L’impact des conflits armés sur les enfants du monde entier a atteint des niveaux dévastateurs et probablement records en 2024, selon un rapport du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF).

Le rapport, publié vendredi, révèle que « les droits d’un nombre record d’enfants sont violés, notamment en étant tués et blessés, en manquant l’école et les vaccins qui pourraient leur sauver la vie, et en étant gravement mal nourris ».

De la Palestine à la Birmanie, en passant par Haïti et le Soudan, le monde connaît le plus grand nombre de conflits depuis la Seconde Guerre mondiale.

Près de 19 % des enfants du monde, soit plus de 473 millions, vivent aujourd’hui dans des zones de conflit et 47,2 millions ont été déplacés par les conflits et la violence, indique le rapport.

« A presque tous les égards, 2024 a été l’une des pires années jamais enregistrées pour les enfants touchés par les conflits dans l’histoire de l’UNICEF, tant en termes de nombre d’enfants touchés que de niveau d’impact sur leur vie », a déclaré la directrice générale de l’UNICEF, Catherine Russell.

« Un enfant qui grandit dans une zone de conflit a beaucoup plus de risques d’être déscolarisé, mal nourri ou contraint de quitter son foyer – tropsouvent à plusieurs reprises – qu’un enfant qui vit dans un lieu de paix. Cela ne doit pas devenir la nouvelle norme. Nous ne pouvons pas permettre qu’une génération d’enfants devienne la victime collatérale des guerres incontrôlées qui ravagent le monde », a conclu Mme Russel.

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« La réalisation d’un Centre sectoriel de formation en matériaux de construction et énergies renouvelables sera entamée après concertation avec les autorités locales et régionales concernant la révision des filières programmées et l’accélération du rythme de réalisation des études y afférentes », a annoncé le ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, Riadh Chaoued, lors de sa visite à Tataouine.

Le ministre a souligné que les sociétés communautaires constituent un choix économique irréversible malgré les difficultés de leur lancement (législatives, financières et immobilières).

« Ces structures sont complètement différentes puisqu’elles sont basées sur des initiatives collectives et soumises à la loi de la concurrence comme toutes les entreprises » a-t-il fait savoir.

Il a précisé que le rôle de l’État se limite à accorder des privilèges à ces entreprises, à les accompagner et à œuvrer pour leur réussite, compte tenu de leur système inédit dans le monde.

Le ministre appelle dans cette perspective la direction régionale de l’emploi à assister et à former les responsables de ces structures pour garantir une bonne gestion et une bonne gouvernance.

En ce qui concerne l’emploi et la formation professionnelle, le ministre s’est engagé à rénover le restaurant de l’unique Centre de formation professionnelle de la région, à étendre son dortoir actuel de 120 lits à 360 lits en ajoutant 240 lits supplémentaires, et à construire un terrain de sport dans ce centre accueillant environ 400 apprenants.

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Le mois de janvier prochain pourrait être marqué par l’apparition de deux dépressions atmosphériques au cours de la première décade, entraînant des chutes de neige dans les régions du centre-ouest et des pluies abondantes, notamment dans le nord du pays, selon les prévisions de Amer Bahba, expert en météorologie et chercheur en risques naturels.

Et en parallèle de cette vague de froid qui frappe actuellement la Tunisie, la pénurie de bouteilles de gaz devient un problème majeur sur le marché local.

Mohamed Mnif, président de la Chambre nationale des distributeurs de gaz, a expliqué que cette situation résulte de l’arrivée tardive d’un navire algérien au port de Bizerte, transportant 5.000 tonnes de gaz liquéfié.

Le navire, qui est resté bloqué en raison des conditions climatiques difficiles, a finalement permis la distribution de 2.600 bouteilles dans la région de Bizerte, les quantités restantes devant être envoyées à Rades, en attendant l’arrivée de nouvelles cargaisons.

Mnif a précisé que le stock de gaz à Bizerte était suffisant pour seulement cinq jours, et que le centre de distribution ne pourrait pas continuer à fonctionner après le sixième jour si aucune nouvelle cargaison n’arrivait.

Il a exprimé l’espoir que cette situation ne se reproduise pas, en soulignant que la consommation quotidienne des Tunisiens pourrait atteindre 200.000 bouteilles pendant la haute saison.

Actuellement, il existe sept centres de distribution répartis entre Rades (trois centres), Ghanouch (trois centres) et Bizerte (un centre).

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Le temps sur l’ensemble du pays sera marqué par des passages nuageux intermittents, avec des nuages parfois denses sur le sud-est, accompagnés de pluies sporadiques et ponctuellement orageuses, notamment sur les régions est des gouvernorats de Medenine et Tataouine.
À la fin de la nuit, un brouillard localisé pourrait se former sur le nord ainsi que sur les zones est et sud du pays. Les conditions venteuses seront dominées par un vent modéré à fort soufflant du nord, particulièrement près des côtes orientales, tandis que les autres régions connaîtront des rafales plus faibles à modérées.
La mer sera agitée à légèrement perturbée au nord et plus houleuse le long des côtes orientales. Les températures nocturnes varieront entre 5 et 11°C dans la plupart des régions, et ne dépasseront pas 3°C dans les zones montagneuses.

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Le Club africain a repris provisoirement la tête du classement de la Ligue 1 du football professionnel, à la faveur de la courte victoire acquise samedi aux dépens du CA Bizertin 1-0, au stade Hamadi Agrébi de Radès pour le compte de la 13e journée.
L’unique réalisation du match a été signée Moataz Zemzemi qui a transformé un penalty à la 65e.
A la faveur de ce succès, le 8e de la saison, les protégés du français David Bettoni engrangent trois précieux points supplémentaires qui les propulsent provisoirement en pôle position en attendant le reste des matchs et notamment ceux de ceux concurrents directs, prévus demain dimanche.
De leur côté, les nordistes demeurent 14e et n’arrivent toujours pas à se hisser hors de la zone de relégation, ne comptant jusqu’ici que 8 points.

Voici les résultats de ce samedi:
Samedi 28 décembre
A Radès :

Club Africain 1 Moataz Zemzemi (SP) 65′

CA Bizertin 0

Au Zouiten :

JS Omrane 2 Ahmed Hadhri (SP) 22′, Mohamed Ali Omri 24′

AS Gabès 2 Hussein Mansour 11′, Mouhib Selmi 93′

A Tataouine:

US Tataouine 0

AS Soliman 3 Foning Roche 13′ et 74′ et 88′

A Zarzis :

ES Zarzis 2 Youssef Snana 26′ et 35′

US Ben Guerdane 2 Nassim Sioud 24′ et 55′

Dimanche 29 décembre

A Jendouba (14h)

O Béja – ES Métlaoui Arb: Badis Ben Salah

A Monastir (14h)

US Monastir – Stade Tunisien Arb: Achraf Harakati

A Sfax (14h)

CS Sfaxien – Espérance ST Arb: Youssri Bouali

A Gafsa (14h)

EGS Gafsa – ES Sahel Arb: Khalil Jari

Classement Pts J G N D Bp Bc Diff

1. Stade Tunisien 27 12 8 3 1 14 6 +06

2. US Monastir 26 12 7 5 0 16 5 +11

3. C. Africain 25 12 7 4 1 19 6 +13

4. ES Zarzis 25 13 7 4 2 18 10 +08

5. Espérance ST 23 12 6 5 1 20 9 +11

6. ES Sahel 20 12 6 2 4 15 9 +06

7. O. Béja 18 12 5 3 4 10 11 -01

8. CS Sfaxien 17 12 4 5 3 15 10 +05

9. ES Metlaoui 14 12 3 5 4 9 11 -02

10. JS Omrane 14 13 3 5 5 12 17 -05

11. AS Gabès 13 13 3 4 6 13 18 -05

12. US Ben Guerdane 12 13 2 6 5 10 14 -04

13. AS Soliman 12 13 2 6 5 10 15 -05

14. CA Bizertin 8 12 1 5 6 5 11 -06

15. US Tataouine 7 13 2 1 10 8 26 -18

16. EGS Gafsa 4 12 1 1 10 6 22 -16

La Presse avec Tap

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Résultats des rencontres de la 12e journée du championnat de la Ligue 2 du football professionnel, à l’issue des matchs de samedi:

POULE A

Samedi 28 décembre

A l’Ariana:

AS Ariana – AS Megrine 0-0

A Menzel Bourguiba

SA Menzel Bourguiba – CS Korba 0-0

A Msaken

CS Msaken- Jendouba sport 0-0

A Kalaa Sghira

Kalaa sport – AS Marsa 0-3

A Mahdia

EM Mahdia – AS Oued Ellil 2-1

Dimanche 29 décembre

A Radès (14h):

ES Radès – ES Hammam Sousse Arb: Ahmed Dhaouadi

A Hammam Lif (14h):

CS Hammam Lif – Sporting Moknine Haythem Trabelsi

Classement: Pts J

1- AS Marsa 24 12

2- CS Korba 23 12

3- AS Megrine 21 12

4- Jendouba Sport 21 12

5- EM Mahdia 21 12

6- ESH Sousse 20 11

7- Kalaa Sport 16 12

8- AS Ariana 16 12

9- CS Msaken 15 12

10- CS Hammam-Lif 10 11

11- SAM Bourguiba 9 12

12- AS Oued Ellil 8 12

13- SC Moknine 8 11

14- ES Radès 4 11

POULE B

Dimanche 29 décembre

A Chebba (14h)

CS Chebba- ES Jerba Arb: Oussama Chraiet

A Kasserine (14h)

AS Kasserine – ES Rogba Arb: Houssem Ben Sassi

A Sidi Bouzid (14h)

EO Sidi Bouzid – BHS Bouhajla Arb: Hamza Jaied

A Gabès (14h)

S Gabésien – CS Redaief Arb: Houssem Haj Ali

Lundi 30 décembre 2024

A Sakiet Eddaier (14h)

AS Sakiet Eddaier – CO Kerkennah Arb: Bassem Belaid

A Sfax (14h)

Sfax RS – AS Jelma Arb: Abdessalam Mani

A Kairouan (14h)

JS Kairouan – AS Agareb Arb: Seif Ouertani

Classement: Pts J

1- JS Kairouan 27 11

2- AS Kasserine 25 11

3- OC Kerkennah 21 11

4- PS Sakiet Eddaier 18 11

5- AS Agareb 16 11

6- O Sidi Bouzid 15 11

7- AS Jelma 15 11

8- CS Redayef 13 11

9- Sfax RS 13 11

10- S. Gabésien 13 11

11- Baath Bouhajla 12 11

12- ES Jerba 9 11

13- CS Chebba 8 11

14- ES Rogba 6 11

La Presse avec Tap

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Une start-up récemment créée a lancé l’application “SOKARI”, une solution innovante visant à aider les patients diabétiques à mieux contrôler leur taux de sucre dans le sang et à améliorer leur gestion quotidienne de la maladie, a déclaré la fondatrice de l’entreprise, Manal Mourad.
Dans une interview accordée à l’Agence Tap, Mourad a précisé que l’objectif principal de l’application est de soulager les souffrances quotidiennes des personnes diabétiques et de leur permettre de vivre plus sereinement.

L’idée de ce projet est née des défis personnels rencontrés par Manal Mourad après que sa fille ait été diagnostiquée diabétique. Elle a ainsi été confrontée à de nombreuses difficultés pour éviter l’élévation du taux de sucre dans le sang à cause de certains aliments et repas, notamment la gestion des calories et le suivi des niveaux de glucose, ainsi que les recommandations médicales et les conseils en matière de santé.

L’application “SOKARI”, qui est la première du genre en Tunisie, permet aux utilisateurs de suivre en temps réel leurs niveaux de sucre dans le sang et de choisir les repas adaptés à leurs besoins. Elle analyse les données individuelles de chaque patient et fournit des conseils personnalisés, tout en permettant aux utilisateurs de partager ces informations avec leurs médecins traitants via des rapports détaillés.

Manal Mourad a souligné que l’application comprend également des outils pour calculer la teneur en glucides (féculents et sucres) des repas, facilitant ainsi la gestion du régime alimentaire et des traitements médicaux des patients. L’application dispose d’une base de données de plus de 500 aliments différents.

En outre, cette solution technologique avancée permet de générer des rapports détaillés sur l’état du patient, notamment les moyennes des taux de sucre et les variations quotidiennes. Cela permet aux médecins de mieux suivre l’évolution de la maladie. L’application offre également des alertes pour rappeler aux patients de mesurer leur taux de sucre, de prendre leurs médicaments et de pratiquer des activités physiques, garantissant ainsi une adhésion optimale au traitement.

Cette application, compatible avec tous types de téléphones intelligents, a été développée grâce à la collaboration d’experts en informatique, de nutritionnistes et d’un médecin spécialiste en diabète. À ce jour, près de 500 personnes ont déjà téléchargé l’application.

Il est à noter que 15,5 % des Tunisiens souffrent de diabète, selon une étude menée par le ministère de la Santé, avec un taux de prévalence atteignant 20 % dans les zones urbaines. Les projections suggèrent que ce chiffre pourrait grimper à 26 % d’ici 2026, un phénomène préoccupant qui appelle à une action collective afin de limiter la propagation de la maladie, par le biais de la détection précoce, d’un régime alimentaire équilibré et de l’activité physique régulière.

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Le directeur régional de la santé à Kasserine, Abdelghani Chabani, a annoncé que les unités de la protection civile, en collaboration avec les autorités sécuritaires et militaires, ont procédé à l’évacuation d’un citoyen blessé samedi après-midi, suite à l’explosion d’une mine terrestre dans la zone militaire fermée de Djebel Chaâmbi. La victime a été rapidement transportée, à bord d’une ambulance équipée, vers la salle d’opérations de l’hôpital régional Badr Eddine Aloui de Kasserine, où elle a été prise en charge pour une intervention chirurgicale d’urgence.

Dans une déclaration à l’agence Tap, Chabani a précisé que l’homme avait subi une amputation de la jambe gauche et souffrait de blessures légères à la jambe droite et à la main gauche. Actuellement dans un état critique, il attend la poursuite de l’intervention chirurgicale.

La victime, âgée de 41 ans, est originaire de la localité de Faj Bouhssin, dans le gouvernorat de Kasserine Sud. Elle a été blessée par l’explosion alors qu’elle gardait des moutons à Djebel Chaâmbi. Chabani a souligné que l’évacuation a été compliquée par la difficulté du terrain et la présence de nombreux ravins dans la région, ce qui a retardé l’opération.

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La présidence du gouvernement a annoncé que le nombre de demandeurs d’intégration parmi les ouvriers de chantier de la troisième cohorte, âgés de moins de 45 ans, pour les postes vacants dans les structures publiques, s’élève à 5.806 sur un total de 5.932 travailleurs, soit un taux d’intégration remarquable de 98 %.

Dans un communiqué publié ce samedi sur sa page officielle Facebook, elle a précisé que 5.384 ouvriers de chantier ont pu obtenir l’un des postes qu’ils avaient choisis. Ces derniers peuvent consulter leurs affectations via la plateforme numérique hadhaer.gov.tn.

Cependant, 548 ouvriers n’ont pas pu être affectés selon leurs choix. Un message leur sera envoyé pour les en informer et les inviter à se connecter à la plateforme hadhaer.gov.tn afin de sélectionner parmi les postes vacants restants.

La présidence du gouvernement invite également les 126 ouvriers des chantiers de moins de 45 ans qui n’ont pas encore reçu d’affectation à accéder à la plateforme entre le 27 décembre 2024 et le 12 janvier 2025 pour choisir parmi les postes vacants restants.

Enfin, la commission nationale de régularisation de la situation des ouvriers de chantier prendra en charge, après cette étape, la répartition directe des ouvriers qui n’ont pas pu être affectés, peu importe leur nombre, conformément aux procédures en vigueur.

Cette démarche s’inscrit dans le cadre de l’application de l’arrêté gouvernemental n° 436 de 2021, qui met fin au mécanisme d’emploi des ouvriers des chantiers régionaux et agricoles en dehors de leur domaine spécifique.

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Le directeur régional de la santé de Kasserine, Abdelghani Chaabani, a confirmé à Mosaique Fm qu’un citoyen a été blessé suite à l’explosion d’une mine terrestre sur la montagne Chaambi, ce samedi 28 décembre 2024. À ce stade, la gravité de ses blessures reste inconnue.

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La tenniswoman tunisienne Ons Jabeur fera, lundi prochain, son come-back sur les courts de tennis, à l’occasion du tournoi de Brisbane en Australie, où elle affrontera pour le compte des 32e de la compétition la chinoise Zheng Saisai (695e mondiale).
La tunisienne, 42e mondiale depuis plusieurs semaines, sera également, en lice au tableau du double dames où elle sera associée à l’espagnole Paula Badosa (179e mondiale), dès demain dimanche. Elles affronteront la paire formée par la russe Alexandra Panova et la chinoise Guo Hanyu, à partir de 05h30.
Ons Jabeur avait, rappelle-t-on, préféré se retirer du circuit depuis août dernier pour des pépins de santé.

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La présidence du gouvernement a annoncé, ce samedi, sur sa page officielle Facebook, les modalités de l’amnistie sociale relative à l’annulation des pénalités de retard sur les cotisations des régimes de sécurité sociale et le régime d’indemnisation des dommages liés aux accidents du travail et aux maladies professionnelles.

Cette mesure, prévue par le décret n° 503 de l’année 2024 publié en octobre dernier, permet une annulation totale ou partielle des pénalités de retard de manière automatique, sous certaines conditions. Elle sera en vigueur jusqu’au 31 mars 2025.

Les débiteurs auprès du Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) peuvent bénéficier de cette amnistie en réglant la totalité du montant principal de la dette et des frais de poursuite. Ce règlement peut s’effectuer en une seule fois ou par paiements échelonnés selon un calendrier convenu avec le CNSS, à condition que l’intégralité du montant soit payée avant le 31 mars 2025.

Pour les salariés des secteurs agricole et non agricole, l’annulation totale des pénalités de retard est possible à condition de rembourser entièrement le montant principal de la dette et les frais de poursuite dans un délai maximal de 36 mois à partir de la signature de l’accord avec la CNSS. Une réduction partielle des pénalités, à hauteur de 75 %, est également envisageable si la dette est réglée dans un délai maximal de 48 mois. Une réduction de 50 % des pénalités peut être accordée dans le cadre d’un remboursement intégral sur une période n’excédant pas 60 mois.

Les travailleurs non salariés, qu’ils exercent dans les secteurs agricole ou non agricole, peuvent également bénéficier de l’annulation totale des pénalités de retard. Cette annulation est conditionnée par le remboursement intégral du montant principal de la dette et des frais de poursuite, sur une durée maximale de 60 mois. Dans ce cas, chaque mensualité doit être au moins équivalente au montant de la cotisation mensuelle.

Cette initiative vise à soulager les affiliés en difficulté financière tout en favorisant la régularisation des cotisations sociales. Elle s’inscrit dans une stratégie gouvernementale globale pour renforcer la protection sociale et soutenir les acteurs économiques.

Les personnes concernées sont invitées à se rapprocher des services du CNSS afin d’établir un plan de remboursement et de profiter des avantages de cette amnistie avant la date limite fixée au 31 mars 2025.

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Le sport tunisien est en deuil. Ce samedi 28 décembre 2024, Riadh Charfi, ancien gardien de but du Club Sportif Sfaxien (CSS), entraîneur, directeur technique et professeur universitaire, s’est éteint après une longue lutte contre la maladie.

Charfi a marqué l’histoire du CSS en tant que joueur avant de poursuivre des études en Union soviétique dans les années 1970, où il a obtenu des diplômes en sciences du sport et en entraînement. De retour à Sfax, il a mené une carrière brillante d’entraîneur, notamment avec les jeunes du CSS, qu’il a conduits à plusieurs succès.

Malgré des offres de nombreux clubs, ses responsabilités comme professeur à l’Institut Supérieur du Sport de Sfax et formateur d’entraîneurs ont prévalu.

Snipe- La Presse présente ses sincères condoléances à sa famille et à la grande communauté sportive tunisienne.

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Le ministère de la Santé a appelé les mamans à protéger la santé de leurs enfants des dangers d’une consommation excessive de sucre, en particulier pendant l’allaitement, dans un communiqué publié samedi sur sa page Facebook officielle.
Il a averti que les risques d’une consommation excessive de sucre pendant l’allaitement peuvent inclure un risque accru d’obésité à l’avenir, un impact négatif sur les dents avant même qu’elles n’apparaissent, ainsi qu’un affaiblissement de l’immunité et une augmentation de la probabilité de maladies chroniques à des stades ultérieurs. Le ministère a conseillé aux mères d’allaiter leur enfant, car il s’agit de la meilleure option pour l’alimentation des nourrissons, le lait maternel répondant à tous les besoins nutritionnels de l’enfant.
Il a également mis en garde contre l’introduction de boissons sucrées ou d’édulcorants artificiels dans l’alimentation des nourrissons, soulignant que le lait maternel et l’eau sont ce qu’il y a de mieux pour la santé de l’enfant, tout en veillant à ce que l’alimentation soit équilibrée et saine au moment du sevrage.
Le ministère a recommandé d’introduire des fruits et des légumes naturels lors de l’introduction d’aliments solides, mettant en garde contre l’impact des jus artificiels et des aliments transformés sur la santé du nourrisson.

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Lors d’une séance plénière tenue hier à l’ARP, la ministre des Finances, Sihem Bougdiri Nemsia, a souligné l’importance de s’attaquer au fléau du marché parallèle, soulignant que cela ne pas se faire uniquement à travers l’adoption de textes de loi mais qu’il s’agit d’un effort continu qui doit impliquer toutes les parties, y compris le citoyen qui doit dénoncer les points de vente du commerce parallèle.

Nemsia a indiqué que le gouvernement a formé un comité afin de trouver des solutions pour contrer ce fléau qui représente une menace pour l’économie nationale, notant que la loi de finances pour 2025 comprend plusieurs mesures pour encourager l’intégration de l’économie parallèle dans l’économie organisée, en élargissant le champ de l’auto-emploi , à travers l’inclusion de nombreuses activités qui deviendront imposables, à l’instar des ventes en lign

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Malgré l’inflation et la hausse des prix, chaque début d’année suscite des interrogations chez les citoyens : faut-il célébrer la nouvelle année et, si oui, quel budget y consacrer ? Les avis divergent, et notre reportage de terrain a permis de mettre en lumière les principales raisons derrière ces choix contrastés.

D’un côté, certains rejettent catégoriquement l’idée de célébrer le Nouvel An, invoquant des arguments d’ordre religieux. Pour eux, cette fête ne fait pas partie des traditions islamiques. “Je ne célèbre que nos fêtes religieuses, comme le Moulid, l’Aïd el-Fitr et l’Aïd el-Adha”, déclare un citoyen qui a voulu garder l’anonymat. Un avis partagé par Kamel, qui ajoute : “Les chrétiens participent-ils à nos fêtes religieuses ? Je ne pense pas. Donc, je ne vois pas pourquoi je devrais fêter la leur”.

D’autres, quant à eux, lient ce refus à la conjoncture économique. Avec la flambée des prix, accorder un budget à cette célébration ne semble pas prioritaire face aux dépenses familiales essentielles. Cependant, cet argument ne fait pas l’unanimité. “Quand on voit la foule dans les magasins et les pâtisseries, il est clair que le coût de la vie n’est pas un vrai frein”, observe une jeune dame.

De l’autre côté, certains considèrent cette occasion comme une opportunité rare de rassembler leurs proches, un moment de joie dans un quotidien dominé par les écrans et les technologies modernes.

“Je vois cela comme une belle tradition et une chance de réunir la famille pour partager rires et bonheur”, estime le jeune Iheb, un partisan de cette célébration.

Quant au budget, il varie considérablement en fonction des moyens financiers de chacune et de chacun. Certains se limitent à une enveloppe modeste d’environ 30 dinars, tandis que d’autres prévoient entre 150 et 200 dinars, voire plus.

“Je consacre un budget de 300 à 400 dinars, répartis entre 150 à 200 dinars pour le dîner, gâteau, chocolat, un peu par tout, et environ 200 dinars pour des cadeaux à offrir à ma mère ou à quelques proches”, explique de sa part Mohamed.

Ainsi, en Tunisie, le Nouvel An demeure une fête à la fois critiquée et célébrée, reflétant les contrastes d’une société en quête de repères entre traditions, réalités économiques et désir de convivialité.

Mohamed Atef Jabrallah

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Le gouvernement a programmé, pour l’année 2025, pas moins de 21.376 recrutements dans la plupart des secteurs et la régularisation de la situation de 12.000 ouvriers de chantier ainsi que celle de plusieurs travailleurs en situation de précarité, a déclaré la ministre des Finances, Sihem Boughdiri Nemssia, lors d’une séance plénière au parlement.

Sur un autre sujet, le ministre des Finances a souligné que l’État accorde une grande importance au sujet des biens confisqués, notant qu’une commission a été créée au niveau de la Présidence du gouvernement, composée de toutes les parties impliquées dans le dossier afin d’élaborer un texte de loi sur la confiscation et la cession qui permettrait de surmonter les lacunes et les problèmes soulevés par les textes de loi actuels.

La tenue d’une récente réunion de travail a abouti à plusieurs recommandations, à savoir procéder à l’inventaire de tous les biens confisqués, trouver des solutions au cas par cas, accélérer la liquidation des sociétés inactives et améliorer la rentabilité des sociétés et des biens qui ont un potentiel important en termes d’activité, de valeur ajoutée et de revenus, notamment ceux liés aux services publics tels que l’agriculture, les transports et la santé, a ajouté Sihem Nemsia.

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Sa femme Monia Ben Othman
Ses fils Sami, Abdelaziz et Nader
Son petit-fils Fahd
Ses frères : Jamel, Ridha, Nabil et Mohamed.
Ses sœurs : Leila, Raoudha et Amel
Ainsi que  les familles parentes et alliées remercient tous ceux qui, par leur présence, leur correspondance ou leurs appels téléphoniques, se sont associés à leur deuil suite au décès de leur cher et regretté

Mabrouk Ben Abdelaziz REDISSI

et annoncent que la cérémonie du fark aura lieu demain dimanche 29 décembre 2024, à son domicile 1, rue 6881 Cité Ettahrir à partir de 17h00.
Que Dieu le Tout-Puissant lui accorde Son infinie Miséricorde et l’accueille dans Son éternel Paradis.

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Son épouse Hédia Naanaa,
Ses enfants :
– Rim et ses enfants Mhamed et Selima Ben Salah,
– Moez, son épouse Leila Jmal et leurs enfants Fériel et Fares,
– Walid et son épouse Isabelle Bonis,
Les familles :
Ben Smail, Trabelsi, Naanaa, Ben Salah, Jmal, Bonis, Berrabah, Snoussi, Messaoudi, Ben Hamida, Ben Mahmoud, Mezhoud, Ounis, Hamza, Bouleymen, ainsi que les familles parentes et alliées remercient toutes les personnes qui, par leur présence, leurs appels téléphoniques ou leurs messages, se sont associées à leur peine et douleur suite au décès de leur très cher et regretté

Bechir BEN SMAIL
(survenu le 25 décembre et inhumé le 26 décembre 2024)

et annoncent que la cérémonie du Fark aura lieu aujourd’hui, samedi 28 décembre 2024, après la prière d’El Asr, à son domicile sis au 14, rue Abdelmoumen Ibn Ali, Le Belvédère, Tunis.
Que Dieu le Tout-Puissant lui accorde Son infinie Miséricorde et l’accueille dans Son éternel Paradis.

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