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Gestern — 11. Juli 2025Haupt-Feeds

Maroc : une croissance économique de 4,6 % au deuxième trimestre 2025

11. Juli 2025 um 16:43

Selon le Haut-Commissariat au Plan (HCP), la croissance de l’économie a atteint 4,6 % au Maroc, pour le deuxième trimestre 2025, en comparaison annuelle.

D’après le HCP dans un bulletin d’information sur la situation économique du premier trimestre 2025 et les prévisions pour les deuxième et troisième trimestres de 2025, cette expansion est stimulée par l’excellente performance des activités non agricoles. Et en particulier les services qui connaissent une croissance bien supérieure à celle enregistrée entre 2010 et 2019, depuis 2022 au Maroc.

Persistance des tensions sur les prix mondiaux

Selon la même source, l’industrie extractive a profité d’une forte demande internationale en phosphate brut. Ce qui a conduit à une nette augmentation de ses exportations. Et ce, dans un climat marqué par la persistance des tensions sur les prix mondiaux des engrais.

De même, le secteur de la construction a enregistré une progression de 6,8 %, propulsée par l’accélération des grands projets d’infrastructures. Quant au secteur agricole, il a continué de croître à un rythme de 4,7 % au deuxième trimestre 2025, en comparaison annuelle. Apportant ainsi 0,5 point à l’expansion économique globale. Malgré une tendance générale à la hausse, les productions végétales ont cependant connu des fluctuations disparates. Lesquelles sont dues aux conditions météorologiques irrégulières qui ont dominé les saisons d’automne et de printemps 2024/2025.

A cet égard, les hautes températures, associées à un manque de pluie inégalement distribuée entre les régions, ont probablement eu un impact sur quelques cultures, en particulier les rosacées et les plantes oléagineuses. En revanche, il y a eu une amélioration des récoltes de céréales, de légumes de saison et de cultures sucrières, surtout dans les régions irriguées et celles moins sujettes au manque d’eau, en partie grâce à des mesures d’appui.

Reprise des activités agricoles

Quant à la production animale, qui connaît un recul temporaire depuis 2022, elle est demeurée sous son niveau de tendance au cours du deuxième trimestre 2025, en dépit d’une progression de l’activité avicole.

En somme, la croissance de la valeur ajoutée de tous les secteurs d’activité a été déterminée, au deuxième trimestre 2025, à un taux similaire à celui du premier trimestre (+4,5 %). En outre, le HCP souligne que l’économie nationale marocaine a connu une croissance de 4,6 % au premier trimestre 2025. Cette progression est attribuée à la reprise des activités agricoles et à l’élargissement de la valeur ajoutée des secteurs secondaires et tertiaires.

Lors du premier trimestre précédent, la demande interne au Maroc a contribué à hauteur de 8,5 points à l’augmentation du PIB, atteignant ainsi son sommet depuis la reprise post-Covid. Pendant ce temps, la demande externe a continué de s’affaiblir à une cadence plus soutenue, réduisant la progression économique du Royaume Chérifien de 3,8 points.

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Arabie saoudite : Richard Attias & Associated vers la Bourse

10. Juli 2025 um 13:53

Selon un rapport, Richard Attias et Associates, l’organisateur de la Future Investment Initiative Summit en Arabie saoudite, envisage une introduction en Bourse.

Richard Attias, le fondateur et président de RA&A, a indiqué à Bloomberg que sa société de conseil et d’organisation d’événements collaborait actuellement avec des banques, y compris Evercore Inc, en vue d’une possible entrée sur le marché boursier dès l’année prochaine.

Une destination commerciale mondiale

Le Forum d’Investissement International est généralement perçu comme un événement majeur au Royaume, attirant les dirigeants internationaux et les spécialistes du domaine pour échanger sur les chances et les enjeux actuels dans le contexte financier mondial.

Par ailleurs, Richard Attias a joué un rôle central en tant qu’intervenant lors des événements de la FII, où l’Arabie saoudite a dévoilé les aspirations de sa Vision 2030. Cette initiative vise à établir le pays comme une destination commerciale mondiale d’ici la fin des années 2020. Selon Bloomberg, en se référant à Attias, « après toute opération éventuelle, il demeurerait actionnaire et continuerait à être le président du conseil d’administration. Rien n’a été décidé de manière concluante ».

Actuellement, Sanabil, qui est l’entité d’investissement du Fonds d’investissement public du Royaume, détient approximativement 75 % de RA&A, tandis qu’Attias possède le reste. Il occupe actuellement le poste de président du conseil exécutif de l’institut FII, une organisation sans but lucratif administrée par le fonds souverain d’Arabie saoudite. En février, le sommet des priorités de l’institut FII s’est tenu à Miami, avec la participation du président américain Donald Trump qui a donné un discours lors de l’événement.

Un effet social sur le long terme

Le discours principal de Trump a mis en évidence l’importance d’investissements stratégiques qui produisent à la fois des bénéfices financiers et un effet social sur le long terme. « C’est un grand privilège aujourd’hui d’être le premier président américain à prendre la parole devant le Future Investment Initiative Institute », avait-il déclaré lors de cette rencontre. L’édition 2023 de l’IIF a attiré plus de 500 participants et organisé plus de 200 sessions. Parmi elles figuraient des séances plénières, des réunions en comité restreint et des conclaves traitant de sujets tels que la stabilité économique, les frictions géopolitiques et le développement équitable.

Depuis sa création en 2017, l’Institut FII tient chaque année des manifestations à Riyad. Au fil des années, ce programme est devenu une référence majeure dans le domaine de la finance.

Créé en 2008, RA&A a actuellement plus de 100 employés à travers le monde. Selon leur profil LinkedIn, ils offrent des idées, établissent des connexions et mettent en place des plateformes pour orienter leurs clients, qui se composent d’entreprises, de gouvernements, d’ONG et d’organisations sans but lucratif.

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Bank of Africa : Said Adren consacré « leader africain de l’année »

09. Juli 2025 um 08:40

Lors de la cérémonie des Business Chamber Awards, qui s’est tenue le 3 juillet 2025 à Londres, Bank of Africa a reçu deux distinctions. Rassemblant des ambassadeurs africains, des dirigeants britanniques ainsi que des personnalités du milieu culturel et économique, la manifestation a mis en lumière la contribution de la banque au développement économique de l’Afrique.

A l’occasion de cet événement, Bank of Africa a été nommée “Entreprise Africaine de l’Année“. Ce prix met en lumière son engagement stratégique dans le financement des économies africaines, sa quête d’excellence et son influence grandissante en dehors du continent.

Ainsi, l’établissement bancaire, qui opère dans une vingtaine de pays du continent, réaffirme sa position en tant qu’acteur majeur de la finance panafricaine.

Un autre moment fort de la soirée a été la remise du prix du “Leader Africain de l’Année“ à Said Adren, directeur général de Bank of Africa UK.

Choisi parmi une centaine de postulants, M. Adren a été récompensé pour son leadership éclairé, sa gestion révolutionnaire de la filiale britannique et son dévouement durable à promouvoir la finance africaine depuis le Royaume-Uni.

Une banque qui s’inscrit dans l’innovation

La Bank of Africa (BOA) a été la première institution au Maroc et dans la région MENA à adhérer à l’Alliance africaine pour le capital naturel (ANCA), une plateforme de référence dédiée à la promotion du progrès économique et du développement financier sur le continent. Un événement qui a eu lieu en avril dernier.

Selon un communiqué, cette adhésion sous la direction de son président Othman Benjelloun confirme l’engagement avant-gardiste de BOA en matière de finance durable, notamment en soutenant des économies africaines favorables à l’environnement et en renforçant la reconnaissance des risques et opportunités liés à la nature dans le secteur financier.

Depuis 2015, Bank of Africa a élaboré une série novatrice de produits financiers afin d’accompagner ses clients dans des secteurs essentiels comme l’efficacité énergétique, la gestion de l’eau et l’économie circulaire. Le Groupe a aussi inclus la gestion des risques environnementaux, sociaux et, plus récemment, climatiques dans l’administration de son portefeuille.

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Issam Sefi critique une démarche répressive du projet de loi portant sur l’e-commerce

08. Juli 2025 um 14:15

Issam Sefi, vice-président au sein du Syndicat des Editeurs de Vidéo à la Demande (Sevad), l’Organisation professionnelle représentant le secteur du e-commerce et de la vente à distance, est intervenu, ce mardi 8 juillet 2025 sur les ondes de radio Express FM, pour évoquer le projet de loi concernant l’e-commerce.

Il a d’abord reconnu une réaction favorable, à ses yeux, suite à la réunion organisée à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et où la Sevad a été conviée par les députés signataires de l’initiative. Par la suite, Issam Sefi a mis l’accent sur le fait que ce projet de loi sur l’e-commerce favorise une démarche répressive plutôt qu’incitative. Il a rappelé l’impact du Startup Act dans son domaine et sur l’écosystème des startups. « Pourquoi ne pas emprunter les bonnes pratiques pour les appliquer dans des secteurs analogues ? », déplore-t-il. Et de poursuivre en critiquant : « Ce n’est pas la méthode idéale, surtout que plus de 60 % des intervenants ont fait le saut vers l’économie informelle ».

Le vice-président de la Sevad a par la suite exprimé le souhait de son organisation de collaborer. Elle prévoit, d’ailleurs, de soumettre ses idées et recommandations à l’ARP.

Trois principales orientations

Dans la même veine, Issam Sefi a aussi fixé trois orientations en vue d’optimiser le secteur. A savoir : la simplification des démarches administratives; les bénéfices; et les encouragements fiscaux. Ils sont à ses yeux les éléments essentiels pour la régularisation et la métamorphose du secteur. Il précise que l’initiative de la Sevad est entièrement basée sur le Startup Act.

Au passage, il fait état d’obstacles auxquels sont confrontés les intervenants du secteur pour se procurer des devises, qu’il considère comme l’élément crucial de la bataille. Ce passage est essentiel, en particulier pour créer du trafic.

Par ailleurs, le vice-président de la Sevad estime anormal que les entreprises tunisiennes soient limitées à dix mille dinars en termes de devises. Etant donné que cette somme ne couvre même pas une dizaine de jours de publicité. Alors que les sociétés étrangères établies en Tunisie jouissent d’un accès sans restriction. « C’est de la concurrence déloyale » a-t-il dénonce.

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