrés depuis 2011 par un accord d’association Tunisie-Royaume-Uni et ont atteint 753 millions de livres sterling (2952 millions de dinars), témoignant de l’importance des liens économiques entre nos deux pays.

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La compagnie aérienne polonaise LOT de retour en Tunisie

02. Oktober 2025 um 10:02

Des négociations sont actuellement en cours pour un prochain retour de la compagnie aérienne polonaise LOT en Tunisie. Le ministère des Transports devrait donner son aval dans le but de poursuivre la consolidation des flux touristiques à partir des aéroports polonais en direction de la Tunisie.

À l’heure actuelle, près de 350.000 touristes polonais ont visité notre pays en 2024. Ils devraient être plus nombreux cette année. Cette progression est d’ailleurs continue puisque les tours-opérateurs polonais préparent déjà les campagnes promotionnelles pour 2026.

Pour le moment, le trafic aérien à partir de la Pologne se fait via l’aéroport d’Enfidha avec de nombreux vols charters tous complets à chaque rotation.

Un retour de la LOT dans le ciel tunisien pourrait augmenter les flux puisque les vols réguliers qui seront créés permettront de transporter aussi bien des voyageurs en long week-end que des voyageurs d’affaires.

La LOT a fait part de son intérêt pour le marché tunisien et reste dans l’attente d’une décision des autorités tunisiennes.

Enfin, il importe de souligner que non seulement les touristes polonais mais aussi de nombreux touristes tchèques et ukrainiens voyagent en Tunisie à partir de la Pologne.

Ainsi, le retour de la LOT en Tunisie impactera tous les flux aériens en provenance d’Europe centrale et de l’est.

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Mémoire : Lamine Bey, cet oublié de notre histoire contemporaine

01. Oktober 2025 um 09:38

La date du 30 septembre correspond à un anniversaire que la plupart d’entre nous, avons oublié. En 1962, à cette date s’éteignait Lamine Bey qui, désormais repose au cimetière Sidi Abdelaziz, à la Marsa.

Sans hésitation, fort de nombreuses lectures et de dizaines de témoignages, j’affirme avec beaucoup d’autres, que Lamine Bey fut un grand homme qui a mérité de la Tunisie et devrait être entouré de l’auréole de notre reconnaissance.

L’année dernière, soixante ans après sa disparition, j’avais écrit un plaidoyer peut-être bref voire lapidaire mais dont je confirme chaque mot honorant la mémoire du dernier bey husseinite.

« Nous parlons de plus en plus de devoir de mémoire et honorons les grands de notre passé proche en donnant leur nom à des rues et des avenues.

Récemment, Moncef Bey ou Tahar Ben Ammar voyaient des artères dédiées à leur mémoire alors que pratiquement tous les compagnons de route de Bourguiba ont connu le même honneur posthume.

Le grand oublié de ces remémorations reste Lamine Bey dont la mémoire et l’apport à la nation tunisienne continuent à être relativisés voire occultés.

Souverain régnant à l’Indépendance, Lamine Bey a été détrôné par la République qui s’est ensuite acharnée sur lui et sa famille.

Ce péché originel de la République tunisienne n’a jamais été véritablement interrogé. Qu’est-ce qui avait poussé le pouvoir de l’époque à s’acharner sur le dernier bey régnant?

Pourquoi soixante ans après les faits garde-t-on Lamine Bey sous le boisseau alors que sa sépulture et sa mémoire méritent d’être honorées?

Ce bey n’était ni plus ni moins patriote que tous les Tunisiens de son époque. Discret, il a aussi su mener les négociations pour l’indépendance sans avoir l’air d’y toucher en donnant son aval à tous les négociateurs.

Il appartient aux historiens de rétablir ce bey dans ses droits et à nous tous de redécouvrir son rôle dans le mouvement national tunisien.

Et peut-être qu’un jour prochain, une avenue Lamine Bey permettra de rendre l’hommage qu’il mérite à ce dernier bey husseinite ».

J’ajouterai que la balle est clairement dans le camp des historiens. Car le règne d’une quinzaine d’années de Lamine Bey, reste un angle aveugle dans notre histoire contemporaine. Un interdit tacite pèse depuis 1957 sur sa vie et son œuvre et seules de trop rares études ont abordé ces pages d’histoire en regard de ce qu’a pu apporter Lamine Bey.

De fait, cette occultation incarne absolument nos contentieux avec notre propre histoire et notre propension à l’oubli. Alors qu’ailleurs s’épanouit le phénomène de la cancel culture, nous en sommes encore à nous réapproprier notre propre histoire.

A bien y regarder, les pouvoirs successifs en Tunisie, ont bel et bien pratiqué une forme de cancel culture et toujours tenté d’effacer ce qui les avait précédés. Ces dénis de mémoire sont troublants et répétitifs : Bouguiba persécutant Lamine Bey, Ben Ali effaçant Bourguiba, Ennahdha face à l’héritage destourien.

Non qu’il faille instituer des réflexes révisionnistes, plutôt sortir des occultations et des stratégies de l’effacement. Depuis l’Indépendance et la République, tant de différences ont été gommées jusqu’à aboutir à un legs monochrome d’où ont été évacuées les communautés minoritaires et les actifs de ceux qui tenaient les rênes avant ceux qui leur ont succédé.

Il en a résulté une profonde amnésie et des liens distendus avec une histoire immédiate qui ne cesse se défaire à l’aune du volatile instant présent.

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Snapshot – La Marsa : El Abdellia, ce monument qui ne sert à presque rien

01. Oktober 2025 um 09:21

Datant de la lointaine époque hafside, le palais El Abdellia est non seulement l’un des plus importants monuments de la Marsa mais aussi l’unique édifice du onzième siècle demeuré en l’état.

Mine d’or pour les chercheurs, palais ayant connu plusieurs époques, El Abdellia est d’une beauté et d’un dépouillement incomparables dans l’architecture palatiale tunisienne.

Censé accueillir un centre culturel international relevant du ministère des Affaires culturelles, ce palais n’a en réalité aucune activité publique ni calendrier d’événements. Ainsi, il reste techniquement fermé et ne reçoit presque pas de visiteurs.

Sans la municipalité de la Marsa, les espaces verts du palais seraient en friche alors que l’ensemble pourrait à merveille être reconverti en musée.

Jusqu’à quand ce palais sera-t-il délaissé par ceux qui en ont la gestion ? Une question pour le moment sans réponse.

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Arts plastiques : Olga Malakhova revient avec Les Belles de Carthage

01. Oktober 2025 um 09:14

La nouvelle collection de l’artiste Olga Malakhova sera présentée du 12 octobre au 12 novembre à l’espace d’art Imagin’ à Carthage Dermech.

Poursuivant ses recherches dans le domaine du patrimoine tunisien, Olga Malakhova prend le prétexte de mosaïques antiques pour célébrer les femmes carthaginoises qu’elles soient mythiques comme Salammbô ou Sophonisbe, ou bien simples matrones laborieuses.

Cette nouvelle collection, fruit de trois années de travail, confirme le regard inspiré d’Olga Malakhova sur le legs immémorial tunisien et présente une quarantaine de tableaux de divers formats sur toile et sur bois.

Le vernissage de l’exposition aura lieu dimanche 12 octobre de 11h à 19h à l’espace d’art Imagin animé par Myriam Ben Rachid Mestiri.

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Liaisons aériennes : Pour booster le tourisme, 8 vols chaque jour entre la Tunisie et le Royaume-Uni

30. September 2025 um 09:09

Le tourisme britannique en Tunisie reprend des couleurs et continue à progresser. Ainsi, plus de 400.000 visiteurs britanniques ont séjourné en Tunisie durant les premiers trimestres de 2025. Ces chiffres représentent une progression de 60% par rapport à l’année précédente.

À l’heure actuelle, plus de 60 vols par semaine desservent les aéroports d’Enfidha et de Djerba avec 56 rotations pour Enfidha et 4 autres à Djerba.

Ces chiffres représentent une moyenne de 8 vols par jour en provenance du Royaume-Uni.

Cette amélioration de la connectivité aérienne conjuguées à plusieurs campagnes promotionnelles ciblées constituent de nouveaux atouts pour la progression et la diversification du tourisme britannique en Tunisie.

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La Goulette : Une messe à la mémoire de Claudia Cardinale

29. September 2025 um 08:47

L’église Saint-Fidèle et Saint-Augustin de la Goulette accueillera mardi 30 septembre à 18h une messe solennelle à la mémoire de Claudia Cardinale.

Le père Narcisse Djerambete officiera à cette occasion qui devrait rassembler toutes les communautés goulettoises.

Originaire de Sicile en Italie, la famille de la comédienne internationale s’est installée à la Goulette, lors de son arrivée en Tunisie.

Notons que les obsèques de Claudia Cardinale auront lieu en l’église Saint Roch à Paris, mardi 30 septembre à 14h30.

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Snapshot – Sfax : La mosquée des Cent mètres et son écrin de béton

27. September 2025 um 10:45

Notre photo montre l’une des mosquées les plus surprenantes et inattendues de Tunisie. Elle se trouve non loin de Bab Diwan, en haut d’un immeuble de style Reconstruction, édifié après les bombardements britanniques sur Sfax, durant la Campagne de Tunisie en 1942 et 1943.

Ce style architectural se caractérise par l’emploi du béton, la symétrie des décors et leur rapport étriqué à la lumière.

À Sfax, cette mosquée se trouve sur la fameuse allée des Cent mètres, une partie de la ville, totalement reconstruite après-guerre et qui relie la médina aux quartiers européens.

Sa situation en haut d’un immeuble, sa silhouette intégrée et le style de son minaret font de cette mosquée un exemple unique en Tunisie.

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Hammamet : L’hyperréalisme selon Fedele Spadafora

27. September 2025 um 10:01

Le Centre culturel international de Hammamet accueille jusqu’à demain, dimanche 28 septembre, une exposition de tableaux de l’artiste américain Fedele Spadafora. Cette exposition est née d’une résidence artistique à Dar Sebastian et se poursuit depuis le 14 septembre sous le titre  » Reflections « .

En soi, cet intitulé choisi par l’artiste intrigue par sa polyvalence et son intertextualité. En effet, en langue anglaise, le terme  » Reflections  » signifie aussi bien reflets que réflexions qui lui-même suggère une pensée en mouvement. En outre, cette notion pose la présence du réel dans une œuvre qui peut à la fois le reproduire ou lui faire subir une distorsion.

Ainsi, dès le premier mot, la démarche de Fedele Spadafora nous place dans un écart qui est celui de l’œuvre dans sa relation au réel. Ce réel, l’artiste le recrée à sa guise tout en plaçant notre regard dans un univers où l’hyperréalisme n’est jamais absent.

Dans sa manière de réaliser un portrait ou une nature morte, Fedele Spadafora semble installé dans un dispositif qui assimile ses tableaux à des photographies légèrement nimbées de flou mais absolument fidèles au modèle. Cette technique débouche sur des œuvres pétries de vérité et issues de scènes du quotidien ou de visages saisis dans leur placidité anonyme et leurs atours culturels.

Avec une palette d’une grande douceur, l’artiste sait feutrer ses couleurs, leur donner une texture photographique et une touche d’éternité. Parfois abstrait et impressionniste à la fois, parfois à la façon des grands néerlandais, Fedele Spadafora restitue des fragments de vérité, des feuillets d’observation et un jeu de réflexion de la lumière.

Tels qu’il les voit, ses personnages sont attachants, patinés par la lumière, burinés par le temps. Lorsqu’il peint des fruits, ils sont charnus, rutilant dans les reflets et alourdis par leur ombre.

Cette nouvelle série de l’artiste américain qui vit entre New-York et Hammamet mérite amplement le détour et complète à la perfection, la série antérieure intitulée  » Carthage  » dont elle constitue un second versant. Alors que le finissage de l’exposition  » Reflections  » est pour demain, il est encore temps de découvrir les inspirations d’un artiste qui se nourrit de lumières tunisiennes et de l’écho antérieur de nombreux peintres voyageurs ayant eux aussi sublimé notre pays, ses paysans et ses paysages.

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