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Heute — 17. Mai 2025Haupt-Feeds

Marokko – EU bekräftigt Nichtanerkennung der RASD vor Gipfel mit Afrikanischer Union

Von: maghreb
17. Mai 2025 um 09:44

ParlamentBrüssel stellt klar. Weder die EU noch ihre Mitgliedstaaten erkennen die Demokratische Arabische Republik Sahara (Westsahara) an und laden ihre Vertreter auch nicht zum Gipfel ein. Brüssel – Kurz vor dem Gipfeltreffen mit der Afrikanischen Union hat die Europäische Union erneut ihre Haltung zur Westsahara-Frage bekräftigt. Wie der Sprecher der EU für Außen- und Sicherheitspolitik […]

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Levée des sanctions américaines contre Damas : à quel prix?

15. Mai 2025 um 11:08

Avec l’annonce d’une levée des sanctions, Donald Trump a effectué un changement de cap majeur de la politique américaine envers la Syrie. En contrepartie de ce geste, Damas est appelé à normaliser ses relations  avec l’Etat hébreu avec lequel il est officiellement en guerre depuis 1948. La potion est amère.

A la demande expresse du prince héritier saoudien Mohamed Ben Salman (MBS), à qui le président américain « ne pouvait rien refuser », selon son propre aveu, l’entretien qui devait se passer entre deux portes à la marge de la conférence internationale sur l’investissement tenue à Ryad, aura duré une trentaine de minutes. C’est dire l’importance de la rencontre, mercredi 14 mai, dans la capitale saoudienne, entre Donald Trump en tournée dans trois pays du Golfe et le président syrien par intérim, Ahmed Al-Charaa. Et ce, après que le locataire de la Maison Blanche eut annoncé mardi 13 mai une spectaculaire levée des sanctions contre la Syrie. Ouvrant ainsi le pays à des possibilités économiques, financières et diplomatiques stratégiques pour la région.

Une décision qualifiée par les observateurs de « tournant décisif » après que l’Union européenne, le Royaume-Uni et le Canada eurent déjà assoupli leur propre régime de sanctions. Sachant que les premières sanctions américaines contre Damas, imposées dès 1979 alors que le régime d’Hafez al-Assad était considéré comme un « Etat parrain du terrorisme », pèsent lourdement sur l’économie d’un pays étranglé par quatorze années de guerre civile.

Selon l’agence de presse officielle saoudienne, MBS, le dirigeant de facto du royaume, a participé à la rencontre. Pour sa part, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, s’est également joint par Internet à la conversation.

Chantage

Quel est le prix à payer pour le président syrien- jadis ancien djihatiste affilié à Al Qïda et qui troqua le treillis pour un costume trois-pièce au point d’être reçu le 7 mai à l’Elysée, avec les honneurs, par Emmanuel Macron- pour une simple poignée de main avec le milliardaire républicain qui est devenu le premier président américain en vingt-cinq ans à rencontrer un dirigeant syrien?

Selon un compte rendu publié par la Maison Blanche, Donald Trump aura demandé au président syrien- lors de cette rencontre qui a eu lieu malgré les réticences de Tel-Aviv- de « rejoindre les Accords d’Abraham ». En d’autres termes : de normaliser avec l’Etat hébreu avec qui la Syrie est officiellement en guerre depuis 1948.

« Je lui ai dit : j’espère que vous rejoindrez [les accords d’Abraham] une fois que vous aurez réglé votre situation. Et il m’a dit “oui”. Mais ils ont beaucoup de travail à faire », a déclaré le président américain aux journalistes qui l’accompagnaient dans l’avion qui l’emmenait au Qatar.

Le président américain a également demandé à Damas d’expulser les membres de groupes armés palestiniens et de prendre « la responsabilité » des prisons détenant des membres du groupe jihadiste Etat islamique en Syrie, actuellement prises en charge par les forces kurdes. Sachant qu’un rapport des Nations unies publié en janvier 2024 avait estimé que le nombre de combattants de l’organisation terroriste en Irak et en Syrie variait entre 3 000 et 5 000 personnes. En plus de ces quelques milliers de djihadistes, environ 9 000 anciens combattants, femmes et enfants, peuplent les prisons kurdes dans la zone.

A noter que la diplomatie syrienne a évoqué une « rencontre historique », sans toutefois mentionner une quelconque normalisation avec « l’entité sioniste ».

Garanties saoudiennes

En contrepartie de la normalisation avec Israël, affirme un analyste du Centre d’études politiques et stratégiques d’Al-Ahram au Caire, Washington a accepté de facto les garanties de l’Arabie saoudite pour légitimer la nouvelle administration syrienne. Ce qui permettra à Damas de  recevoir les financements nécessaires pour relancer l’économie, imposer l’autorité de l’Etat central et lancer des projets de construction « avec le soutien clair du Golfe », ajoute la même source.

Enjeux immenses

C’est que les enjeux économiques et géopolitiques de la levée des sanctions contre Damas sont immenses pour  l’Arabie saoudite et la Turquie. Avec à la clé des juteux contrats dans le chantier de la reconstruction estimé à 400 milliards de dollars par l’ONU, y compris  infrastructures routières, bâtiments, réseau énergétique… Sans oublier les possibles prospections en ce qui concerne le pétrole et le gaz.

Sur le plan géopolitique, « celui qui aura la meilleure emprise sur le pouvoir de Damas aura la main sur le reste », assure un spécialiste de la Syrie.

« La Syrie est un pays pivot et avoir un pied à Damas c’est avoir un pied dans ce carrefour vers la Turquie, vers les pays du Golfe, vers la Méditerranée et plus loin l’Europe », a-t-il développé. Tout en en concluant que la nouvelle Syrie, une fois reconstruite, formera « une ligne de front dans la guerre froide entre Riyad et Téhéran ».

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Agressions sexuelles │ Gérard Depardieu condamné à 18 mois de prison avec sursis

13. Mai 2025 um 12:54

Gérard Depardieu, l’une des plus grandes figures du cinéma français, a été condamné le 13 mai 2025 par le tribunal correctionnel de Paris à une peine de 18 mois de prison avec sursis pour des agressions sexuelles survenues lors du tournage d’un film en 2021.

L’acteur de 76 ans a été reconnu coupable d’avoir agressé sexuellement deux femmes, alors qu’il était en plein tournage d’une production cinématographique.

La décision du tribunal a été prononcée en son absence, et son avocat, Me Jérémie Assous, a immédiatement annoncé que son client ferait appel de cette condamnation.

Outre la peine de prison avec sursis, le tribunal a également ordonné une peine d’inéligibilité de deux ans pour l’acteur ainsi que son inscription au fichier des auteurs d’infractions sexuelles, conformément aux réquisitions du parquet.

Pouvoir, célébrité et justice

Ce verdict intervient après un long procès dans lequel plusieurs témoins ont été entendus et des éléments accablants ont été présentés à la barre.

Les victimes, deux femmes qui étaient impliquées dans le projet cinématographique, ont dénoncé les comportements inappropriés et abusifs de la part de l’acteur, et leur témoignage a joué un rôle crucial dans la décision du tribunal.

La condamnation de Depardieu intervient dans un contexte où de nombreuses personnalités publiques, en particulier dans le milieu du cinéma, font face à des accusations de violences sexuelles, ce qui a provoqué un large débat dans la société.

Si le verdict a été jugé relativement clément, avec une peine de prison avec sursis, il n’en demeure pas moins que cette affaire a bouleversé l’image publique de l’acteur, qui jouit d’une réputation solide construite sur plusieurs décennies de carrière. Des films culte, tels que Cyrano de Bergerac ou Le Dernier Métro, ont fait de lui une figure incontournable du cinéma français, et cette condamnation met en lumière les tensions entre la célébrité et la justice.

L’issue de cette affaire pourrait également avoir des répercussions sur la perception des femmes dans l’industrie du cinéma, et en particulier sur la manière dont les accusations d’abus sont prises en charge par les autorités judiciaires. La décision d’appeler à la justice dans ce genre de situations est un message fort, signalant que même les personnalités les plus influentes doivent répondre de leurs actes.

En outre, l’affaire soulève la question plus large de l’impunité dans les milieux artistiques, où le pouvoir et la célébrité ont souvent protégé des comportements inappropriés pendant de nombreuses années.

Le recours à l’appel de Depardieu n’est pas une surprise, étant donné la gravité des accusations portées contre lui. Cependant, le jugement final pourrait bien influencer le cours de sa carrière à venir, et la manière dont il sera perçu par le public. L’acteur a, dans le passé, connu plusieurs controverses, mais cette condamnation pour agressions sexuelles pourrait bien marquer un tournant décisif dans sa trajectoire personnelle et professionnelle.

Le processus judiciaire ne fait que commencer, et l’appel de Depardieu pourrait permettre une nouvelle analyse des éléments de l’affaire. Mais dans l’attente de l’issue de cette nouvelle procédure, la condamnation de l’acteur jette une ombre sur une carrière jusque-là admirée, et met en lumière les enjeux complexes liés à la justice, à la célébrité et à la responsabilité des personnalités publiques dans des affaires d’agressions sexuelles.

D. G.

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Migration, frontière, souveraineté et fracture nationale

13. Mai 2025 um 12:10

Il y a, dans les visages épuisés des migrants, une énigme persistante. Ce n’est pas seulement la misère, ni même l’appel à l’aide. C’est autre chose : un déplacement du monde, une faille psychique. Ce que l’on appelle aujourd’hui «crise migratoire» n’est pas seulement un flux de corps en mouvement. C’est une confusion du sens.  (Ph. Camp de migrants subsahariens à El-Amra, Sfax).

Manel Albouchi *

Les frontières ne sont pas de simples découpages géographiques. Elles sont des membranes entre les mondes, des structures d’intégration psychique, des seuils. Et chaque fois qu’on les traverse sans cadre, c’est un désordre plus profond qui s’installe : géopolitique, symbolique, psychique. 

La visite d’Amy Pope, directrice de l’OIM, au palais de Carthage a ravivé une tension structurelle : comment articuler aide humanitaire, dignité des migrants et survie d’un État fragile ? 

Le président Kaïs Saïed, en affirmant que la Tunisie ne deviendra ni un camp de rétention ni un sas migratoire pour l’Europe, a été jugé dur par certains. Mais il faut entendre ce qui se dit sous les mots : la Tunisie est un petit pays exposé, économiquement précaire, historiquement fragmenté, dont le tissu social ne peut absorber une pression migratoire incontrôlée sans s’effondrer. 

Ce n’est pas un refus de l’Autre. Mais un rappel fondamental : tout seuil non nommé, non respecté, non traversé avec conscience, devient une intrusion. Une irruption brutale dans un espace sans consentement. Et ce qui aurait pu être rencontre devient effraction, blessure, mémoire traumatique. 

La frontière est l’archétype du contenant 

En psychanalyse, Didier Anzieu décrit le Moi-peau comme une interface vivante : la peau du corps devient métaphore de la frontière psychique. Elle contient, protège, limite, tout en permettant l’échange. 

Transposé au plan collectif, la frontière nationale est à un peuple ce que la peau est au Moi : une enveloppe de cohésion. Sans elle, la nation devient poreuse à toutes les projections, tous les fantasmes, toutes les intrusions. Elle perd sa forme. Elle devient vulnérable, insécure, exposée. 

Anzieu écrivait que lorsque le Moi-peau est fissuré, le sujet souffre d’angoisses de morcellement, de perte d’unité. Il en va de même pour les peuples. Une nation sans frontière intégrée souffre d’un trouble du contenant. Elle ne sait plus qui elle est, ni où elle commence. 

Les risques psychiques d’une frontière effondrée 

Lorsqu’un pays perd la symbolisation de ses limites géographiques, culturelles, politiques, ce ne sont pas seulement les institutions qui s’effondrent, mais aussi la psyché collective. 

On peut alors observer : 

  • une montée généralisée de l’angoisse, du sentiment de débordement, d’impuissance; 
  • une prolifération des discours polarisants, clivants, paranoïaques;
  • des projections massives sur l’Autre, vécu comme envahisseur ou menace, 
  • une dissociation du lien social, où la cohésion nationale devient un mirage. 

Et en terme de troubles cela se traduit par : 

  • des troubles anxieux (TAG, phobies sociales); 
  • des troubles de l’adaptation (retrait, colère, sentiment d’injustice); 
  • des syndromes dépressifs liés à l’épuisement identitaire et à l’impuissance; 
  • des troubles post-traumatiques liés à la mémoire coloniale, aux guerres ou à l’exil; 
  • des troubles dissociatifs, perte de repères ou identification à des idéologies extrêmes. 

Comme le Moi-peau individuel, la frontière nationale contient et protège l’imaginaire collectif. Sans elle, le risque est de voir surgir une société dissociée, fragmentée, incapable de penser l’accueil autrement que comme une blessure ou une invasion. 

Poser une limite claire, juste, expliquée, ce n’est pas une fermeture pathologique. C’est un geste de santé psychique. 

L’oubli des frontières naturelles est une faute historique 

L’histoire nous a appris, encore et encore, que lorsque les frontières naturelles sont ignorées, cela engendre des catastrophes : 

  • Les accords Sykes-Picot ont redécoupé le Levant sans tenir compte des dynamiques tribales et spirituelles. 
  • Le traité de Lausanne a redéfini des États sans consultation des peuples. 
  • L’Afrique, morcelée par des lignes tracées au compas, n’a jamais guéri des fractures imposées. 

Chaque fois, la carte a trahi le territoire. Et chaque fois, le chaos s’est répondu. 

Une Tunisie encore vulnérable 

La Tunisie est bordée de seuils naturels puissants : désert au sud, mer au nord, montagnes à l’ouest. Ces limites sont fondatrices. Les effacer revient à ouvrir un corps sans peau. 

La France, l’Allemagne ou l’Italie malgré leurs crises internes, reposent sur des récits nationaux et disposent de structures solides, de souverainetés historiques, de marges de manœuvre.  

Elles peuvent absorber des flux, ériger des frontières extérieures, externaliser leurs conflits. Elles peuvent choisir. 

La Tunisie, elle, agit dans l’urgence, la peur et la fatigue. Elle n’a pas fini de construire son identité. Son récit national est encore fragile, hétérogène, saturé de blessures post-coloniales et de couches historiques non intégrées. 

Son identité est encore en construction. Elle porte des couches historiques éparses, pas totalement unifiées. Et toute pression supplémentaire peut menacer cette structure inachevée. 

Avec un peu de recul, il s’est avéré qu’accueillir tous les flux, toutes les formes, tous les récits, ce n’est pas de l’humanisme. C’est de l’abandon. 

La terre sacrée 

Le sol tunisien n’est pas neutre. Il est saturé de mémoire : punique, romaine, byzantine, arabe, ottomane, française. Une mémoire composite, parfois contradictoire, pas encore totalement digérée. 

Le sol est sacré car il garde les morts. Il contient les pactes invisibles. L’ouvrir sans mesure, sans dialogue, sans reconnaissance, c’est briser cet équilibre. C’est faire de la terre un lieu sans fond.  

La souveraineté ? 

Ce qui se joue aujourd’hui dépasse le seul enjeu migratoire. Ce qui est enjeux est l’idée même de territoire sacralisé, de peuple conscient, de parole fondatrice.  

La souveraineté n’est pas un geste de fermeture. C’est la conscience de ses limites, de son rythme. C’est le pouvoir de dire «Voici ce que je peux accueillir sans me perdre». C’est une maturité politique d’un peuple capable de différencier l’accueil du sacrifice. 

* Psychothérapeute, psychanalyste.

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Fin des combats : un accord entre l’Inde et le Pakistan annoncé par Trump

10. Mai 2025 um 20:28
Fin des combats : un accord entre l’Inde et le Pakistan annoncé par Trump

Un cessez-le-feu total et immédiat a été conclu entre l’Inde et le Pakistan après quatre jours d’intenses affrontements, grâce à une médiation américaine. L’annonce a été faite le samedi 10 mai 2025 par l’ancien président américain Donald Trump, qui s’est félicité de cette avancée sur son réseau Truth Social, saluant la sagesse des deux pays. […]

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Marokko – Neue Botschafter für EU und Afrika durch König ernannt.

Von: maghreb
29. April 2025 um 08:37

KönigRabat entsendet neue diplomatischer Vertreter. Rabat will seine außenpolitische Präsenz in Brüssel und auf dem afrikanischen Kontinent stärken. Rabat – König Mohammed VI. hat im Königspalast in Rabat mehrere neue Botschafter ernannt. Die feierliche Übergabe der Ernennungsurkunden erfolgte im Beisein von Außenminister Nasser Bourita, wie die staatliche Nachrichtenagentur MAP berichtete. Besondere Aufmerksamkeit gilt der Ernennung […]

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Forum mondial de la mer Bizerte 2024 pour «sauver la Méditerranée»

Alors que la Méditerranée a connu en cet été 2024 des épisodes de réchauffement aussi inédits que dramatiques, la 7ème édition du Forum mondial de la Mer se réunira ce 13 septembre 2024 à Bizerte (Tunisie) et se dédiera totalement à un agenda d’urgence, ambitieux et pragmatique, pour « sauver la Méditerranée ».

Plus de soixante-dix experts représentant une dizaine de pays méditerranéens et des responsables de la Commission européenne, proposeront un agenda Méditerranée 2030 aux organisateurs de la Conférence Océan des Nations Unies(UNOC3), qui se tiendra à Nice, en juin 2025.

Avec l’ambition de faire à Nice pour la Méditerranée avec l’UNOC3 ce qui a été fait dix ans plus tôt à Paris pour le climat avec la COP21, les organisateurs et participants au Forum mondial de la Mer publieront un manifeste à l’intention des Nations Unies. «  Adressé aux Nations Unies réunies à Nice en 2025, l’Appel de Bizerte pour sauver la Méditerranée sera l’expression des voix du Sud d’une mer en voie de disparition accélérée », annonce Rym Benzina, directrice du Forum mondial de la Mer de Bizerte et présidente de La Saison Bleue.

Créé en 2018 à Bizerte, le Forum mondial de la Mer, présidé par Pascal Lamy, est le seul rendez-vous dédié à l’océan au sud de la Méditerranée.

Dans le même sillage, et sous l’impulsion de Rym Benzina, présidente de la Saison Bleue, et de l’Académie du Royaume du Maroc, la seconde édition du Blue Africa Summit se tiendra également à Tanger le 10 octobre 2024 et proposera de son côté l’agenda 2030 du continent africain aux organisateurs de l’UNOC3.

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EU: Grünes Licht für ein digitales Schengen-Visum

Von: Redaktion
14. November 2023 um 13:03

Der Rat des Europäischen Parlaments hat am Montag, den 13. November 2023 neue Vorschriften angenommen, die es Personen, die in den Schengen-Raum einreisen wollen, ermöglichen, Mehr

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EU: Grünes Licht für ein digitales Schengen-Visum

Von: Redaktion
14. November 2023 um 13:03

Der Rat des Europäischen Parlaments hat am Montag, den 13. November 2023 neue Vorschriften angenommen, die es Personen, die in den Schengen-Raum einreisen wollen, ermöglichen, Mehr

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