Le Bitcoin a connu un rebond spectaculaire en 2024, marquant une étape historique avec un volume de transactions qui a franchi la barre des 19 000 milliards de dollars, un record absolu. Cette reprise, après deux années de baisse, témoigne du renouveau de la confiance des investisseurs et d’une évolution profonde du réseau. Plusieurs facteurs ont contribué à cette dynamique, notamment l’approbation des ETF Bitcoin aux États-Unis, l’intensification de la demande pour les paiements en BTC, et l’augmentation de la puissance de calcul du réseau.

En effet, en 2024, le Bitcoin a dépassé les 19 000 milliards de dollars de transactions, un chiffre bien supérieur aux 8 700 milliards de dollars traités l’année précédente. Cette reprise phénoménale a été facilitée par l’entrée massive des capitaux institutionnels, stimulée par l’approbation des ETF Bitcoin aux États-Unis. Le BTC se positionne désormais comme une véritable réserve de valeur et un moyen d’échange mondial, consolidant ainsi son rôle dans le système financier international.

La demande croissante pour les paiements en Bitcoin a été soutenue par des innovations comme le Lightning Network, qui réduit les coûts et améliore la vitesse des transactions. Parallèlement, la sécurisation du réseau a atteint un niveau inédit, avec un hashrate atteignant 1 000 exahashes par seconde début janvier 2025, un signe de l’engagement des acteurs du mining malgré la hausse des coûts énergétiques.

Cette montée en puissance du Bitcoin soulève également des enjeux géopolitiques. En 2024, les pools de mining américains ont capté plus de 40 % de la puissance totale, tandis que la Chine, malgré des restrictions, conserve une position influente dans l’écosystème.

Face à cet essor, la question de la scalabilité devient cruciale. Les solutions de seconde couche, comme le Lightning Network, apparaissent comme des réponses essentielles pour maintenir la viabilité du réseau face à une adoption croissante.

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Trois personnes ont perdu la vie et quatre autres ont été blessées dans un accident de la route survenu, dimanche soir, sur la Route Nationale numéro 3 reliant les délégations de Jelma et Bir El Haffey, au niveau de la région de Nwayel, gouvernorat de Sidi Bouzid.

L’accident résulte d’une collision frontale entre deux voitures, entraînant la mort des trois victimes sur place.

Une équipe de la protection civile a transporté trois blessés à l’hôpital régional de Sidi Bouzid, tandis qu’une quatrième personne blessée a été transférée à l’hôpital local de Bir El Hafey. Les blessures enregistrées sont de gravité variable.

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Un temps partiellement nuageux dominera l’ensemble du pays, avec une couverture nuageuse qui s’épaissira progressivement en fin de nuit, particulièrement sur les régions occidentales du nord.

Les vents souffleront du secteur sud, se montrant relativement forts à forts près des côtes est, et modérés à localement soutenus dans les autres régions.

La mer sera très agitée à agitée sur les côtes est, tandis qu’elle passera de peu agitée à agitée progressivement au nord.

Côté températures, les maximales oscilleront généralement entre 17 et 22 degrés, avec des valeurs autour de 14 degrés dans les zones montagneuses de l’ouest.

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Le ministre des Finances saoudien, Mohammed ben Abdullah Al-Jadaan, a approuvé le plan annuel d’emprunt pour l’exercice 2025. Ce programme, validé par le Conseil d’administration du Centre national de gestion de la dette, prévoit des besoins de financement estimés à 139 milliards de riyals (37,01 milliards de dollars), selon l’agence de presse officielle saoudienne (SPA).

Le plan vise à combler un déficit budgétaire de 101 milliards de riyals (26,9 milliards de dollars) pour l’année 2025. Il inclut également le remboursement de 38 milliards de riyals (10,12 milliards de dollars) correspondant à des échéances de dette prévues en 2025.

Outre ces objectifs, le programme détaille les évolutions de la dette publique en 2024, les initiatives liées aux marchés de la dette domestiques, et les grandes lignes de la stratégie de financement pour 2025. Il intègre également un calendrier des émissions d’obligations islamiques (sukuk) libellées en riyals saoudiens.

Pour 2025, l’Arabie Saoudite ambitionne de diversifier davantage ses sources de financement à l’échelle locale et internationale. Elle s’engage à émettre des instruments de dette souveraine selon des conditions équitables, tout en adoptant une gestion rigoureuse des risques. Le plan prévoit aussi de profiter des opportunités de marché pour étendre des opérations de financement spécifiques, afin de soutenir la croissance économique du Royaume.

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La société régionale de transport a annoncé le renforcement de son programme des dessertes, par l’ajout de trajets supplémentaires entre Tataouine et les gouvernorats avoisinants, et ce, en concomitance avec la fin des vacances du premier trimestre scolaire.

Les dessertes additionnées sont celles de, Tataouine-Sfax (2 voyages), Tataouine-Gabès, et Tataouine-Médenine, a indiqué à l’Agence TAP le porte-parole de la société, Chokri Jaziri.
A cet même effet, les taxis collectifs reliant Tataouine à Tunis, « sont disponibles en nombre suffisant », a affirmé le président du syndicat régional des taxis collectifs, Miloud Abdelhanine.
Par ailleurs, la société nationale de transport rural et interurbain a fermé ses guichets de vente de billets depuis, hier samedi, affichant complet pour les places sur les trajets tant réguliers que supplémentaires reliant quotidiennement Tataouine à Tunis, à l’exception de la navette programmée, demain lundi dans la soirée.
Dans ce contexte, le directeur régional des transports à Tataouine, Hafedh Mourou, a indiqué à la TAP qu’une note émanant du directeur général du transport terrestre signale qu’il est permis à tous les taxis collectifs de travailler librement en dehors de leurs lignes habituelles les 4, 5 et 6 janvier courant.

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Après sa récente participation dans la sélection officielle de la 35ème édition des Journées Cinématographiques de Carthage, « Who Do I Belong To », premier long métrage de Meryam Joobeur, fera sa sortie officielle, le mercredi 15 janvier 2025, dans toutes les salles de la République.

Ecrit et réalisé par la cinéaste tunisienne basée à Montréal, au Canada, ce film de fiction est une coproduction de 2023 entre la Tunisie, le Canada et la France où il est sorti depuis le mercredi 1er janvier 2025.

En prévision de la sortie officielle, plusieurs projections-débats sont programmées en présence de l’équipe du film et ce à partir du mercredi 08 janvier, à Cinemad’art (19h30). Les autres projections auront lieu, successivement le jeudi 09 janvier à l’Agora la Marsa (19h), le vendredi 10 janvier à l’Institut français de Tunisie (18h) et le samedi 11 janvier à Pathé Tunis City (19h30).

« La Source (titre en français) ou « Mé el Aïn » (titre en arabe) débarque dans les salles tunisiennes au terme d’une tournée de plusieurs mois, démarrée, en février dernier, dans les plus grands festivals de cinéma occidentaux et arabes où il a été sélectionné en compétition officielle. Ce film dont la première mondiale avait eu lieu à la Berlinale en février dernier, était dans la course au Tanit d’Or des 35èmes JCC, tenues du 14 au 21 décembre 2024.

Son avant-première nationale a eu lieu, le 16 décembre, au Théâtre de l’Opéra de Tunis, en présence de la réalisatrice et de l’équipe artistique. « Je suis très contente de présenter le film en Tunisie qui constitue une expérience a déclaré Joobeur, avant la projection, un moment qu’elle dit avoir attendu des années ».

« La Source » est la version longue de son court métrage « Brotherhood » nominé aux Oscars 2020, sélectionné dans plus de 150 festivals et ayant remporté 75 prix internationaux. La thématique du film est dans la même approche de ses courts-métrages qui abordent des histoires uniques de personnages dans des contextes socio-politiques souvent difficiles: Gods, Weeds and Revolutions (2012), Born in the Maelstrom (2017) et Brotherhood (2018).

Le casting est composé de Salha Nasraoui, Mohamed Hassine Grayaa, Malek Mechergui, Rayen Mechergui, Adam Bessa, Chaker Mechergui et Dea Liane.

Ce drame (120’) est l’histoire de « Aïcha » (Salha Nasraoui) et son mari « Brahim » (Mohamed Hassine Grayaa), éleveurs d’ovins vivant avec leur fils junior, Adam (Rayen Mechergui), écolier, dans une ferme au milieu de la nature. Il relate l’histoire d’une famille ayant deux fils partis à la guerre après s’être enfuis pour rejoindre les groupes de Daech à Raqqa, en Syrie. L’un d’eux, « Mehdi » (Malek Mechergui), est revenu traumatisé à jamais après avoir perdu son frère « Amine » (Chaker Mechergui).

Ce premier long métrage de Joobeur offre un voyage unique dans l’univers onirique de la jeune réalisatrice diplômée de l’École de cinéma Mel Hoppenheim de Montréal, qui nous dévoile une fiction au style narratif unique. Son directeur de photographie, le Canadien Vincent Gonneville avec lequel elle a collaboré dans ses premiers films, est derrière la force de l’image dans ce drame paradoxalement dominé par les paysages pittoresques.

Dans ce film, sous-titré en français, le vécu d’une famille tunisienne dans une zone montagneuse, dévastée par l’ampleur de la radicalisation des jeunes, au lendemain de la révolution, sont explorés à travers une vision à la fois poétique, abstraite et profonde qui suscite les émotions les plus contradictoires.

Les cinéphiles auront rendez-vous avec une fiction dans laquelle Maryem Joobeur adopte une écriture cinématographique traduisant sa vision de cinéaste ayant le sens du détail.

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Le ministère de la Santé a annoncé, ce dimanche, le lancement d’un programme national de téléradiologie visant à connecter les hôpitaux régionaux aux hôpitaux universitaires. Ce programme fait partie de la stratégie de numérisation des services de santé et vise à garantir une justice sanitaire en assurant à tous les citoyens un accès équitable à des soins de qualité.

Le ministère a souligné l’engagement de l’État dans le développement du secteur de la santé et des technologies médicales, précisant que plusieurs hôpitaux régionaux ont déjà été dotés d’équipements de pointe, notamment l’hôpital régional de Jendouba.

Grâce à un partenariat avec l’hôpital universitaire de la Rabta, 221 patients ont bénéficié, ce samedi, d’examens d’imagerie médicale (IRM) à distance à l’hôpital régional de Jendouba. De même, l’hôpital régional de Tozeur a vu de nombreux patients profiter des services de téléradiologie grâce à un accord avec l’hôpital universitaire de la Rabta.

L’hôpital régional Sadok Mokaddem à Djerba a lancé son service de téléradiologie à distance le 3 janvier, en partenariat avec l’hôpital universitaire Habib Thameur de Tunis. À Gafsa, l’hôpital régional Houcine Bouzaiene a déjà mis en place des actes de téléradiologie grâce à un partenariat avec l’Institut Salah Azaïez, permettant des comptes rendus médicaux rapides et précis.

L’hôpital régional de Siliana a également commencé à offrir des services de téléradiologie en partenariat avec l’hôpital universitaire Charles Nicolle de Tunis. À Béja, un accord de partenariat a été signé avec l’hôpital Abderrahmen Mami pour un service permanent de téléradiologie.

L’hôpital régional du Kef est actuellement en phase de digitalisation de ses services de radiologie grâce à un partenariat avec l’hôpital d’enfants Béchir Hamza, tandis qu’à Kébili, des prestations de téléradiologie sont fournies en collaboration avec l’hôpital universitaire Fattouma Bourguiba de Monastir.

Dans les mois à venir, le ministère de la Santé prévoit d’étendre ce programme en connectant d’autres hôpitaux régionaux aux hôpitaux universitaires pour garantir une équité sanitaire à l’échelle nationale. Par ailleurs, une plateforme d’imagerie médicale à distance, « Télé Radiologie », sera mise en place pour coordonner les services de santé, favoriser l’échange d’expertise médicale, et assurer un diagnostic rapide et précis des patients.

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Le Club Sportif Sfaxien a été éliminé de la Coupe de la Confédération Africaine de Football après sa défaite, ce dimanche 5 janvier 2025, au stade Hammadi Agrebi à Radès, face au Simba SC tanzanien sur le score de 1-0.

Cette défaite représente la quatrième consécutive du CS Sfaxien dans cette compétition, un coup dur pour l’équipe et ses supporters.

Le seul but de la rencontre a été inscrit par le joueur Jean Charles Ahua à la 34ᵉ minute, offrant ainsi la qualification au Simba SC et mettant fin aux espoirs du CS Sfaxien pour cette édition de la Coupe de la Confédération.

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Dans la nuit de dimanche, le ciel sera partiellement nuageux sur l’ensemble du territoire. Les vents souffleront du sud, modérés à forts près des côtes orientales, et seront généralement modérés à faibles dans les autres régions.
En mer, la situation sera perturbée : la mer sera agitée à très agitée sur les côtes orientales et modérée à agitée sur le nord du pays.
Les températures nocturnes varieront généralement entre 8°C et 13°C, tandis qu’elles seront autour de 6°C dans les zones montagneuses de l’ouest.

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Le 5 janvier 2025, l’Espérance Sportive de Tunis (EST) a perdu 1-2 contre Pyramides FC lors de la 4ᵉ journée de la phase de groupes de la Ligue des Champions de la CAF. Le match s’est joué au Stade 30 Juin du Caire, en Égypte, devant une foule passionnée.
L’EST a ouvert le score à la 56ᵉ minute grâce à un magnifique tir de Youssef Belaili. Cependant, la domination tunisienne n’a pas duré. En fin de match, Pyramides FC a renversé la situation avec des buts de Mustapha Fethi (90′) et Ibrahim Adel (93′), assurant ainsi une victoire décisive pour l’équipe égyptienne.
Cette défaite prive l’EST de l’opportunité de conforter sa position en tête du groupe D, et met Pyramides FC dans une position favorable pour la qualification en phase éliminatoire.

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Le Directeur Général du Centre National de la Pharmacovigilance, le Professeur Riadh Daghfous, a précisé ce dimanche que le virus « HMPV », actuellement en circulation dans plusieurs pays, est un virus respiratoire ancien, apparu en Europe dès 2001.
Contrairement aux informations alarmistes diffusées sur les réseaux sociaux, il ne présente aucune dangerosité particulière. Il a également confirmé qu’aucun cas n’a été signalé en Tunisie.
Dans une déclaration à l’Agence TAP, le Professeur Daghfous a déploré la propagation d’informations erronées, accompagnées de photos et de vidéos anciennes, créant ainsi une panique injustifiée. “L’Organisation mondiale de la santé (OMS) n’a d’ailleurs émis aucun avertissement concernant ce virus. De plus, les experts n’ont pas jugé nécessaire de développer un vaccin contre lui, étant donné qu’il suit le comportement des autres virus saisonniers, se manifestant surtout en hiver”, a-t-il précisé.
Le virus « HMPV », qui affecte principalement le système respiratoire et touche particulièrement les enfants, appartient à la famille des virus responsables de la bronchiolite, une infection des plus petites voies respiratoires des poumons. Il provoque des symptômes similaires à ceux de la pneumonie, tels que toux, fièvre, congestion nasale et respiration sifflante. Bien que rare, il peut dans certains cas graves affecter les poumons.
Le Professeur Daghfous a recommandé de traiter ce virus comme tout autre virus saisonnier : consulter un médecin pour obtenir un traitement approprié et appliquer les mesures préventives habituelles pour éviter l’infection.
Il convient de noter que ces derniers jours, plusieurs médias et réseaux sociaux ont relayé des images et vidéos créant une vague de panique, suite à la propagation du virus « HMPV » en Chine et en Inde.

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La Banque de financement du commerce en Afrique (Afreximbank) vient de publier son rapport 2024, offrant une vision détaillée des réserves de change des pays africains. Ce classement est un indicateur majeur de la stabilité économique et financière des États du continent, en soulignant les efforts mis en place pour renforcer la résilience face aux chocs économiques mondiaux.
Dans ce contexte, des pays comme l’Algérie, la Libye et l’Afrique du Sud dominent le classement, détenant respectivement près de 91 milliards, 80,7 milliards et 57,6 milliards de dollars en réserves de change. Ces réserves sont cruciales pour soutenir les importations, stabiliser les devises locales et garantir la crédibilité financière sur la scène internationale.
La Tunisie, avec des réserves avoisinant les 8,8 milliards de dollars, se positionne à la huitième place parmi les pays africains. Ce chiffre témoigne des efforts constants du pays pour maintenir une stabilité économique en dépit de défis internes et externes. En effet, bien que la Tunisie fasse face à de multiples enjeux, sa gestion prudente des réserves de change reste un pilier essentiel pour sécuriser les importations vitales et renforcer la confiance des partenaires internationaux.
En comparaison avec d’autres nations du continent, la Tunisie parvient à préserver une position solide grâce à une stratégie économique résolue, bien que modeste en termes absolus, mais néanmoins significative pour une nation de sa taille.
Il est à noter que ce rapport met en lumière l’importance de la gestion des réserves de change comme outil stratégique pour naviguer dans un environnement économique mondial incertain, tout en soulignant que chaque pays, indépendamment de sa place dans le classement, doit continuellement œuvrer pour garantir sa stabilité financière.

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« Une adoption précoce des cryptomonnaies pourrait améliorer l’efficacité des transactions, réduire les coûts et promouvoir l’inclusion financière en Tunisie », selon la revue de recherche publiée par l’intermédiaire en bourse, « Tunisie Valeurs », en décembre 2024.
« Les cryptomonnaies ont le potentiel de révolutionner les économies en offrant une décentralisation et une flexibilité financière accrues », souligne l’intermédiaire en bourse, ajoutant que « en s’inspirant des réussites d’autres pays, la Tunisie pourrait développer des stratégies adaptées, telles que des initiatives gouvernementales favorables, une collaboration avec le secteur privé et des campagnes de sensibilisation à l’échelle nationale ».
Il est également noté que « la Tunisie adopte une approche prudente face à ces nouvelles technologies, citant des préoccupations et des incertitudes ». Tandis que de nombreux pays tirent parti de l’adoption des cryptomonnaies, « l’approche tunisienne reste plus réservée ».
Le pays évalue les avantages potentiels des cryptomonnaies par rapport aux préoccupations persistantes, telles que la volatilité des prix, la sécurité, la réglementation et la protection des investisseurs. Cette prudence peut être interprétée comme un comportement économique avisé, mais elle pourrait également conduire à manquer des opportunités de croissance et d’innovation.
« Selon la ministre des Finances, le projet de nouveau code des changes, publié en mars 2024 et actuellement soumis à l’approbation du Parlement, régulera pour la première fois l’utilisation des cryptomonnaies en Tunisie. La ministre a affirmé que les dispositions de ce projet permettront aux citoyens tunisiens de détenir et d’échanger des cryptomonnaies, une forme de monnaie virtuelle. Toutefois, cette activité sera soumise à une autorisation de la Banque Centrale de Tunisie (BCT) et devra respecter un seuil financier important, dont les détails seront définis dans des textes réglementaires à venir après l’approbation du nouveau code des changes. De plus, les cryptomonnaies devront être converties en monnaie fiduciaire », indique le document de « Tunisie Valeurs ».

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Le tant attendu Clasico entre l’Étoile Sportive du Sahel (ESS) et le Club Africain (CA) s’est terminé ce dimanche sur un score de 2-2, dans un match plein de rebondissements.
Le match a débuté sur un rythme effréné. Dès la 4e minute, l’ESS prend l’avantage grâce à un coup de tête précis de Firas Chaouat. Cependant, le Club Africain réagit rapidement et égalise à la 14e minute avec un tir puissant de Houssem Khadraoui. Le jeu se poursuit avec une pression croissante des deux équipes, et à la 35e minute, Firas Ben Choug redonne l’avantage à l’ESS avec une frappe puissante à l’entrée de la surface.
Mais le match réserve encore une belle fin de partie : à la 93e minute, dans les dernières secondes du match, Hamdi Laabidi égalise pour le CA d’un tir qui laisse le public sous le choc, offrant ainsi un point à chaque équipe.

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Comme chaque année, la période hivernale est marquée par une hausse des maladies respiratoires, notamment d’origine virale. Ce phénomène est observé dans de nombreux pays, y compris en Tunisie. Les données récentes, tant au niveau national qu’international, montrent que les virus actuellement en circulation sont bien connus et ne représentent pas de danger significatif pour la santé publique. Aucun élément ne laisse présager une menace grave ou une propagation incontrôlée.
Dans un communiqué rendu public dimanche sur sa page officielle Facebook, le ministère de la Santé tient à rassurer la population et confirme que la situation est sous contrôle. En coordination avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les autorités sanitaires continuent de surveiller la situation de manière quotidienne. “Si les circonstances l’exigent, des mesures immédiates et adaptées seront mises en œuvre. Par ailleurs, un plan de réponse est déjà prêt pour gérer toute éventuelle épidémie”, précise le document.
Dans ce contexte, le ministère insiste sur l’importance de la prévention. La vaccination annuelle, notamment contre la grippe, demeure un moyen efficace de réduire les risques de complications. Il est également essentiel d’adopter les gestes barrières, tels que le lavage régulier des mains, le port du masque dans les espaces clos bondés et la limitation des contacts en cas de symptômes. Ces précautions sont particulièrement nécessaires pour protéger les groupes les plus vulnérables, comme les nourrissons, les enfants, les personnes âgées et celles souffrant de maladies chroniques.
Enfin, le ministère appelle à la prudence face aux rumeurs et invite les citoyens à s’informer uniquement à travers ses communiqués officiels. La diffusion de fausses informations ne peut qu’alimenter l’inquiétude sans raison.

L’article Tunisie – Le ministère de la Santé rassure : « la situation est sous contrôle » est apparu en premier sur La Presse de Tunisie.

Comme chaque année, la période hivernale est marquée par une hausse des maladies respiratoires, notamment d’origine virale. Ce phénomène est observé dans de nombreux pays, y compris en Tunisie. Les données récentes, tant au niveau national qu’international, montrent que les virus actuellement en circulation sont bien connus et ne représentent pas de danger significatif pour la santé publique. Aucun élément ne laisse présager une menace grave ou une propagation incontrôlée.
Dans un communiqué rendu public dimanche sur sa page officielle Facebook, le ministère de la Santé tient à rassurer la population et confirme que la situation est sous contrôle. En coordination avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les autorités sanitaires continuent de surveiller la situation de manière quotidienne. “Si les circonstances l’exigent, des mesures immédiates et adaptées seront mises en œuvre. Par ailleurs, un plan de réponse est déjà prêt pour gérer toute éventuelle épidémie”, précise le document.
Dans ce contexte, le ministère insiste sur l’importance de la prévention. La vaccination annuelle, notamment contre la grippe, demeure un moyen efficace de réduire les risques de complications. Il est également essentiel d’adopter les gestes barrières, tels que le lavage régulier des mains, le port du masque dans les espaces clos bondés et la limitation des contacts en cas de symptômes. Ces précautions sont particulièrement nécessaires pour protéger les groupes les plus vulnérables, comme les nourrissons, les enfants, les personnes âgées et celles souffrant de maladies chroniques.
Enfin, le ministère appelle à la prudence face aux rumeurs et invite les citoyens à s’informer uniquement à travers ses communiqués officiels. La diffusion de fausses informations ne peut qu’alimenter l’inquiétude sans raison.

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Les intempéries hivernales frappant l’Allemagne, en particulier dans le sud du pays, ont gravement perturbé le trafic aérien, notamment à l’aéroport de Francfort, l’un des plus grands hubs d’Europe. Plus d’une centaine de vols ont été annulés ou retardés, provoquant des désagréments pour des milliers de passagers.
Dimanche, 120 vols sur les 1.090 programmés à l’aéroport de Francfort ont été annulés, soit environ un vol sur neuf, selon un porte-parole de l’exploitant aéroportuaire Fraport, relayé par les médias allemands.
Les conditions climatiques difficiles, marquées par de la neige, du grésil et du verglas, ont fortement réduit les capacités opérationnelles de l’aéroport. Les délais se sont allongés en raison des opérations intensives de déneigement des pistes et de dégivrage des avions.
Les passagers ont été invités à consulter l’état de leur vol auprès des compagnies aériennes et à prévoir un temps supplémentaire pour se rendre à l’aéroport, a précisé Fraport.
D’autres grands aéroports allemands sont également touchés par cette vague de froid. À Munich, plusieurs vols ont été annulés, et une seule piste reste en service. À Stuttgart, des retards sont signalés en raison des opérations de dégivrage.
Le service météorologique allemand (DWD) a émis des alertes au verglas, prévoyant de fortes chutes de neige et des températures glaciales dans une grande partie du pays. Ces conditions hivernales extrêmes ont également causé de nombreux accidents de la route et perturbé les transports terrestres dans plusieurs régions.

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Une nouvelle ligne directe de train à grande vitesse a été inaugurée dimanche, reliant Xi’an, la capitale de la province du Shaanxi (nord-ouest de la Chine), à la région administrative spéciale de Hong Kong.

Ce trajet, qui dure moins de onze heures dans chaque direction, traverse plusieurs provinces, notamment le Shaanxi, le Henan, le Hubei, le Hunan et le Guangdong.

« Pour offrir un service de qualité, nous avons formé notre personnel à parler couramment le cantonais et l’anglais », a affirmé Luo Xin, directeur adjoint de la gare de Xi’an, rattachée à China Railway Xi’an Group Co, Ltd.

Ce nouveau service ferroviaire direct vise à faciliter les déplacements entre Xi’an et Hong Kong tout en renforçant la coopération et les échanges dans les domaines de l’économie, du commerce, des talents et de la culture, selon les déclarations du groupe.

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La période de dépôt des candidatures pour les élections de la Fédération Tunisienne de Football, qui se tiendront pour la période 2025-2029, a été officiellement clôturée ce dimanche après-midi.
Trois listes ont été présentées, chacune portée par un candidat à la présidence : Moaz Nasri, Mahmoud El-Hamami et Jlal Ben Tkiya.
Les élections auront lieu le 25 janvier 2025, un événement déterminant pour l’avenir du football tunisien.
Voici la composition des trois listes :

Liste de Moaz Nasri
• Hussein Jneh (Vice-président)
• Membres :
• Rym Bejaoui
• Marwa Skhiri
• Belhassen Ben Semra
• Moncef Troudi
• Wissam Latif
• Moaz Naïli
• Moaz Mestiri
• Ziad Masoudi
• Naji Chahd
• Khamis Hamzaoui
• Membres suppléants :
• Tayeb Chlouf
• Fakhr Eddine Ben Zayed
• Mounia El-Badawi

Liste de Mahmoud El-Hamami
• Karim Haggui (Vice-président)
• Membres :
• Khaled Bedra
• Issam Hamzaoui
• Najwa Bejaoui
• Cherihan Arabi
• Abd El-Aziz Alaïb
• Mohamed Salah Fared
• Nawfel Abicho
• Haytham El-Ghlabi
• Anis El-Baji
• Mohamed Bousma
• Membres suppléants :
• Ziad Barbouh
• Rym El-Darwich Chawachi
• Riyadh Moukaddam

Liste de Jalel Ben Tkiya
• Ziad Hamdi (Vice-président)
• Membres :
• Mohamed Sofiane Ben Salem
• Bilal Jami
• Nihad Ben Hamida
• Aqil Ben Hassen
• Noureddine El-Werhani
• Hamed El-Gharbi
• Ahmed Chabani
• Chafik Jraïa
• Hanan El-Slimi
• Fateh El-Shaâri El-Ferati
• Membres suppléants :
• Mohamed Beltyeb
• Waheeb El-Manhawi
• Afaf El-Rouahi
Les résultats de ces élections seront cruciaux pour la future orientation de la Fédération et du football tunisien.

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