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Budget de l’État : alerte sur la baisse continue du financement public de l’éducation

Von: walid
30. Mai 2025 um 22:02

L’Observatoire tunisien de l’économie (ATE) a appelé à placer l’éducation à la tête des priorités nationales, en consacrant au ministère de l’Education un budget plafonné a pas moins de 15% du budget des dépenses de l’Etat au titre de l’année 2026.

L’objectif est de garantir la capacité du departement d’augmentation de l’investissement, d’améliorer l’infrastructure et la qualité de l’éducation, ainsi que d’assurer un meilleur avenir de la génération future.

Cet appel urgent intervient au moment ou le ministère de Finances a commencé depuis cette semaine l’élaboration du projet de la loi de finances 2026, selon le calendrier d’élaboration de la loi de finances, en plus d’une quasi- absence de la contribution du secteur privé et du secteur financier en matiere d’appui de l’infrastructure des établissements scolaire.

Il est attendu que le ministère des Finances adresse une correspondance aux différents ministères avant la fin du mois de mai (31 mai 2025) afin de déterminer le plafond des budgets proposés pour chaque ministère.

Dans une note publiée au début de la semaine intitulée “lever le plafond du budget de l’éducation: Mettons l’éducation au premier rang dans la loi de Finances 2026”, l’observatoire a montré que la part dédiée à l’éducation dans les dépenses totales de l’Etat est en régression continue, passant de 15,5% en 2020 à 13,2% en 2024, alors que l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) recommande de consacrer entre 15 et 20% des dépenses publiques à l’éducation.

La part du budget de l’éducation dans le budget total de l’État est passée à 10,2 % en 2024, affichant une baisse inquiétante de l’engagement du gouvernement à financer ce secteur stratégique, notamment entre les années 2021 et 2024.

Aucun programme de promotion de l’infrastructure publique et de contribution dans le développement des établissements scolaires n’a été divulgué, en dépit des accidents survenus dans certains établissements scolaires. rappelant également la réunion de la A rappeler que la Cheffe du gouvernement Sarra Zaafrani Zenzri a tenu au mois d’avril, une reunion avec le gouverneur de la BCT Fethi Zouhair Nouri, ainsi que le président du Conseil bancaire et financier Néji Ghandri et des directeurs généraux des trois banques publiques, les incitant à renforcer le rôle des institutions financières et bancaires dans la promotion d’importants projets de développement public.

Au cours de dernières années, plusieurs grandes entreprises, des banques et des groupements économiques ont annoncé l’adoption de programmes de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) , à travers la programmation d’activités au service de la société et qui visent à atteindre les objectifs de développement durable, en plus de leur appui aux mégas projets de développement économique , pour qu’ils jouent pleinement leur rôle dans la résolution des affaires sociales urgentes, telles que l’éducation et la santé.

La RSE a été introduite dans le système juridique du pays par la loi n° 35 de 2018, datée du 11 juin 2018.

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Appel à porter le budget de l’éducation à 15 % en 2026

L’Observatoire tunisien de l’économie (ATE) exhorte les autorités à faire de l’éducation une priorité nationale en allouant, d’ici 2026, au moins 15 % des dépenses publiques au ministère de l’Éducation.

Il s’agit de doter le ministère des moyens nécessaires pour intensifier les investissements, moderniser les infrastructures, rehausser la qualité de l’enseignement et bâtir un avenir plus solide pour les jeunes générations.

Dans une note intitulée « Lever le plafond du budget de l’éducation : Mettons l’éducation au premier rang dans la loi de finances 2026 », publiée en début de semaine, l’ATE alerte sur la baisse continue de la part de l’éducation dans les dépenses publiques : de 15,5 % en 2020 à 13,2 % en 2024, contre les 15 à 20 % recommandés par l’UNESCO. La part du budget de l’éducation dans le budget total est tombée à 10,2 % en 2024.

La part du budget de l’éducation dans le budget global de l’État a chuté à 10,2 % en 2024.

L’Observatoire a, en outre, affirmé qu’il regrette l’absence d’un programme de modernisation des infrastructures scolaires, malgré des incidents répétés, ainsi que le faible engagement du secteur privé et financier dans ce domaine.

La Cheffe du gouvernement a réuni, en avril, les responsables de la Banque centrale, du Conseil bancaire et des banques publiques, les incitant à soutenir davantage les projets publics, notamment via des actions de responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Si plusieurs groupes ont adopté des programmes RSE, leur contribution à l’éducation reste marginale.

Pour rappel, la RSE est encadrée par la loi n°35 de 2018, promulguée le 11 juin 2018.

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Le financement de l’éducation en Tunisie a chuté à 10,2 %

Von: La Presse
28. Mai 2025 um 10:48

Ali Kurdi, représentant de l’Observatoire Tunisien de l’Économie, a déclaré ce mardi 27 mai 2025 que la part du budget général de l’État allouée à l’éducation est passée de 15,9 % en 2010 à 10,2 % en 2024.

Intervenant lors de l’émission « Le Mag Express », Kurdi a ajouté que les dépenses d’éducation, par rapport aux dépenses totales de l’État, ont également diminué de 15,5 % en 2022 à 13,2 % en 2024, et ce, selon la loi de finances.

L’invité de l’émission a expliqué que la répartition des dépenses consacrées à l’éducation montre que la majeure partie du budget est allouée aux salaires, à hauteur de 85 %, tandis que les dépenses d’investissement ne dépassent pas 8 % du budget du ministère pour l’année 2024.

Le représentant de l’Observatoire Tunisien de l’Économie a souligné que cette situation a eu des répercussions sur le manque de développement et d’entretien des infrastructures éducatives. Il a notamment précisé que le taux de raccordement au réseau d’assainissement des eaux usées dans les écoles ne dépasse pas 30 % au niveau national, en plus du vieillissement des installations, des équipements et de l’eau potable, puisque 10 % des écoles primaires ne bénéficient pas de cette couverture.

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