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Heute — 09. März 2025Haupt-Feeds

Exode des ingénieurs tunisiens : 39 000 départs et un coût annuel de 650 millions de dinars

Von: La Presse
09. März 2025 um 22:36

Le président de l’Ordre des ingénieurs tunisiens (OIT), Kamel Sahnoun, a révélé que 39 000 ingénieurs tunisiens ont quitté le pays, sur un total de 90 000 ingénieurs inscrits dans l’Ordre. Ces chiffres ont été communiqués lors d’une audition parlementaire, dont le contenu a été intégré dans un rapport de la Commission de l’éducation, de la formation professionnelle et de la recherche scientifique sur un projet de loi relatif à l’enseignement supérieur privé, publié cette semaine.

Selon Sahnoun, chaque année, plus de 8 000 diplômés en ingénierie rejoignent le marché du travail, tandis que le nombre d’ingénieurs quittant la Tunisie atteint en moyenne 20 par jour. Il a également estimé que le coût annuel de la formation des ingénieurs en Tunisie s’élève à environ 650 millions de dinars. Il a exprimé de vives inquiétudes face à la fuite continue des cerveaux, soulignant que cet exode représente non seulement une perte de capital humain, mais aussi un gaspillage des investissements consentis dans la formation de ces professionnels.

 

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Tunisie : 85 établissements privés d’enseignement supérieur concernés par la révision de la loi en avril 2025

Von: La Presse
09. März 2025 um 22:31

Le Parlement tunisien va examiner, lors d’une séance plénière prévue à la mi-avril 2025, un projet de révision de la loi régissant l’enseignement supérieur privé. Ce projet stipule que les établissements privés d’enseignement supérieur devront recruter un minimum de 30 % de leur personnel enseignant direct sous statut de professeur permanent.

Le projet de révision, présenté en 2023 par 23 députés de différentes formations politiques, a été approuvé par la Commission de l’Éducation, de la Formation professionnelle, de la Recherche scientifique, de la Jeunesse et des Sports. Le texte a été publié cette semaine sur le site officiel du Parlement. Selon le projet, les enseignants permanents dans ces établissements privés devront détenir un doctorat et être soumis aux mêmes conditions salariales et d’encadrement que les enseignants-chercheurs du secteur public en matière de salaire minimum, de nombre d’heures d’enseignement et d’encadrement.

Le projet stipule également que ces enseignants permanents devront assurer la moitié des cours dispensés dans le cadre de chaque diplôme délivré par l’établissement universitaire privé.

En vertu de la révision, les établissements privés disposeront d’un délai de deux ans à compter de la publication de la loi modifiée au Journal officiel pour se conformer aux nouvelles exigences. Passé ce délai, toute inscription de nouveaux étudiants sera considérée comme une création d’établissement privé non autorisée, exposant ainsi l’établissement à des sanctions.

Il est à noter que cette révision législative, présentée par les députés depuis le 10 octobre 2023, a fait l’objet de neuf sessions d’examen, la première ayant eu lieu le 25 octobre 2023 et la dernière étant prévue pour le 30 mai 2024.

Selon les statistiques les plus récentes du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, 85 établissements privés d’enseignement supérieur sont actifs en Tunisie pour l’année universitaire 2024-2025, couvrant diverses disciplines et répartis sur plusieurs gouvernorats. L’enseignement supérieur privé en Tunisie est régi par la loi n° 73 du 25 juillet 2000, qui comporte 25 articles répartis sur 7 chapitres.

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Espérance de Tunis – Hamdi Meddeb rencontre Laurencio Rikecamf : Que faut-il retenir de cette réunion stratégique ?

Von: La Presse
09. März 2025 um 22:24

Le président de l’Espérance Sportive de Tunis, Hamdi Meddeb, a rencontré ce dimanche 9 mars 2025, l’entraîneur de l’équipe Laurențiu Reghecampf pour faire le point sur les performances récentes de l’équipe. Lors de cet entretien, plusieurs sujets ont été abordés, en particulier les résultats du club lors de ses dernières rencontres, ainsi que les choix tactiques opérés par l’entraîneur, notamment lors du match face à l’Union Sportive de Ben Guerdane, rapporte Mosaïque Fm.

Les discussions ont porté aussi sur la situation de certains joueurs, à la fois ceux sur lesquels le staff technique a misé et ceux qui ont été laissés de côté. Un accent particulier a été mis sur la nécessité de préparer les prochaines échéances avec sérieux, tant sur le plan local qu’international, alors que l’Espérance se prépare à disputer les quarts de finale de la Ligue des champions africaines contre Mamelodi Sundowns.

 

 

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“Médina des Lumières” : Concerts, artisanat et gastronomie au programme de la Médina de Tunis en mars 2025

Von: La Presse
09. März 2025 um 22:06

“Médina des Lumières” : Concerts, artisanat et gastronomie au programme de la Médina de Tunis en mars 2025

 

La quatrième édition de la manifestation “Médina des Lumières” se déroulera du 15 au 22 mars 2025 dans différents sites emblématiques de la Médina de Tunis, classée au patrimoine mondial de l’Humanité.

Cet événement, organisé à l’occasion du mois de Ramadan, réunit des acteurs du secteur public et privé. Il s’agit d’une initiative conjointe entre le ministère allemand de la Coopération économique et du Développement, l’Union Européenne, le ministère du Tourisme, l’Office National du Tourisme Tunisien (ONTT), et la municipalité de Tunis, en partenariat avec la GIZ, dans le cadre du projet “Promotion du Tourisme Durable” et du programme “Tounes Wijhetouna”.

L’objectif principal est de mettre en valeur la Médina de Tunis, cœur historique de la capitale inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1979, en tant que destination touristique. Cette initiative vise également à faire découvrir ses richesses culturelles et à renforcer son rayonnement auprès du grand public.

L’organisation “Destination Management Organisation” (DMO), en charge de cette édition, a annoncé une programmation riche et diversifiée répartie sur plusieurs sites emblématiques de la Médina. Le succès des éditions précédentes, ayant attiré plus de 8 000 visiteurs par soirée, témoigne de l’engouement croissant pour cet événement.

Les visiteurs pourront profiter d’illuminations artistiques qui sublimeront des sites comme Bab Bhar, Bab Mnara et la mosquée Zaytouna, offrant une redécouverte inédite de ces joyaux architecturaux.

Un programme immersif composé de concerts, projections de films, conférences thématiques et expériences gastronomiques rythmera cette édition, permettant aux participants de vivre une véritable immersion dans la culture locale.

Le marché des artisans, l’un des événements phares de cette manifestation, proposera également un espace de restauration où seront servis des plats traditionnels de Ramadan, créant ainsi une atmosphère conviviale et chaleureuse.

La manifestation, accessible à tous, propose une multitude d’événements gratuits et payants, offrant ainsi une expérience unique pour les habitants de Tunis et les visiteurs.

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ARP : 11 questions pour le ministre de l’Agriculture et 10 pour la ministre de l’Industrie

Von: La Presse
09. März 2025 um 22:00

L’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) tiendra, la semaine prochaine, deux séances plénières, prévues les 12 et 13 mars, respectivement avec le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche, et le ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie.

Onze questions orales seront posées lors de la séance plénière du mardi 12 mars, avec le ministre de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la Pêche.

La séance plénière du mercredi 13 mars comprendra dix questions orales qui seront adressées à la ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie.

Au total, huit sessions plénières sont prévues pour le mois de mars avec les membres du gouvernement. Deux ministres ont déjà été auditionnés au cours de la première semaine.

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Production de 14 millions de tonnes de phosphate d’ici 2030 : un objectif irréaliste, selon Hussein Rehili

Von: La Presse
09. März 2025 um 21:58

Le chercheur spécialisé en développement et en gestion des ressources hydriques, Hussein Rehili, a déclaré que le problème du phosphate en Tunisie est avant tout structurel, soulignant que l’objectif de produire 7 millions de tonnes d’ici 2030 représente une avancée positive, bien que modeste.

Dans une récente déclaration accordée à Mosaïque FM, Hussein Rehili a évoqué les conclusions de la dernière réunion ministérielle qui a abordé le programme de développement de la production, du transport et de la transformation du phosphate pour la période 2025-2030. Le chercheur a estimé que le système du phosphate en Tunisie souffre de multiples problèmes techniques et de lourdes charges sociales, ce qui a conduit à une baisse significative de la production.

Il a par ailleurs jugé irréaliste l’objectif de 14 millions de tonnes de production d’ici 2030, s’interrogeant sur les moyens nécessaires pour atteindre ce chiffre ambitieux. “Avec quels efforts et équipements peut-on espérer parvenir à ce volume de production ?”, a-t-il lancé.

En ce qui concerne l’utilisation des eaux usées traitées pour laver le phosphate, Hussein Rehili a reconnu que cela constituait une option positive, mais a précisé que cette solution ne résoudra pas les problèmes de fond du secteur.

Il a précisé que la région de Gafsa dispose de seulement deux stations de traitement des eaux, avec une capacité de production de 11 000 mètres cubes par jour, alors que la Compagnie des Phosphates de Gafsa (CPG) nécessite 50 000 mètres cubes par jour pour assurer le lavage du phosphate dans de bonnes conditions.

Dans le but de sauver le secteur du phosphate et d’augmenter la production, Hussein Rehili a formulé plusieurs propositions structurantes. Parmi celles-ci, l’exploitation de la station de dessalement d’eau de mer de Skhira pour le lavage du phosphate, ainsi que l’adoption du transport hydraulique, qui représente une véritable révolution dans le mode de transport du phosphate. Cette dernière solution permettrait de réduire la pression sur les ressources souterraines et d’abandonner le transport ferroviaire, avec des gains environnementaux à la clé.

Le chercheur a également plaidé pour une restructuration de la Compagnie des Phosphates de Gafsa, en limitant son rôle à la production et à l’exportation du phosphate pour soutenir les finances publiques, tout en garantissant la continuité de la production. Cela impliquerait de réorienter l’entreprise, actuellement lourdement engagée dans des actions sociales au niveau local, vers un modèle plus axé sur la rentabilité et l’efficience.

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“Exporter du phosphate brut, c’est brader notre richesse”, avertit Mourad Hattab

Von: La Presse
09. März 2025 um 21:48

L’économiste Mourad Hattab a mis en garde contre les défis structurels qui entravent la relance du secteur du phosphate en Tunisie. Il a souligné l’urgence d’une réforme en profondeur et insisté sur la nécessité d’abandonner l’exportation du phosphate brut pour maximiser la valeur ajoutée nationale.

Dans une récente déclaration accordée à Mosaïque FM, Hattab a estimé que la relance du secteur ne doit pas se limiter aux aspects d’extraction, mais qu’elle doit intégrer une approche globale tenant compte des coûts, notamment la masse salariale. “Le secteur ne pourra se redresser tant que l’on maintient une charge salariale de 30 000 employés, dont une grande partie ne contribue ni à la rentabilité ni aux revenus de l’entreprise”, a-t-il déclaré.

L’expert a rappelé que depuis 2011, douze conseils ministériels ont été consacrés au phosphate et que 105 mesures ont été prises pour tenter de revitaliser ce secteur clé. Pourtant, selon lui, ces initiatives n’ont pas permis d’améliorer significativement la situation. “Sans nouvelles méthodologies et solutions adaptées, le phosphate ne pourra pas devenir une véritable source de devises pour l’économie tunisienne”, a-t-il ajouté.

Selon Mourad Hattab, l’un des principaux freins à la relance du secteur réside dans les techniques d’extraction utilisées, jugées obsolètes. “La Tunisie continue d’employer une méthodologie dépassée. Il est impératif d’adopter de nouvelles approches pour améliorer la productivité et la compétitivité”, a-t-il expliqué.

Il a également insisté sur l’importance de la transformation locale du phosphate avant son exportation. “Contrairement aux idées reçues, le phosphate brut n’est pas une richesse en soi. Il doit être valorisé par des industries de transformation, tout en respectant les normes environnementales et sociales”, a-t-il précisé.

Hattab a fermement plaidé contre l’exportation des matières premières sans transformation, citant en exemple le phosphate et l’huile d’olive. “Exporter nos ressources à l’état brut représente une perte colossale pour l’économie nationale”, a-t-il averti.

Dans ce même cadre, il est à noter que le gouvernement tunisien ambitionne de multiplier par cinq la production de phosphate d’ici 2030 pour relancer ce secteur stratégique et renforcer les finances publiques. Toutefois, selon Mourad Hattab, cette ambition doit être accompagnée de réformes structurelles pour garantir un véritable impact économique.

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Officiel : Washington lève la suspension des bourses des étudiants tunisiens

Von: La Presse
09. März 2025 um 21:31

À la suite d’intenses démarches diplomatiques menées par l’ambassade de Tunisie à Washington, les étudiants tunisiens bénéficiaires du programme de bourses “Thomas Jefferson” ont obtenu une exemption leur permettant de poursuivre leurs études aux États-Unis. Cette décision intervient après qu’ils ont récemment reçu une notification les sommant de quitter le territoire américain.

Le vendredi 7 mars 2025, les autorités américaines ont officiellement décidé d’accorder aux étudiants tunisiens concernés la possibilité de terminer leur année universitaire et de continuer à percevoir leurs bourses jusqu’à la fin de leur cursus.

Onze étudiants tunisiens, inscrits dans le cadre du programme “Thomas Jefferson Scholarship Program” (TJSP), avaient été informés de l’arrêt immédiat de leur scolarité dans les universités américaines et sommés de quitter le pays sous sept jours.

En effet, le programme “Thomas Jefferson” est une initiative du département d’État américain, mise en œuvre par l’organisation IREX. Il permet aux étudiants inscrits dans des universités et instituts tunisiens de bénéficier d’une année d’études non diplômante dans des établissements d’enseignement supérieur aux États-Unis.

Depuis son lancement en 2013, ce programme a offert à plus de 630 étudiants tunisiens l’opportunité d’étudier dans plus de 100 universités et collèges américains, leur permettant ainsi d’acquérir de nouvelles compétences et de s’intégrer pleinement à leurs communautés d’accueil.

Cette crise intervient dans un contexte plus large de restrictions budgétaires imposées par l’administration du président américain Donald Trump. La décision récente de fermer l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a amplifié l’incertitude autour du financement des programmes éducatifs et humanitaires.

Le milliardaire Elon Musk a confirmé la suspension de la majorité des financements de l’USAID, tandis que, dès son premier jour en fonction, Donald Trump a ordonné un gel de 90 jours de l’aide étrangère. Cette décision a conduit à la fermeture de milliers de programmes à travers le monde et au licenciement de nombreux employés du secteur du développement.

Bien que le secrétaire d’État Marco Rubio ait maintenu certains programmes d’urgence jugés “vitaux”, le manque de clarté sur les initiatives exemptées du gel des aides, ainsi que la crainte d’une suppression définitive des financements, continuent de paralyser le travail humanitaire et éducatif à l’échelle mondiale.

Dans ce climat d’incertitude, plusieurs hauts responsables ont été placés en congé forcé, des milliers de contractuels licenciés, et l’accès au siège de l’USAID à Washington restreint. Par ailleurs, le site web de l’agence et son compte officiel sur la plateforme « X » ont été désactivés.

Ces restrictions s’inscrivent dans une politique plus large de réorganisation des agences fédérales menée par l’administration Trump, avec l’USAID et l’aide internationale parmi les secteurs les plus durement touchés.

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Hausse annoncée des prix des moutons : vers une importation massive pour l’Aïd ?

Von: La Presse
09. März 2025 um 21:17

La Tunisie importe chaque semaine une cargaison de viande ovine d’environ 19,5 tonnes en provenance de Roumanie, ainsi qu’une cargaison de viande bovine de 20 tonnes en provenance de France, a annoncé Ahmed Amiri, président de la Chambre nationale des bouchers.

Dans une récente déclaration accordée à Express Fm, Amiri a assuré que ces viandes importées sont de qualité supérieure et proposées à des prix plus compétitifs que ceux pratiqués sur le marché local. Actuellement, le kilogramme d’agneau importé est vendu à 38,200 dinars, contre jusqu’à 56 dinars dans certaines régions. De même, le kilogramme de viande bovine importée, affiché à 35,500 dinars, se vend localement à 46 dinars, un écart jugé excessif par le responsable.

“Toutefois, malgré ces importations, les prix des moutons pour l’Aïd devraient connaître une forte hausse cette année”, a-t-il alerté, évoquant des pratiques spéculatives sur le marché local. Face à cette situation, la Chambre nationale des bouchers a saisi le ministère de l’Agriculture et les autorités concernées afin d’évaluer les quantités et les prix.

Amiri a prévenu que si aucune réponse n’est obtenue d’ici une semaine, la Tunisie procédera à l’importation de moutons pour l’Aïd depuis la Roumanie, la Géorgie et d’autres pays, garantissant une bonne qualité et des prix plus accessibles pour permettre à tous les Tunisiens d’acquérir un mouton pour la fête.

La question du pouvoir d’achat et de la régulation des prix reste donc un défi majeur à l’approche de l’Aïd, dans un contexte de tensions sur le marché de la viande rouge en Tunisie.

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Grèce : Un séisme de 4,7 sur l’échelle de Richter frappe l’ouest du Péloponnèse

Von: La Presse
09. März 2025 um 21:09

Un tremblement de terre de magnitude 4,7 a secoué aujourd’hui, dimanche, l’ouest de la péninsule du Péloponnèse, au sud de la Grèce, selon l’Institut de géodynamique de l’Observatoire national d’Athènes.

Le séisme a eu lieu près de Nea Figalia, dans la région d’Ilia, à une profondeur de 20 kilomètres. L’épicentre a été localisé dans une zone peuplée, mais les autorités n’ont pas encore rapporté de pertes humaines ou de dégâts matériels importants.

Les services de secours et les autorités locales sont en alerte, mais aucune information faisant état de victimes n’a été communiquée pour l’instant.

Les autorités grecques continuent de surveiller la situation de près, tandis que des mesures de sécurité sont maintenues dans les zones affectées. Le tremblement de terre a été ressenti par les habitants, mais semble n’avoir causé aucune perturbation majeure.

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Un employé vole son patron : plus de 72 000 dinars dérobés dans un magasin de viande rouge à Nabeul

Von: La Presse
09. März 2025 um 20:58

Un vol de près de 72 700 dinars a eu lieu dans un magasin de viande rouge à Nabeul, où le propriétaire a été victime d’un acte criminel. Les unités de la sécurité nationale ont rapidement investi les lieux, suite à la plainte déposée par le commerçant, selon un communiqué de la Direction générale de la sécurité nationale.

Les premières investigations, menées sur la base des enregistrements des caméras de surveillance, ont permis d’orienter les soupçons vers un employé du magasin. En effet, le voleur avait utilisé une clé pour pénétrer dans l’établissement, un détail crucial qui a facilité l’identification du suspect.

Confronté aux preuves, l’employé a reconnu les faits et a révélé l’endroit où il avait dissimulé la somme volée, soit 72 700 dinars. L’individu a été placé en garde à vue après consultation du procureur de la République. L’argent volé a été restitué à son propriétaire, et l’enquête suit son cours.

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2023 et 2024 : Des années record pour les apports en devises grâce aux Tunisiens à l’étranger et aux exportations

Von: La Presse
09. März 2025 um 20:39

L’analyste financier et économique, Bassem Enneifer, a annoncé que le taux d’endettement public extérieur auprès des marchés financiers a chuté de 25 % en 2019 à seulement 6 % actuellement, marquant une évolution significative dans la gestion de la dette tunisienne.

Dans une interview accordée l’Agence TAP, Enneifer a qualifié cette baisse de “pas positif”, soulignant toutefois que si l’endettement extérieur a été remplacé par un endettement intérieur, les risques restent moindres, puisque les emprunts ont été contractés en dinar tunisien.

Il a expliqué que cette réduction de la dette extérieure contribue à atténuer la pression sur les réserves en devises du pays. “Les années 2023 et 2024 figurent parmi les meilleures en matière d’apports en devises, grâce aux transferts des Tunisiens résidant à l’étranger, aux revenus des exportations d’huile d’olive et aux recettes touristiques”, a-t-il précisé.

Selon Enneifer, cette évolution a permis d’atteindre un déficit commercial de 2 %, comme mentionné dans le dernier rapport de l’agence de notation Moody’s, alors qu’il oscillait autour de 8 % par an entre 2011 et 2022.

Cependant, il a nuancé cette avancée en affirmant que l’économie nationale et les institutions publiques n’en ont pas encore ressenti les effets, car cette amélioration coïncide avec des années de remboursements massifs de la dette extérieure, sans recours à un nouvel endettement extérieur.

Enneifer a estimé qu’après l’achèvement du remboursement des échéances restantes, notamment le règlement de 700 millions d’euros prévu en juillet 2026, l’État disposera de davantage de marges pour relancer l’investissement. Il a également noté que les autorités ont maîtrisé leurs dépenses ces dernières années, tout en s’efforçant de restructurer l’économie nationale.

Il a conclu en appelant à une mobilisation accrue pour soutenir les entreprises et le secteur privé à travers une réforme du cadre législatif et une amélioration du climat des affaires. “Il est temps de s’intéresser à la production et aux moyens de production afin de générer une véritable richesse en Tunisie”, a-t-il affirmé.

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Sidi Hussein : Des maisons de jeunes et des aménagements urbains au cœur de la visite du gouverneur

Von: La Presse
09. März 2025 um 20:36

Le gouverneur de Tunis, Imed Boukhris, a récemment effectué une visite de terrain à Sidi Hussein pour évaluer l’avancement des projets d’aménagement urbain supervisés par l’Agence de Réhabilitation et de Rénovation Urbaine (ARRU). Cette visite s’inscrit dans le cadre de l’engagement continu des autorités locales pour améliorer les infrastructures et les services publics dans la région.

Les projets en cours incluent la création de la Maison des Jeunes Omar Moukhtar dans la localité de Mghira Inzel. Les travaux de ce projet sont désormais achevés et le bâtiment a été officiellement remis à la municipalité de Sidi Hussein. De même, la Maison des Jeunes à Borj Chaker est en cours de réalisation, avec un taux de progression de 90 %.

Le gouverneur a également inspecté les travaux d’aménagement dans plusieurs quartiers de la délégation, à savoir Mestiri, Al-Jiyara Al-Olya et Al-Anas, dont les travaux en sont actuellement à 10 % de leur achèvement. Ces projets visent à améliorer les conditions de vie des habitants en réhabilitant les infrastructures et en offrant de nouveaux espaces publics.

Accompagnaient le gouverneur lors de cette visite la directrice générale de l’ARRU, le délégué de Sidi Hussein, ainsi que des responsables locaux, notamment le directeur régional du développement à Tunis, le membre du conseil régional et le président du conseil local.

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Drame à El Haouaria : un père de famille périt dans le chavirement de son bateau

Von: La Presse
09. März 2025 um 20:23

Un drame s’est produit cet après-midi, dimanche, au large d’El Haouaria, dans le gouvernorat de Nabeul, où une petite embarcation de pêche a chaviré, entraînant la noyade de deux frères trentenaires. L’accident a coûté la vie à l’un d’eux, tandis que l’autre a été transporté à l’hôpital pour recevoir les soins nécessaires, a indiqué une source médicale à l’agence TAP.

Selon la même source, les deux victimes sont originaires du village de Borj Essalhi, relevant de la délégation d’El Haouaria. Le défunt, âgé de 38 ans et père d’un enfant, se trouvait à bord du bateau en compagnie de son frère, âgé de 35 ans. Ce dernier a été évacué vers l’hôpital local d’El Haouaria, où son état de santé est jugé stable.

Les circonstances exactes du chavirement n’ont pas encore été précisées. Une enquête pourrait être ouverte pour déterminer les causes de l’accident.

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Ciel partiellement couvert et vents forts : la météo de cette nuit

Von: La Presse
09. März 2025 um 20:19

Dans la nuit de dimanche, le ciel sera partiellement couvert sur la plupart des régions, avec des passages nuageux parfois denses sur les zones côtières du nord. Des bancs de brume locale pourraient également se former en fin de nuit.

Les températures nocturnes varieront entre 11 et 16°C dans le nord et le centre, tandis qu’elles seront plus douces dans le sud, oscillant entre 16 et 22°C.

Le vent soufflera du secteur nord sur le nord et du secteur sud sur le centre et le sud. Il sera relativement fort à localement fort près des côtes et modéré à l’intérieur du pays.

La mer sera très agitée à houleuse au nord et restera fortement perturbée sur le reste des côtes.

 

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Le manque de sommeil : un danger sous-estimé pour la santé

Von: La Presse
09. März 2025 um 20:17

Le manque de sommeil nuit à la santé physique et mentale et augmente le risque de maladies cardiovasculaires, d’hypertension artérielle, de diabète, tout en affaiblissant les défenses immunitaires, souligne le ministère de la Santé.

Dans un communiqué publié dimanche, le ministère rappelle que le sommeil de qualité n’est pas un luxe, mais une nécessité vitale pour la santé.

Dormir moins de sept heures par jour affaiblit le système immunitaire, car le manque de sommeil réduit la capacité du corps à combattre les virus et les bactéries. Il accroît également le risque d’accidents vasculaires cérébraux en augmentant le taux de mauvais cholestérol et la pression artérielle, ajoute la même source.

Le manque de sommeil entraîne une surproduction de certaines hormones qui perturbent le métabolisme du glucose, favorisant ainsi le risque d’obésité. Il est également associé à des troubles mentaux et psychologiques tels que le stress, la dépression et l’anxiété.

Par ailleurs, un sommeil insuffisant nuit à la concentration et à la mémoire. Il altère les performances mentales et les fonctions cognitives, augmentant ainsi les niveaux de stress et de fatigue, ce qui impacte l’humeur.

Pour un sommeil réparateur, le ministère de la Santé recommande de se coucher et de se lever à des horaires réguliers, y compris les jours fériés, de préférence entre 22 heures et 6 heures du matin. Il est également conseillé d’éviter la caféine et les boissons énergisantes au moins six heures avant le coucher.

Le ministère insiste sur l’importance de limiter l’utilisation des écrans et appareils électroniques avant de dormir, car la lumière bleue perturbe la production de mélatonine, l’hormone du sommeil. De plus, il est essentiel de créer un environnement propice au repos en maintenant la chambre sombre, calme et bien ventilée.

Enfin, le ministère rappelle la nécessité de pratiquer des exercices de relaxation, comme la méditation et la respiration profonde, avant de dormir. Il est également recommandé d’éviter les plats gras et sucrés le soir, car ils compliquent la digestion et perturbent le sommeil.

L’exercice physique régulier contribue à un sommeil de qualité, mais il est préférable d’éviter les activités intenses juste avant le coucher.

 

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Production de 550.000 quintaux de semences sélectionnées

Von: La Presse
09. März 2025 um 20:10

La Tunisie s’apprête à lancer un projet ambitieux visant à produire 550.000 quintaux de semences sélectionnées au cours des dix prochaines années. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un effort national pour renforcer la sécurité alimentaire et améliorer la résilience face au changement climatique.

Ce projet repose sur le système innovant de production « SeedSyst », qui ambitionne de déployer des variétés de semences prolifiques et des mécanismes de mise à l’échelle. L’objectif primordial de ce projet est de réduire la dépendance aux importations de semences. Malgré les efforts déployés pour soutenir la production locale, cette dépendance reste un enjeu majeur. A ceci s’ajoutent les effets de la variabilité climatique et les perturbations des chaînes d’approvisionnement mondiales dues aux changements géopolitiques. Ces facteurs ont entraîné une hausse des coûts des intrants agricoles et des produits alimentaires, impactant davantage la situation des agriculteurs.

Le projet « SeedSyst » entend favoriser des coopérations entre les secteurs public et privé pour développer des plateformes d’innovation pilotes. Ces plateformes visent à améliorer la productivité céréalière et à renforcer la sécurité alimentaire nationale. En mettant l’accent sur des variétés de semences adaptées, le projet contribue à une agriculture plus durable et mieux préparée aux défis climatiques.

En somme, cette initiative témoigne de la volonté de la Tunisie de renforcer son autonomie en matière de production agricole et d’assurer une sécurité alimentaire durable face aux aléas climatiques et géopolitiques.

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Tribune : 8 mars : «Un engagement renouvelé pour l’autonomisation des femmes en Tunisie»

Von: La Presse
09. März 2025 um 19:00

Par Zahra Ben NASR*

Chaque année, le 8 mars nous offre l’occasion de célébrer les acquis des femmes, de mesurer les avancées et de rappeler les défis persistants pour l’égalité des genres. En Tunisie, pays historiquement en avance sur de nombreux droits des femmes dans la région, la question de l’autonomisation féminine reste un enjeu crucial. Si des progrès notables ont été réalisés, ils ne doivent pas masquer les disparités qui subsistent et les défis qui restent à relever pour parvenir à une égalité réelle et durable.

«Un contexte tunisien contrasté»

La Tunisie a été pionnière dans la région en matière de droits des femmes grâce à des réformes historiques telles que le Code du statut personnel de 1956, qui a aboli la polygamie et renforcé les droits des femmes en matière de mariage et de divorce. Toutefois, malgré ces avancées législatives, la mise en application effective de ces droits reste inégale selon les régions et les milieux sociaux.

Le taux de participation des femmes au marché du travail demeure faible (autour de 28 %), et les inégalités salariales persistent. Trop souvent, les femmes occupent des emplois précaires, sous-payés et sans protection sociale adéquate. Dans les zones rurales, les femmes font face à une précarité accrue, souvent exacerbée par le manque d’accès aux ressources financières, aux opportunités entrepreneuriales et à des infrastructures adaptées, telles que les transports et les services de garde d’enfants.

La crise économique actuelle et les tensions sociales ont aussi un impact disproportionné sur les femmes, notamment en ce qui concerne l’emploi informel et la sécurité sociale. À cela s’ajoute une réalité inquiétante : les violences basées sur le genre, qui continuent de toucher un nombre alarmant de femmes et de jeunes filles. Malgré l’adoption de la loi 58-2017 sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes, les mécanismes de protection et d’accompagnement restent insuffisants, faute de moyens adéquats et de coordination entre les différents acteurs.

«Les défis de l’autonomisation des femmes»

L’autonomisation des femmes en Tunisie ne peut être envisagée uniquement sous l’angle juridique. Elle doit être soutenue par des politiques publiques fortes, des investissements ciblés et un changement des mentalités au sein de la société. Plusieurs défis majeurs restent à relever :

«L’accès à l’éducation et à la formation professionnelle» : bien que le taux de scolarisation des filles soit élevé, leur orientation vers des secteurs d’avenir comme les sciences, la technologie et l’innovation reste limitée. Il est crucial d’encourager leur présence dans des domaines à forte valeur ajoutée et de favoriser leur employabilité.

«L’inclusion économique et financière» : les femmes rencontrent encore des difficultés pour accéder aux financements et aux crédits bancaires, limitant leur capacité à entreprendre et à développer des projets économiques. Des solutions telles que le microcrédit et les coopératives féminines doivent être renforcées.

«Le partage des responsabilités familiales» : la double charge que portent les femmes entre leur travail et leurs responsabilités domestiques reste un frein majeur à leur progression professionnelle. Encourager une meilleure répartition des tâches au sein des foyers et la mise en place de structures de garde adaptées est indispensable.

«La lutte contre les stéréotypes de genre» : l’image de la femme dans les médias et la culture populaire influence profondément la perception de son rôle dans la société. Il est nécessaire de promouvoir des représentations valorisantes et diversifiées des femmes dans tous les secteurs d’activité.

«Vers une société plus inclusive et égalitaire»

Les avancées en matière de droits des femmes ne peuvent se faire sans une mobilisation collective. Il est essentiel que les entreprises, les institutions publiques et la société civile travaillent ensemble pour garantir un accès équitable aux opportunités économiques, sociales et politiques. Une société inclusive ne peut se construire sans une reconnaissance pleine et entière de la contribution des femmes à tous les niveaux.

En ce 8 mars, rappelons que l’égalité femmes-hommes ne se résume pas à une question de droits, c’est aussi un levier essentiel pour la prospérité collective. En garantissant aux femmes un accès équitable aux opportunités économiques et sociales, nous renforçons non seulement leur autonomie, mais nous bâtissons aussi une Tunisie plus forte, plus résiliente et plus juste. L’autonomisation des femmes ne doit pas être un simple objectif, mais une réalité tangible, portée par des actions concrètes et un engagement sans faille de toutes et tous.

Z.B.N.
*Présidente de Face Tunisie

N.B. : L’opinion émise dans cette tribune n’engage que son auteur. Elle est l’expression d’un point de vue personnel.

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Memoire : Dali JAZI 

09. März 2025 um 18:45

A la mémoire de 

Dali JAZI 

(7 décembre 1942 – 9 mars 2007)

18 ans déjà depuis que tu nous as quittés pour une vie éternelle dans un monde meilleur. 

Par ton itinéraire largement brillant et ton engagement sans faille en tant qu’éminent universitaire, militant acharné pour les droits de l’Homme et les libertés publiques et l’homme d’Etat dévoué, tu n’as laissé que les meilleures appréciations et les bons souvenirs. 

Ayant eu le plaisir et l’honneur de vivre à côté de toi des moments inoubliables, nous avons admiré ton patriotisme, ton sens du devoir et de la responsabilité et surtout ton amabilité, ta bonté de cœur et ton dévouement. 

Pour cela, nous te rendons cet hommage digne du grand homme que tu étais. 

Tu nous manques beaucoup. Nous ne t’oublierons jamais comme promis. Repose en paix.  

Mustapha Ben Bachi et Meriem Brigui 

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