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Sorcellerie et trafic d’animaux : une hyène sauvée, neuf suspects arrêtés à Grombalia

08. Oktober 2025 um 15:54
Sorcellerie et trafic d’animaux : une hyène sauvée, neuf suspects arrêtés à Grombalia

À Grombalia, les forces de sécurité ont procédé, mardi 7 octobre 2025, à l’arrestation de neuf individus accusés d’avoir capturé et détenu illégalement une hyène tachetée, une espèce rare et protégée, utilisée dans des rituels de magie noire et de sorcellerie. Selon les autorités locales, l’animal a été piégé dans des conditions cruelles et présentait […]

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Plainte contre une femme pour le meurtre d’un chien (Association Rahma)

Von: Yusra NY
07. Oktober 2025 um 23:48

L’Association Rahma pour la protection des animaux a annoncé avoir porté plainte contre une femme accusée d’avoir torturé et tué un chien.

Dans un communiqué publié ce mardi 7 octobre 2025, l’association a réitéré son « engagement inébranlable dans la lutte contre la maltraitance animale et en faveur des sans-voix »

La même source a salué les avocats bénévoles qui la soutiennent dans sa défense des droits des animaux, ainsi que le ministère public pour la prise en charge des plaintes déposées, soulignant l’importance de la collaboration entre la société civile et le système judiciaire.

Dans son communiqué, l’association a encouragé les citoyens à continuer de signaler tout acte de cruauté et a par ailleurs réitéré son appel à un renforcement des mesures de protection et à une application rigoureuse des lois existantes pour garantir le bien-être de toutes les créatures vivantes.

Y. N.

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Journée mondiale des animaux | Le bien-être de l’homme est indissociable de celui de l’animal

Von: Yusra NY
05. Oktober 2025 um 00:15

La Journée mondiale des animaux, célébrée chaque année le 4 octobre, constitue une occasion importante pour réfléchir à notre relation avec les êtres vivants qui partagent notre planète.

C’est un moment privilégié pour raviver notre conscience du rôle essentiel que jouent les animaux « qu’ils soient domestiques ou sauvages, petits ou grands » dans le maintien de l’équilibre des écosystèmes.

Ils sont des partenaires silencieux mais indispensables dans notre quête d’un environnement durable et d’une santé mondiale intégrée.

Dans ce contexte, la Direction Générale des Services Vétérinaires réaffirme le rôle vital du médecin vétérinaire, qu’il exerce dans le secteur public ou privé, en tant que première ligne de défense pour la santé animale, et, par extension, pour la santé humaine et la protection de l’environnement.

Cette mission s’inscrit pleinement dans le cadre du concept de « Une seule santé » (One Health), qui met en évidence l’interdépendance entre la santé de l’homme, des animaux et des écosystèmes.

À travers la surveillance épidémiologique, la prévention, la vaccination et l’encadrement sanitaire, les vétérinaires du secteur public et privé œuvrent quotidiennement à la protection du cheptel national et à la prévention des maladies zoonotiques. Ils jouent également un rôle essentiel d’accompagnement des éleveurs, de soins et de bien-être animal, contribuant ainsi à la promotion des valeurs de protection et de respect des animaux, ainsi qu’à la sécurité sanitaire des produits d’origine animale.

Cette journée est aussi un appel collectif à assumer nos responsabilités, individuelles et communautaires, envers les animaux par l’amélioration des pratiques d’élevage, l’adoption de comportements de consommation responsables, le soutien aux initiatives de protection animale et la promotion d’une culture du respect de la vie auprès des jeunes générations.

Le bien-être de l’homme est indissociable de celui de l’animal. Le respect que nous portons à ces êtres vivants traduit notre attachement aux valeurs de compassion, d’équilibre et de coexistence nécessaires à la construction d’un avenir sûr et durable pour tous.

En cette occasion, la Direction Générale des Services Vétérinaires réaffirme son engagement, aux côtés de l’ensemble des vétérinaires et des partenaires nationaux et internationaux, à poursuivre les efforts pour Une seule santé… Un seul monde… Un avenir commun.

Direction Générale des Services Vétérinaires

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Kairouan | Enquête sur l’empoisonnement de chats dans un restaurant universitaire

Von: Yusra NY
03. Oktober 2025 um 20:18

L’Association Rahma pour la protection des animaux a saisi la justice après l’empoisonnement de plusieurs chats dans un restaurant Universitaire à Kairouan.

Dans son communiqué, l’association a tenu à exprimer sa gratitude envers le Procureur de la République près le tribunal de première instance de Kairouan qui a fait preuve d’une réactivité exemplaire en autorisant l’ouverture d’une enquête urgente.

La police judiciaire a été chargée d’effectuer les investigations nécessaires afin de faire toute la lumière sur cette affaire et d’identifier les responsables de cet acte lâche et odieux, ajoute l’association qui a par ailleurs souligné l’engagement pour la cause animale de l’avocat Hamed Magrebi.

« Son engagement et sa détermination à défendre les droits de ces chats morts tragiquement par empoisonnement sont remarquables. Me Magrebi a pris cette affaire à cœur, s’assurant que justice soit rendue pour ces victimes innocentes. Son action est essentielle pour que la vérité éclate et que les auteurs de cet acte reçoivent la sanction qu’ils méritent », ajoute encore l’Association Rahma.

Y. N.

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Tunisie : chats brûlés, chiens abattus… jusqu’où ira la cruauté envers les animaux ?

27. August 2025 um 17:53

L’arrestation d’une femme ce mercredi 27 août à El Mellassine, filmée en train d’asperger des chats d’essence avant de les brûler vifs, a une nouvelle fois choqué l’opinion publique. La suspecte, récidiviste, a été placée en garde à vue sur instruction du ministère public près le tribunal de première instance de Tunis 2. Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux prouvent qu’elle n’en était pas à son premier acte.

Cette affaire n’est pas isolée. Quelques jours auparavant, le chien Rocky avait succombé à ses blessures après avoir été agressé à Sousse avec un objet tranchant. L’auteur a été condamné à trois mois de prison ferme, une peine considérée comme symbolique par les défenseurs des animaux. Si ce verdict marque une avancée, il reste largement en deçà des attentes de ceux qui réclament une véritable reconnaissance des droits des animaux.

Mais au-delà de ces cas, c’est toute une politique qui est remise en cause. Dans plusieurs municipalités, l’abattage des chiens errants reste une pratique courante, exécutée à balles réelles dans les rues. Ces scènes, parfois sous les yeux d’enfants, choquent autant qu’elles questionnent leur efficacité. Pour les associations, elles ne font qu’entretenir le problème, là où des campagnes de stérilisation, de vaccination et la création de centres d’accueil offriraient des solutions durables.

À cette violence s’ajoutent les empoisonnements, autre méthode couramment utilisée contre les animaux errants. Bien souvent, ces pratiques sont justifiées par la peur de voir des chiens et des chats fouiller les poubelles. Pourtant, ce phénomène découle surtout du manque de civisme : déchets abandonnés dans la rue, dépotoirs sauvages et absence de collecte régulière. En s’attaquant aux animaux plutôt qu’aux causes, on déplace le problème au lieu de le résoudre.

Même sur la scène politique, des voix s’élèvent. Le député Chokri El Bahri a dénoncé cette « chasse » aux chiens, pratiquée depuis plus d’un demi-siècle sans résultat. Il parle d’un « crime » institutionnalisé et plaide pour une approche plus moderne : vaccination, stérilisation, gestion des dépotoirs et structures d’accueil adaptées. Il rappelle qu’un projet de loi, déposé en juillet 2024, interdit désormais aux municipalités de recourir à ces méthodes d’abattage, ouvrant la voie à des alternatives plus respectueuses de la vie animale.

Pour les associations comme Arrahma, dirigée par Jamila Ammar, l’arsenal juridique actuel est « dépassé » et l’État doit prendre ses responsabilités. Les sanctions sont trop faibles, la loi peu appliquée, et les drames se répètent. « Combien de Rocky faudra-t-il encore ? », s’interrogent les défenseurs des animaux.

Ces affaires, largement relayées sur les réseaux sociaux, ne sont pas de simples faits divers. Elles mettent en lumière une réalité dérangeante : en Tunisie, l’animal reste perçu comme un objet ou un nuisible. Tant que l’État ne réformera pas en profondeur sa législation et ne soutiendra pas une politique de protection claire, ces drames continueront de se répéter. Car ignorer la souffrance des animaux, c’est aussi tourner le dos à une part de notre humanité.

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Tunisie : Quand la cruauté tue, les animaux considérés comme des objets !

11. August 2025 um 08:00

Le chien violemment frappé par un individu à Sousse, n’a pas survécu à ses blessures. Cette issue tragique, largement relayée sur les réseaux sociaux, a provoqué une onde de choc parmi les défenseurs des animaux. Mais au-delà de l’émotion, elle interroge sur la place que notre société accorde à la vie animale.

Ce décès ne devrait pas être perçu comme un simple fait divers. Il est le symbole d’une situation chronique en Tunisie : l’animal reste considéré comme un objet, un bien sans valeur morale, qu’on utilise, qu’on maltraite et qu’on abandonne sans craindre de véritables conséquences.

En Tunisie, malgré quelques associations actives et engagées, la protection animale reste marginale. Les textes de loi existants sont rarement appliqués, et les sanctions demeurent faibles. Dans les mentalités, l’animal est encore trop souvent perçu comme un outil — un moyen de garde, de travail ou de consommation — plutôt que comme un être sensible.

Cette absence de reconnaissance se traduit par des scènes quotidiennes de maltraitance : chiens et chats errants empoisonnés, bêtes de somme épuisées, animaux domestiques négligés. Les campagnes de sensibilisation peinent à infléchir les comportements, faute d’un cadre légal strict et de moyens dédiés au contrôle.

Pour les défenseurs de la cause animale, ce décès doit servir d’électrochoc. Il ne s’agit pas seulement de punir les actes de cruauté, mais de repenser la relation que nous entretenons avec les animaux. Sans une réforme claire de la législation et un changement de regard, d’autres drames semblables continueront de se répéter.

Le regard de la société

Au-delà des lois, c’est un problème culturel. Pour beaucoup, un animal n’est pas un être sensible mais un outil, un gardien ou un produit. La compassion animale est perçue comme un luxe, presque un caprice, dans un pays où les difficultés économiques pèsent lourd. Pourtant, la misère sociale ne peut justifier la cruauté.


Les associations de défense animale tirent la sonnette d’alarme depuis des années, mais leur action se heurte à un manque criant de moyens et de soutien institutionnel. Ce décès devrait servir d’électrochoc : il est temps de réformer la loi, de durcir les sanctions, et surtout de sensibiliser massivement à la valeur de la vie animale. Car un pays qui ferme les yeux sur la souffrance des plus vulnérables – y compris celle des animaux – ferme aussi les yeux sur une part de son humanité.

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