Tunis, UNIVERSNEWS (Social) – Dans une déclaration précédant le démarrage des travaux de la commission administrative extraordinaire de l’UGTT tenue à Tunis pour discuter des derniers développements notamment suite à l’attaque ayant ciblé l’organisation syndicale jeudi dernier, le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi a assuré que « l’UGTT n’est pas au-dessus de la loi. Toute partie disposant de dossiers ou d’informations sur des soupçons de corruption visant l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) ou ses dirigeants est appelée à saisir la justice », a-t-il souligné.
Le secrétaire général de la centrale syndicale a affirmé que le bureau exécutif tolère la critique constructive, mais rejette « la diffamation et les fausses accusations». Il a, à ce propos, dénoncé la campagne de dénigrement et de diabolisation menée contre des dirigeants de l’UGTT rappelant que les manifestants rassemblés, jeudi dernier, devant le siège de la centrale syndicale ont tenté de faire intrusion aux locaux de l’organisation et ont brandi des slogans hostiles revendiquant le gel de son activité.
A cette occasion, Taboubi a rappelé le rôle historique de l’UGTT dans le mouvement national et la lutte pour l’indépendance, soulignant que la centrale syndicale a été fondée sur « l’esprit patriotique et le sens des responsabilités ».
Il a, en outre, critiqué «la politique des deux poids, deux mesures» dans l’octroi des autorisations de manifestations, affirmant que parfois les activités de l’UGTT ne sont pas autorisées alors que « la voie reste libre » pour ses opposants.
Taboubi a souligné que l’UGTT a longtemps revendiqué la suppression de la sous-traitance et défendu les droits des travailleurs en situation précaire notamment les enseignants suppléants et les docteurs chômeurs.
Déplorant l’absence de dialogue avec le gouvernement, il a réaffirmé que la grève n’est pas une fin en soi pour l’UGTT, mais un moyen de pousser à la négociation.
« Plus de 97 % des préavis de grève dans le secteur public ont abouti à des solutions avant leur exécution », a-t-il précisé, accusant toutefois les autorités de chercher aujourd’hui « à forcer l’escalade pour affaiblir l’Union ».
Selon lui, les campagnes visant les dirigeants syndicaux s’inscrivent dans une tentative plus large de « museler les composantes de la société civile ».
Il a assuré que l’UGTT continuera à défendre les droits et les libertés « dans le respect de la loi, des institutions de l’État et dans le rejet de la violence » signalant que la commission administrative nationale prendra les décisions appropriées pour riposter.
Tunis, UNIVERSNEWS (Social) – Dans une déclaration aux médias, à l’issue du point de presse précédant les travaux de la commission administrative extraordinaire, le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Sami Tahri a assuré, ce lundi, que « la grève est parmi les options envisagées pour riposter à la campagne de dénigrement menée contre l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) et à l’attaque l’ayant ciblée jeudi dernier », soulignant, toutefois, que c’est la commission administrative extraordinaire qui prendra les décisions appropriées à la fin de ses travaux ».
« Consciente que le pays n’a pas besoin de confrontation, l’UGTT prendra les décisions appropriées en toute responsabilité », a-t-il rappelé, dans ce sens, rappelant le rôle historique de la centrale syndicale en 2012 et son initiative du dialogue national pour faire sortir le pays de la crise politique et éviter les affrontements.
Des manifestants se sont rassemblés jeudi dernier à la Place Mohamed Ali à Tunis devant le siège de l’UGTT revendiquant le gel de ses activités et brandissant des slogans hostiles aux dirigeants de la centrale syndicale. Selon l’organisation, les manifestants ont même tenté de faire intrusion à ses locaux.
Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – Tout le monde se demande jusqu’où va aller l’entité sioniste, avec le génocide orchestré par le monstre sanguinaire Benyamin Netanyahu… en toute impunité et au vu et au su de toute la communauté internationale.
Hier soir, ce sont des journalistes palestiniens de la chaine qatarie El Jazeera qui ont été ciblés… et comble du sarcasme, les responsables israéliens les qualifient de terroristes pour légitimer leur crime abominable !!!
Al Jazeera a annoncé l’assassinat de cinq de ses journalistes dans une frappe israélienne ciblée contre une tente abritant des reporters près de l’hôpital Al-Shifa, dans la ville de Gaza dimanche soir. Parmi les victimes figurent le correspondant Anas Al-Sharif, 28 ans, figure emblématique de la couverture du nord de Gaza, ainsi que Mohamed Qreiqeh et les caméramans Ibrahim Zaher, Mohammed Noufal et Moamen Aliwa.
Selon Al Jazeera, l’attaque, qui a coûté la vie à deux autres personnes, constitue “un nouvel acte prémédité contre la liberté de la presse” et s’inscrit dans “une volonté délibérée de réduire au silence les témoins du siège et de l’occupation de Gaza”. L’entreprise médiatique a appelé à ce titre la communauté internationale à “mettre fin à ce génocide et à arrêter de cibler systématiquement des journalistes”.
Peu avant sa mort, Al-Sharif avait publié un message sur X décrivant des bombardements israéliens intenses et, dans une vidéo, on pouvait entendre les explosions en arrière-plan. Dans un texte rédigé avant sa mort, il affirmait n’avoir “jamais hésité à transmettre la vérité” malgré les pertes et la douleur, et exprimait ses regrets de ne pas voir grandir ses enfants, Salah et Sham.
L’armée israélienne a justifié l’attaque en accusant Al-Sharif d’être à la tête d’une cellule du Hamas, affirmant détenir des “preuves irréfutables”. Des défenseurs des droits humains, dont Mohamed Shehada de l’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’Homme, ont dénoncé des accusations sans fondement. L’ONU et plusieurs ONG avaient déjà mis en garde contre les menaces publiques de l’armée israélienne visant le journaliste.
Tunis, UNIVERSNEWS (Education) – La session de réorientation universitaire débute aujourd’hui, lundi 11 août 2025. Elle se poursuivra jusqu’au 15 août, et les résultats définitifs seront annoncés le 30 août.
Selon Mohamed Béchir Hichri, conseiller principal pour l’orientation des médias, des universités et des écoles, dans une déclaration à la Radio nationale, cette session comprend une réorientation pour ceux qui souhaitent changer de filière, que ce soit pour des raisons personnelles, de santé ou sociales.
Elle concerne également les bacheliers qui n’ont pas obtenu les filières qu’ils souhaitaient parmi leurs choix et qui disposent de dossiers pour appuyer leurs revendications, selon sa déclaration.
Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – La 63e édition du Festival des vignes de Grombalia a été lancée hier, dimanche, soir sous le slogan « Dix Ans », marquant le début de deux semaines de festivités culturelles et artistiques dans le gouvernorat de Nabeul. Le programme, qui se poursuivra jusqu’au 24 août, réunit artistes tunisiens, internationaux et troupes folkloriques, accompagné d’un défilé carnavalesque ayant attiré une large foule.
Le directeur du festival, Moez Khayati, a souligné la richesse du programme de cette édition, incluant des spectacles théâtraux, musicaux et folkloriques. Il a notamment mis en avant le carnaval d’ouverture, mettant en scène des performances tunisiennes, russes et celle de la célèbre troupe Issaouia. Samedi soir, un groupe serbe a animé une soirée internationale avec un spectacle folklorique.
Pour Najoua Gharbi, commissaire régionale des affaires culturelles à Nabeul, le festival constitue une plateforme d’échanges culturels et les autorités s’efforcent de renforcer son rayonnement international.
Par ailleurs, Ali Ammar, commissaire régional de l’agriculture, a annoncé une baisse de 25 à 30 % de la production de raisin destiné à la transformation, estimée à environ 17 000 tonnes contre 25 000 l’an dernier. Cette diminution serait due à la réduction des surfaces cultivées, accentuée par les effets des changements climatiques.
Le festival propose cette année des soirées variées :
11 août : Spectacle soufi « Salatine El Hadhra »
12 août : Soirée jeunesse avec Blingos et Sanfara
13 août : Pièce théâtrale « Visa » de Karim Gharbi
14 août : Soirée « Chansons de dessins animés »
15 août : Pièce « Lellahom » par Kaouther Bardi et Rim Zribi
16 août : Découverte des talents locaux avec « Yalla Grombalia Toughanni »
17 août : Concert de Nabiha Kraouli
18 août : Soirée rap avec Kaso
19 août : « Flash Back des années 90 »
21 août : Pièce « Laylat Ajab »
22 août : Soirée avec l’artiste égyptien Ehab Tawfik
24 août : Clôture par un spectacle soufi du musicien Sami Lajmi
Le Festival des vignes de Grombalia, alliant tradition viticole et créations artistiques, célèbre ainsi son ancrage culturel tout en relevant les défis agricoles liés au climat.
Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – La soirée du 10 août 2025 dans l’écrin du Centre culturel international de Hammamet (CCIH) a pris des allures de road-movie à travers le temps avec la dernière création de l’homme de théâtre Fadhel Jaziri. Avec « Au Violon », Fadhel Jaziri a offert bien plus qu’une pièce de théâtre : une fresque vivante et bouleversante, un récit lyrique et vibrant, qui parle autant au cœur qu’à la mémoire collective.
Présentée en avant-première à la 25ème édition des Journées Théâtrales de Carthage (JTC 2024), la pièce qui a évolué au fil des représentations jusqu’à sa nouvelle version présentée au Festival international de Hammamet dans sa 59ème édition, mêle théâtre et musique, acteurs et musiciens, pour raconter une histoire, oscillant entre l’intime et le collectif, entre le destin d’un homme et celui d’une patrie. Cette création est à la fois un récit personnel et un témoignage historique.
Dans un décor épuré, Fadhel Jaziri met en scène un violoniste à un âge avancé, ancien instrumentaliste de l’orchestre national, qui replonge dans les grandes heures de sa carrière musicale, oscillant entre espoirs, désillusions et fragments de mémoire. Ce personnage fictif, à la fois éclatant et profondément humain, devient le reflet d’une Tunisie en perpétuelle transformation, traversée par les bouleversements politiques, sociaux et artistiques. Le récit s’entrelace avec les interventions d’un luthiste et de deux violonistes, dont l’un partage sa vie avec une célèbre chanteuse fictive.
La bande sonore de la pièce est aussi riche qu’évocatrice : elle s’ouvre sur « Shéhérazade » de Rimski-Korsakov, puis enchaîne avec des classiques d’Oum Kalthoum, de Mohamed Abdelwaheb, de Naama, ou encore de Leila Mourad. Ses souvenirs le ramènent également au Conservatoire de Tunis, alors dirigé par Ahmed Achour, à l’institution El Rachidia, et à un professeur tchèque qui lui fit découvrir « Clair de Lune » de Beethoven.
La nostalgie prend corps dans une vaste fresque de moments et de figures qui ont façonné soixante ans d’histoire tunisienne : Mohamed Driss et son Mourad III, Habib Boularès, Fredj Chouchane, Ridha Kalai, Zoubeir Turki, Adriano Celentano, Hédi Jouini… sans oublier les passages légendaires d’Oum Kalthoum, Sabah et Abdel Halim Hafez à la Coupole d’El Menzah. Porté par les acteurs Ichraq Matar, Slim Dhib, Ilyes Blagui, Mahdi Dhaker, Lotfi Safi et Ghaith Nafati, le spectacle rend également hommage aux grandes pages du théâtre tunisien, avec des œuvres telles que Arab, El Awada, El Hadhra ou encore Nouba. Une soirée théâtrale intense qui s’achève pour céder la scène, ce soir, à une escale musicale aux couleurs du Mali, avec le chanteur iconique Bassekou Kouyaté accompagné de son groupe Ngoni Ba.
Dette intérieure : un parapluie provisoire qui menace l’économie à moyen terme !!
La consolidation budgétaire, alliée à des réformes structurelles favorisant la croissance, reste indispensable pour alléger la charge de la dette
À fin mars 2025, l’encours de la dette publique dépassait 135 milliards de dinars, soit déjà plus de 80 % du PIB projeté d’ici la fin de l’année
En deux ans, la dette totale est passée de 121,2 milliards de dinars en 2023 à 135,1 milliards fin mars 2025, soit une hausse de plus de 11,5 %
Tunis, UNIVERSNEWS (SEF) – La dette gonfle à un rythme soutenu, engloutissant chaque année une part croissante du budget, tandis que le recours massif à l’endettement intérieur soulage à court terme mais mine la vitalité de l’économie.
À fin mars 2025, l’encours de la dette publique dépassait 135 milliards de dinars, soit déjà plus de 80 % du PIB projeté d’ici la fin de l’année, selon la Banque centrale de Tunisie et le ministère des Finances. Cette trajectoire n’est pas qu’une statistique : elle illustre un pays où l’État s’endette pour payer ses dettes, où les marges de manœuvre se rétrécissent, et où chaque dinar affecté au service de la dette est un dinar en moins pour l’investissement, les services publics ou le soutien à la croissance.
Dans ce paysage budgétaire contraint, la dette intérieure s’impose comme une bouée de sauvetage… mais une bouée lestée, dont le poids pourrait bien précipiter l’économie vers des eaux encore plus profondes.
Une dette qui dépasse les 135 milliards de dinars !!!
Selon les dernières données publiées par la Banque centrale de Tunisie (BCT) et le ministère des Finances, l’encours de la dette publique a atteint 135,1 milliards de dinars à fin mars 2025, soit une hausse de +7,2 % par rapport à la même période l’an dernier.
La répartition est la suivante :
Dette intérieure : 77 milliards de dinars (57 % du total)
Dette extérieure : 58,1 milliards de dinars (43 %)
L’évolution de la dette publique tunisienne entre 2023 et 2025 met en lumière une tendance préoccupante : une progression continue et soutenue, tant sur le plan de l’encours total que de la part de la dette intérieure. En deux ans, la dette totale est passée de 121,2 milliards de dinars en 2023 à 135,1 milliards fin mars 2025, soit une hausse de plus de 11,5 %. Cette croissance est principalement alimentée par la dette intérieure, qui a bondi de 65,2 à 77 milliards de dinars, portant sa part de 53,8 % à 57 % du total. En parallèle, la dette extérieure progresse à un rythme bien plus modéré, traduisant la stratégie de substitution par des financements domestiques.
Si cette orientation permet de réduire l’exposition aux chocs de change, elle exerce en revanche une pression accrue sur la liquidité nationale et renforce la compétition entre État et secteur privé pour l’accès au crédit.
Si la tendance actuelle se maintient, la Loi de finances 2025 prévoit un encours total atteignant 147,4 milliards de dinars d’ici décembre, soit 80,5 % du PIB.
Le service de la dette, un gouffre budgétaire !!!
À fin mars 2025, le service de la dette (remboursements et intérêts) a déjà englouti 9 milliards de dinars, en hausse de +26 % sur un an.
Principal remboursé : 7,4 milliards (+38,6 %)
Intérêts : 1,6 milliard (–10,4 %)
En 2024, ce fardeau avait déjà atteint 24,8 milliards de dinars, soit près de 20 % des dépenses publiques.
L’option « dette intérieure » : une solution à double tranchant
Face aux difficultés de mobilisation de financements extérieurs – souvent conditionnés à des réformes économiques impopulaires, la Tunisie a opté ces dernières années pour un recours massif à la dette intérieure. Sa part est ainsi passée de 39,6 % en 2021 à plus de 58 % en 2025, selon les projections de la Banque centrale.
Cette stratégie présente un avantage immédiat : elle réduit la dépendance vis-à-vis des bailleurs internationaux et limite l’exposition aux fluctuations des devises étrangères. Elle permet également à l’État de continuer à se financer même lorsque les négociations avec le FMI ou d’autres partenaires sont en suspens.
Mais cet apparent « confort » cache plusieurs effets pervers :
Assèchement des liquidités : l’État mobilise massivement l’épargne nationale via les banques et les investisseurs institutionnels, réduisant la capacité de financement des entreprises privées.
Hausse du coût de l’argent : la concurrence entre l’État et le secteur privé pour accéder aux ressources disponibles renchérit les taux d’intérêt.
Allongement des délais de paiement : faute de liquidités suffisantes, l’État retarde souvent le règlement de ses fournisseurs et prestataires, ce qui fragilise le tissu économique et provoque un effet domino sur les délais de paiement entre entreprises.
Risque de saturation du marché domestique : à force de solliciter les mêmes sources de financement, l’État s’expose à un tarissement progressif de l’épargne disponible.
En clair, la dette intérieure agit comme un parapluie à court terme qui protège temporairement, mais dont le poids risque à moyen terme de freiner l’investissement productif, d’accentuer les tensions sur la trésorerie des entreprises et de ralentir encore la croissance.
Un risque macroéconomique bien réel
Une dette publique équivalente à plus de 80 % du PIB place la Tunisie dans une zone de risque, surtout dans un contexte de croissance faible, de déficit budgétaire persistant et de réserves de change fragiles.
Si rien n’est fait pour stimuler la croissance et maîtriser les dépenses, la spirale de l’endettement pourrait devenir incontrôlable.
L’évolution de la dette publique tunisienne entre 2023 et 2025 reflète à la fois les contraintes financières auxquelles le pays est confronté et les choix stratégiques opérés pour y faire face.
Le recours accru à la dette intérieure a permis de maintenir un accès au financement dans un contexte international incertain, tout en réduisant l’exposition aux risques de change. Toutefois, cette orientation exige une gestion prudente afin d’éviter un effet d’éviction sur l’investissement privé et de préserver la stabilité macroéconomique.
La consolidation budgétaire, alliée à des réformes structurelles favorisant la croissance, reste indispensable pour alléger la charge de la dette et renforcer la résilience de l’économie nationale.
En résumé : la Tunisie navigue en eaux financières troubles. La dette publique est devenue l’ombre qui plane sur toutes les politiques économiques, limitant les marges de manœuvre et pesant sur l’avenir. Le pays doit rapidement engager une stratégie de désendettement couplée à des réformes structurelles, sous peine de voir l’étau budgétaire se transformer en nœud coulant.
Tunis, UNIVERSNEWS (Basket) – La Tunisie prendra part à la phase finale du Championnat d’Afrobasket qui se tient en Angola du 12 au 24 août courant en Angola. Cette année, la phase de groupes se tiendra du 12 au 17 août dans deux villes : Luanda et Namibe. Les matchs de qualification en quarts de finale, les quarts, les demi-finales et la finale auront lieu à Luanda. Les 16 équipes participantes sont réparties en 4 groupes. Le 1er de chaque groupe se qualifie directement pour les quarts de finale. Les équipes classées 2ème et 3ème joueront les barrages pour décrocher une place en quarts de finale. Les vainqueurs de ces barrages vont retrouver les 4 qualifiés directs en quarts de finale. Les matchs de groupes se joueront du 12 au 17 août.
Les barrages sont programmés les 18 et 19 août. Les quarts de finale se tiendront les 20 et 21 août. Les demi-finales auront lieu le 23 août. La 3ème place et la finale sont prévues le dimanche 24 août.Les vainqueurs des 30 dernières éditions sont : Angola (11), Sénégal (5), Égypte (5), Tunisie (3), Côte d’Ivoire (2), Centrafrique (2), Nigeria (1) et Maroc (1). (M.S)
Voici le programme des matchs de l’équipe tunisienne de basketball, tenante du titre des deux dernières éditions, lors de la phase de groupes :
Groupe B :
Mercredi 13 août 2025 (17h30) : Tunisie — Cameroun
Vendredi 15 août 2025 (14h30) : Tunisie — Nigeria
Dimanche 17 août 2025 (14h30) : Tunisie – Madagascar
Tunis, UNIVERSNEWS (NAT) – Depuis le 1er janvier 2025 et jusqu’au 7 août courant, le nombre de morts suite aux accidents de la route a atteint 458. Il s’agit là d’une hausse de 9,13% par rapport à la même période de l’année précédente, selon les chiffres fournis par l’Observatoire national de la sécurité routière sur son site officiel.
Plus de détails, l’Observatoire a ajouté que le taux de décès chez les hommes s’est élevé à 86 % et à 13,79 % chez les femmes, soulignant que les jeunes et les adultes (âgés de 18 à 59 ans) sont les plus touchés par les accidents de la route en Tunisie, avec un nombre de 458 morts depuis janvier 2025 jusqu’au début du mois d’août.
Il a également souligné que les points noirs qui enregistrent le plus grand nombre d’accidents sont au nombre de cinq et se trouvent dans les gouvernorats de l’Ariana, de la Manouba, de Ben Arous et de Sfax (n° 1 et n° 14).
Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – La scène culturelle et artistique tunisienne vient de perdre l’illustre artiste, comédien, dramaturge et metteur en scène Fadhel Jaziri, décédé à l’âge de 77 ans après un long combat contre la maladie.
Avec sa disparition, la Tunisie perd l’une de ses plus grandes icônes dans les domaines du théâtre, de la musique et du cinéma. Le défunt était un artiste exceptionnel, polyvalent et profondément ancré dans la scène culturelle tunisienne et arabe.
Fadhel Jaziri a laissé un précieux héritage artistique, fruit de plus de quatre décennies de contributions à la scène culturelle et artistique. Il a interprété des rôles dans plusieurs oeuvres cinématographiques et réalisé de nombreux films, dont « Thalathoun » (Trente) et « Khousouf » (Eclipse).
Son nom est profondément ancré dans la mémoire du public grâce à de nombreux spectacles musicaux marquants, notamment « Nouba » (1991), qui a réuni des centaines de voix remarquables, ainsi que « la Hadhra », présenté en plusieurs versions au fil des années, ou encore « Mahfel », spectacle d’ouverture de la 57ème édition du Festival international de Carthage (FIC 2023). Mais aussi d’autres productions théâtrales et musicales ayant rencontré un immense succès populaire, dont la plus récente, « Au Violon », présentée dans la soirée du dimanche 10 août 2025 dans le cadre de la 59ème édition du Festival international de Hammamet (FIH2025).
Tunis, UNIVERSNEWS (Justice) – Le premier juge d’instruction près le Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a décidé de prolonger de quatre mois la détention préventive de Mohamed Ali Boukhatem, ancien secrétaire général régional du mouvement Ennahdha à Ben Arous. Le juge d’instruction du Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme avait précédemment émis un mandat de dépôt contre l’ancien secrétaire général régional du mouvement Ennahdha à Ben Arous pour des accusations et des crimes à caractère terroriste.
Tunis, UNIVERSNEWS (Météo) – Les températures maximales seront comprises entre 29 et 34 degrés C dans les régions côtières et sur les hauteurs et entre 35 et 39 degrés C dans le reste des régions. La mer sera calme à peu agitée et progressivement moutonneuse dans le Golfe de Tunis et les côtes Est.
Temps clair à peu nuageux sur la plupart des régions, et ces nuages deviendront progressivement plus denses, l’après-midi, sur les régions Ouest avec apparition de cellules orageuses locales accompagnées de pluies avec possibilité de chutes de grêle dans des endroits limités.
Le vent soufflera de secteur nord au Nord et de secteur est au Centre et au Sud faible à modéré, se renforçant en fin de journée près des côtes et à l’extrême Sud. Il Soufflera fort sous orages et sa vitesse dépassera temporairement 60 km/h sous forme de rafales.
Tunis, UNIVERSNEWS (Foot) – Les matches de la première journée de la Ligue 1 du football professionnel (saison 2025-2026) ont réservé bien des surprises, ce dimanche, suite aux défaites inattendues de l’Etoile du Sahel et du CS Sfaxien, alors que la JS Omrane, l’ES Zarzis et l’US Ben Guerdane ont brillé dès leur entrée en lice.
Au stade Chedly Zouiten, la JS Omrane a signé une victoire de prestige en s’imposant 3-1 face à l’Etoile du Sahel. Les hommes de Mohamed Araouri ont rapidement pris les devants avec deux buts coup sur coup signés Mohamed Amine Ben Amor (36e) et Chiheb Zoghlami (39e). Malgré un but de sa nouvelle recrue sénégalaise Moussa Senghor sur penalty (50e), les protégés de Lassâad Dridi n’ont pas su revenir dans le match. Un second penalty transformé par Iheb Ben Rejeb (67e) a scellé le sort de la rencontre. Après ce faux départ, les étoilés sont appelés à réagir face au Club Africain lors de la 2e journée.
Même scénario au stade Mhiri, où l’Espérance de Zarzis est venue s’imposer 2-1. Moumen Rahmani a ouvert le score dès la première minute, et malgré l’égalisation de l’Ougandais Travis Mutyaba juste avant la pause (45e), la formation zarzissienne a repris l’avantage grâce à un second but de Rahmani (68e), bien aidé par une erreur défensive du CSS. Une entrée en matière difficile pour l’équipe de Mohamed Kouki, encore en quête de stabilité.
Au stade Mustapha Ben Jannet, l’Union Sportive Monastirienne et le Stade Tunisien s’ont pu se départager (1-1). Adam Arous a ouvert le score pour les Bardolais (30e), confirmant les promesses affichées lors de la Supercoupe, tandis que Moez Haj Ali a égalisé pour les locaux (67e). Malgré une domination monastirienne en fin de match, les visiteurs ont bien géré la pression et fermé tous les espaces.
L’Union Sportive de Ben Guerdane a, pour sa part, idéalement lancé sa saison en s’offrant l’Olympique de Béja (2-0) grâce à deux réalisations des nouvelles recrues estivales, Idriss Mhirsi (25e) et Iyeh Haj Khalifa (29e). Une première victoire qui permet aux locaux d’engranger une bonne dose de confiance en prévision des prochaines journées.
RESULTATS
Samedi 9 août :
A Radès : Club Africain – AS Marsa (1 – 0)
CA : Mohamed Sadok Mahmoud (73)
A Kairouan : JS Kairouan – AS Soliman (1 – 0)
JSK : Abdoulaye Kanou (90)
A Gabès : AS Gabès – Espérance de Tunis (0 – 0)
A Metlaoui : ES Metlaoui – CA Bizertin (0 – 0)
Dimanche 10 août :
Au Zouiten : JS Omrane – Etoile du Sahel (3 – 1)
JSO : Mohamed Amine Ben Amor (36), Chiheb Zoghlami (39), Iheb Ben Rejeb (67 sp)
Tunis, UNIVERSNEWS (Syndicat) – La direction de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) semble convaincue que l’heure de la confrontation avec les autorités politiques est imminente. Elle a donc entrepris de réorganiser ses affaires internes en œuvrant pour une réconciliation globale, qui sera consolidée après la réunion extraordinaire de la commission administrative qui se tiendra au siège de l’organisation demain.
Les principaux axes de cette « réconciliation syndicale » incluent la levée du gel des activités de plusieurs dirigeants syndicaux, l’avancement de la date du congrès national extraordinaire à décembre 2025 et, surtout, la résolution du profond désaccord entre Noureddine Taboubi et les syndicalistes de la région de Sfax. Des efforts ont été déployés ces deux derniers jours, et ils font fondamentalement face aux craintes des syndicalistes de Sfax, de voir Taboubi se retourner contre l’accord après avoir surmonté la pression qu’il subit actuellement.
Tunis, UNIVERSNEWS (Basket) – Sofiane Jéribi a été élu nouveau Président de la Fédération tunisienne de basket-ball après avoir rivalisé avec Jalal Ben Tekaya, lors de l’assemblée élective tenue aujourd’hui dimanche 10 août 2025 (33 voix contre 31 )
Voici la composition du nouveau bureau fédéral :
Sofiane Jéribi (Président)
Dr Mohamed Raouf Rekik (Vice-président)
Membres : Saleh Al-Mejri, Mehdi Sami Al-Ajimi, Amal Daoud, Wajih Al-Aloui, Salim Al-Shabi, Olfa Al-Marsaoui, Marwan Al-Hamami, Habiba Saadoun, Tarek Hassouna et Najm Al-Din Al-Fayyadhi.
La victoire de Sofiane Jéribi est perçue comme une adhésion à un projet ambitieux et fédérateur. La liste de Sofiane Jéribi s’était engagée, lors de sa campagne, à insuffler une nouvelle dynamique à la Fédération, en mettant l’accent sur la transparence, la modernisation des structures et le soutien au développement des clubs et de l’équipe nationale. Sa vision inclut également une meilleure gestion des compétitions, le renforcement de la formation des jeunes talents et l’amélioration des relations avec les instances internationales.
Cette élection intervient dans un contexte de débats intenses sur l’avenir du Basketball tunisien , marqué par des attentes élevées tant au niveau des compétitions nationales que des performances des sélections tunisiennes sur la scène internationale. (M.S)
Tunis, UNIVERSNEWS (Patrimoine) – Le Couscous appartient aux pays du Maghreb et chaque région a ses propres saveurs, ses propres traditions. C’est dans cadre que Gammarth abrite la huitième édition du Festival maghrébin du couscous s du 11 au 17 août 2025, avec la participation d’une sélection de chefs amateurs et professionnels de différentes régions du pays, ainsi qu’une présence maghrébine remarquable, pour célébrer collectivement ce plat ancien qui est l’un des symboles les plus emblématiques du patrimoine culturel commun.
Ce Festival a pour objectif de promouvoir le patrimoine culinaire Maghrébin. Des chefs cuisiniers maghrébins feront le déplacement, pour rivaliser de créativité et d’originalité dans la préparation de Couscous et faire découvrir et parfois revisiter des recettes de ce plat patrimonial immatériel, qui a dépassé ses frontières géographiques classiques et son objectif nutritionnel initial, pour devenir une identification et un symbole de ceux qui ont vécu en Afrique du Nord. Le couscous est millénaire, les recettes sont multiples.
Au cours du festival, organisé par l’association « Nakhlet Bladi », des chefs, des artistes et des personnalités publiques se réuniront autour de plats de couscous aux formes et saveurs variées, dans une ambiance mêlant traditions et innovation.
Cet événement vise à célébrer le couscous en tant que partie intégrante de l’identité maghrébine authentique, notamment après son inscription en 2020 sur la « Liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO », contribuant ainsi à enrichir la culture et à soutenir le tourisme culinaire en Tunisie.
Voici le calendrier des événements :
-11 août 2025 : Spectacle * »Couscous du fils de la mer »* animé par Latifa Khaïri (Djerissa).
-12 août 2025 (de 10h à midi) : Spectacle « Karkar le poisson, ô ma belle » animé par Hanen Arabi (Zarzis).
-13 août 2025 : Table ronde et concours « Graines de Femmes » (Kairouan).
-16 août 2025 (de 19h à minuit) : démonstrations de cuisine, exposition, animations et séances de dégustation pour les amateurs de couscous.
-17 août 2025 (de 19h à minuit) : Spectacle de Bouzidiyya de l’artiste plasticienne et poétesse Souad Chehibi, suivi d’un spectacle musical de la chanteuse Najha Jamal. (M.S)
Tunis, UNIVERSNEWS (Social) – La grève des bacs de l’île de Djerba, initialement prévue les 10, 11 et 12 août, aux 17, 18 et 19 août, a été reportée suite à l’engagement du ministre des Affaires sociales lors d’une session préparatoire qui s’est tenue lundi dernier au siège de la préfecture de Médenine, de continuer à suivre la résolution des différentes difficultés et problèmes des bacs lors d’une réunion le 15 août au siège du ministère des Affaires sociales, selon l’Union régionale du travail de Médenine sur sa page officielle.
Il est mentionné dans le communiqué de report de la grève que la réunion de lundi s’est tenue au siège du gouvernorat de Médenine sous la présidence du gouverneur et en présence du ministre des Affaires sociales, de la direction régionale de l’équipement, de l’inspecteur régional du travail et la partie syndicale. Elle était consacrée au suivi du dossier des bacs et de ses diverses problématiques qui entravent le bon fonctionnement et le développement de ce secteur, exacerbant ainsi la tension sociale.
Il convient de rappeler que cette grève a été reportée pour la deuxième fois après avoir été initialement prévue le 31 juillet, en raison d’une situation que le syndicat considère comme difficile. Il estime que la mise en œuvre de la décision de transférer la supervision des bacs du ministère de l’Équipement au ministère des Transports pourrait améliorer la situation et élever les services à un niveau supérieur, selon une déclaration précédente du secrétaire général du syndicat de base des bacs de l’île de Djerba, Lazhar Jouili.
On attend la mise en œuvre de la décision de transfert de la supervision des bacs, les textes réglementaires et le cadre juridique, ainsi que l’examen de la création de la structure appropriée pour gérer ce service public qui revêt une importance capitale pour assurer le transport vers et depuis l’île de Djerba, qui connaît une forte affluence et une grande activité tout au long de l’année, notamment pendant les vacances. (MS)
Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – Après neuf ans d’absence, la star libanaise Najwa Karam a signé, dans la soirée du 9 août 2025, un retour en grande pompe sur la scène mythique de l’amphithéâtre romain de Carthage. La chanteuse a retrouvé un public fidèle dont l’enthousiasme avait déjà scellé le succès de la soirée à guichets fermés, dans le cadre de la 59ème édition du Festival international de Carthage (FIC).
Pendant plus de deux heures, Najwa Karam a entraîné le public dans un voyage musical mêlant tubes intemporels et nouveautés. Retransmise en direct sur la chaîne nationale Watania, Rotana Music et LBC Liban, la soirée s’est ouverte dans la ferveur d’applaudissements et d’acclamations bien avant l’apparition de la chanteuse. Lorsqu’elle a foulé la scène sur les premières notes de « Ezzik deyem ya Carthage », qu’elle avait interprétée pour la première fois en 1997 dans le même écrin, pour rendre un hommage vibrant à la cité antique et aux liens qui l’unissent à Sidon et Tyr, la foule s’est levée d’un seul élan, chantant et dansant à l’unisson jusqu’au dernier accord.
La voix puissante de Najwa Karam a aussitôt retrouvé toute son ampleur avec « bi gharamak masloube », entamé par un mawel avant d’enchaîner, avec la complicité du public, par un cocktail de son répertoire, comme « hayda haki » à « achega », « khalini choufak belayl » ou « tahamouni » et des medleys qui ont mêlé d’autres succès populaires comme « saharni », « taa janbi », « ana ma fii » et « khayarouni ».
La complicité entre Najwa Karam et son public s’est intensifiée au fil de cette soirée, empreinte de retrouvailles et de nostalgie, et portée par ce mélange habile de rythmes entraînants et de mélodies mémorables comme « w kberna ya bayi », « damaa », « tnoub », « khalik al ardh » ou « ouyoun albi ».
Vêtue d’une élégante « abaya » tunisienne, Najwa Karam a confié, lors de la conférence de presse suivant le concert, l’attachement particulier qu’elle porte au Festival international de Carthage. Elle a souligné avec émotion que c’était là sa dixième prestation sur cette scène qu’elle décrit comme inoubliable. La star de la soirée a réaffirmé sa fierté de défendre son style musical et son dialecte libanais, se réjouissant que chaque passage à Carthage soit une nouvelle occasion de graver des souvenirs mémorables.
Tunis, UNIVERSNEWS (Football) – Quatre rencontres se déroulent, aujourd’hui, dans le cadre de la première journée du championnat de la ligue professionnelle, avec un match qui attire, particulièrement, l’attention, surtout que les deux clubs, l’US Monastir et le Stade Tunisien viennent de se rencontrer, récemment, dans le cadre de la demi-finale de la coupe de Tunisie de la saison écoulée.
Stadistes et Monastiriens ont agrémenté le public d’un football de belle facture et leurs résultats de la saison dernière en sont témoin. C’est donc à une belle confrontation qu’on doit s’attendre, pour nous faire oublier le démarrage en demi-teinte d’hier.
L’Etoile du Sahel, sous la conduite de son nouvel entraîneur Lassâad Dridi, se rendra au stade Zouiten pour affronter la JS Omrane. Le club phare de Sousse, récemment réorganisé avec l’élection de Zoubeïr Baya à la présidence, espère bien lancer sa saison, en comptant sur un groupe renforcé après l’arrivée de Moussa Senghor, Najeh Ferjani, Gideon Ushi, Maher Besghaier, Mohamed Dhaoui, Hassan Diaw et Sabri Ben Hassan.
Mais la JS Omrane ne compte pas se laisser faire. Avec un recrutement massif (Mohamed Amine Ben Amor, Sami Hammami, Mohamed Askri, Souhaib Abdelli, Leo, Bilel Touati, Haroun Kouki, Bilel Mgannem, Bayrem Grami et Haythem Mhamedi), elle veut frapper un grand coup.
Le stade Mhiri accueillera, par ailleurs, une affiche prometteuse entre le CS Sfaxien et l’ES Zarzis. Tous les indicateurs montrent que l’équipe sfaxienne, dirigée par Mohamed Kouki, est bien préparée pour ce nouveau challenge. Boostée par le retour de Ali Maâloul et l’arrivée de Mohamed Salah Mhadhebi, Hamza Mathlouthi, Kevin Mondiko, Jamel Travis Mutyaba, Ammar Tayfour, Willy Onana, Hassa Mado et Draogo, l’équipe compte se remettre sur les rails après une saison ratée. Cependant, l’ES Zarzis, avec le retour de Anis Boujelbène aux commandes, et un bon mercato (Makram Seghaier, Nshuti Enost, Hédi Jertila, Zidane Labidi, Houssem Refaï, Khalil Kassab, Jassem Belkilani et Louay Dahnous) arrive avec l’ambition de confirmer ses progrès.
Le dernier match de la journée opposera l’US Ben Guerdane et l’Olympique de Béja, deux équipes qui veulent bien démarrer après des préparations agitées. Le club de Ben Guerdane a été particulièrement actif sur le marché des transferts, avec les arrivées de Salah Harrabi, Khemaies Maouani, Idriss Mhirsi, Farouk Mimouni, Lassâad Hammami, Chedly Kacem, Iyed Haj Khalifa et Fadi Felhi. L’équipe de Béja, de son côté, a concentré ses efforts sur la régularisation de sa situation financière, confirmant in extremis sa participation à la saison, mercredi dernier.
PROGRAMME (16h30)
Dimanche 10 août :
Au Zouiten : JS Omrane – Etoile du Sahel (arb : Aymen Nasri)
A Monastir : US Monastir – Stade Tunisien (arb : Khaled Gouider)
A Sfax : CS Sfaxien – ES Zarzis (arb : Amir Loucif)
A Ben Guerdane : US Ben Guerdane – O. Béja (arb : Achraf Haraketi)