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JCC 2025 – Hommage à Claudia Cardinale et Walid Chmait

26. November 2025 um 15:30

Les Journées Cinématographiques de Carthage, dans leur 36ᵉ édition, célèbrent cette année deux figures emblématiques du 7ᵉ art : Claudia Cardinale, icône mondiale et fille de Tunis, et Walid Chmait, pionnier de la critique cinématographique au Liban. Deux parcours d’exception, unis par un même amour du cinéma et un profond attachement à la culture arabe.

L’hommage consacré à Claudia Cardinale revêt une dimension toute particulière. Celle que le monde entier connaît comme l’icône des films de Visconti, Fellini ou Leone est honorée dans le pays qui l’a vue naître et auquel elle n’a jamais cessé d’être attachée. Son histoire cinématographique commence et s’achève en Tunisie, entre fidélité, mémoire et émotion.

Trois projections accompagnent cet hommage : Les Anneaux d’or (1956) de René Vautier et Mustapha El Fersi, Claudia Cardinale : La plus belle Italienne de Tunis (1994) de Mahmoud Ben Mahmoud, et Claudia Cardinale : La Tunisie… splendeur et beauté (2025) de Lotfi Bahri. Trois œuvres qui racontent, chacune à leur manière, une histoire d’amour durable entre une femme et sa terre natale.

JCC 2025 
Claudia Cardinale

C’est en Tunisie, au cœur de Tunis, que tout a commencé. Adolescente, Claudia Cardinale y remporte le concours de “la plus belle Italienne de Tunis”, organisé par l’ambassade d’Italie. Ce prix lui ouvre les portes du cinéma : elle tourne alors son tout premier film, Les Anneaux d’or, réalisé en partie à Sidi Bou Saïd. Ce court métrage, produit par le Centre National du Cinéma Tunisien, fut le point de départ d’une carrière exceptionnelle. De ce tournage, elle gardera toujours une tendresse particulière — celle d’une jeunesse tunisienne bercée par la lumière, la langue arabe et les ruelles familières de sa ville natale.

Des décennies plus tard, Claudia Cardinale continue de revenir en Tunisie, de s’y ressourcer et d’y tourner. Son dernier film, L’Île du pardon (2022) de Ridha Behi, la ramène une fois encore à ce pays qu’elle n’a jamais quitté de cœur. Entre ce premier rôle à Sidi Bou Saïd et ce dernier tournage à Djerba, c’est toute une vie de fidélité et d’amour qui se dessine — celle d’une artiste qui, tout en appartenant au monde, n’a jamais cessé d’appartenir à la Tunisie.

En lui rendant cet hommage, les Journées Cinématographiques de Carthage saluent non seulement une star internationale, mais aussi une fille de Tunis, symbole d’un attachement indéfectible et d’un lien vivant entre la Tunisie et le cinéma mondial.

JCC 2025
Walid Chmait

La même édition rend également hommage à Walid Chmait, pionnier de la critique cinématographique au Liban et figure respectée du 7ᵉ art arabe, à travers la projection du documentaire Walid Chmait, une vie au cœur du cinéma, réalisé par son fils Selim Saab Chmait. Un hommage sobre et juste, à l’image d’un homme qui a consacré sa vie à faire aimer le cinéma et à transmettre sa passion.

Neïla Driss

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La Goulette : Une messe à la mémoire de Claudia Cardinale

29. September 2025 um 08:47

L’église Saint-Fidèle et Saint-Augustin de la Goulette accueillera mardi 30 septembre à 18h une messe solennelle à la mémoire de Claudia Cardinale.

Le père Narcisse Djerambete officiera à cette occasion qui devrait rassembler toutes les communautés goulettoises.

Originaire de Sicile en Italie, la famille de la comédienne internationale s’est installée à la Goulette, lors de son arrivée en Tunisie.

Notons que les obsèques de Claudia Cardinale auront lieu en l’église Saint Roch à Paris, mardi 30 septembre à 14h30.

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Le Festival International du Film du Caire fait ses adieux à Claudia Cardinale

25. September 2025 um 21:42

C’est avec une profonde tristesse que le Festival international du film du Caire (CIFF) fait ses adieux à Claudia Cardinale, légende intemporelle dont la carrière, étendue sur plus de six décennies, a marqué de manière indélébile l’histoire du cinéma mondial. Elle incarnait à la fois la beauté, la liberté et l’éclat artistique, inspirant des générations entières et captivant les spectateurs aux quatre coins du monde.

Claudia Cardinale s’est éteinte le 24 septembre 2025, à l’âge de 87 ans. Née à Tunis en 1938, elle avait fait ses premiers pas au cinéma dans Goha (1958), un film tourné en Tunisie aux côtés d’Omar Sharif, alors jeune acteur qui débutait également sa carrière. Cette rencontre marqua les premiers pas de deux artistes appelés à devenir des icônes du cinéma mondial. Des décennies plus tard, ils se retrouveront à l’écran dans Mayrig (1991) et 588 rue Paradis (1992), deux films réalisés par Henri Verneuil, ainsi que dans la série télévisée adaptée de Mayrig.

De ces débuts marqués par la Tunisie et l’Égypte jusqu’aux grandes scènes internationales, Claudia Cardinale n’a jamais cessé de tisser des liens profonds avec le monde arabe et son cinéma.

Claudia Cardinale entretenait un lien privilégié avec le festival. En 2015, lors de la 37ᵉ édition du CIFF, elle avait été distinguée par le Prix honorifique Faten Hamama, en reconnaissance de son apport exceptionnel au cinéma. Sa présence au Caire cette année-là demeure inoubliable: elle avait exprimé une joie sincère d’être célébrée en Égypte et avait salué avec chaleur le rôle du festival dans la promotion du dialogue culturel à travers le cinéma.

Le président du festival, Hussein Fahmy, a tenu à lui rendre hommage :

« Le monde a perdu une force artistique unique, et j’ai perdu un souvenir personnel qui m’est très cher. Je n’oublierai jamais ce moment en 2015, lorsque nous nous sommes tenus côte à côte pour partager cet hommage. Son élégance était envoûtante, et son amour pour l’Égypte, authentique et émouvant. Sa disparition laisse un vide immense dans nos cœurs. »

Le Festival international du film du Caire adresse ses condoléances les plus sincères à la famille de Claudia Cardinale, à ses admirateurs et à son public à travers le monde. Son héritage artistique et son humanité demeureront vivants, et son souvenir restera à jamais associé à l’histoire du Caire et au monde du cinéma qui a chéri sa présence lumineuse.

Neïla Driss

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A Tunis, dans les pas de Claudia Cardinale : Entre Foyer du Combattant et École Cambon

25. September 2025 um 09:29

Marcher dans l’ombre vive de Claudia Cardinale. À la recherche de ses traces dans Tunis, la ville où elle est née en 1938 et a grandi jusqu’à sa découverte du cinéma italien et français.

Je me trouve sur le seuil du Foyer du Combattant, devant l’immeuble où la belle Claudia a vu le jour. Je prends des photos et me demande dans lequel des trois immeubles de cette cité d’habitations à loyers modérés est née la star éteinte à l’âge vénérable de 87 ans.

Un habitant actuel de la cité surprend mon manège et me demande pourquoi je prends des photos. Habitué de ce genre de situations, j’ai appris à les désamorcer en douceur, en valorisant mon interlocuteur à qui je demande son prénom après lui avoir affirmé qu’il tombait du ciel.

Imed connaît bien sûr la relation de Claudia Cardinale avec ces immeubles des années trente. Habitant ici depuis 1964, il a même vu la comédienne visiter les lieux à plusieurs reprises et aussi un appartement en particulier, au rez-de-chaussée de l’édifice central de la cité.

Je suis Imed jusqu’à une porte à la couleur claire et l’écoute me raconter les belles heures d’un édifice où ne vivaient que des anciens combattants de la Première guerre mondiale dont les veuves ont ensuite hanté la cité. Selon lui, tout a changé ces dernières décennies : il me montre le balcon fleuri de son appartement à l’étage et me montre aussi une autre porte, désormais condamnée, dont on a longtemps cru qu’elle ouvrait sur l’appartement de la famille Cardinale.

Comme il doit promener son chien, Imed me laisse à mes fantômes et s’en va tenant en laisse son toutou qui lui obéit au doigt et à l’œil. Je ne tarde pas à partir à mon tour non sans avoir humé le génie des lieux et traversé l’enfilade de couloirs qui font communiquer les immeubles entre eux.

Rue de Marseille. Les Cardinale ont aussi vécu dans cette rue où ils avaient de la famille et s’étaient réfugiés durant les bombardements de novembre 1942. Ils iront ensuite s’installer au quartier banlieusard d’Aéroport où ils avaient de la famille et y resteront jusqu’à la fin de la guerre et la libération de Tunis par les Alliés.

Je photographie l’immeuble où la diva a vécu et je continue à arpenter la rue jusqu’à l’école Paul Cambon où Claudia Cardinale a étudié. Aujourd’hui, l’édifice aux touches arabisantes accueille le lycée de la rue de Marseille mais j’y retrouve l’écho lointain de la jeune adolescente sicilienne qui rêvait déjà au cinéma.

Quelques clichés de la façade et je repars, mes pas dans ceux de Claudia et mon esprit entre les films de Sergio Leone et ceux de Werner Herzog. Irais-je jusqu’à la Goulette pour y retrouver les mânes du grand-père de Claudia et le souvenir des barques qu’il construisait dans son atelier d’armateur ? Je ne crois pas même s’il le faudrait ne serait-ce que pour sacrifier aux légendes urbaines qui fusent de toutes parts.

Foyer du Combattant (Crédit : Hatem Bourial)
(Crédit : Hatem Bourial)
École Paul Cambon (Crédit photo : Hatem Bourial)
Rue de Marseille (Crédit photo : Hatem Bourial)

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Pourquoi tous les Siciliens de Tunisie se disent-ils cousins de Claudia Cardinale ?

24. September 2025 um 11:58

Dans la communauté des Siciliens de Tunis, les racines s’étendent à tout le pays. Ainsi plusieurs familles ont leurs origines en Sicile mais leur ancrage tunisien peut être à Ghardimaou, Grombalia, Le Kef ou Zaghouan.

Toutefois aujourd’hui, c’est Tunis, la capitale qui les rassemble dans leur diversité et dans cette ville, quand vous approchez un Sicilien, il affirmera avoir un lien avec Claudia Cardinale, la star franco-italienne décédée hier, mardi 23 septembre 2025.

C’est que la famille de la belle Claudia était modeste et avait des relations avec de nombreuses autres familles laborieuses.

Le père de Claudia était cheminot et sa maisonnée habitait l’immeuble du Foyer du Combattant près du terminus du TGM. Ses filles sont allées à l’école Cambon de la rue de Marseille et là aussi elles étaient au contact des nombreux Siciliens des environs.

Et puis n’oublions pas que la notoriété de Claudia Cardinale ne remonte pas à hier. Depuis la fin des années cinquante, elle est devenue aussi bien une star qu’un mythe vivant chez les Siciliens de Tunisie et tous les autres éléments du creuset de notre diversité.

C’est probablement ce qui explique en partie le fait que tous les Siciliens de Tunisie se disent aujourd’hui encore voisins ou cousins de la belle Claudia.

Pour avoir assisté à une de ses rencontres à Tunis, avec la communauté italienne, je peux témoigner que la grande majorité des présents avaient un parent ou un voisin à rappeler à la star tunisoise qui se prêtait à ce jeu des familles par alliance.

Aujourd’hui que nous pleurons Claudia Cardinale, cette dimension de Sicilienne iconiques méritait d’être rappelée.

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Claudia Cardinale : Une légende du cinéma née sous le ciel de Tunis s’éteint à 86 ans

23. September 2025 um 22:53

Claudia Cardinale, née le 15 avril 1938 à Tunis, s’est éteinte à l’âge de 86 ans, laissant derrière elle un héritage cinématographique inégalé et une empreinte durable dans le cœur de ses admirateurs à travers le monde. Fille d’immigrés siciliens, elle grandit dans le quartier cosmopolite de La Goulette, un lieu où se mêlaient cultures arabe, juive et européenne, forgeant son identité méditerranéenne unique. Ses premiers souvenirs sont marqués par les ruelles colorées, les marchés animés et la mer Méditerranée qui baignait sa ville natale, autant d’éléments qui nourriront plus tard son sens de l’esthétique et sa sensibilité artistique.

Son premier contact avec le septième art survient en 1956, lorsqu’elle participe avec ses camarades de classe au court-métrage du réalisateur français René Vautier, Les Anneaux d’or, sur le thème de l’indépendance économique et sociale de la Tunisie. Le film est présenté à la Berlinale 1958, où il remporte l’Ours d’argent. Son unique gros plan dans le rôle d’une petite Arabe suffit à la faire connaître localement et attire l’attention de Jacques Baratier, qui lui offre un rôle aux côtés d’Omar Sharif dans Goha, une coproduction franco-tunisienne. Goha est présenté en sélection officielle au Festival de Cannes 1958, où il reçoit le prix « Le Premier Regard – Un Certain Regard » ex-æquo avec Visages de bronze de Bernard Taisant. Claudia retournera à Cannes en 2013 avec ce même film restauré, présenté dans la section Cannes Classics, témoignant du caractère intemporel de ses débuts.

Claudia cardinale
Tunisie
Hassiba Rochdi et Claudia Cardinale dans le film « Goha »

En 1957, un an après l’indépendance de la Tunisie, Claudia est élue « la plus belle Italienne de Tunisie ». Ce titre lui vaut un voyage à la Mostra de Venise, où elle découvre l’effervescence du cinéma international. Ce déplacement marque un tournant décisif dans sa vie : elle rencontre Franco Cristaldi, futur mentor et époux, qui reconnaît immédiatement son potentiel et l’aide à obtenir ses premiers contrats en Italie. Ces premières opportunités ouvrent la voie à une carrière internationale exceptionnelle, propulsant Claudia vers les plateaux de Rome, Paris, Los Angeles et au-delà.

Dans les années 1960 et 1970, Claudia Cardinale devient l’une des actrices européennes les plus emblématiques. Sa collaboration avec Luchino Visconti dans Le Guépard (1963), où elle incarne Concetta, lui vaut une reconnaissance immédiate pour sa capacité à incarner la noblesse italienne en pleine mutation. Federico Fellini l’intègre dans (1963), et elle y contribue par son élégance naturelle à l’univers surréaliste du réalisateur. Son rôle de Jill McBain dans le western spaghetti Il était une fois dans l’Ouest (1968) de Sergio Leone devient mythique, oscillant entre fragilité et force intérieure, tandis que sa collaboration avec Jean-Luc Godard (Une femme est une femme, 1961) et Michelangelo Antonioni (Le désert rouge, 1964) montre sa capacité à porter des rôles profondément introspectifs et psychologiquement complexes. Elle travaille également avec Pier Paolo Pasolini dans Théorème (1968), où sa présence magnétique bouleverse le récit et laisse une empreinte durable sur le cinéma européen. Ces films lui apportent de multiples distinctions et l’installation comme une figure incontournable du cinéma mondial.

Après les années 1970, Claudia Cardinale continue d’enrichir sa filmographie, explorant de nouveaux genres et collaborant avec des réalisateurs émergents. Elle participe à des productions italiennes, françaises et américaines, où elle interprète des personnages de femmes indépendantes, complexes et nuancées. Sa participation à Once Upon a Time in America (1984) de Sergio Leone témoigne de son engagement à rester au cœur de projets ambitieux, tout en portant toujours une attention particulière à la profondeur psychologique de ses rôles. Chaque nouveau film est pour elle l’occasion de montrer une facette différente de son talent, allant de la comédie légère au drame intense, sans jamais perdre sa singularité et son élégance naturelle.

Son lien avec la Tunisie reste central tout au long de sa vie. Elle retourne régulièrement sur les lieux de son enfance et participe à des films emblématiques du cinéma tunisien, notamment Un été à La Goulette de Ferid Boughdir, qui rend hommage à la vie multiculturelle de sa ville natale et aux traditions de la communauté locale. Elle joue également dans Le Fil de Mehdi Ben Attia en 2009, un film contemporain qui traite des tensions sociales et affectives en Tunisie, et dans L’Île du pardon de Ridha Béhi en 2022, confirmant son attachement indéfectible à son pays natal et à la valorisation du cinéma tunisien sur la scène internationale. Par un curieux destin, son premier film tourné en Tunisie, Les Anneaux d’or, et son dernier, L’Île du pardon, encadrent sa carrière et témoignent de son lien indéfectible avec son pays natal et le cinéma tunisien.

Claudia Cardinale partage également son amour pour la Tunisie à travers son livre Ma Tunisie, dans lequel elle évoque ses souvenirs d’enfance à La Goulette et à Tunis, ses promenades sur les plages de Carthage, ses visites dans les ruelles pittoresques de Sidi Bou Saïd et ses découvertes dans les marchés animés. Ce récit intime révèle une artiste profondément attachée à ses racines, consciente de la richesse culturelle et historique de son pays. En mai 2022, la municipalité de La Goulette inaugure une rue à son nom, un hommage symbolique célébrant sa carrière et son attachement à sa ville natale. Son portrait géant figure également sur un mur de sa ville, un témoignage visuel de son influence et de l’admiration que lui portent les habitants.

Claudia cardinale Tunisie
Rue Claudia Cardinale

Claudia cardinale Tunisie
Portrait de Claudia Cardinale à La Goulette

Au-delà du cinéma, Claudia Cardinale s’est illustrée par son engagement social et humanitaire. Défenseuse des droits des femmes et attentive aux causes humanitaires, elle a su utiliser sa notoriété pour soutenir des initiatives de solidarité et encourager l’égalité et la justice sociale. Son charisme, son élégance et sa générosité ont marqué ses contemporains et continuent d’inspirer les nouvelles générations.

Claudia Cardinale laisse derrière elle une filmographie impressionnante et diversifiée, un parcours unique qui traverse continents et décennies, et un attachement sincère à ses origines méditerranéennes. Son talent, son humanité et son amour pour la Tunisie resteront gravés dans la mémoire collective, faisant d’elle non seulement une légende du cinéma, mais également une véritable ambassadrice de sa terre natale. Chaque film, chaque rôle, chaque souvenir qu’elle partageait témoignait de sa passion pour l’art et de son attachement à ses racines, et c’est cette continuité entre ses expériences personnelles et artistiques qui définit son héritage exceptionnel.

Neïla Driss

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