TUNIS – UNIVERSNEWSLa Banque Tuniso-Libyenne (BTL) révolutionne le secteur bancaire en Tunisie avec le lancement de la carte Passe Partout, une offre unique qui permet à ses détenteurs d’effectuer des retraits d’argent entièrement gratuits dans tous les distributeurs automatiques du pays (DAB, GAB), quelle que soit la banque.
Conçue pour simplifier l’accès à la liquidité sans frais cachés ni commissions pénalisantes, cette carte offre aux clients une flexibilité financière unique, répondant aux attentes d’un large public.
Au-delà des retraits gratuits, la carte Passe Partout propose d’autres atouts essentiels pour répondre aux besoins financiers quotidiens :
– Débit autorisé : Une gestion flexible avec un débit autorisé, permettant de répondre aux besoins urgents de trésorerie.
– Assistance voyage : Une tranquillité d’esprit pour les déplacements grâce à une assistance incluse pour les imprévus à l’étranger.
– Assurance perte et vol : Une couverture en cas de perte ou vol de la carte pour une sérénité maximale.
– Plafonds élevés et flexibilité : Un produit conçu pour répondre aux besoins très urgents des clients, avec des plafonds de paiement élevés.
La carte Passe Partout de la BTL est un produit qui va probablement modifier le paysage de la monétique en Tunisie et devrait enclencher un processus irréversible d’« Uberisation » de l’utilisation des cartes de paiement. La BTL démontre une fois de plus son écoute attentive aux besoins de ses clients, en leur proposant une solution pratique et adaptée pour simplifier leur quotidien.
Les clients intéressés peuvent se rendre dans l’agence BTL la plus proche pour en savoir plus ou souscrire à la carte Passe Partout. Les conseillers de la banque sont également disponibles pour répondre aux questions et guider les clients vers la solution la plus adaptée à leurs besoins. Vous pouvez également manifester votre intérêt via le site de la BTL : https://btl.tn/nous-contactez/
Le Conseil des chambres mixtes (CCM) a profité de la discussion du projet de loi de finances 2025 (PLF 2025) pour proposer une série de mesures dont la mise en œuvre est susceptible de stimuler la croissance et l’investissement en Tunisie.
Ces propositions ont été présentées par une délégation du CCM, conduite par son président Nacef Belkhiria, lors de l’a réunion qu’elle a eue avec les membres de la commission des finances et du budget de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), mercredi 13 novembre 2024.
Lors de cette rencontre, le CCM a présenté une série de recommandations et de propositions suivantes pour la PLF 2025, visant à renforcer l’attractivité de la Tunisie pour les investisseurs et soutenir la dynamique économique du pays.
Impact de l’augmentation des impôts sur les employeurs : le CCM met en garde contre une hausse des impôts sur les personnes, estimant qu’elle pourrait affecter indirectement les employeurs en alourdissant leurs charges financières. Cette situation pourrait compromettre la création d’emplois et la compétitivité des entreprises tunisiennes.
Stabilité fiscale pour attirer les investissements étrangers : le CCM a rappelé que la stabilité fiscale est un élément crucial pour les investisseurs étrangers, dont les investissements ont atteint 2,5 milliards de dinars en 2024. Une prévisibilité fiscale est essentielle pour maintenir cet intérêt et attirer davantage de capitaux étrangers en Tunisie.
Renforcement du contrôle fiscal : le CCM recommande de renforcer les équipes de contrôle fiscal au sein du ministère des Finances. Cette mesure permettrait de récupérer des recettes fiscales significatives auprès des contribuables défaillants et du secteur informel, contribuant ainsi à une amélioration des finances publiques.
Réduction de la TVA sur les camions : en reconnaissance de leur rôle dans les grands projets et leur impact sur l’économie nationale, le CCM propose de baisser la TVA de 19% à 7% pour les camions. Cette réduction contribuerait à diminuer les coûts pour les entreprises opérant dans le transport et la logistique.
Encouragement des véhicules hybrides : afin de promouvoir l’adoption de véhicules écologiques, le CCM suggère une exonération des droits de consommation et une réduction de la TVA à 7% pour les voitures 100% hybrides, qui consomment 40% de moins de carburant que les véhicules traditionnels. Cette initiative permettrait de réduire la consommation de carburant et de soutenir les efforts de transition énergétique de la Tunisie.
Amnistie des infractions douanières : le CCM recommande également une amnistie pour les infractions douanières, permettant aux opérateurs économiques de régulariser leur situation et de bénéficier d’un nouveau départ pour leurs activités. Cette mesure serait favorable à la reprise de l’investissement et de la croissance économique.
Ces propositions traduisent l’engagement du CCM à soutenir une économie tunisienne résiliente, compétitive et durable, et à encourager un environnement favorable aux investissements.
Le CCM espère que ces recommandations seront prises en compte dans l’élaboration de la Loi de finances 2025 pour stimuler la croissance, renforcer les recettes fiscales et promouvoir une économie plus verte.
TUNIS – UNIVERSNEWSLe Comité de Surveillance Macro-prudentielle et de Gestion des Crises Financières relevant de la Banque Centrale de Tunisie (BCT), a annoncé, lors de sa réunion le 7 novembre dernier, que les indicateurs d’activité du secteur des assurances montrent une hausse continue du chiffre d’affaires en 2023 avec une hausse de 8,2% pour atteindre 3,4 milliards de dinars et un accroissement de la contribution des entreprises d’assurance au financement de l’Etat et des entreprises privées.
Parallèlement, le secteur des assurances a poursuivi le processus de consolidation de ses indicateurs de solvabilité avec la hausse des fonds propres de 12,3% pour atteindre 2,1 milliards de dinars.
Sur un autre plan, le comité a indiqué que le secteur de la micro-finance (sociétés anonymes et associations de microcrédit) a poursuivi sa contribution à l’effort national de promotion de l’inclusion financière avec près de 800 mille bénéficiaires des microcrédits et une hausse continue de l’encours des micro-financements accordés à plus de 2 milliards de dinars à fin juin 2024. Parallèlement, le secteur a poursuivi la maitrise du risque de crédit avec un taux du portefeuille à risque 30 jours qui s’est établi à 2,9%.
Lors de cette réunion, les responsables des autorités de régulation ont souligné la résilience dont a fait preuve le système financier et sa contribution au financement de l’économie nationale et du secteur public et ce, en dépit de l’accentuation des conflits géopolitiques et des répercussions des changements climatiques.
A l’issue de cette réunion, les membres du comité ont convenu de poursuivre leurs efforts en vue de contenir les risques systémiques et de préserver la stabilité financière à travers le renforcement de la veille macro-prudentielle, le maintien des politiques prudentes en matière de distribution des dividendes et de constitution des provisions collectives et une meilleure coordination des initiatives en matière de verdissement du secteur financier et d’intégration de la dimension climatique dans la régulation.
TUNIS – UNIVERSNEWS Le Comité de Surveillance Macro-prudentielle et de Gestion des Crises Financières relevant de la Banque Centrale de Tunisie (BCT) a tenu sa dixième réunion le 7 novembre dernier. Ont pris part à la réunion tous les membres du comité en l’occurrence le Gouverneur de la BCT, en sa qualité de Président, la représentante du ministère des Finances, le président du Conseil du Marché Financier (CMF), la présidente du Comité Général des Assurances (CGA) et le directeur Général de l’Autorité de Contrôle de la Micro-Finance (ACM).
Lors de cette réunion, le Comité a passé en revue la situation de la conjoncture économique et financière et a examiné la situation du secteur bancaire et l’activité sur le marché financier et des secteurs des assurances et de la microfinance.
Le comité a par ailleurs relevé que le secteur bancaire a, dans ce contexte, poursuivi au cours du premier semestre de 2024 le processus de renforcement de son assise financière comme en témoigne la constitution d’un coussin de sécurité en fonds propres de 4% au-dessus des minimums réglementaires. Il a également maintenu une position de liquidité à des niveaux satisfaisants, avec un LCR moyen supérieur à 200% et un ratio de transformation Crédits /Dépôts se situant à 102,5% soutenue par une dynamique positive dans la collecte de dépôts qui se sont accrus de 8,1% en glissement annuel.
Toutefois, le ralentissement de l’activité du crédit avec un taux de croissance de 1,8% au cours des 9 premiers mois de 2024 et la montée de la part des actifs non performants à 14% en juin 2024 pourraient altérer le processus de consolidation de ses indicateurs de solidité financière.
Performance de 12,7% du Tunindex
Concernant le marché financier, il a été marqué par la tendance haussière de l’indice TUNINDEX qui a affiché une performance de 12,7% au cours des dix premiers mois de l’année 2024 et la baisse du volume des échanges sur la cote de la Bourse de 9,1% par rapport à son niveau enregistré à fin octobre 2023 en lien avec le contexte économique. Les émissions sur le marché primaire ont baissé par rapport à 2023 tout en restant focalisées sur les émissions du Trésor.
Le Comité de Surveillance Macro-prudentielle et de Gestion des Crises Financières, créé en vertu de l’article 85 de la loi n°2016-35 portant fixation du statut de la BCT.
Ce Comité est chargé d’émettre des recommandations portant sur les mesures devant être prises par les autorités de régulation du secteur financier et leur application en vue de la contribution à la stabilité du système financier dans son ensemble et de coordonner les mesures relatives à la gestion des crises financières.
TUNIS – UNIVERSNEWS La compagnie d’assurances, AMI Assurances vient de publier ses indicateurs d’activités du premier semestre 2024, faisant ressortir un résultat net en évolution de 74,6%, atteignant 6,8 MDT contre 3,9 MDT en juin 2023 et un chiffre d’affaires de 83,9 MDT, contre 87,5 MDT au cours du premier semestre 2023, soit une régression de 3,6 MDT (-4%). Cette variation est liée principalement à la baisse des émissions de la branche auto de 3,3 MDT.
Les sinistres réglés y compris les frais de gestion, totalisent 49,5 MDT au 30 juin 2024, contre 48,6 MDT à la même période de 2023, soit une hausse de 0,9 MDT.
Cette variation s’explique principalement par l’effet compensé de la hausse des règlements des sinistres vie pour un montant de 2,1 MDT et la baisse de la liquidation des sinistres notamment pour la branche auto pour un montant de 0,8 MDT et la branche santé pour un montant de 1 MDT.
L’encours total des placements nets de la Compagnie a atteint 490,5 MDT au 30/06/2024, contre 478,7 MDT au 30/06/2023, soit une progression de 11,7 MDT.
Les revenus des placements de la Compagnie totalisent 18,9 MDT au 30 juin 2023, contre 18,8 MDT à la même période de 2023.
Les soldes de la réassurance Non-Vie & Vie s’élèvent respectivement à -2,9 MDT et +0,2 MDT au cours du premier semestre 2023, contre -3,3 MDT et +0,2 MDT au cours du premier semestre 2023.
La ministre marocaine de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, a déclaré mardi 12 novembre 2024 que le Maroc attendait le moment opportun pour émettre des obligations internationales.
La ministre a déclaré à la presse officielle du Maghreb arabe que « (cette question) ne devrait pas prendre beaucoup de temps, et nous suivons de près les marchés pour déterminer le moment opportun », sans fournir de détails sur le processus.
Il convient de noter que la ministre marocaine de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, avait déjà annoncé que le gouvernement avait préparé un projet de budget dans lequel il prévoyait d’atteindre une croissance économique de 4,6 % en 2025; après avoir attendu une croissance de 3,3 % cette année.
En outre, la ministre a ajouté dans un communiqué que le taux d’inflation devrait atteindre 2 %. Elle a souligné que la loi de finances pour l’année 2025 se préparait « dans un contexte international difficile; et ce, en raison de la persistance des tensions géopolitiques et de l’escalade des crises climatiques ».
L’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (CNRD) ont entamé, mardi après-midi, au Palais du Bardo, l’examen, en plénière commune, du projet de la mission des Finances, en présence de la ministre de tutelle, Sihem Namsia.
La ministre a précisé que le budget de la mission des finances pour l’année 2025 s’élève à 1390 millions de dinars (MD) en progression de 2,4% par rapport à 2024. Ce budget représente 2,3% du budget de l’Etat 2025. La mission des finances est divisée en cinq programmes opérationnels : douane : 569,601 MD /40,9% du budget de la mission ; recouvrement (292,885 MD / 21,1%) ; comptabilité publique (405 ,677 MD/29,1%) ; services budgétaires (15,128 MD/1,1%) et dette publique (3,401 MD/ 0,3%).
Pour ce qui est des dépenses destinées aux salaires, elles se montent à 1120,8 MD ( 81% de la mission), celles de fonctionnement s’élèvent à 112,565 MD (8%). Les dépenses d’intervention sont de l’ordre de 38,209 MD ( 3%) et celles d’investissement s’établissent à 118,426 MD ( 8%).
La ministre a indiqué que son département va poursuivre la mobilisation de ressources pour le budget de l’Etat, en vue de préserver les équilibres financiers et ce notamment en développant le recouvrement des ressources non fiscales.
Elle a évoqué les objectifs pour 2025, à savoir l’encouragement de l’investissement étranger et le renforcement de la capacité de l’économie nationale à mobiliser des financements étrangers, outre l’adaptation du Code des changes aux exigences des activités liées à l’économie du savoir et à haute valeur ajoutée. Il s’agit de permettre aux jeunes à l’instar de ceux qui travaillent en freelance, d’ouvrir des comptes en devises.
En ce qui concerne le secteur de l’assurance, le cadre réglementant ce domaine va être modernisé pour l’adapter aux normes internationales et ce à travers le parachèvement de la révision du code des assurances pour booster la solidité financière des compagnies d’assurance.
La ministre a également évoqué la transition numérique qui constitue l’un des piliers de la modernisation de l’administration
et de l’amélioration de la qualité des services publics pour les citoyens et les entreprises.
Elle a aussi rappelé le lancement, en 2024, de la plateforme électronique «TEJ», dédiée à l’édition des certificats de retenus à la source. La plateforme TEJ s’adresse directement aux grandes et moyennes entreprises, aux experts-comptables, commissaires aux comptes et conseillers fiscaux.
La ministre a parlé du développement des différents systèmes informatiques en matière de finance publique, de fiscalité et de douane, signalant l’achèvement du système informatique de gestion des caisses enregistreuses pour les opérations de consommation sur place.
Pour ce qui est du développement de l’application mobile TUNIMPOT, elle a précisé que cette application téléchargeable gratuitement sur les “smartphones”, permet de calculer les impôts et taxes à partir des données introduites par le contribuable, tout en lui rappelant les échéances de dépôt des déclarations et de paiement.
Concernant l’intégration de l’économie parallèle et la lutte contre l’évasion fiscale, Namsia a noté que cette action figure parmi les priorités du gouvernement et que le comité de pilotage, créé à cet effet , oeuvre en collaboration avec les différentes parties concernées à traiter les différents aspects de ce phénomène
La Fédération générale des banques, des institutions financières et des compagnies d’assurance relevant de l’UGTT a exprimé, dans un communiqué, publié ces derniers jours, son refus du contenu de l’article 31 du projet de loi de finances pour 2025. Cet article propose l’instauration du taux d’imposition progressifs sur les revenus annuels des salariés et retraités. Cet article sera applicable à partir du mois de janvier 2025.
La fédération redoute, par l’effet de cette augmentation des impôts sur le revenu, une réduction des salaires de ses adhérents qui seraient dans la catégorie ciblée, c’est –à dire la catégorie des salariés ayant des revenus annuels entre 40 et 50 mille dinars.
La fédération s’oppose à toute réduction des salaires de ses adhérents et menace de réagir en conséquence. Elle estime au contraire que ces salaires devraient être augmentés et non le contraire, surtout dans un contexte d’inflation et de hausse des prix.
« Leur revenu annuel, classé dans le projet de loi de finances et atteignant 40 000 dinars et plus, ne garantit pas la richesse, comme on le prétend, mais représente plutôt le niveau de la classe moyenne, qui risquerait de basculer dans la pauvreté si cet article était appliqué et maintenu », lit-on dans le communiqué.
La fédération ajoute que « l’idée répandue concernant la situation financière des employés de banque est erronée en raison de leur diabolisation. En réalité, ils représentent aujourd’hui la classe moyenne au niveau de vie minimal ».
A noter qu’un universitaire qui a vingt ans de métier et qui exerce encore, a un revenu annuel entre 20 mille et 30 mille dinars.
TUNIS – UNIVERSNEWS (SEF) – Les recettes fiscales ont augmenté de 9,5%, à fin septembre 2024, en comparaison avec la même période de 2023, grâce aux mesures lancées, dans le cadre de la Loi de Finances 2024, et aux efforts déployés dans l’objectif de renforcer les recouvrements, a indiqué, la ministre des Finances, Sihem Nemsia, mardi, à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), lors de l’examen du budget de la mission des finances, au titre de l’exercice 2025.
La ministre a fait état, aussi, d’une amélioration du rendement du contrôle fiscal de 55,8%, durant les trois premiers trimestres 2024, relevant que les opérations de contrôle se poursuivent pour assurer l’intégration des personnes exerçants dans le secteur parallèle au circuit formel légal.
Le nombre de personnes soumises au régime fiscal forfaitaire a régressé de 28,5%, et ce, malgré l’octroi de 18.355 nouveaux matricules fiscales (patentes), au cours des neuf premiers mois de l’année, a encore fait savoir la ministre.
Et d’ajouter « plus de 11300 vérifications fiscales ont été réalisées ciblant des personnes non disposant d’identifiant fiscales ». Elle a par ailleurs indiqué que le recouvrement des créances fiscales a évolué positivement de 32%.
Lors de la séance plénière du mardi 12 novembre 2024, la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemssia, a dévoilé des éléments clés du projet de réforme du Code des changes. Selon la ministre, ce projet vise à moderniser la législation tunisienne en matière de gestion des transactions financières internationales et à soutenir l’intégration de l’économie nationale dans son environnement global.
Nemssia a expliqué que le nouveau Code des changes sera conçu pour répondre aux exigences des secteurs économiques en pleine mutation, notamment ceux liés à l’économie de la connaissance et aux activités à forte valeur ajoutée.
Un des objectifs majeurs est de permettre aux jeunes entrepreneurs, en particulier ceux travaillant dans les services libres (freelance), d’ouvrir des comptes en devises et de disposer de la liberté d’utiliser ces fonds pour couvrir leurs dépenses à l’étranger.
La ministre a également abordé les efforts visant à réviser le Code des assurances, en vue de renforcer la solidité financière des entreprises du secteur, d’améliorer leur gouvernance et d’intégrer des pratiques de gestion des risques plus rigoureuses.
Un autre axe essentiel de la réforme concerne la numérisation des échanges financiers internationaux. Selon la ministre, un programme de transformation numérique est en cours, avec la mise en place de la plateforme « Taj », lancée au début du dernier trimestre de 2024. Cette plateforme électronique permet la gestion des certificats de retenue à la source.
La première phase de ce projet a vu le lancement de sites web pour les fournisseurs, disponibles depuis le 21 octobre 2024. La deuxième phase, qui concerne les prestataires de services de consommation sur place, démarrera dès que les fournisseurs seront prêts à entamer le processus de commercialisation.
Les réformes proposées visent, selon la ministre, à dynamiser l’investissement en Tunisie, à favoriser la compétitivité des entreprises et à garantir une meilleure régulation des flux financiers internationaux.
Lors de la session plénière au Parlement, mardi 12 novembre 2024, la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemssia, a fermement démenti les rumeurs concernant la suppression des autorisations nécessaires à l’activité de vente de tabac en Tunisie.
Ces rumeurs avaient émergé à la suite de diverses discussions sur des réformes économiques possibles. Toutefois, la ministre a tenu à rassurer les professionnels du secteur en confirmant que le cadre législatif actuel demeurait inchangé, et que les autorisations pour la vente de tabac continueraient à être délivrées comme précédemment.
Cette clarification intervient après une période d’incertitude, alors que certains acteurs du marché craignaient que de nouvelles mesures soient introduites, perturbant ainsi l’approvisionnement et la distribution de tabac. Il est à noter que l’activité de vente de tabac en Tunisie est strictement réglementée, avec des exigences d’autorisation prévues par des textes législatifs et des décrets administratifs.
Par ailleurs, la ministre a abordé la question du Centre de distribution de tabac situé à Ksar Saïd, récemment fermé après un incendie survenu dans les locaux. Cet incident a soulevé des inquiétudes quant à l’approvisionnement en tabac, notamment dans la région de Tunis.
Sihem Boughdiri Nemssia a précisé que cette fermeture était temporaire et nécessaire à la mise en conformité des installations avec les normes de sécurité après les dommages causés par le sinistre. Elle a aussi souligné que les autorités compétentes, en coordination avec le ministère de l’Intérieur et la Régie nationale des tabacs et des allumettes (RNTA), travaillaient activement à la réouverture du centre dès que les réparations seront terminées.
L’incendie a également alimenté des rumeurs concernant une éventuelle suspension plus large des activités de distribution de tabac, mais la ministre a rapidement écarté cette hypothèse, précisant que le centre serait réouvert une fois les conditions de sécurité remplies.
Lors de la session plénière parlementaire du 12 novembre 2024, la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemssia, a révélé de nouvelles avancées en matière de collecte de revenus fiscaux, particulièrement auprès des influenceurs et créateurs de contenu.
Le ministère a mis en place une cellule dédiée à la surveillance des activités non déclarées, se concentrant notamment sur les acteurs actifs des réseaux sociaux. Cette initiative a permis de recueillir plus de 15 millions de dinars de recettes fiscales provenant de cette catégorie de professionnels.
En outre, une nouvelle application a été lancée pour générer automatiquement des notifications aux contribuables n’ayant pas soumis leurs déclarations fiscales. À ce jour, environ 45.000 notifications ont été envoyées dans le cadre de cette initiative visant à renforcer la transparence fiscale.
La ministre a également souligné le succès de la mise en œuvre du système d’échange international d’informations, qui a rapporté au trésor public plus de 11 millions de dinars.
Et d’ajouter que ces actions s’inscrivent dans une stratégie plus large visant à régulariser et à optimiser les revenus fiscaux, notamment dans les secteurs en pleine expansion tels que celui du contenu en ligne.
Le mardi 12 novembre 2024, lors d’une séance plénière au Parlement dédiée à la mission du ministère des Affaires religieuses, la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemsia, a présenté les grandes lignes du budget de la mission des Finances pour l’année 2025. Ce budget s’élève à 1.390 millions de dinars, marquant une augmentation de 2,4 % par rapport à l’année 2024.
La ministre a précisé que ce budget représente 2,3 % des dépenses publiques pour l’année 2025. Il est réparti entre différents programmes stratégiques, chacun doté d’une enveloppe en fonction de ses priorités. Le programme des Douanes se voit attribuer la part la plus importante, avec 569,601 millions de dinars, soit 40,9 % du budget de la mission. Ce montant est destiné à renforcer les contrôles douaniers et l’efficacité dans la collecte des droits et taxes.
Le programme de la fiscalité bénéficie de 292,885 millions de dinars, soit 21,1 %, tandis que la comptabilité publique, qui assure la transparence financière de l’État, est dotée de 405,677 millions de dinars (29,1 %).
D’autres allocations incluent 15,128 millions de dinars pour les services budgétaires (1,1 %), 3,401 millions de dinars pour le programme de la dette publique (0,3 %) et 103,308 millions de dinars pour la direction et le soutien opérationnel (7,5 %).
Cette répartition vise à renforcer la performance des services financiers de l’État et à optimiser la gestion des ressources, conformément aux objectifs stratégiques du ministère.
TUNIS – UNIVERSNEWSDans son rapport publié ce mardi 12 novembre 2024, la Banque mondiale (BM), a révisé à la hausse ses prévisions de croissance pour la Tunisie. Pour les années 2025 et 2026, la croissance devrait augmenter modérément pour atteindre une moyenne de 2,3 % durant ces années.
Le rapport a en outre évoqué l’apparition des signes encourageants, notamment une amélioration du solde extérieur et une réduction de l’inflation. Parallèlement, si le secteur agricole montre des signes de reprise, d’autres secteurs clés, dont le pétrole et le gaz, l’habillement et la construction, vont se retrouver encore face à des obstacles.
Intitulé « Equité et efficacité du système fiscal Tunisien », le rapport prévoit une croissance économique de seulement 1,2 % en 2024, en baisse par rapport à ses prévisions précédentes, en raison de la sécheresse et des conditions de financement externe qui continuent d’affecter les secteurs clés en 2024, notamment l’agriculture, l’agro-industrie et la construction. En outre, la demande extérieure limitée, ainsi, que le besoin de réformes économiques limite encore davantage les perspectives de croissance.
« Même si la situation macroéconomique devrait se stabiliser, les finances publiques et la position extérieure de la Tunisie resteront vulnérables en l’absence de financements extérieurs suffisants. Le financement des déficits nécessitera une augmentation significative des moyens extérieurs face au remboursement important de la dette à court terme », a encore indiqué le rapport.
La Banque Mondiale a en outre révélé que le ralentissement de la croissance économique du pays depuis 2010 est lié à la baisse des investissements, ce qui limite la capacité du pays à importer des technologies modernes et à les diffuser à l’échelle nationale. Ainsi, et en l’absence d’investissements implémentant l’import et l’usage de nouvelles technologies, la Tunisie n’a pas pu réaliser une croissance du secteur manufacturier.
Malgré ce contexte, la BM a estimé que la Tunisie est parvenue à contenir son déficit courant, principalement grâce à une amélioration des termes de l’échange, dont la baisse des coûts d’importation d’énergie et la hausse des prix à l’exportation de l’huile d’olives, en plus du rebond du secteur touristique.
Le déficit commercial a baissé de 3,4 % sur les neuf premiers mois de 2024 par rapport à l’année précédente, représentant désormais 7,8 % du PIB, contre 8,8 % en 2023.
L’inflation est tombée à 6,7 % en septembre 2024, son niveau le plus bas depuis janvier 2022, tandis que l’inflation alimentaire reste stable à 9,2 %.
En matière de RSE, STB Finance est à l’image de sa maison mère : la STB.
La RSE n’est plus un choix, mais plutôt un processus continu fondé sur des actions et des décisions qui favorisent un lieu de travail équitable
La STB Finance veut s’imposer comme une référence dans le domaine de la RSE et être au diapason des changements
Il est important pour STB Finance d’investir dans l’innovation des produits financiers et dans l’amélioration de la qualité du service-client afin de maintenir sa compétitivité
Des opportunités d’amélioration dans la stratégie commerciale de STB Finance, comme l’expansion du portefeuille de produits ou l’amélioration de l’efficacité opérationnelle
STB Finance accorde une grande importance au volet social et au bien-être des employés et la contribution à la société
TUNIS – UNIVERSNEWS – Filiale de la Société Tunisienne des Banques, STB finance vient d’annoncer la finalisation de son rapport ESG qui mesure sa performance durable au titre de l’année 2022. Environnement, Social, et Gouvernance sont aujourd’hui incontournables pour toute entreprise soucieuse de son impact sociétal et de sa pérennité, mais aussi de sa compétitivité et de son image de marque.
Dans son entretien avec Universnews, Karim Bouzgarou, le directeur général de STB Finance a affirmé que la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) est une recommandation du Comités des risques de STB Finance, présidé par le Professeur Dhafer Saïdane, et dont les membres agissent en toute indépendance. Cette démarche s’impose aujourd’hui comme un impératif stratégique et un puissant levier pour les entreprises soucieuses de leur impact sur la société et l’environnement et de favoriser les enjeux de développement durable.
STB Finance a en effet depuis deux ans adopté cette orientation en lançant une réflexion à la lumière des changements climatiques et des défis environnementaux. La RSE n’est plus un choix, mais plutôt un processus continu fondé sur des actions et des décisions qui favorisent un lieu de travail équitable et réduisent la pression exercée par l’entreprise sur les ressources et la collectivité.
La gouvernance durable adoptée par STB Finance fait d’elle une entité pionnière dans le domaine de la RSE avec une prise en compte des parties prenantes tant en interne qu’externe.
Dans sa première partie, l’étude réalisée par un groupe d’experts universitaires tunisiens et étrangers reconnus dans le domaine, a mesuré la performance de 6 parties prenantes, à savoir le régulateur, les employés, la société civile, les clients, les managers et les actionnaires. Il ressort de l’étude que STB Finance est en conformité avec les exigences réglementaires avec un taux de satisfaction élevé et positif de l’ordre de 93%, reflétant des pratiques robustes de conformité réglementaire.
Par rapport aux employés, le résultat de l’étude menée par STB finance a révélé un taux de satisfaction de 85%. Un score élevé des employés suggère que la société accorde une importance significative au bien-être de ses employés, ce qui peut conduire à une plus grande satisfaction une meilleure rétention du personnel et une productivité accrue.
Relatif à la société civile, le taux de satisfaction est de 70%. Les efforts de STB Finance en matière de responsabilité sociale et environnementale pourraient, selon l’étude, être renforcés. Bien que le score soit respectable, des améliorations dans des domaines tels que la réduction de l’empreinte environnementale et le renforcement de l’engagement communautaire pourraient renforcer la réputation de l’entreprise et son soutien à la société civile.
Pour la partie « Client », le taux de satisfaction s’élève à 66%. En effet, les avantages compétitifs offerts aux clients de la STB Finance pourraient être améliorés pour mieux répondre à leurs besoins et attentes. A cet effet, il est important pour STB Finance d’investir dans l’innovation des produits financiers et dans l’amélioration de la qualité du service-client afin de maintenir sa compétitivité sur le marché et de fidéliser les clients existants tout en attirant de nouveaux clients.
La deuxième partie de l’étude a porté sur la performance ESG globale de la STB Finance en mesurant la SPI (Sustainable Performance Indicator) qui lui aussi s’en sort très satisfaisant avec un taux global de 82% et cela reflète un engagement significatif envers la durabilité et une solide performance, tout en laissant également des opportunités pour continuer sur cette lancée.
Par rapport au volet Environnemental, l’étude réalisée a montré que, sur la base des scores calculés et des critères ESG, certains éléments montrent une sensibilisation de STB Finance aux initiatives environnementales par rapport aux autres dimensions.
L’entreprise financière pourrait envisager de renforcer son engagement en matière environnementale en intégrant des pratiques de durabilité dans ses opérations commerciales, telles que la réduction des émissions, la gestion des déchets et l’utilisation d’énergies renouvelables. Elle pourrait également améliorer la communication de ses efforts environnementaux pour sensibiliser davantage les parties prenantes.
STB Finance pourrait aussi continuer à investir dans les programmes visant à améliorer la qualité de vie de ses employés, tels que des avantages sociaux, des opportunités de formation et de développement professionnel. Elle pourrait également étendre ses initiatives de responsabilité sociale pour avoir un impact positif plus large sur les communautés.
Les scores élevés dans les catégories Régulateur et Actionnaires indiquent que STB Finance accorde une grande importance à la gouvernance d’entreprise et à la conformité réglementaire. Cela suggère une solide structure de gouvernance interne et une bonne gestion des risques. Le pourcentage des femmes dans l’effectif total indique également l’engagement de la STB Finance pour la diversité.
La société devrait également continuer à maintenir des pratiques de gouvernance transparentes, éthiques et conformes aux normes réglementaires. L’entreprise pourrait également envisager de continuer à mettre l’accent sur la diversité au sein de ses organes de gouvernance pour garantir une représentation plus équilibrée des parties prenantes.
Créé en 1967, STB Finance est active dans le domaine de l’intermédiation boursière et de l’ingénierie financière, mais aussi dans le développement du marché financier, notamment par ses prestations d’ingénierie financière, ses études de marché et ses évaluations d’entreprises.
La société d’intermédiation investit aussi dans la satisfaction de sa clientèle à travers le conseil et garantit la sécurité de leurs placements tout en assurant la performance de la gestion des portefeuilles. Elle s’est engagée également à assister les épargnants en valeurs mobilières et les entreprises dans la mobilisation des capitaux à moyen et court terme.
TUNIS – UNIVERSNEWS Le déficit de la balance énergétique ne cesse d’augmenter en Tunisie. Selon les chiffres actualisés de l’Institut National des Statistiques (INS), il s’établit à -9396,7 Millions de dinars, contre -8524,9 Millions de dinars durant les dix premiers mois de la même période de l’année 2023.
Hors énergie, le déficit de la balance commerciale se réduit à -6319,3 Millions de dinars durant les 10 premiers mois de l’année 2024.
Dans le détail, le solde de la balance commerciale est déficitaire de (-15716 MDT). Ce déficit provient principalement du déficit enregistré avec certains pays, tels que la Chine (- 7353,4 MDT), la Russie (-4700,6 MDT), l’Algérie (-3534,5 MDT), la Turquie (-2286,9 MDT), l’Inde (-1182,8 MDT) et l’Ukraine (-1157 MDT).
En revanche, le solde de la balance commerciale des biens a enregistré un excédent avec d’autres pays, principalement la France (4335,6 MDT), l’Italie (1467,5 MDT), l’Allemagne (1932,5 MDT), la Libye (1790,2 MDT) et le Maroc (176,3MDT).
TUNIS – UNIVERSNEWS (SEF) – UNIVERSNEWS (SEF) – La ministre de la Justice, Leila Jaffel, a confirmé lors de la séance plénière tenue, lundi 22 novembre 2024 à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et consacrée à la discussion du budget de son ministère de l’année 2025, que la nouvelle loi relative aux chèques sans provision entrera en vigueur à partir de février 2025.
Elle a tenu par ailleurs à expliquer que les jugements rendus avant cette loi sont actuellement en cours de traitement, soulignant que l’initiative de règlement de la situation doit être engagée par ceux qui sont incarcérés ou par ceux qui ont été condamnés par contumace mais qui sont en liberté. Selon ses déclarations, 75% des personnes incarcérées pour des chèques sans provisions ont déposé des demandes et ont été libérées, précisant que le nombre des prisonniers pour chèque sans provision était estimé à 542 jusqu’au 2 août. La ministre a fait également savoir qu’en date du 9 septembre, 111 personnes ont été libérées et 406 autres le 4 novembre.
TUNIS – UNIVERSNEWSLa Banque de Tunisie et des Émirats a franchi une nouvelle étape dans son engagement en faveur du développement de son capital humain avec l’inauguration officielle de son centre de formation intégré : « Skill-Up BTE – Votre allié pour l’évolution et le progrès ». La cérémonie, qui s’est tenue le lundi 04 novembre 2024, a été l’occasion de célébrer la réussite des collaborateurs ayant obtenu des diplômes et certifications en études bancaires complémentaires et dans divers domaines de compétences.
En cohérence avec son engagement fort pour la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE), la BTE place l’apprentissage et la montée en compétences au cœur de sa stratégie de développement. Ce nouveau centre de formation sera un lieu privilégié pour favoriser l’innovation pédagogique et renforcer l’excellence professionnelle de ses équipes.
Un Nom et un Slogan Choisis par les Collaborateurs
Dans un esprit participatif, un vote a été organisé en séance pour permettre aux collaborateurs de choisir le nom et le slogan de ce centre de formation. C’est ainsi que « Skill-Up BTE » a été retenu, avec pour slogan : » Votre allié pour l’évolution et le progrès « . Cette initiative reflète l’importance de l’implication des employés dans le processus de transformation de la banque, soulignant leur rôle central dans la construction d’un avenir commun et tourné vers l’innovation.
Le Capital Humain au Cœur de la Stratégie de la Banque
La Banque place le capital humain comme un véritable atout stratégique. En développant continuellement les compétences de ses collaborateurs, la banque s’engage dans une dynamique de croissance durable, où l’apprentissage et l’évolution des talents sont au cœur de son développement. Cet investissement dans la montée en compétences des équipes reflète une vision à long terme, alignée avec les transformations du secteur et les besoins d’un marché en perpétuelle mutation.
« Le capital humain est notre principal asset et la clé de notre réussite collective. Nous souhaitons accompagner chaque collaborateur dans son parcours professionnel, lui fournir les outils et les connaissances nécessaires pour exceller. Cette initiative s’inscrit dans notre volonté de maintenir un dynamisme de groupe, où chacun, à son rythme, développe son potentiel au diapason de l’évolution de notre institution. Plus qu’une simple formation, c’est une véritable gymnastique du cerveau que nous proposons, afin de cultiver une culture d’excellence et de succès partagé », a déclaré Mme Feriel Chabrak, la Directrice Générale, lors de son discours inaugural.
Un Centre de Formation Innovant pour Répondre aux Enjeux de Demain
Le centre Skill-Up BTE proposera des formations à la fois pratiques et théoriques, axées sur les compétences bancaires et les enjeux stratégiques du secteur. Les collaborateurs pourront y développer tant leurs compétences professionnelles que personnelles. Ce centre vise à être un véritable catalyseur de talents et un levier de performance pour toute l’organisation.
« Nous sommes convaincus que l’évolution de notre métier passe par l’évolution de nos collaborateurs. Ce centre représente non seulement un investissement dans leurs compétences, mais également un engagement vers une banque plus agile, plus innovante et plus proche de ses collaborateurs », a ajouté Mme Selma Zouari, Directrice du Capital Humain.
Une Banque Responsable et Proactive dans la Formation
L’initiative s’inscrit pleinement dans les valeurs RSE de la banque, visant à promouvoir une croissance inclusive et durable. En offrant à ses collaborateurs un accès à des programmes de formation variés et de qualité, la Banque de la Tunisie et des Émirats renforce sa position de leader en matière d’innovation et de développement des compétences dans le secteur bancaire.
TUNIS – UNIVERSNEWS Selon les données provisoires de la Banque centrale de Tunisie (BCT), les avoirs en devises de la Tunisie montent à 112 jours d’importation à la date du 11 novembre 2024, représentant ainsi 24916,3 Millions de dinars, contre 111 jours d’importations avant quelques jours.
Par rapport à la même période de l’année 2023, les avoirs en devises sont restés stables, couvrant ainsi 112 jours d’importation, soit l’équivalent de 24977,7 Millions de dinars.
Quant au volume global de refinancement, il s’élève à 12304,4 Millions de dinars à la date de ce lundi 11 novembre 2024, contre 13963 Millions de dinars à la même période de l’année dernière, soit une baisse de 1658,6 Millions de dinars.
S’agissant des billets et monnaies en circulation, ils s’élèvent à 21944 Millions de dinars à la date du 8 novembre 2024 contre 19637 Millions de dinars à la même période de l’année dernière, soit une hausse de 2307 Millions de dinars.