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Heute — 29. Oktober 2025Haupt-Feeds

La Tunisie gagne 28 places en un an dans le classement mondial des cryptomonnaies

29. Oktober 2025 um 15:15

Malgré l’interdiction des cryptomonnaies depuis 2018, leur utilisation explose en Tunisie. Le pays gagne 28 places en un an et se classe désormais 52ᵉ mondialement, figurant parmi les dix premiers pays africains pour l’adoption des cryptos, selon le rapport 2025 de Chainalysis.

Cette progression remarquable reflète surtout l’usage informel des cryptomonnaies, via des plateformes peer-to-peer ou d’autres échanges non officiels. Sur le plan légal, l’usage reste interdit et non régulé, mais cela n’empêche pas les particuliers et certaines institutions d’effectuer des transactions.

Dans le détail des sous-indices, la Tunisie se classe 43ᵉ pour les particuliers utilisant des services centralisés, 53ᵉ pour les services centralisés en général, 67ᵉ pour la finance décentralisée et 61ᵉ pour l’implication des institutions. À l’échelle africaine, le Nigeria domine le continent, suivi de l’Éthiopie et du Maroc, tandis que l’Algérie, où les cryptos sont aussi interdites, occupe la 47ᵉ place.

Au niveau mondial, l’Inde, les États-Unis, le Pakistan, le Vietnam et le Brésil sont en tête du classement. La Tunisie illustre ainsi la persistance de l’adoption des cryptomonnaies malgré les restrictions légales et montre l’importance croissante des transactions informelles dans le pays.

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Gestern — 28. Oktober 2025Haupt-Feeds

Cryptomonnaies en Tunisie : une ascension fulgurante malgré l’interdiction

28. Oktober 2025 um 16:14

Un bond spectaculaire vient de propulser la Tunisie au 52ᵉ rang mondial de l’adoption des cryptoactifs. Alors même que leur utilisation demeure prohibée depuis 2018.

Relayé par nos confrères à Ilboursa, le dernier rapport de Chainalysis révèle une progression remarquable : en l’espace d’une année, le pays a grimpé de 28 positions dans le classement international, passant de la 80ᵉ à la 52ᵉ place. Cette performance place désormais la Tunisie dans le top 10 africain, un résultat qui interroge au regard du cadre légal en vigueur.

L’organisme spécialisé Chainalysis a revu cette année sa méthode d’évaluation. Les nouveaux critères intègrent l’activité des acteurs institutionnels et recalibrent les indicateurs concernant les transactions de particuliers et la finance décentralisée. Ces ajustements méthodologiques contribuent à expliquer le repositionnement de nombreux pays, dont la Tunisie.

Le classement s’appuie sur plusieurs paramètres : volumes transactionnels enregistrés sur les blockchains; recours aux plateformes centralisées et décentralisées; implication des institutions financières. L’ensemble dessine une cartographie mondiale contrastée, où cohabitent pays pionniers et territoires réfractaires.

Des transactions qui persistent dans la clandestinité

Malgré l’interdiction formelle édictée il y a sept ans, les échanges en cryptomonnaies se poursuivent en Tunisie. Ces opérations s’effectuent principalement via des réseaux peer-to-peer ou des canaux informels, échappant à toute régulation officielle. Chainalysis capte ces flux indirectement, notamment à travers l’analyse du trafic internet et d’autres données numériques accessibles.

L’examen détaillé des sous-indices tunisiens révèle des disparités. Le pays se positionne au 43ᵉ rang pour la valeur captée par les services centralisés destinés aux particuliers. Il occupe le 53ᵉ rang concernant l’ensemble des services centralisés. Tandis que la DeFi le relègue à la 67ᵉ position. Quant aux transactions institutionnelles via des plateformes centralisées, la Tunisie figure au 61ᵉ échelon.

Le panorama africain des cryptomonnaies dominé par le Nigeria

À l’échelle continentale, le Nigeria s’impose comme leader incontesté avec une 6ᵉ place mondiale. L’Éthiopie complète le podium africain en 12ᵉ position internationale. Elle devance le Maroc (24ᵉ), le Kenya (25ᵉ) et l’Égypte (26ᵉ). L’Afrique du Sud suit au 28ᵉ rang, puis l’Ouganda (37ᵉ), le Ghana (40ᵉ) et l’Algérie (47ᵉ). Cette dernière, comme la Tunisie, maintient une prohibition totale sur les cryptoactifs.

Au niveau planétaire, l’Asie et les Amériques trustent le sommet du classement. L’Inde décroche la première place, suivie des États-Unis, du Pakistan, du Vietnam et du Brésil. Cette hiérarchie reflète des réalités économiques et réglementaires très hétérogènes. En effet, certaines nations encouragent activement l’innovation financière numérique. Tandis que d’autres y voient une menace pour leur stabilité monétaire et redoutent les risques de blanchiment.

La progression tunisienne illustre une tendance de fond : l’émergence d’écosystèmes crypto parallèles dans des juridictions restrictives, où la demande contourne l’offre légale inexistante.

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Tunisie : une réforme de la loi sur le change permettra l’usage de PayPal et du Bitcoin

21. Oktober 2025 um 21:51
Tunisie : une réforme de la loi sur le change permettra l’usage de PayPal et du Bitcoin

Une nouvelle initiative législative a été déposée à l’Assemblée des représentants du peuple par le député Maher Ketari, visant à réformer en profondeur la Magna Carta du change en Tunisie. Signée par 40 parlementaires, cette proposition introduit la possibilité d’utiliser des plateformes internationales de paiement en ligne telles que PayPal, ainsi que des cryptomonnaies comme […]

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