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Heute — 31. Mai 2025La Presse de Tunisie

Enseignement Supérieur : Vers l’élaboration du nouveau plan national de développement 2026-2030

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 15:14

Une séance de travail s’est tenue hier, vendredi, au siège du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Elle était dédiée à la présentation et à l’explication de la méthodologie de préparation du nouveau plan de développement national pour la période 2026-2030, selon un communiqué du ministère.

À cette occasion, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, Moncer Belaïd, a souligné que la nouvelle méthodologie s’inscrit dans la vision tunisienne basée sur une planification ascendante, du niveau local au national. Elle vise à consolider le rôle actif des conseils locaux, régionaux et des régions, ainsi que du Conseil national des régions et des districts, dans la définition des priorités de développement et la formulation des projets. Cela s’inscrit dans le cadre de l’unité de l’État et de l’intégration de ses institutions, renforçant ainsi le rôle social de l’État et garantissant l’équilibre régional.

Moncer Belaïd a également mis en avant le rôle du Ministère de l’Enseignement Supérieur dans l’élaboration de la politique publique de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Il a également présenté les mécanismes de préparation des fiches de projets de développement, insistant sur l’importance de la cohérence des approches de développement et de l’efficacité de la méthodologie de préparation des propositions de projets.

Les participants ont présenté un exposé complet sur l’approche adoptée pour la formulation du plan, conformément aux exigences de la Constitution et des textes en vigueur, et ont mis en évidence le processus général de sa préparation.

Ont assisté à cette séance notamment le chef de cabinet, Mourad Belassoued, des représentants du Ministère de l’Économie et de la Planification, les directeurs généraux de l’administration centrale, les offices des œuvres universitaires, et des représentants de plusieurs institutions relevant du ministère.

Caisses sociales : Le déficit dépasse 1,1 milliard de dinars en 2025

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 15:10

Les caisses sociales connaissent un déficit financier grave qui menace la stabilité du système de protection sociale. Le déficit de la Caisse nationale de retraite et de prévoyance sociale (CNRPS) a atteint environ 700 millions de dinars en 2024, et devrait dépasser 1,1 milliard de dinars en 2025. La Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) souffre également d’un déficit croissant malgré quelques améliorations, tandis que la Caisse d’assurance maladie (CNAM) enregistre un excédent financier, mais souffre d’un manque de liquidités.

Faible couverture sociale
Le taux de couverture sociale en Tunisie n’est que d’environ 42 % de la population, un taux faible qui ne répond pas aux besoins réels, surtout avec l’augmentation du taux de vieillissement qui dépasse 16,9 % de la population de plus de 60 ans. Le problème principal réside dans l’élargissement du secteur informel, où les travailleurs ne bénéficient d’aucune couverture sociale ou sanitaire, ce qui les place dans une situation précaire.

Solutions proposées et réformes nécessaires
Les autorités officielles et les experts soulignent la nécessité d’une réforme radicale et durable du système de protection sociale, à travers :

L’amélioration de la croissance économique pour augmenter les ressources, l’élargissement de la base des contributeurs pour inclure le secteur informel.
L’accélération du rythme de recrutement pour les tranches d’âge en retard, la révision des systèmes d’indemnisation et de pensions et la garantie de la cohérence des politiques sociales et financières.

Bande de Gaza : Ultimes préparatifs pour la « Caravane de la Résilience »

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 15:00

Hier soir, vendredi, une rencontre de presse a eu lieu à la Maison de l’Avocat à Sfax pour discuter des derniers préparatifs de la « Caravane de la Résilience » visant à briser le blocus de Gaza. Cette caravane partira le 9 juin prochain de Tunis en direction de Rafah.

Slaheddine El Masri, représentant du Réseau Tunisien de Lutte Contre la Normalisation et du Comité Directeur de la Caravane de la Résilience pour briser le blocus de Gaza, a déclaré à la TAP que « cette caravane est une initiative bénévole, non humanitaire, dont l’objectif principal est de briser le siège et d’exprimer la volonté du peuple tunisien et des peuples libres du monde de soutenir Gaza et sa résilience, et de contraindre l’entité sioniste à ouvrir le passage de Rafah ».
La même source a appelé les Tunisiens à participer massivement à la Caravane de la Résilience pour briser le blocus de Gaza, afin d’exprimer cette volonté de solidarité. Ceci peut se faire soit en s’inscrivant via le lien dédié, soit en accompagnant la caravane le 9 juin prochain jusqu’à Ras Jdir.

Il a ajouté que « les habitants de la région de Sfax ont été parmi les premiers à contacter le Comité Directeur de la caravane, demandant l’organisation de cette rencontre médiatique pour faire connaître les objectifs de cette caravane de solidarité, qui est un hommage aux martyrs de la résistance, ainsi que son parcours, son calendrier et ses messages ».

De son côté, Wael Nouar, membre de la Coordination d’Action Commune pour la Palestine et porte-parole de la Caravane de la Résilience, a souligné que « cette caravane terrestre fait partie d’un effort mondial qui aura lieu dans la seconde moitié du mois de juin prochain pour lever le siège de Gaza ».

Il a également mentionné que parmi les initiatives s’inscrivant dans cet effort mondial pour lever le blocus de Gaza, il y a des avions qui arriveront au Caire, puis se dirigeront vers Rafah dans le cadre d’une initiative intitulée « Match to Gaza », ainsi que la Flottille de la Liberté qui enverra plusieurs navires directement à Gaza durant la seconde moitié de juin prochain, dont le navire « Mariana » qui a quitté l’Italie vendredi.

Il a poursuivi en disant : « Nous avons lancé cette caravane terrestre en Tunisie, qui était initialement tunisienne, puis est devenue maghrébine, avec une participation importante de l’Algérie, de la Libye et de la Tunisie, et une participation symbolique du Maroc et de la Mauritanie. »

Il a précisé que « cette caravane terrestre partira de Tunis le 9 juin prochain à l’aube, traversera Sousse, Sfax, Gabès et Médenine, puis passera en Libye via le poste frontière de Ras Jedir. De nombreux Tunisiens accompagneront la caravane jusqu’à la frontière. Des milliers de personnes entreront également sur le territoire libyen, puis égyptien, en direction de Rafah. »

Programme Mondial
Concernant le programme mondial, Nouar a indiqué qu’un rassemblement international aura lieu le 15 juin prochain pour faire pression pacifiquement afin de briser le blocus de Gaza, d’acheminer l’aide, les équipes médicales et les équipes de la défense civile, et de mettre fin à la guerre d’extermination.

Il a ajouté que « le choix de la région de Sfax pour organiser cette conférence médiatique sur la Caravane de la Résilience visant à briser le blocus de Gaza est un choix double ; il est principalement dû à l’histoire de la ville de Sfax dans le soutien à la résistance, à son rôle dans la présentation de martyrs tunisiens pour la résistance, et à son soutien continu au peuple palestinien. C’est également la deuxième wilaya après Tunis en termes de nombre de participants à la caravane. »

Il a souligné que « le 9 juin prochain, jour du départ de la caravane, une halte de plus de deux heures sera organisée au centre-ville de Sfax, au cours de laquelle il y aura une manifestation et une promotion de la caravane, ainsi qu’une mobilisation pour qu’un maximum de citoyens se dirigent vers Ras Jedir pour accompagner la caravane. »

Il a appelé les Tunisiens à « participer massivement à la Caravane de la Résilience pour briser le blocus de Gaza, soit via le lien disponible sur la page officielle de la Coordination d’Action Commune pour la Palestine, qui reste ouvert jusqu’au 2 juin prochain, soit en accompagnant la caravane jusqu’à Ras Jedir, soit en étant présents le 9 juin prochain pour accueillir et saluer la caravane. »

La rencontre médiatique sur la Caravane de la Résilience pour briser le blocus de Gaza a été organisée à l’initiative du Comité Régional de Sfax pour la Solidarité avec le Peuple Palestinien, du soutien à la caravane populaire, de l’Ordre National des Avocats, du Laboratoire du Maghreb Arabe de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de Sfax et de la section de Sfax Nord de la Ligue Tunisienne pour la Défense des Droits de l’Homme.

Djerba : Vers un modèle d’économie circulaire pour le traitement et la valorisation des déchets

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 14:54

Un projet baptisé « Vers un modèle d’économie circulaire pour le traitement et la valorisation des déchets à Djerba » sera lancé, en vertu d’un accord signé, vendredi, à Tunis, entre l’Agence Nationale pour la Maîtrise de l’Énergie (ANME), l’Agence Nationale de Gestion des Déchets (ANGED), et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

Financé par le gouvernement japonais, le Fonds italien pour le climat et le PNUD, ce projet vise à améliorer durablement la gestion des déchets à Djerba , tout en soutenant l’économie verte locale et renforçant la résilience face aux changements climatiques, indique l’ANME dans un communiqué.

Ce projet s’inscrit dans la dynamique nationale de décarbonation, à travers la valorisation énergétique des déchets, la création d’emplois durables dans des domaines clés comme le tri, ainsi que le recyclage et le biométhane .

Ce projet, qui devrait être opérationnel début 2026, marque le début d’une solution intégrée à la problématique des déchets à Djerba, via la valorisation énergétique des déchets organiques.

Il permettra de produire du biogaz à partir de déchets organiques , lequel sera injecté dans le réseau national de gaz naturel ou converti en électricité . Ce projet sera généralisé à d’autres régions du pays lors de prochaines phases dans le cadre d’un partenariat public-privé.

Le projet de loi sur les structures sportives en voie de finalisation

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 14:40

Le ministère de la Jeunesse et des Sports a annoncé, samedi, dans un communiqué, que ses services sont en train de finaliser la version définitive du statut relatif aux structures sportives, précisant que les informations circulant sur les réseaux sociaux à ce sujet sont dénuées de tout fondement.

Le projet de loi sur les structures sportives qui est en cours d’élaboration, vise à améliorer la gouvernance de ces structures, à renforcer leur gestion financière et administrative, à développer leurs méthodes de travail et à instaurer de nouveaux mécanismes de soutien à leurs ressources financières. Le projet prévoit également une réforme de l’organisation des clubs sportifs et de leurs modes de gestion, tout en garantissant la pérennité du service public sportif et en renforçant les dispositifs de contrôle interne et externe des structures sportives.

Ressources hydriques : L’approche participative absente des politiques de gestion

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 14:34

L’expert en gestion de l’eau, Houssine Rahili, a reconnu dans une interview accordée à l’agence Tunis Afrique Presse l’échec des politiques publiques en matière de gestion des ressources hydriques. Évaluant le succès des politiques publiques dans la gestion des ressources en eau, Rahili a déclaré que ces politiques étaient basées sur les choix des marchés extérieurs pendant la période d’ouverture économique, des choix qu’il a qualifiés de « très conservateurs ».

Il a ajouté que « les politiques publiques en matière de gestion des ressources hydriques sont encore élaborées au sein de l’administration, et elles sont à sens unique en l’absence d’une approche participative qui exprimerait l’opinion du groupe dans son ensemble ».
À cet égard, Rahili a évoqué l’échec des politiques publiques, notamment dans le domaine agricole. Cela est devenu plus évident avec les répercussions du changement climatique et sa contribution à la diminution des ressources en eau. S’ajoutent à cela un retard de 69 ans dans le recensement agricole, « l’absence d’une carte de production agricole stricte et le contrôle nécessaire de la part des autorités concernées ».

Il a souligné que les politiques de l’eau dans les zones rurales stagnent toujours, car la Société Nationale d’Exploitation et de Distribution des Eaux n’intervient que dans les grands regroupements résidentiels ruraux.
Dans le même contexte, l’expert a affirmé que le dossier des groupements hydrauliques est un « dossier lié à l’endettement et à l’incompétence. Il a déclaré que « ce dossier a été instrumentalisé politiquement, surtout après le 14 janvier 2011, et les lois promulguées à cette fin après cette date ne sont que de la poudre aux yeux ». Il a ajouté : « Celui qui possède l’eau, possède le pouvoir. »

Il a rappelé que les options d’ouverture économique ont inversé la donne depuis les années 1970. Les politiques publiques liées à l’eau ont changé pour soutenir l’exportation dans les secteurs de l’agriculture et de l’industrie, qui sont donc plus consommateurs d’eau, en plus des secteurs intrinsèquement gourmands en ressources hydriques, tels que le textile, les industries agroalimentaires et chimiques, la transformation du phosphate et le tourisme.
Selon Rhili, les politiques publiques dans le domaine économique n’ont pas suivi les différents développements depuis cette date. Elles ne sont pas non plus conformes aux capacités du pays, qui souffre de rareté de l’eau, ni à la valeur ajoutée de l’eau, en plus du problème de la pollution, apparu dans de nombreuses régions à l’époque.

Il a indiqué que le dernier programme mené par l’État dans le domaine de l’eau était le plan décennal de développement des ressources en eau (1990-2000) et la monopolisation de la mobilisation des ressources en eau dans les zones pluvieuses. Depuis 1995, la question du stress hydrique et des changements climatiques n’a pas été envisagée.
Dans le même cadre, il a ajouté que le taux d’exploitation des ressources en eau a doublé au cours des trois dernières décennies en l’absence de conscience de la nécessité de rationaliser la consommation et de prendre en compte les facteurs de changement climatique et de rareté de l’eau.

L’expert a insisté sur l’établissement d’une culture citoyenne de consommation de l’eau, « qui est absente à tous les niveaux », et sur l’intégration de l’eau comme matière essentielle dans les programmes éducatifs (primaire, collège et lycée), ainsi que l’enseignement du Code de l’eau en tant que texte juridique à la faculté de droit. Il a également appelé à créer un lien générationnel pour une réflexion participative sur les questions stratégiques liées à l’eau.
À cet égard, l’expert en gestion de l’eau a appelé à définir une vision claire et précise de la manière dont la Tunisie se projette à l’horizon 2040-2050, et à œuvrer pour le retour d’une « Tunisie verte », telle qu’elle était auparavant, garantir la souveraineté alimentaire et une bonne exploitation des ressources pour répondre aux besoins de la population. Il a également insisté sur la nécessité de réduire l’endettement et d’accumuler de la richesse, afin que le citoyen puisse vivre dans un bien-être social.

Il a souligné la nécessité d’évaluer les choix économiques et les politiques publiques liés à l’eau sur une période de 60 ans, « loin de ce qu’il a appelé la logique des réalisations et de la falsification des faits et de la réalité actuelle ». Il a également insisté sur l’établissement des priorités pour la prochaine phase et l’investissement dans l’amélioration de l’eau potable, en la fournissant de manière durable, afin de maîtriser le coût de la santé en général, et d’arrêter immédiatement l’exportation de l’eau, ou de choisir entre son exportation avec une valeur ajoutée élevée ou sa conservation pour atteindre l’autosuffisance.
Rahili a également demandé de revoir l’adaptation des ressources en eau en harmonie avec les ressources en eau disponibles et d’utiliser l’eau dans des industries à forte valeur ajoutée, au lieu d’industries polluantes et à faible valeur ajoutée.

La famille tunisienne dépense mensuellement entre 130 et 140 dinars pour l’achat d’eau minérale

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 14:00

Le coût de la consommation d’eau en bouteille pour une famille tunisienne de cinq personnes a augmenté depuis 2022, atteignant entre 130 et 140 dinars par mois, selon les révélations de Hussein Rahili, expert en gestion des ressources hydriques, lors d’une interview avec l’agence TAP.

Rahili attribue cette augmentation aux changements climatiques et à la hausse des températures, qui ont poussé les familles tunisiennes à consommer en moyenne six bouteilles d’eau par jour, surtout pendant l’été.

L’expert souligne que l’adoption de l’eau en bouteille par les citoyens a connu une augmentation significative au cours de la dernière décennie, faisant de la Tunisie le quatrième pays consommateur d’eau en bouteille au niveau mondial par rapport à sa population.

En 2024, la consommation annuelle moyenne d’eau en bouteille par individu en Tunisie a atteint environ 241 litres, contre 225 litres en 2020, selon les dernières statistiques de l’Office National des Eaux Minérales et de l’Hydrothérapie.

Rahili explique que l’utilisation excessive de l’eau en bouteille comme alternative à l’eau du robinet est due à la détérioration de la qualité de l’eau distribuée par le réseau de la SONEDE (Société Nationale d’Exploitation et de Distribution des Eaux) et aux coupures fréquentes dans certaines régions. Les classes moyennes et pauvres sont les plus touchées, contraintes de se tourner vers des sources d’eau inconnues, ce qui pose un problème majeur en raison de ses graves répercussions sur la santé.

À cet égard, l’expert met en garde contre la prolifération des vendeurs ambulants d’eau potable d’origine inconnue, particulièrement présents dans les quartiers populaires. Cette eau provient souvent de sources naturelles et a une faible teneur en sels, ce qui peut entraîner des maladies hépatiques en cas de consommation excessive, soulevant ainsi une question de sécurité sanitaire que les autorités responsables doivent prendre en considération.

L’expert affirme que trois millions de citoyens tunisiens sont affectés par l’eau potable, en raison de la forte salinité et des concentrations élevées de certains carbonates, en plus du risque de pollution des ressources hydriques dû à l’absence de réseaux d’assainissement.

Dans ce contexte, il insiste sur la nécessité d’améliorer la qualité de l’eau dans toutes les régions confrontées à ce problème, notamment dans le bassin minier où le taux de fluor est élevé. Il recommande l’élaboration d’un programme intégré à cette fin pour garantir une eau de bonne qualité et en quantités durables.

Rahili souligne que l’État doit assumer sa responsabilité de fournir de l’eau potable et de veiller à la santé des citoyens, d’autant plus qu’environ 4 000 enfants meurent chaque jour dans le monde des suites de la diarrhée.

L’expert conseille d’investir dans l’amélioration de la qualité de l’eau distribuée par la SONEDE et de rénover les conduites de transport d’eau depuis les barrages, dont la durée d’exploitation a dépassé 15 ans, d’autant plus que 70% de la pollution provient de ces conduites.

Concernant le gaspillage de l’eau, Rahili révèle que le taux de gaspillage dans les zones irriguées atteint 40%, soit près de 750 millions de mètres cubes, ce qui est supérieur aux quantités d’eau consommées annuellement par les citoyens.

Dans ce cadre, il met en garde contre le danger de la détérioration continue des ressources hydriques depuis 1995 et l’absence de politiques d’adaptation et d’orientation, notamment vers des solutions de fortune et plus coûteuses pour le citoyen, telles que les coupures d’eau et le dessalement de l’eau de mer. Ce, malgré un coût des stations de dessalement cinq fois supérieur à leur coût réel, au lieu d’investir ces fonds dans d’autres projets.

L’intervenant conclut : « Si l’État avait pris en compte la question du gaspillage de l’eau depuis 1995 jusqu’à aujourd’hui, environ 70% du gaspillage aurait été évité (un quart de l’eau est gaspillé au niveau des réseaux de raccordement), des quantités importantes d’eau auraient été préservées, et l’investissement dans une grande partie du renouvellement des conduites de transport d’eau aurait été évité, réduisant ainsi les coupures répétées et consacrant les efforts à l’amélioration de la qualité de l’eau. »

Siliana : L’ISET décroche la certification ISO 21001 :2018

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 13:56

L’Institut Supérieur des Études Technologiques (ISET) de Siliana a obtenu vendredi dernier la certification ISO 21001:2018 selon les normes de qualité.

Le directeur de l’institut, Tlili Messai, a déclaré samedi à l’agence de presse TAP que cette certification internationale prouve que le système de gestion de l’établissement d’enseignement est conforme aux normes mondiales. Cela garantit la qualité de l’enseignement et la satisfaction des apprenants. L’Organisation internationale de normalisation (ISO), qui accorde cette certification, est spécifiquement dédiée aux institutions éducatives.

Messai a également précisé que l’établissement universitaire compte 1 386 étudiants, répartis dans cinq spécialités (comprenant 11 branches) : génie électrique, génie mécanique, génie civil, technologies de l’information, et économie et gestion.

Zaghouan – Bir Mcherga : Un incendie ravage 3 hectares de blé et d’orge.

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 13:46

Ce samedi 31 mai 2025, un incendie s’est déclaré sur un terrain agricole dans la région de Fraxine, relevant de la délégation de Bir Mcherga.

Le sinistre a détruit trois hectares de blé dur et d’orge, ainsi qu’un hectare et demi d’herbes sèches et de chaume.

Les agents de la Protection Civile du gouvernorat de Zaghouan ont réussi à maîtriser l’incendie et à limiter les dégâts. Deux camions de pompiers ont été dépêchés sur les lieux, en plus de plusieurs tracteurs agricoles qui ont contribué aux efforts des secouristes.

Jendouba : Le 2 juin prochain, démarrage de la saison de la récolte et de la collecte des céréales

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 13:41

La Commission Régionale de Suivi de la Saison des Moissons et de Collecte des Céréales du gouvernorat de Jendouba a annoncé les dates de début de la saison des moissons pour toutes les délégations du gouvernorat. Le coup d’envoi sera donné le 2 juin prochain pour l’orge et le triticale, et le 10 du même mois pour le blé, dur et tendre, selon un communiqué de la Direction Régionale du Développement Agricole.

Cette décision exclut les exploitations situées dans les délégations de Balta Bou Aouane et Fernana, en raison d’un taux d’humidité élevé et d’une maturation insuffisante des céréales. Une date ultérieure sera fixée pour ces zones.
La décision de lancer la saison des moissons fait suite à des inspections menées par les services de la Direction Régionale du Développement Agricole et les autres parties prenantes. Ces inspections ont porté sur les champs de céréales, la préparation des centres de collecte dans la région, ainsi que la vérification et l’entretien des moissonneuses-batteuses.

Il est à noter que les services du Ministère de l’Agriculture, de l’Équipement et de l’Habitat ont commencé il y a plus d’une semaine à inspecter les points d’approvisionnement en eau pour la lutte contre les incendies potentiels, en plus d’autres préparatifs connexes.

Selon Lotfi El Jamazi, président de l’Union Régionale de l’Agriculture et de la Pêche, cité par l’agence Tunis Afrique Presse, ces inspections, auxquelles ont participé les parties concernées, visent à assurer des conditions optimales pour la saison des moissons, à encadrer les agriculteurs et à les former à l’utilisation des moyens d’extinction en cas d’incendie, ainsi qu’à protéger la récolte contre les dommages et à la stocker dans les conditions requises.
Il est à souligner que la superficie allouée à la culture des céréales dans le gouvernorat de Jendouba cette saison dépasse les 84 000 hectares.

Des enfants fument dès l’âge de 7 ans : Le constat inquiétant d’un spécialiste des maladies respiratoires

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 13:33

Une étude mondiale sur le tabagisme en milieu scolaire, réalisée en 2024, a révélé que 35,3 % des enfants tunisiens âgés de 13 à 15 ans ont essayé de consommer du tabac. Selon le Sonia Maalej, cheffe du service des maladies respiratoires à l’hôpital Abderrahmen Mami, 50 % des garçons et 27,7 % des filles ont fumé au moins une fois dès les premières années de l’école.

Le chiffre le plus choquant est que l’âge moyen d’initiation au tabagisme en Tunisie est de 7 ans, avec des cas enregistrés d’enfants ayant commencé à fumer dès l’âge de six ans.
La docteure a insisté sur le fait que les moyens pour arrêter de fumer sont disponibles et gratuits, comme les patchs, et peuvent être obtenus dans les cliniques réparties dans les différentes régions du pays.

Elle a également mis en garde contre la dangerosité du tabagisme passif, soulignant que 8 millions de décès sont enregistrés chaque année en raison du tabagisme, dont 2% concernent des non-fumeurs.
Elle a aussi alerté sur les cigarettes électroniques et le tabac chauffé, affirmant qu’ils sont produits par les mêmes compagnies de tabac traditionnelles et visent le profit au détriment de la santé des consommateurs.

Le logement, un luxe inaccessible ? L’expert Rhili alerte

31. Mai 2025 um 12:18

Les derniers chiffres du recensement général de la population et de l’habitat réalisé en 2024 reflètent une évolution remarquable de la structure démographique de la société tunisienne qui est en train de vieillir mais à un rythme naturel qui, pour l’heure, n’a pas de quoi susciter l’inquiétude. Toutefois, la stagnation du taux de fécondité inférieur à deux enfants par femme et qui ne permet pas le renouvellement des générations et le faible taux d’accroissement annuel moyen de la population qui s’élève à 0.87% au cours des dernières décennies ont eu des répercussions, même si elles ne sont pas directes, sur plusieurs secteurs dont celui de la promotion immobilière.

800 mille logements sont actuellement vides car ils n’ont toujours pas trouvé acquéreur. Mais tout ne peut pas être imputable uniquement au facteur démographique. La cherté de la vie, l’inflation et la hausse du coût des matières premières seraient principalement responsables des prix hors de portées des logements. Toutefois, l’ensemble de ces facteurs ne justifieraient pas, selon l’expert Houcine Rhili, le coût hors de prix de ces logements défini par les promoteurs immobiliers sur la base de l’offre et de la demande régulé par le principal marché ciblé par ces derniers : celui des tunisiens résidant à l’étranger ainsi que des citoyens étrangers vivant dans les pays voisins et qui peuvent acheter des appartements mais sous certaines conditions.

Conséquence : le secteur de la promotion immobilière a enregistré une flambée des prix marquée par une hausse du prix des logements qui a sextuplé au cours des cinq dernières années, a affirmé l’expert Houcine Rhili lors de son passage récent à la radio. Aujourd’hui le coût moyen d’un logement d’une superficie de 70 m2 avoisine les 350 mille dinars alors que le m2 est estimé à trois mille dinars et plus dans certaines zones huppées de la capitale, ce qui le rend inaccessible pour un couple constitué de cadres moyens pour qui l’accès au logement est inenvisageable, au vu des prix quasi inaccessibles.

Toujours d’après Rhili, alors qu’il y a deux décennies et plus, un couple pouvait devenir propriétaire d’un logement au bout de dix ans en en a ayant remboursé totalement tous les frais, if faut, en moyenne, aujourd’hui, entre quinze et vingt ans et même plus pour se rendre acquéreur d’un logement sans qu’il soit hypothéqué auprès de la banque. En ces temps difficiles, l’accès à un logement passe aujourd’hui indéniablement par l’engagement d’une réflexion sur la baisse du taux directeur des prêts logements ainsi que la mise en place d’autres mécanismes d’incitation.

Importation de devises : La douane tunisienne précise les cas nécessitant une déclaration

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 12:08

Le porte-parole de la douane tunisienne, Chokri Jebri, a apporté ce samedi 31 mai, des éclaircissements sur les règles encadrant l’importation de devises étrangères sur le territoire tunisien.

Lors de son passage sur les ondes de la radio Diwan Fm, il a affirmé qu’aucune disposition du code des changes n’interdit l’entrée de devises en Tunisie, et qu’aucun plafond n’est fixé à cet effet.

Toutefois, une déclaration est exigée dans certaines situations bien précises.
Trois cas nécessitent une déclaration : lorsque le montant en devises importé est égal ou supérieur à 20 000 dinars tunisiens (ou son équivalent en devises étrangères) ; lorsque les devises importées sont destinées à être déposées sur un compte bancaire en Tunisie ; ou lorsque le voyageur prévoit de réexporter un montant équivalant à 5 000 dinars tunisiens ou plus, ce qui impose une déclaration préalable à l’entrée sur le territoire.

Le porte-parole a aussi souligné l’importance pour tout voyageur tunisien de conserver la déclaration délivrée à l’entrée, ainsi que le reçu de change, dans le cas où une opération de change a été réalisée auprès d’un bureau de change agréé.
Par ailleurs, Chokri Jebri a rappelé que les Tunisiens résidant à l’étranger peuvent importer, chaque année, des effets personnels, tels que des cadeaux, pour une valeur maximale de 5 000 dinars tunisiens. Cette disposition s’applique à toute personne âgée de plus de 18 ans, et l’importation peut s’effectuer en une seule fois ou en plusieurs étapes au cours de l’année.

Association des anciens et amateurs du Centre national de musique et des arts populaires Sidi Saber : Une clôture en beauté

31. Mai 2025 um 11:30

Jeudi dernier, 29 mai, la chorale de l’association des anciens et amateurs du Centre national de musique et des arts populaires Sidi Saber, sous la direction du maestro Nizar Abdelkefi, a clôturé l’année musicale à l’espace culturel et sportif d’El Menzah VI avec une soirée exceptionnelle. Fidèle à sa mission de préservation du patrimoine musical tunisien, la chorale a mis en lumière la richesse du répertoire tunisien porté par des voix passionnées, à l’instar de Tawfik Bouchnaq qui a régalé les spectateurs avec une chanson de Abd Almottalib « Isaal alaya Marra », suivi de Samia Garci qui a chanté « Ahib ismak » de Chahrazed, Mohamed El Arbi « Habina »de Farid Latrach, Aida Hanfi Jelili « Titfattah lichkoun » de Sonia Mbarek , Jalel Bouraoui a interprété « Yalli sahrouni inik » de Hedi Jouini , Ridha Khelifi  « Haret essaayine » de Chérifa Fadhel , et Abir Gades qui a exécuté brillamment  « Essahira » de la grande Oulaya,  sous la direction du maestro Nizar Abdelkefi. Les musiciens ont enchanté le répertoire avec des takassim  et la chorale a offert des performances émouvantes du répertoire du patrimoine en proposant  Foundou ‘Ya khil Salem », une wasla du Malouf tunisien  et une autre orientale, sublimées par la présence du célèbre chanteur tunisien Abdelwahab Hanachi. 

Abdelwahab Hanachi, une présence sublime 

Reconnu pour ses magnifiques interprétations de la musique tunisienne, son talent et son riche parcours, Abdelwahab Hanachi a envoûté le public qui s’est levé pour l’applaudir chaleureusement. Il a repris  certains de ses titres emblématiques, tels que « Mahboubi », Sabrek maktoub »et a mis à l’honneur des chansons du répertoire tunisien. 

Cette fête de fin d’année a été plus qu’un simple concert, elle a incarné l’esprit de transmission et de préservation du patrimoine musical tunisien et oriental réunissant amateurs et un maestro professionnel autour d’une passion commune, celle de la préservation de notre patrimoine musical tunisien. 

Cependant, un souci persistant demeure : le problème de sonorisation qui n’a toujours pas trouvé de solution. Il est donc essentiel que la direction de l’espace culturel El Menzah VI intervienne pour réparer ce défaut qui perdure. 

Japon : Séisme de magnitude 6,0 à Hokkaido

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 10:56

Un tremblement de terre de magnitude 6,0 a frappé la préfecture d’Hokkaido, au Japon, samedi à 08h37 GMT, a indiqué le Centre allemand de recherche en géosciences (GFZ).

L’épicentre, situé à une profondeur de 10 kilomètres, a été localisé à 42,33 degrés de latitude nord et 144,80 degrés de longitude est.

Finale de la Coupe de Tunisie : l’Espérance et le Stade Tunisien dans la dernière ligne droite

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 10:54

L’Espérance Sportive de Tunis et le Stade Tunisien poursuivent leurs ultimes préparatifs avant la finale tant attendue de la Coupe de Tunisie, prévue ce dimanche à 16h00 au stade Hammadi Agrebi de Radès.

Dans le cadre de ces préparatifs, une conférence de presse conjointe des deux entraîneurs, Maher Kanzari (Espérance) et Chokri Khatoui (Stade Tunisien), se tiendra ce samedi à 12h30 dans la salle des conférences de la Fédération tunisienne de football. Les deux techniciens y aborderont les aspects techniques et psychologiques de ce choc décisif.

Cette finale s’annonce particulièrement palpitante entre deux formations désireuses d’ajouter un nouveau trophée à leur palmarès, sous l’œil attentif des supporters et des médias.

Basket-Finale de la coupe – USM-CA (75-68) : Une belle USM !

31. Mai 2025 um 10:51

Face à un CA distrait et déconnecté, les Monastiriens sauvent leur saison grâce à l’apport de deux joueurs, Hardy et Lahiani.

La Presse — L’USMonastir n’a pas volé sa consécration hier. La coupe gagnée est bien méritée sur l’ensemble d’un petit match techniquement qui a vu l’USM imposer son basket surtout lors du troisième quart-temps remporté 59-44. Plus de 15  points d’écart, il fallait un CA inspiré et des joueurs efficaces pour faire le retour.

Mais cette fois, et à part Abda (actif dans les débordements et dans les lancers francs), les joueurs clubistes étaient déconnectés et peu sérieux. Dixon, Saada, Hdidane (catastrophique), Chenoufi, Jouadi et Gannouni n’avaient rien réussi surtout en attaque face à la défense de zone de l’USM. Ni défense ni adresse dans les tirs à trois points, le CA état relâché et trop confiant. En face, l’USM avait usé de ses traditions et de l’apport de deux superbes joueurs : Hardy et Lahiani. En l’absence de Slimene, ce duo a porté l’USM avec leur générosité et les paniers précieux. Le CA a fait un retour dans les dernières 3’, mais c’était trop tard. Belle récompense pour une USM qui a toujours les moyens de gagner.

Le CA termine très mal sa saison avec une frustrante attitude de la part des joueurs et de leur entraîneur Wagner. 

L’ASF Jammel haut la main

L’Association sportive féminine de Jammel a décroché la Coupe des Dames hier, édition 2024-2025, en battant en finale en lever de rideau le champion de Tunisie en titre, le Club sportif sfaxien 50-43 à la salle omnisports de Radès. Un match géré intelligemment par les basketteuses de Jammel face à un favori de l’épreuve. Le CSS n’a pas été aussi solide qu’en championnat. 

GI4T : Et si la Tunisie osait un nouveau modèle ?

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 10:45

Pour atteindre une prospérité partagée en Tunisie, il est crucial de rompre avec le modèle économique actuel en engageant des réformes structurelles fondées sur la transition numérique, écologique et énergétique.

« Les politiques conjoncturelles, qui reposent notamment sur la stabilisation du déficit budgétaire et la maîtrise de l’endettement, ne sont pas suffisantes pour générer de la croissance. Avec un tel modèle économique, nous continuerons à enregistrer des taux de croissance inférieurs à 2 %, ce qui reste très modeste. »

C’est l’idée principale qui se dégage de la nouvelle édition de la publication annuelle du think tank GI4T (Global Institute for Transitions) sur la conjoncture économique de la Tunisie, intitulée L’économie tunisienne 2025 : quels chemins pour une nouvelle prospérité ?

Présentée vendredi lors des Petits déjeuners de l’économie – une initiative portée par le projet « Savoir Éco », financé par l’Union européenne et mise en œuvre par Expertise France en collaboration avec le Programme d’Appui aux Médias en Tunisie (PAMT 2) – cette nouvelle édition est le fruit d’une réflexion collective proposée par un ensemble d’académiciens et de chercheurs tunisiens et maghrébins.

Lors de cette rencontre-débat organisée au siège d’Expertise France à Tunis, Maher Gassab, professeur en sciences économiques et coordinateur de l’ouvrage, a affirmé que les politiques conjoncturelles ne suffisent pas à garantir la prospérité économique.

Dans la seconde partie de l’ouvrage, a-t-il indiqué, il est démontré que les véritables voies de réforme ne se limitent pas à la réalisation d’équilibres macroéconomiques. Elles doivent également inclure la transition écologique et énergétique, l’innovation, le tourisme durable et l’inclusion des femmes sur le marché du travail, qui sont les piliers d’une nouvelle prospérité.

En évoquant l’inclusion des femmes comme un levier central, Habib Zitouna, professeur en sciences économiques à la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion, a déploré la faible participation féminine au marché du travail. Selon lui, moins d’une femme adulte sur trois travaille ou recherche un emploi, une situation paradoxale quand on considère que les femmes sont majoritaires dans l’administration et plusieurs secteurs, illustrant ainsi l’écart entre les statistiques et la réalité.

Dans sa contribution intitulée Femmes et emploi : les progrès sociaux à l’épreuve du modèle économique, l’universitaire explique qu’au-delà des enjeux sociaux, la faiblesse des salaires constitue un frein majeur à l’inclusion des femmes, représentant la principale force d’exclusion. Or, une prospérité renouvelée impose une meilleure inclusion et l’adoption de politiques plus efficaces en ce sens.

Fruit d’un travail collaboratif réunissant une trentaine d’économistes, sociologues, géographes, spécialistes du management et de l’environnement, cette nouvelle édition de la série annuelle du GI4T se distingue par l’intégration d’une partie inédite consacrée aux économies maghrébines.

Créé en 2021, le GI4T s’attache à contribuer au développement d’une masse critique de recherche et de réflexion pour alimenter et appuyer les politiques publiques.

L’ouvrage comprend une trentaine de contributions réparties en cinq parties couvrant : l’état actuel et les perspectives de l’économie tunisienne sur les plans macroéconomique et sectoriel, les nouvelles dynamiques économiques, les économies maghrébines et, enfin, des annexes statistiques.

Challenger de Little Rock : Aziz Dougaz et Antoine Escoffier qualifiés pour les demi-finales du double

Von: La Presse
31. Mai 2025 um 10:32

Le Tunisien Aziz Dougaz et son partenaire français Antoine Escoffier se sont qualifiés pour les demi-finales du tournoi de double du Challenger de Little Rock, épreuve inscrite au calendrier ATP Challenger.

Le duo franco-tunisien a signé une victoire difficile, mais précieuse dans la nuit de vendredi à samedi, face à l’Australien Blake Bayldon et à l’Américain Reese Stalder, en trois sets : 6-4, 5-7, 10-8.

Dougaz et Escoffier affronteront en demi-finale, ce samedi, la paire indienne composée de Arjun Kadhe (Kaliyanda Poonacha) et Jeevan Nedunchezhiyan.

En huitièmes de finale, le tandem avait bénéficié du forfait des Canadiens Alvin Tudorica et Liam Draxl, accédant ainsi directement aux quarts.

En simple, Aziz Dougaz (222e mondial) a été éliminé dès le premier tour du tournoi, battu par l’Américain Stefan Kozlov (375e) en trois manches : 7-5, 3-6, 2-6.

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