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Analyse du discours d’investiture de Donald Trump et des implications économiques et financières

23. Januar 2025 um 06:10

Le discours d’investiture de Donald Trump le 20 janvier 2025 constitue un tournant potentiel pour les dynamiques économiques et financières mondiales.

Sa vision politique isolationniste, centrée sur la croissance domestique et le protectionnisme, pourrait avoir des répercussions significatives sur les marchés mondiaux, avec des implications particulières pour les marchés financiers, les matières premières, et les économies émergentes telles que la Tunisie.

 

Première répercussion, une volatilité accrue des marchés financiers

Contenu du discours

Trump a annoncé des politiques visant à stimuler la croissance interne par des baisses d’impôts, un soutien aux industries nationales, et une réforme des accords commerciaux jugés désavantageux.

Implications pour les marchés

  • Renforcement de la volatilité : L’imprévisibilité des déclarations de Trump risque d’amplifier la volatilité des marchés financiers mondiaux, particulièrement dans les premières semaines suivant son investiture.
  • Impact sur le dollar américain : Si une politique économique pro-industrie soutient le dollar à court terme, une augmentation des déficits budgétaires et commerciaux pourrait affaiblir la monnaie à moyen terme. Les devises des économies émergentes, dont le dinar tunisien, seraient particulièrement vulnérables.
  • Réactions des indices boursiers : Les secteurs de l’énergie, de la défense et de l’industrie manufacturière pourraient profiter des mesures de relance domestique, tandis que les secteurs dépendant des chaînes d’approvisionnement mondiales pourraient subir des pertes.

 

Deuxième répercussion, des tensions sur le commerce mondial

Contenu du discours

Trump a critiqué les accords commerciaux multilatéraux et réaffirmé son intention de privilégier les industries américaines via des politiques protectionnistes.

Implications pour les marchés

  • Réduction des flux commerciaux : Les politiques protectionnistes pourraient réduire les échanges mondiaux, affectant les économies exportatrices, notamment en Asie et en Europe.
  • Repli des matières premières : Les tensions commerciales pourraient freiner la demande mondiale en matières premières comme le pétrole et les métaux, exerçant une pression baissière sur leurs prix.
  • Impact sur la Tunisie : Une baisse des prix des matières premières pourrait alléger la facture énergétique de la Tunisie, mais des tensions commerciales entre les États-Unis et l’UE pourraient indirectement affecter ses exportations, dépendantes des relations euro-méditerranéennes.

 

Lire aussi: François Bayrou : l’Europe pourrait être « écrasée » si elle ne fait rien pour affronter Trump

Troisième répercussion, une politique monétaire restrictive et une hausse des taux d’intérêt

Contenu du discours

Trump a suggéré des mesures fiscales expansionnistes susceptibles de mettre la Réserve fédérale sous pression pour maintenir des taux d’intérêt bas.

Implications pour les marchés

  • Hausse des rendements obligataires : L’augmentation des déficits pourrait entraîner une montée des rendements des obligations américaines, attirant des capitaux au détriment des économies émergentes.
  • Fuite de capitaux : Un dollar fort et des rendements élevés aggraveraient les sorties de capitaux des pays émergents, fragilisant leurs devises et augmentant leurs coûts de financement.
  • Impact sur la Tunisie : L’alourdissement du service de la dette tunisienne, majoritairement libellée en devises étrangères, compliquerait l’accès aux financements internationaux nécessaires.

 

Quatrième répercussion, les effets sur les matières premières et l’énergie

Contenu du discours

Trump a réitéré son soutien aux industries fossiles américaines, annonçant une augmentation de la production nationale de pétrole et de gaz.

Implications pour les marchés

  • Pression sur les prix du pétrole : Une production accrue aux États-Unis pourrait maintenir des prix modérés, sauf en cas de crises géopolitiques.
  • Impact régional : Les pays exportateurs d’énergie voisins de la Tunisie, comme l’Algérie et la Libye, pourraient voir leurs revenus diminuer, affectant la région.
  • Avantage pour la Tunisie : En tant qu’importateur net d’énergie, la Tunisie pourrait profiter de prix énergétiques plus bas, réduisant son déficit commercial. Toutefois, la stabilité politique régionale, notamment en Libye, reste un facteur déterminant.

 

Cinquième répercussion, une reconfiguration des flux d’investissement

Contenu du discours

Trump a insisté sur le rapatriement des capitaux américains investis à l’étranger et l’encouragement des investissements locaux.

Implications pour les marchés

  • Moins de flux vers les marchés émergents : Cette politique pourrait détourner les investissements étrangers des économies émergentes déjà fragilisées par une incertitude mondiale accrue.
  • Impact sur la Tunisie : La baisse des investissements directs étrangers (IDE) en provenance des États-Unis pourrait être partiellement compensée par des flux d’IDE européens ou asiatiques, notamment chinois, visant à renforcer leur présence en Afrique du Nord.

 

Sixième répercussion, des conséquences pour les marchés européens et maghrébins

Contenu du discours

Trump a exprimé son scepticisme envers les institutions multilatérales et son intention de renégocier les accords avec l’Union européenne.

Implications pour les marchés

  • Affaiblissement de l’euro : Une détérioration des relations commerciales transatlantiques pourrait affaiblir l’euro, augmentant les coûts des importations tunisiennes.
  • Pression sur le Maghreb : Une éventuelle contraction des exportations européennes toucherait les économies maghrébines fortement intégrées à l’UE.
  • Opportunités pour la Tunisie : La Tunisie pourrait se positionner comme partenaire alternatif en renforçant ses accords avec des acteurs asiatiques ou africains.

 

Septième répercussion, des réactions des marchés financiers tunisiens

Contenu du discours

Bien que le discours de Trump ne cible pas directement la Tunisie, ses orientations protectionnistes et un potentiel désengagement des marchés émergents pourraient avoir des répercussions indirectes.

Implications pour la Tunisie

  • Impact sur la Bourse de Tunis : Une volatilité accrue pourrait affecter les performances boursières locales, bien que des secteurs comme l’agroalimentaire et les télécoms pourraient bénéficier d’un regain d’intérêt local.
  • Instabilité monétaire : Le dinar pourrait subir des pressions supplémentaires en raison d’un dollar fort et d’une réduction des flux d’investissements internationaux.
  • Endettement public : L’augmentation des coûts de financement internationaux alourdirait les tensions budgétaires tunisiennes.

 

En définitive, le discours d’investiture de Donald Trump pourrait redéfinir les dynamiques économiques et financières mondiales.

Tandis que les marchés américains pourraient bénéficier d’un soutien domestique à court terme, les marchés mondiaux, et particulièrement les économies émergentes comme la Tunisie, pourraient subir des pressions croissantes.

Pour la Tunisie, ces développements renforcent l’urgence de diversifier ses partenariats économiques et financiers, tout en améliorant sa résilience face aux chocs externes.

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* Dr. Tahar EL ALMI,

Economiste-Economètre.

Ancien Enseignant-Chercheur à l’ISG-TUNIS,

Psd-Fondateur de l’Institut Africain

D’Economie Financière (IAEF-ONG)

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Investiture de Donald Trump : l’extrême droite conviée à la table d’honneur…

21. Januar 2025 um 10:05

En rupture avec la tradition, la cérémonie d’investiture de Donald Trump a accueilli de nombreuses figures de l’extrême droite sud-américaine et européenne. De toute évidence, la distribution des cartons d’invitation s’est faite selon les critères du président élu : à droite, très à droite, ultraconservateurs, populistes, nationalistes et anti-Bruxelles.

Décidément, Donald Trump ne fait jamais les choses comme les autres. Officiellement investi, lundi 20 janvier, comme 47e président des États-Unis, le milliardaire américain a été obligé de convier sous le dôme du Capitole à Washington- où il a prêté serment et prononcé son discours inaugural- ses prédécesseurs encore vivants. A savoir Joe Biden, Bill Clinton, George W. Bush et Barack Obama et leurs épouses.

Toutefois, deux personnalités féminines de premier plan ont brillé par leur absence à la cérémonie d’investiture : l’ancienne Première dame Michelle Obama, qui, visiblement, ne porte pas le président fraîchement élu dans son cœur; et l’ancienne présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, que Trump avait l’habitude de qualifier non sans goujaterie de « Nancy la folle ».

Des «  amis » infréquentables

Par ailleurs, en rupture avec une tradition qui limite les représentations étrangères aux ambassadeurs, le nouveau locataire de la Maison Blanche a décidé d’en tordre le coup en invitant des « amis » sud-américains comme le président argentin ultralibéral Javier Milei et  le président du Salvador, Nayib Bukele, qui se qualifie lui-même de « dictateur cool ». Ou encore l’ex-président ultraconservateur brésilien Jair Bolsonaro qui dit avoir été invité, mais la Cour suprême de son pays ne l’a pas autorisé à quitter le territoire, évoquant « une possibilité de tentative de fuite » de l’ancien chef d’État.

A droite, populiste et anti-Bruxelles

Selon les critères les préférences trumpiennes, à droite, très à droite, nationalistes, populistes  et anti-Bruxelles,  des figures d’extrême droite ont été également conviées à la cérémonie de l’intronisation du président élu, à l’instar de Giorgia Meloni, présidente du conseil italien et cheffe du parti néo-fasciste Fratelli d’italia.

Seule dirigeante européenne en fonction présente au Capitole, elle est décrite comme « une femme fantastique qui a conquis l’Europe », par Donald Trump, qui l’a reçue début janvier dans sa résidence de Mar-a-Lago. Une femme très liée à Elon Musk, affichant l’ambition d’être le point de passage entre l’Union européenne et les États-Unis.

Tout comme le Premier ministre hongrois Viktor Orban, chantre du populisme européen, mais  il sera finalement absent « pour cause d’agenda trop chargé ». Tout comme le président chinois Xi Jinping qui a décliné l’invitation mais a été représenté par un émissaire.

Sans oublier l’élu britannique Nigel Farage, président du parti pro-Brexit Reform UK, ou encore, en Allemagne, l’un des dirigeants de l’AfD, Tino Chrupalla, convaincu que la présidence de Trump « va changer le monde pour toujours ».

Les « nuances » de l’extrême droite française

Côté français, Emmanuel Macron était sur la liste des absents, comme la présidente Rassemblement National, Marine Le Pen.

En effet, cette dernière est restée très discrète sur sa non-invitation étant gênée par un personnage imprévisible qui peut nuire à sa stratégie de normalisation en France.

D’autant plus, que pourtant proche d’un point de vue idéologique, Marine Le Pen est gênée par les récentes positions de Donald Trump et ses déclarations expansionnistes, mais aussi par le retour avec lui de la théorie populiste du America first. Pour les personnalités du RN, pas question de soutenir officiellement un homme dont les décisions risquent de nuire à certains secteurs économiques en France, comme les viticulteurs, qui s’inquiètent d’une nouvelle taxe.

D’ailleurs, le président du RN Jordan Bardella a illustré les nuances d’extrême droite face à Trump en pointant les risques pour la France de « l’Amérique d’abord », notamment pour « nos agriculteurs et nos viticulteurs » menacés de droits de douane.

« On a l’impression que c’est Walt Disney et que c’est la course pour aller se prendre en photo devant Donald Trump pendant son discours d’investiture », a-t-il ironisé.

En revanche, la nièce de Marine, Marion Maréchal en sa qualité de vice-présidente du groupe ECR (où siègent les troupes de Giorgia Meloni) et l’infréquentable Eric Zemmour ainsi que sa compagne, la députée européenne Sarah Knafo- qui jubilent d’avoir reçu le carton d’invitation et font tout pour le faire savoir- ont fait le déplacement à Washington.

Rappelons enfin que ces beaux messieurs de la Sillicon Valey étaient évidemment présents. A  l’instar de Jeff Bezos pour Amazon, Mark Zuckerberg pour Meta, Tim Cook pour Apple, Sam Altman pour OpenIA ou Dara Khorsrowshahi pour Uber. Sans oublier l’inévitable Elon Musk, l’homme le plus riche du monde et soutien politique et financier du milliardaire républicain.

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Trump promet de sauver l’Amérique du « déclin » et une répression de l’immigration

21. Januar 2025 um 09:26

Donald Trump a prêté serment lundi 20 janvier lors d’une cérémonie au Capitole. Enhardi, il a déclaré que « le déclin de l’Amérique était terminé », promettant de lutter contre l’immigration illégale et se présentant comme un sauveur choisi par Dieu pour secourir une nation chancelante.

« À partir de maintenant, le déclin de l’Amérique est terminé », a déclaré Trump, 78 ans, à l’intérieur de la rotonde du Capitole américain, symbole de la démocratie américaine envahi le 6 janvier 2021 par une foule de partisans de Trump déterminés à annuler sa défaite de 2020 face à Joe Biden.

L’investiture complète le retour triomphal d’un perturbateur politique qui a survécu à deux tentatives d’assassinat, a été condamné lors d’un procès pénal et a été accusé d’avoir tenté d’annuler sa défaite électorale de 2020.

Il est le premier président depuis plus d’un siècle à remporter un second mandat après avoir perdu la Maison Blanche…

Trump a signé une série de décrets exécutifs de grande envergure, premières étapes de la mise en œuvre d’un programme de grande portée visant à étendre le territoire américain, à freiner l’immigration, à stimuler la production de combustibles fossiles et à réduire les réglementations environnementales.

Avec ses premières mesures et décrets, Trump a égalent annulé des dizaines de décisions de l’ancien président Joe Biden, retiré les États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat et cherché à maintenir TikTok ouvert aux États-Unis, entre autres mesures. Il a gracié aussi des centaines de personnes pour leur rôle dans l’attaque du Capitole américain du 6 janvier 2021.

Le nouveau président américain Donald Trump a annoncé lundi qu’il allait déclarer l’immigration illégale à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique une urgence nationale, y envoyer des troupes et intensifier les expulsions de délinquants.

Trump bénéficiera cette fois-ci d’une Cour suprême profondément conservatrice, qui lui a permis de remporter d’importantes victoires juridiques au cours de sa campagne.

Cependant, il est confronté à une tâche ardue : tenir sa promesse d’un « âge d’or de l’Amérique » face à un Congrès divisé, à des poursuites judiciaires inévitables et à des dirigeants mondiaux récalcitrants.

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Investiture de Donald Trump : et si l’échec était au bout de sa course ?

20. Januar 2025 um 06:13

Donald Trump s’installe aujourd’hui au pouvoir aux Etats-Unis d’Amérique avec l’ambition de changer le monde. Pourra-t-il cependant le faire facilement lorsqu’on connaît les obstacles auxquels il fera face? Analyse.

Ce lundi 20 janvier 2025 à 18 heures (heure de Tunis), commencera la cérémonie d’investiture de Donald Trump. En fait, un comeback du 47ème président qui a gouverné son pays de 2017 à 2021, avant d’être chassé par une défaite face à Joe Biden qui lui a succédé. Et avant que ce dernier ne lui cède aujourd’hui les rênes du pouvoir.

L’homme entend en ce second mandat aller de l’avant dans un programme qu’il a conçu pour asseoir sa suprématie et celle de son pays dans une ère nouvelle qu’il veut conforme à ses désidératas et pour reprendre une formule largement popularisée par le président français,  Emmanuel Macron, du temps de la Covid-19, « quoi qu’il en coûte ». Comprenez contre vents et marées.

Notre homme est déterminé

Et les décisions que le président Trump entend prendre dès les premiers instants – donc notamment ces fameux 100 décrets – sont là pour prouver sa détermination à vouloir remettre les Etats-Unis d’Amérique d’aplomb. Réussira-t-il cependant à appliquer les promesses qu’il n’a de cesse d’évoquer?

Force est de constater que les ambitions de Trump sont bien nombreuses et comportent des risques certains. Ce qui ne lui permettra pas toujours d’aller de l’avant sur la voie qu’il s’est tracé. Même si notre homme est déterminé et surtout qu’il possède nombre d’atouts, dont et pas des moindres un Congrès (la Chambre des représentants et le Sénat) qui sont acquis aux thèses républicaines.

Revenir sur des acquis

L’homme ne tardera pas, que ce soit à l’échelle de son pays ou qu’au niveau du monde, à être confronté à trois grands obstacles. Le premier d’entre eux, c’est le droit. Que ce soit aux Etats-Unis d’Amérique ou dans le reste du monde, un ensemble de lois, de conventions, de chartes et autres directives encadrent tous les aspects de l’activité humaine. Donald Trump évidemment peut ne pas en tenir compte. Ce qui ne veut pas dire qu’il parviendra à ses fins. Le droit est un cadre qui oblige tout un chacun à ne pas piétiner ce qui a déjà fait l’objet d’un accord entre les hommes. On se souvient, par exemple, que des juges ont bloqué, en 2018, une décision de l’administration Trump refusant la possibilité de demander l’asile aux personnes entrant illégalement sur le territoire des États-Unis.

Le second obstacle a trait à l’opposition qu’il trouvera auprès d’un ensemble d’organisations qui refusent de revenir sur des acquis. A fortiori lorsque ces acquis font l’objet de lois ou d’un consensus. Trump est exposé à des blocages à ce niveau d’autant plus qu’il compte tirer sur tout ce qui bouge : les migrants, les transgenres, les défenseurs du climat, les médias, les industriels étrangers, l’administration publique, … Cette dernière sait que, malgré l’entêtement de ce dernier, elle est capable de lui compliquer la vie. Et s’il pourra donner des coups, il en recevra à coup sûr. Exemple parmi d’autres, les sanctions commerciales promises (jusqu’à 100% dans le cas d’actions pour affaiblir le dollar) : rien ne dit qu’il n’y aura pas une réaction du même type de ceux qu’il entend punir. Certes, les Etats-Unis d’Amérique sont la plus grande puissance économique du monde, mais l’on a souvent besoin, comme le dit Jean de La Fontaine, d’un plus petit que soi.

Protestations

Dernier obstacle, ceux qui sont opposés à sa politique et sa vision du monde. La planète Terre n’est pas faite de politiciens conservateurs ou encore de mécènes qui obéissent au doigt et à l’œil à Donald Trump. Loin s’en faut. Il faudra compter, à l’intérieur, avec les démocrates et autres libéraux qui peuplent le monde de la politique, des affaires et des médias. Et à l’extérieur, des décideurs et des dirigeants que ce soit en Chine, en Russie et en Europe notamment, jaloux de leur indépendance et férus d’un monde tout autre. On l’a vu avec les protestations d’un Elon Musk, soutien incontesté du président Trump. Et qui s’est essayé à l’ingérence dans les affaires des autres.

Et cette question qui peut s’imposer à nous : Donald Trump se révélera-t-il être ce « loser » (perdant) qu’il refuse souvent d’être?

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