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Gestern — 22. August 2025Haupt-Feeds

Le « Prince endormi » s’est éteint après 20 ans de coma

20. Juli 2025 um 10:04

Le prince saoudien Al-Waleed bin Khaled bin Talal Al Saud, surnommé le « prince endormi », est décédé ce 19 juillet 2025, après avoir passé près de vingt ans dans un état de coma profond. L’annonce de sa mort a été faite par sa famille sur les réseaux sociaux, suscitant une vive émotion en Arabie saoudite et dans le monde arabe.

Âgé de 36 ans, le prince Al-Waleed avait été victime d’un grave accident de la route en 2005, alors qu’il étudiait à l’académie militaire de Londres. Depuis ce jour, il était maintenu en vie dans un état végétatif persistant, malgré les diagnostics médicaux affirmant l’absence d’espoir de rétablissement. Son père, le prince Khaled bin Talal, avait toutefois toujours refusé de suspendre l’assistance médicale, convaincu d’une possible guérison.

Au fil des années, des vidéos montrant de légers mouvements des doigts ou des paupières du prince avaient circulé, nourrissant l’espoir d’un miracle au sein de la famille royale et de l’opinion publique. Ces images, devenues virales, avaient renforcé la notoriété du jeune prince, affectueusement surnommé « le prince endormi ».

Les funérailles ont eu lieu ce samedi 20 juillet à Riyad, en présence de nombreux membres de la famille royale et de dignitaires saoudiens. Les prières ont été organisées dans le respect des traditions, avec des cérémonies distinctes pour les hommes et les femmes.

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Hajj 2025 : les vols depuis la Tunisie commencent ce dimanche

Von: MC
18. Mai 2025 um 11:11

La saison du Hajj 1446 H/2025 a débuté ce dimanche 18 mai avec le départ des premiers pèlerins tunisiens depuis le terminal 2 de l’aéroport de Tunis-Carthage.

Cette année, 10 982 Tunisiens accompliront le pèlerinage, dont 60 % de femmes. Le plus jeune pèlerin a 23 ans, le plus âgé en a 92.

Les départs s’échelonneront jusqu’au 2 juin, avec 43 vols répartis entre les aéroports de Tunis, Sfax, Djerba, Gabès, Tozeur, Gafsa et Tabarka. En tout, 18 vols iront vers Médine et 25 vers Djeddah.

Pour préparer les fidèles, le ministère des Affaires religieuses a organisé des formations dans plusieurs régions. Les pèlerins y ont rencontré les membres de la mission d’encadrement, composée de 330 personnes, dont des guides, des médecins et des responsables logistiques.

L’hébergement à La Mecque est prévu à moins de 700 mètres de la mosquée, facilitant l’accomplissement des rites.

Les autorités tunisiennes, en coordination avec les services saoudiens, affirment que toutes les dispositions sont prises pour assurer un pèlerinage sûr. Le ministère de la Santé a rappelé les consignes sanitaires, tandis que les pèlerins sont invités à se présenter à l’aéroport cinq heures avant le départ, munis de tous leurs documents.

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Trump demande au président syrien de normaliser les relations avec Israël après la levée des sanctions US

Von: MC
14. Mai 2025 um 16:36

Le président américain Donald Trump a rencontré mercredi à Riyadh son homologue syrien Ahmad al-Chareh, pour la première fois depuis la chute de Bachar al-Assad. Cette rencontre, qualifiée d’historique, a duré près de trente minutes en présence du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane et du président turc Recep Tayyip Erdogan, qui a participé virtuellement.

Au cours de cet échange, Trump a invité la Syrie à rejoindre les accords d’Abraham, qui ont vu plusieurs pays arabes normaliser leurs relations avec Israël. Il a également exigé l’expulsion des groupes armés palestiniens du territoire syrien, ainsi que la prise en charge des prisons où sont détenus les membres de Daech, actuellement gérées par les forces kurdes, avec lesquelles la Turquie est en conflit.

Cette rencontre survient au lendemain d’une décision spectaculaire : la levée des sanctions américaines contre Damas, instaurées depuis 1979 et renforcées après 2011. Trump a justifié cette mesure en affirmant vouloir « donner une chance de grandeur » à la Syrie, dans un clin d’œil à son célèbre slogan.

La diplomatie syrienne s’est félicitée de ce « tournant décisif », tout en évitant de mentionner Israël dans son compte rendu officiel. De son côté, la Maison Blanche a insisté sur la nécessité d’un engagement clair de la Syrie en faveur de la stabilité régionale.

Selon des analystes, cette levée des sanctions ouvre la voie à un retour de Damas sur la scène régionale, avec le soutien de puissances du Golfe. Des projets de reconstruction sont d’ores et déjà envisagés, financés en partie par des investissements saoudiens et émiratis.

Malgré les réticences d’Israël, allié proche des États-Unis, Washington semble miser sur un réalignement stratégique en Syrie. Parallèlement à cette initiative, Trump poursuit une tournée régionale axée sur la signature de contrats économiques massifs, avec 600 milliards de dollars annoncés en Arabie saoudite.

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Trump annonce la levée des sanctions américaines contre la Syrie depuis Riyadh

Von: MC
13. Mai 2025 um 20:29

En pleine tournée au Moyen-Orient, le président américain Donald Trump a déclaré, mardi, la levée de toutes les sanctions américaines contre la Syrie, marquant un tournant diplomatique majeur dans la région.

Une annonce spectaculaire depuis Riyad

S’exprimant lors du forum d’investissement américano-saoudien à Riyadh, en présence notamment du prince héritier Mohammed ben Salmane, d’Elon Musk et de Jeff Bezos, Trump a affirmé :

« Je vais ordonner l’arrêt des sanctions contre la Syrie pour leur donner une chance de grandeur. »

L’annonce a été suivie d’une standing ovation de plusieurs secondes.

Un soutien implicite au nouveau régime syrien

Le président américain a justifié sa décision après des échanges avec le prince héritier saoudien et le président turc Recep Tayyip Erdogan, deux acteurs clés du soutien régional au nouveau gouvernement syrien.

Trump a également confirmé qu’il rencontrerait le président syrien par intérim Ahmed Al-Charaa mercredi à Riyadh. Cette rencontre revêt un caractère très controversé : Al-Charaa est un ancien djihadiste, passé par Al-Qaïda et l’État islamique, avant de fonder Jabhat al-Nusra. Bien qu’il figure encore sur la liste américaine des terroristes, il est désormais soutenu par la Turquie, l’Arabie saoudite et plusieurs monarchies du Golfe pour sa volonté de stabiliser la Syrie.

Tensions avec Israël, pression sur l’Iran

Cette reconnaissance implicite du nouveau pouvoir syrien souligne l’éloignement stratégique entre Washington et Tel-Aviv : Israël ne figure pas dans l’agenda de cette tournée régionale, une première depuis le début du second mandat de Trump.

Cette décision de Trump s’inscrit dans une stratégie plus large de redéfinition des alliances américaines au Moyen-Orient. Elle témoigne également du rôle désormais central de l’Arabie saoudite dans l’architecture géopolitique régionale, particulièrement dans le dossier syrien.

En revanche, le président américain a durci son discours envers l’Iran, au moment où se poursuivent à Mascate des négociations sur le nucléaire, menées par son envoyé spécial Steve Witkoff, sous médiation d’Oman :

« Nous ne laisserons jamais l’Amérique ou ses alliés être menacés par le terrorisme ou une attaque nucléaire. Le moment est venu pour eux de choisir. »

Réactions syriennes et contexte post-Assad

Le ministère syrien des Affaires étrangères, par la voix de Assaad al-Chaibani, a salué une décision qualifiée de « tournant décisif », ouvrant la voie à un avenir de stabilité et de reconstruction après quatorze années de guerre.

Donald Trump avait déjà évoqué, la veille, un possible assouplissement des sanctions, après la chute de Bachar al-Assad en décembre dernier, renversé par une coalition islamiste. Le nouveau président par intérim, Ahmed Al-Charaa, mène depuis une offensive diplomatique pour sortir son pays de l’isolement, notamment auprès des pays occidentaux.

Cependant, plusieurs États conditionnent la levée de leurs sanctions à des garanties concrètes en matière de droits humains et de protection des minorités.

Une économie syrienne exsangue

Selon l’ONU, 90 % de la population syrienne vit aujourd’hui sous le seuil de pauvreté. Le PNUD estime dans un rapport de février que, sans changement majeur, la Syrie ne retrouvera pas son niveau économique de 2010 avant 2080.

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