Normale Ansicht

Es gibt neue verfügbare Artikel. Klicken Sie, um die Seite zu aktualisieren.
Heute — 12. April 2025Haupt-Feeds

La Tunisie transmet la présidence du Comité UA sur la fonction publique et la décentralisation à l’Ouganda

Von: walid
12. April 2025 um 11:56

La Tunisie a, officiellement, remis, vendredi, à la République d’Ouganda la présidence du Bureau du Comité technique spécialisé de l’Union africaine sur la fonction publique, les collectivités locales, le développement urbain et la décentralisation.

Le ministre de l’Environnement Habib Abid, a représenté la Tunisie tandis que la République d’Ouganda a été représentée par la ministre des Terres, du Logement et du Développement urbain, Judith Nalule Nabakooba, lors de la cérémonie de passation tenue, vendredi, au siège du département de l’Environnement à Tunis.

A cette occasion, le ministre a indiqué que « la Déclaration de Tunis sur la fonction publique, la prestation de services à travers les technologies de l’information, le soutien à la décentralisation, à la gouvernance locale et à la lutte contre la corruption, approuvée en décembre 2024, a prévu l’organisation de la sixième session ordinaire de ce comité technique spécialisé de l’Union africaine en 2026.

Il a souligné que la Tunisie reste déterminée à œuvrer dans le cadre de l’Union africaine pour soutenir toutes les initiatives visant à réaliser une véritable intégration des pays du continent africain, notamment dans les domaines les plus vitaux et les plus proches des citoyens, dans le cadre de la mise en œuvre de l’Agenda Afrique 2063.

Pour sa part, Ghazi Abouda, directeur à la Direction générale de la fonction publique à la présidence du gouvernement, a indiqué que les travaux du Bureau du Comité technique spécialisé de l’Union africaine visent à élaborer des recommandations en faveur de la décentralisation, du développement urbain et de la fonction publique.

Il s’agit également de promouvoir les compétences des ressources humaines, d’améliorer les services rendus, et d’harmoniser les politiques et les législations entre les pays africains, a-t-il ajouté.

La Tunisie avait siégé à la tête du Comité technique spécialisé de l’Union africaine sur la fonction publique, les collectivités locales, le développement urbain et la décentralisation pendant deux ans (le mandat 2023-2024).

L’article La Tunisie transmet la présidence du Comité UA sur la fonction publique et la décentralisation à l’Ouganda est apparu en premier sur WMC.

Ältere BeiträgeHaupt-Feeds

La Commission technique spécialisée de la fonction publique de l’UA se réunit à Tunis

10. April 2025 um 09:11

La Tunisie abrite, les 10 et 11 avril 2025, la réunion du Bureau de la Commission technique spécialisée de la fonction publique, des collectivités locales, du développement urbain et de la décentralisation, avec la participation des représentants des pays membres du Bureau.

Organisée sous la supervision de la présidence du gouvernement, cette réunion s’inscrit dans le cadre du suivi des travaux de la cinquième session ordinaire de la Commission technique spécialisée de l’Union africaine de la fonction publique, les collectivités locales, le développement urbain et la décentralisation, qui s’est tenue à Tunis, du 16 au 20 décembre 2024.

Elle sera l’occasion de faire le point sur les recommandations contenues dans la « Déclaration de Tunis » en matière de fonction publique, de prestation de services à l’aide des technologies de l’information, de soutien à la décentralisation, à la gouvernance locale et à la lutte contre la corruption.

La réunion permettra également de réaffirmer l’engagement de la Tunisie à poursuivre la coopération et la coordination avec les pays africains, en vue de relever les défis auxquels le continent est confronté à différents niveaux, tant au niveau bilatéral que multipartite, en particulier au sein de l’Union africaine.

Le choix de la Tunisie pour abriter cet événement intervient en signe de reconnaissance envers ses efforts dans l’organisation des échéances africaines accueillies récemment, ainsi que de son engagement constant en faveur du renforcement de l’action africaine commune.

Avec TAP

L’article La Commission technique spécialisée de la fonction publique de l’UA se réunit à Tunis est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

L’UA exhorte Trump à revoir sa décision sur les tarifs douaniers

08. April 2025 um 14:30

Le nouveau président de la Commission de l’Union africaine (UA), Mahmoud Ali Youssouf, se dit profondément préoccupé face aux tarifs douaniers imposés par les États-Unis aux pays africains.

Le président de la Commission de l’UA, Mahmoud Ali Youssouf cité par l’AFP, a déclaré, lundi 7 avril, que les tarifs douaniers américains imposés aux pays africains menacent des décennies de « commerce et de coopération mutuellement bénéfiques ».

Des droits de douane de 11 % sont prévus pour le Cameroun, de 14 % pour le Nigeria, de 32 % pour l’Angola, de 17 % pour la Zambie, de 30 % pour l’Algérie, de 31 % pour la Libye, de 28 % pour la Tunisie et de 10 % pour plusieurs autres pays, comme l’Egypte, le Sénégal et le Maroc.

Les échanges commerciaux entre les États-Unis et l’Afrique ont dépassé 71 milliards de dollars en 2024, les exportations américaines atteignant 32,1 milliards de dollars et les importations américaines en provenance du continent atteignant 39,5 milliards de dollars. Cela représente un déficit commercial des États-Unis avec l’Afrique de 7,4 milliards de dollars.

L’article L’UA exhorte Trump à revoir sa décision sur les tarifs douaniers est apparu en premier sur Leconomiste Maghrebin.

Infractions au parc de Sidi Bou Saïd | Le silence complice des autorités ?

06. April 2025 um 08:46

C’est avec un profond sentiment d’indignation que je me vois contraint, pour la troisième fois consécutive, de dénoncer publiquement ce qui se passe au parc de Sidi Bou Saïd. Malheureusement, les mêmes scènes se répètent, les mêmes lois sont bafouées, et le silence des autorités devient de plus en plus pesant… au point de faire naître un véritable doute sur leur implication dans ces dérives.

Leith Lakhoua *

Aujourd’hui encore, malgré une signalisation explicite interdisant l’accès aux voitures et aux bicyclettes, j’ai été témoin, au sein même du parc, de véhicules motorisés circulant librement au milieu d’enfants qui tentaient simplement de jouer en toute sécurité. Ce spectacle inquiétant ne reflète pas seulement une mauvaise gestion ou une simple négligence administrative : il traduit un laisser-aller institutionnalisé, qui laisse penser à une forme de complicité ou, à tout le moins, de tolérance de la part de ceux censés faire appliquer la loi.

Faut-il rappeler que les lois et les règlements ont été établis dans un but clair : préserver l’ordre public, garantir la sécurité des citoyens, protéger les espaces verts ? Que reste-t-il de tout cela lorsque les panneaux d’interdiction ne signifient plus rien et que l’impunité devient la norme ?

Le président de la République, en désignant un ministre, un gouverneur, un maire, a légitimement cru déléguer des responsabilités à des personnes compétentes et intègres. Mais ce que nous constatons sur le terrain est tout autre : une cascade de démissions morales et institutionnelles, un refus manifeste d’assumer les fonctions les plus élémentaires. Comment expliquer que la solution la plus simple, à savoir fermer le portail du parc, n’a même pas été envisagée ni appliquée? Faut-il vraiment des instructions présidentielles pour verrouiller un cadenas?

Le parc est-il, oui ou non, interdit aux voitures ?

Ce constat ne concerne pas uniquement le parc de Sidi Bou Saïd. C’est le reflet d’un malaise plus profond : celui de la gestion des services publics en Tunisie, où l’on assiste, jour après jour, à une dégradation généralisée, à une anarchie latente et, parfois, à une suspicion d’implication volontaire dans le chaos.

Il est temps de poser les bonnes questions: le président doit-il gérer lui-même les moindres détails de chaque secteur? Peut-il encore déléguer sans être trahi? Ou doit-il espérer un sursaut d’éthique et de responsabilité chez ces responsables, devenus indifférents aux besoins du citoyen?

Ce qui est certain, c’est que la société civile, elle, ne dort pas. Les patriotes, les vrais, ceux qui aiment ce pays, continueront de dénoncer chaque dépassement, de veiller au grain, et de refuser que l’anarchie s’installe sans résistance.

Le parc de Sidi Bou Saïd mérite mieux. La Tunisie mérite mieux.

* Consultant en organisation industrielle.

L’article Infractions au parc de Sidi Bou Saïd | Le silence complice des autorités ? est apparu en premier sur Kapitalis.

❌
❌