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Heute — 05. Juni 2025Haupt-Feeds

Internationalisation: Qawafel sonde les clés de la conquête africaine pour les entreprises tunisiennes

05. Juni 2025 um 09:09

Face à l’impératif de croissance externe, Qawafel a orchestré une nouvelle session de son «Qawafel Gathering», axée sur les dynamiques des marchés africains. En prélude, Salah Boulila, Managing Director de Mazam, a présenté une infographie sur les modes d’internationalisation (export, implantation, franchise, e-export), analysant avantages, prérequis et risques.

Un panel d’experts reconnus a été convié par Qawafel pour éclairer les débats:  Iheb Beji, cofondateur et CEO de Medianet, Riadh Azaiez, président de la Chambre syndicale nationale des conseillers à l’internationalisation (Utica),  Rim Ayari, fondatrice de WeFranchiz, et  Baligh Hamdi, CEO et fondateur de B2M Group. Les réflexions issues de ce panel ont été enrichies par un témoignage de Radhia Kamoun, fondatrice de Gourmandise, recueilli lors d’un entretien dédié.

Afrique: entre mythes et réalités

La discussion a confronté les idées reçues. L’implantation d’une filiale en Afrique, si elle est plus coûteuse initialement, s’avère souvent plus rentable à long terme. Pour l’IT, «ce n’est pas forcément plus cher», a nuancé Baligh Hamdi. La joint-venture n’est pas la solution universelle pour la sécurité d’entrée; «la plus sûre est d’être seul», a-t-il estimé, tout en reconnaissant l’aide de partenaires locaux pour la gouvernance. Riadh Azaiez a insisté sur l’importance d’une présence terrain pour «appréhender les écarts culturels».

L’exportation, bien que «cheminement le plus naturel», n’est pas sans risques. La difficulté majeure, selon Azaiez, est «d’organiser et de comprendre le pays». Rim Ayari a confirmé que même pour la franchise, il faut «commencer par exporter pour tester le marché».

Piliers d’une stratégie africaine efficace

La diversité du continent est cruciale, a rappelé Iheb Beji: «L’Afrique se répartit sur 3-4 “continents” en termes de spécificités». Il a souligné l’importance de «commencer par des partenaires locaux pour travailler à moyen ou long terme». Les «3 P» – Passion, Patience et Pertinence – ont été érigés en boussole par Beji: une «passion pour le marché» est indispensable pour un cycle de «1 à 3 ans» avant résultats. La pertinence de l’offre doit être validée. La nécessité de s’internationaliser, face à l’étroitesse du marché tunisien, a été martelée par Baligh Hamdi.

De l’initiation à la pérennisation

L’entrée en Afrique exige de la persévérance. L’expérience de Medianet dans le cadre du groupement professionnel qu’elle a cofondée, Get’IT, l’illustre: après des échecs, des études de marché ont ouvert des portes. «Les débuts sont difficiles», a concédé Beji, soulignant l’importance de «développer l’amitié avec le client». Le soutien institutionnel est utile, mais «la volonté de faire des affaires en Afrique subsaharienne» prime, selon Hamdi. Les défis (stabilité politique, sanitaires, concurrence) sont réels, mais surmontables avec des partenaires locaux.

Le franchisage: levier d’expansion

Rim Ayari a voulu «casser les stéréotypes»: la franchise n’est pas réservée aux grands groupes et peut être initiée avec des budgets raisonnables si l’on a un «produit vraiment puissant» et une organisation solide. Les prérequis, selon Iheb Beji, incluent «les processus et la clarification». Ayari a insisté sur la protection de la propriété intellectuelle, la sécurité et la validation de la demande locale. La protection de la marque est centrale.

Radhia Kamoun: Voici comment Gourmandise a réussi son internationalisation

L’intervention de  Radhia Kamoun, fondatrice de Gourmandise, a offert un éclairage précieux. «Il faut aller à la recherche des opportunités», a-t-elle affirmé, et «avoir un concept qui a fait ses preuves, duplicable». L’implantation en Libye depuis 2022 illustre cette vision, l’export simple n’étant «pas rentable». Être franchiseur, c’est «le transfert de savoir-faire à un partenaire avec qui les valeurs sont partagées. Le choix du partenaire est l’élément le plus important». La supervision par une équipe dédiée est vitale (choix des lieux, formation, audits continus). «Si on fait bien les choses, on apprend continuellement. On ne peut pas exporter un concept si on ne le maîtrise pas». Les défis incluent la documentation exhaustive («Tout doit être écrit») et l’adaptation au pays, «une adaptation normale».

Secteurs clés et mentalité gagnante

Riadh Azaiez a identifié des secteurs porteurs: «agro-industrie, bureaux d’études, BTP, santé, digital, formation». Il a prôné l’humilité pour aborder l’Afrique subsaharienne: «Il ne faut pas dire qu’on veut exporter sur l’Afrique subsaharienne si vous ne supportez pas l’inverse». La demande est forte, et le manque de «confiance dans le commerce à l’international» serait le principal frein.

Cette rencontre de Qawafel a démontré que l’Afrique offre d’immenses opportunités aux entreprises tunisiennes préparées avec rigueur. Compréhension des marchés, relations de confiance et vision à long terme sont les piliers du succès.

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Gestern — 04. Juni 2025Haupt-Feeds

Cynoia démocratise la gestion de projet en supportant le swahili et le wolof

04. Juni 2025 um 12:01

Cynoia (https://cynoia.com), la plateforme de travail collaboratif construite en Afrique, annonce aujourd’hui le support natif des langues swahili et wolof, étendant l’accès aux outils de collaboration professionnels à plus de 200 millions de personnes supplémentaires à travers l’Afrique de l’Est et de l’Ouest. Les équipes de Nairobi à Dakar peuvent maintenant gérer leurs projets, communiquer et collaborer en utilisant la plateforme tout-en-un de Cynoia dans leur langue préférée.

L’ajout du swahili, parlé par 180 millions de personnes à travers l’Afrique de l’Est, et du wolof, utilisé par 20 à 25 millions de personnes principalement au Sénégal, en Gambie et en Mauritanie, constitue l’avancée d’accessibilité la plus significative dans les logiciels d’entreprise africains cette année. Pour la première fois, les équipes de ces régions peuvent accéder à des outils de gestion de projet, de communication et de collaboration de niveau entreprise sans barrières linguistiques.

«Il ne s’agit pas seulement de traduction, c’est une question d’inclusion véritable», déclare Nassreddine Riahi, CEO de Cynoia. «Quand un chef de projet à Mombasa ou une équipe de startup à Dakar peut utiliser des outils professionnels dans sa langue maternelle, tout change. La productivité augmente, l’adoption s’accélère, et les équipes peuvent se concentrer sur leur travail au lieu de lutter avec des interfaces peu familières».

 Briser les barrières numériques à travers l’Afrique

Cette expansion linguistique répond à un manque critique dans l’écosystème technologique africain, où les équipes ont été forcées de travailler avec des outils conçus ailleurs, dans des langues qui ne sont pas les leurs. Cette barrière a particulièrement affecté les petites et moyennes entreprises, les organisations à but non lucratif et les startups – précisément les organisations qui stimulent la croissance économique à travers le continent.

«Nous avons vu des équipes brillantes lutter avec des outils uniquement en anglais ou en français qui les ralentissent», explique Felipe Millan, CMO chez Cynoia. «Un chef d’équipe dans le Kenya rural ne devrait pas avoir besoin de traduire ses pensées avant de mettre à jour un projet. Une organisation communautaire au Sénégal ne devrait pas perdre en productivité parce que ses outils ne parlent pas sa langue. Nous changeons cette réalité».

La mise à jour inclut également le support de l’espagnol, portant la portée totale de Cynoia à plus de 700 millions d’utilisateurs dans le monde, tout en maintenant son focus principal sur les besoins des entreprises africaines.

Autonomiser les communautés locales grâce à Cynoia Impact

L’expansion linguistique améliore significativement le programme Cynoia Impact, qui fournit une réduction de 50% pour la première année aux organisations à but non lucratif travaillant à travers l’Afrique. Les organisations communautaires peuvent maintenant coordonner des projets, gérer des bénévoles et suivre leur impact en utilisant des outils qui parlent leur langue – littéralement.

Les startups bénéficient de trois mois d’accès gratuit, suivis d’une réduction de 50% pour les 9 mois suivants et les institutions éducatives reçoivent 50% de réduction, rendant la collaboration professionnelle accessible indépendamment des contraintes budgétaires.

«L’accessibilité linguistique est particulièrement cruciale pour les organisations travaillant au niveau local», note Ayoub Rabeh, CPO. «Quand une ONG de santé en Tanzanie rurale ou une coopérative de femmes au Sénégal rural peut utiliser des outils de gestion de projet professionnels dans sa langue locale, elle peut servir sa communauté plus efficacement».

Fonctionnalités d’entreprise dans les langues locales

Les équipes utilisant le swahili et le wolof ont maintenant accès à l’ensemble complet des fonctionnalités de Cynoia, incluant:

  • Gestion de projet avec suivi des tâches, collaboration d’équipe et monitoring du progrès en temps réel.
  • Analyses budgétaires avancées avec suivi des dépenses en temps réel et prévisions.
  • Communication d’équipe via chat, mentions et partage de fichiers.
  • Visioconférence optimisée pour diverses vitesses de connexion.
  • Collaboration documentaire avec notes partagées et capacités de gestion en masse.
  • Intégration calendrier avec visibilité des tâches et synchronisation Google Calendar.

La conception efficace en bande passante de la plateforme assure un fonctionnement fluide même dans les zones avec une vitesse internet limitée – une considération cruciale pour les équipes à travers l’Afrique.

Poser les fondations pour l’innovation IA

Le support multi-langues crée les fondations pour le moteur IA à venir de Cynoia, Hannibal, prévu pour être lancé plus tard en 2025. Quand l’assistance IA deviendra disponible, elle sera accessible aux utilisateurs dans leur langue préférée dès le premier jour.

«Hannibal va démocratiser l’accès à l’IA à travers l’Afrique, mais seulement s’il parle les langues que les gens utilisent réellement», explique Nermine Slimane, CTO. «Cette expansion linguistique assure que notre IA sera vraiment inclusive quand elle sera lancée».

Engagement envers les standards de sécurité 

Parallèlement à l’expansion linguistique, Cynoia annonce qu’elle poursuit activement les certifications ISO27001/42001 et SOC2 Type2, démontrant son engagement envers les standards de sécurité de niveau entreprise, tout en maintenant l’accessibilité pour les entreprises africaines.

«Sécurité et accessibilité ne s’excluent pas mutuellement», ajoute Slimane. «Les entreprises africaines méritent des outils qui sont à la fois sécurisés et qui parlent leur langue».

 Disponibilité immédiate et impact

Les options linguistiques swahili et wolof sont disponibles immédiatement sur tous les plans Cynoia, y compris le plan Community gratuit pour les équipes jusqu’à 10 utilisateurs. La plateforme aide les entreprises à réduire leurs coûts logiciels jusqu’à 80% en combinant plusieurs outils en un seul espace de travail intégré.

Cynoia a été reconnue comme meilleure Startup SaaS au Sommet Afric Arena Grand Summit 2024, soulignant son impact sur la productivité des entreprises africaines.

L’entreprise a étendu sa présence à travers l’Afrique, avec des utilisateurs en Tunisie, au Sénégal, en Côte d’Ivoire, en République démocratique du Congo, au Cameroun et au Rwanda.

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La Banque de Tunisie distinguée pour son rôle moteur dans le commerce international

03. Juni 2025 um 09:59

 

La Banque de Tunisie se voit aujourd’hui consacrée par la prestigieuse distinction «The Most Active Issuing Bank in Tunisia Award 2024», décernée par la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD), dans le cadre de son Trade Facilitation Program (TFP). Ce prix, remis lors des TFP Awards à l’occasion de l’Assemblée annuelle de la BERD tenue à Londres du 13 au 15 mai 2025, vient saluer une année exceptionnelle de mobilisation et de performance au service du commerce extérieur tunisien.

Une reconnaissance méritée pour un acteur de référence

Cette distinction n’est pas simplement honorifique : elle reflète l’engagement profond de la Banque de Tunisie dans l’accompagnement des flux commerciaux internationaux et sa capacité à maintenir une dynamique soutenue, même dans un contexte économique et géopolitique mondial complexe. L’année 2024, jalonnée de défis, a mis à l’épreuve la solidité des institutions financières. La Banque de Tunisie a su non seulement résister, mais également démontrer un niveau élevé d’agilité, de fiabilité et de proactivité. Ce prix couronne ainsi le mérite d’une institution qui s’impose comme un maillon essentiel dans les chaînes de valeur internationales, en sécurisant les transactions de ses clients et en fluidifiant leurs échanges à l’export comme à l’import.

Une stratégie tournée vers le commerce extérieur et l’accompagnement des opérateurs

Au-delà de cette reconnaissance, la Banque de Tunisie affirme désormais une orientation stratégique claire: devenir le partenaire bancaire de référence pour les opérateurs actifs dans le commerce international. Consciente de l’importance du secteur extérieur pour la croissance économique du pays, la Banque de Tunisie a renforcé son dispositif d’appui aux entreprises exportatrices et importatrices. Elle propose des solutions de financement adaptées, des garanties internationales, ainsi qu’un accompagnement personnalisé fondé sur une expertise approfondie des marchés et des instruments financiers.

Cette stratégie s’inscrit dans une volonté plus large d’intégration à l’économie mondiale, à travers la digitalisation progressive des services bancaires, l’optimisation des processus d’émission de garanties et l’introduction de nouveaux produits facilitant les échanges commerciaux. Loin de se limiter à une posture réactive, la Banque de Tunisie anticipe les besoins des opérateurs économiques et œuvre à créer un environnement favorable à leur développement, y compris dans les zones à risque ou à faible bancarisation. Cette approche proactive permet aux entreprises tunisiennes, notamment les PME, de saisir des opportunités dans des marchés émergents à fort potentiel tout en atténuant les risques opérationnels.

Un partenariat renforcé avec la BERD: levier de croissance et d’innovation

Le prix attribué par la BERD symbolise également un partenariat stratégique en pleine expansion. La Banque de Tunisie entretient depuis plusieurs années une collaboration fructueuse avec la BERD dans le cadre du Trade Facilitation Program. Ce partenariat a permis d’élargir les capacités de financement du commerce extérieur tout en renforçant la crédibilité internationale de la banque.

Aujourd’hui, les deux institutions envisagent de donner un nouvel élan à cette coopération. Les perspectives d’intensification du partenariat sont nombreuses : augmentation des lignes de crédit, développement de produits conjoints, partage d’expertise technique et accompagnement de la transition vers une finance plus durable. La BERD, par son réseau et ses ressources, offre à la Banque de Tunisie un levier précieux pour accéder à des marchés à fort potentiel et pour soutenir les entreprises tunisiennes dans leur quête de compétitivité internationale.

Cette distinction consacre la résilience, l’agilité et la fiabilité dont a fait preuve la Banque de Tunisie face aux défis géoéconomiques. Dans un contexte de tensions sur les chaînes d’approvisionnement et de renchérissement du crédit, la Banque a maintenu un niveau de service optimal pour ses clients exportateurs et importateurs. Ce prix décerné à la Banque de Tunisie par la BERD marque l’aboutissement d’un engagement constant et confirme une dynamique renouvelée pour l’accompagnement de nos entreprises à l’international. Forte de cette distinction, la Banque de Tunisie entend consolider son rôle d’acteur incontournable du commerce extérieur, en capitalisant sur des partenariats solides, une vision stratégique affirmée et une capacité prouvée à répondre aux exigences d’un marché globalisé.

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SOC-TrustShield: votre forteresse numérique avancée contre les cybermenaces

02. Juni 2025 um 14:39

Lors d’un dîner-gala organisé le 29 mai à la Closerie (La Soukra), 3S et GlobalNet ont annoncé le lancement de TrustShield, leur nouvelle offre Security Operations Center (SOC). Ce nouveau service a été conçu pour anticiper, détecter et neutraliser les cybermenaces les plus avancées. Cette initiative conjointe marque une étape significative dans l’engagement des deux entreprises à sécuriser le paysage numérique de leurs clients.

TrustShield repose sur trois piliers: des équipes expérimentées et professionnelles; des process robustes selon des normes internationales ISO 27001, NIST… ; et des technologies leaders sur le marché.

Pourquoi adopter le SOC managé ?

Parce que les attaques deviennent de plus en plus sophistiquées, TrustShield combine surveillance continue, réponse automatisée et accompagnement humain.

Grâce à TrustShield, les entreprises pourront bénéficier d’un accompagnement 24/7 par une équipe d’analystes SOC, qui surveille activement les systèmes, analyse les menaces émergentes et opère une veille permanente sur le dark-web. Cette équipe spécialisée agit en première ligne pour contenir les attaques et assister les clients dans leur réponse aux incidents.

Contrairement aux SOC traditionnels, TrustShield met l’accent sur l’automatisation des process et l’intelligence artificielle afin d’optimiser les KPI et ce qui implique une augmentation des performances d’analyse/détection/réponse.

«Dans un monde numérique en train d’avancer d’une manière très rapide, les attaques et les cybermenaces sont toujours plus sophistiquées. C’est pour cela que TrustShield incarne notre engagement en tant que 3S et GlobalNet pour sécuriser et protéger nos infrastructures, nos clients et nos partenaires. TrustShield est beaucoup plus qu’un bouclier, c’est une promesse basée sur l’excellence, la résilience et la confiance. Il s’agit d’un SOC de nouvelle génération, fruit d’un travail de plusieurs mois et de l’expertise de nos professionnels de 3S et GlobalNet qui ont mis en place cette solution et qui combine en même temps l’intelligence artificielle, un savoir-faire humain très pointu et d’autres technologies très avancées!», a déclaré à cette occasion Adel Dahmani, DGA de 3S, en remerciant, au passage, les partenaires Palo Alto et Splunk qui ont contribué pleinement pour leur support et leur soutien lors de la création de cette nouvelle solution de cybersécurité.

Expliquant la raison de la création d’un SOC, le responsable a fait part de quelques chiffres significatifs liés à la cybersécurité à travers le monde. Il a ainsi indiqué qu’il existe une pénurie d’ingénieurs en cybersécurité (3,4 millions de personnes). Il a en outre souligné que 72% des sociétés actuelles externalisent leur sécurité à des SOC et 80% de ces entreprises utilisent l’IA pour arrêter, bloquer et diminuer les attaques. Seules 3% des entreprises dans le monde entier sont matures en termes de cybersécurité en investissant dans des équipes spécialisées et des équipements capables d’arrêter des attaques. «En moyenne, la cybersécurité représente 12% du budget d’un IT, ce qui est très peu. Malgré tout, les DSI sont aujourd’hui conscients qu’il est primordial d’augmenter ces budgets. Parmi ces entreprises, 51% augmentent leur budget uniquement quand ils se font attaquer…

Les principales fonctionnalités du SOC TrustShield

Le module XDR (Extended Detection & Response) de TrustShield agrège et corrèle les signaux issus des endpoints, serveurs, réseaux et environnements cloud pour une détection contextualisée et croisée.

Le composant VMS (Vulnerability Management System) effectue des scans en continu, identifie les failles critiques et propose des actions de remédiation priorisées selon le niveau de risque.

Le SIEM intégré centralise les logs multi-sources, facilite les enquêtes forensiques, génère des alertes corrélées et permet une traçabilité complète.

Enfin, grâce à l’intelligence artificielle, TrustShield détecte les comportements anormaux, hiérarchise automatiquement les incidents et renforce la pertinence des alertes.

L’interface centralisée de ce nouveau service offre une visibilité en temps réel sur l’ensemble du périmètre de sécurité, avec des tableaux de bord personnalisables. Qui plus est, TrustShield s’intègre facilement dans les environnements existants grâce à une architecture modulaire, ouverte et scalable.

Sans oublier que l’efficacité de notre dispositif repose sur une équipe d’analystes experts certifiés, assurant une surveillance continue, une investigation approfondie et une réponse rapide aux incidents, le tout soutenu par l’intégration de solutions de cybersécurité de leaders du marché et une visibilité claire de la posture de sécurité grâce à des rapports détaillés et personnalisables incluant des indicateurs de performances tels que le Mean Time To Detect (MTTD) et le Mean Time To Recovery (MTTR).

L’automatisation et l’IA dans TrustShild

L’intelligence artificielle joue un rôle central: elle renforce l’analyse comportementale, anticipe les attaques complexes et permet de trier automatiquement les alertes selon leur pertinence et leur urgence.
La couche SOAR (Security Orchestration, Automation and Response) automatise les scénarios de réponse pour contenir les menaces en quelques secondes, avec des workflows adaptatifs.

L’interface de supervision fournit une vision en temps réel du niveau de sécurité global, avec des tableaux de bord dynamiques et personnalisables.
Modulaire et évolutive, TrustShield s’intègre facilement dans les infrastructures existantes et accompagne la croissance des environnements IT.

Par ailleurs, l’intégration intelligente de l’IA réduit la charge des analystes, améliore la réactivité globale du SOC et augmente la précision dans la détection comme dans la remédiation.

Avec TrustShield, 3S & GlobalNet proposent une cybersécurité offensive, réactive et adaptée aux enjeux actuels.

Pour en savoir plus ou planifier une démonstration https://www.gnet.tn/business/

 

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Assad Ben Mrad propulse Be Bouncy en Tunisie: l’IA au service des réseaux sociaux

02. Juni 2025 um 11:12

Depuis plusieurs années, le paysage digital tunisien connaît une transformation profonde. Porté par des acteurs engagés, il se dote peu à peu d’outils capables de rivaliser à l’international. C’est dans ce contexte qu’Assad Ben Mrad se positionne aujourd’hui comme Founding Partner pour la Tunisie du projet Be Bouncy, une plateforme innovante mêlant intelligence artificielle et gestion des réseaux sociaux.

Un projet né d’un besoin concret

«L’idée de Be Bouncy est née d’une réalité vécue sur le terrain. Les communicants passent trop de temps à faire des tâches répétitives alors qu’ils devraient se concentrer sur la stratégie, la créativité, l’impact», explique Ben Mrad. Cette volonté de simplifier et d’automatiser certaines opérations du quotidien en communication digitale a séduit Assad dès les premières étapes du projet.

Et d’ajouter: «Quand j’ai découvert la vision, j’ai immédiatement vu le potentiel pour la Tunisie. Les agences, les marques, les indépendants ici n’ont pas toujours accès à des outils puissants. Or, l’IA change la donne».

Un rôle de catalyseur local

Présent dès les balbutiements du projet en Tunisie, Assad Ben Mrad a joué un rôle clé dans son enracinement local. Il a contribué à faire rayonner la vision de la plateforme, en accompagnant ses premiers déploiements, en fédérant les premiers utilisateurs, et en facilitant les échanges entre les besoins du marché tunisien et les ambitions portées par l’équipe fondatrice. Son implication a permis d’ancrer Be Bouncy dans la réalité du terrain et d’initier un dialogue concret entre technologie, usages et attentes locales.

Be Bouncy repose sur une technologie propriétaire mêlant assistant conversationnel, suggestions créatives automatisées, outils de gestion intégrée et bibliothèque média intelligente. Grâce à une première levée de fonds bouclée récemment, la plateforme accélère son développement, avec une attention particulière aux marchés méditerranéens et africains.

«Mon rôle, aujourd’hui, est de faire en sorte que la Tunisie ne rate pas le virage. Nous avons des atouts uniques: une population jeune, des créateurs brillants, et une vraie appétence pour le digital», souligne Ben Mrad.

Rendre les gens fiers de leurs contenus

Plus qu’un outil, Be Bouncy est pour Assad Ben Mrad un levier de fierté et d’autonomie: «Quand on donne aux gens les moyens de bien communiquer, on leur redonne du pouvoir. Ce que j’aime dans ce projet, c’est qu’il est simple, beau et accessible. Il ne remplace pas l’humain, il l’élève».

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Hack4Justice: faciliter l’accès à la justice pour les TPMEs en Tunisie grâce à l’intelligence artificielle

31. Mai 2025 um 12:50

Dans le cadre de son engagement pour une justice centrée sur les personnes, l’Institut de La Haye pour l’Innovation du Droit (HiiL), en partenariat avec le Registre National des Entreprises-RNE, La caisse des dépôts et consignations-CDC , organise la cinquième édition du hackathon Hack4Justice: Édition spéciale IA à Tunis les 31 mai et 1er juin 2025 à The Dot.

Cet événement vise à mobiliser des talents tunisiens autour de la création de solutions numériques innovantes pour améliorer les services juridiques et administratifs destinés aux TPMEs, en particulier autour des enjeux d’accès à l’information légale et de conformité aux procédures d’enregistrement.

Contexte et objectif du hackathon

La Tunisie connaît une demande croissante pour des solutions numériques, afin d’améliorer l’accès à l’information, la rapidité des processus et la confiance des acteurs économiques, notamment les TPMEs (Très petites, petites et moyennes entreprises).

Hack4Justice répond à ce besoin en créant un espace où startups, développeurs, chercheurs, institutions publiques et étudiants peuvent collaborer, prototyper et tester des solutions concrètes.

L’objectif général est de stimuler l’innovation technologique pour améliorer l’accès à l’information et simplifier les démarches administratives des très petites, petites et moyennes entreprises (TPMEs) en Tunisie. À cet effet, il est prévu de développer des prototypes d’outils basés sur l’intelligence artificielle au profit du Registre National des Entreprises (RNE), notamment une solution innovante combinant intelligence artificielle et expertise juridique, afin de réduire le taux de rejet des demandes de réservation de noms de sociétés (dénomination sociale, raison sociale ou nom commercial). Cette démarche vise à faciliter les procédures pour les entrepreneurs et à garantir un meilleur accès à une information fiable et structurée.

Programme et méthodologie

Le hackathon réunira environ 80 participants, dont des startups spécialisées, des développeurs, des juristes, des experts en intelligence artificielle, des chercheurs, des étudiants ainsi que des représentants des institutions publiques partenaires.

Principales étapes :

-Session d’ouverture : Présentation du contexte et des défis liés à l’accès à la justice pour les TPMEs en Tunisie.

-Sprint de prototypage (24h) : Conception, développement, test.

-Présentation des projets devant un jury composé d’experts.

-Cérémonie de clôture et remise des prix.

Discours prévus lors de l’ouverture

Le mot d’ouverture est assuré par Raja Mazeh, Directrice de HiiL Tunisie, et Adel Chouari, Directeur général du Registre National des Entreprises (RNE).

 

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12ᵉ édition des HEC Doctoriales: repenser la relation entre intelligence artificielle et recherche scientifique

30. Mai 2025 um 09:02

L’Institut des Hautes Études Commerciales de Carthage (IHEC), en partenariat avec l’Université de Carthage et l’IAE de Lille, organise, du 2 au 4 juin 2025, la 12e édition des HEC Doctoriales, un événement scientifique annuel dédié à la valorisation de la recherche en sciences économiques et de gestion. Cet événement offre aux doctorants un espace d’échange, de formation et de réflexion sur les grands enjeux scientifiques actuels.

La 12ᵉ édition des HEC Doctoriales place l’intelligence artificielle au cœur de ses réflexions. En pleine révolution technologique, l’IA transforme en profondeur les méthodes de recherche: exploration de données complexes, génération d’hypothèses, simulation de scénarios, ou encore détection de corrélations invisibles à l’œil humain.

L’intelligence artificielle, un moteur d’innovation pour la recherche scientifique

L’intelligence artificielle (IA) s’impose aujourd’hui comme un levier puissant d’innovation dans le domaine de la recherche scientifique. En automatisant le traitement de volumes massifs de données, en facilitant la détection de corrélations complexes, ou encore en générant des hypothèses à partir d’informations non structurées, l’IA permet aux chercheurs de repousser les limites de l’analyse traditionnelle. Elle optimise les revues de littérature, accélère les processus expérimentaux, améliore la précision des modèles prédictifs, et ouvre la voie à des approches plus interdisciplinaires. Grâce à l’IA, la recherche gagne en rapidité, en profondeur et en capacité d’exploration, tout en posant de nouveaux défis éthiques que la communauté scientifique se doit de relever.

Des avancées prometteuses, mais des enjeux éthiques cruciaux

Malgré ses atouts, l’usage de l’IA en recherche soulève d’importantes questions éthiques. Quelle est la fiabilité des résultats générés par des algorithmes? Comment garantir la transparence des processus automatisés, notamment ceux issus de modèles de type «boîte noire»? Quelle responsabilité pour les chercheurs dans l’usage de ces outils puissants? Et, surtout, comment préserver l’essence humaine de la recherche – sa créativité, sa capacité critique, son intuition – face à la tentation de l’automatisation généralisée?

Ces enjeux appellent à un encadrement éthique rigoureux: traçabilité des sources, respect de la propriété intellectuelle, protection des données personnelles, et transparence sur le recours aux outils d’IA dans toute production scientifique.

Un espace de dialogue, de formation et d’inspiration

La 12ᵉ édition des HEC Doctoriales proposera un programme riche et varié sur 3 jours: conférences plénières, ateliers pratiques, tables rondes et échanges intergénérationnels entre chercheurs confirmés et jeunes doctorants. Parmi les intervenants attendus figurent des noms prestigieux tels que Pr Jean-Philippe Galan (IAE Bordeaux), Pr Mohamed Louadi (ISG Tunis), Pr Foued Ben Said (ESC Tunis), ainsi que plusieurs autres spécialistes de renommée.

Comme à l’accoutumée, une place importante est accordée à l’environnement socioéconomique. L’école doctorale de l’IHEC Carthage affirme, à travers cette édition, son engagement pour une recherche ouverte, ancrée dans les réalités du terrain. La recherche appliquée y occupe une place centrale, favorisant des ponts concrets entre savoir académique et besoins du monde professionnel. À ce titre, la présence d’intervenants issus du milieu socioéconomique viendra enrichir les débats et nourrir la réflexion collective sur l’impact de la recherche en sciences de gestion.

La clôture de cette édition sera marquée par une cérémonie de valorisation scientifique, au cours de laquelle les meilleures thèses seront distinguées dans les disciplines phares de l’IHEC: comptabilité, économie, finance, management et marketing. Une reconnaissance de l’excellence académique et une mise en lumière des contributions les plus prometteuses à l’avancement des savoirs.

Penser l’avenir de la recherche

En inscrivant cette édition des HEC Doctoriales dans la réflexion autour de l’IA, l’IHEC Carthage affirme son rôle de pionnier académique, engagé dans la formation d’esprits critiques, la promotion d’une recherche responsable, et l’accompagnement des évolutions scientifiques à l’ère du numérique. L’IA n’est pas un chercheur, c’est un assistant. Elle amplifie nos capacités, sans jamais remplacer notre esprit critique.

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La BEI, l’UE et l’UBCI s’unissent pour accélérer l’internationalisation des PME régionales

29. Mai 2025 um 15:56

Le premier roadshow coorganisé par l’UBCI, la Banque européenne d’investissement (BEI) et soutenu par l’Union européenne, sous l’intitulé Invest and Export Solutions, s’achève aujourd’hui, après avoir parcouru les 4 principales villes économiques du pays. Cette étape finale marque l’aboutissement d’une collaboration inédite entre une banque tunisienne de référence, l’UBCI, et la BEI, en faveur des Petites et Moyennes Entreprises (PME) actives sur l’ensemble du territoire tunisien.

L’objectif: aller directement à la rencontre d’entrepreneur.e.s dans leurs régions afin de leur proposer des solutions concrètes de financement, des outils pour améliorer leur compétitivité internationale, et un accompagnement personnalisé visant à renforcer leur intégration dans les chaînes de valeur exportatrices spécifiques à chaque région.

Les bénéfices du programme pour les PME tunisiennes

Ce roadshow s’inscrit dans le cadre du Trade and Competitiveness Programme (TCP) et, plus largement, des financements mis à disposition par la BEI et l’Union européenne pour soutenir le Plan de relance économique de la Tunisie. Il s’agit ici d’accompagner le développement international des PME tunisiennes tout en renforçant les relations commerciales entre la Tunisie et l’UE.

Le TCP prévoit un dispositif de financement destiné aux entreprises des secteurs directement liés au renforcement des chaînes de valeur à l’export (l’agroalimentaire, l’automobile ou encore le textile). Il est également assorti de garanties pour couvrir le risque des institutions financières prêtes à jouer le jeu de canaliser l’octroi de leurs prêts vers des projets générateurs d’impacts sociaux ou environnementaux.

Un accompagnement au plus près des entrepreneur.e.s dans les régions

Cette semaine, le roadshow, Invest and Export Solutions, a maillé le territoire tunisien, de Sfax à Tunis en passant par Sousse et Hammamet, afin de répondre aux besoins spécifiques des entrepreneur.e.s locaux de ces régions.

Cette initiative a permis de présenter des solutions de financement et d’accompagnement sur mesure, en valorisant les atouts sectoriels de chaque région. Elle a renforcé les synergies entre entrepreneurs, acteurs économiques, institutions et investisseurs. Un accent particulier a été mis sur l’intégration de pratiques durables, telles que la décarbonation et la conformité au Mécanisme d’Ajustement Carbone aux Frontières (MACF), pour préparer les entreprises aux exigences environnementales européennes.

Dans le cadre des préparatifs de cette tournée en régions, l’équipe d’assistance technique de la BEI a livré au préalable une série de formations pour quelque 100 chargé.e.s d’affaires et directeurs.trices d’agence de l’UBCI. Ces sessions visent à orienter les stratégies d’affaires de leur clientèle PME vers l’exportation, tout en intégrant les enjeux environnementaux.

“À travers cette initiative, l’UBCI démontre une nouvelle fois son engagement envers l’économie tunisienne en aidant les PME locales à se doter des moyens financiers et techniques nécessaires pour accéder aux marchés internationaux”, a souligné Mohamed Koubaa, directeur général de l’UBCI. Et d’ajouter: “Clôturer ce roadshow à Tunis, après des étapes dans trois autres régions économiques clés du pays, illustre notre volonté d’aller à la rencontre de nos clients, là où ils opèrent, avec des solutions qui répondent précisément à leurs besoins”.

Jean-Luc Revéreault, représentant de la BEI en Tunisie, a déclaré: “La BEI soutient activement les PME tunisiennes dans leur transition vers des modèles plus compétitifs, durables et tournés vers l’export. À travers le Trade & Competitiveness Programme, nous leur apportons des financements adaptés et un accompagnement technique de proximité pour s’insérer durablement dans les chaînes de valeur exportatrices. En allant à la rencontre des entrepreneurs, ce roadshow illustre cet engagement pour proposer des solutions concrètes adaptées aux réalités de chaque région”.

Marco Stella, chef de section développement économique de l’Union européenne, a déclaré: “Les PME sont le moteur de la création d’emplois en Tunisie, notamment pour les jeunes et les femmes. C’est pourquoi l’Union européenne accorde une importance capitale à leur accompagnement. À travers ce projet Invest and Export Solutions, nous sommes fiers de soutenir des initiatives concrètes qui renforcent l’internationalisation et la compétitivité des entreprises tunisiennes. Nous saluons particulièrement l’approche régionale de cette initiative, en ligne avec notre engagement à soutenir l’économie réelle au plus près des territoires, en particulier dans les régions qui ont eu jusqu’ici moins d’opportunités de réaliser pleinement leur potentiel”.

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Tunisie: un nouveau projet pour consolider le système de santé et intensifier la lutte contre les pandémies

29. Mai 2025 um 09:12

Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale a approuvé aujourd’hui un financement de 125,16 millions de dollars, dont un don de 17,16 millions de dollars du Fonds de lutte contre les pandémies, pour appuyer les efforts de la Tunisie en vue d’améliorer l’accès à des services de santé résilients, de qualité et mieux préparés aux urgences. Ce soutien s’inscrit dans le cadre du Projet de renforcement du système de santé tunisien.

Cette initiative nationale vise à renforcer la préparation aux pandémies et les soins d’urgence, à moderniser les services de soins de santé primaires, ainsi qu’à améliorer la gouvernance et la numérisation du système de santé publique. Le projet appuie la mise en œuvre de la Politique nationale de santé (PNS) de la Tunisie, une stratégie de réforme conduite par le gouvernement et axée sur l’accès équitable aux soins, avec un accent particulier sur la prévention et la protection de la santé.

«En renforçant la résilience et la réactivité du système de santé tunisien, ce projet contribuera à garantir que tous les Tunisiens, en particulier les plus vulnérables, puissent accéder à des soins de qualité en temps utile, souligne Alexandre Arrobbio, chef des opérations de la Banque mondiale pour la TunisieIl s’appuie sur un partenariat solide qui a permis d’obtenir des résultats notables pendant la crise de la Covid-19, qu’il s’agisse de la fourniture d’équipements de protection, du déploiement des vaccins, de l’approvisionnement en oxygène médical, du développement de plateformes numériques ou encore de la modernisation des hôpitaux et des laboratoires. Aujourd’hui, nous intensifions ces efforts pour soutenir la prestation de services de santé et la préparation aux futures pandémies à l’échelle nationale, en collaboration étroite avec l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture et l’Organisation mondiale de la santé».

Le Projet de renforcement du système de santé tunisien vise à améliorer l’accès de l’ensemble de la population à des soins de santé critiques, à des services d’urgence et à des interventions hospitalières de qualité. Il bénéficiera également directement aux agents de santé de première ligne en renforçant leurs capacités dans des domaines clés tels que la surveillance des maladies, l’épidémiologie de terrain, les soins d’urgence et l’utilisation de systèmes numériques, notamment les dossiers médicaux électroniques. Aligné sur les priorités de développement de la Tunisie, le projet contribuera à renforcer la préparation du pays en matière de santé publique et à assurer la continuité et la qualité des services essentiels.

Le projet renforcera le système de santé à travers trois volets interdépendants. Il appuiera le développement de systèmes de surveillance intégrés à l’approche «Une seule santé» et le renforcement des infrastructures de laboratoire et de santé publique, afin de garantir des capacités solides de suivi et de riposte. Il réorganisera par ailleurs les services de soins de santé primaires au niveau communautaire en promouvant la médecine familiale, en adaptant les capacités des établissements aux besoins réels, et en développant la télémédecine ainsi que les dossiers médicaux électroniques, améliorant ainsi l’accessibilité, la continuité et la qualité des soins. Il contribuera enfin à améliorer les soins d’urgence et les infrastructures hospitalières en modernisant les flottes d’ambulances, en mettant en place des systèmes de répartition géolocalisés, et en renforçant les technologies de triage et de gestion des lits, afin d’assurer une prise en charge efficace, coordonnée et équitable des prestations de service. 

«La Tunisie redouble d’efforts pour améliorer la prestation des services de santé, en vue d’élargir l’accès aux soins et de les rendre plus équitables, explique Yassine Kalboussi, spécialiste de la santé à la Banque mondiale et chef d’équipe du projetCe projet soutiendra la transformation technologique et structurelle du système de santé, renforcera les capacités du personnel de santé et améliorera la qualité des services, en particulier dans les zones les plus mal desservies».

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TRACE Enda Gabès: une dynamique entrepreneuriale pour l’emploi rural

27. Mai 2025 um 16:30

Enda inter-arabe célèbre aujourd’hui la clôture officielle du projet TRACE – Tunisian Rural and Agricultural Chains of Employment.
La cérémonie se tient au Complexe des jeunes Chela Chenini Gabès, en présence des bénéficiaires, des partenaires publics et privés, ainsi que des représentants de l’écosystème local.

Financé par le Royaume des Pays-Bas, mis en œuvre par la Banque mondiale et exécuté dans le gouvernorat de Gabès par Enda inter-arabe, en partenariat avec Enda Tamweel, ce programme ambitieux a été déployé de 2021 à 2024 pour soutenir l’emploi rural à travers un appui direct à l’entrepreneuriat dans les secteurs de l’agriculture, l’agroalimentaire, la pêche, les services et l’artisanat.

Des résultats concrets, un impact humain fort

Le projet TRACE, c’est:

  • 1 111 emplois directs créés
  • 104 unités économiques accompagnées dans les secteurs de l’agriculture, l’agroalimentaire, la pêche, les services et l’artisanat
  • 82 % de femmes bénéficiaires et 31 % de jeunes de moins de 35 ans
  • 72 formations et 549 séances de coaching réalisées
  • 3,3 millions de dinars de subventions directes accordées par le projet TRACE Enda Gabès
  • 7 millions de dinars de fonds mobilisés au total, incluant en plus des subventions du projet, crédits, réinvestissements, extensions et autofinancements

Au-delà des chiffres, TRACE a permis de révéler des talents, de renforcer des dynamiques locales et de bâtir des trajectoires économiques durables. Des dizaines de bénéficiaires ont ainsi transformé leurs idées en projets structurés, viables et ancrés dans leur territoire.

Une approche fondée sur 35 ans d’expertise Enda

TRACE repose sur une méthodologie solide développée par Enda inter-arabe au fil de ses trois décennies d’action de proximité. Le processus d’accompagnement s’est articulé autour de quatre étapes majeures :

1- Sélection et maturation des projets

2- Attribution des subventions, selon des critères d’innovation, de durabilité et d’impact local

3- Appui à la mise en œuvre (accompagnement technique, suivi de terrain)

4- Professionnalisation des porteurs de projets et mise en réseau

Les projets soutenus se distinguent par leur valeur ajoutée territoriale, leur empreinte environnementale et leur capacité à générer des emplois durables. L’équipe d’Enda a veillé à:

  • La viabilité commerciale des investissements
  • Le renforcement des compétences entrepreneuriales
  • L’intégration aux chaînes de valeur existantes
  • La prise en compte des besoins qualitatifs et quantitatifs des marchés locaux et nationaux

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L’UBCI s’engage pour l’inclusion au Festival Handy Music

27. Mai 2025 um 13:45

Conformément à sa démarche RSE et à son engagement pour une société tunisienne inclusive, l’UBCI est heureuse d’avoir accompagné la 7ème édition du festival international Handy Music. Cet événement unique, qui s’est tenu du 15 au 18 mai 2025, a été organisé par l’association «IBSAR loisirs et culture pour les non et malvoyants» sous le thème porteur: “L’art sans limites, l’humain sans barrières”.                                                                                                                 

L’UBCI a été fière de s’associer à ce rendez-vous artistique, initié par l’association IBSAR en partenariat avec le Ministère des Affaires Culturelles, et l’ambassade de Suisse en Tunisie; qui met en lumière la créativité artistique des personnes en situation de handicap. Le festival a connu une belle édition internationale avec la participation de 13 pays : la Tunisie, l’Algérie, la Libye, la Mauritanie, le Maroc, le Sultanat d’Oman, l’Iran, l’Espagne, la Suisse, la France, la Pologne, le Portugal et l’Irak, dont plusieurs participaient pour la première fois.

Le soutien de l’UBCI au festival international Handy Music s’inscrit dans le cadre de sa politique RSE. La banque porte l’inclusion des personnes en situation de handicap, comme un axe important de l’inclusion sociale et de l’impact sociétal positif. En collaborant avec des associations tunisiennes comme IBSAR, l’UBCI souhaite contribuer à une société où chaque talent peut s’exprimer et trouver sa place.

Mehdi Farhat, Directeur de la RSE à l’UBCI a souligné à cette occasion que: « L’UBCI est heureuse d’avoir pu contribuer, aux côtés de l’association IBSAR, au succès du festival international Handy Music. Cet événement démontre avec force comment l’art peut unir et célébrer la diversité des talents. Soutenir de telles initiatives est au cœur de notre engagement citoyen pour une société plus inclusive et équitable, et nous sommes fiers de voir l’impact positif de ce festival».

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Lancement de la 1er édition du “South Tourism Lab” à Zarzis

26. Mai 2025 um 12:28

La DMO Djerba, Destination management organisation, et la Demo Dahar, annoncent le lancement de la première édition du South Tourism Lab – Rencontres du Sud, qui se tiendra les 30 et 31 mai 2025 au Parc Technologique de Zarzis, avec le soutien de la Coopération suisse (SECO).

Cet événement  vise à réunir des professionnels du tourisme, des experts en intelligence artificielle, des universitaires, des étudiants et des acteurs locaux pour réfléchir ensemble à l’avenir du tourisme dans le Sud tunisien.

Le South Tourism Lab proposera une conférence plénière, des ateliers immersifs, une session créative autour de Minecraft pour les jeunes talents, ainsi que des retours d’expériences sur l’usage des technologies dans le développement des territoires.

Trois axes principaux seront abordés : le tourisme intelligent, l’innovation culturelle et numérique, et l’ancrage local comme levier de durabilité.

Ensemble, construisons un tourisme plus attractif, plus intelligent, plus humain.

Entrée libre sur inscription. Infos : @SouthTourismLab

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La BIAT sacrée meilleure banque sur le marché de change en Tunisie en 2025 par Global Finance

26. Mai 2025 um 11:27

La BIAT a obtenu la récompense bancaire « Meilleure banque sur le marché de change en Tunisie » au titre de l’année 2025 décernée par le magazine international de renom Global Finance. Ce prix salue la performance continue de la BIAT sur le marché de change.

La BIAT est fière d’annoncer sa distinction en tant que « Meilleure Banque sur le marché de change en Tunisie » pour l’année 2025, décernée pour la cinquième année consécutive par le prestigieux magazine Global Finance dans le cadre des Gordon Platt Foreign Exchange Awards.

Cette reconnaissance met en lumière l’expertise de la BIAT sur le marché de change, sa capacité à offrir des solutions innovantes et adaptées aux besoins de sa clientèle, ainsi que son engagement constant envers l’excellence opérationnelle.

Le jury éditorial de Global Finance a évalué les banques candidates selon plusieurs critères quantitatifs et qualitatifs, notamment : le volume des transactions en devises, la part de marché et l’étendue de la couverture géographique, la qualité du service client, la compétitivité des prix et l’innovation technologique. 

« Les meilleures banques de change 2025 de Global Finance ont fait preuve d’une expertise, d’une résilience et d’une innovation exceptionnelles dans le secteur des changes, apportant constamment de la valeur et de la fiabilité à leurs clients dans le monde entier dans une période d’incertitude économique mondiale et de progrès technologiques rapides » a déclaré Joseph Giarraputo, fondateur et directeur éditorial de Global Finance dans un communiqué sur le site du magazine. (https://gfmag.com/award/press-release-global-finance-names-the-worlds-best-fx-banks-2025-as-part-of-the-gordon-platt-foreign-exchange-awards/ )

La BIAT figure parmi les 15 banques africaines récompensées pour leurs performances exceptionnelles sur le marché de change. 

Cette reconnaissance internationale vient s’ajouter aux nombreuses distinctions reçues par la BIAT ces dernières années, consolidant sa quête continue d’excellence et sa position d’acteur de référence dans le secteur bancaire tunisien et régional.

Pour rappel, la BIAT s’est dotée en juin 2022 d’une nouvelle salle des marchés au sein de son siège social, qui répond aux standards internationaux et allie expertises pointues, dernières technologies, aménagement moderne et ergonomique. Un nouveau système d’information a été mis en place couvrant l’ensemble des métiers de la salle des marchés : le front, le middle et le back office ainsi que la gestion des risques. Ce qui a permis d’élargir la gamme des solutions financières proposées tout en assurant une meilleure gestion en temps réel des positions et des actifs. La capacité de la nouvelle salle des marchés a considérablement augmenté et compte aujourd’hui 42 positions. 

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Sejnene: avec Carrefour et l’AMC, des poupées pour briser le tabou du cancer du sein

24. Mai 2025 um 08:38

Dans les zones rurales de Tunisie, le cancer du sein reste un sujet tabou. Trop peu discuté, il est souvent diagnostiqué trop tard. Mais à Sejnene, village du nord-ouest tunisien, un espoir discret naît entre les mains de femmes potières. Ce savoir-faire ancestral, reconnu par l’UNESCO, est aujourd’hui réinventé au service d’une cause vitale, et devient le cœur battant d’une campagne de sensibilisation inédite, initiée par Carrefour en soutien à l’Association des Malades du Cancer (AMC), dans le prolongement d’un engagement solidaire construit au fil des années. Une campagne où l’artisanat se fait messager d’espoir, de prévention et de solidarité.

Ce savoir-faire va bien au-delà de l’artisanat: il incarne la transmission, la force des femmes, la mémoire vivante d’une communauté. Aujourd’hui, il est réinventé avec une profondeur nouvelle, mis au service d’un combat universel et intime à la fois, celui de la vie face au cancer du sein. Entre les mains de ces potières, l’argile devient langage, message, éveil. Une forme de résistance douce, modelée avec amour, pour éveiller les consciences et protéger les générations futures.

Carrefour Tunisie, en collaboration avec l’Association des Malades du Cancer (AMC), lance une initiative aussi poignante que symbolique : des poupées en terre cuite inspirées de vraies survivantes du cancer du sein. Chacune est façonnée à la main par une artisane de Sejnene, portant un détail presque invisible mais profondément significatif : une petite bosse sur la poitrine, reproduction fidèle de la première alerte qu’ont su détecter, à temps, les femmes qui ont survécu grâce à l’autopalpation.

Ces poupées racontent une autre histoire. Celle d’un savoir transmis de mère en fille, désormais porteur d’un nouveau message : celui de la prévention et du dépistage précoce.

Un film émouvant, dévoilé en ouverture de campagne, suit le geste précis et lent d’une artisane modelant l’argile. Au fil de la création, la bosse apparaît. Discrète. Importante. Elle devient symbole. Ce film est la première étape d’une campagne de sensibilisation nationale. Les poupées symboliques seront par la suite dévoilées aux journalistes, influenceurs et leaders d’opinion, afin de briser le silence autour de la maladie.

Une partie des poupées est également mise à disposition du public, grâce à l’appui logistique de Carrefour, pour collecter des fonds destinés au traitement du cancer du sein. Ainsi, chaque poupée devient un acte de solidarité, un appel à la vigilance, un outil de sensibilisation.

L’Association des Malades du Cancer met l’accent sur l’importance du dépistage précoce, en s’appuyant sur le patrimoine artisanal local comme fil conducteur de cette nouvelle campagne de sensibilisation.

Mme Zarrouk, présidente de l’association, explique:

«Le dépistage précoce du cancer du sein est un geste de vigilance, comparable au travail minutieux des femmes de Sejnene lorsqu’elles façonnent l’argile. Ce savoir-faire ancestral, précis et attentif, peut symboliquement nous inspirer: comme elles prennent soin de chaque détail, nous invitons chaque femme à prendre soin de sa santé. En réalisant régulièrement des examens, elles peuvent prévenir la maladie et éviter bien des souffrances. À travers cette campagne, nous voulons éveiller les consciences pour faire du dépistage un réflexe salvateur. C’est une campagne pour sauver des vies».

 

Carrefour, initiateur de cette action, a également tenu à souligner son engagement à travers les mots du responsable marketing de cette opération, Mourad Naili :

« Derrière chaque projet solidaire que nous menons, il y a une conviction profonde : celle qu’une enseigne peut, et doit, jouer un rôle moteur dans les grandes causes sociétales. Ce n’est pas une démarche ponctuelle: Carrefour Tunisie a toujours agi et continuera d’agir pour accompagner les communautés, soutenir les plus fragiles et défendre des causes essentielles. Avec les femmes de Sejnene, nous avons uni nos forces pour que la tradition devienne un levier de sensibilisation.

Chaque poupée créée porte un double message: celui d’un patrimoine vivant et celui de l’espoir face au cancer. C’est un engagement de cœur, que nous assumons avec fierté à travers tout notre réseau».

 

À Sejnene, la terre a toujours raconté des histoires. Aujourd’hui, elle sauve des vies.

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BYD démarre son roadshow national en Tunisie

22. Mai 2025 um 12:35

BYD (Build Your Dreams), pionnier mondial des véhicules électriques, lance son Roadshow national en Tunisie, une tournée immersive qui invite le grand public à vivre l’expérience unique de la conduite électrique BYD à travers des tests drive, des animations exclusives et des moments de découverte conviviaux.

Trois étapes sont prévues à travers le pays :
– Du 22 mai au 1er juin : Parking de Tunis City
– Du 4 au 15 juin : Devant l’hôtel Ibis à Sfax
– Du 18 au 29 juin : Parking du Mall of Sousse

Une immersion totale dans l’univers BYD

Le public pourra découvrir et tester les derniers modèles de la gamme BYD :
– Tang EV – Le SUV 100% électrique haut de gamme
– Atto 3 – Le crossover intelligent et agile
– Dolphin – La citadine électrique moderne et compacte
– Song Plus DM-i – Le SUV hybride rechargeable alliant performance et autonomie
– King Plus DM-i – Une berline élégante et efficiente

Des animations pour toute la famille

– Des ateliers pédagogiques pour enfants (Kids Workshop) autour de l’environnement et de l’électromobilité
– Des mini-formations sur la technologie électrique BYD animées par l’équipe commerciale
– Des cadeaux offerts aux visiteurs
– Un grand tirage au sort pour tenter de remporter des week-ends dans des hôtels partenaires
« Ce Roadshow est l’occasion pour le public tunisien de prendre le volant de la mobilité électrique de demain, dans un cadre accessible, pédagogique et chaleureux. Nous souhaitons sensibiliser et inspirer les conducteurs de demain à travers une expérience concrète et mémorable », déclare Hajer Chekir, Directrice commerciale de BYD Tunisie.
Informations pratiques :
– Entrée libre – tous les jours de 10h à 19h
– Test drive gratuit – inscription recommandée sur : https://byd.tn/roadshow-test-drive

Réservez dès maintenant votre essai ici.

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