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Heute — 04. Dezember 2024Haupt-Feeds

Tunisie : La société Ellouhoum et la BTS s’unissent pour lancer “Ellouhoum Market”

Von: La Presse
04. Dezember 2024 um 09:20

La Société Ellouhoum et la Banque Tunisienne de Solidarité (BTS) ont signé hier une convention de coopération visant à financer l’installation de points de vente de viandes rouges sous la marque “Viandes Ellouhoum”.

La cérémonie a eu lieu sous la supervision de Samir Abid, ministre du Commerce et du Développement des Exportations, en présence du directeur général de la Banque Tunisienne de Solidarité et du président-directeur général de la Société Ellouhoum.

Ce partenariat stratégique s’inscrit dans une initiative nationale visant à encourager les jeunes entrepreneurs à développer leurs propres projets dans le secteur des viandes rouges, notamment à travers l’ouverture de points de vente ou le financement de solutions de transport de viandes.

La Banque Tunisienne de Solidarité s’engage à fournir des financements assortis de facilités administratives, tandis que la Société Ellouhoum accompagnera les bénéficiaires en matière de formation et d’encadrement. Elle assurera également un approvisionnement régulier en viandes rouges, conforme aux standards de qualité et aux exigences sanitaires.

La première phase du projet verra l’ouverture de quatre points de vente pilotes dans le Grand Tunis, avant une généralisation progressive à l’ensemble des gouvernorats.

Ce programme s’inscrit dans une vision globale de modernisation de la filière des viandes rouges en Tunisie, visant à améliorer la qualité des produits, optimiser la chaîne d’approvisionnement, moderniser les points de vente pour les aligner avec les normes sanitaires internationales.

Le projet ambitionne également de renforcer le rôle régulateur de la Société Ellouhoum dans le marché, tout en veillant à maîtriser les prix des viandes rouges pour préserver le pouvoir d’achat des Tunisiens.

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Tunisie – Météo : Mer agitée et température en baisse

Von: La Presse
04. Dezember 2024 um 09:04

Le temps de mercredi sera marqué par une détérioration progressive des conditions météorologiques, selon un bulletin de suivi de l’Institut National de la Météorologie (INM).

Des nuages denses se formeront dans la matinée sur les régions côtières nord, accompagnés de pluies éparses, parfois orageuses et localement intenses. Ces précipitations s’étendront progressivement au reste des régions du nord et du centre dans l’après-midi, touchant localement le sud en soirée. Des chutes de grêle sont également attendues par endroits.

Les vents, d’abord modérés à faibles dans la plupart des régions, se renforceront en soirée, notamment sous les orages. Dans le sud, des rafales relativement fortes pourraient soulever des tourbillons de sable, tandis que des rafales atteignant temporairement 80 km/h sont prévues dans plusieurs régions.

La mer sera agitée dans le golfe de Gabès et peu agitée sur le reste des côtes dans la journée. Elle deviendra toutefois très agitée dans l’ensemble des zones maritimes au cours de la nuit.

Côté températures, les maximales oscilleront entre 14 et 18 degrés dans les régions côtières nord et sur les hauteurs de l’ouest, tandis qu’elles atteindront 19 à 24 degrés dans le reste du pays.

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Huawei et Green Power Technologie : Unis pour promouvoir l’énergie solaire en Tunisie

Von: La Presse
04. Dezember 2024 um 09:01

Dans une atmosphère propice aux échanges, Huawei, en collaboration avec Green Power Technologie, partenaire à valeur ajoutée (VAP) de Huawei en Europe et en Afrique, a organisé, le 29 novembre 2024, à Tunis, une soirée dédiée au networking et à la promotion de l’énergie solaire en Afrique.

Cet événement a rassemblé les acteurs clés de l’écosystème des énergies renouvelables en Tunisie et en Afrique, favorisant ainsi des collaborations fructueuses et le renforcement des relations stratégiques. Les participants ont eu l’occasion de partager des idées et d’explorer de nouvelles opportunités, consolidant ainsi leur engagement envers un avenir énergétique durable.

Le moment fort de cette soirée a été la remise des prix Huawei Awards 2024, qui a honoré Watany Energy Group et Soteme pour leur contribution exceptionnelle en tant que distributeurs en Afrique. Huawei et Green Power Technologie réaffirment ainsi leur engagement à bâtir un écosystème énergétique solide et collaboratif en Afrique, en s’appuyant sur des partenariats stratégiques et des technologies innovantes. L’événement se positionne comme une plateforme de premier plan pour l’écosystème solaire en Afrique, soulignant le rôle essentiel de Huawei dans la transformation énergétique.

Hong Liang, directeur général adjoint de Huawei Digital Power en Tunisie et Libye, a déclaré : « La Soirée Solaire est bien plus qu’un événement ; c’est une célébration de l’écosystème que nous avons construit ensemble. Nous sommes fiers de collaborer avec des partenaires comme Watany et Soteme pour façonner un avenir durable en Afrique. Ensemble, nous travaillons à intégrer des solutions innovantes qui répondent aux défis environnementaux et techniques contemporains. »

De son côté, Farah Khalfaoui, Senior channel manager chez Huawei Tunisie, a souligné que la soirée représentait une occasion unique pour honorer nos partenaires et mettre en avant l’innovation dans le secteur des énergies renouvelables. Cet événement favorise les échanges d’expériences et de connaissances entre les différents acteurs, renforçant ainsi notre engagement collectif vers un avenir énergétique durable.

En tant que fournisseur mondial de solutions photovoltaïques, de gestion de l’énergie et d’e-mobilité, Green Power Technologie a renforcé son engagement en Afrique grâce à sa compréhension approfondie du marché, à son accompagnement personnalisé et à son expertise technique unique, en effet, GPT propose une gamme complète de services à forte valeur ajoutée, incluant la formation, l’assistance à la mise en service et le dépannage, a commenté M. Hugo Sourdrille, Directeur Régional en Afrique de Green Power Technologie.

Huawei, en collaboration avec Green Power Technologie, s’engage à développer des solutions technologiques innovantes et durables. Le géant chinois Huawei propose également des solutions dans divers domaines tels que l’énergie solaire, l’énergie hydraulique et l’énergie éolienne, tout en intégrant des technologies avancées comme l’intelligence artificielle et l’Internet des objets.

Mehdi Fetoui, Directeur du développement chez Soteme, a également partagé son enthousiasme : « Nous sommes honorés que Huawei et Green Power nous ait choisis comme acteur majeur dans le domaine des énergies renouvelables en Afrique et partenaire sur le marché tunisien. Ce prix nous incite à intensifier nos efforts et à renforcer notre engagement envers le développement de l’activité photovoltaïque, tout en consolidant notre présence sur le marché. »

Hayfa Baatout, Co-CEO de Watany Group Energy, a exprimé sa fierté d’être récompensée par Huawei, en tant que distributeur stratégique en Afrique. Elle a déclaré : « Avec notre partenaire Huawei, nous nous engageons à jouer un rôle clé dans la croissance et l’innovation du secteur de l’énergie solaire en Afrique. Nous nous efforçons d’offrir les produits et équipements photovoltaïques les plus performants, ainsi que des solutions innovantes qui ont un impact positif sur le développement durable sur le continent. »

La Soirée Solaire a illustré l’intérêt des collaborations dans le secteur des énergies renouvelables, réunissant des acteurs clés autour d’une ambition commune : Transformer le paysage énergétique en Afrique. Cette soirée a également renforcé les liens entre les participants et mis en avant leur engagement collectif envers un avenir énergétique durable.

 

D’après communiqué

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Les récits nord-africains au cœur du Festival International du Film de la Mer Rouge 2024

Von: La Presse
04. Dezember 2024 um 08:46

La 4ᵉ édition du Festival International du Film de la Mer Rouge braque les projecteurs sur le cinéma nord-africain. Dix œuvres remarquables, en provenance du Maroc, de l’Algérie et de la Tunisie, seront mises à l’honneur du 5 au 14 décembre dans le cadre enchanteur du quartier historique d’Al-Balad à Djeddah. Le festival propose une sélection explorant des thèmes universels tels que l’identité, la résilience et les transformations sociales, tout en célébrant la richesse culturelle du monde arabe.

Cette année, les festivaliers découvriront un éventail d’œuvres captivantes, allant de drames profondément intimes à des comédies noires grinçantes, qui démontrent une fois encore l’immense talent des cinéastes nord-africains et leur capacité à s’imposer sur la scène internationale.

Un cinéma qui rapproche et inspire

Le Festival International du Film de la Mer Rouge ne se contente pas de projeter des films : il célèbre les histoires qui nous unissent. La sélection nord-africaine de cette année illustre à merveille la puissance du cinéma pour transcender les frontières culturelles, défier les idées reçues et inspirer l’action.

« Le cinéma nord-africain, par son innovation artistique, demeure une source d’inspiration et de réflexion. Nous sommes ravis de présenter ces œuvres magistrales qui résonnent bien au-delà de la région », explique Antoine Khalife, directeur des programmes arabes et des classiques du cinéma au Festival. « Ces films interrogent l’expérience humaine avec une authenticité et une profondeur qui en font des incontournables pour tous les publics. »

Le programme met en avant des réalisateurs chevronnés, comme Merzak Allouache, tout en offrant une vitrine à de jeunes talents prometteurs, à l’image de Mohamed Lakhdar Tati. Le cinéma tunisien, toujours central dans la programmation du festival, continue de fasciner par ses récits introspectifs, ses regards sur le passé et ses remises en question des normes établies.

Le thème de cette année, La Nouvelle Maison du Cinéma, transforme la vieille ville de Djeddah, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, en une scène vivante dédiée à la créativité cinématographique. Entre avant-premières prestigieuses et discussions intimistes, le festival marie harmonieusement tradition et modernité.

Une fenêtre sur l’âme nord-africaine

Les films présentés dans la section dédiée au cinéma nord-africain sont bien plus que de simples récits : ils capturent l’essence d’une région en pleine mutation. Qu’il s’agisse de l’humour existentiel de Land of God (réal. Imad Benomar), du mysticisme troublant d’Agora (réal. Ala Eddine Slim), ou des dilemmes personnels explorés dans Chikha (réal. Ayoub Layoussifi et Zahoua Raji), ces œuvres incarnent toute la richesse et la diversité du cinéma nord-africain.

Elles reflètent également l’engagement du festival à servir de tremplin pour les voix émergentes comme pour les talents confirmés, en favorisant les collaborations au sein du monde arabe et au-delà. En mettant en lumière ces créations, le festival assure au cinéma nord-africain la place qu’il mérite sur la scène internationale.

 

Une programmation qui frappe fort

 

Le programme de cette année frappe fort, mêlant une diversité de genres et de styles qui ne manqueront pas de captiver les spectateurs et de nourrir des débats passionnés. Voici une présentation des films à découvrir :

• Aïcha (Tunisie, France, Italie, Arabie Saoudite, Qatar) : Réalisé par Mehdi M. Barsaoui, ce récit captivant explore la quête de liberté et les risques qu’une femme est prête à prendre pour réinventer sa vie après avoir simulé sa propre mort.

• Agora (Tunisie, France, Arabie Saoudite) : Ala Eddine Slim livre une œuvre fascinante mêlant mystère, folklore et critique sociale, où des disparitions énigmatiques plongent une ville reculée dans une atmosphère troublante.

• Bin U Bin, Elsewhere the Border (Algérie, France) : Dans cette exploration intime et brutale, Mohamed Lakhdar Tati nous transporte à la frontière tuniso-algérienne, où amitié et survie se croisent dans un contexte marqué par la contrebande et la perte.

• Chikha (Maroc, France) : Ayoub Layoussifi et Zahoua Raji explorent avec finesse les tensions entre modernité et tradition à travers l’histoire d’une jeune femme déchirée entre les attentes de sa famille et son désir d’une vie plus conventionnelle.

• In Three Layers of Darkness (Tunisie) : Houcem Slouli s’attaque aux méandres de l’immigration et des injustices administratives dans un court-métrage poignant, où un jeune homme lutte pour obtenir un visa.

• Fragments of Life (Tunisie) : Anis Ben Dali offre un récit profondément humain sur la solitude et la résilience, alors qu’un jeune garçon d’un village isolé fait face à la perte et à un vol qui bouleverse son monde.

• Front Row (Algérie, France, Arabie Saoudite) : Merzak Allouache transforme une escapade familiale en une réflexion émouvante sur les liens humains et le chaos du quotidien.

• Land of God (Maroc) : Dans cette comédie noire, Imad Benomar mêle humour et réflexion existentielle, où une mission administrative dérape dans un chaos absurde.

• On The Edge (Tunisie) : Sahar El Echi raconte avec sensibilité l’histoire de Mounira, une femme qui trouve refuge dans la créativité face aux défis de son environnement.

• Red Path (Tunisie, France, Belgique, Arabie Saoudite, Qatar) : Lotfi Achour livre une œuvre poignante sur le trauma et l’évasion, où un jeune homme se réfugie dans la fantaisie après avoir assisté à un meurtre tragique.

Avec sa programmation exceptionnelle, le Festival International du Film de la Mer Rouge 2024 s’annonce comme un rendez-vous incontournable pour les amateurs de cinéma, les professionnels de l’industrie et les curieux du monde entier. Chaque projection raconte une histoire, et chaque histoire laisse une empreinte durable.

Véritable emblème de la Fondation, le Festival International du Film de la Mer Rouge s’impose comme une célébration majeure du septième art, rassemblant à Djeddah le meilleur du cinéma mondial. Au cours de ses trois éditions précédentes, cet événement a accueilli des œuvres issues de 77 pays et proposées dans 47 langues différentes. Sa programmation rigoureusement élaborée met en avant des films nommés aux Oscars 2024, des créations saluées par la critique, des classiques intemporels et des récits émanant de voix souvent marginalisées, illustrant ainsi son engagement indéfectible en faveur de l’excellence cinématographique et du dialogue interculturel.

Le festival jouit d’une reconnaissance croissante, ayant remporté de nombreux prix pour la qualité de ses événements culturels et cinématographiques. Chaque année, il touche des millions de spectateurs à travers le monde et attire des milliers de journalistes. Désormais considéré comme l’événement culturel le plus prestigieux et attendu en Arabie Saoudite, il rassemble des figures emblématiques de l’industrie cinématographique ainsi que des dizaines de milliers de visiteurs accrédités, contribuant à son rayonnement international.

En tant que plus grande célébration du cinéma et de la culture dans la région MENA, le festival propose une programmation éclectique alliant avant-premières captivantes, rétrospectives consacrées aux maîtres du cinéma, dernières créations saoudiennes et compétitions de longs et courts-métrages. À cela s’ajoutent des rencontres professionnelles et des masterclasses, renforçant son rôle de plateforme d’échange et d’apprentissage.

Pendant dix jours intenses, du 5 au 14 décembre, la vieille ville historique de Djeddah, Al-Balad, se métamorphose en un sanctuaire dédié au cinéma. Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, cette cité offre une expérience immersive et unique, reflétant le riche héritage culturel de l’Arabie Saoudite, tout en s’ouvrant aux amateurs, professionnels et publics venus des quatre coins du globe.

 

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La Tunisie défend le droit du peuple palestinien à l’autodétermination

04. Dezember 2024 um 08:36

Le représentant permanent de la Tunisie auprès des Nations Unies à New York, l’ambassadeur Tarek Ladab, a appelé la communauté internationale à prendre des mesures fermes et décisives permettant au peuple palestinien de recouvrer son droit inaliénable à l’autodétermination et de mettre fin à l’occupation.

Ladab s’exprimait, mardi, dans le cadre de la session de l’Assemblée générale des Nations Unies sous le point intitulé « La question palestinienne », selon une déclaration publiée sur la page officielle de la mission permanente de la Tunisie auprès des Nations Unies.

Il a réitéré l’appel de la Tunisie à la communauté internationale pour qu’elle assume ses responsabilités en vue de mettre un terme aux agressions et à la tragédie humanitaire terrible et sans précédent dans la bande de Gaza.

Il a insisté sur la nécessité d’obliger les forces de l’occupation à respecter les résolutions onusiennes et d’accélérer la mise en place de toutes les garanties nécessaires pour protéger le peuple palestinien, appelant à la réouverture de tous les points de passage et à l’acheminement inconditionnel de l’aide humanitaire et des secours aux palestiniens à la bande de Gaza.

Le diplomate tunisien s’est saisi de l’occasion pour réaffirmer le soutien de la Tunisie à la demande de la Palestine pour obtenir le statut de membre à part entière aux Nations Unies, soulignant l’engagement constant et de principe de la Tunisie à défendre les droits légitimes du peuple palestinien.

Concernant la situation au Liban, Tarak Ladab a exprimé la satisfaction de la Tunisie quant à l’accord de cessez-le-feu, mettant l’accent sur l’importance de permettre le retour sécurisé des habitants du sud du Liban dans leurs foyers et le retrait complet de l’armée d’occupation des territoires libanais, dans le but de renforcer la sécurité et de préserver la souveraineté du Liban.

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Gestern — 03. Dezember 2024Haupt-Feeds

Ouverture, hier à Tozeur, du 1er Salon international du tourisme saharien et oasien (ISSOT): Redonner des ailes à toute la région

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 22:20

On n’a jamais visité le sud tunisien, sans tomber sous le charme de son immense désert, ses vastes oasis et palmiers-dattiers étendus à perte de vue, sa nature splendide, ses sites pittoresques, ses traditions artisanales typiques, son patrimoine culinaire et culturel, sa gastronomie riche en produits du terroir et des recettes spécifiques.

La Presse — Tozeur, la reine du désert, demeure, une destination emblématique, réunissant tous les ingrédients d’un tourisme tunisien hors saison. Hier, c’était un grand jour. Tozeur abrite, du 3 au 5 de ce mois, le premier Salon international du tourisme saharien et oasien (Issot), sous le signe « tourisme durable et responsable », auquel participent environ 300 acteurs professionnels du secteur, ainsi que des journalistes tunisiens et étrangers venus de tous horizons.

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 04 décembre 2024

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Semences: Oui pour le retour à la pureté des origines

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 22:15

Les variétés de blé développées dans les années 1980 sont victimes de maladies en Tunisie, mais les agriculteurs affirment que les variétés traditionnelles semblent plus résistantes. Il n’y a pas longtemps, les agriculteurs tunisiens utilisaient des semences indigènes et mettaient de côté une petite partie de leur récolte pour la semer la saison suivante. Mais le développement des semences hybrides ou génétiquement modifiées a permis de meilleures récoltes, et les variétés indigènes ont été largement abandonnées.

Les agriculteurs tunisiens se tournent vers les semences indigènes face à la sécheresse, aux maladies et au changement climatique. Les semences traditionnelles sont issues d’un patrimoine génétique mieux adapté à l’environnement, selon la Banque nationale des gènes de Tunisie, qui promeut le développement d’une agriculture durable dans le pays. «Ce sont des réservoirs de gènes vieux de centaines, voire de milliers d’années», a déclaré Maher Medini de la Banque nationale des gènes à la presse internationale. Il a ajouté que « ces semences sont plus résistantes aux effets dangereux du réchauffement de la planète, qui ne cessent de s’aggraver. Le changement climatique entraîne des variations importantes des précipitations, de la température et de l’humidité, ce qui provoque des maladies dans les cultures. Le fondement de l’adaptation est la diversité», a précisé Medini.

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M’hayer Sika de Béchir Drissi: Une formidable musique des sentiments

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 21:58

L’amour, la jalousie, la solitude, thèmes basiques de ce psychodrame porté par trois formidables comédiens pleins d’énergie, particulièrement Jamel Madani dont le rôle est taillé sur mesure.


« MhayerSika » marque le retour après plusieurs années d’absence du grand comédien et metteur en scène Béchir Drissi, dont le large public se souvient de sa prestation dans la pièce « Maréchal Ammar » de Ali Ben Ayed et que la télévision tunisienne continue de diffuser à chaque occasion. Mais  Béchir Drissi n’est pas qu’un brillant comédien, il est aussi un metteur en scène fort talentueux qui a signé plusieurs pièces dont « Le manteau » d’après le texte de Gogol. Aujourd’hui, il revient avec « MhayerSika », psychodrame dont il a écrit le texte il y a quelques années.

Lire l’intégralité de l’article dans notre version papier du 04 décembre 2024

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Tunisie : Kaïs Saïed célèbre le centenaire du syndicalisme tunisien et rend hommage à Mohamed Ali El Hammi

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 21:23

Le Président de la République, Kaïs Saïed, a présidé ce mardi 3 décembre 2024, une réunion au Palais de Carthage, en présence de Issam Lahmar, ministre des Affaires sociales, de Riadh Chaoued, ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle et de Hasna Jiballah, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Emploi et de la Formation professionnelle, chargée des sociétés citoyennes.

Au début de cette rencontre, le Président de la République a rappelé que la Tunisie célèbre aujourd’hui le centenaire de la création de la Confédération générale des travailleurs tunisiens, fondée le 3 décembre 1924 après une série de réunions et de rencontres menées par le leader Mohamed Ali El Hammi, pionnier du mouvement syndical dans le monde arabe et africain.

Le Président de la République a longuement évoqué le parcours du leader syndical Mohamed Ali El Hammi, qui, malgré les nombreuses difficultés rencontrées tout au long de sa vie, a fait preuve d’un patriotisme et d’une intelligence remarquables. Avec une volonté inébranlable, il est passé d’un emploi de manutentionnaire dans un entrepôt de céréales, dû à la pauvreté et à la rudesse de la vie, à celui d’expert en économie politique, après avoir obtenu un diplôme supérieur dans ce domaine. Ce n’est pas un hasard si le leader Farhat Hached l’a qualifié de « père du mouvement syndical tunisien », celui qui a semé la première graine de ce mouvement. Cette graine, plantée par une main sage, a grandi et prospéré, et l’audace et le sacrifice de Mohamed Ali El Hammi restent liés à notre profonde gratitude et reconnaissance.

Dans le cadre de son discours sur le combat de Mohamed Ali El Hammi, le Président de la République a évoqué la création de la première association de coopération économique, fondée principalement dans le domaine commercial pour lutter contre la hausse des prix, réduire le coût de la vie des travailleurs et augmenter leur pouvoir d’achat. Cependant, les cartels et les agents du colonialisme de l’époque se sont mobilisés pour saboter ce noble projet.

D’autre part, le Président de la République a souligné l’importance de simplifier les procédures, en particulier pour les jeunes, afin de créer des entreprises citoyennes et de les accompagner. Il a noté que les descendants de ceux qui ont saboté les associations de coopération économique dans le passé tentent aujourd’hui d’entraver ce nouveau modèle d’entreprises, qui profite non seulement à leurs membres, mais aussi à l’ensemble de la nation.

Cette rencontre a également porté sur le projet de loi relatif à l’abolition de la sous-traitance et des contrats à durée déterminée. Le Président de la République a insisté sur la nécessité d’élaborer des textes législatifs selon une approche novatrice et libérée des vestiges du passé, afin de garantir le droit à un travail rémunéré de manière équitable et décente, tout en préservant les droits de ceux dont les contrats ont été résiliés et remplacés par d’autres. Il a affirmé que les droits des nouveaux travailleurs, comme ceux des travailleurs remplacés, seront sauvegardés, car la stabilité sociale, recherchée par toutes les nations et sociétés, ne peut être atteinte qu’à travers la justice et l’équité.

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Le ministre de la Défense en visite à la base aérienne de Sfax

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 21:03

Le ministre de la Défense nationale, Khaled Sehili, a effectué, ce mardi 3 décembre 2024, une visite officielle à la base aérienne de Sfax. Cette visite s’inscrit dans le cadre de son suivi des conditions de travail des militaires, de l’état des infrastructures et de la préparation opérationnelle des unités stationnées sur place.

Lors de cette visite, le ministre a inspecté les unités aériennes et s’est informé sur leurs missions de formation de base et avancée pour les pilotes. Il a également examiné les moyens pédagogiques et technologiques utilisés, notamment les simulateurs de vol, capables de reproduire des scénarios réalistes pour former les pilotes à la gestion des situations complexes en vol réel.

Khaled Sehili a salué l’intégration des technologies numériques, de l’intelligence artificielle, de la réalité virtuelle et de l’apprentissage à distance dans les programmes de formation de l’armée de l’air. Il a souligné que ces innovations renforcent les capacités opérationnelles et la modernisation des méthodes de formation.

En visitant les infrastructures, le ministre s’est rendu dans les espaces pédagogiques, les logements des militaires ainsi que dans les installations de l’École des spécialités aériennes, chargée de former les sous-officiers techniciens et pilotes, et au Premier centre de formation de l’armée de l’air. Il a également posé la première pierre pour la construction d’une nouvelle division dédiée aux activités aériennes et à la sécurité des vols.

Le ministre a exprimé son admiration pour les efforts des cadres et responsables des unités stationnées à Sfax. Il a mis en avant leur rôle dans l’amélioration continue des capacités des militaires et la gestion optimale des équipements. Il a également salué l’intégration du personnel féminin dans des rôles opérationnels et de commandement, qu’il considère comme une avancée majeure.

Khaled Sehili a en outre appelé les militaires à faire preuve de vigilance et de disponibilité permanente pour défendre le pays. Il a insisté sur la nécessité de répondre aux besoins spécifiques des membres des forces armées et d’améliorer leurs conditions de travail, afin qu’ils puissent s’acquitter efficacement de leur mission au service de la sécurité nationale.

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La Tunisie lance le projet de la “Ville Intelligente de l’Automobile”

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 19:28

Le ministère de l’Industrie, des Mines et de l’Énergie a tenu, mardi 3 décembre, la première réunion du groupe de travail chargé de la réalisation du projet ambitieux de la “Ville Intelligente de l’Automobile” (Taskforce Automotive Smart City).

Présidée par Fatma Thabet Chiboub, cette réunion a rassemblé des acteurs clés, notamment Afef Chachia Tayari, cheffe de cabinet du ministère, et Myriam Elloumi, présidente de l’Association tunisienne de l’automobile (Tunisian Automotive Association-TAA). Y ont également pris part des représentants des ministères des Finances, de l’Économie, de la Planification, de la Formation professionnelle et de l’Emploi, ainsi que de l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ).

Lors de cette réunion, une présentation a été faite sur les grandes orientations stratégiques du secteur de la fabrication de composants automobiles. Les participants ont également exploré les opportunités offertes par les infrastructures industrielles et technologiques existantes dans notre pays.

Aujourd’hui, la Tunisie se positionne comme un leader régional dans la fabrication de composants automobiles. Le pays bénéficie d’un tissu industriel de renommée mondiale, composé d’entreprises compétitives, et d’une main-d’œuvre qualifiée, spécialisée et expérimentée.
Fatma Thabet Chiboub a souligné l’engagement du ministère à améliorer la compétitivité de l’offre tunisienne en développant une infrastructure intégrée, répondant aux exigences techniques de l’industrie automobile. Cet effort s’inscrit dans les objectifs de la stratégie nationale pour l’industrie et l’innovation, et dans le cadre du pacte de partenariat public-privé visant à renforcer la compétitivité du secteur d’ici 2027.

Le secteur de la fabrication de composants automobiles en Tunisie compte actuellement 300 entreprises industrielles, dont plus de 50 % à capitaux étrangers. Ces entreprises emploient environ 100.000 personnes, avec un taux d’intégration locale de 38 %. La valeur annuelle de la production du secteur est estimée à 8 milliards de dinars, dont 7,5 milliards de dinars destinés à l’exportation.

Le projet de la “Ville Intelligente de l’Automobile” ambitionne d’attirer des investissements stratégiques, notamment dans les secteurs des véhicules électriques et intelligents. L’objectif est de positionner la Tunisie comme une plateforme industrielle de référence pour la fabrication de voitures particulières et de véhicules adaptés aux marchés africains.

Ce projet s’inscrit dans une vision plus large visant à doubler les exportations et à créer de nouvelles opportunités d’emploi, tout en consolidant le rôle de la Tunisie en tant qu’acteur majeur de l’industrie automobile mondiale.

La Presse

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«Autour de Musti» les 4 et 5 décembre 2024 à Paris: Chronique d’une ville à travers les âges

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 17:10

Un colloque international se déroulera à la Bibliothèque polonaise de Paris. Il sera ponctué du vernissage d’une exposition intitulée «Musti à travers les âges : chroniques d’une ville africaine au cœur du monde méditerranéen», qui présentera l’histoire fascinante de cette cité antique et les découvertes issues des récentes recherches archéologiques.

Les résultats des recherches et des fouilles menées sur l’ancien site romain de Musti (ou Mustis) dans le gouvernorat de Siliana seront au centre de deux grands événements qui auront lieu les 4 et 5 décembre 2024 à Paris. Ces rencontres se tiendront à la Bibliothèque polonaise de Paris et à l’Institut national d’histoire de l’art (Inha). Elles s’inscrivent dans le cadre du projet de coopération archéologique tuniso-polonaise entre l’Institut national du patrimoine (INP) et l’Université de Varsovie (Centre polonais d’archéologie méditerranéenne et Faculté d’Archéologie). «Autour de Musti», un colloque international se déroulera dans la journée du 4 décembre à la Bibliothèque polonaise de Paris. Il sera ponctué du vernissage d’une exposition intitulée «Musti à travers les âges : chroniques d’une ville africaine au cœur du monde méditerranéen», qui présentera l’histoire fascinante de cette cité antique et les découvertes issues des récentes recherches archéologiques. La journée du 5 décembre, prévue à l’Inha, sera consacrée à la présentation des chantiers archéologiques en cours, tuniso-polonais et tuniso-français. Organisé par l’Université de Varsovie, L’INP-Tunis avec, entre autres, le Centre de civilisation polonaise (Université Paris Sorbonne), l’Ecole française de Rome, le Centre Camille Jullian( Université Aix-Marseille), cet événement vise, selon la note de présentation, à rendre publics les résultats des fouilles et prospections effectuées sur le site et ses alentours à travers plusieurs communications de chercheurs, experts et spécialistes membres de l’équipe. Ces résultats inédits seront également confrontés et comparés en suivant les mêmes problématiques centrées sur l’histoire urbaine, avec d’autres projets de chantiers archéologiques tunisiens mettant en jeu une collaboration scientifique internationale entre l’INP et des partenaires académiques français. A l’ordre du jour figurent un grand nombre d’interventions portant notamment sur les objectifs du projet archéologique de Musti, les recherches en cours sur des sites comme Sufetula (Sbeïtla) et Thugga, ainsi que les récentes avancées sur l’urbanisme de ces cités antiques. Parmi les sujets abordés figureront les résultats des prospections intra-muros et les découvertes monétaires réalisées dans le cadre du projet «Tyhna».

Pour rappel, un projet de coopération a été signé en 2016 entre l’INP et l’Université de Varsovie pour mener des recherches archéologiques pluridisciplinaires sur le site de Musti, qui se trouve à environ 120 km au sud-ouest de Tunis, près du village d’El Krib dans le gouvernorat de Siliana, afin d’enrichir la compréhension des dynamiques d’occupation qu’a connues Musti au fil des siècles, notamment sur les plans administratif, urbanistique et économique. Ces recherches s’efforcent également de retracer les étapes de sa transition d’une ville numide à une cité romaine prospère, tout en éclairant son rôle de carrefour stratégique dans la région méditerranéenne.

TAP-Sara Belghith

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Tribune: Pour créer une société plus inclusive, améliorons la couverture médiatique

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 17:01

Par Eric FALT |  Directeur régional du bureau de l’Unesco pour le Maghreb et représentant de l’Unesco auprès de l’Algérie, la Libye, le Maroc, la Mauritanie et la Tunisie. |

Depuis 1992, la Journée internationale des personnes handicapées est célébrée chaque année le 3 décembre à travers le monde. Elle vise à promouvoir les droits et le bien-être des personnes handicapées dans toutes les sphères de la société et à accroître la sensibilisation à leur situation particulière dans tous les aspects de la vie politique, sociale, économique et culturelle.

A l’occasion de la journée 2024, il y a lieu de célébrer plusieurs avancées, notamment grâce aux Jeux Paralympiques de Paris, qui ont magnifiquement mis en lumière l’excellence des performances sportives de 4.400 personnes handicapées. Les sportifs tunisiens se sont distingués, en se hissant à la 27e place du classement mondial avec cinq médailles d’or, trois d’argent et trois de bronze.

En décembre dernier, j’étais aux côtés d’un certain nombre de ces athlètes tunisiens lors du Wikithon pour l’Inclusion organisé par l’Unesco et par le Comité national paralympique tunisien (Cnpt), et j’avais été frappé par leurs témoignages et leur résilience, tant sur un point de vue personnel que professionnel.

Leurs performances lors des Jeux paralympiques de 2024 ont fait briller la Tunisie sur la scène internationale et ont été une source d’inspiration pour des millions de Tunisiennes et Tunisiens. Leurs exploits ont généré une couverture médiatique sans précédent. Au niveau global, l’engouement a été similaire et cela s’est traduit par une couverture en direct des 22 sports paralympiques dans plus de 160 pays à travers le monde, grâce à la présence de plus de 2.000 diffuseurs.

Bien que cette mobilisation ait reçu un accueil chaleureux, la visibilité qu’elle a générée soulève toutefois la question du traitement médiatique des personnes handicapées et leur accessibilité à l’information. Cela est un défi majeur, qui a été souligné en marge des Jeux Paralympiques, lors d’une conférence internationale sur l’inclusion des personnes en situation de handicap, organisée à Paris par l’Unesco et le Comité international paralympique (CIP), et qui a réaffirmé la nécessité que les médias doivent être plus inclusifs.

Parce qu’ils sont le miroir de nos sociétés, les médias se révèlent en effet des vecteurs de prolifération et de perpétuation de normes culturelles discriminantes vis-à-vis des personnes en situation de handicap. Cela peut se traduire notamment par l’usage d’un vocabulaire dénigrant, voire injurieux à leur égard. Ainsi, les médias façonnent, souvent à leur insu, des perceptions fausses et préjudiciables à l’égard des personnes handicapées au sein de la population et participent à la propagation de stéréotypes qui leur nuisent.

Transformer les mentalités devient dès lors fondamental afin de lutter contre ces normes négatives. Pour ce faire, avec les organisations de personnes handicapées, qui défendent leurs droits quotidiennement, nous devons aussi mobiliser les acteurs médiatiques.

Pour parvenir à bâtir une société plus ouverte, plus accessible et plus inclusive, l’Unesco travaille étroitement avec ses partenaires pour convaincre les chaînes de télévision, les radios, les instances de régulation et d’autorégulation des médias, les organisations professionnelles et les institutions de formation de repenser la couverture médiatique concernant les questions liées au handicap.

Dans cette lignée, un effort collectif porté par un idéal commun a donné naissance en Tunisie, le 19 juillet 2024, à la Coalition nationale pour des médias inclusifs et accessibles aux personnes handicapées.

Portés par la volonté de créer une nouvelle chaîne vertueuse, l’Unesco, au côté de ses partenaires, a déjà instauré un socle commun d’outils et de connaissances (guide de communication inclusive, formations de journalistes) en faveur d’une représentation digne et respectueuse des personnes handicapées.

Avec les efforts supplémentaires de toutes et tous, nous pourrons encore renforcer la place que les personnes handicapées occupent dans la société et réduire ainsi les barrières. Des changements majeurs surgissent déjà, grâce aux engagements multiples d’acteurs tels que l’Institut de presse et des sciences de l’information (Ipsi), qui intégrera prochainement un module inclusif dans ses études de journalisme.

De la même façon, la Haute autorité indépendante de la communication audiovisuelle (Haica), créera bientôt un système de dépôt de plainte pour discrimination. De nombreux médias se sont par ailleurs engagés à faire évoluer leur couverture des questions liées au handicap.

L’accès à l’information, qui est un droit fondamental, pourrait enfin être renforcé grâce à une proposition de projet de loi porté par trente parlementaires à l’Assemblée des représentants du peuple pour faire de la langue des signes tunisienne une langue nationale officielle.

A l’occasion de cette Journée internationale des personnes handicapées, et tout le reste de l’année, il est de notre responsabilité de donner un sens concret aux initiatives et aux engagements en faveur des personnes handicapées.

E.F.

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Tunisie – Pluies torrentielles à Nefza : des maisons inondées, la protection civile en alerte

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 15:45

La délégation de Nefza, située dans le gouvernorat de Béja, a été frappée cet après-midi, mardi 3 décembre 2024, par de fortes précipitations.

Le colonel Kamel Melliti, directeur régional de la protection civile à Béja, a indiqué que le niveau des eaux de pluie avait considérablement augmenté, provoquant des inondations dans les rues de la ville. L’eau s’est également infiltrée dans deux habitations, nécessitant l’intervention immédiate des équipes de la protection civile, qui ont dépêché sur les lieux un véhicule spécialisé et une pompe pour évacuer les eaux et limiter les dégâts.

Les autorités locales appellent les citoyens à la vigilance face aux risques liés à ces intempéries, alors que les interventions des équipes de secours se poursuivent pour faire face à la situation.

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Tunisie – Kairouan : des élèves hospitalisés après une campagne de vaccination 

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 15:42

L’hôpital universitaire Ibn El Jazzar de Kairouan a accueilli, ce mardi 3 décembre 2024, huit élèves en état de panique et d’anxiété après avoir reçu des vaccins contre la diphtérie et le tétanos (D.T.) dans leur école, selon le Dr Moammar El Hajji, directeur régional de la santé de Kairouan.

Tous les élèves ont rapidement reçu les premiers soins et ont quitté l’établissement hospitalier en bonne santé, à l’exception d’un seul élève. Celui-ci reste sous observation médicale en raison d’un taux de glycémie instable, laissant supposer une prédisposition au diabète déjà existante avant la vaccination.

Le Dr Hajji a tenu à préciser dans une déclaration accordée à une radio privée que ces réactions ne sont pas liées aux vaccins administrés, mais plutôt à une vague de peur et de panique collective observée parmi les élèves.

Il est important de noter que les élèves concernés sont scolarisés à l’école primaire située à l’ouest de Kairouan. Les autorités sanitaires ont rappelé que les vaccins administrés respectent les normes internationales de sécurité et que de telles réactions sont souvent d’ordre psychologique plutôt que médical.

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Tunisie : L’ASSIDJE réalise un documentaire de sensibilisation sur la protection des fesgiyas de Djerba

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 15:39

L’Association pour la Sauvegarde de l’Ile de Djerba « ASSIDJE » a annoncé, mardi, avoir réalisé un documentaire intitulé « Je protège ma Fesqiya, pour qu’elle me protège à son tour » (فسقيتي نحميها تحميني), incitant les citoyens à entretenir leurs « Fesqiyas » (citernes de stockage des eaux pluviales) pour valoriser les eaux de pluie, et ce dans le cadre de son projet « Fsagui Djerba : Recharge, Rétention et Réutilisation des Citernes d’eau à Djerba, un avenir meilleur face au changement climatique » . »Fsagui Djerba » a pour objectif de préserver et valoriser les ressources en eaux pour une meilleure adaptation face aux changements climatiques à l’île de Djerba. Il vise à identifier et valoriser les citernes d’eau publiques, comme richesse patrimoniale, ainsi qu’à sensibiliser et impliquer la population locale dans la lutte contre la vulnérabilité de l’île face aux changements climatiques. Il consiste, globalement, à la localisation, la réhabilitation, l’entretien des citernes publiques d’eau au niveau de l’île de Djerba et la réutilisation des eaux collectées. D’après un rapport intitulé « Résilience climatique dans un contexte de sécheresse : un focus sur Fsagui Djerba » publié par l’association, « les précipitations annuelles sur l’île atteignent 248,8 mm. Mais, cette quantité est insuffisante pour répondre aux besoins humains et agricoles. Le nombre moyen de jours de pluie à Djerba ne dépasse pas 40 jours par an. Les précipitations sont souvent éparses tout au long de l’année. L’essentiel des précipitations (plus de 60%) se concentre entre septembre et décembre, avec un maximum pendant le mois d’octobre (68,7 mm soit 28% du total annuel). De janvier à mars, les pluies diminuent sans cesse. A partir d’avril commence la saison sèche. Pendant l’été, la pluie est un phénomène accidentel. Ces pluies sont de plus en plus irrégulières, se limitant parfois à seulement 3 ou 4 épisodes pluvieux sur une année entière ». « Au cours de la période de 1979 à 2023, l’île a été marquée par des précipitations irrégulières, des années de sécheresse qui s’allongent et des inondations qui apparaissent de manière sporadique. Les projections climatiques et les études de vulnérabilité au changement climatique réalisées en Tunisie, démontrent avec certitude que Djerba subit déjà et subirait encore pour longtemps les effets de ce phénomène, en particulier les impacts liés à l’augmentation des températures, à la baisse des précipitations et à l’augmentation du niveau de la mer ». « On passera d’un cumul de 200mm/an à 160 mm/an à l’horion 2100, soit une perte de 20% du cumul actuel. Les plus fortes perturbations mensuelles seront observées entre les mois de février et avril ». L’association estime, ainsi, que « pour tous les risques et défis climatiques, l’adaptation est nécessaire pour garantir la résilience de l’île. Les problèmes, dans leur majorité, sont liés à l’eau, que les djerbiens gèrent depuis l’antiquité avec un professionnalisme qui en fait un modèle à imiter. Le Majel ou Fesqiya est un dispositif de récupération des eaux de pluie provenant des toits des maisons ou des terrains plats. C’est une coutume qui se transmet depuis l’antiquité d’une génération à une autre. Ces majels sont répartis dans toute l’île ainsi que sur les voies publiques et les mosquées. L’eau ainsi conservée est précieuse et consommée avec précaution selon les saisons et les années. « ASSIDJE » a obtenu son visa le 26 mai 1976. Elle a pour objet d’œuvrer dans tous les domaines et par tous les moyens au développement harmonieux de l’île de Djerba, en vue d’assurer la sauvegarde de son économie, la protection de son écologie, de sa spécificité urbanistique et architecturale traditionnelle.

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Borhane Bsaïss et Mourad Zghidi : enquête judiciaire pour blanchiment d’argent

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 15:38

Le juge d’instruction près le tribunal de première instance de Tunis a ordonné, ce lundi, l’émission de deux mandats de dépôt à l’encontre des journalistes Borhane Bsaïss et Mourad Zghidi. Ces mesures font suite à des soupçons de blanchiment d’argent, selon des sources judiciaires.
Cette décision intervient dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet du tribunal de première instance de Tunis, qui avait précédemment autorisé l’ouverture d’un dossier d’instruction concernant les deux personnalités médiatiques.

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Tunisie – Kairouan : des élèves hospitalisés après une campagne de vaccination

Von: La Presse
03. Dezember 2024 um 15:35

L’hôpital universitaire Ibn El Jazzar de Kairouan a accueilli, ce mardi 3 décembre 2024, huit élèves en état de panique et d’anxiété après avoir reçu des vaccins contre la diphtérie et le tétanos (D.T.) dans leur école, selon le Dr Moammar El Hajji, directeur régional de la santé de Kairouan.
Tous les élèves ont rapidement reçu les premiers soins et ont quitté l’établissement hospitalier en bonne santé, à l’exception d’un seul élève. Celui-ci reste sous observation médicale en raison d’un taux de glycémie instable, laissant supposer une prédisposition au diabète déjà existante avant la vaccination.

Le Dr Hajji a tenu à préciser dans une déclaration accordée à une radio privée que ces réactions ne sont pas liées aux vaccins administrés, mais plutôt à une vague de peur et de panique collective observée parmi les élèves.
Il est important de noter que les élèves concernés sont scolarisés à l’école primaire située à l’ouest de Kairouan. Les autorités sanitaires ont rappelé que les vaccins administrés respectent les normes internationales de sécurité et que de telles réactions sont souvent d’ordre psychologique plutôt que médical.

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