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Gestern — 20. Dezember 2025Managers

Les soft skills redeviennent le meilleur investissement professionnel

20. Dezember 2025 um 10:00

Une nouvelle étude publiée par Harvard Business Review (HBR) apporte un éclairage fort dans un marché du travail dominé par l’IA : les compétences fondamentales, communication, pensée critique, collaboration, lecture et mathématiques de base, pèsent désormais plus lourd que n’importe quelle compétence technique spécialisée.

En analysant 70 millions de transitions professionnelles et plus de 1 000 métiers entre 2005 et 2019, les chercheurs montrent que les travailleurs dotés d’un socle solide de soft skills progressent (en lecture, mathématiques de base, communication, travail en équipe…) plus vite, gagnent davantage et s’adaptent mieux aux bouleversements technologiques. Ces compétences agissent comme un “amplificateur de carrière”.

A dire vrai, elles accélèrent l’apprentissage de nouvelles expertises, facilitent les changements de rôle et protègent contre l’obsolescence liée aux technologies émergentes. À l’inverse, les compétences hyper-spécialisées connaissent une durée de vie de plus en plus courte. En effet, les compétences hyper-spécialisées sont définit comme étant des savoir-faire très techniques, liés à un outil ou une technologie précise. Des savoir-faire autrefois recherchés comme Hadoop, Flash ou même certaines compétences blockchain, se sont effondrés en quelques années, laissant les travailleurs dépendants d’outils dépassés. Dans ce contexte, les soft skills deviennent l’assurance-vie professionnelle la plus fiable.

✔ Les technologies changent vite → les compétences ultra-techniques deviennent dépassées.

✔ Les soft skills évoluent avec vous → elles garantissent votre capacité à apprendre, rebondir et rester employable.

L’étude souligne aussi l’importance croissante des compétences sociales, qui agissent comme le véritable ciment des organisations modernes. Face à des projets transversaux, des équipes hybrides et une complexité technologique accrue, les entreprises ont besoin de talents capables d’unir les expertises, fluidifier les échanges et naviguer dans l’incertitude. Google, Amazon ou Spotify ont déjà adapté leurs modèles : ils recrutent, forment et promeuvent désormais en fonction des capacités à collaborer, coacher et communiquer. Autrement-dit, les organisations ont besoin de connecteurs, pas seulement de techniciens.

Pour résumer, 3 leviers cités dans l’étude :
✔ Recruter autrement
Chercher : adaptabilité, communication, capacité à apprendre.
Techniques : questions ciblées, tests de raisonnement, scénarios d’incertitude.
✔ Former les collaborateurs dès le début
Les soft skills s’acquièrent sur la durée (école, relations sociales, expériences).
Investir dans les années 0–3 de carrière est le plus rentable.
✔ Manager par l’exemple
Valoriser : communication réfléchie, collaboration inter-équipes, apprentissage continu.
Intégrer ces comportements dans : mentoring, feedbacks, rétrospectives d’équipe.

Le message est clair : dans un monde où la technologie se démode presque aussi vite qu’elle apparaît, la compétence la plus moderne reste profondément humaine => apprendre, s’adapter, travailler ensemble.

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Bambinosit, un modèle tunisien qui s’exporte

20. Dezember 2025 um 09:15

Bambinosit n’est pas née d’un plan de tableur ni d’un effet de mode. Le projet s’est construit progressivement, au contact du réel. En 2019, la plateforme apparaît d’abord sur les réseaux sociaux. Deux ans plus tard, une application web voit le jour, suivie en juillet 2024 par une version mobile Android. Entre-temps, peu de moyens, environ 500 dinars investis, mais du temps, de l’observation et une conviction: les services à la personne méritent mieux que l’improvisation.

À l’origine de la startup, Nivine Mussa, entrepreneure tunisienne d’origine tuniso-égyptienne. Son idée est simple dans sa formulation, plus complexe dans son exécution: créer un cadre fiable et structuré pour la garde d’enfants et l’accompagnement à domicile, en s’appuyant sur le digital.

La plateforme met en relation les familles avec des intervenantes qualifiées à savoir des baby-sitters, nounous, aides à domicile, accompagnantes de personnes âgées, soutien scolaire ou pet-sitting. Les parents définissent précisément leurs besoins, consultent des profils vérifiés et choisissent. Les intervenantes, elles, peuvent accepter, refuser ou négocier. Le paiement en ligne avec GPGcheckout est intégré. Et le parcours est balisé.

Ce qui distingue Bambinosit, c’est moins la promesse que le processus. Les profils passent par plusieurs étapes de validation, souvent issus de formations en santé ou en petite enfance, parfois recommandés par des établissements partenaires (université centrale par exemple). Aujourd’hui, plus de 10 000 intervenantes sont référencées sur la plateforme. La technologie n’est pas une fin en soi, mais un levier. Un système de “smart matching”, intégrant progressivement l’intelligence artificielle, est en cours de développement afin d’affiner la correspondance entre les attentes des familles et les compétences des intervenantes.

Comme beaucoup de projets nés en Tunisie, le parcours n’a rien de linéaire. Les obstacles administratifs, la lenteur des procédures et un financement arrivé tardivement ont jalonné les premières années. Des programmes d’accompagnement ont permis de structurer le projet, avant l’obtention d’un appui financier local et international, plusieurs années après le lancement.

Aujourd’hui, Bambinosit dépasse les frontières tunisiennes. La solution est déployée au Caire et au Maroc, avec un modèle pensé pour s’adapter aux réalités locales. Concrètement, l’application est accessible aux utilisateurs installés hors de Tunisie. En été, près de la moitié des utilisateurs sont des Tunisiens résidant à l’étranger, en quête de solutions fiables lors de leurs retours au pays. 

La vision, elle, reste sobre et assumée: faire de Bambinosit une référence internationale des services à la personne, et, à terme, un écosystème “educare”. Un projet construit dans la durée.

Mot de fin! «Entreprendre, ce n’est jamais une ligne droite», résume sa fondatrice. «On tombe, on doute, on recommence. Mais quand le projet a du sens, chaque difficulté devient une leçon

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Amadeus rassemble le secteur du voyage tunisien autour d’une vision digitale commune

19. Dezember 2025 um 16:19

Dans un contexte où l’innovation technologique redéfinit en profondeur l’industrie du voyage, Amadeus Tunisie, filiale du groupe Tunisair, spécialisée dans la fourniture de solutions technologiques avancées pour les acteurs du voyage et du tourisme, a organisé une rencontre stratégique autour du thème : « L’écosystème du voyage au cœur de la transformation digitale ». L’évènement a réuni les représentants d’Amadeus Tunisie, des experts d’Amadeus IT Group etdes agences de voyage afin de débattre des mutations en cours et des solutions qui façonneront la prochaine étape du secteur du voyage dans le monde.

Une stratégie fondée sur les produits, les compétences et l’évolution commerciale

Ouvrant les travaux, Fakher Ben Saïd, chargé de la direction générale d’Amadeus Tunisie, a présenté la feuille de route de l’entreprise, reposant sur trois piliers : les produits, la formation et l’offre commerciale. Il a rappelé que cette stratégie passe notamment par l’accélération du standard NDC-X, la montée en puissance des solutions robotiques et le développement des canaux en ligne. Sur le volet formation, il a insisté sur « l’intégration du module Amadeus dans le cursus universitaire et la création d’un centre de compétence End-to-End », avec l’ambition de bâtir un réservoir national de compétences certifiées. Sur le plan commercial, Amadeus Tunisie a confirmé son passage à une tarification par package, avec une ristourne désormais calculée par paliers selon les objectifs réalisés par ses agences de voyage partenaires.

Un partenariat renforcé avec les acteurs du secteur

Pour Ahmed Bettaieb, président de la FTAV, cette dynamique doit s’appuyer sur une collaboration élargie : « L’objectif est d’établir un vrai partenariat apportant une valeur ajoutée au secteur du voyage. Les techniciens de la FTAV sont pleinement engagés dans cette démarche », a-t-il déclaré à l’ouverture des débats.

L’évolution du métier et l’impact de l’IA au cœur des débats

Lors de son intervention, Jamel Chandoul, vice-président – Travel Sellers META & EMEA Partner Marketsd’Amadeus IT Group, a rappelé que la pandémie a joué un rôle d’accélérateur majeur : « La Covid-19 a accéléré la transformation du secteur et des comportements des voyageurs. » Il a souligné que les clients exigent désormais une expérience “sans friction, notamment dans les aéroports où le niveau de stress est particulièrement élevé, une personnalisation accrue et une transparence totale, tandis que l’IA s’impose comme « un investissement majeur d’Amadeus » et un levier essentiel pour gérer la fragmentation du marché.

Fabrice Pelissier, Director Innovation and KnowledgeManagement d’Amadeus IT Group, a insisté pour sa part sur la nécessité de développer un voyage plus responsable, avec « l’affichage de l’empreinte carbone » et la conception d’offres éthiques. Il a également rappelé que l’IA « accélère le cycle d’innovation » en permettant une validation rapide des idées et prototypes.

De son côté, Haythem El Mir, spécialiste en cybersécurité et directeur général de Keystone, a mis en garde contre les défis émergents : « L’enjeu clé de l’avenir est d’instaurer une confiance numérique totale. » L’expert a souligné que l’IA est désormais utilisée autant pour détecter les fraudes que pour mener des cyberattaques, estimant qu’elle constitue « une obligation qui s’impose, et non un choix ».

Entre opportunité et menace : la vision des agences

Lors d’un échange d’expériences avec les agences de voyage tunisiennes, Khaled Drira, directeur général d’Active Travel, a estimé que l’IA représente un tournant décisif : « Le secteur des agences est confronté à une menace réelle, car l’IA peut potentiellement remplacer l’expertise et le conseil traditionnels », a –t-il prévenu, soulignant néanmoins le fait qu’elle constitue « une opportunité qui augmente la performance des équipes », recentrant le rôle de l’agent sur la relation humaine et la fidélisation du client.

De son côté, Marwen Razgallah, directeur général de Spring Travel Services, agence ayant intégré dès ses débuts les technologies numériques, a estimé que la digitalisation complète du parcours client reste entravée en Tunisie, en raison notamment de l’absence d’un écosystème de soutien au niveau réglementaire ou bancaire.

Innovation, IA et voyage responsable : les solutions avancées par Amadeus

Les équipes d’Amadeus ont saisi l’opportunité de la présence des principales agences de voyage en Tunisie pour présenter les innovations en cours, notamment à travers Myriam Soukouna, Products & Solutions Manager – Amadeus IT Group, qui a expliqué les trois axes majeurs de digitalisation : expérience client, automatisation des processus et connectivité. Elle a obtenu une attention particulière en dévoilant Amadeus Hey, la nouvelle plateforme intelligente tout-en-un capable d’interagir avec les voyageurs avant, pendant et après leur déplacement.

Vers un écosystème plus intégré et plus agile

Cette rencontre a confirmé qu’Amadeus souhaite accompagner de manière concrète l’évolution du secteur en Tunisie, en misant sur la technologie, le renforcement des compétences et la modernisation des modèles économiques.
La transformation digitale — désormais incontournable — devra se construire en partenariat étroit entre les agences, les institutions et la technologie, pour répondre aux nouvelles attentes des voyageurs et consolider la compétitivité du marché national.

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Trois startups tunisiennes parmi les finalistes du programme Qualcomm « Make in Africa » 2025

19. Dezember 2025 um 15:42

Qualcomm Technologies Inc. célèbre le succès de la troisième édition annuelle de son programme de mentorat pour startups « Make in Africa » (QMIA), couronnée par la finale virtuelle. Cette initiative témoigne de l’engagement à long terme de Qualcomm en faveur de l’écosystème d’innovation dynamique de l’Afrique, dans le cadre de la plateforme Qualcomm Africa Innovation Platform. 

Initiative phare de Qualcomm, ce programme sans prise de participation met en lumière la créativité et la détermination des entrepreneurs africains qui exploitent des technologies de pointe telles que l’IA, la 4G/5G, la robotique, la connectivité et l’IoT pour relever des défis concrets et pressants. 

Pour cette troisième édition, le programme reste fidèle à sa mission d’accélérer la croissance des startups “tech” émergentes en leur offrant un mentorat individuel, un accompagnement commercial personnalisé, des consultations d’experts en ingénierie et des conseils expert en protection de la propriété intellectuelle. La formation en ligne L2Pro Africa de Qualcomm est notamment mise à disposition des startups gratuitement. Ce soutien global permet aux entrepreneurs de transformer leurs idées visionnaires en solutions durables et prêtes pour le marché. 

« La cohorte de cette année a fait preuve d’une ingéniosité incroyable, transformant des défis complexes en solutions technologiques évolutives qui auront un impact social et économique à travers le continent », a déclaré Elizabeth Migwalla, Vice-présidente des affaires gouvernementales internationales, Qualcomm Incorporated. 

« L’innovation est le moteur de l’avenir de l’Afrique, et les startups de cette année en sont une brillante démonstration. L’Union africaine des télécommunications (UAT) est fière de s’être associée à Qualcomm pour le programme Make in Africa de cette année », a déclaré John Omo, Secrétaire général de l’UAT. « Ensemble, nous œuvrons à l’harmonisation des politiques de gestion du spectre, des normes régionales et des pratiques en matière de de données ouvertes (open data), mais nous savons que le véritable progrès repose sur un soutien à grande échelle. C’est pourquoi nous appelons les gouvernements, les universités, les investisseurs et l’industrie à soutenir ces initiatives… Et de manière plus générale, toute entreprise qui place l’ingéniosité africaine au premier plan. » 

La cohorte 2025 comprend les startups innovantes suivantes : 

  • AmalXR (Tunisie) : Propose des séances de rééducation virtuelle alimentées par l’IA sur des appareils du quotidien, permettant aux patients et cliniciens de suivre facilement les progrès.  
  • Ecobees (Tunisie) : Développe des moniteurs de ruches intelligents et une plateforme numérique pour obtenir des informations en temps réel sur la santé des ruches, afin de protéger les abeilles et les cultures qui en dépendent.  
  • Pixii Motors (Tunisie) : Conçoit des scooters électriques dotés de batteries intelligentes pouvant être échangées dans des stations locales, visant à révolutionner la mobilité urbaine. 
  • Aframend (Nigéria) : Utilise l’IA pour explorer les plantes médicinales africaines à des fins de découverte de nouveaux médicaments et vise à transformer les remèdes locaux en traitements sûrs et abordables contre les maladies.  
  • Archeos (Bénin) : Automatise la pisciculture grâce à des capteurs et distributeurs d’aliments à énergie solaire, fournissant des données en temps réel sur la qualité de l’eau et les niveaux d’alimentation pour améliorer la santé des poissons.  
  • ClimatrixAI (Nigéria) : Conçoit et installe des stations météorologiques et d’alerte aux inondations connectées avec une plateforme d’IA pour prévoir les risques rue par rue, renforçant les alertes précoces et la réponse aux catastrophes pour les communautés locales.  
  • Edulytics (Sénégal) : Applique l’IA sur des appareils d’échographie portables pour la détection précoce des maladies du foie, dans le but de rendre ce dépistage spécialisé largement accessible.  
  • Farmer Lifeline (Kenya) : Déploie de petits appareils à énergie solaire qui scannent les champs à la recherche de parasites et de maladies, qui et envoient des alertes directement sur les téléphones des agriculteurs pour protéger les cultures.  
  • Pollen Patrollers (Kenya) : Une startup agritech dirigée par des femmes utilisant la technologie de ruches connectées et l’IA pour maintenir les colonies d’abeilles en bonne santé. 
  •  Solar Freeze (Kenya) : Fournit des chambres froides avec surveillance à distance, fonctionnant à l’énergie solaire et permettant aux agriculteurs de conserver la fraîcheur des fruits et légumes et d’augmenter leurs revenus.  

Farmer Lifeline, lauréat du Fonds d’impact social Wireless Reach 

Cette année, c’est Farmer Lifeline, une startup kenyane, qui remporte le Fonds d’impact social Wireless Reach. Ce fonds annuel, parrainé par l’initiative Qualcomm® Wireless Reach™, valorise l’utilisation innovante de la connectivité sans fil pour répondre aux besoins urgents des communautés. Farmer Lifefine bénéficiera d’un financement dédié ainsi que d’un soutien technique personnalisé pour déployer sa solution à plus grande échelle. 

« Farmer Lifeline s’est distingué par une technologie innovante permettant aux exploitants locaux de scanner leurs champs pour protéger leurs cultures, augmenter leurs rendements et améliorer leur sécurité alimentaire », a déclaré Erica Ciaraldi, Vice-présidente, Wireless Reach, Qualcomm Incorporated. « Leur approche visionnaire et leur dévouement à la résilience agricole les ont positionnés comme leaders dans leur domaine, générant un changement significatif et inspirant pour les agriculteurs locaux. Ce fonds leur permettra d’amplifier davantage leur impact, favorisant une portée plus large et une influence plus profonde à travers l’Afrique et le monde. » 

En reconnaissance des innovations remarquables démontrées par tous les finalistes, ils recevront chacun une allocation de $5000 destinée à accélérer leur croissance, soutenir leur développement stratégique et protéger leur propriété intellectuelle. Ce soutien global témoigne de l’engagement de Qualcomm à favoriser l’innovation et à garantir que ces projets visionnaires puissent prospérer durablement. 

Lancement du programme de mentorat Qualcomm Make in Africa 2026 

Suite au succès considérable des années précédentes, Qualcomm lancera une quatrième édition du programme en 2026, renforçant encore davantage le soutien aux startups en encourageant le prototypage rapide avec des plateformes telles qu’Arduino en combinaison avec l’intégration IA/ML et la collaboration open source. 

Les canditats sont invités à se rendre sur le site Web de Qualcomm pour plus d’informations et postuler. 

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Leila Ben Hassen, Founder & CEO de Blue Jay Communication Ltd: “Pour réussir la transition bleue, il faut des lois, des données et une vision”

Von: Managers
19. Dezember 2025 um 15:41

De l’ONTT, où elle “vendait la destination Tunisie” aux Britanniques, à la défense des océans: le parcours de Leila Ben Hassen dessine une même ligne d’horizon. Originaire de l’archipel de Kerkennah, elle a fait de la mer son moteur et sa cause. Founder& CEO de Blue Jay Communication Ltd, elle milite pour une économie bleue régulée, numérique et équitable, qui garantisse aux générations futures un droit réel à un développement durable. Avec une vision lucide et opérationnelle, elle appelle États africains et secteur privé à passer du discours à l’architecture concrète d’un modèle inclusif.

Pouvez-vous revenir sur vos débuts et sur le contexte dans lequel s’inscrit votre contribution au «Livre bleu»?

J’ai eu l’honneur d’être l’une des coauteures du «Livre bleu» intitulé «L’avenir de la main-d’œuvre dans une économie océanique durable». Ce document a été commandé par le World Resources Institute, qui assure le secrétariat du Panel de haut niveau pour une économie océanique durable (Ocean Panel), un groupe de réflexion rassemblant dix-huit chefs d’État décidés à anticiper les enjeux du changement climatique, de l’acidification des océans et de la durabilité des ressources marines. Chaque année, ce panel publie deux rapports thématiques et fait appel à des experts pour élaborer des recommandations concrètes. C’est dans ce cadre que nous avons été sollicités pour réfléchir à l’avenir de la «main-d’œuvre bleue».

Quelle était la finalité de ce rapport et en quoi sa portée dépasse-t-elle le simple diagnostic?

L’économie bleue est à un véritable tournant. Avec près de 90% du commerce mondial passant par la mer, la durabilité de sa main-d’œuvre devient un enjeu planétaire. Repenser la formation, intégrer la technologie et garantir une transition équitable et inclusive: telles sont les conditions d’une économie océanique prospère et durable. L’objectif était de dresser une cartographie mondiale des emplois liés aux secteurs océaniques, afin d’identifier les compétences nécessaires à l’horizon 2030 et 2050. L’économie bleue englobe aussi bien les secteurs traditionnels: pêche, aquaculture, transport maritime, tourisme, que des domaines émergents comme la R&D, l’intelligence artificielle, la communication ou la gouvernance environnementale. Même dans des filières historiques, comme le transport maritime, les mutations sont profondes: digitalisation, innovations écoresponsables, nouveaux matériaux… Chaque avancée technologique engendre de nouveaux métiers et impose une adaptation continue des compétences à l’échelle mondiale.

Comment avez-vous structuré votre travail et quelles ont été les grandes étapes de la recherche?

Nous étions trois coauteurs, deux Américains et moi-même en tant qu’experte africaine, et avons structuré le rapport en trois volets. D’abord, une évaluation mondiale de la main-d’œuvre bleue; ensuite, une analyse prospective menée avec des experts internationaux pour anticiper les besoins et mutations à venir; enfin, une vision stratégique à l’horizon 2030 et 2050, assortie de recommandations concrètes pour une transition durable et inclusive. En effet, la neutralité carbone ne pourra être atteinte qu’avec des travailleurs formés, stables et en bonne santé: la durabilité commence par l’humain. Le principal obstacle reste l’absence de données fiables. Sans base de référence solide, il est impossible de planifier. Peu de pays disposent d’«OceanAccounts» intégrant les dimensions économiques, sociales et environnementales des océans. Entre réticence à partager l’information, manque d’accès numérique et déficit de volonté politique, la transparence demeure un défi majeur, pourtant essentiel pour anticiper les compétences de demain.

Peut-on déjà affirmer qu’avec la transition vers une économie bleue durable, certains métiers vont disparaître tandis que d’autres émergeront? Et dans ce contexte, quel rôle les entreprises peuvent-elles jouer en matière de reconversion professionnelle?

Le secteur privé a une responsabilité essentielle dans la transformation de la main-d’œuvre bleue. Ce sont les grandes entreprises qui impulsent le changement, car elles constituent le moteur de l’économie mondiale. Leur rôle ne se limite pas à créer de l’emploi: elles doivent incarner la durabilité, être transparentes dans leur politique ESG (Environnement, Social, Gouvernance) et partager les données relatives à leur impact. La durabilité commence à l’intérieur même de l’entreprise. La transformation doit se faire à tous les niveaux. Face à l’innovation, à l’intelligence artificielle et aux défis climatiques, les entreprises doivent adapter en permanence les compétences de leurs équipes par la formation, le perfectionnement et la reconversion. L’IA n’est pas une menace, mais un levier d’efficacité qui libère du temps pour des activités à plus forte valeur ajoutée. Investir dans le capital humain n’est pas un coût, c’est une stratégie d’avenir. Aujourd’hui, l’économie océanique formelle emploie 133 millions de personnes dans le monde.

Mais d’ici 2050, nous faisons face à un véritable tournant:

* Dans un scénario d’océan durable, l’emploi pourrait augmenter de 51 millions, pour atteindre 184 millions de postes.

* Dans un scénario de transition bloquée, si les progrès ralentissent ou s’interrompent, nous pourrions perdre 40 millions d’emplois, ramenant le total à seulement 91 millions.

Les choix que nous faisons aujourd’hui détermineront si l’économie océanique de 2050 sera durable, équitable et réellement au service de tous.

Au-delà des entreprises et des gouvernements, quels autres acteurs peuvent contribuer à cette transition?

Les organisations intergouvernementales, comme l’Organisation internationale du travail (OIT), ont un rôle clé à jouer. Elles contribuent à façonner l’avenir de la main-d’œuvre mondiale et à harmoniser les politiques d’emploi durable.

Les ONG et la société civile, quant à elles, sont des partenaires indispensables: elles sont sur le terrain, au contact direct des communautés côtières, et peuvent remonter des informations précieuses aux décideurs. Leur expérience concrète doit nourrir les politiques publiques et les stratégies privées. Les institutions financières jouent également un rôle déterminant: elles orientent les flux de capitaux et peuvent accélérer ou freiner la transition bleue. En conditionnant les investissements à des critères de durabilité, elles ont le pouvoir d’imposer des normes, de réduire les risques et de financer des projets réellement transformateurs.

Et le monde académique dans tout cela?

Le rôle du monde académique est essentiel. Notre rapport révèle un écart profond entre la formation et les besoins réels et futurs du marché. Les programmes doivent être repensés et la collaboration renforcée entre gouvernements, entreprises, institutions et société civile pour bâtir une main-d’œuvre bleue résiliente, qualifiée et capable de répondre aux défis de 2030 et 2050. En Afrique, plusieurs universités maritimes notamment en Afrique du Sud, au Ghana, au Kenya ou encore en Tunisie collaborent de plus en plus avec les ministères, les acteurs industriels, les autorités portuaires et les ONG. Elles développent des programmes sur la sécurité maritime, l’économie bleue, la gestion des pêches, l’observation des océans et la logistique portuaire.

Une telle coopération ne peut pas naître spontanément, elle doit être impulsée. Selon vous, qui doit prendre le leadership dans cette collaboration nécessaire à la réussite de la transition bleue?

Pour moi, tout commence par les règles et cadres réglementaires. Gouvernements, secteur privé, organisations internationales et société civile doivent agir. Sans loi, la bonne volonté seule ne suffit pas. Lorsque les règles existent et sont appliquées, tout se structure naturellement. Les gouvernements et institutions internationales jouent donc un rôle central. Les Nations unies, par exemple, ont fixé 17 Objectifs de développement durable. Mais les atteindre suppose de créer des espaces de collaboration et de réunir tous les acteurs autour d’une même table. Des initiatives existent, mais elles restent fragmentées. Il faut désormais une coordination institutionnelle forte pour donner une direction claire et fédérer les énergies. L’océan est un espace partagé par une multitude d’acteurs: transport maritime, pêche, tourisme, exploitation offshore du pétrole et du gaz, sans oublier l’essor rapide des énergies marines renouvelables comme l’éolien en mer. Sans règles claires, outils de gouvernance et cadres réglementaires solides, ces activités risquent d’entrer en concurrence, de se chevaucher et de dégrader les écosystèmes dont elles dépendent. Protéger la biodiversité marine devient alors impossible sans une gestion durable et structurée des ressources océaniques. La bonne nouvelle, c’est que les outils existent déjà: la planification de l’espace maritime (MSP), les aires marines protégées (AMP) et les plans océaniques durables (SOP). L’enjeu aujourd’hui n’est pas d’en créer de nouveaux, mais de s’assurer qu’ils sont effectivement appliqués, respectés et régulièrement suivis. Ce n’est qu’à cette condition que nous pourrons garantir une économie bleue équilibrée, productive et réellement durable.

Vous défendez une «transition bleue» réellement inclusive. Comment la rendre concrète, notamment pour les femmes?

La durabilité exige l’inclusion; pourtant, les femmes représentent moins de 2% des emplois maritimes. L’économie bleue n’est pas qu’une affaire de technologies ou d’échanges, elle est d’abord humaine. Il faut agir sur plusieurs leviers: encourager les candidatures féminines, lever les freins pratiques et culturels, mobiliser les institutions pour sensibiliser et valoriser celles qui sont déjà dans la filière. Des avancées existent, mais elles restent insuffisantes. Donnons aux femmes toute leur place dans cette économie d’avenir. Investir dans les compétences et le bien-être, c’est investir dans le futur. Aux gouvernements d’installer un cadre incitatif; aux entreprises d’ancrer la performance dans l’ESG. Le rapport rappelle aussi les «femmes invisibles» de la pêche et de l’aquaculture, souvent sans statut ni protection. Les reconnaître, c’est les intégrer à l’économie formelle et renforcer la résilience du secteur. Aucune transition durable ne peut s’écrire en excluant la moitié de l’humanité. Selon la FAO, formaliser les femmes de la pêche et de l’aquaculture pourrait augmenter la productivité des filières de 20 à 30%. L’inclusion n’est pas un slogan: c’est un levier économique.

Si vous deviez aujourd’hui recommander trois priorités stratégiques aux gouvernements et aux entreprises africaines pour accélérer le développement de l’économie bleue, quelles seraient-elles?

D’abord, digitaliser les infrastructures pour que les communautés locales accèdent équitablement à l’information et aux opportunités de l’économie bleue. Ensuite, assurer une transition réellement inclusive en replaçant la durabilité, souvent perçue comme une contrainte, dans son rôle de nécessité économique et sociale. Pour piloter l’action, des politiques fondées sur des données fiables et transparentes sont indispensables, avec la mobilisation d’OceanAccounts pour bâtir des stratégies robustes. À court terme, l’investissement prioritaire va à l’éducation et à la formation; à plus long terme, la finance bleue doit devenir le levier central de projets durables et inclusifs. La transition doit garantir que personne ne soit laissé de côté. Il ne s’agit pas seulement d’emplois, mais de personnes, de prospérité et de planète.

 

Propos recueillis par

Sahar Mechri & Sana Ouji Brahem

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UBCI à la première édition de « Le Bridge 25 » organisée par la CCITF : un engagement fort pour l’innovation

19. Dezember 2025 um 14:49

L’UBCI, partenaire de la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Française (CCITF), a participé à la première édition de « LeBridge25 », un événement dédié à la mise en relation des entreprises innovantes et des startups, organisé le lundi 15 décembre 2025.
Depuis plusieurs années, l’UBCI entretient une collaboration étroite et constructive avec la CCITF, fondée sur une vision commune de soutien au développement économique. En tant que partenaire financier exclusif de la CCITF, la banque joue un rôle clé dans l’accompagnement des entreprises tunisiennes souhaitant s’exporter, ainsi que des entreprises françaises désireuses de s’implanter ou de se développer en Tunisie, dans un contexte économique marqué par des défis importants et un besoin croissant de solutions concrètes.
La participation de l’UBCI à « LeBridge25 » s’inscrit pleinement dans cette dynamique. L’événement constitue un espace privilégié pour stimuler les échanges, favoriser des collaborations porteuses et connecter entreprises, startups et acteurs de l’innovation. Cette première édition a mis en lumière des discussions autour de l’open innovation, des modèles de coopération entre entreprises et startups, ainsi que des opportunités d’implantation sur le marché français pour les jeunes pousses tunisiennes. Elle a également offert une plateforme de rencontres professionnelles, destinée à faciliter les interactions directes et à multiplier les opportunités de partenariat.
Dans ce cadre, une équipe dédiée de l’UBCI a été mobilisée pour les rencontres B2B avec les entreprises et startups présentes, afin d’identifier des pistes de collaboration, notamment autour de solutions innovantes intégrant l’intelligence artificielle. Ces rencontres ont permis de détecter des opportunités concrètes en matière de financement, développement et innovation.
Convaincue que les passerelles entre les écosystèmes bancaire et entrepreneurial sont essentielles pour encourager l’investissement, l’innovation et la compétitivité, l’UBCI réaffirme son engagement à soutenir le tissu économique tunisien.

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Malte veut investir 520 millions d’euros dans une centrale solaire de 350 MW à Gafsa

19. Dezember 2025 um 12:26

Une délégation maltaise de HandsOn Systems Ltd. a annoncé, jeudi 18 décembre 2025, son intention de développer un projet d’investissement majeur en Tunisie : la construction d’une centrale solaire photovoltaïque de 350 MW dans la région de Gafsa, au sud du pays, pour un montant total estimé à 520 millions d’euros.

La visite, organisée par FIPA-Tunisia, a été l’occasion pour les représentants de la société maltaise de présenter leurs activités. HandsOn Systems Ltd. est spécialisée dans les solutions de suivi GPS et de gestion de flotte, la gestion d’actifs via RFID, les solutions énergétiques intelligentes et les plateformes IoT pour la collecte et le traitement de données. La délégation, conduite par Geoffrey Farrugia, directeur général, était accompagnée de Ahmed Marwan, directeur technique, et Marouen Ketat, directeur Afrique.

La délégation maltaise a exprimé sa satisfaction quant au climat des affaires tunisien et a réaffirmé sa volonté d’étendre ses investissements dans le pays, tout en explorant de futurs projets technologiques et énergétiques.

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15,4 millions de dinars pour financer de la transition énergétique en Tunisie

19. Dezember 2025 um 12:09

Un nouveau levier financier vient d’être réactivé pour soutenir la transition énergétique en Tunisie. L’Agence nationale pour la maîtrise de l’énergie (ANME) et la Société tunisienne de garantie (SOTUGAR) ont signé, le jeudi 18 décembre 2025, un accord de partenariat visant à remettre en service le fonds de garantie dédié aux projets d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables.
L’objectif est clair : faciliter l’accès au financement pour les entreprises qui souhaitent investir dans la maîtrise de l’énergie et les solutions énergétiques durables.

Concrètement, cet accord permet de réactiver le fonds de garantie de l’efficacité énergétique, un mécanisme existant mais resté peu mobilisé ces dernières années. Ce fonds est géré par la Société tunisienne de garantie dans le cadre d’un accord initial conclu avec l’ANME le 1er septembre 2004. Il a été mis en place pour sécuriser les prêts bancaires accordés aux projets énergétiques, en réduisant le risque supporté par les banques.

Ce dispositif a été créé dans le cadre d’un projet pilote d’efficacité énergétique, financé par le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) en coopération avec la Banque mondiale. Il visait à soutenir les projets de maîtrise de l’énergie réalisés par les industriels, notamment via les sociétés de services énergétiques, un modèle encore peu connu mais stratégique pour améliorer la performance énergétique des entreprises.

Aujourd’hui, le fonds dispose d’une enveloppe financière estimée à 15,4 millions de dinars. Grâce à la nouvelle convention, ces ressources seront réaffectées au financement de projets liés à la transition énergétique, sous forme de crédits à moyen et long terme. Un plafond d’engagement sera fixé afin de préserver l’équilibre financier et assurer la pérennité du fonds.

Au-delà des chiffres, cette initiative apporte une réponse concrète à un frein majeur rencontré par les entreprises : la difficulté d’accéder au crédit pour des projets énergétiques souvent perçus comme risqués ou à retour sur investissement différé. En garantissant une partie des prêts, le fonds rassure les banques et encourage l’investissement privé dans un secteur clé.

Cette relance s’inscrit dans une vision plus large visant à accélérer la transformation du système énergétique tunisien. En soutenant l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, l’accord contribue à la réduction de la dépendance énergétique, à la maîtrise des coûts pour les entreprises et au renforcement de la résilience économique face aux chocs énergétiques.

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Lloyd Vie dépasse le seuil de 5% dans le capital de Magasin Général

19. Dezember 2025 um 10:38

Le capital de Magasin Général a enregistré un mouvement significatif, mais sans incidence sur la nature de l’actionnariat. La société MED Invest Company SA a annoncé avoir franchi à la baisse, directement, le seuil de 66,66% dans le capital de l’enseigne de distribution après la cession de 400 000 actions, soit 2,54% de son capital. Elle détient désormais 66,16% des actions de Magasin Général directement, outre 20,50% de concert.

La vente a été réalisée au profit de Lloyd Vie qui, à cette occasion, a franchi à la hausse le seuil de 5% dans le capital de la société. Il détient désormais 5,10% du capital. L’assureur agit de concert avec MED Invest Company SA, ce qui fait de ces transactions une opération blanche sur le contrôle de Magasin Général.

L’opération a pris la forme d’une transaction de bloc, réalisée le 10 décembre 2025, au prix unitaire de 9 Tnd l’action, soit 3,600 Mtnd. Il y a donc une décote de 1,6% par rapport au cours de clôture de la même journée.

Ces opérations sont au cœur de la stratégie des grands groupes. Elles facilitent les transferts de fonds, de garanties et d’actifs. Une filiale peut financer l’acquisition de parts d’une autre, ce qui permet des montages avec un apport de fonds propres initiaux limité de la part de la société mère, créant ainsi un effet de levier. Mais au bout, la structure reste toujours maintenue en réseau cohérent, appliquant une stratégie claire et en harmonie avec les autres entités.

 

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Le CMF réaffirme et précise les obligations des commissaires aux comptes

19. Dezember 2025 um 10:19

Le Conseil du marché financier (CMF) a rappelé, dans un communiqué, l’obligation de son information par les commissaires aux comptes des sociétés faisant appel public à l’épargne de tout fait susceptible de mettre en péril les intérêts de la société concernée ou ceux des porteurs de ses titres.

Sont considérés comme des faits justifiant l’information prévue par l’article 3 sexies précité, à titre indicatif et sans que cette énumération ne présente un caractère exhaustif, les situations suivantes:

– Toute violation significative des dispositions législatives, réglementaires ou administratives régissant l’activité de la société,

– L’existence d’un risque ou d’un doute sérieux concernant la continuité de l’exploitation,

– Les situations d’impossibilité pour les commissaires aux comptes d’exécuter leurs missions, telles que prévues par l’article 268 du Code des sociétés commerciales,

– Les cas de désapprobation des comptes au sens de l’article 269 du Code des sociétés commerciales,

– L’émission d’une opinion assortie de réserves, notamment lorsque celles-ci portent sur la mise en cause de la continuité d’exploitation ou de la pérennité de la société. Idem lorsqu’un ou plusieurs postes des états financiers dont l’impact, individuel ou agrégé, est significatif au regard des critères de matérialité et affecte substantiellement la représentation fidèle de la situation financière, de la performance ou des flux de trésorerie. C’est également le cas lors de l’existence de réserves récurrentes ou non régularisées, persistantes sur deux exercices consécutifs ou plus, l’insuffisance manifeste de provisions pour risques majeurs ou la non-prise en compte de passifs importants ou la constatation de transactions significatives avec des parties liées conclues à des conditions non conformes à celles du marché.

L’information du CMF par les commissaires aux comptes est transmise par tout moyen permettant d’en conserver une trace écrite. Lorsque les faits signalés se rattachent à l’émission d’une désapprobation des comptes ou à l’émission d’une opinion assortie de réserves, les commissaires aux comptes sont tenus de déposer auprès du CMF tout élément explicatif de nature à faciliter la compréhension des faits signalés. Cela devrait encore améliorer la qualité de l’information financière et aboutir à des valorisations qui reflètent, réellement, les perspectives des entreprises de la Cote.

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Attijari Bank émet une dette obligataire subordonnée de 40 Mtnd

19. Dezember 2025 um 09:45

Un autre établissement de crédit vient de se joindre à la liste des émetteurs de dettes obligataires en cette fin d’année: Attijari Bank. La banque cherche à lever 40 Mtnd, sous la forme d’un emprunt obligataire subordonné, et ce, sans appel public à l’épargne. Le conseil d’administration a été autorisé par l’Assemblée générale ordinaire du 4 avril 2025 à émettre jusqu’à 300 Mtnd sur trois exercices.

Une seule catégorie est proposée, avec une valeur nominale de 100 Tnd par titre de créance. La durée est de 5 ans, remboursement in fine et taux variable de TMM + 1,94% (brut).

Le TMM correspond à la moyenne arithmétique des douze derniers taux moyens mensuels du marché monétaire tunisien publiés précédant la date de paiement des intérêts. Les mois à considérer vont du mois de janvier de l’année N-1 au mois de décembre de l’année N-1. Les paiements annuels des intérêts seront effectués à terme échu le 31 décembre de chaque année.

Les souscriptions à cet emprunt seront lancées le mardi 23 décembre 2025 et seront clôturées, au plus tard, le 31 décembre. Elles peuvent être clôturées sans préavis dès que le montant maximum de l’émission est intégralement souscrit, ce qui serait le cas très rapidement. Certes, l’opération a été bien préparée par avance et les filiales du groupe ont déjà préparé la trésorerie pour assurer la souscription dès la première journée.

L’objectif de l’émission est clair, à savoir le renforcement des fonds propres et l’amélioration des ratios de solvabilité et de concentration des risques.

 

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L’Égypte a-t-elle vraiment augmenté ses frais de visa ?

19. Dezember 2025 um 08:14

Depuis plusieurs jours, des informations circulent faisant état d’une hausse des frais de visas d’entrée en Égypte, évoquant un passage de 25 à 45 dollars. Ces annonces, largement relayées sur certains sites et réseaux sociaux, ont suscité des interrogations chez les voyageurs et les professionnels du tourisme. Face à cette confusion, le ministère égyptien du Tourisme et des Antiquités a tenu à clarifier officiellement la situation. 

Dans un communiqué publié début décembre 2025, le ministère affirme qu’aucune augmentation des frais de visa n’est actuellement appliquée. Les autorités démentent formellement les informations faisant état d’un changement immédiat des tarifs et précisent qu’aucune décision exécutive n’a été adoptée en ce sens. Selon le communiqué, ces rumeurs reposent sur une interprétation erronée de récentes évolutions législatives .

Le cadre de cette polémique est lié à la loi n°175 de 2025, récemment publiée au Journal officiel. Ce texte prévoit la possibilité de fixer un plafond maximal pour certains frais de visa et services consulaires. Toutefois, le ministère insiste sur un point essentiel : ce plafond ne signifie pas une hausse automatique des prix. Il s’agit d’un cadre légal qui ne devient effectif qu’en cas de décisions réglementaires ultérieures, lesquelles n’ont pas encore été prises .

Sur le terrain, aucun changement n’a été constaté. Les frais en vigueur demeurent de 25 dollars pour un visa touristique à entrée unique et de 60 dollars pour un visa à entrées multiples. Ces montants s’appliquent aussi bien aux visas délivrés à l’arrivée qu’à ceux demandés via le portail officiel de l’e-Visa ou auprès des représentations diplomatiques égyptiennes. 

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Wafacash Tunisie élue Service Client de l’Année 2026 pour la deuxième année consécutive

19. Dezember 2025 um 08:06

Pour la deuxième année consécutive, Wafacash Tunisie est distinguée par le label «Service Client de l’Année 2026» dans la catégorie «Établissement de paiement & transfert d’argent». Cette reconnaissance vient souligner la progression remarquable de l’entreprise depuis son implantation en Tunisie en 2022 et confirme son rôle majeur dans le paysage de l’inclusion financière.

Une performance portée par une organisation solide

Cette distinction est le fruit d’un travail structuré reposant sur des processus performants, une gouvernance orientée résultats et une dynamique permanente d’innovation et d’amélioration continue. En plaçant la satisfaction client au cœur de sa stratégie, Wafacash Tunisie consolide un modèle opérationnel robuste, reconnu aujourd’hui par cette consécration renouvelée. Pour M. Mehdi Hajji, directeur général de Wafacash Tunisie: «Ce trophée incarne notre vision d’une finance accessible, inclusive et simple. Nous avons mis l’Humain au centre de notre stratégie et cette distinction récompense l’engagement collectif de nos équipes et notre volonté constante d’offrir une expérience client irréprochable».

Une mission au service de l’accessibilité financière

Wafacash Tunisie œuvre au quotidien pour faciliter l’accès aux services financiers pour tous. L’entreprise propose une gamme de services simples répondant aux besoins essentiels des citoyens, incluant l’ouverture de comptes de paiement, les transferts d’argent nationaux et internationaux, ainsi que le règlement gratuit des factures Steg, Sonede et Topnet, sans oublier le paiement des échéances Advans.

Grâce à un réseau de partenaires internationaux tels que Western Union, MoneyGram, RIA, Sendwave, WorldRemit, My Easy Transfer, TapTap Send, Remitly et MovePayment, Wafacash Tunisie renforce également les liens entre la diaspora tunisienne et leurs proches, en garantissant des transferts rapides, fiables et sécurisés.

Perspectives 2026: innovation et développement

Après une année 2025 axée sur la consolidation, Wafacash Tunisie aborde 2026 avec une vision ambitieuse: accélérer son développement, renforcer la digitalisation de ses services et contribuer à la construction d’un écosystème financier moderne, inclusif et connecté.

Pour plus d’informations :

LinkedIn: Wafacash Tunisie

Facebook: Wafacash Tunisie

Instagram: Wafacash Tunisie

Site web: www.wafacash.tn

Centre de relation client: 36 03 18 18

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Sotuver cède plus de 40% de son capital…

18. Dezember 2025 um 17:01

La Société tunisienne de verreries (Sotuver) vient d’annoncer que ses actionnaires de référence ont signé le 16 décembre 2025 la documentation contractuelle pour la cession de 41,28 % de son capital à B.A Glass BV, société du groupe BA Glass, l’un des principaux acteurs mondiaux de l’industrie de l’emballage en verre.

Actuellement, la Compagnie Financière d’Investissement, agissant de concert avec des personnes physiques et morales du groupe Bayahi, détient 82,56 % du capital de Sotuver.

Cette opération s’inscrit dans le cadre d’une revue stratégique de l’actionnariat, visant à accompagner le développement à long terme de l’entreprise, renforcer sa structure financière et soutenir ses perspectives de croissance.

La réalisation effective de la cession reste soumise aux conditions suspensives usuelles, notamment l’obtention des autorisations réglementaires nécessaires. Sotuver a précisé qu’elle tiendra le marché informé de toute évolution significative relative à cette opération, conformément à la réglementation en vigueur.

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Changements à la direction des Sicav BH Obligataire et Capitalisation

18. Dezember 2025 um 15:45

Le paysage des fonds d’investissement en Tunisie connaît un léger remaniement. La Sicav BH Obligataire et la Sicav BH Capitalisation ont récemment annoncé la nomination de nouveaux dirigeants à leur tête, selon un communiqué publié par la Commission des Marchés Financiers (CMF).

À la Sicav BH Obligataire, Sonia Belhaj succède à Lotfi Ben Hamouda en tant que Directrice Générale. Cette décision, prise lors du Conseil d’Administration du 11 juillet 2025, a été officialisée le 28 août 2025 auprès de la recette des finances de la Charguia, à Tunis.

De son côté, la SICAV BH Capitalisation nomme Hichem Zenaidi au poste de Directeur Général, en remplacement de Imen Ben Slimene. Cette décision, prise le 23 septembre 2025, a été enregistrée officiellement le 7 novembre 2025.

 

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UE: ce qui change pour les demandeurs d’asile d’ici à 2026

18. Dezember 2025 um 15:29

Le Parlement européen a validé cette semaine un durcissement notable de la politique migratoire de l’UE. Deux textes viennent d’être adoptés, créant une liste officielle de « pays d’origine sûrs » (POS) , à savoir la Tunisie, le Maroc, l’Égypte, l’Inde,  le Bangladesh, la Colombie et le Kosovo.

Portées par une alliance entre droite et extrême droite, ces mesures ouvrent la voie à des renvois vers des pays tiers considérés comme sûrs.

L’objectif? Est donc d’accélérer le traitement des demandes d’asile jugées infondées et faciliter le retour des personnes originaires de ces pays. Concrètement, l’Union européenne veut réduire le temps d’examen des dossiers et limiter la présence prolongée sur son territoire des candidats peu susceptibles d’obtenir le statut de réfugié.

Autre volet controversé: la création de centres de traitement des demandes d’asile en dehors de l’UE, par exemple en Albanie, financés par l’Union. 

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Ooredoo élue Service Client de l’Année 2026 pour la 7ᵉ fois consécutive

18. Dezember 2025 um 12:32

Ooredoo Tunisie confirme une nouvelle fois son leadership en matière d’expérience client en étant élue Service Client de l’Année 2026, et ce, pour la septième année consécutive.

Cette distinction prestigieuse récompense l’engagement constant de l’opérateur à placer le client au cœur de sa stratégie, à travers une approche fondée sur l’écoute, la proximité et l’excellence opérationnelle.

Lors de cette édition, Ooredoo s’est distinguée dans trois catégories majeures: les services de téléphonie mobile et fixe, les services d’accès à Internet, ainsi que les solutions de télécommunications dédiées aux entreprises. Une reconnaissance transversale qui illustre la cohérence et la solidité du modèle de relation client déployé par Ooredoo sur l’ensemble de ses segments.

Le label Élu Service Client de l’Année (ESCDA) est une référence internationale en matière d’évaluation de la qualité de service. Basé exclusivement sur des tests clients mystères réalisés selon un protocole rigoureux, indépendant et identique pour tous les acteurs du marché, ESCDA mesure la performance réelle des services clients sur des critères clés tels que l’accessibilité, la réactivité, la qualité des réponses et la relation humaine. Ce dispositif garantit une évaluation objective, fondée sur l’expérience vécue par les clients.

Commentant cette nouvelle distinction, Mansoor Rashid Al-Khater, CEO de Ooredoo Tunisie, a déclaré: «Être élu Service Client de l’Année pour la septième fois consécutive est une reconnaissance forte, car elle émane directement de l’expérience réelle de nos clients. Elle reflète l’engagement remarquable de nos équipes, leur sens des responsabilités et leur volonté constante d’offrir une expérience de qualité, fondée sur la confiance, la proximité et l’excellence. Chez Ooredoo, nous considérons cette distinction non comme un aboutissement, mais comme une motivation supplémentaire pour continuer à élever nos standards et anticiper les attentes de nos clients».

Au-delà du trophée, cette récompense confirme la pertinence des investissements de Ooredoo dans ses talents, ses outils digitaux et l’amélioration continue de ses parcours clients. Elle traduit également la mobilisation quotidienne de femmes et d’hommes engagés à offrir une expérience fluide, humaine et performante, au service des particuliers comme des entreprises.

Avec cette septième consécration, Ooredoo réaffirme son ambition: faire de la qualité de service un pilier durable de sa relation avec ses clients et un levier clé de création de valeur à long terme.

 

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LLOYD Assurances Élu Service Client de l’Année 2026

18. Dezember 2025 um 12:26

Le 16 décembre 2025, lors de la cérémonie de l’Élection du Service Client de l’Année 2026, LLOYD Assurances s’est vu attribuer le label Élu Service Client de l’Année 2026 dans la catégorie «Assurance».

Ce label repose sur une évaluation indépendante conduite par IPSOS, partenaire barométrique de l’étude. L’enquête s’appuie sur une méthodologie rigoureuse, reconnue à l’échelle internationale, visant à mesurer de manière objective la performance des entreprises en matière de service client. Dans ce cadre, cinq canaux majeurs de la relation client ont été analysés, à savoir: Téléphone, E-mail ou formulaire, Réseaux sociaux, Navigation internet et Visite physique.

Au total, 165 clients mystères ont été mobilisés afin de tester les dispositifs de LLOYD Assurances dans des conditions réelles. Entre 10 à 15 critères par canal ont été passés au crible, couvrant notamment la disponibilité des équipes, la qualité de l’écoute, la clarté et la fiabilité des réponses fournies, ainsi que la fluidité globale de la prise en charge. Le résultat obtenu traduit une maîtrise opérationnelle solide et une organisation orientée vers l’efficacité, la cohérence et la satisfaction client.

Au-delà du résultat, cette reconnaissance met en lumière la maturité des parcours clients développés par LLOYD Assurances, pensés pour offrir une expérience homogène, accessible et rassurante, quels que soient le canal utilisé ou la nature de la demande.

Au cœur de cette réussite, l’engagement des équipes apparaît comme un facteur déterminant. M. Karim Ghelala, directeur général de LLOYD Assurances, souligne à ce propos: «Si LLOYD se distingue aujourd’hui, c’est avant tout grâce à l’engagement et au professionnalisme de ses équipes. À tous les niveaux, elles ont fait preuve d’une attention sincère, d’une discipline constante et d’un sens du service qui font la différence au quotidien».

Il rappelle également que cette distinction dépasse le cadre interne de l’entreprise et s’inscrit dans une relation de confiance plus large avec les assurés: «À travers cette reconnaissance, c’est aussi un message de gratitude que nous adressons à nos clients. Leur confiance nous inspire, nous motive et nous pousse à viser toujours plus haut».

Pour LLOYD Assurances, l’obtention du titre Élu Service Client de l’Année 2026 ne marque pas un aboutissement, mais plutôt une étape dans une démarche continue. L’entreprise affirme sa volonté de maintenir cette dynamique, de renforcer durablement la proximité avec ses assurés et de poursuivre l’amélioration constante de ses standards de qualité. L’ambition affichée est claire: inscrire cette performance dans le temps et faire de l’excellence du service un levier durable de différenciation.

Cette distinction vient ainsi confirmer le positionnement du LLOYD comme un acteur attentif, engagé et résolument tourné vers l’expérience client. Elle illustre pleinement la portée de son slogan: « تهنىا للويد معاك », une promesse d’une compagnie d’assurances qui rassure autant qu’elle assure et qui se traduit concrètement dans la relation quotidienne avec ses assurés.

*Étude IPSOS – Qualimétrie – Septembre à novembre 2025 – Plus d’infos sur escda.tn

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BYD doublement vainqueur : Élu service client de l’année 2026

18. Dezember 2025 um 11:51

BYD, leader mondial des véhicules à énergie nouvelle (NEV), réalise un doublé exceptionnel en remportant le prestigieux label Élu Service Client de l’Année (ESCDA) Tunisie – Édition 2026, dans la catégorie Automobile. Cette reconnaissance de l’excellence du service client consolide la position de la marque, déjà Numéro 1 des ventes de véhicules électriques sur le marché tunisien.

L’Excellence du Service Client au Cœur de la Croissance

L’évaluation ESCDA, menée par Qualimétrie en partenariat avec IPSOS, s’appuie sur une méthodologie robuste et la norme qualité européenne NF EN 15838 (165 tests clients mystères sur 5 canaux).
BYD a largement surpassé la moyenne de sa catégorie, attestant d’une performance de service client de très haut niveau.

Les résultats de l’audit soulignent des forces majeures qui placent l’expérience client BYD à un niveau supérieur :

  • Qualité d’Accueil et de Prise en Charge : Excellence remarquée dès le premier contact, notamment sur les canaux téléphoniques et visite physique.
  • Joignabilité Quasi Parfaite : Accessibilité client optimale sur l’ensemble des plateformes.
  • Qualité Humaine Très Appréciée : Engagement fort des équipes pour un service personnalisé et empathique.

« Être Élu Service Client de l’Année 2026 est une fierté immense et la reconnaissance que la qualité n’est pas un luxe, mais un prérequis. Ce trophée est celui de nos équipes, engagées chaque jour à offrir une prise en charge complète et humaine. Cette excellence du service est intrinsèquement liée à notre succès commercial et explique pourquoi BYD est aujourd’hui la Marque Électrique Numéro 1 en Tunisie »,
déclare Mme Hajer Chekir, Directrice Commerciale de BYD Tunisie.

Le Service Client : Moteur du Leadership Commercial

Ce titre d’Élu Service Client de l’Année vient valider la stratégie de BYD en Tunisie, où la confiance des consommateurs se traduit par des performances de vente remarquables.Avec des modèles phares comme le BYD Atto 3, les véhicules électriques BYD se classent dans le top 5 des ventes électriques du pays. En offrant une expérience d’achat et un service après-vente (SAV) de premier plan, adossés à des standards internationaux, la marque s’inscrit dans une dynamique de croissance durable et consolide son rôle moteur dans la transition vers la mobilité propre.

L’obtention de ce label, référence internationale portée par un cabinet d’études mondialement reconnu, renforce l’image de BYD en tant que pionnier alliant innovation technologique et excellence relationnelle.

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