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Gestern — 25. März 2025Haupt-Feeds

“Vivez l’instant T, vivez l’instant Tunisie” : Le ministère du Tourisme lance une nouvelle campagne pour séduire l’Europe

Von: La Presse
25. März 2025 um 22:44

Sous le slogan “Vivez l’instant T, vivez l’instant Tunisie”, le ministère du Tourisme a lancé, ce mardi soir 25 mars 2025, au palais Kobbet El Nhas à la Manouba, une grande campagne publicitaire nationale ciblant les marchés européens de 16 pays, en 14 langues différentes. Diffusée sur des supports numériques, à travers les médias, ainsi que sur des affiches numériques dans les gares, les stations de métro, les grandes artères, les centres commerciaux et les aéroports, cette campagne a été préparée par l’Office National du Tourisme Tunisien (ONTT) dans le cadre d’un appel d’offres international de deux mois et demi.

À cette occasion, le ministre du Tourisme, Sofiane Tekaya, qui a supervisé le lancement de cette campagne en présence du gouverneur de Manouba, d’ambassadeurs et de représentants des missions diplomatiques européennes en Tunisie, a souligné que cette initiative, après cinq ans d’interruption, vise à marquer le retour en force de la Tunisie en tant que destination touristique de choix, notamment sur le marché européen. “L’objectif fixé est d’accueillir 11 millions de visiteurs pour la saison touristique 2025, en mettant en valeur un produit touristique diversifié et riche”, a-t-il souligné.

Le ministre a également insisté sur l’importance de promouvoir des produits touristiques encore insuffisamment connus, en particulier à la lumière des évolutions récentes du marché touristique, qui nécessitent un renforcement de la présence de la Tunisie à l’international. “Cela passe par une intensification des efforts de promotion, en mettant à profit la stabilité sécuritaire et politique du pays, l’amélioration des services dans ses aéroports et ses établissements touristiques, qui fonctionneront cette saison selon des normes de qualité totale”, a-t-il encore précisé.

Sofiane Tekaya a en outre indiqué que cette campagne publicitaire allait également contribuer à renforcer l’attractivité de la destination tunisienne, tout en améliorant sa visibilité dans les salons internationaux. Cette dynamique sera soutenue par des mesures supplémentaires concernant les vols opérés par la compagnie aérienne tunisienne et par un nombre croissant de compagnies aériennes étrangères, en plus d’une animation accrue des aéroports tunisiens, notamment ceux de Tabarka, Tozeur et Djerba. De même, un effort sera fait pour augmenter la capacité d’hébergement dans des zones comme Tabarka, Ain Draham et Tozeur, en collaboration avec les hôteliers, la Fédération Tunisienne de l’Hôtellerie, les agences de voyages et les diverses organisations professionnelles.

Tekaya a ajouté qu’en vue de réussir cette saison, le ministère a élaboré un programme complet qui inclut une campagne nationale de propreté et de protection de l’environnement dans les zones touristiques, à l’instar de l’initiative “Djerba sans plastique”. Ce programme prévoit également un soutien particulier aux municipalités touristiques, l’animation des villes touristiques à travers des festivals et des événements, ainsi qu’une attention particulière aux sites historiques et aux circuits touristiques dans le sud du pays, notamment à Gabès, Tozeur et Gafsa. Il a également mis l’accent sur le tourisme durable et l’investissement dans le secteur de l’animation touristique et des métiers artisanaux. Un programme spécial pour plusieurs régions sera lancé en avril prochain, avec un focus particulier sur Gafsa, où des efforts seront déployés pour relancer l’activité du train touristique ou “Le lézard rouge” en coordination avec le ministère des Transports.

De son côté, le directeur général de l’Office National du Tourisme Tunisien (ONTT), Helmi Hussein, a souligné que la promotion touristique est l’un des leviers stratégiques pour faire connaître la destination tunisienne dans toute sa diversité, en s’appuyant sur les campagnes nationales et la publicité conjointe avec les agences de voyages, les influenceurs et tous les autres acteurs impliqués.

Il a précisé que, en plus d’atteindre un record de 10,26 millions de touristes en 2024, le tourisme en provenance des marchés européens a connu une croissance de près de 15 % entre le 1er janvier et le 20 mars 2025, par rapport à la même période de l’année précédente. Cette dynamique justifie d’intensifier les efforts pour renforcer la visibilité de la destination touristique tunisienne à travers divers supports et leviers, et pour adapter l’offre touristique aux besoins spécifiques des différents marchés.

Il est à noter que le lancement de la campagne a également inclus une visite des ambassadeurs de France, d’Italie, de Norvège, d’Allemagne et du Portugal, ainsi que des représentants des missions diplomatiques, dans les salons du palais Kobbet El Nhas, un site historique construit par Mohamed Rachid Bey entre 1756 et 1758. Les invités ont pu découvrir l’architecture et la diversité décorative de ce lieu emblématique.

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L’adoption du covoiturage entraînera-t-elle la disparition du secteur des taxis ? L’avis du SG de l’Union Tunisienne des Taxis Individuels

Von: La Presse
25. März 2025 um 22:40

Mohamed Ali Arfawi, secrétaire général de l’Union Tunisienne des Taxis Individuels, a déclaré ce mardi 25 mars 2025 que l’adoption des applications intelligentes est incontournable et qu’il est impossible de les supprimer en Tunisie. Leur absence à Tunis entraînerait un préjudice pour les clients.

Lors de son passage sur les ondes d’Express Fm, Arfawi a souligné que l’entreprise dont la Direction Générale de la Garde Nationale a annoncé hier la suspension des activités, et qui est impliquée dans des affaires de blanchiment d’argent et de fraude fiscale, a semé la confusion à Tunis.

“Nous voulons une alternative, il est impossible de continuer à travailler sans applications”, a-t-il déclaré tout en insistant sur le fait que le chauffeur de taxi n’est pas responsable. En utilisant l’application, il cherche simplement à augmenter ses revenus, rien de plus.

Il a aussi annoncé qu’il y a 17 000 taxis dans la région de Tunis, mais environ 5 000 à 6 000 d’entre eux utilisent des applications intelligentes, et environ 3 500 taxis sont rattachés à l’entreprise dont l’activité a été suspendue.

Arfawi a également souligné qu’il est nécessaire de continuer à utiliser les applications électroniques par les entreprises tunisiennes, ce qui profiterait à la fois aux chauffeurs et aux citoyens. Il a insisté sur le fait que l’augmentation des prix de manière significative n’est pas acceptable et que plusieurs chauffeurs de taxi en ont souffert.

“L’État doit intervenir, et le ministère des Transports doit trouver une alternative. Il faut réguler et organiser l’utilisation des applications, qui ne peuvent pas être abandonnées… Et l’utilisation du taximètre dans les taxis n’est plus suffisante. Si le tarif du taximètre devient raisonnable, il n’y aura plus besoin d’applications”, a-t-il expliqué, tout en précisant que toutes les applications utilisées ne possédaient pas de licences du ministère des Transports et opéraient dans un cadre illégal et que le marché tunisien peut accueillir environ trois entreprises, ce qui permettrait une concurrence plus grande.

Sur un autre plan, Mohamed Ali Arfawi a abordé la question du covoiturage, qu’il l’a qualifié de concurrence déloyale. Selon lui, ce secteur nuit au marché des taxis et menace d’éliminer cette activité.

Il a également évoqué la pénurie des bus à Tunis et a souligné que l’État tunisien travaille activement pour combler cette lacune. Il a ajouté qu’il est interdit à un chauffeur de taxi de refuser un client, et que des procès-verbaux sont dressés à cet effet contre les contrevenants.

En outre, Arfawi a averti que, si le covoiturage continue de se développer, cela pourrait avoir des conséquences graves sur le secteur des taxis. “L’adoption du covoiturage entraînera la disparition du secteur des taxis”, a-t-il prévenu.

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Chasse tragique à Siliana : Un homme tué par balle accidentellement

Von: La Presse
25. März 2025 um 22:37

Un quadragénaire a perdu la vie par balle lors d’une partie de chasse dans la région d’El Kabel, située dans la délégation de Siliana Sud, ce mardi après-midi. Le juge d’instruction du tribunal de première instance de Siliana a ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame.

Selon Issa Qasmi, porte-parole du tribunal de première instance de Siliana et assistant du procureur de la République, la justice a été informée du décès d’un homme né en 1980, tué par un tir accidentel. Le procureur de la République, accompagné du juge d’instruction, s’est rendu sur place pour procéder aux constations nécessaires. L’incident a eu lieu dans la montagne d’El Kabel, où le corps de la victime a été retrouvé. L’examen préliminaire a révélé que la victime était décédée des suites d’une balle, tuée sur le coup.

Selon les déclarations de l’accompagnant de la victime, rapportées par Mosaïque Fm, ce dernier lui aurait confié son fusil pour prendre des photos des lieux. Malheureusement, une balle est partie accidentellement, entraînant la mort de l’homme sur place.

Dans le cadre de cette enquête, le juge d’instruction a émis une commission rogatoire en faveur d’une équipe de sécurité pour poursuivre les investigations et déterminer précisément les circonstances de cet accident. Une fois l’enquête terminée, le juge prendra les mesures appropriées en fonction des résultats.

 

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Incendie à Sminja : Une grande ferme avicole ravagée, 80 bouteilles de gaz évacuées

Von: La Presse
25. März 2025 um 22:32

En fin d’après-midi, vers 15h00, un important incendie a éclaté dans une grande ferme avicole située dans la région de Sminja, sur la route de Zaghouan. La brigade de secours et d’extinction de l’administration régionale de la protection civile de Zaghouan a rapidement été dépêchée sur les lieux pour maîtriser le sinistre.

Selon un communiqué de la protection civile, l’intervention a mobilisé cinq camions de pompiers. Les équipes ont réussi à évacuer environ 80 bouteilles de gaz utilisées pour le chauffage de la ferme, évitant ainsi une catastrophe. Grâce à la rapidité de l’intervention, l’incendie a pu être contenu avant qu’il ne se propage davantage.

Les autorités locales n’ont pas fait état de victimes, mais l’enquête se poursuit pour déterminer l’origine de l’incendie. Les équipes de la protection civile restent sur place pour assurer la sécurité de la zone.

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Des chutes de grêle à Tataouine accompagnées de pluies bénéfiques

Von: La Presse
25. März 2025 um 22:28

Ce mardi 25 mars, la région de Ksar Ouled Soltane, dans la délégation de Tataouine Nord, a connu des chutes de grêle, marquées par une baisse notable de la température. Ce phénomène météorologique a frappé la région en fin de journée, apportant des conditions climatiques perturbées.

Il convient de souligner que, depuis la nuit précédente, le gouvernorat de Tataouine bénéficie de pluies régulières, mais de quantités variées, qui ont été bien accueillies par la population locale. Ces précipitations ont apporté un certain soulagement aux habitants de la région, qui en attendent des effets positifs pour l’agriculture locale.

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Aïd al-Fitr 2025 : La date astronomique de l’observation du croissant de Chawwal confirmée en Égypte et dans d’autres pays arabes

Von: La Presse
25. März 2025 um 22:25

L’Institut national de recherches astronomiques et géophysiques, affilié au Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique en Égypte, a révélé aujourd’hui les résultats de ses prévisions concernant l’observation du croissant de Chawwal pour l’année 1446 du calendrier hégirien. Selon ces informations, le premier jour de l’Aïd al-Fitr en 2025 sera le dimanche 30 mars, et ce, tant en Égypte que dans plusieurs autres pays arabes et musulmans.

L’Institut a précisé que le croissant de Chawwal apparaîtra immédiatement après la conjonction, à 13h00 (heure locale du Caire), le samedi 29 mars 2025, soit le 29 du mois de Ramadan 1446. Ce sera le “jour de l’observation” du croissant. Le croissant restera visible dans le ciel de La Mecque pendant 7 minutes, tandis qu’au Caire, il sera observable pendant 11 minutes après le coucher du soleil ce jour-là. Dans d’autres gouvernorats d’Égypte, la visibilité du croissant variera entre 9 et 12 minutes.

L’Institut a également mentionné que dans certaines capitales et villes arabes et musulmanes, le croissant sera visible après le coucher du soleil pour des durées comprises entre 3 et 19 minutes. Par ailleurs, il a été observé que le croissant disparaîtra avant le coucher du soleil à Kuala Lumpur (Malaisie) 5 minutes avant, et à Jakarta (Indonésie) 7 minutes avant.

L’Institut a aussi publié la liste des villes égyptiennes où l’observation du croissant et des phases lunaires sera possible. Ces villes comprennent Le Caire, Halaïb, Alexandrie, Souhag, ainsi que d’autres gouvernorats d’Égypte.

En outre, plusieurs capitales et grandes villes internationales verront également le croissant de Chawwal. Parmi elles, on trouve : Nouakchott (Mauritanie), Marrakech et Fès (Maroc), Alger (Algérie), Tunis (Tunisie), Tripoli (Libye), Khartoum (Soudan), Mogadiscio (Somalie), Ankara (Turquie), Amman (Jordanie), Damas (Syrie), Riyad (Arabie Saoudite), Abou Dhabi (Émirats Arabes Unis), Doha (Qatar), Le Cap (Afrique du Sud), Karachi (Pakistan), Kuala Lumpur (Malaisie), Jakarta (Indonésie), Washington (États-Unis), Ottawa (Canada), Londres (Royaume-Uni), et Moscou (Russie), entre autres.

L’Institut a confirmé que le premier jour du mois de Chawwal 1446, selon les calculs astronomiques, sera le dimanche 30 mars 2025. Ce jour correspondra donc au premier jour de l’Aïd al-Fitr pour les pays qui suivront cette observation astronomique.

 

La Presse avec Agences

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Le projet de loi sur les chèques sans provision n’a pas encore été adopté : les points essentiels à retenir

Von: La Presse
25. März 2025 um 21:15

Lors d’une séance conjointe tenue hier, lundi 24 mars 2025, les commissions de la législation générale, du règlement intérieur, des lois parlementaires, ainsi que des lois électorales et de la fonction électorale, ont approuvé la proposition de loi relative à l’amnistie générale pour les personnes ayant émis des chèques sans provision, dans le cadre de la loi n° 08/2025.

Selon Hichem Hosni, député et membre de la commission du règlement intérieur, la proposition de loi stipule que les détenteurs de chèques dont le montant ne dépasse pas 5 000 dinars bénéficieront d’une amnistie totale, avec l’arrêt des poursuites judiciaires à leur encontre. Cependant, les créanciers concernés devront se tourner vers les tribunaux civils pour obtenir réparation.

Une proposition de modification a été soumise afin d’étendre l’amnistie à tous les détenteurs de chèques sans provision, sans limite de montant. Cette proposition a été soutenue par seulement quatre députés des deux commissions, tandis que quatre autres se sont opposés et les autres se sont abstenus. En conséquence, la question sera soumise à la séance plénière pour une décision finale.

 

Un débat divisé parmi les parlementaires

 

Des auditions ont été menées auprès de l’initiative législative, du ministère de la Justice et de l’Ordre des avocats. Il en ressort un clivage notable parmi les députés. Certains plaident pour l’annulation des poursuites judiciaires pour les chèques inférieurs à 5 000 dinars, tandis que d’autres soulignent l’importance de préserver les droits des créanciers. Certains députés font valoir qu’une personne pourrait émettre plusieurs chèques de faible montant et échapper aux poursuites, tandis qu’une autre pourrait se retrouver poursuivie pour un seul chèque supérieur à 5 000 dinars.

Une proposition a été avancée pour étendre l’amnistie à l’ensemble des détenteurs de chèques sans provision, mais cette mesure pourrait contredire la loi n° 41 de 2024, qui avait déjà introduit des garanties pour les créanciers tout en offrant une amnistie partielle.

Face à cette situation, Hichem Hosni a précisé que les travaux des commissions étaient désormais terminés et que le rapport serait soumis au Bureau du Parlement, qui fixera la date de la séance plénière pour l’examen du texte. La proposition de loi pourrait être adoptée dans son intégralité, amendée, ou rejetée, avec une possibilité de maintien de la loi n° 41 de 2024.

La séance plénière sera planifiée en fonction de l’agenda du Parlement, qui doit prendre en compte des priorités législatives, notamment la loi sur les contrats et la sous-traitance, qui sera examinée en priorité. Une session spéciale pourrait être organisée dans les jours à venir, après l’Aïd el-Fitr, pour examiner cette proposition d’amnistie.

Il est à rappeler dans ce même cadre que le projet de loi concernant l’amnistie des chèques sans provision n’est pas encore entré en vigueur, mais il a été approuvé par les commissions parlementaires en attendant son passage devant l’Assemblée plénière.

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Utique peut-elle enfin dire adieu aux points noirs grâce à cette nouvelle initiative ?

Von: La Presse
25. März 2025 um 21:06

Le 25 mars 2025, les services du gouvernorat de Bizerte, en partenariat avec les autorités locales de la délégation et de la municipalité d’Utique, ont lancé une campagne de nettoyage conjointe dans la région, visant à améliorer le système de propreté et à renforcer les indicateurs environnementaux. Cette initiative a été menée en coordination avec les services du Bureau de l’assainissement de Bizerte ainsi que les municipalités de Ras Jebel, Aouja, Alia, Menzel Jemil, Bizerte et Menzel Abderrahmane.

Le gouverneur de Bizerte, Salem Ben Yacoub, a supervisé les différentes interventions programmées dans la région, en particulier dans les zones d’Utique, où les efforts se sont concentrés sur le nettoyage des points noirs environnementaux. Selon lui, les actions entreprises ont inclus le pompage des eaux usées et des eaux pluviales stagnantes, le nettoyage des bouches d’égout, ainsi que le curage des ruisseaux et des canaux d’écoulement. Des opérations ont également été menées pour lever l’isolement de certains quartiers, éliminer les déchets de construction et débarrasser la région des herbes indésirables.

Les autorités locales ont mis l’accent sur l’importance de ces actions pour améliorer la qualité de vie des habitants, en réduisant les risques sanitaires et en renforçant les infrastructures de gestion des eaux. Ben Yacoub a aussi annoncé que ces interventions urgentes seront suivies de mesures supplémentaires en coordination avec les services régionaux et centraux. Ces mesures incluront des programmes de nettoyage récurrents et l’instauration de solutions durables pour assurer la propreté à long terme de la région.

Il est à noter que les 14 délégations de la région de Bizerte ont déjà bénéficié, depuis le début de l’année 2025, de campagnes de nettoyage régulières. Ces actions ont permis de collecter des quantités importantes de déchets, de lever l’isolement de nombreuses zones, de maintenir l’éclairage public et de libérer les voies publiques et trottoirs. L’engagement des autorités locales et des citoyens dans ces actions a été essentiel pour éliminer plusieurs points noirs dans la région, contribuant ainsi à un environnement plus sain et plus accueillant pour tous.

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La Tunisie et le Venezuela célèbrent 60 ans de relations diplomatiques

Von: La Presse
25. März 2025 um 20:49

Le ministre des Affaires étrangères, de la Migration et des Tunisiens à l’étranger, Mohamed Ali Nafti, a reçu un appel téléphonique de son homologue vénézuélien, Yván Gil Pinto, qui l’a félicité à l’occasion du 69e anniversaire de la fête de l’Indépendance.

Au cours de cette conversation, les deux ministres ont échangé des vœux pour le 60e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la Tunisie et le Venezuela, qui remonte au 13 mars 1965.

L’entretien a également permis de réaffirmer la solidité des relations d’amitié et de coopération entre les deux pays.

Les ministres ont discuté des moyens de renforcer ces relations dans divers domaines, notamment les échanges commerciaux, culturels, touristiques, ainsi que la recherche scientifique, l’agriculture et l’énergie.

 

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QNB Tunisia réduit son capital de 361,7 MD pour éponger ses pertes

Von: La Presse
25. März 2025 um 20:43

À la fin décembre 2024, les capitaux propres de la Qatar National Bank (QNB) Tunisia ont atteint 282,974 millions de dinars (MD), soit moins de 50 % du capital social qui s’élève à 644 MD.

Cette situation est expliquée par l’accumulation de pertes estimées à 361,7 millions de dinars, selon les données publiées lundi par le Conseil du marché financier (CMF) sur son site.

Face à cette accumulation de pertes, la banque a convoqué une assemblée générale extraordinaire le 26 mars 2025 pour prendre la décision de réduire son capital de 361,7 MD afin d’apurer les pertes cumulées jusqu’à fin décembre 2024.

Le capital social de la banque passera ainsi de 644 MD à 282,3 MD, selon le rapport des commissaires aux comptes sur les états financiers en date du 31 décembre 2024.

Il a également été confirmé qu’à la suite de l’approbation du conseil d’administration en date du 10 juillet 2024, la banque a annulé des créances estimées à 71,5 MD.

D’après les états financiers de la banque, le portefeuille à annuler se compose principalement de créances de la catégorie 5, actuellement en cours de litige.

Par ailleurs, le rapport des commissaires aux comptes pour l’exercice clos le 31 décembre 2024 a révélé que le directeur général de la banque a perçu une rémunération totale de 1,965 million de dinars au cours de l’année précédente, soit 164 000 dinars par mois.

La Qatar National Bank Tunisia, anciennement connue sous le nom de Tunisian Qatari Bank, est une banque universelle créée en vertu d’un accord entre le Qatar et la Tunisie, signé le 3 mars 1982.

Depuis avril 2013, la banque est connue sous le nom de Qatar National Bank Tunisia (QNB), à la suite de l’acquisition par le groupe Qatar National Bank de la majorité des actions de l’État tunisien dans son capital. Le Groupe QNB est l’une des plus grandes institutions bancaires du Moyen-Orient et de l’Afrique, avec un bénéfice net de 4,14 milliards de dollars au 31 décembre 2023.

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Réforme du secteur bancaire : Sarra Zaafrani Zenzeri annonce des ajustements législatifs pour la BCT

Von: La Presse
25. März 2025 um 20:36

Le mardi 25 mars 2025, au Palais du gouvernement de la Kasbah, Sarra Zaafrani Zenzeri, cheffe du gouvernement, a présidé un conseil des ministres restreint consacré à l’examen du projet de modification de la loi n° 35 de 2016 relative au statut de la Banque centrale de Tunisie. Ce conseil a réuni plusieurs figures clés, dont Michket Slama Khaldi, ministre des Finances, et Fathi Zouheir Nouri, gouverneur de la Banque centrale de Tunisie.

Au cours de cette réunion, la cheffe du gouvernement a souligné l’importance capitale du rôle de la Banque centrale de Tunisie dans l’établissement des critères quantitatifs et qualitatifs qui permettent de garantir une gestion saine et efficace du système bancaire national. Elle a insisté sur la nécessité de renforcer les politiques économiques nationales, de stimuler l’investissement et d’améliorer la capacité de financement des petites et moyennes entreprises (PME), un pilier essentiel pour la relance économique.

Sarra Zaafrani Zenzeri a par ailleurs mis en avant l’importance de la coopération entre les différentes entités publiques et privées du secteur financier pour mener à bien les réformes nécessaires et parvenir à une révolution législative couvrant tous les secteurs vitaux de l’économie tunisienne. Cette réforme vise à créer une dynamique économique durable, orientée vers le soutien à l’investissement et la création de richesse dans toutes les régions du pays.

Autonomie financière et défi de l’autosuffisance

La cheffe du gouvernement a également rappelé que l’autonomie financière et le renforcement des ressources propres de l’État étaient des choix stratégiques incontournables pour garantir la souveraineté économique du pays. Elle a insisté sur la nécessité de fédérer les efforts de tous les acteurs économiques dans la construction d’une économie résiliente, fondée sur un système financier solidaire et intégré, capable de faire face aux défis mondiaux et de freiner l’augmentation de l’endettement public.

À l’issue des discussions sur les propositions de modification de la loi n° 35 de 2016, le conseil a recommandé d’accélérer le processus de révision de la loi en suivant une approche nouvelle et intégrée, en vue de renforcer l’efficacité et la transparence du système financier tunisien.

 

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5 000 doctorants au chômage réclament un recrutement direct sans concours

Von: La Presse
25. März 2025 um 20:21

Un certain nombre de doctorants-chercheurs au chômage ont réclamé « un recrutement direct sans concours ».

Le porte-parole des doctorants au chômage, Abderrahmène Khélifi, a indiqué lors d’une conférence de presse tenue mardi à Tunis qu’environ 5 000 titulaires de doctorat se trouvent confrontés au chômage ou travaillent dans des secteurs non adaptés à leur qualification. Il a souligné la nécessité de « régulariser la situation des doctorants par le biais d’un recrutement direct et l’annulation des concours ».

« Il s’agit de la deuxième conférence de presse organisée en l’espace de deux mois, » a-t-il précisé, insistant sur l’importance de régulariser ce dossier et de faciliter l’intégration des doctorants afin de préserver leur dignité.

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Tunis, Théâtres du Monde : « Sucre: An Ice Cream for a Nice Crime » de la Côte d’Ivoire… : Quand la douceur du sucre porte le poids de l’esclavage

Von: La Presse
25. März 2025 um 20:20

Une expérience scénique fusionnant jeu corporel dramatique, histoire, musique et lumière, dévoilant ainsi les complexités de l’héritage de l’esclavage et de la domination coloniale.

La salle 4e Art à Tunis a accueilli, dans la soirée du dimanche 23 mars 2025, la performance théâtrale et dansée «Sucre: An Ice Cream for a Nice Crime», mise en scène par Abdoulaye Trésor Konaté de la Côte d’Ivoire, dans le cadre de la troisième édition de la manifestation «Tunis, théâtres du monde». Cette œuvre artistique propose une expérience scénique fusionnant jeu corporel dramatique, histoire, musique et lumière, dévoilant ainsi les complexités de l’héritage de l’esclavage et de la domination coloniale. Ici, le sucre se transforme en un symbole d’une douceur illusoire, masquant des crimes coloniaux et une longue histoire de souffrance et de servitude.

Dès les premières secondes du spectacle, le public se trouve face à une mise en scène non conventionnelle : sur un sol recouvert de grains de sable et de sucre éparpillés, un danseur au corps épuisé, au regard perdu, évolue comme une entité portant en elle le poids de l’esclavage, toujours présent malgré le passage du temps. Les mouvements alternent entre chutes et redressements, entre rotations et arrêts soudains, comme si le corps dialoguait avec lui-même, cherchant à s’extraire d’un cycle infini d’exploitation et de domination. Dans cette dramaturgie du geste, les mots deviennent superflus: c’est le corps qui parle, qui exprime la douleur, mais aussi la résistance.

«Sucre: An Ice Cream for a Nice Crime» porte à premier coup d’œil intrigue. Il repose sur une contradiction linguistique frappante et porte en lui une multitude de significations. Le sucre, souvent associé à la douceur et au plaisir, cache pourtant une histoire sombre, intimement liée au colonialisme, à l’esclavage et à l’exploitation économique des colonies africaines. Il représente ici une matière première transformée en marchandise mondiale, dont la production a eu un impact dévastateur sur la vie de millions d’esclaves forcés de travailler dans les plantations. Ainsi, le titre joue sur cette dualité entre la douceur apparente et la réalité brutale, mettant en lumière le contraste saisissant entre la forme et la profondeur du récit historique.

L’expression «An Ice Cream» évoque l’enfance et l’innocence, mais le fait de l’associer à un contexte de « crime » crée un effet de tromperie. Elle devient une métaphore puissante de la manière dont l’exploitation économique et le colonialisme ont été dissimulés sous des apparences séduisantes et attractives, cachant en réalité des siècles de souffrance.

De même, la combinaison «Nice Crime» (Beau crime») crée une sorte de choc sémantique à la fois évocateur et provocateur. Habituellement, un crime est un acte inhumain et condamnable ; or, le qualifier de «nice» (agréable) dissimule une ironie mordante. Cette juxtaposition inattendue reflète le paradoxe fondamental du spectacle : comment les atrocités du colonialisme et de l’esclavage ont-elles pu être présentées, voire acceptées, sous une forme socialement et économiquement légitimée ? Comment l’exploitation continue-t-elle aujourd’hui sous des formes modernisées, sans être perçue comme intrinsèquement violente ? Ce questionnement lève le voile sur l’illusion qui entoure l’histoire coloniale et ses répercussions contemporaines.

L’un des éléments clés du spectacle réside dans l’utilisation du sucre comme élément visuel et métaphorique sur scène. Depuis le XVIIe siècle, le sucre est devenu l’une des marchandises les plus prisées sur les marchés européens, mais derrière cette douceur apparente se cache l’histoire tragique de millions d’êtres humains réduits à l’esclavage pour cultiver la canne à sucre dans les Caraïbes et les Amériques. Le spectacle manipule cette substance comme un miroir du système colonial : tout comme le sucre a été transformé en un produit de luxe pour l’Europe, les corps des esclaves ont été réduits à de simples instruments de production.

Dans la mise en scène, le sucre envahit l’espace, s’accroche aux corps, s’insinue dans les mouvements comme un fardeau invisible mais omniprésent. Ce choix visuel simple, mais puissant, confronte le spectateur à une question essentielle : comment les structures d’exploitation du passé continuent-elles à se reproduire aujourd’hui sous d’autres formes ?

L’espace théâtral ne sert pas seulement de cadre au jeu dramatique : il devient lui-même un élément dramatique à part entière. Le sol sablonneux, recouvert de sucre, crée un paysage visuel troublant, où chaque pas, chaque chute, chaque frottement du corps contre la terre résonne comme un écho du travail forcé, de l’épuisement et de la lutte. Le sucre, sous les projecteurs, semble d’abord scintiller, presque séduisant, avant de révéler sa nature suffocante et collante — une métaphore des chaînes invisibles que l’histoire impose au corps noir.

L’éclairage joue également un rôle crucial : des lumières chaudes évoquent le soleil des plantations, tandis que des tons froids rappellent la brutalité des usines modernes. A certains moments, les projecteurs illuminent le sucre au sol, lui donnant un éclat presque hypnotique — une fausse promesse de richesse et d’abondance, dissimulant en réalité l’exploitation qui le sous-tend.

L’ensemble du spectacle repose sur le langage du corps, à travers des mouvements chorégraphiques d’une grande précision. Derrière leur fluidité et leur esthétique harmonieuse, ces gestes expriment une profonde douleur. Certaines séquences gestuelles se répètent en boucle, renforçant une impression d’enfermement, d’une souffrance qui se prolonge à travers les générations.

Parfois, le danseur se redresse, lutte, cherche à briser ce cycle infernal, mais l’épuisement le rattrape, et son corps s’écroule à nouveau sous le poids d’un héritage historique inéluctable. Pourtant, même dans la chute, il y a une trace de révolte : un refus de céder face à la fatalité.

À travers ce spectacle, Abdoulaye Trésor Konaté interroge la condition humaine et les formes contemporaines d’exploitation. L’esclavage, autrefois matérialisé par des chaînes, des navires négriers et des plantations, se perpétue aujourd’hui sous des formes plus insidieuses : travail forcé, domination économique, discriminations systémiques, consumérisme aliénant.

Le spectacle ne cherche pas à imposer une réponse, mais plutôt à susciter des réflexions sur la relation entre passé, présent et avenir. Il nous rappelle que les cicatrices de l’histoire ne disparaissent pas — elles se transforment et prennent de nouveaux visages. Sommes-nous prêts à les voir, à les reconnaître et à les affronter ?

Avec « Sucre: An Ice Cream for a Nice Crime », la scène devient un lieu de mémoire et de résistance, où le corps, malgré la douleur, résiste, danse et proclame son existence.

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Le montant de la Zakat al-Fitr fixé à 2 dinars pour l’Aïd El-Fitr 2025

Von: La Presse
25. März 2025 um 20:14

Le Mufti de la République, Cheikh Hichem Ben Mahmoud, a annoncé ce mardi 25 mars 2025 que le montant de la Zakat al-Fitr pour l’année 1446 H / 2025 a été fixé à deux dinars (2000 millimes).

Selon un communiqué, cette aumône obligatoire doit être versée avant la prière de l’Aïd El-Fitr, au lever du jour. Le montant correspond à un Saa’ des aliments de base du pays, tels que le blé, l’orge ou les dattes, mais il est également permis de la donner en argent.

Le Mufti a précisé que si la Zakat est versée après la prière de l’Aïd, elle sera considérée comme une simple aumône (Sadaqa), bien qu’elle demeure due. Par ailleurs, selon l’école malikite, elle peut être payée un ou deux jours avant l’Aïd, tandis que les écoles hanafite et chaféite autorisent un versement plus tôt.

 

 

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Du 25 au 28 mars 2025 à la Galerie Saladin : Au regard sensible de Foued Zaouche

25. März 2025 um 20:10

Initiée et portée par sa famille, cette exposition rend hommage à la mémoire d’un artiste dont le regard sensible a su capturer la richesse et l’authenticité des traditions tunisiennes. 

Dix ans après la disparition de l’illustre peintre et écrivain Foued Zaouche, son œuvre renaît sous les projecteurs à travers une exposition rétrospective qui se tiendra du 25 au 28 mars 2025 à la Galerie Saladin à Sidi Bou Saïd. Initiée et portée par sa famille, cette exposition rend hommage à la mémoire d’un artiste, dont le regard sensible a su capturer la richesse et l’authenticité des traditions tunisiennes. 

Le vernissage, prévu ce soir 25 mars, revêt une grande symbolique : il marque le dixième anniversaire de sa disparition à l’âge de 71 ans et inscrit cette rétrospective dans une démarche de transmission et de mémoire, honorant l’héritage d’un artiste dont le pinceau et la plume ont profondément marqué la scène artistique et culturelle tunisienne.

Né à Tunis le 26 juin 1944 et décédé le 25 mars 2015, Foued Zaouche a été formé à l’art dès l’âge de 29 ans à Paris, où il perfectionne son approche de l’anatomie, de la perspective, de la gravure et de la sculpture. Suivant un courant pictural naturaliste, il explore le portrait, la peinture d’histoire, la scène de genre et le patrimoine tunisien. Ses toiles immortalisent le quotidien tunisien : cafés animés, salons de musique, traditions locales, mais aussi paysages et natures mortes. Sa peinture, dans la pure tradition de la peinture de chevalet, se distingue par une approche minutieuse du détail et une palette vibrante qui donne vie à des scènes empreintes de réalisme et d’émotion.

 La carrière artistique du regretté Foued Zaouche prend son envol en 1979 avec une première exposition personnelle à la galerie Jean Camion à Paris, suivie d’une seconde l’année suivante. De retour en Tunisie, il expose à la galerie Yahia en 1981, avant d’entamer une collaboration prolifique avec le musée de Sidi Bou Saïd, où il organise vingt-deux expositions entre 1982 et 2007.

En 2010, il inaugure son propre espace, «L’Atelier du dedans», à Gammarth dans la banlieue nord de Tunis. Cette rétrospective ne se limite pas à son œuvre picturale : elle met également en lumière son travail d’écrivain et de chroniqueur en présentant sept romans et un livre d’art. A travers ses écrits, Foued Zaouche porte un regard critique sur la société, la politique et la culture tunisiennes. Parmi ses ouvrages figurent «Regards» (1999), «L’Affrontement» (2001), «La Fiancée de Amor» (2002, en français et en arabe), «Mensonges» (2003), «Le Maître du jeu» (2004), «L’Homme, ce Cro-Magnon de la conscience» (2007) et «Chroniques» (2008). Il a également collaboré avec le magazine «Réalités» et Leaders, partageant ses analyses et réflexions sur des sujets d’actualité, de société, de politique et de culture.

Cette avant-première, qui aspire notamment à faire re/découvrir l’œuvre de Foued Zaouche aux nouvelles générations et à valoriser le patrimoine culturel tunisien à travers son art, préfigure une grande rétrospective qui aura lieu du 31 mai au 22 juin 2025, nourrie par plusieurs de ses toiles, où chaque trait, chaque couleur et chaque forme raconte l’âme de ses coups de pinceau.

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Gafsa-Mdhilla : Secousse tellurique d’une magnitude de 3,1 degrés

Von: La Presse
25. März 2025 um 14:44

Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,1 degrés sur l’échelle de Richter (qui en compte 9), a été enregistrée, mardi, à 13h55 min (heure locale), dans une région du Sud-ouest de Mdhilla dans le gouvernorat de Gafsa, a annoncé l’Institut national de la météorologie (INM).

Les analyses préliminaires effectuées par les stations sismologiques de l’INM, situent l’épicentre de la secousse à 34,24 degrés de latitude et 8,70 degrés de longitude dans une région du Sud-ouest de Mdhilla.

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Prix de la meilleure recherche scientifique féminine de 2025: ouverture des candidatures

Von: La Presse
25. März 2025 um 14:31

Le ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Séniors a annoncé, ce mardi, l’ouverture des candidatures pour le Prix de la meilleure recherche scientifique féminine pour l’année 2025, portant sur le thème « L’impact de l’intelligence artificielle sur les capacités des individus ».

Selon un communiqué du ministère, la date limite de dépôt des candidatures est fixée au 20 mai prochain. Le prix, d’un montant de quinze mille dinars, sera décerné à la meilleure recherche scientifique féminine réalisée par une chercheuse de nationalité tunisienne et ce, le 13 août 2025 à l’occasion de la célébration de la fête nationale de la femme.

Le travail de recherche primé doit avoir été réalisé et publié au cours des trois dernières années, à compter de 2025.

D’après le communiqué, les dossiers de candidature doivent être envoyés à l’adresse du ministère de la Famille, de la Femme, de l’Enfance et des Séniors par lettre recommandé ou déposés directement au bureau d’ordre central du ministère.

Institué depuis 2009, le prix de la meilleure recherche scientifique féminine vise à encourager les chercheuses tunisiennes à promouvoir leur parcours scientifique.

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Tennis: Atteinte d’une blessure légère, Ons Jabeur promet un retour rapide sur les courts

Von: La Presse
25. März 2025 um 14:27

La joueuse de tennis tunisienne Ons Jabeur a affirmé souffrir d’une légère fatigue musculaire.

Dans un post publié sur sa page facebook officielle, la tenniswoman (30e mondiale) a révélé que les examens médicaux ont montré qu’elle souffrait d’une légère fatigue musculaire et qu’elle ferait son retour sur les courts de tennis une fois rétablie.

Pour rappel, Jabeur s’était blessée samedi dernier lors de son match face à l’Italienne Jasmine Paolini (7e mondiale), comptant pour le 3e tour du Masters 1000 de Miami. La blessure l’avait contrainte à abandonner dès le premier set, alors qu’elle était menée 3-4.

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Gafsa : la région déclarée exempte des criquets pèlerins

Von: La Presse
25. März 2025 um 14:24

Le chargé de gestion au commissariat régional au développement agricole à Gafsa, Monji Aâfi a affirmé, à l’Agence TAP, que toute la région est déclarée exempte des criquets pèlerins.

Pour le contenu publié, dimanche, sur les réseaux sociaux prétendant la présence de criquets pèlerins à Zaâbtia (Gafsa-nord) et Majouret-Dakhla (Sned), Aâfi a souligné qu’il s’agit bien d’une fausse vidéo.

Les inspections menées sur place par les équipes techniques ont prouvé qu’il s’agit, plutôt, de criquets locaux qui ne représentent aucune menace pour le secteur agricole, a-t-il précisé.

Par ailleurs, une quantité de 200 litres de pesticides a été fournie aux régions frontalières à Om Larayes, Redeyef, Sidi Boubaker et Métlaoui, dans le cadre de la lutte contre les criquets pèlerins.

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