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Gestern — 29. Juli 2025Haupt-Feeds

85% des Marocains connectés à la 5G en 2030: un nouveau plan ambitieux lancé

29. Juli 2025 um 13:03

Le Maroc voit ses ambitions à la hausse en matière de connectivité mobile. L’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) a annoncé le 25 juillet le lancement d’un plan d’investissement massif de 80 milliards de dirhams, soit près de 8,9 milliards de dollars, pour généraliser l’accès à la 5G dans le Royaume. L’objectif est désormais de couvrir 85% de la population marocaine d’ici à 2030, au lieu des 70% initialement fixés dans la stratégie «Maroc Digital 2030».

Le programme débutera fin 2025 et s’inscrit dans une dynamique nationale de transformation numérique. En plus du déploiement de la 5G, l’ANRT prévoit de mettre à jour le Plan national des fréquences (PNF), d’étendre le réseau de fibre optique et d’améliorer l’accès au haut débit, notamment dans les zones rurales, montagneuses et insuffisamment desservies. Une enquête nationale sera menée afin d’identifier les localités à faible couverture et les intégrer dans un plan prioritaire d’aménagement numérique.

 

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La BCT veut se protéger contre les cyberattaques: un appel d’offres lancé pour une solution anti-ransomware

29. Juli 2025 um 11:03

La Banque centrale de Tunisie (BCT) a annoncé ce mardi 29 juillet 2025 le lancement d’un appel d’offres national pour acquérir et mettre en place une solution de sécurisation anti-ransomware de sa plateforme de sauvegarde. L’objectif: renforcer la protection de ses données sensibles contre les attaques informatiques, notamment les rançongiciels, tout en assurant la continuité de ses services.

Dans ce cadre, la BCT cherche à s’équiper d’une solution complète incluant l’acquisition de la technologie, sa mise en œuvre ainsi qu’un programme de formation. L’initiative s’inscrit dans une stratégie plus large de mise à niveau des systèmes de sécurité de l’institution financière, conformément aux normes et recommandations en matière de cybersécurité.

Les entreprises intéressées par le marché peuvent retirer le dossier de consultation à l’adresse du siège de la Banque centrale à Tunis ou le demander par e-mail. Les offres doivent être soumises sous pli fermé au plus tard le 25 août 2025 à midi. Seul le cachet du bureau d’ordre de la BCT fera foi pour la date de réception.

Le dossier de candidature doit comporter un ensemble complet de documents administratifs, techniques et financiers. Notamment: une déclaration sur l’honneur, un cautionnement provisoire de 2 000 dinars, une attestation CNSS valide, ainsi qu’une preuve d’habilitation à commercialiser les solutions proposées. L’offre technique devra décrire en détail la solution envisagée, les qualifications de l’équipe intervenante, ainsi que la méthodologie de mise en œuvre.

L’appel d’offres précise également que toute indication sur l’identité du soumissionnaire ou le contenu financier sur l’enveloppe extérieure entraînera le rejet automatique de l’offre. Une fois soumises, les propositions seront valables pendant 120 jours à compter de la date limite de dépôt.

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11 entreprises s’unissent pour produire du lait en poudre en Algérie

29. Juli 2025 um 10:46

Baladna Algeria a signé des contrats initiaux d’une valeur de plus de 500 millions de dollars pour lancer la première phase de son projet agro-industriel intégré en Algérie. Ce projet, dédié à la production de lait en poudre, représente un investissement total de 3,5 milliards de dollars. Les accords ont été conclus avec des fournisseurs et des cabinets de conseil algériens et internationaux.

L’événement marque le coup d’envoi officiel de l’un des plus grands projets laitiers au monde, destiné à renforcer la sécurité alimentaire de l’Algérie et réduire sa dépendance aux importations.

Baladna Algeria, société par actions créée par Baladna Q.P.S.C. et le Fonds national d’investissement d’Algérie, pilotera ce projet qui couvrira 117 000 hectares. L’objectif principal est de satisfaire 50% de la demande nationale algérienne en lait en poudre, tout en générant plus de 5 000 emplois et en contribuant aussi à la production de viande rouge.

Les contrats signés concernent notamment les technologies agricoles, les lignes de production, l’équipement d’irrigation, le forage de puits, ainsi que les études d’impact environnemental et topographiques. Parmi les entreprises internationales mobilisées figurent GEA (Allemagne), Valmont (États-Unis), Urbacon UCC (Qatar) et EHAF (consultant en ingénierie). Du côté algérien, des entreprises comme Condor-Travocovia, RedMed Contracting et EFORHYD seront également impliquées.

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Code de la route: ce qui change pour les motos

29. Juli 2025 um 09:17

Les conducteurs de deux-roues devront bientôt s’habituer à garder leurs phares allumés, même en plein jour. C’est l’une des nouveautés majeures du projet de réforme du Code de la route annoncé lundi 28 juillet 2025 par Sami Rachikou, directeur de la Police de la circulation, sur les ondes de la Radio nationale.

Cette mesure, déjà en vigueur dans plusieurs pays européens, vise à améliorer la visibilité des motos et à réduire les accidents impliquant ce type de véhicule, particulièrement vulnérable dans le trafic. Selon Rachikou, «il s’agit d’une mesure de bon sens qui permettra de sauver des vies». Le gouvernement mise ainsi sur une approche préventive pour renforcer la sécurité routière.

Le texte du projet de réforme, élaboré en collaboration avec les ministères du Transport et de l’Équipement, a déjà été validé en Conseil ministériel. Il sera prochainement soumis à l’Assemblée des représentants du peuple pour adoption après la trêve parlementaire.

Parmi les autres changements à venir figure le lancement d’une application mobile dédiée à la circulation: les usagers pourront y consulter leurs infractions en temps réel, payer leurs amendes et accéder à des contenus de sensibilisation. Cette digitalisation s’inscrit dans une stratégie plus large pour moderniser la gestion de la circulation et responsabiliser les automobilistes.

En parallèle, la Direction générale de la circulation et l’Observatoire national de la sécurité routière intensifient leurs campagnes de sensibilisation, avec pour objectif d’ancrer une culture de prudence sur les routes tunisiennes.

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La SAM rebondit au deuxième trimestre 2025 malgré un recul de l’export en Libye

29. Juli 2025 um 08:42

La société SAM a enregistré une progression de 8% de son chiffre d’affaires au deuxième trimestre 2025, selon ses indicateurs d’activité publiés sur le site du Conseil du marché financier (CMF). Ce rebond a permis de compenser le recul de 6% enregistré au premier trimestre, portant la croissance globale des revenus à 2% pour le premier semestre par rapport à la même période en 2024.

Ce redressement s’explique principalement par la performance du marché local, alors que les ventes à l’export ont fortement baissé. La chute s’explique par un effet de base défavorable: en 2024, la SAM avait réalisé une opération exceptionnelle en Libye qui représentait à elle seule 66% du chiffre d’affaires semestriel.

Malgré cette baisse à l’international, le chiffre d’affaires consolidé du groupe a crû de 4% au premier semestre 2025, porté par une dynamique soutenue sur le marché domestique. Autre indicateur encourageant: le carnet de commandes confirmées à la fin juin s’élève à 3,5 millions de dinars, assurant une bonne visibilité sur le second semestre.

En revanche, les investissements ont fléchi. À fin juin 2025, leur montant cumulé est en recul de 14% comparé à la même période l’année précédente.

Côté finances, l’endettement de la société s’est alourdi de 49%, atteignant 1.072 mille dinars. Cette augmentation est due à un recours au financement de stock (400 mille dinars) destiné à préserver la trésorerie et à honorer les engagements de livraison pour le second semestre.

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Délice Holding divise par deux la valeur nominale de ses actions

28. Juli 2025 um 14:10

Délice Holding a annoncé une décision stratégique qui pourrait dynamiser l’intérêt des investisseurs. L’Assemblée générale extraordinaire de la société, tenue le 23 mai 2025, a approuvé le fractionnement de la valeur nominale de ses actions, passant de 10 à 5 dinars.

Ce split, qui prendra effet le 1er août 2025, permettra à Délice Holding d’augmenter significativement le nombre de ses titres en circulation, passant à 109 814 524 actions. Ce changement vise à améliorer la liquidité du titre en Bourse, le rendant plus accessible à un plus grand nombre d’investisseurs, notamment les petits porteurs.

Cette opération technique n’affecte ni la valeur globale du capital de la société ni les droits des actionnaires existants. Elle est souvent perçue comme un signal positif sur la solidité et les perspectives de croissance d’une entreprise.

 

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Votre permis de conduire serait suspendu si…

28. Juli 2025 um 11:11

Un nouveau texte est sur le point de bouleverser les habitudes des automobilistes tunisiens: le retrait du permis de conduire redeviendra obligatoire en cas d’infractions graves, comme le franchissement d’un feu rouge ou un excès de vitesse important. C’est ce qu’a annoncé Sami Rachikou, directeur de la police de la circulation au ministère de l’Intérieur, ce lundi 28 juillet 2025, lors de son intervention dans l’émission “يوم سعيد” sur la Radio nationale.

Ce projet de réforme, élaboré en concertation avec les ministères du Transport et de l’Équipement, vise à rétablir une sanction immédiate et dissuasive face à la montée des comportements dangereux sur la route. Selon Rachikou, le retrait du permis s’appliquera dès un dépassement de la vitesse autorisée de plus de 10 km/h:
– +10 km/h → retrait du permis pour 1 mois
– +20 km/h → retrait pour 2 mois
– +30 km/h → retrait pour 3 mois

Il a également confirmé une révision de l’article 100 du Code de la route, qui permettra à la police de constater les infractions à l’aide de technologies modernes, notamment les caméras de surveillance. Une mesure qui devrait réduire la dépendance aux contrôles manuels et renforcer l’efficacité du système.

Adopté récemment en conseil ministériel, le projet de loi sera transmis au Parlement après la fin de la pause estivale, en vue d’une entrée en vigueur dans les plus brefs délais, a indiqué le directeur.

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Ces entreprises qui dominent le chocolat, et ce n’est pas toujours celles que vous croyez

28. Juli 2025 um 09:49

Le plus grand producteur de chocolat au monde c’est Nestlé, le géant de l’agroalimentaire, plus connu pour ses céréales que pour ses tablettes. C’est pourtant lui que Forbes place en tête des cinq entreprises qui pèsent le plus lourd dans l’industrie mondiale du chocolat.

Ce classement de top 5, relayé récemment par Forbes Middle East, surprend par l’absence de certaines marques célèbres comme Mars ou Ferrero, souvent citées dans les listes des plus gros vendeurs de chocolat. La raison: ces classements se basent ici sur la valeur globale des entreprises, leur puissance financière, leur capitalisation boursière et leur présence mondiale, et non uniquement sur le chiffre d’affaires réalisé grâce au chocolat.

En deuxième position, on retrouve Mondelez International, propriétaire de marques iconiques comme Milka, Toblerone ou encore Côte d’Or. L’entreprise américaine tire sa force de la diversité de ses produits, mais surtout de sa stratégie d’expansion agressive sur les marchés émergents.

Le podium est complété par Lindt, reconnue pour son savoir-faire suisse et son positionnement haut de gamme. Lindt mise sur la qualité et l’innovation, avec une croissance continue malgré l’envolée des prix du cacao.

À la quatrième place, The Hershey Company, emblème du chocolat américain, conserve une place de choix grâce à la fidélité du marché nord-américain et à ses marques phares comme Hershey’s, Reese’s ou encore Kisses.

Enfin, la cinquième place revient à un acteur moins connu du grand public mais incontournable dans les coulisses de l’industrie: Barry Callebaut. Basée en Suisse, l’entreprise est le plus grand producteur de chocolat industriel au monde, fournissant en masse des géants comme Nestlé ou Mondelez, et jouant un rôle clé dans la chaîne d’approvisionnement mondiale.

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Ces interdictions bizarres pourraient ruiner votre voyage d’été à l’étranger

28. Juli 2025 um 09:02

Marcher pieds nus à Portofino peut coûter jusqu’à 600 dollars. À Venise, nourrir les pigeons est puni d’une amende de 700 euros. En Grèce, les talons hauts sont interdits sur certains sites. Ces règles, souvent méconnues des touristes, peuvent transformer un simple séjour en cauchemar administratif. Pourtant, elles sont bel et bien en vigueur dans plusieurs destinations prisées. Selon plusieurs sources, il y a une liste de lois locales peu communes qui s’appliquent aux visiteurs. Loin d’être anecdotiques, ces réglementations visent à protéger le patrimoine, préserver la qualité de vie des résidents et limiter les effets du tourisme de masse.

En Italie, la ville de Portofino interdit désormais de marcher pieds nus, de boire dans la rue ou encore de porter des vêtements de plage en dehors des zones balnéaires. Toute infraction est passible d’une amende salée. À Venise, il est défendu de manger ou boire près de sites historiques comme le Colisée ou les escaliers de la Piazza di Spagna, et nourrir les pigeons de la place Saint-Marc est sévèrement sanctionné. À Barcelone et dans plusieurs villes espagnoles, les règles sont tout aussi strictes: pas de maillot de bain en ville, pas d’alcool dans la rue et interdiction de dormir sur la plage. En France, de nombreuses stations balnéaires comme Nice ou Cannes interdisent d’être torse nu ou en bikini en dehors de la plage, sous peine d’une amende pouvant aller jusqu’à 150 euros.

Des mesures locales pour préserver les lieux et limiter les abus

Ces lois ne sont pas mises en place au hasard. À Athènes, les autorités interdisent le port de talons hauts sur l’Acropole afin d’éviter d’endommager les ruines. À Singapour, la législation est encore plus rigoureuse: il est illégal d’y jeter ou même de mâcher du chewing-gum sans ordonnance médicale. Ne pas tirer la chasse dans les toilettes publiques est aussi passible d’amende. Dans tous les cas, les objectifs sont clairs: réduire les comportements jugés irrespectueux, protéger les infrastructures et encourager un tourisme plus responsable.

Certaines règles peuvent toutefois provoquer des controverses. En Algérie, à Chetaïbi, une interdiction du short pour les hommes a suscité un vif débat. La mesure a été rapidement abandonnée après les critiques. Ce genre de décision souligne la tension entre traditions locales, pression touristique et liberté individuelle.

Face à ces règles souvent inattendues, les voyageurs sont appelés à se renseigner en amont. Une simple tenue ou un geste banal peut, ailleurs, être mal perçu ou même interdit. Voyager aujourd’hui, c’est aussi comprendre et respecter les normes culturelles de l’autre.

 

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Coolny, les biscuits personnalisés devenus une marque plébiscitée

18. Juli 2025 um 12:24

Ce qui n’était au départ qu’une petite idée pour gagner un peu d’argent et pouvoir s’offrir un voyage est devenu, au fil des années, un business. Oumayma Hajjej, 29 ans, fondatrice de Coolny, raconte avec authenticité comment ses biscuits personnalisés ont conquis les cœurs… et les papilles des Tunisiens.

 Oumayma Hajjej a toujours nourri le rêve d’entreprendre. «Depuis que je suis petite, j’aime être une femme d’affaires et lancer mon propre business, mais je ne savais pas quoi exactement», confie-t-elle. L’étincelle est venue d’une recherche en ligne, où elle a découvert un blog de biscuits personnalisés. L’idée de créer des biscuits avec des messages uniques la séduit instantanément.

Avec le soutien de son père, elle se lance dans l’aventure. Les débuts avaient l’empreinte de l’apprentissage et de l’expérimentation. «Je n’étais pas du tout passionnée par la cuisine. L’attrait était de construire la marque et de faire grandir le projet petit à petit», explique Oumayma. Les premières commandes sont prises à la faculté, et la production se fait à domicile, dans des conditions parfois difficiles, mais la satisfaction des clients et le sentiment d’indépendance financière sont un moteur puissant.

Le lancement sur Instagram et Facebook est un succès immédiat. «J’ai commencé en publiant des photos, et j’ai eu ma première commande d’une fille de ma fac», se souvient-elle. Très vite, les commandes affluent, et la quantité à produire augmente.

Le déclic du B2B

Le véritable tournant pour Coolny est une proposition de collaborations en B2B (Business to Business). Les entreprises commencent à solliciter Coolny pour des commandes personnalisées. Cette demande croissante exige une structure plus formelle. «J’ai été obligée de créer une facture, d’avoir un brevet et de quitter la maison pour un atelier», raconte Oumayma. C’est en 2020 que Coolny prend ses quartiers dans un atelier dédié, marquant le début d’une nouvelle ère.

L’évolution ne s’arrête pas là. Initialement axée sur les biscuits personnalisés, Coolny diversifie son offre avec les fonds de tarte, qui deviendront un produit phare. Cette diversification a été une conséquence inattendue de la pandémie de Covid-19. «Grâce au Covid, j’ai pu débuter les fonds de tarte», dit Oumayma. Le confinement a en effet poussé l’entreprise à innover et à chercher de nouvelles solutions pour subsister, notamment en collaborant avec des épiceries pour vendre les produits.

Aujourd’hui, Coolny propose des biscuits personnalisés, des fonds de tarte, et des “cookie cups”. L’entreprise dessert presque toutes les villes de Tunisie, collaborant avec des épiceries fines et des entreprises.

Une équipe grandissante et une gestion quotidienne organisée

Ce qui a commencé comme une entreprise individuelle, avec l’aide précieuse du père d’Oumayma, est devenu une équipe de huit personnes à temps plein. Oumayma, qui est maintenant entièrement dédiée à Coolny, supervise les opérations au quotidien.

Sa journée commence tôt à l’atelier, où elle vérifie les commandes, prépare les factures et assure le suivi des livraisons. La communication avec les clients est primordiale: «Je préfère toujours la proximité avec le client», insiste-t-elle. Elle confirme donc elle-même les commandes et recueille les retours.

La production est gérée par une chef d’atelier, Lamia, qui a rejoint Coolny dès les débuts. Lamia, expérimentée dans la pâtisserie traditionnelle, a apporté un savoir-faire précieux pour adapter les recettes à la production en grande quantité et faire face aux défis techniques, comme l’exemple des “cookie cups” qui ont demandé de nombreux essais pour atteindre la recette parfaite.

Les défis et la vision d’avenir

Coolny a su dépasser de nombreux défis, allant de la pénurie de matières premières aux imprévus quotidiens liés à la gestion d’une entreprise. Mais «le vrai challenge est la persévérance», affirme-t-elle.

Au bout de quatre ans d’existence, Coolny est bien plus qu’un small business. Oumayma voit un avenir prometteur pour sa marque. L’objectif principal est de passer à l’exportation, en ciblant d’abord les marchés d’Afrique du Nord (Libye, Algérie, Maroc), où une forte demande a été identifiée grâce aux réseaux sociaux. Elle ne compte pas brûler les étapes et préfère une croissance progressive et solide.

Outre Coolny, Oumayma a également d’autres projets en tête. Sa passion pour l’apprentissage et le défi sont ses moteurs. «Tant que j’apprends de nouvelles choses, que je rencontre de nouvelles personnes, tant que j’ai l’envie, je continuerai», déclare Oumayma.

L’histoire de Coolny est une source d’inspiration pour tous ceux qui rêvent de se lancer dans l’entrepreneuriat. Oumayma estime que son expérience dans les clubs et associations universitaires lui a forgé des compétences essentielles en leadership et en gestion de projet.

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1% de taxe US sur les envois d’argent, un risque pour les pays africains?

18. Juli 2025 um 12:01

La mise en place d’une taxe américaine de 1% sur les transferts d’argent envoyés depuis les États-Unis vers l’Afrique risque de réduire les envois formels de fonds, fragilisant ainsi les économies africaines dépendantes de ces ressources. Cette baisse pourrait encourager le recours à des circuits informels, plus risqués et difficiles à tracer, avec des impacts économiques lourds: diminution des devises, recul de la consommation et des investissements dans plusieurs pays du continent.

Le 4 juillet 2025, le président américain Donald Trump a signé le «One Big Beautiful Bill Act», qui introduit cette taxe applicable dès le 1er janvier 2026. Initialement proposée à 3,5%, la taxe a été abaissée à 1% pour financer des dépenses fédérales liées à l’immigration et à la sécurité intérieure.

Ces transferts de fonds, appelés remises migratoires, constituent une source vitale pour de nombreuses économies africaines. En 2023, le continent a reçu 100 milliards de dollars via ces envois, soit environ 6% de son PIB. Ce montant dépasse largement l’aide publique au développement (42 milliards de dollars) et les investissements directs étrangers (48 milliards). Les États-Unis sont la principale source de ces fonds pour plusieurs pays comme le Nigeria, le Kenya ou le Maroc.

Certains pays plus petits, comme le Lesotho ou les Comores, sont encore plus dépendants, avec des transferts représentant plus de 20% de leur PIB. Cette taxe s’ajoute aux frais élevés déjà pratiqués par les opérateurs comme Western Union, où envoyer 200 dollars coûtait en moyenne 7,9% en Afrique subsaharienne au dernier trimestre 2023.

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La Tunisie valide la souscription au Fonds international pour le développement agricole

18. Juli 2025 um 10:31

La commission des finances de l’ARP a approuvé, jeudi 17 juillet 2025, un projet de loi autorisant l’État à souscrire au treizième renouvellement des ressources du Fonds international pour le développement agricole (FIDA) pour la période 2025-2027.

La contribution tunisienne passe de 1 million à 1,25 million de dollars. Cette augmentation vise à renforcer l’accès aux dons, à l’assistance technique et aux prêts à conditions favorables, dont la durée de remboursement peut atteindre 25 ans avec une période de grâce de 8 ans.

Le FIDA finance des projets agricoles et ruraux ciblant les populations à faibles revenus. La Tunisie collabore avec ce fonds depuis 1980, pour un montant cumulé de 215 millions de dollars, ayant permis la réalisation de 14 projets, dont certains à Siliana, Tataouine et Kébili.

Le ministère de l’Agriculture a indiqué que 65 projets ont été financés via la coopération internationale, dont 31% concernent le développement agricole intégré. Parmi les projets en cours: un programme à Kairouan (20,75 millions d’euros de prêt et 0,63 million d’euros de don) et un projet au Nord-Ouest (30 millions de dollars), destiné à 1 937 familles dans 15 délégations.

Des députés ont demandé des précisions sur les montants des abonnements précédents, les taux appliqués, la gouvernance des projets et les critères de sélection. Ils ont aussi évoqué des projets non réalisés, notamment dans le domaine de l’eau potable.

Les représentants des ministères ont expliqué que les montants sont déterminés tous les dix ans dans le cadre du plan d’investissement du FIDA. Les projets sont choisis selon les priorités de développement définies par les ministères, accompagnées d’études de faisabilité. Le suivi est assuré par des rapports réguliers, mais le manque de personnel dans les régions pousse à recourir à des bureaux d’études.

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Ces freins qui ralentissent encore le tourisme en Tunisie…

18. Juli 2025 um 09:11

Malgré des recettes en hausse et des perspectives prometteuses pour la saison 2025, le secteur du tourisme en Tunisie reste confronté à une série d’obstacles majeurs. C’est ce qui ressort de la séance d’audition du ministre du Tourisme, organisée le 16 juillet 2025 par la Commission du tourisme, de la culture, des services et de l’artisanat à l’Assemblée.

 

 

Parmi les principaux freins évoqués:

La cherté du foncier: les investisseurs font face à une flambée des prix des terrains privés et à des procédures complexes pour changer leur vocation.
Le faible accès au financement: l’endettement du secteur reste élevé, et les banques hésitent à soutenir de nouveaux projets touristiques.
La lourdeur administrative: les démarches actuelles freinent la création d’unités touristiques, notamment dans l’hébergement alternatif.
Le manque de ressources humaines spécialisées: de nombreux établissements peinent à recruter du personnel qualifié, y compris pour les fonctions de contrôle qualité.
La faiblesse des moyens de promotion: les budgets alloués au marketing restent limités, en particulier pour les actions de communication digitale.
Les lacunes du transport aérien: l’irrégularité des vols et le manque de liaisons pénalisent l’accès à certaines destinations.
Les déséquilibres tarifaires: les députés ont relevé le coût élevé des séjours pour les Tunisiens, comparé aux tarifs souvent préférentiels pour les étrangers.
La fermeture de nombreuses unités touristiques: plusieurs établissements restent inactifs, sans plans clairs de réhabilitation.
Les atteintes aux droits des usagers: des cas de vente conditionnée, de restrictions à l’accès aux plages ou encore d’imposition vestimentaire ont été signalés.
La désorganisation du secteur artisanal: les artisans font face à un manque de matières premières, à des coûts élevés et à une faible présence d’événements de valorisation, notamment dans les régions.
Le flou autour des plateformes numériques: certaines plateformes étrangères opèrent en dehors du cadre réglementaire tunisien, notamment dans l’hébergement alternatif.

Face à ce diagnostic, les parlementaires ont appelé à une réforme structurelle du secteur, à la fois sur le plan législatif, organisationnel et financier, afin de lever ces blocages et garantir un développement durable et inclusif du tourisme tunisien.

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Artes: la famille Mzabi vend, deux entreprises achètent

17. Juli 2025 um 14:50

Le capital d’Artes a connu une réorganisation stratégique notable, à la suite d’importants mouvements de titres enregistrés le 11 juillet 2025. Ces opérations, rendues publiques par la Bourse des valeurs mobilières de Tunis (BVMT) aujourd’hui 17 juillet, traduisent une redistribution interne des participations au sein de la famille Mzabi, via ses différentes structures.

Deux membres de la famille, Azza Mzabi et Faouzia Mzabi, ont cédé respectivement 1 750 267 et 1 690 668 actions Artes, à un prix unitaire de 7,550 dinars tunisiens. Le montant global des deux opérations dépasse 25,9 millions de dinars.

Dans le même temps, Alpha Action Management — une entité dirigée par Azza Mzabi — a acquis le même volume que celui cédé par cette dernière, soit 1 750 267 actions pour un montant équivalent de 13,2 millions de dinars. 

En parallèle, FMZ Holding, autre société liée à la famille Mzabi, représentée par Faouzia Mzabi en qualité de gérante, a également déclaré une acquisition significative. Selon la déclaration officielle publiée le 17 juillet, FMZ Holding a acquis 1 690 668 actions Artes à la même date, au prix de 7,550 dinars, pour un montant total de 12,76 millions de dinars.

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Neila Ben Zina décorée chevalier de la Légion d’honneur pour son engagement entre l’Europe et l’Afrique

17. Juli 2025 um 12:55

L’entrepreneure franco-tunisienne Neila Ben Zina a été nommée chevalier de la Légion d’honneur le 14 juillet. Cette distinction, la plus prestigieuse de la République française, vient saluer un parcours exemplaire à la croisée de la technologie, de l’inclusion et de la formation entre les deux rives de la Méditerranée.

Fondatrice et dirigeante de Wimbee, Campusna et Holberton School Tunis, elle est aussi très active au sein de la French Tech Tunis et du Réseau Entreprendre Tunisie. À travers ces engagements, elle contribue à faire de la data et de l’intelligence artificielle des outils d’émancipation et de requalification professionnelle, en particulier pour les jeunes et les talents sous-représentés.

La distinction vient confirmer un parcours déjà salué par plusieurs institutions. Pour mémoire, Neila Ben Zina figurait en avril 2025 dans le classement “50 Over 50” de Forbes France, qui met à l’honneur les femmes les plus influentes de plus de 50 ans. Elle y était reconnue pour son leadership visionnaire et son impact à l’échelle euro-africaine.

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Startups tunisiennes: de l’idée à l’échec, franchir 5 ans reste un exploit

17. Juli 2025 um 12:35

Créer une startup, c’est d’abord croire que son idée va apporter du changement. Premier challenge: convaincre le premier client. Mais entre le rêve, l’ambition et la réalité, le gap est énorme: dans le monde, 95% des startups ne franchissent jamais le cap des cinq ans. En Tunisie, malgré une jeunesse créative, les murs sont encore plus hauts. Bureaucratie, manque de financement, monnaie non convertible…, les embûches sont multiples, mais quelques rares funambules trouvent encore comment garder l’équilibre.

Fluoink, par exemple, est née dans un petit local à l’automne 2022. Quatre chercheurs décident de manipuler l’invisible: des nanoparticules capables de désinfecter surfaces et matériels. Très vite, leur premier produit est prêt. Mais en Tunisie, innover ne suffit pas. Les autorisations se transforment en labyrinthe administratif. 18 mois d’attente. Alors, au lieu de sombrer, ils envoient un échantillon aux États-Unis. Là-bas, les portes s’ouvrent: brevet américain, validation par un labo indépendant, investisseurs saoudiens séduits à l’Arab Health de Dubaï. Fluoink comprend qu’ici, survivre rime souvent avec partir. «Notre salut passe par l’international», répète Ramzi Maalej, cofondateur.

Ne pas mourir deux fois


D’autres ont dû se réinventer sur place. Quand la pandémie a paralysé le pays, Teskerti, première billetterie en ligne de Tunisie, s’est retrouvée sans aucun événement à vendre. Plus un dinar de recettes. Deux ans de silence. Karim Jelliti, son fondateur, se souvient de cette traversée du désert: «On était des fantômes, mais on savait qu’il fallait revenir plus forts». L’équipe a resserré ses rangs, revu son expérience client, et fait du digital le cœur de sa relance. Aujourd’hui, Teskerti revendique plus de 500 000 utilisateurs et triple son chiffre d’affaires d’avant-Covid.

Ceux qui tiennent la distance partagent un même réflexe: abandonner les batailles perdues. Ghazi Saddem, expert en stratégie et membre du Collège Startups, le martèle aux jeunes fondateurs: «Si tu dépenses ton énergie sur un marché trop petit, sans scalabilité, tu finis par t’épuiser». Pour lui, une startup qui dure est une boîte qui apprend à fuir l’immobilisme. S’adapter, pivoter, viser les marchés qui comprennent son produit : voilà le vrai test.

Comprendre le terrain pour survivre

 

Pour Ghazi Saddem, la survie se joue sur trois leviers: compétitivité, scalabilité et lucidité. «La survie se résume à la rapidité d’exécution, la maîtrise opérationnelle et la fidélisation client». Mais l’écosystème reste étouffant. Régulations fiscales kafkaïennes, loi des changes qui bloque l’accès aux devises pour acheter des services stratégiques comme l’IA, et un accompagnement souvent inadapté: «90% des programmes forment mais n’agissent pas. On recycle des méthodes pensées pour des business classiques, pas pour des startups qui doivent scaler». Résultat: beaucoup choisissent de s’installer ailleurs.
Certains secteurs trinquent plus vite: e-commerce local écrasé par des plateformes internationales, fintech coincée par une régulation archaïque, apps «lifestyle» fragilisées par des comportements utilisateurs volatils. Ghazi Saddem est cash: «Quand une startup perd ses clients, brûle sa trésorerie et voit son fondateur démoralisé, elle signe son arrêt de mort». Pour éviter cela, il rappelle une règle: comprendre la différence entre croissance et scalabilité. Vouloir lancer plusieurs produits d’un coup dilue tout. «Le product market fit doit être validé avant de s’éparpiller».
Son conseil: piloter ici, scaler ailleurs. Tester le marché local, sécuriser sa base, puis aller chercher des relais de croissance là où les freins réglementaires tombent. Comme l’a fait Fluoink en décrochant son brevet aux États-Unis pour contourner les blocages locaux.
La vraie boussole? «Rester pragmatique, écouter ses clients, anticiper les signaux d’alerte. Et, surtout, ne pas vivre dans l’utopie».
Ce que Fluoink et Teskerti racontent, c’est qu’en Tunisie, la survie est une équation entre lucidité et débrouillardise. L’écosystème reste fragile: fiscalité complexe, blocage des services internationaux, levées de fonds limitées. Trop de jeunes boîtes confondent vitesse et précipitation. Elles se dispersent au lieu de grandir pas à pas. Les signaux d’alerte sont toujours là: cash qui fond sans clients fidèles, fondateur épuisé, modèle jamais clarifié.
Traverser cinq ans, ce n’est pas un exploit. C’est une preuve qu’une startup est capable de sauter les murs sans perdre l’équilibre.

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Le dinar atteint 2,893 face au dollar: voici les chiffres de la BCT

17. Juli 2025 um 10:21

La Banque centrale de Tunisie (BCT) a publié, le 16 juillet 2025, ses derniers indicateurs financiers quotidiens. Les réserves en devises reculent, les bons du Trésor à court terme s’effondrent, tandis que les opérations de refinancement s’intensifient. En parallèle, les transactions interbancaires poursuivent leur redressement.

Le signal le plus notable reste la diminution des avoirs nets en devises, qui atteignent 23 299,3 millions de dinars (Mtnd) contre 24 424,8 Mtnd à la même date en 2024, soit une baisse de 1 125,5 Mtnd en un an. En nombre de jours d’importation, les réserves couvrent désormais 101 jours, contre 111 jours l’an passé.

Autre mouvement fort: la chute brutale des encours de bons du Trésor à court terme, passés à 3 651,2 Mtnd contre 12 529 Mtnd l’année précédente.

Concernant les transactions interbancaires, elles poursuivent leur dynamique haussière, atteignant 2 695,2 Mtnd contre 2 192,2 Mtnd en 2024.

Enfin, sur le plan des taux de change, le dinar tunisien atteint 2,893 face au dollar, un signe positif pour la Tunisie.

Il est bon de rappeler que le dinar tunisien avait atteint son plus haut niveau face au dollar avec une hausse de 6,7% le 11 juillet, s’établissant autour de 2,90 dinars.

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La chinoise Shandong Haiwang va investir 95 millions de dollars en Tunisie

17. Juli 2025 um 09:05

La société chinoise Shandong Haiwang Chemical Co a annoncé son intention d’investir 95 millions de dollars dans un nouveau projet industriel en Tunisie. Ce projet vise la production annuelle d’environ 92 000 tonnes de dérivés de bromure (Br).  

Cette annonce a été faite lors d’une rencontre tenue le 16 juillet 2025 au ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie entre la ministre Fatma Thabet Chiboub et le vice-président de la société, Wu Yonghong, en présence de hauts responsables tunisiens. L’objectif est de renforcer la coopération tuniso-chinoise dans le secteur minier, notamment autour de l’exploitation des gisements de sels et de matières à forte valeur ajoutée.

Shandong Haiwang détient déjà deux permis de recherche dans les zones de Chott El-Jérid nord et Dhouibiat sud, et ambitionne de passer à la phase de production industrielle. La ministre a assuré le soutien continu de son département aux investisseurs du secteur, notamment en matière d’encadrement, de simplification administrative et de facilitation des procédures.

Fondée en 2003, Shandong Haiwang est le premier producteur de brome en Chine et le troisième au monde. Elle affiche une capacité de production annuelle de 80 000 tonnes de brome et 170 000 tonnes de ses dérivés.

Ce nouvel investissement s’inscrit dans un contexte plus large de renforcement des relations économiques entre la Tunisie et la Chine. En 2024, les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint près de 3 milliards de dollars, en hausse de 8%. La Chine multiplie les projets en Tunisie, notamment dans les secteurs du ciment, des composants automobiles, des phosphates et des infrastructures. En mars 2025, un groupe chinois a ainsi finalisé l’acquisition d’une cimenterie tunisienne pour plus de 100 millions de dollars, et des discussions sont en cours sur d’autres projets dans les énergies renouvelables et les mines.

Le partenariat stratégique sino-tunisien, officialisé en mai 2024, a renforcé l’attractivité de la Tunisie pour les investisseurs chinois, en raison de sa position géographique privilégiée et de ses accords de libre-échange avec l’Afrique et l’Europe. 

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Deglet Ennour maintient sa place de leader dans les exportations de dattes

16. Juli 2025 um 14:18

Les exportations de dattes tunisiennes ont reculé de près de 6% entre octobre 2024 et fin juin 2025, selon les dernières données de l’Onagri. Malgré cette baisse, la variété Deglet Ennour reste ultra-dominante, représentant plus de 80% du volume exporté.

L’Union européenne est le principal marché, suivie de l’Afrique et de l’Asie. Le Maroc figure en tête des pays importateurs de dattes tunisiennes. Du côté des dattes biologiques, la filière reste encore marginale et accuse une baisse plus marquée.

Ce repli s’explique notamment par une légère baisse des prix et la conjoncture internationale moins favorable. Pour les acteurs de la filière, la Deglet Ennour reste toutefois un atout majeur pour maintenir la place de la Tunisie sur le marché mondial.

 

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