L’Afrique joue un rôle clé sur le marché mondial du pétrole, avec des réserves stratégiques importantes.

La Libye domine le continent (9e mondial) avec 48,36 milliards de barils, suivie du Nigeria (36,89 milliards) et de l’Algérie (12,2 milliards).

L’Angola et le Soudan du Sud complètent le top 5 avec respectivement 7,78 et 3,75 milliards de barils.

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Cinquante-cinq finalistes ont été retenus pour la toute première édition des Africa Tech Summit Awards, une initiative récompensant les individus et entreprises ayant un impact significatif sur le secteur technologique à travers le continent.

Les lauréats seront dévoilés lors de l’Africa Tech Summit Nairobi le 12 février, un événement réunissant les principaux innovateurs, entrepreneurs et décideurs du continent pour explorer, collaborer et investir dans la tech africaine.

Les 55 finalistes ont été sélectionnés dans 11 catégories sectorielles et deux catégories individuelles, parmi plus de 300 candidatures. Un jury indépendant a évalué les dossiers en fonction de l’innovation, de l’impact, de la scalabilité et de leur pertinence pour le marché africain.

Dans la catégorie Agri-Tech, les finalistes sont AFEX (Nigeria), ChipChip (Éthiopie), Mazao AgClimate Limited (Tanzanie), Keep it Cool (Kenya) et Winich Farms (Nigeria). En Intelligence artificielle (IA), la sélection comprend Cassava Technologies (Afrique du Sud), Chpter (Kenya), NextAV (Tunisie), Tawi Fresh (Kenya) et ToumAI Analytics (Maroc).

Les finalistes de la Climate Tech sont Afrilogic Solutions (Ghana), Innovex (Ouganda), Instollar Technologies (Nigeria), Sabi (Nigeria) et Takazuri (Kenya), tandis que ceux de la catégorie Paiements transfrontaliers incluent AZA Finance (Kenya), Flutterwave (Nigeria), Grey (Nigeria), WeWire (Nigeria) et Yellow Card (Afrique du Sud).

En Digital Commerce, les startups sélectionnées sont OmniRetail (Nigeria), Sendmercury (Nigeria), SwiftVEE (Afrique du Sud), Tawi Fresh (Kenya) et Tola (Irlande). Dans l’Ed-Tech, les finalistes sont Cassava Technologies (Afrique du Sud), DirectEd Development (Kenya), Hermplify (Nigeria), Ikusasa Technology Solutions (Afrique du Sud) et Laboussole (Cameroun).

Dans la catégorie Entreprises, on retrouve Andela (États-Unis), Beacon Power Services (Nigeria), Froid Energy Ltd (Kenya), Incentro Africa (Kenya) et Smile ID (Nigeria). Pour le FemTech, les finalistes sont Babysteps (Kenya), Hermplify (Nigeria), Mara Scientific (Ouganda), My Pregnancy Journey (Afrique du Sud) et Sanicle Digital Health (États-Unis).

En Fintech, les sélectionnés sont Flow (Ouganda), HUB2 (Maurice), Peach Payments (Afrique du Sud), Valu (Égypte) et Yellow Card (Afrique du Sud). En Health-Tech, figurent Antara Health (Kenya), ION Kenya (Kenya), OneHealth (Nigeria), Remedial Health (Nigeria) et Zuri Health (Kenya).

Dans la catégorie Web3, les finalistes sont ICP Hub (Kenya), Investa Farm (Kenya), MiniPay (Nigeria), Sabi (Nigeria) et Yellow Card (Afrique du Sud).

Tous les finalistes recevront des invitations pour l’Africa Tech Summit Nairobi et bénéficieront d’une reconnaissance au sein de l’industrie. Les lauréats repartiront avec un trophée officiel des Africa Tech Summit Awards.

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Le ministère de la Santé met en garde contre l’usage des antibiotiques sans consultation médicale, rappelant qu’ils ne doivent être pris que sur prescription d’un médecin et après confirmation de leur nécessité. Cette mise en garde figure dans un communiqué du département publié le dimanche 2 février 2025.

Le ministère souligne que l’usage incontrôlé des antibiotiques peut favoriser la résistance bactérienne, compromettant ainsi l’efficacité des traitements futurs.

«Les antibiotiques sont destinés au traitement des infections bactériennes et ne sont pas efficaces contre les virus comme le rhume ou la grippe», précise le ministère.

Il est essentiel de suivre le traitement jusqu’à son terme, même en cas d’amélioration, afin d’éliminer complètement les bactéries présentes dans l’organisme.

Le ministère recommande également de ne pas partager les antibiotiques et insiste sur l’importance des mesures préventives, telles que le lavage des mains et la vaccination, pour limiter la propagation des maladies.

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Le responsable de la gestion au ministère libyen des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Tahar Al-Baour, effectue ce lundi une visite de travail en Tunisie.

Cette visite intervient à l’invitation du ministre des Affaires étrangères, Mohamed Ali Nafti, et s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations de fraternité et de coopération entre les deux pays .

Elle permettra également d’examiner l’état de la coopération tuniso-libyenne dans les domaines prioritaires, d’explorer les perspectives de renforcement du partenariat économique et de préparer les prochaines échéances bilatérales.

Les discussions porteront aussi sur les récents développements sur la scène arabe et africaine ainsi que sur les positions à adopter face à ces enjeux.

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Le programme de régularisation des biens fonciers domaniaux vise à garantir le droit d’appropriation et cible trois catégories spécifiques, a déclaré Majdi Ben Slimen, chargé de mission auprès du ministre des Domaines de l’État et des Affaires foncières.

Il s’agit de la régularisation des anciens regroupements résidentiels construits sur le domaine privé de l’État, les exploitants légaux de biens immobiliers agricoles appartenant à l’État et les biens appartenant à des étrangers.

Ce programme social et non lucratif repose sur un inventaire exhaustif des situations foncières concernées, afin de proposer des solutions concrètes et adaptées aux bénéficiaires. Il prévoit également la simplification des procédures et l’harmonisation des travaux des comités chargés de ces régularisations.

À titre d’exemple, pour les anciens regroupements résidentiels bâtis sur le domaine privé de l’État, les biens seront cédés aux bénéficiaires sous des conditions précises, à des prix symboliques variant entre 5 et 20 Tnd par mètre carré, en fonction de l’indice de développement de la délégation concernée.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre des 21 mesures adoptées lors du conseil ministériel restreint tenu le 20 janvier 2025 au Palais du gouvernement à la Kasbah, dédié à la valorisation du patrimoine foncier de l’État.

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Le Bitcoin est tombé sous les 100 000 de dollars lundi, atteignant son plus bas niveau en 11 jours à 98 852,17 de dollars, en baisse de 6 % sur la journée. Cette chute est attribuée à une vague de prudence sur les marchés, déclenchée par la montée en puissance de la startup chinoise d’intelligence artificielle DeepSeek, perçue comme une menace pour les entreprises occidentales dans ce secteur.

Les marchés technologiques ont enregistré des pertes significatives, impactant également les actifs numériques comme le Bitcoin. La perspective d’un maintien prolongé des taux d’intérêt à des niveaux élevés a amplifié cette pression sur les actifs risqués, compliquant la reprise du Bitcoin.

Enfin, des annonces récentes concernant la régulation des cryptomonnaies ont également renforcé l’incertitude, limitant l’élan des investisseurs vers les actifs numériques.

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Attijari Leasing lance un appel à candidatures pour pourvoir trois postes stratégiques au sein de la société: administrateur indépendant (président du comité des risques), administrateur représentant des actionnaires minoritaires et  administrateur indépendant (président du comité d’audit).

Ces postes sont proposés pour un mandat de trois ans couvrant les exercices 2025, 2026 et 2027.

Les candidats doivent justifier d’au moins 10 ans d’expérience dans les secteurs de la finance, de la comptabilité ou de l’audit, et détenir une maîtrise ou un diplôme équivalent dans un domaine lié à la finance, comptabilité ou audit (pour le poste d’administrateur représentant des actionnaires minoritaires, le diplôme doit impérativement être en finance.).

Les candidats intéressés sont invités à soumettre leurs candidatures avant le 10 février 2025.

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“Bled al Abar”, porté par le Laboratoire d’architecture (Mounir Ayoub et Vanessa Lacaille) en collaboration avec Hamed Kriouane et le 32 Bis, associe une exposition et une initiative de terrain visant la réparation des puits dans le désert tunisien. Le projet met en lumière l’importance de ces infrastructures vitales pour les communautés locales face aux défis climatiques et économiques actuels.

Sélectionné parmi les 31 projets lauréats du Fonds culturel franco-allemand (FCFA) pour 2025, “Bled al Abar” s’inscrit dans la thématique “Vers un nouveau monde”, explorant les rôles des arts et de la culture pour aborder les transitions écologiques et identitaires.

Ce projet valorise le patrimoine hydraulique tunisien, notamment les savoir-faire traditionnels liés à l’exploitation de l’eau dans des régions arides. Les puits, témoins de l’ingéniosité des habitants depuis l’Antiquité, incarnent cette adaptation. Parmi eux, “Bir Barrouta” à Kairouan, équipé d’une noria actionnée par un dromadaire, reste un exemple emblématique de ce patrimoine.

Depuis sa création en 2003, le FCFA soutient des initiatives culturelles menées conjointement par les réseaux diplomatiques français et allemands, favorisant la coopération dans divers domaines artistiques et culturels.

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Les entrepreneurs basés au Cap peuvent désormais postuler au programme Orange Corners Designs (OCD), conçu pour les accompagner dans le développement de leurs projets grâce à des opportunités d’innovation et de financement pouvant atteindre 1 million de ZAR (environ 54 000 de dollars américains).

Porté par le Craft and Design Institute (CDI) et soutenu par le ministère des Affaires étrangères des Pays-Bas, ce programme vise à aider des entrepreneurs visionnaires à faire évoluer leurs entreprises tout en ayant un impact positif durable. Depuis son lancement en 2024, il a déjà soutenu 40 entreprises au Cap et à Johannesburg.

Sur une durée de 12 mois, le programme offrira à 20 entrepreneurs sélectionnés des ateliers pratiques, des masterclasses et un accompagnement personnalisé pour perfectionner leurs produits, optimiser leurs systèmes de gestion et répondre aux attentes clés du marché.

Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 20 février via ce lien.

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Le courant électrique a été coupé hier, dimanche, dans plusieurs zones des gouvernorats de Sousse, Monastir, Mahdia et Kasserine en raison de travaux de maintenance des réseaux, a annoncé samedi la Société tunisienne de l’électricité et du gaz (STEG).

À Sousse, la coupure d’électricité, prévue de 8h à 14h, a concerné des zones telles que Khezama Ouest, Sahloul 1 et 2, Jawhra, Oued Ghenim, lotissement Zaatir, Immeuble Snit Kuriat, lotissement des casernes, Cité Bouhssina route du stade Olympique et le quartier résidentiel derrière la salle couverte.

Dans le gouvernorat de Monastir, l’interruption de courant, également de 8h à 14h, a touché la ville de Menzel Harb, la ville de Masjed Issa, Sahline et la route de Jemmal. Une coupure, prolongée jusqu’à 15h, a également eu lieu dans les délégations de Zramdine et Smirate, relevant de Moknine.

À Mahdia, de 8h à 14h, les secteurs impactés incluaient Jebal Dar Waja, une partie de la rue 2 Mars près du Commissariat régional au développement agricole de Sidi Messaoud, rue Ibn Jazzar, certaines parties de la cité Ennour, des zones d’Akwech Dar Cheikh et Akwech Dar Belhaj, ainsi que la route de Boumerdas et l’avenue de la République.

Enfin, à Kasserine, l’électricité a été coupée de 8h à 16h dans plusieurs localités, notamment Bouderias et ses environs, Bouchebka et ses environs, Sahraoui et ses environs, Ain Jenane, Lajred, Assaidia et Ratibat.

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Le Maroc franchit une nouvelle étape dans la modernisation de son système de transport urbain avec l’acquisition de 1 317 bus, répartis entre Tanger, Agadir et Marrakech.

Ce projet, inscrit dans une stratégie nationale visant à transformer la mobilité urbaine à l’horizon 2030, prend une dimension particulière à l’approche de la Coupe du monde de football, que le royaume co-organisera avec l’Espagne et le Portugal. Ces bus joueront un rôle clé dans la préparation de cet événement majeur.

L’investissement global, estimé à 10 milliards de dirhams (1 milliard de dollars américains), bénéficie d’un financement collaboratif impliquant le ministère de l’Intérieur et les collectivités locales. D’ici 2029, le programme prévoit le déploiement de 3 500 bus dans 32 villes marocaines.

Au-delà de la Coupe du monde, cette initiative s’inscrit dans une vision durable pour améliorer la mobilité urbaine et le quotidien des citoyens marocains.

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Selon le ministère de l’Industrie, le secteur industriel tunisien continue de montrer des signes positifs en 2024, avec une progression notable des exportations et des intentions d’investissement.

Les industries agroalimentaires, moteur de cette dynamique, ont vu leurs exportations augmenter de 17%, atteignant 7 041 Mtnd contre 6 034 millions en 2023. Le taux de couverture a également bondi à 181% contre 148% l’année précédente. Ce secteur regroupe 987 entreprises (21% de l’ensemble des entreprises industrielles) et emploie près de 79 000 personnes.

Le textile, l’habillement, le cuir et la chaussure, représentant 33% des entreprises manufacturières et 35% des emplois du secteur, ont également contribué à ce succès. Leur balance commerciale reste excédentaire avec un taux de couverture de 132% et un solde positif de 2 781 Mtnd.

Dans le domaine des industries électriques et mécaniques, les exportations ont progressé de 1,2%, notamment grâce à une hausse de 6% dans les industries mécaniques. Ce secteur représente 51% des exportations manufacturières et 30% des emplois du secteur.

Du côté des investissements, les intentions déclarées ont enregistré une hausse de 10%, atteignant 2 539 Mtnd en 2024, contre 2 316 millions en 2023, selon l’Agence de Promotion de l’Industrie et de l’Innovation. Les industries chimiques se distinguent avec une augmentation de 94% des intentions d’investissement, atteignant 293 millions de dinars, suivies par les industries agroalimentaires (+44%) avec 940 millions de dinars.

Ces chiffres témoignent de la résilience et de la vitalité de l’industrie tunisienne, confirmant son rôle central dans le développement économique du pays.

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Le Conseil du Marché Financier (CMF) rappelle aux sociétés de gestion qu’elles doivent respecter les obligations d’information qui leur incombent concernant les OPCVM de Capital Investissement qu’elles gèrent. Ces obligations sont définies par les dispositions du Code des Organismes de Placement Collectif, promulgué par la loi n°2001-83 du 24 juillet 2001, modifiée et complétée par des textes ultérieurs, notamment l’article 20. Elles sont également encadrées par le règlement relatif aux organismes de placement collectif en valeurs mobilières et à la gestion de portefeuilles de valeurs mobilières pour le compte de tiers, tel que visé par l’arrêté du Ministre des Finances du 29 avril 2010, en particulier ses articles 25, 34, 84 et 142.

Le Conseil rappelle également aux sociétés concernées qu’en vertu de l’article 149 du règlement précité, elles doivent transmettre, dans les trois mois suivant la clôture de l’exercice, leurs états financiers certifiés par le commissaire aux comptes, le rapport annuel de gestion, ainsi que les rapports général et spécial du commissaire aux comptes.

Par conséquent, les sociétés de gestion des OPCVM de Capital Investissement sont appelées à se conformer à ces obligations et, le cas échéant, à régulariser leur situation sans délai, sous peine des sanctions prévues par les dispositions légales régissant le marché financier.

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Meta a dû activer une procédure d’urgence cette semaine après que son chatbot d’intelligence artificielle ait affirmé de manière incorrecte que Joe Biden était encore président des États-Unis, malgré l’investiture de Donald Trump le 20 janvier 2025.

Selon des tests, le chatbot répondait encore jeudi que Biden était président, tout en reconnaissant l’investiture de Trump. Cet incident a déclenché un “SEV” (site event), une procédure interne de résolution rapide de problèmes critiques.

C’est la troisième intervention d’urgence liée à la transition présidentielle pour Meta cette semaine. D’autres incidents incluent une erreur qui obligeait certains utilisateurs à suivre les comptes officiels de Trump, sa famille et son administration, ainsi qu’un blocage temporaire des recherches de hashtags liés aux démocrates sur Instagram.

Meta a déclaré que ces problèmes résultent de la complexité de la transition des comptes officiels sur ses plateformes et des limitations techniques des systèmes d’IA générative. L’entreprise promet d’améliorer ses fonctionnalités pour éviter de telles erreurs à l’avenir.

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Monoprix a lancé deux appels à candidatures pour le recrutement de deux administrateurs indépendants.

Le premier poste est réservé à un administrateur indépendant au sein du conseil d’administration, avec un mandat de trois ans s’étendant de 2025 à 2027. Pour postuler , les candidats doivent avoir au moins une maîtrise (ou un diplôme équivalent), une expérience professionnelle d’au moins 10 ans dans le secteur de la grande distribution, et avoir déjà été membre d’un conseil d’administration.

Le deuxième poste concerne un administrateur indépendant au sein du conseil d’administration- président du comité d’audit, avec un mandat de trois ans s’étendant de 2025 à 2027. Pour postuler à ce poste, les candidats doivent avoir au moins une maîtrise (ou un diplôme équivalent), une expérience professionnelle d’au moins 10 ans dans le secteur de la grande distribution, et avoir déjà, été membre d’un comité permanent d’audit ou avoir présidé ledit comité.

Il est important de noter que la date limite de dépôt des candidatures pour ces deux postes est fixée au 12 février 2025 à 17h.

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Le jeudi 23 janvier 2025, à la Fondation Tunisie, le programme CI Open Lab a clôturé sa première cohorte avec une annonce marquante : quatre projets ont été primés, dépassant ainsi le nombre de trois lauréats initialement prévu. Cette décision reflète la qualité exceptionnelle des candidatures soumises.

Parmi les lauréats, plusieurs initiatives se distinguent par leur approche novatrice et leur forte dimension scientifique et entrepreneuriale. L’une des spin-offs primées est portée par une doctorante de Sfax, dont les travaux de recherche ont conduit à la création d’une solution à fort potentiel pour le secteur industriel. Un autre projet a été porté par une chercheuse accompagnée de son post-doctorant, également basée à Sfax, développant un produit ou une technologie issue de leur recherche académique, démontrant ainsi l’importance de la collaboration entre la recherche fondamentale et l’entrepreneuriat.

Un troisième lauréat représente une startup dynamique fondée par un entrepreneur de Sfax, tandis qu’une équipe pluridisciplinaire composée de pharmaciens et de chercheurs, basée à Monastir, a également vu son projet récompensé. Ce projet se distingue par sa contribution à l’optimisation de solutions dans le domaine de la santé, avec un fort accent sur l’innovation et la recherche scientifique.

Ces projets lauréats bénéficient désormais du soutien du programme CI Open Lab, qui leur fournira un accompagnement personnalisé afin de les aider à franchir les étapes cruciales de leur développement, de l’incubation à la commercialisation. Grâce à cette initiative, ces chercheurs et entrepreneurs auront l’opportunité de collaborer étroitement avec l’industrie, consolidant ainsi le lien entre le monde académique et les secteurs économiques.

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Le studio d’investissement basé à Nairobi, Purple Elephant Ventures (PEV), a levé 4,5 millions de dollars américains pour accélérer sa mission de transformer le tourisme en Afrique. PEV développe des technologies de voyage innovantes pour rendre l’industrie du tourisme plus durable et résiliente face aux enjeux climatiques.

Fondé par des entrepreneurs expérimentés, PEV lance chaque année plusieurs startups axées sur la technologie et l’innovation. Ces entreprises visent à combler les lacunes de l’écosystème touristique africain, en mettant l’accent sur la durabilité et l’impact social. Avec cette levée de fonds, PEV prévoit de développer davantage son portefeuille et de lancer de nouvelles initiatives pour relever les défis majeurs du secteur.

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Le jeudi 23 janvier, la Fondation Tunisie a accueilli l’événement de clôture de la première phase du programme Connect’Innov Open Lab (CI Open Lab), un programme visant à favoriser l’innovation et la collaboration entre le monde académique et l’industrie. L’événement a été organisé en partenariat avec des acteurs clés de l’innovation, tels que les Laboratoires Pharmaghreb, l’Institut Français de Tunisie (IFT), la GIZ et la CDC (Caisse des Dépôts et Consignations).

Parmi les personnalités présentes figuraient Wafa Bchir et Hichem Radoine, co-fondateurs de Connect’Innov, ainsi que Nejia Gharbi, Directrice Générale de la CDC, Gilles Suzanne, attaché de coopération universitaire de l’IFT, et Myriam Khrouf, Directrice de la recherche médicale au Ministère de la Santé.

Le programme CI Open Lab a été conçu à partir d’un diagnostic sur la transition entre l’académie et l’entrepreneuriat. Ce diagnostic a révélé plusieurs défis, notamment la faible culture entrepreneuriale chez les chercheurs et un manque de financement. Pour répondre à ces défis, le programme a été mis en place pour encourager la collaboration entre chercheurs et industriels, en particulier dans des secteurs comme la biotechnologie. L’objectif est de favoriser la co-création de solutions innovantes et de rapprocher la recherche du marché.

Le programme a été structuré autour de cinq axes clés, avec un soutien sur cinq ans pour garantir la pérennité des projets. Une centaine de candidatures ont été reçues, dont 68 % provenant de femmes, illustrant l’importance de l’inclusion dans l’entrepreneuriat. Les chercheurs retenus ont participé à des sessions de formation axées sur des thématiques essentielles telles que l’innovation, la propriété intellectuelle et le développement d’un modèle économique durable.

La première table ronde de l’événement a abordé le thème de l’innovation ouverte, considérée comme un levier crucial pour la transformation des idées en solutions concrètes. Il a été souligné que la collaboration entre grandes entreprises et startups est essentielle pour développer des projets innovants. L’innovation ouverte permet aux startups d’accéder à des ressources et à des réseaux de partenaires, renforçant ainsi leur capacité à réussir sur le marché. Cette collaboration est aussi une opportunité pour les grandes entreprises de dynamiser leur approche et d’intégrer des solutions novatrices. Un accent particulier a été mis sur le soutien aux femmes entrepreneures, et l’importance d’ouvrir l’écosystème à des profils divers pour enrichir l’innovation.

Lors de la deuxième table ronde, sous le thème “Collaborer pour innover en Healthtech: Défis et opportunités”, il a été souligné que soutenir les startups dans ce secteur est indispensable pour répondre aux défis du système de santé. Le ministère de la Santé met en place des mécanismes pour faciliter les mises en relation entre les startups et les services hospitaliers ou spécialisés, afin de répondre aux besoins spécifiques de chaque secteur. Des événements de networking sont régulièrement organisés pour favoriser ces échanges et aider les startups à mieux comprendre les attentes des institutions publiques. Cependant, des obstacles demeurent, notamment en raison de la complexité des procédures administratives et de la nécessité d’une collaboration renforcée entre différents acteurs de l’écosystème. Le ministère travaille donc activement à la simplification des démarches pour que ces projets puissent se développer plus facilement.

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Les équipes médicales tunisiennes de l’Hôpital La Rabta ont accompli, mardi, une avancée majeure en chirurgie cardiaque en réalisant une ablation par électroporation d’une fibrillation atriale et d’un flutter atrial chez un patient équipé d’une assistance circulatoire (LVAD, cœur artificiel) pour insuffisance cardiaque avancée, a annoncé mercredi le ministère de la Santé.

Selon le ministère, il s’agit d’une première mondiale. Cette intervention, consistant à traiter une fibrillation auriculaire chez un patient porteur d’un cœur artificiel en raison d’une insuffisance cardiaque sévère, a été menée avec succès.

L’opération a été réalisée à l’aide de la technique d’électroporation, sous la supervision du professeur Mohamed Sami Mourali, chef du service de cardiologie adulte au CHU La Rabta, en collaboration avec la professeure Sana Ouali et l’équipe de l’unité d’électrophysiologie.

Le ministère a salué ce succès, fruit des efforts conjoints des équipes médicales, paramédicales et pharmaceutiques, qui reflète l’excellence des compétences tunisiennes dans le domaine de la santé publique.

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