TUNIS-UNIVERSNEWS- (Justice) – La chambre criminelle près le tribunal de première instance de Tunis a condamné l’avocate Sonia Dahmani à deux ans de prison. Le juge d’instruction du tribunal de première instance de Tunis avait précédemment ordonné le renvoi de Sonia Dahmani devant la chambre criminelle pour y être jugée en vertu du décret n° 54, relatif à une déclaration médiatique qu’elle avait faite concernant la question des migrants africains en Tunisie.
TUNIS-UNIVERSNEWS- (Basket) – Dans un post sur sa page officielle, le joueur international Makram Ben Ramadan, 37 ans, a annoncé sa retraite de l’équipe nationale de basket-ball, après une carrière de plus de 18 ans sous le maillot des Aigles de Carthage : « Le moment est venu, après mûre réflexion et hésitation, de prendre une décision difficile… La décision de me retirer de l’équipe nationale et de donner une chance à d’autres, comme je l’ai fait pour moi », a-t-il déclaré, soulignant que sa carrière internationale était pleine « d’amour, de fatigue, de sacrifices et de souvenirs » qui resteront gravés dans son cœur. (M.S)
TUNIS-UNIVERSNEWS- (Social) – Une séance de travail s’est tenue dimanche 29 juin 2025, au siège du ministère des Finances, en présence du ministre des Affaires sociales, Essam El Ahmar, afin d’ examiner l’avis de grève émis par l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) concernant le débrayage des employés du ministère des Finances.
Selon un communiqué du ministère des affaires sociales, la grève, qui devait avoir lieu le 30 juin 2025, a été annulée. (M.S)
TUNIS-UNIVERSNEWS- (Divers) – Un jeune âgé de 28 ans, originaire de Mahdia, est mort noyé dimanche 29 juin à la plage Mraissa à Sidi Rais à Soliman après avoir été emporté par les vagues. Les autorités ont immédiatement dépêché les unités de protection civile, qui ont extrait son corps de l’eau. Celui-ci a été transféré à l’hôpital universitaire Mohamed Taher Mâamouri pour être examiné par la médecine légale. L’enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de ce tragique accident. (M.S)
Le tissu des PME, colonne vertébrale de l’économie nationale, est en train de s’effondrer silencieusement, faute d’un modèle de financement adapté à ses besoins
Moins de 15 % des crédits bancaires sont alloués aux PME, et cette proportion tombe à des niveaux dérisoires dans les régions de l’intérieur
À travers les écarts se lit une injustice économique profonde, mais aussi une impuissance collective à faire émerger une croissance inclusive et durable
Banques, compagnies d’assurance, sociétés de leasing, fonds d’investissement : tous doivent sortir de leur logique de gestion passive des risques
Financer les PME, ce n’est pas prendre un risque : c’est investir dans la résilience, la prospérité et la stabilité de notre pays
TUNIS-UNIVERSNEWS- (SEF) – Alors que l’économie tunisienne traverse l’une de ses périodes les plus critiques depuis la révolution de 2011, une question clé revient avec insistance : comment sauver nos petites et moyennes entreprises (PME), ce tissu économique vital qui représente plus de 90 % des entreprises du pays et plus de 70 % de l’emploi privé ?
La réponse est sans ambiguïté : il faut réformer d’urgence le modèle de financement en Tunisie.
Le tissu des petites et moyennes entreprises (PME), colonne vertébrale de l’économie nationale, est en train de s’effondrer silencieusement, faute d’un modèle de financement adapté à ses besoins. Dans un pays où les PME représentent plus de 90 % du tissu productif et plus de 70 % de l’emploi privé, leur marginalisation structurelle par le système financier ne relève plus de l’anomalie, mais du danger stratégique. Moins de 15 % des crédits bancaires leur sont alloués, et cette proportion tombe à des niveaux dérisoires dans les régions de l’intérieur. Les jeunes entreprises, les femmes entrepreneures, les projets à contenu technologique ou culturel, tous restent durablement exclus des circuits classiques du crédit, prisonniers d’un modèle fondé sur la garantie matérielle, la taille critique et l’aversion au risque. Cette situation n’est pas nouvelle, mais elle devient aujourd’hui insoutenable. Nous faisons face à une triple fracture : entre grandes et petites entreprises, entre les régions du littoral et celles de l’intérieur, entre l’économie tangible et l’économie de la connaissance.
À travers ces écarts se lit une injustice économique profonde, mais aussi une impuissance collective à faire émerger une croissance inclusive et durable. Et c’est là que se joue notre avenir. Il ne s’agit pas simplement d’ouvrir quelques lignes de crédit supplémentaires ou de créer de nouveaux guichets. Il s’agit de refonder en profondeur le système de financement tunisien, pour qu’il cesse d’être un frein à l’initiative, et devienne au contraire un levier de transformation économique.
Cette réforme doit être systémique, audacieuse et portée par une vision de long terme. Elle implique de réorienter les flux de financement vers les PME, de développer des instruments hybrides adaptés aux réalités des entrepreneurs tunisiens, de faciliter l’accès au capital pour les porteurs d’idées dans tous les territoires, et de valoriser les actifs immatériels qui font la richesse du XXIe siècle : la créativité, le savoir-faire, le numérique, l’innovation sociale. Il est également essentiel que l’État reprenne une position stratégique, non pas en se substituant au marché, mais en le guidant : en fixant des priorités claires, en créant des incitations intelligentes, en assumant son rôle de garant de la cohésion économique et sociale. Car une stratégie nationale de financement des PME n’est pas un luxe : c’est un impératif de survie, un acte de souveraineté économique. Elle permet de renforcer l’emploi, de lutter contre l’économie informelle, d’élargir l’assiette fiscale et de stabiliser les territoires. Mais l’État ne pourra rien sans l’engagement du secteur financier lui-même. Banques, compagnies d’assurance, sociétés de leasing, fonds d’investissement : tous doivent sortir de leur logique de gestion passive des risques et prendre part activement à la construction d’un modèle de croissance soutenable. Leur responsabilité est historique. Le moment est venu pour ces institutions de prouver leur utilité nationale en soutenant, avec courage, les entrepreneurs qui innovent, produisent et embauchent malgré les obstacles. Financer les PME, ce n’est pas prendre un risque : c’est investir dans la résilience, la prospérité et la stabilité de notre pays. La Tunisie ne pourra pas rebondir sans ses PME. Et celles-ci ne pourront survivre sans un environnement financier profondément repensé. Il est temps de choisir : continuer à ignorer les signaux d’alerte, ou enfin bâtir un pacte économique fondé sur la confiance, la justice et l’engagement partagé.
Financer les PME, c’est financer l’avenir de la Tunisie. Le moment est venu d’en faire une priorité nationale.
TUNIS-UNIVERSNEWS- (MONDE) – Le commandement de l’armée algérienne a publié une circulaire ordonnant aux officiers supérieurs d’abandonner l’utilisation des téléphones portables de dernière génération. Cette circulaire incluait un ordre interdisant l’utilisation de smartphones à l’avenir. Cet ordre intervient quelques jours seulement après la fin de la guerre irano-israélienne et confirme les craintes croissantes du régime algérien quant aux répercussions des accords au Moyen-Orient sur l’Afrique du Nord.
TUNIS-UNIVERSNEWS- (Justice) – La Chambre criminelle près le Tribunal de première instance de Tunis a décidé, lors de sa séance tenue aujourd’hui, lundi, de retenir le dossier déposé contre l’avocate Sonia Dahmani pour délibérations et de rendre son verdict à l’issue de la séance.
Le juge d’instruction près le tribunal de première instance de Tunis avait décidé de déférer Sonia Dahmani devant la chambre criminelle en état de liberté pour des accusations liées au décret n°54 relatif à la question des migrants africains en Tunisie, suite à des déclarations médiatiques qu’elle avait faites.
À première vue, rien d’illégal. Mais à y regarder de plus près, les signaux d’alerte sont innombrables… et ignorés
la Société ALMAJED SANTÉ a pu lever plus de 50 millions DT par le biais de billets de trésorerie, sans la moindre garantie et dans un silence comptable prolongé
117 billets sont échus et impayés, représentant 15,550 millions DT en défaut. Le reste (249 billets) pour 35,9 millions DT, arrivera à échéance d’ici avril 2026
Financement disproportionné et soupçons graves d’un mécanisme de blanchiment d’argent dissimulé sous couvert d’opérations de marché
Mais au-delà de l’incompétence ou de la négligence, la taille colossale des fonds levés, pourrait masquer un mécanisme de blanchiment d’argent
Au-delà de la responsabilité évidente de la société ALMAJED SANTÉ, c’est toute la chaîne de décision et de contrôle qui mérite un audit immédiat
TUNIS-UNIVERSNEWS- (SEF) – Comment une société d’intermédiation financière a-t-elle pu placer plus de 51 millions de dinars dans une entreprise de santé déficiente en transparence financière, lourdement endettée et silencieuse depuis trois exercices ?
L’affaire TSI révèle les failles inquiétantes du système de placement en Tunisie et soulève des questions majeures sur la gouvernance, la diligence financière et les mécanismes de contrôle.
Des placements colossaux dans l’opacité
Début 2024, la TSI (Tunisie Société d’Intermédiation), acteur sulfureux du marché financier, déjà critiquée pour sa gestion opaque et ses prises de position risquées, a procédé à un placement massif et controversé dans la Société ALMAJED SANTÉ. Le véhicule d’investissement ? 366 billets de trésorerie qui ont été émis pour un montant colossal de 51,450 millions de dinars, et ce, dans une société lourdement endettée, en retard réglementaire flagrant, et dont les états financiers n’ont plus été publiés depuis l’exercice 2021.
À première vue, rien d’illégal. Mais à y regarder de plus près, les signaux d’alerte sont innombrables… et ignorés.
Une société de santé… malade de sa gestion
Les derniers états financiers disponibles datent du 31 décembre 2021, un retard grave et injustifiable dans un environnement réglementé. Ils révèlent une entreprise sous perfusion bancaire, avec :
Des revenus modestes de 4,67 millions de dinars,
Une charge financière écrasante de 3,6 millions de dinars (soit 77 % des revenus),
Des capitaux propres limités à 13 millions de dinars,
Et surtout, un résultat net quasiment nul.
Et pourtant, la Société ALMAJED SANTÉ a pu lever plus de 50 millions de dinars par le biais de billets de trésorerie, sans la moindre garantie apparente, et dans un silence comptable prolongé de plus de deux ans.
Des défauts de paiement déjà constatés
À ce jour, 117 billets sont échus et impayés, représentant 15,550 millions de dinars en défaut. Le reste – 249 billets pour 35,9 millions de dinars – arrivera à échéance d’ici avril 2026. L’insolvabilité partielle est donc déjà une réalité, et la perspective d’un défaut global se dessine.
Une autre question fondamentale se pose :
Comment la clinique ALMAJED SANTÉ, dont l’activité peine à dégager une rentabilité, pourra-t-elle honorer un engagement de plus de 50 millions de dinars sur un horizon aussi court ? La quasi-totalité des revenus est absorbée par les charges financières, et aucun signal ne laisse entrevoir une amélioration significative à court terme. La structure risque tout simplement de s’effondrer sous le poids de sa dette si des solutions de refinancement ou de restructuration ne sont pas mises en œuvre d’urgence.
Un financement disproportionné
Au regard des données financières disponibles, il est manifeste que la capacité réelle de remboursement de la société ALMAJED SANTÉ est très en deçà des engagements souscrits. Lever plus de 51 millions de dinars en billets de trésorerie, pour une entreprise dont les revenus annuels plafonnent à moins de 5 millions de dinars, et dont 77 % de ces revenus sont absorbés par les charges financières, relève d’une inadéquation économique flagrante.
Cette opération soulève des interrogations profondes sur :
La cohérence entre les flux de trésorerie prévisionnels et les échéances des billets émis ;
L’absence de sûretés ou de garanties visibles, malgré la fragilité de la contrepartie ;
Et surtout, la plausibilité d’un remboursement dans un horizon aussi court, en l’absence de restructuration ou d’adossement à une nouvelle source de liquidité.
Mais au-delà de l’incompétence ou de la négligence, la taille colossale des fonds levés, sans justification économique solide ni transparence, pourrait masquer un risque encore plus grave : celui d’un mécanisme de blanchiment d’argent dissimulé sous couvert d’opérations de marché.
Dans un contexte où :
L’origine des fonds investis n’est pas clairement documentée,
Les contrôles anti-blanchiment semblent absents ou inefficaces,
Et les parties prenantes (dont les CAC de la TSI) n’ont pas rempli leurs obligations d’alerte,
… le doute est permis. Il est légitime de se demander si cette opération ne s’inscrit pas dans un schéma de recyclage de capitaux douteux, utilisant une société malade comme écran, dans l’indifférence générale.
Une enquête financière approfondie s’impose donc, non seulement sur la structure d’ALMAJED SANTÉ, mais également sur les flux entrants et sortants de la TSI liés à ce placement, ainsi que sur l’identité réelle des bénéficiaires économiques de cette transaction.
Où étaient les Commissaires aux Comptes de la TSI ?
Au-delà des défaillances internes de gouvernance, une question majeure subsiste : quel a été le rôle des commissaires aux comptes de la TSI dans la validation et le suivi de ce placement à haut risque?
Les CAC ont pour mission de certifier la régularité et la sincérité des états financiers, mais aussi de veiller à la qualité des procédures de contrôle interne, en particulier dans une société d’intermédiation financière exposée à des opérations sensibles. Dans ce cas précis, plusieurs interrogations légitimes se posent :
Ont-ils été informés en temps réel de l’opération d’investissement dans ALMAJED SANTÉ, et ont-ils demandé les diligences préalables adéquates ?
Ont-ils émis des réserves ou des alertes sur le caractère risqué de cette opération, notamment au regard de la situation financière de la société cible ?
Ont-ils examiné et validé les procédures de gestion du risque et de conformité internes à la TSI, qui ont conduit à un tel engagement ?
Enfin, ont-ils alerté le conseil d’administration ou le CMF, conformément à leur devoir de signalement en cas de risque significatif pour la continuité d’exploitation ou la régularité des opérations ?
Le silence apparent des commissaires aux comptes face à un placement aussi disproportionné, réalisé dans une entité aussi fragile et opaque, interpelle directement leur responsabilité professionnelle. Leur inertie – ou leur absence d’opposition explicite – questionne la robustesse du système de contrôle externe et soulève un enjeu de crédibilité du métier d’audit légal dans le secteur financier tunisien.
Un système à revoir ?
Cette affaire soulève une série de questions critiques :
Où sont passées les diligences préalables ?
Le CMF a-t-il été informé de ces placements ?
Quels mécanismes de contrôle internes à la TSI ont validé une telle exposition ?
Pourquoi aucune alerte n’a été déclenchée dès le non-respect des obligations de publication?
Au-delà de la responsabilité évidente de la société ALMAJED SANTÉ, c’est toute la chaîne de décision et de contrôle qui mérite un audit immédiat.
Une affaire symptomatique
L’affaire TSI – ALMAJED SANTÉ est emblématique d’un laxisme latent dans certaines pratiques financières. Quand la recherche du rendement prime sur la prudence, quand les billets de trésorerie deviennent des produits toxiques déguisés, c’est la confiance dans tout le marché qui vacille.
Et maintenant ?
Le silence n’est plus permis. Il est urgent que les autorités de régulation, à commencer par le CMF et la BCT, prennent position. Et que la lumière soit faite, point par point, sur un montage financier dont les conséquences pourraient s’avérer dévastatrices pour les investisseurs… et pour la réputation du secteur financier tunisien.
TUNIS-UNIVERSNEWS- (Santé) – Le ministère de la Santé a appelé, dimanche, à faire preuve de vigilance et à adopter les bons réflexes pour éviter les risques de noyade.
Soulignant que la noyade n’est pas toujours bruyante et visible, le ministère a appelé à la surveillance permanente et rapprochée des enfants, que ce soit dans la mer ou dans les piscines et recommandé de leur apprendre à nager.
Le département de la santé a, en outre, mis l’accent sur l’importance de respecter les consignes de sécurité et les interdictions de baignade, de choisir des zones de baignade surveillées et sécurisées, de placer des barrières de sécurité autour des piscines privées et de veiller à ce qu’elles soient bien fermées.
L’appel du ministère intervient suite à la noyade, samedi, au large de Soliman à Nabeul, de trois jeunes filles originaires de Khanguet El Hojjej et la disparition d’une fillette de trois ans sur la plage d’Aïn Gharnez à Kélibia.
TUNIS-UNIVERSNEWS- (SEF) – Les petites et moyennes entreprises apportent une contribution déterminante à la création d’emplois et de revenus. La crise du COVID-19 a été suivie par l’inflation qui a particulièrement touché les PME. La forte augmentation des taux d’intérêt directeurs et le resserrement de l’environnement de prêt ont également eu un impact sur le coût et l’accès au financement pour les PME.
Ainsi, en dépit de leur évolution en Tunisie, beaucoup de ces moyennes et micro-entreprises sont confrontées à des problèmes majeurs. En premier lieu, il y a la difficulté d’accès à des sources de financement lors d’une extension de société ou dès l’obtention du fonds de roulement. La crise du COVID-19 a été suivie par l’inflation qui a particulièrement touché les PME.
Une enquête réalisée en 2015 a montré que 61 % des chefs d’entreprises PME ne sont pas satisfaits des lois et des conditions de financement bancaires. Ces petites et moyennes entreprises (PME) peuvent bénéficier de plusieurs solutions stratégiques pour réussir et prospérer sur le marché. C’est dans ce cadre que l’UTICA, en collaboration avec la Chambre nationale des femmes chefs d’entreprise et la Fondation Konrad Adenauer Stiftung (KAS), a organisé une rencontre autour du thème :« Les mécanismes de financement des formations aux PMEs : Quoi de neuf ? ». Un rendez-vous essentiel pour les opérateurs économiques et les accompagnateurs de PMEs, afin de découvrir les nouveaux dispositifs de financement, notamment pour les entreprises souhaitant recruter des personnes en situation de handicap
Lilia Makhlouf, responsable de la direction générale de la promotion de l’emploi au sein du ministère de la Formation professionnelle et de l’Emploi, a déclaré que les mécanismes 48 et 49 du programme du Fonds national de l’emploi offrent aux demandeurs d’emploi de tous types et aux créateurs d’entreprises jusqu’à 400 heures de formation pour se préparer à la vie professionnelle et à la réinsertion. Des mécanismes de lignes de financement pour les entrepreneurs et les projets en difficulté ont été créés dans le cadre de la loi de finances 2025, ainsi qu’une allocation de 5 millions de dinars pour les personnes handicapées et une ligne de financement pour les micro-entrepreneurs de Fidaa.
Makhlouf a indiqué que le programme du Fonds national pour l’emploi a été lancé depuis la fin de l’année 2024, et qu’il existe une demande pour ce programme de la part des entreprises privées, qui atteignent 12 000 demandes d’emploi d’ici 2026, en plus d’une formation complémentaire pour 2500 institutions et demandeurs d’emploi. (M.S)
TUNIS-UNIVERSNEWS- (NAT) – Le taux de remplissage des barrages tunisiens s’élève à 38,1%, à la date du 27 juin courant, en hausse considérable de 27,4%, par rapport à la même période de l’année écoulée, d’après des données statistiques publiées par l’Observatoire national de l’agriculture (ONAGRI).
Les réserves en eau ont atteint 902 millions de mètres cubes à cette même date. Comparée à la moyenne des trois dernières années (850,3 millions m3), cette augmentation reste modeste, de l’ordre de 6.
Les barrages du nord affichent un taux de remplissage plus important de l’ordre de 44,5%, avec des réserves en eau, à hauteur de 826,4 millions de m3, ce qui représente une augmentation de 25% par rapport à la même période de l’année écoulée.
S’agissant des barrages du centre et du Cap-Bon, leur niveau de remplissage a atteint respectivement 12,9 % (58,2 millions de m3) et 28% (17,2 millions de m3).
Pour ce qui est des apports en eau enregistrés pour la seule journée du 27 juin 2025, ils s’élèvent à 0,230 millions m3, dont la quasi-totalité provient des barrages du Nord. L’utilisation totale de ces ressources hydriques a été estimée à 2,388 millions m3.
Les apports cumulés se sont élevés, à 965,9 millions de m3, durant la saison actuelle (Du 1er septembre 2024 au 26 juin 2025), soit une hausse de 48% par rapport à la saison écoulée.
TUNIS-UNIVERSNEWS- (Education) – La session de contrôle du baccalauréat 2025 démarre aujourd’hui, lundi 30 juin avec 46282 candidats, soit 32% du nombre total des élèves ayant participé à la session principale.
Les épreuves se dérouleront sur quatre jours consécutifs, du 30 juin au 3 juillet 2025. Les résultats de la session de contrôle ainsi que les résultats définitifs du baccalauréat 2025 seront proclamés le dimanche 13 juillet prochain.
Lors de la session principale, le taux de réussite s’est établi à 37,08%, avec 53721 élèves admis sur un total de 144863 candidats. La section Mathématiques affiche le meilleur taux de réussite national avec 74,93%, suivie par la section Sport (73,33%) et l’Informatique (48,47%).
TUNIS-UNIVERSNEWS- (Météo) – Les températures maximales varieront entre 29 et 34 degrés C. sur les zones côtières et les hauteurs, et entre 35 et 40 degrés sur le reste du pays. La mer sera légèrement agitée au nord et agitée à légèrement agitée sur le reste de la côte.
Le temps sera clair à partiellement nuageux lundi sur la plupart des régions. Les vents seront faibles à modérés d’est, puis relativement forts en fin de journée au sud.
TUNIS-UNIVERSNEWS-(Examens) – 46.282 candidats (soit 37,95 %) sont autorisés à passer la session de contrôle du 30 juin jusqu’au 3 juillet 2025 dont 13.661 ajournés en économie, 8328 en sciences expérimentales, 11116 en lettres, 1391 en maths, 4271 en sciences informatique, 7097 en sciences techniques et 418 en sport. Les résultats de cette session seront proclamés le dimanche 13 juillet 2025.
La session de contrôle englobe dans chaque section un ensemble d’épreuves que le candidat peut passer dans leur intégralité ou au choix, sans devoir exprimer au préalable ses préférences. Les candidats ajournés peuvent se présenter aux centres d’examen pour passer les épreuves dans les matières de leur choix… Les résultats de cette session seront proclamés le dimanche 13 juillet 2025 (M.S)
TUNIS-UNIVERSNEWS- (Basketball) – La sélection tunisienne féminine de basket-ball, après une préparation rigoureuse à Nabeul en vue du Championnat arabe, est partie hier pour le Caire, afin de rejoindre ensuite Alexandrie. Le président de la Fédération par intérim Marwan Elchaieb, accompagné de son adjoint Saleh Ben Mubarak et le directeur technique national, Nidal Ben Abdelkarim, ont salué les joueuses à leur départ et ont veillé à ce que l’Équipe nationale ne manque de rien afin d’assurer une participation honorable à cette compétition qui aura lieu du 1er au 8 juillet.
Durant le stage de Nabeul, les joueuses de l’entraîneur national Wissam Chrait ont disputé quatre matchs amicaux contre les catégories cadettes du stade de Nabeul et de Zahra Sport, ainsi qu’une double confrontation face à l’équipe nationale féminine d’Algérie. Quatre équipes participent à ce Championnat arabe : l’Égypte, la Tunisie, l’Algérie et la Jordanie, en attendant la tenue de la réunion technique qui déterminera le système de compétition pour le titre.
14 joueuses prendront part à cette échéance arabe. Il s’agit de Wafa Loubeiri, Sirine Ben Gara, Houda Hamrouni, Malek Salama, Abir Jdidi, Sandra Biyoudh, Yasmine Makhloufi, Nour Harshani, Malak Chehidi, Nour Arbi, Hedil Chaouch, Malka Mars, Nadia Hamzaoui et Rabeb Abidi. (M.S)
TUNIS-UNIVERSNEWS- (Football) – L’Espérance Sportive de Zarzis a dévoilé la composition complète de son staff technique pour la saison 2025-2026 sous la conduite de l’entraîneur Anis Boujelbène.
Outre l’entraineur principal, le staff technique est composé de Aymen Mnafeg (entrâineur-adjoint), Wajih Belaïd (préparateur physique), Wassim Hergli (entraîneur des gardiens) et Achraf Tayari (chargé du suivi et des statistiques).
Contrats renouvelés
L’Espérance de Zarzis a annoncé, d’autre part, le renouvellement des contrats des joueurs Seif Charfi et Amir Tajouri pour deux saisons chacun.
Seif Charfi, formé au Club Africain, occupe le poste de gardien de buts. Il a rejoint l’ES Zarzis la saison dernière en provenance de l’US Ben Guerdane.
De son côté, le milieu défensif Amir Tajouri a disputé la saison dernière 28 matches avec l’équipe de Zarzis (coupe et championnat), inscrivant un but et étant à l’origine d’un autre.
Arrivée de l’attaquant Wael Dahnous
Le club a annoncé, en outre, avoir engagé le joueur tunisien Wael Dahnous pour deux saisons. L’attaquant de 27 ans a évolué la saison dernière dans le club Munief Club (3e division saoudienne).
Il s’agit de la deuxième recrue estivale de l’ES Zarzis après avoir signé avec l’ex joueur du Stade Gabésien, Mokhtar Ben Zid.
Le club sudiste a annoncé, aussi, la signature d’un contrat avec le joueur Jassem Belkilani pour deux saisons, en provenance de Ahly Misrata (Libye).
L’arrière gauche, âgé de 24 ans, avait porté le maillot de l’Etoile du Sahel, de l’AS Soliman et de l’ES Rogba Tataouine.
Le club zarzissien, qui a retrouvé la Ligue 1 la saison dernière, a terminé à la 5e place avec un bilan de 16 victoires, 6 nuls et 8 défaites.
TUNIS-UNIVERSNEWS- (SEF) – L’optimisme a ressaisi de nouveau le marché actions tunisien. Le Tunindex s’est hissé de 2,5 % à 11 575,02 points, affichant une performance positive de 16,3% depuis le début de l’année 2025. Sur le front des échanges, le volume total échangé sur la semaine du 23 au 27 juin courant, écourtée a été soutenu totalisant une enveloppe de 46,9 MD, soit un volume quotidien moyen de 11,7 MDT. Les échanges ont été alimentés par la réalisation de 6 transactions de bloc, dont quatre d’une valeur totale de 7,5 MDT portant sur le titre POULINA GROUP HOLDING et deux d’une valeur de 5,6 MDT portant sur le titre SMART TUNISIE.
Le titre NEW BODY LINE s’est retrouvé en haut du palmarès. L’action du spécialiste en vêtements intelligents a affiché la meilleure performance de la semaine, se hissant de +16,5 % à 4,510 DT, dans un modeste volume de 112 mille dinars. Le titre STA a figuré parmi les plus grands gagnants de la semaine. L’action du concessionnaire de la marque chinoise « Chery » a gagné 10 % à 24,800 DT, en amassant un volume de 835 mille dinars sur l’ensemble de la semaine.
Le titre SOMOCER s’est retrouvé en lanterne rouge du marché. Le titre du spécialiste en céramiques a reculé de –7,8 % à 0,470 D, dans un volume quasi-nul.
PGH a été le titre le plus dynamique de la semaine, drainant un volume dépassant les 9 MD sur la cote, soit 19,3 % du volume échangé sur le marché. Le titre de l’industriel s’est effrité de 1,3 % à 15,250 D.
Admission de BNA ASSURANCES et de TARAJI HOLDING
Lors de sa réunion du 24 juin 2025, le Conseil d’Administration de la Bourse a donné son accord de principe pour l’admission au Marché Principal de la Cote de la Bourse des 87 391 790 actions constituant le capital actuel de la société BNA ASSURANCES, de nominal un dinar chacune.
BNA Assurances sera introduite en Bourse au moyen d’une procédure d’inscription directe à la cote. Il reste entendu que l’admission définitive sera tributaire de la mise à disposition du public d’un prospectus d’admission visé par le Conseil du Marché Financier.
Taraji Holding a, aussi, reçu un accord de principe pour son introduction en Bourse sur le marché principal. Cette double admission vient renforcer la profondeur du marché et diversifier les opportunités d’investissement. Toutefois, les introductions restent conditionnées par l’obtention du visa du Conseil du Marché Financier (CMF).
TUNIS-UNIVERSNEWS- (SEF) – Une délégation de l’entreprise japonaise IIDA Electronics, leader asiatique dans le secteur des services de production électronique, qui a récemment effectué une visite de prospection en Tunisie, a affirmé qu’elle est en train d’étudier la possibilité d’investir dans un site de production et de prospecter d’éventuels partenariats avec des acteurs en industrie électronique basés dans le pays.
Cette délégation composée de Takahiro Yamazaki et Astushi Moriyama respectivement Président et Directeur Général de IIDA Electronics, a été accueillie, le jeudi 19 juin 2025, au siège de la FIPA par le directeur général de l’agence, Jalel Tebib.
Les discussions ont porté, d’après un communiqué de la FIPA-Tunisia, sur les atouts et opportunités existants dans le secteur électrique et électroniques en Tunisie.
Tebib a, à cette occasion, mis l’accent sur l’aspect stratégique du secteur en termes de valeur ajoutée et de capacité d’emploi.
Il a rappelé également l’importance et la qualité des investissements japonais en Tunisie, tout en réaffirmant l’engagement de FIPA-Tunisia ainsi que les différentes structures d’appui à accompagner les investisseurs étrangers et les appuyer à mener à bien leurs projets d’investissement en Tunisie.
TUNIS-UNIVERSNEWS- (Divers) – La Corniche de Mahdia, plus précisément la Sakala, a connu dimanche le décès d’une jeune femme par noyade, presque au même endroit qui a vu la noyade d’une famille entière la semaine dernière. La jeune fille était âgée de 19 ans et originaire de la région de Zaghabna située dans la délégation d’El Jem (Gouvernorat de Mahdia. (M.S)