Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – La course vers l’inconnu a commencé entre l’Iran et l’entité sioniste et, dans le cadre du droit à la riposte, Israël a été visé vendredi soir par une attaque de « dizaines de missiles balistiques iraniens », selon l’armée israélienne alors qu’on entendait des explosions nourries à Al Qods occupée et Tel-Aviv.

« Des dizaines de missiles balistiques iraniens sont en route vers Israël. La population israélienne a reçu l’instruction de rester dans les abris antiaériens jusqu’à nouvel ordre », indique un communiqué militaire. A Tel-Aviv, où plusieurs tirs de contre-missiles ont été vus, d’épais nuages de fumée s’élèvent au-dessus des gratte-ciels.

Aux environs La télévision d’État iranienne a rapporté « le début d’attaques de missiles iraniens » contre Israël, en représailles aux frappes contre son territoire.

Cette affirmation survient peu a après une déclaration télévisée du guide suprême iranien, assurant : « La nation est derrière nous, derrière les forces armées et, si Dieu le veut, la République islamique vaincra le régime sioniste ».

L’Iran a abattu deux avions militaires israéliens survolant son territoire, selon l’agence de presse officielle Irna. Aucune indication n’a été fournie dans l’immédiat sur le lieu où la défense anti-aérienne aurait abattu ces deux appareils.

Téhéran qui a lancé vendredi soir une attaque contre Israël, a visé « des dizaines de cibles » en représailles aux frappes contre son territoire, ont affirmé les Gardiens de la Révolution. L’Iran « mène une ferme et précise riposte contre des dizaines de cibles, de bases et d’infrastructures militaires du régime sioniste », indiquent les Gardiens dans un communiqué. 

Des blessés dans le centre d’Israël

Les secours israéliens ont indiqué que sept personnes avaient été blessées dans le centre d’Israël, peu après des tirs de missiles depuis l’Iran vers le territoire israélien.

Sept personnes ont été légèrement blessées dans le centre du pays, a déclaré le porte-parole des secouristes. Des images diffusées par la télévision sioniste montrent un bâtiment touché par un missile.

Les sirènes ont retenti vendredi soir à travers Israël, selon l’application mobile du Commandement du front intérieur (Défense passive), signalant une nouvelle vague d’attaque de missiles iraniens.

Les sirènes ont retenti vers 21H45 (18H45 GMT) à Al Qods occupée, où des journalistes de l’AFP ont entendu de nouveau des explosions nourries dans le lointain après que l’armée a annoncé se préparer à intercepter des « dizaines de missiles supplémentaires » tirés d’Iran.

Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – Un événement marquant, tant sur le plan économique que politique, s’est produit en Algérie ces dernières heures. Il s’agit de la décision des autorités algériennes d’exclure la Chine du projet de construction du port en eau profonde d’El Hamdania, prévu depuis 2016.

L’importance de la décision algérienne ne réside pas seulement dans l’exclusion de la Chine de la construction du port « Hamdania », mais surtout dans la tendance à confier cette tâche à une entreprise française, ce qui signifie que la décision va certainement déplaire et «mettre en colère» l’allié chinois, notamment dans une tentative d’établir un climat d’apaisement avec la France «amie de toujours», d’autant plus que le montant alloué à la construction du port « Hamdania » s’élève à 5 milliards de dollars américains.

Cette décision a été prise après une visite « apaisante » en Algérie de l'homme d'affaires arabe d'origine libanaise, Rodolphe Saadeh, envoyé officieux du président français Emmanuel Macron. Au cours de cette visite, il a rencontré le président algérien Abdelmadjid Tebboune.

Tunis, UNIVERSNEWS (SEF) – Le marché boursier a clôturé la semaine dans le rouge. L’indice de référence s’est délesté vendredi de 0,76 % à 11 237,61 points dans un modeste volume de 4,9 MD, ramenant ainsi sa performance depuis le début de l’année à +12,9 %, selon l’intermédiaire en bourse, Tunisie Valeurs.

Le titre SOMOCER a chapeauté le palmarès de la séance. L’action du loueur a progressé de 3,7 % à 0,560 D, dans un modeste flux de 43 mille dinars.

Le titre SITS s’est également placé en haut du podium. L’action du promoteur immobilier s’est offert un gain de 3,2 % à 2,230 D, dans un volume faible de 11 mille dinars.

Le titre SIAME s’est placé en lanterne rouge du TUNINDEX. L’action du spécialiste en compteur intelligeant a perdu 5,7 % à 2,970 D, dans un flux de 44 mille dinars sur la séance.

Le titre ICF a figuré parmi les plus grands perdants de la séance. L’action a reculé de 3,4 % à 109,010 D, en amassant un flux de 40 mille dinars. Le titre POULINA GROUP HOLDING a été le titre le plus échangé sur la séance.

Le titre de la holding s’est effrité de 0,64 % à 15,590 D, en alimentant le marché avec des capitaux de 482 mille dinars, soit 10 % du volume de la cote.

TUNIS-UNIVERSNEWS- (Beach Handball) – La Tunisie  prendra part les 13 et 14 juin 2025 au tour mondial IHF  qui réunira à Hammamet quatre équipes masculines et quatre équipes féminines. Le tournoi féminin regroupera la Tunisie (pays hôte), l’Espagne (championne du monde 2016), la Grèce (championne du monde 2018) et la Croatie (championne du monde 2008). Le tournoi masculin regroupera, quant à lui, la Tunisie (pays hôte), la Croatie (championne du monde 2024), l’Egypte (championne du monde 2004) et l’Espagne.

Pour bien défendre ses chances dans cette compétition internationale, l’équipe nationale féminine encadrée par Hajer Ayari et composée d’Amani Selmi, Hanane Romdhane, Ghofrane Nairi, Saida Sassi, Tesnim Belhaj, Zeïneb Ajmi, Maram Jalel, Lina Ben Hammouda, Manel Mourad et  Loujain Romman a effectué un stage bloqué du 9 au 12 à Hammamet. 

La sélection masculine est fin prête pour ce rendez-vous. Le sélectionneur Mohamed Taboubi a convoqué 10 joueurs pour ce rendez-vous. Il s’agit d’Oussama Khezami, Wassim Zeriat, Achref Marghli, Bilel Rahim, Yahya Makhlouf, Ahmed Sfar, Nassim Elouji, Hamza Fellah, Ramzi Majdoub et Seif Mechergui. Le vainqueur de chaque catégorie se qualifiera pour la phase finale, prévue du 7 au 9 novembre 2024 à João Pessoa (Brésil). La deuxième étape se déroulera les 29 et 30 juillet à Laredo (Espagne). Outre son rôle qualificatif pour la finale, cette étape sert également de préparation aux Jeux Mondiaux 2025, qui auront lieu du 7 au 17 août à Chengdu (Chine) où la Tunisie sera représentée par son équipe masculine. (M.S)

TUNIS-UNIVERSNEWS- (Consommation) – La « cheapflation » est un terme issu de l’anglais, construit avec le mot « cheap », que l’on peut traduire par « bon marché » et le mot « inflation ». Une pratique des producteurs qui vise à réduire la qualité pour limiter leurs coûts tout en proposant des produits au même prix, voire plus cher. Autrement dit, vous pourrez trouver des confitures ou des yaourts avec le même poids, vendues au même prix mais qui n’auront pas le même goût puisque les ingrédients qui les composaient ont été remplacés par des produits bien moins chers. Une pratique légale mais peu transparente pour le consommateur. Il suffit de sillonner certains rayons de commerces pour constater ce phénomène. 

Lotfi Riahi, président de l’Organisation tunisienne pour informer le consommateur (OTIC), a indiqué  à UNIVERSNEWS que La « cheapflation », c’est quand on vous vend des produits qui sont de moins bonne qualité, mais plus chers. C’est ce que font aujourd’hui certains producteurs. Il s’agit d’une pratique de certains producteurs de l’agroalimentaire qui profitent de l’inflation pour augmenter leurs prix bien au-delà de celle-ci et le tout en réduisant la qualité des produits ! Évidemment, à la fin, ce sont toujours les consommateurs qui payent ».

Autrement dit, c’est une manière dissimulée d’augmenter les tarifs et de masquer l’inflation. Les paquets de chips, de gâteaux, les yaourts, les pots de glace sont particulièrement concernés. Lotfi Riahi a appelé les consommateurs à être vigilants et à lire davantage les étiquettes des produits qu’ils achètent dans les rayons de magasins. Certains fabricants ont été interpellés et ont justifié le recours à la “cheapflation” par la hausse du prix des matières premières. Cela s’explique également par la pénurie de certaines d’entre elles, survenues après le changement climatique et la guerre en Ukraine : les prix s’envolent et elles deviennent trop chères pour être utilisées. (M.S)

TUNIS-UNIVERSNEWS- (MONDE) – Tout avait été planifié d’une manière rigoureuse, par les Etats Unis et son bras armé Israël, afin de dissuader l’Iran de continuer à développer le nucléaire et montrer au monde entier que, comme le veut le président américain Donald Trump, il n’y a qu’un seul maître à bord… et c’est l’Oncle Sam !!! Mais, le pire est que cette attaque n’aurait pas pu avoir ces résultats, s’il n’y avait pas des connivences, auprès du régime de Téhéran qui utilise la couverture de la religion pour se maintenir en place et faire croire qu’il défend l’Islam et les pays musulmans, alors qu’il n’en est rien… D’ailleurs, la manière selon laquelle le régime syrien avait été démantelé augurait que Washington n’allait pas s’arrêter à ce stade… dans ses nouvelles croisades contre les Musulmans… et on se demande, alors, où sont passés ces mouvements qui se disent islamistes, alors qu’ils sont à la solde des puissances occidentales qui leur offre gite et couvert!!!

Israël a mené, vendredi 13 juin, des frappes contre l’Iran, soupçonné de vouloir se doter de l’arme atomique, arguant viser un site d’enrichissement d’uranium et tuant de hauts responsables militaires de la République islamique qui a promis de riposter. Cette attaque intervient alors qu’un nouveau cycle de négociations entre les États-Unis et l’Iran sur le nucléaire iranien devait avoir lieu dimanche sur fond de fortes tensions. Les craintes d’une frappe imminente d’Israël grandissaient depuis quelques jours.

Le sultanat d’Oman, médiateur entre Washington et Téhéran, a condamné une « escalade dangereuse », tandis que l’ONU a appelé les deux parties à la « retenue maximale ».

Selon une source militaire israélienne, Israël a mené « des dizaines » de frappes contre des installations nucléaires et des sites militaires à travers le pays, en plusieurs vagues.

Le site d’enrichissement d’uranium de Natanz a ainsi été visé « plusieurs fois », selon la télévision d’État iranienne, qui a montré une épaisse fumée noire s’élevant de l’installation. L’agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), le gendarme nucléaire de l’ONU, a confirmé que le site avait été visé et qu’il surveillait « de près la situation profondément préoccupante en Iran ».

Trois sites militaires dans le Nord-Ouest ont également été la cible des frappes, d’après la télévision iranienne. Alors que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dit que l’opération militaire israélienne durerait « autant de jours que nécessaire », l’Iran a fermé son espace aérien, mais la défense anti-aérienne fonctionne « à 100 % de sa capacité », a souligné la télévision iranienne.

Comme d’habitude, Téhéran affirme avoir le droit de réagir… mais, on se demande à quoi on doit s’attendre, alors que Tel Aviv a été approvisionné de tous les moyens pour prévenir de grands dégâts. La diplomatie iranienne a affirmé avoir le « droit légitime » de répondre à l’attaque, tandis que le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, a promis à Israël un sort « amer et douloureux ».

Quant aux États-Unis, alliés indéfectibles de l’entité sioniste qui « ne sont pas impliqués dans l’attaque », selon un responsable américain, seront « responsables des conséquences » de l’attaque, a assuré Téhéran.

TUNIS-UNIVERSNEWS- (Education) – 12 élèves tunisiens prendront part à l’Olympiade panafricaine de Mathématiques 2025 (OPAM), au Botswana du 11 au 18 juin 2025. Organisé par la Commission africaine des Mathématiques, sous l’égide de l’Union Africaine de Mathématiques, cet évènement réunit des participants d’une trentaine de pays africains.

Ces élèves sont répartis en deux équipes : une officielle et une non officielle, chaque équipe comprenant trois garçons et trois filles. Les candidats devront résoudre, en deux jours, des problèmes complexes, à raison de quatre heures et demie par jour. La Tunisie espère se hisser au sommet en remportant la première place dans cette compétition qui réunit les meilleurs jeunes mathématiciens du continent. En 2024, le Maroc a remporté la première place avec un score record de 201 points alors que la Tunisie s’est classée troisième avec 133 points (M.S)

TUNIS-UNIVERSNEWS- (MONDE) – Pour leurrer les peuples arabes et leur donner l’impression qu’ils peuvent obtenir gain de cause, on dévie les plaintes contre l’entité sioniste vers l’Assemblée générale des Nations Unis, pour éviter le véto américain… mais le malheur est que les décisions de cette Assemblée générale ne sont pas exécutoires et sont laissées à la bonne grâce de l’Oncle Sam, même si le monde entier se ligue contre cette entité génocidaire et barbare qui tue à bouts de bras et qui n’a aucun sentiment humanitaire.

L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté jeudi à une écrasante majorité une résolution exigeant un cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent à Gaza, condamnant fermement le recours à la famine comme arme de guerre et appelant à la fin du blocus israélien de l’aide à la bande de Gaza.

Le projet de résolution, soumis par 23 pays, a été adopté par l’Assemblée générale par 149 voix pour, 12 contre et 19 abstentions lors de la 10e session extraordinaire de l’Assemblée générale.

La résolution appelle Israël à lever immédiatement le blocus, à ouvrir tous les points de passage et à garantir un accès immédiat et généralisé à l’aide humanitaire pour les civils palestiniens de Gaza. Elle souligne la nécessité de rendre des comptes afin de garantir le respect par l’entité sioniste de ses obligations en vertu du droit international et appelle tous les États, individuellement et collectivement, à prendre toutes les mesures nécessaires, conformément au droit international et à la Charte des Nations Unies, pour garantir le respect de ses obligations par l’entité sioniste.

La résolution de l’Assemblée générale a salué le plan conjoint des Nations Unies visant à reprendre l’acheminement de l’aide humanitaire à Gaza et a renouvelé son appel à tous les États, aux agences des Nations Unies et aux organisations spécialisées pour qu’ils continuent de soutenir et d’aider le peuple palestinien.

Elle a également réitéré son rejet catégorique de toute mesure visant à déplacer de force le peuple palestinien et à saisir illégalement des terres palestiniennes, y compris de telles mesures à Gaza, et a exigé l’arrêt immédiat et complet de telles mesures, condamnant tous les projets de transfert forcé ou d’expulsion d’individus. Toutefois, ce simulacre de justice ressemble à un chien qui aboie dans le désert… parce qu’enfin de compte la résolution va rejoindre les oubliettes de l’ONU, en attendant des jours meilleurs !!! (F.S.)

TUNIS-UNIVERSNEWS- (Justice) – Le premier juge d’instruction du Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a ordonné la remise en liberté d’Hichem Meddeb, ancien porte-parole officiel du ministère de l’Intérieur.

Les agents de la Brigade nationale d’investigation des crimes terroristes et des atteintes au territoire national de Bouchoucha ont interpellé Hichem Meddeb à son domicile hier après-midi, jeudi, et l’ont conduit au Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme, suite à une commission rogatoire émise par le juge d’instruction de la chambre antiterroriste, concernant une plainte déposée contre lui suite à une déclaration médiatique qu’il a faite.

Le juge d’instruction a décidé de reporter l’interrogatoire de Hichem Meddeb à une date ultérieure et de le maintenir en liberté.

 

• L’encours des BTC chute de 36,10 %, passant de 10,4 à 6,65 milliards de DT, alors que les BTA progressent de 38,38 %
• Une dépendance accrue au financement intérieur limite la capacité de l’État à absorber des chocs sans recourir à des ajustements douloureux
• Sans amélioration des recettes fiscales ni relance de la croissance, le ratio dette/PIB pourrait continuer à dériver, compromettant la soutenabilité à moyen terme
• La montée en puissance des BTA peut réduire la pression immédiate sur la trésorerie publique, mais alourdit le service de la dette à moyen terme

 

TUNIS-UNIVERSNEWS-L’encours des Bons du Trésor tunisiens s’élève à 29,2 milliards de dinars, contre 26,7 milliards un an plus tôt, soit une hausse annuelle de 9,36 %, selon la Banque Centrale de Tunisie. Cette évolution traduit une intensification du recours au financement intérieur de l’État dans un contexte de contrainte budgétaire.

1. Changement structurel : baisse du court terme, hausse du long terme

Dans le détail :

• L’encours des Bons du Trésor à court terme (BTC) chute de 36,10 %, passant de 10,4 à 6,65 milliards de dinars.
• À l’inverse, les Bons du Trésor Assimilables (BTA) progressent de 38,38 %, atteignant 22,55 milliards de dinars, contre 16,3 milliards un an plus tôt.

Ce glissement significatif de la dette vers le moyen et long terme indique une volonté de stabiliser les flux de remboursement en étalant les échéances et en réduisant le poids du refinancement à court terme.

2. Un indicateur-clé de la pression budgétaire

Les Bons du Trésor sont les principaux instruments de financement domestique de l’État tunisien. Leur encours reflète à la fois :

• Le niveau d’endettement interne ;
• La capacité du Trésor à lever des fonds sur le marché local ;
• Le niveau de confiance des investisseurs institutionnels (banques, assurances) dans la solvabilité souveraine.

1. Pourquoi cette évolution ?

Trois explications économiques :

1. Tensions sur les ressources budgétaires liées au déficit fiscal chronique.
2. Retard dans les financements extérieurs, notamment les négociations avec le FMI.
3. Stratégie de gestion active de la dette visant à minimiser les risques de refinancement en période de taux incertains.

1.  Quels risques pour l’économie tunisienne ?

L’augmentation de l’encours des Bons du Trésor et son glissement vers le long terme ne sont pas sans conséquences. Plusieurs risques majeurs méritent l’attention :

1. Risque de soutenabilité de la dette

• L’accumulation des Bons du Trésor alourdit le stock global de la dette publique.
• Sans amélioration des recettes fiscales ni relance de la croissance, le ratio dette/PIB pourrait continuer à dériver, compromettant la soutenabilité à moyen terme.

1. Effet d’éviction du crédit privé

• Les banques et compagnies d’assurance privilégient l’achat de Bons du Trésor (sans risque) au détriment du financement de l’économie réelle.
• Cela freine l’investissement privé et la création d’emplois, aggravant la stagnation économique.

1. Exposition au risque de taux

• Si les taux d’intérêt augmentent dans les années à venir (inflation ou resserrement monétaire), le coût du service de la dette deviendra plus élevé, creusant davantage le déficit budgétaire.

1. Fragilité face aux chocs extérieurs

• Une dépendance accrue au financement intérieur limite la capacité de l’État à absorber des chocs (hausse des prix des matières premières, ralentissement mondial) sans recourir à des ajustements douloureux (fiscalité, subventions).

1. Perte de crédibilité sur les marchés

• Un recours excessif aux émissions domestiques peut être perçu comme un signe de manque d’accès au financement extérieur, ce qui affaiblit la confiance des bailleurs de fonds et des agences de notation.

Si l’extension de la maturité de la dette peut offrir un répit à court terme, elle ne peut remplacer une réforme structurelle des finances publiques. Sans stratégie claire de consolidation budgétaire, les Bons du Trésor pourraient devenir un levier de fragilité plutôt qu’un outil de stabilisation.

1. Quelles perspectives ?

La montée en puissance des BTA peut réduire la pression immédiate sur la trésorerie publique, mais alourdit le service de la dette à moyen terme. Sans réformes fiscales et maîtrise de la dépense, cette dynamique pourrait accroître la rigidité budgétaire et limiter la capacité d’investissement de l’État.

Le basculement vers une dette domestique à plus long terme constitue un choix tactique face aux contraintes du moment. Il reste à voir s’il va s’inscrire dans une stratégie de consolidation budgétaire durable ou traduire une dépendance accrue au marché intérieur.

TUNIS-UNIVERSNEWS- (MONDE) – Il n’y a pas de fumée sans feu… et les frappes contre l’Iran étaient en gestation, depuis quelques temps, avec un scénario bien ficelé, en commun accord entre les Etats Unis et l’entité sioniste… Il a suffi que le président américain Donald Truùmp donne le feu vert et la machine de destruction israélienne s’est mise en branle, avec des objectifs militaires et des assassinats de compétences iraniennes capables de développer l’arsenal de Téhéran.

Des frappes aériennes ont été menés, tôt ce matin, par l’entité sioniste -sous couverture américaine, et ça, on ne peut pas en douter- pour donner une leçon à l’Iran. Outre les dégâts commis sur le terrain, La télévision d’État iranienne a annoncé la mort du commandant des Gardiens de la révolution, Hossein Salami, et le bombardement du quartier général des Gardiens à Téhéran. Elle a ajouté que plusieurs enfants avaient été tués lors d’une frappe aérienne sur un quartier résidentiel de la capitale. Un important commandant des Gardiens de la révolution, Gholam Ali Rashid, et deux scientifiques nucléaires de haut rang ont été tués lors de frappes aériennes israéliennes lancées tôt vendredi matin sur l’Iran, selon les médias iraniens. La mort du chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général de division Mohammad Bagheri, a également été officiellement annoncée. La télévision d’État a également rapporté que la mort du général de division Gholam Ali Rashid avait été confirmée, tandis que l’agence de presse Tasnim a rapporté que les scientifiques nucléaires Mohammad Mehdi Tehranchi et Fereydoun Abbasi avaient été pris pour cible et tués.

L’armée sioniste a déclaré vendredi, dans un communiqué, « avoir tué trois hauts responsables militaires du régime iranien, dont le chef d’état-major des forces armées iraniennes et le commandant des Gardiens de la révolution iraniens… »

Les médias américains ont également rapporté qu’Ali Shamkhani, conseiller du Guide suprême iranien, avait succombé à ses blessures.

TUNIS-UNIVERSNEWS- (Météo) – Les températures maximales seront comprises entre 29 et 34 degrés dans les régions côtières Est et sur les hauteurs et oscilleront entre 35 et 40 degrés dans le reste des régions.

Des brumes locales seront observées, vendredi matin, puis le ciel sera clair à peu nuageux sur l’ensemble du pays, selon les prévisions de l’Institut National de la Météorologie (INM).

Le vent soufflera de secteur Est faible à modéré, puis se renforçant relativement dans la zone de Serrat et le Sud avec des tourbillons de sables locaux. La mer sera peu agitée puis progressivement agitée dans la zone de Serrat et le Golfe de Gabès.

Tunis, UNIVERSNEWS (Justice) – Des informations de sources sûres ont révélé que le gouverneur de la banque centrale de Tunisie (BCT) a été informé d’une décision de justice portant sur le geler tous les avoirs et comptes de personnes et d’entreprises impliqués dans l’affaire de l’intermédiaire en bourse, la Société Tuniso-saoudienne d’investissement, TSI.

Cette décision concerne Mohamed Hédi Ben Ayed et Mohamed Ben Abdelwaheb Saïdane, ainsi que quatre sociétés qui sont la Société tunisienne d’équipements et de matériel électriques, la société CROSID du centre, la Société des produits sidérurgiques CROSID du sud et la SNCI (Société nouvelle de coupe industrielle).

La même note aurait été adressée à toutes les banques et aux services de la poste, et doit être appliquée immédiatement.

Tunis, UNIVERSNEWS (Justice) – La chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis a condamné jeudi Abir Moussi, dirigeante du Parti destourien libre (PDL), à deux ans de prison.

Moussi a comparu jeudi devant la chambre criminelle du tribunal de première instance de Tunis pour être jugée suite à une plainte déposée contre elle par l’Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) suite à une déclaration médiatique qu’elle avait faite.

Tunis, UNIVERSNEWS (Justice) – Des agents de l’Unité nationale d’investigations sur les crimes terroristes et les crimes contre le territoire national relevant du secteur de Bouchoucha, ont arrêté jeudi après-midi l’ancien porte-parole du ministère de l’Intérieur, Hichem Meddeb qui avait présenté sa candidature à la présidentielle précédente.

Selon les informations disponibles, Meddeb a été conduit au Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme sur instruction du parquet, en attendant la décision appropriée concernant son affaire.

Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – Les préparatifs vont bon train pour l’organisation de la première édition du Salon national des arts plastiques qui se tiendra du 14 juin au 5 juillet 2025 à la Maison des arts du Belvédère. Rassemblant les artistes des quatre coins du pays, cet événement est organisé par le ministère des Affaires culturelles, en collaboration avec la Direction des arts plastiques et le Bureau des affaires régionales.

Organisé désormais deux fois par an, ce salon se veut une incarnation du principe de la décentralisation culturelle, permettant une meilleure représentativité des talents issus des régions intérieures. Plusieurs artistes plasticiens représentant les gouvernorats du pays et de diverses écoles: classique, abstraite, impressionniste, réaliste et contemporaine, prendront à ce salon en utilisant plusieurs techniques, dont la plupart sont traditionnelles, basées sur la peinture à l’huile, l’aquarelle et l’acrylique pour mettre en valeur l’œuvre avec l’emploi de couleurs chaudes, avec diverses touches dans la présentation du sujet.

Cette manifestation est une opportunité pour les artistes d’échanger les expériences pour promouvoir l’art plastique et permettre au public de découvrir leurs nouvelles œuvres qui enrichissent ce type d’Arts (M.S)

TUNIS-UNIVERSNEWS- (CULT) – La date du 21 juin marque le solstice d’été où le soleil, à son zénith, illumine de sa clarté le jour le plus long de l’année. L𝗲 𝟮𝟭 𝗷𝘂𝗶𝗻, 𝗹𝗲 𝘁𝗵𝗲́𝗮̂𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗢𝗽𝗲́𝗿𝗮 𝗱𝗲 𝗧𝘂𝗻𝗶𝘀 𝘀𝗲 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗷𝗼𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗲́𝗹𝗲́𝗯𝗿𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗙𝗲̂𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗠𝘂𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲 dans 𝗹𝗮 𝘀𝘂𝗽𝗲𝗿𝗯𝗲 𝘀𝗮𝗹𝗹𝗲 𝗱𝘂 𝗧𝗵𝗲́𝗮̂𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗥𝗲́𝗴𝗶𝗼𝗻𝘀, 𝗮̀ 𝟮𝟬𝗵, à la 𝗖𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲. La musique sera reine pour chaque mélomane passionné, musicien ou danseur en herbe ou simplement désireux de passer un bon moment en partage avec les autres, vos semblables, cette célébration est pour vous.

Dans un programme conçu pour mettre en valeur l’ampleur et la diversité des pratiques musicales ouvertes à tous les genres, aussi bien instrumentales que vocales, 𝗟’𝗢𝗿𝗰𝗵𝗲𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗦𝘆𝗺𝗽𝗵𝗼𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗧𝘂𝗻𝗶𝘀𝗶𝗲𝗻 sous la férule de Shady Garfi vous fera voyager et vibrer aux sonorités des grands compositeurs classiques dont les œuvres ont marqué l’histoire universelle de la musique. Georges Bizet, Johannes Brahms, Edward Grieg… dont le célèbre concerto pour piano sera interprété par Bassem Makni.

Les musiques d’aujourd’hui seront également présentes, notamment à travers les créations de Bruno Coulais, compositeur français de musique de film et de musique contemporaine, surtout connu pour sa bande originale de Microcosmos : Le Peuple de l’herbe. C’est « les Choristes » qui sera interprété par le chœur d’enfants polyphonique de l’Orchestre symphonique tunisien qui fera, à cette occasion, sa première apparition sur scène.

Mais ce n’est pas tout ! Désireux de multiplier les sources de plaisir artistique de son public, en lui offrant le meilleur, le Théâtre de l’Opéra de Tunis réserve une surprise de taille aux spectateurs du concert : 𝑺𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝑷𝒍𝒂𝒄𝒆 𝒅𝒆𝒔 𝑻𝒉𝒆́𝒂̂𝒕𝒓𝒆, 𝒆𝒏 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒖𝒏𝒊𝒐𝒏 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒍𝒆 𝒑𝒍𝒆𝒊𝒏 𝒂𝒊𝒓 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒐𝒊𝒓𝒆́𝒆, 𝑳𝒆𝒔 𝒅𝒂𝒏𝒔𝒆𝒖𝒓𝒔 𝒅𝒖 𝑩𝒂𝒍𝒍𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒍’𝑶𝒑𝒆́𝒓𝒂 𝒊𝒏𝒕𝒆𝒓𝒑𝒓𝒆̀𝒕𝒆𝒓𝒐𝒏𝒕 𝒖𝒏 𝒆𝒙𝒕𝒓𝒂𝒊𝒕 𝒄𝒉𝒐𝒊𝒔𝒊 𝒅𝒖 𝒃𝒂𝒍𝒍𝒆𝒕 𝑪𝒂𝒓𝒎𝒆𝒏, 𝒄𝒉𝒐𝒓𝒆́𝒈𝒓𝒂𝒑𝒉𝒊𝒆 𝑨𝒃𝒐𝒖 𝑳𝒂𝒈𝒓𝒂𝒂. (M.S.)

 

• Cette explosion du cash inquiète les analystes, car elle va à contre-courant des politiques de digitalisation financière et de traçabilité des paiements
• Cette fuite vers le cash pourrait compromettre les objectifs de réforme du système bancaire
• Le volume de billets et pièces en circulation a franchi les 25 milliards DT, un niveau inédit représentant près de 12% du PIB nominal et constituant un seuil critique
• La Tunisie qui ambitionne de moderniser son économie, devra aussi reconstruire la confiance, brique par brique, entre les institutions, les entreprises et les citoyens

 

TUNIS-UNIVERSNEWS- (SEF) – C’est un chiffre qui interpelle. Le montant des billets et pièces en circulation en Tunisie a franchi un nouveau record : 25098 milliards de DT au 10 juin 2025. Le 27 mai 2025, il était de 24,1 milliards DT, contre 21,22 milliards à la même date en 2024. Une hausse vertigineuse de 13,5 % en glissement annuel, selon les données publiées par la Banque centrale de Tunisie.

Un tel niveau de circulation fiduciaire, du jamais-vu, soulève des questions majeures sur les habitudes de paiement, la confiance dans le système bancaire, et surtout sur les risques de dérive vers une économie de plus en plus informelle !!!!

 

• Des réformes… aux effets inattendus ??

Plusieurs économistes attribuent cette accélération à des modifications récentes du cadre réglementaire. En tête de liste : la nouvelle législation sur les chèques, entrée en vigueur en août 2024. Résultat : un repli massif des usagers vers le liquide, jugé plus « sûr » face à un environnement juridique devenu plus contraignant.

Autre décision controversée : la levée en octobre 2024 de la limite légale de détention d’espèces et de l’obligation de justifier leur origine. Une mesure qui visait officiellement à « fluidifier les transactions » mais qui, selon plusieurs observateurs, a ouvert la porte à une re-matérialisation de l’économie et à une opacité accrue des flux financiers.

 

• Entre défi monétaire et dérive informelle !!?

Cette explosion du cash inquiète les analystes. Car elle va à contre-courant des politiques de digitalisation financière et de traçabilité des paiements, promues depuis des années.

« Plus le numéraire circule, plus les transactions échappent au contrôle fiscal et monétaire », avertit un ancien cadre de la BCT. « Cela affaiblit l’efficacité des instruments de politique monétaire, et alimente l’économie parallèle. »

Dans un contexte de fragilité budgétaire, de pressions inflationnistes, et d’efforts pour renforcer la transparence financière, cette fuite vers le cash pourrait compromettre les objectifs de réforme du système bancaire.

 

• Et maintenant ? Des projections qui inquiètent

La tendance actuelle se poursuit sans régulation adaptée, le volume de billets et pièces en circulation a franchi les 25 milliards de dinars, soit un niveau inédit qui représenterait près de 12% du PIB nominal, un seuil critique pour les autorités monétaires.

Selon des simulations d’économistes tunisiens, chaque point supplémentaire de croissance du cash en circulation pourrait :

• Réduire l’efficacité de la politique de taux directeur de la BCT ;
• Accroître les écarts entre l’économie réelle et les données officielles ;
• Encourager la thésaurisation et retarder la bancarisation de larges segments de la population.

 

• Vers une refonte du modèle de confiance ?

Au-delà des chiffres, cette poussée du cash est aussi le symptôme d’une défiance croissante envers le système bancaire et l’administration fiscale.

La Tunisie, qui ambitionne de moderniser son économie, devra aussi reconstruire la confiance, brique par brique, entre les institutions, les entreprises et les citoyens.

Face à cette urgence, la BCT et le ministère des Finances seraient appelés à mettre en œuvre un plan coordonné, combinant :

• Des incitations fiscales à l’usage des moyens électroniques ;
• Des campagnes de sensibilisation à la bancarisation ;
• Et une réintroduction partielle de seuils de détention en espèces, pour restaurer une forme de traçabilité minimale.

 

 

 

Tunis, UNIVERSNEWS (Patrimoine) – Moi l’acrophobe, j’ai dernièrement participé à une visite de reconnaissance à l’ancienne Kesra, le plus haut village du pays qui cumule 1245 mètres d’altitude, en compagnie de quelques amis.

Arrivés en haut de cette montagne, un abri sous roches, bien aménagé, transformé en café côtoyant un cours d’eaux de ruissèlement, provenant de la montagne et une petite piscine fréquentée par les enfants a suscité notre l’admiration et celle des visiteurs présents.

Cet endroit féerique surplombe, en effet, un océan de verdure où se confondent oliviers centenaires, figuiers, caroubiers, cerisiers et lierres grimpants accrochés aux haies et aux roches géantes toujours debout. Même le café et le thé à la menthe ont un gout spécial dans ce bel endroit, où  nous avons rencontré des personnes respectables, pour parler de tout, de l’histoire de cette ancienne agglomération berbère qui ne ressemble à aucune autre, de son climat doux et agréable, des différentes cutures qui  produisent une huile d’olives biologique au gout unique,  des  caroubes, reconnues pour  leurs bienfaits pour la santé, des cerises qui améliorent la santé intestinale, dit-on, du miel aux vertus thérapeutiques considérables, des graines de pin d’Alep (Zgougou) très recherchées à l’approche de chaque Mouled (Naissance du Prophète) , des produits naturels à base de plants médicinaux pour se soigner. En bref, une belle heure passée dans cet endroit, naturellement climatisé qui invite vraiment au déplacement.

De retour à la nouvelle Kesra, sur la route reliant Haffouz et Oueslatia à Makthar, qui abrite les différentes administrations publiques, les belles villas, les commerces achalandés, nous avons rencontré Mehrez K. un jeune chômeur de trente ans qui a travaillé, deux années auparavant, dans différents chantiers de construction sur le littoral et qui vient de mettre fin à une expérience dans un Eldorado inexistant en  rentrant  dernièrement au bercail : « Les vingt dinars que je recevais chaque jour de mon patron ne me suffisent pas », dit-il, « car il faut compter les frais du loyer, ceux de  la nourriture, sans oublier les vingt cigarettes quotidiennes, les vêtements de chez le fripier et les antalgiques pour soulager ma migraine chronique», avant de conclure :  » J’ai alors décidé  de rentrer définitivement à Kesra, pour travailler comme ouvrier saisonnier dans les champs agricoles ou dans les chantiers de construction et de profiter pleinement de l’air non pollué de ma ville natale!!»

A une dizaine de kilomètres de là, à Hammam Kesra, nous avons rencontré l’agriculteur Hammadi K., propriétaire d’une vaste ferme, qui a parlé d’une main d’œuvre rare et toujours exigeante, de semences sélectionnées insuffisantes et des problèmes d’écoulement des produits agricoles… avant de nous offrir des petites canettes d’eau gazeuse glacée et des makroudhs Kairouannais -120 kilomètres est la distance séparant la ville de Kesra à celle de Kairouan…

En conclusion, la ville de Kesra qui, selon le recensement général de la population de 2024, compte 3500 âmes des 17763 habitants de cette délégation, entourée de verdures, de montagnes et de paysages luxuriants, mérite qu’on lui accorde plus d’intérêt, pour exploiter convenablement ses richesses historiques et géographiques et sa beauté naturelle unique.

La construction d’une petite unité hôtelière, l’aménagement de quelques maisons d’hôtes et la création de petites entreprises industrielles pour la transformation des figues noires et de Barbarie et de cerises, et l’extraction des huiles essentielles, feront de cette région, déjà très belle et accueillante, un coin paradisiaque, où il fera bon vivre. (Néji Khammari)